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Immeuble « La Vigie » ◼ 20 quai Malbert ◼ CS 42905 ◼ 29229 BREST cedex 2 ◼ Tél. 02 98 46 38 39 ◼ Fax. 02 98 46 46 64
GÉOMÉDIA S.A.S.
20 Quai MALBERT
CS 42905
29229 BREST Cedex 2
Il est interdit de reproduire intégralement ou partiellement sous quelque support que ce soit le
présent ouvrage (art. L 122-4 et L 122-5 du Code de la propriété intellectuelle) sans
l'autorisation de l'éditeur.
TABLE DES MATIÈRES
I.1. GÉNÉRALITÉS
Les lectures de carnets permettent de transformer un carnet terrain d’un format particulier vers le
format GéoBase COVADIS reconnu par les fonctions de calcul et l’éditeur de GéoBases. Cette
transformation s’opère soit depuis l’éditeur de GéoBases soit depuis le menu COV.CALCULS de
COVADIS.
Cette transformation s’effectue dans une fenêtre permettant de sélectionner le carnet brut, le fichier
de paramétrage, la GéoBase résultante et la table de codes si vous souhaitez interpréter les codes
au cours de cette opération. Vous pouvez aussi choisir un appareil de levé qui sera placé en début
de GéoBase pour corriger une erreur de collimation verticale ou une constante de prisme. Si aucun
appareil n’est indiqué, l’appareil standard (ni collimation verticale, ni constante de prisme) sera
utilisé par défaut lors des calculs.
Etant donné la diversité des formats de stockage des informations de levé, plusieurs fichiers de
paramétrage sont prévus. Les paramètres contenus dans ces fichiers fournis par défaut ne
correspondent pas forcément à la façon dont vous avez configuré votre instrument. Il est donc
important de connaître les spécificités de chaque instrument et de savoir modifier un fichier de
paramétrage.
Ce chapitre passe en revue les différents formats de stockage pris en compte ainsi que les
possibilités de paramétrage de COVADIS CALCULS TOPO.
REMARQUE :
Lorsque vous faites une lecture de carnet depuis l’éditeur de GéoBase, vous pouvez compléter la GéoBase courante ou créer une
nouvelle GéoBase.
3. Mesure
5=102 label pour le matricule : 5 matricule du point : 102
4=12 label pour le code du point : 4 code : 12
6=1.452 label pour la hauteur de prisme : 6 valeur : 1.452 m
7=378.4589 label pour l’angle horizontal (position I) : 7 valeur : 378.4589 gr
8=99.6878 label pour l’angle vertical (position I) : 8 valeur : 99.6878 gr
9=78.587 label pour la distance inclinée : 9 valeur : 78.587 m
10=0.385 label pour la dénivelée : 10 valeur : 0.385 m
11=78.586 label pour la distance horizontale : 11 valeur : 78.586 m
17=178.4589 label pour l’angle horizontal (position II) : 17 valeur : 178.4589 gr
18=300.3122 label pour l’angle vertical (position II) : 18 valeur : 300.3122 gr
6. Labels personnalisables
Les labels à partir de 90 sont personnalisables. Ils peuvent ainsi être utilisés pour :
• indiquer que le point rayonné associé à la mesure courante ne devra pas être calculé en Z,
• donner le code symbole à affecter à toutes les mesures suivantes (jusqu’à ce qu’un nouveau code soit donné),
• définir un label (104 par exemple) pour la codification propre au GéodatWin ®.
REMARQUES :
Pour chaque groupe de données, le label 4 peut contenir un numéro de symbole (ex : 4=10) ou une codification étendue
(ex : 4=100.2.12) qui inclut les excentrements.
Plusieurs données de type 4 peuvent être indiquées pour une même mesure. Pour spécifier, par exemple, le code symbole
associé à une mesure ainsi que plusieurs commandes de codification étendue.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à
toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques
utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la
collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone
d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ». Il est possible d’éditer directement le fichier en
utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la zone d’édition correspondante. Cette façon
de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage (un fichier par format de carnet) à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Une case de dialogue de sélection de fichier apparaît alors.
Le bouton « Modifier » permet de changer les paramètres contenus dans le fichier ‘ini’. (cf. § I.2.3 pour les détails).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
3. Paramètres généraux
Si l’opérateur n’a pas utilisé le label 62 pour différencier les mesures et les références lors du levé, deux zones d’édition ont été
prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant l’ensemble des données fournies avec la mesure (hauteur de prisme,
angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules. Voici quelques exemples de listes de matricules :
1000;1001;1004 ............................................. seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ......................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Les différents paramètres de cette liste permettent d’indiquer au programme de décodage du fichier carnet :
• les labels associés aux commandes de levé,
• les symboles à utiliser par défaut pour les différents éléments de la GéoBase (si aucun autre code symbole n’est fourni dans le
groupe de données).
Pour les carnets Trimble GDM, deux nouvelles commandes peuvent être définies :
• « Point sans altitude » : qui indique que le point associé à la station, référence, ou mesure possèdera une altitude invariante et
sans valeur. Par exemple, si le label utilisé pour indiquer un point sans altitude est 95, le groupe de données d’une mesure pourrait
être :
5=132 (matricule du point = 132)
95=0 (point sans altitude, la donnée 0 est sans importance)
6=1.600 (hauteur de prisme = 1.600 m)
7=135.2564 (angle horizontal = 135.2564 gr)
8=99.2568 (angle vertical = 99.2568 gr)
9=78.562 (distance inclinée = 78.562 m)
4=10 (code du symbole = 10)
• « Symbole courant » : permet d’indiquer que toutes les mesures qui suivent auront automatiquement le code symbole associé
à ce label sauf si le label 4 est utilisé pour indiquer un code symbole spécifique. Par exemple si le label utilisé pour le symbole
courant est 91, la ligne de donnée 91=12 indique que le code symbole 12 sera affecté à toutes les mesures suivantes tant qu’un
nouveau label 91 ne sera pas utilisé pour changer le code du symbole courant (91=15). Vous pouvez désactiver le symbole
courant avec la valeur 0 (91=0).
.
.
.
91=12 (symbole courant = 12)
5=100
. (point 100 avec code symbole 12)
.
.
5=101
4=20 (point 101 avec code symbole 20)
.
.
.
5=102 (point 102 avec code symbole 12)
.
.
.
91=0 (désactivation du symbole courant)
Un code symbole peut être automatiquement affecté par défaut à tous les éléments d’une GéoBase donnant lieu à la création d’un
point après calcul (stations, références et mesures). Le code symbole sera affecté uniquement si aucune donnée spécifique n’est
indiquée (label 4) et à condition que le symbole courant ne soit pas défini.
Pour modifier un label de commande ou un code symbole par défaut, il suffit de cliquer l’élément correspondant dans la liste,
d’entrer la nouvelle valeur dans la zone de saisie prévue à cet effet, puis de cliquer sur le bouton « Modifier » pour mettre à jour la
liste.
REMARQUE :
Le paramétrage du carnet Trimble GDM permet d’étendre (nouveaux labels) et de simplifier (symboles par défaut et courants)
les possibilités de saisie.
5. Les excentrements
Les excentrements sont des valeurs numériques (distances) saisies pendant la phase de levé destinées à modifier la position d’un
point. Ils sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Un excentrement radial modifie la distance horizontale entre l’appareil
et le point réellement levé. Un excentrement tangentiel affecte l’angle horizontal (recalculé avec la distance perpendiculaire à la
visée) et dans une moindre mesure l’angle vertical. Un excentrement vertical modifie soit la hauteur de prisme soit la hauteur
d’instrument selon qu’il s’applique à une mesure ou à une station.
La plupart des appareils de levé intègre déjà ces excentrements dans les observations. Si toutefois ce n’était pas le cas, vous avez la
possibilité d’utiliser les labels 70 ou 72 pour un excentrement radial et les labels 71 ou 73 pour un excentrement tangentiel. Une
autre possibilité est d’utiliser le label 4 suivi d’un code désignant le type d’excentrement puis de la valeur d’excentrement.
Exemple : 4 = <code>.<valeur>
Le croquis ci-contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur
Av une observation.
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
Av’ ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET
6. Codes des champs
Cet onglet permet de spécifier l’unité des valeurs des
excentrements ainsi que d’éventuelles valeurs par défaut
(en l’absence de valeur saisie sur le terrain). Si dans le
carnet brut, les valeurs sont données en mètres, il faudra
indiquer la lettre m dans la zone intitulée « Unité de la
donnée ». Si les excentrements sont donnés en
centimètres saisissez cm (mm s’il s’agit de millimètres)
et appuyez sur le bouton « Modifier ! » pour valider la
saisie.
Si vos conventions de signe sont différentes de celles utilisées par défaut, vous devrez éditer le fichier de paramétrage afin de
modifier les valeurs des variables SigneExcRad, SigneExcTan, SigneExcVer. Les valeurs acceptées sont 0 ou 1 selon le sens
dans lequel sont comptés les excentres. La valeur 1 correspondant à la convention exposée plus haut.
7. Exemple de transformation
1 0 2 4 1 0 1 2 2 4 1 6 3 0 AR B R E
Numéro
Ligne Identifiant
Espace Espace
36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81
E 1 42 . 16 3 Hz 2 1 2 . 4 1 6 3 V1 99 . 4101
Code 1 Mesure 1 Code 2 Mesure 2 Code 3 Mesure 3
Espace Espace Espace Espace Espace Espace
Chaque ligne a la même disposition : un numéro de ligne, un identifiant, trois codes suivis chacun de la mesure correspondante.
L’identifiant (position 9 à 35) permet de définir deux types de lignes :
• Les lignes de données dont l’identifiant unique est défini par la variable Zeiss.SaisieMan du fichier de paramétrage
Zeiss.ini. Ces lignes servent le plus souvent à fixer les hauteurs de prisme ou d’instrument. Les unités saisies lors du paramétrage
doivent correspondre aux valeurs contenues dans le fichier brut.
• Les lignes de mesures dont l’identifiant contient des informations relatives au point : un numéro, un code de commande, un
code de levé, une hauteur appareil ou une hauteur de prisme et éventuellement un commentaire. Le nombre et la disposition de
ces informations sont définis dans le fichier de paramétrage Zeiss.ini.
For M5|Adr 21|IP1 132B |SD 11.8767 m|Hz 236.76439 gon |V1 101.16005 gon
|
For M5|Adr 22|IP1 1036B |SD 90.7331 m|Hz 60.74696 gon |V1 102.12445 gon
|
For M5|Adr 23|IP1 1035B |SD 48.1806 m|Hz 67.67295 gon |V1 102.90622 gon
|
For M5|Adr 24|IP1 1034B |SD 10.0310 m|Hz 100.58561 gon |V1 103.93380 gon
|
For M5|Adr 25|TI COMPENS. PT ISOLE: e=libre | | | |
For M5|Adr 26|TI Ecart-Type avant comp. |sk 0.0010 m |sa 0.00030 gon | |
For M5|Adr 27|TI Ecart-Type avant comp. |sl 0 ppm | |sp 0.0000 m |
For M5|Adr 28|IP1 130B |vl -0.0017 m |va -0.00023 gon |vq -0.0002 m |
For M5|Adr 29|IP1 1036B |vl 0.0051 m |va 0.00086 gon |vq 0.0012 m |
For M5|Adr 30|IP1 1035B |vl -0.0077 m |va -0.00063 gon |vq -0.0005 m |
For M5|Adr 31|IP1 1s |X 710489.4954 m |Y 1615986.5463 m | |
For M5|Adr 32|IP1 1s |sx 0.0012 m |sy 0.0045 m | |
For M5|Adr 33|IP1 1s |e 0.999915 |Om 140.33848 gon |hi 1.7000 m |
For M5|Adr 34|IP1 1s |sm 0.000031 |so 0.00127 gon | |
For M5|Adr 35|TI STATIONNEMENT ALTIM | | | |
For M5|Adr 36|IP1 1RN |X 0.0000 m |Y 0.0000 m |Z 46.9700 m |
For M5|Adr 37|IP1 1RN |SD 17.4136 m |Hz 255.81439 gon |V1 97.88048 gon |
For M5|Adr 38|TI Distance pour unite poids |SD 30 m | | |
For M5|Adr 39|IP1 1RN | | |vz 0.0000 m |
For M5|Adr 40|IP1 1s |X 710489.4954 m |Y 1615986.5463 m |Z 45.9403 m |
For M5|Adr 41|IP1 1s | | |sz 0.0000 m |
Chaque paramètre est défini par sa première et sa dernière colonne. Dans l’exemple ci-dessus, la valeur du numéro de point
correspond aux colonnes 1 à 5. Il faut donc attribuer la valeur 1-5 au paramètre Zeiss.Numero. La valeur 0-0 signifie qu’il n’y a
pas de valeur. Il est possible d’affecter les mêmes colonnes pour plusieurs données. Cela permet d’avoir un code de commande
identique au code symbole sans le répéter.
Zeiss.SaisieMan=SAISIE VALEURS
1 0 2 4 1 0 1 2 2 4 1 6 3 0 ARBRE Zeiss.Numero=1-5
Zeiss.Type=6-7
Numéro Code Hauteur Commentaire Zeiss.CodePt=8-11
point point prisme Zeiss.Hp=12-15
Code Zeiss.Comment=16 -27
commande
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale
ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de GéoBases. Vous pouvez alors compléter la
GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Le menu Options
Ce menu permet de décrire, dans la zone des 27 caractères, la position des différentes
informations qui y sont rencontrées. Par exemple, le numéro du point sera positionné
entre les caractères 1 et 5.
La zone d’édition intitulée « Définition d’une ligne de données » permet de saisir
une chaîne de caractères indiquant une entrée manuelle sur le terrain. Si cette chaîne
de caractères est trouvée dans la zone des 27 caractères l’interprétation par
découpage de la zone des 27 caractères est ignorée et seules les informations saisies
par l’opérateur (en général une hauteur de prisme ou une hauteur d’instrument) sont
prises en compte.
3. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors
du levé pour les mesures des références dans le carnet, deux zones d’édition ont été
prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en
références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont
les matricules sont spécifiés dans cette zone de saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données
fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Chaque ligne de mesure est définie par un code de commande dont l’emplacement à l’intérieur de l’identifiant est spécifié dans le
fichier de paramétrage Zeiss.ini par le paramètre Zeiss.Type.
Les différentes commandes pour lesquelles il est possible de fixer un code sont :
• « Station » : permet d’indiquer le code carnet utilisé lors de la saisie d’une station. Par défaut, le programme considère que le
code de commande d’une station est 10. La saisie du code carnet correspondant à une station est impérative.
• « Référence » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour indiquer une référence. Seule la mesure suivante sera
interprétée comme étant une référence.
• « Référence angulaire » : cette commande est identique à la précédente, mais l’angle vertical et la distance inclinée,
n’apparaîtront pas dans la GéoBase.
• « Mesure » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour signaler une mesure. Le code de commande
par défaut est 51.
• « Point sans altitude » : permet d’indiquer le code utilisé dans le carnet pour signaler que le point correspondant sera sans
altitude significative. Dans ce cas, lors de la lecture du carnet, le programme va créer automatiquement un point sans altitude.
Le code de commande par défaut est 11.
Pour augmenter les possibilités de paramétrage des carnets Zeiss®, il est possible de définir plusieurs codes pour une même
commande. Pour cela, il suffit de sélectionner la commande dans la liste puis de cliquer sur le bouton « Ajouter ».
Le bouton « Supprimer » permet d’enlever une occurrence de commande multiple de la liste.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
5. Commandes du levé
Cet onglet permet de spécifier l’unité des valeurs des excentrements. Si dans le carnet brut, les valeurs sont données en mètres, il
faudra indiquer la lettre m dans la zone intitulée « Unité de la donnée ». Si les excentrements sont donnés en centimètres saisissez
cm, mm s’il s’agit de millimètres et appuyez sur le bouton modifier pour valider la saisie.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations
du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une
constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de GéoBases. Vous pouvez alors compléter la
GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu
pour créer un nouveau fichier de paramétrage sans
nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Le menu Options
Ce menu donne accès à la définition des attributs de codes contenus dans le fichier d’extension fxl de l’appareil assimilable à la
table de codes de l’appareil.
« Fusionner les références multiples successives » :
Cette case à cocher simplifie la GéoBase en conservant la ligne
la plus complète correspondant à la visée d’orientation de la
station.
« Supprimer les espaces dans les liaisons » :
Dans le fichier JobXML, les codes sont séparés par un espace.
Les codes de contrôle (équivalents des suffixes de liaison
COVADIS) sont également séparés par un espace. Cette case à
cocher permet de recoller le code de contrôle au code de liaison.
Le bouton est utilisé pour indiquer le fichier d’extension fxl à
importer. La question suivante vous est posée :
3. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures numérotées de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Indiquez ici les codes par défaut pour les mises en station, les références, les mesures et les points sans altitude.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
La norme LandXML permet de stocker les informations de carnet. Cette nouvelle commande effectue la conversion d’un carnet de
ce format au format GéoBase. Leica utilise également une version de ce format étendue par une partie HexagonLandXML.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu
pour créer un nouveau fichier de paramétrage sans
nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de
revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Le menu Options
Ce menu donne accès à la définition des attributs de codes pour les carnets spécifiques LandXML de Leica.
« Transformer les excentres d’appareil en commentaire » : cochez cette case si les angles et distances tiennent déjà compte
de excentres.
« Utiliser tous les attributs de code comme paramètres de commande » : si cette case n’est pas cochée, seuls les attributs
définis dans la liste seront utilisés comme paramètres de code.
Pour définir des attributs comme paramètres, utilisez le bouton .
Le bouton efface la ligne et le bouton met à jour la ligne
courante avec les valeurs contenues dans les champs d’édition.
Le numéro de paramètre est important. Par exemple, sur le terrain le
code 100 est utilisé avec les attributs « Attribut1 » = 0.5 et
« Attribut2 » = 6.
L’image suivante illustre une partie du fichier LandXML :
3. Paramètres généraux
La position des codes, avant ou après la mesure, ne concerne que les codes libres saisis sur le terrain. En effet les autres codes sont
directement stockés sur le point dans le fichier LandXML.
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures numérotées de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Indiquez ici les codes par défaut pour les mises en station, les références, les mesures et les points sans altitude.
REMARQUE :
Il est impératif de ne jamais utiliser plusieurs fois le même code pour deux commandes différentes, l’interprétation par le
programme étant, dans ce cas, totalement aléatoire.
REMARQUE :
Pour les stations de la série TPS1200, vous pouvez utiliser le fichier de format Leica\TPS1200\Format pour
LGO\COVADIS.FRT du CD d’installation dans Leica Geo Office pour vider directement au format GéoBase COVADIS.
1. Ligne de commande
Une ligne de commande contient toujours au moins un champ dont les deux premiers caractères sont 41. Les quatre caractères
suivants indiquent le numéro de la ligne dans le carnet et ne sont pas utilisés. Après le caractère ‘+’ vient le code de la commande.
C’est ce code qui doit être spécifié lors du paramétrage pour que le programme puisse interpréter correctement la commande.
Exemples :
• 410001+00000009 42....+00009866
Le code 00000009 indique, s’il est associé à la commande « Commentaire », qu’il s’agit d’une ligne de commentaire, et
que le champ 42 contient ce commentaire (dans cet exemple, 9866 est le numéro du dossier).
• 410003+00000002 42....+00001270
Le code 00000002 indique, s’il est associé à la commande « Hauteur de prisme », qu’il s’agit d’une nouvelle hauteur de
prisme à appliquer aux mesures suivantes, le champ 42 contenant la hauteur de prisme (ici en millimètres).
• 410004+00000010 42....+00000STA
Le code 00000010 indique, s’il est associé à la commande « Symbole du point suivant », que l’élément précédent ou
suivant (selon la position des codes) doit prendre STA comme code symbole.
• 410005+00000003
Le code 00000003 indique, s’il est associé à la commande « Référence », que la mesure précédente ou suivante (selon la
position des codes) est une référence.
• 410006+0000S105
Le code 0000S105, s’il ne correspond à aucune commande, indique que l’élément précédent ou suivant (selon la position des
codes) doit prendre S105 comme code symbole.
REMARQUE :
En fonction des personnalisations des carnets Leica ®, certains codes de commande (Référence, Symbole du point suivant, Point
sans altitude) peuvent être placés avant ou après l’élément auquel ils se rapportent (mesure ou station). Il faudra donc faire très
attention aux paramètres choisis afin que le carnet puisse être interprété correctement.
2. Ligne de mesure
Une ligne de mesure contient toujours au moins un champ dont les deux premiers caractères sont 11. Les quatre caractères suivants
indiquent le numéro de la ligne dans le carnet et ne sont pas utilisés. Le septième caractère n’est jamais utilisé lui non plus, par
contre, les huit (ou seize) suivants correspondent au matricule du point associé à la mesure.
Les autres champs rencontrés dans les lignes de mesure sont essentiellement les suivants :
• 21… : angle horizontal mesuré.
• 22… : angle vertical mesuré.
• 31… : distance inclinée mesurée.
• 81… : abscisse (X) d’un point connu ou GPS.
• 82… : ordonnée (Y) d’un point connu ou GPS.
• 83… : altitude (Z) d’un point connu ou GPS.
• 87… : hauteur de prisme utilisée pour la mesure.
Le programme effectue toutes les conversions nécessaires pour ramener les observations dans les unités de la GéoBase, c’est-à- dire
les mètres et les grades.
Exemples :
110004+00006002 21.102+39999980 22.102+10449760 31..00+00077712
110005+00000001 21.102+00316450 22.102+10450460 31..00+00069333
...
110106+00006521 21.322+34542650 22 322+09964900 31 00+00043672 81.00+09967687 82.00+11031424 83..00+00000525
110107+00006522 21.322+12545658 22 322+09945856 31 00+00050215 81.00+09965465 82.00+11041515 83..00+00001256
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <SHIFT> + <CTRL> et un clic droit de la souris
dans la zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin pour plus de détails).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
REMARQUE :
Pour que les HP87 soit prises en compte, il est nécessaire que l’option
«Hauteur de prisme = code de champ 87 » soit cochée dans les paramètres
spécifiques des carnets Leica affichés ci-contre.
L’ordre de priorité d’affectation des hauteurs de prisme sur une mesure est dicté par la logique.
1) Le programme affectera d’abord la dernière valeur saisie entre HPP et HPR non nulle (si l’une d’elles existe).
2) En l’absence de cette valeur, le programme tentera (voir la remarque précédente) d’affecter la valeur HP87.
3) Ensuite et toujours en l’absence de valeur, le programme affecte, si elle existe, la valeur de HPC.
4) Enfin, la valeur nulle sera affectée si aucune des recherches précédentes n’a abouti.
Toujours sur une ligne de mesure, les champs 71 à 79 peuvent être présents. Il est alors possible d’interpréter les valeurs de ces
champs soit comme des commentaires soit comme des commandes de codification.
3. Paramètres généraux
Selon le paramétrage de l’appareil, certains codes de commande (Référence, Symbole du point suivant, Point sans altitude) peuvent
être placés avant ou après l’élément auquel ils se rapportent (mesure ou station). Veuillez donc indiquer la position du code en
sélectionnant le bouton radio () correspondant : code avant ou après la mesure.
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
4. Commandes du levé
Les lignes de mesure (celles commençant par 11) sont automatiquement interprétées lors de la lecture. Pour les autres lignes (les
commandes), il faut spécifier les codes de commande et la nature des informations stockées (mise en station, référence, hauteur de
prisme, point sans altitude, etc.).
Les différents paramètres de la liste permettent :
• de reconnaître les codes associés aux commandes,
• d’associer les symboles à utiliser par défaut pour les différents éléments de la GéoBase (si aucun autre code symbole n’est
indiqué explicitement à l’aide des commandes Symbole du point suivant et Symbole courant).
REMARQUE :
Les codes des commandes des carnets Wild®/Leica peuvent être numériques ou alphanumériques mais leur longueur doit toujours
être de 8 ou de 16 caractères mais pas les deux dans le même fichier. Exemples pour une station : 00000001 ou
000000000STATION ou station_ …
• « Hauteur prisme » : commande obligatoire, permet d’indiquer quel code carnet correspond à la hauteur de prisme courante.
Cette hauteur de prisme sera utilisée jusqu’à ce qu’une nouvelle valeur soit donnée.
Les mesures pour lesquelles le champ 87 est présent ne tiendront pas compte de la hauteur de prisme courante ainsi que les
mesures affectées par la commande hauteur de prisme ponctuelle.
Le programme considère par défaut que la hauteur de prisme est donnée dans le champ 42.
• « Hauteur prisme ponctuelle » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour spécifier une hauteur de prisme
qui ne sera appliquée qu’à la mesure suivante ou précédente, en fonction de la position des codes dans le carnet (avant ou après
les mesures).
• « Point sans altitude » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour signaler que le point correspondant à la
mesure précédente ou suivante (selon la position des codes) sera sans altitude significative. Dans ce cas, lors de la lecture du
carnet, le programme va créer automatiquement un point sans altitude mais avec cette altitude déclarée constante.
• « Commentaire » : permet d’indiquer quel code est utilisé lors de la saisie d’un commentaire dans le carnet. Le programme
considère que tous les champs qui suivent le champ 41 font partie du commentaire.
• « Symbole du point suivant » : permet d’indiquer quel code est utilisé dans le carnet pour spécifier le code symbolique associé
à la mesure précédente ou suivante, en fonction de la position des codes dans le carnet (avant ou après les mesures). Le
programme considère par défaut que le nom du symbole est donné dans le champ 42.
• « Symbole courant » : permet de spécifier quel code est employé dans le carnet pour spécifier le code symbolique de toutes les
mesures suivantes.
Le programme considère par défaut que le nom du symbole courant est donné dans le champ 42.
Le symbole courant restera valable jusqu’à ce qu’une nouvelle valeur, une valeur nulle (00000000, ou pas de champ 42) ne soit
donnée.
Si une commande définissant le symbole du point suivant (ou précédent) est associée à une mesure, le symbole courant sera
ignoré.
• « Excentrement … » : permet d’affecter un code carnet à chaque type d’excentrement (tangentiel, radial et vertical).
Pour modifier un code de commande ou un code symbole par défaut, il suffit de cliquer l’élément correspondant dans la liste, d’entrer
la nouvelle valeur dans la zone de saisie prévue à cet effet, puis de cliquer sur le bouton « Modifier » pour mettre à jour la liste.
Pour augmenter les possibilités de paramétrage des carnets Wild ®, il est possible de définir plusieurs codes pour une même
commande. Pour cela, il suffit de sélectionner la commande dans la liste puis de cliquer sur le bouton « Ajouter ».
Le bouton « Supprimer » permet d’enlever une occurrence de commande multiple de la liste.
REMARQUE :
Il est impératif qu’à un code ne corresponde qu’une commande, l’interprétation par le programme étant, dans le cas contraire,
totalement aléatoire. La réciproque est fausse.
5. Les excentrements
Les excentrements permettent de lever un point inaccessible en visant un point proche et en mesurant ER et ET comme indiqué sur
le schéma ci-dessous. Les excentrements sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Pendant les calculs, un excentrement
radial ER modifiera la distance horizontale entre l’appareil et le point réellement levé, un excentrement tangentiel affectera l’angle
horizontal et dans une moindre mesure l’angle vertical, un excentrement vertical modifiera soit la hauteur de prisme (excentrement
portant sur une observation) soit la hauteur d’instrument (excentrement portant sur une station).
Vous indiquerez un code carnet pour chaque type d’excentrement. Par exemple, les excentrements radiaux pourront être identifiés
par le code carnet 00000010.
Le croquis ci-contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur
Av une observation.
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
Av’ ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET
REMARQUE :
Les unités autorisées sont ‘m’, ‘cm’ et ‘mm’ (pour les hauteurs d’instrument et de prisme ainsi que les excentrements).
Exemple de transformation
410001+00000009 42....+00009866
410002+00000001 42....+00006001 43....+00001547
410003+00000002 42....+00001270
110004+00006002 21.102+39999980 22.102+10449760 31..00+00077712 51....+0000+000
110005+00000001 21.102+00316450 22.102+10450460 31..00+00069333 51....+0000+000
110006+00000002 21.102+00675180 22.102+10435780 31..00+00061295 51....+0000+000
410157+00000009 42....+00009870
410158+00000001 42....+00005001 43....+00001530
410159+00000002 42....+00001270
110160+00000001 21.102+39999990 22.102+09096790 31..00+00039712 51....+0000+000
110161+00000002 21.102+36772330 22.102+09248140 31..00+00043510 51....+0000+000
110162+00000003 21.102+31132870 22.102+10295510 31..00+00018631 51....+0000+000
110163+00000004 21.102+01760990 22.102+10089650 31..00+00008460 51....+0000+000
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les
mesures des références dans le carnet, deux zones
d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules
des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence - OUI
Référence angulaire OUI -
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude OUI OUI
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - OUI
Symbole du point suivant OUI -
Symbole courant OUI -
Excentrements (ET, EV, ER) - -
30 Topographie & Foncier
LECTURES DE CARNETS
9 : En-tête
Deux espaces
Version
Commentaire
0 : Point de Station
Numéro de Station
Code
Hauteur d'instrument
Numéro de référence arrière
Angle sur référence arrière
Date et heure
1 : Point de station XYZ
Numéro de la station
Code
X, Y et Z
Date et heure
2 : Visée sur un point, une référence, avec ou sans distance
Numéro de point
Code
Distance suivant la pente
Angle horizontal
Angle vertical
Hauteur de prisme
Date Heure
3 : Point de détail XYZ
Numéro du point
Code
X, Y et Z
Date heure
4 : Point XYZ chargé dans l'appareil (implantation)
Numéro du point
Code
X, Y et Z
Date heure
5 : Point de contrôle (Uniquement si la version de l'en-tête est NS002)
Numéro de point
Code
Distance suivant la pente
Angle horizontal
Angle vertical
Nombre de déterminations de HA
Hauteur de prisme
6 : Point de détail XYZ (Uniquement si la version de l'en-tête est NS002)
Numéro du point
Code
X, Y et Z
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à
toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques
utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la
collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour
les mesures des références dans le carnet, deux
zones d’édition ont été prévues pour indiquer les
matricules des mesures qui doivent être trans-
formées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone
de saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme,
angle horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules
sont indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront
conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence - OUI
Référence angulaire OUI -
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude OUI OUI
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - OUI
Symbole du point suivant OUI -
Symbole courant OUI -
Excentrement radial OUI -
Excentrement tangentiel OUI -
Excentrement vertical OUI -
4. Les excentrements
Les excentrements permettent de lever un point inaccessible en visant un point proche et en mesurant ER et ET comme indiqué sur
le schéma ci-dessous. Les excentrements sont de trois types : radiaux, tangentiels et verticaux. Pendant les calculs, un excentrement
radial ER modifiera la distance horizontale entre l’appareil et le point réellement levé, un excentrement tangentiel affectera l’angle
horizontal et dans une moindre mesure l’angle vertical, un excentrement vertical modifiera soit la hauteur de prisme (excentrement
portant sur une observation) soit la hauteur d’instrument (excentrement portant sur une station).
Vous indiquerez un code carnet pour chaque type d’excentrement. Le croquis ci-
Av contre illustre les effets des excentrements radiaux et tangentiels sur une observation.
M Soient le point M réellement levé et le point M’ qui n’a pas pu être visé pour une
Av’ ER
Di raison quelconque (épaisseur du prisme, visibilité …). Sur le terrain les valeurs ER
Di’ et ET ont été mesurées. ER correspond à l’excentrement radial et ET à
O
l’excentrement tangentiel. Pendant les calculs, le logiciel recalculera l’angle
Dh M’
horizontal, l’angle vertical et la distance inclinée pour tenir compte de ces
Dh’ excentrements. Tout se passe comme si le point inaccessible avait été réellement
levé.
ET
5. Codes des champs
L’onglet « Codes des champs » offre la possibilité
d’indiquer les unités utilisées pour les excentrements.
REMARQUE :
Seules les valeurs ‘m’, ‘cm’ et ‘mm’ sont autorisées
pour les unités.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
Où :
• Axx : désigne une chaîne de caractères d’une longueur maximale de xx caractères,
• Ixx : désigne un nombre entier composé de xx chiffres au maximum,
• Rxx : désigne un nombre réel d’une longueur totale n’excédant pas xx caractères.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation
verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de para-
métrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence
angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les
mesures des références dans le carnet, deux zones
d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Pour les appareils de la gamme TopCon® le logiciel utilisé pour le vidage (Transtop.exe) prévoit une conversion du format
TopCon vers le format GéoBase COVADIS.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera
ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les
observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale
ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage (un fichier par format de carnet) à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Une case de dialogue de sélection de fichier apparaît alors.
Le bouton modifier permet de changer les paramètres contenus dans le fichier ‘ini’. (Voir le paragraphe suivant pour les détails.)
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer
les fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du
menu pour créer un nouveau fichier de
paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un
fichier de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un
fichier autre que le fichier de paramétrage
courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet
de quitter le dialogue de paramétrage du driver et
de revenir au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des références dans le
carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des tirets.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Le tableau suivant indique quels sont les éléments paramétrables :
Eléments Affectation d’un code carnet Affectation d’un symbole par défaut
Station - OUI
Référence OUI OUI
Référence angulaire - OUI
Hauteur de prisme - -
Hauteur de prisme ponctuelle - -
Point sans altitude - -
Commentaire - -
Mesure - OUI
Point - -
Symbole du point suivant - -
Symbole courant - -
Excentrements (ER, ET, EV) - -
JOB : informations relatives au Job DAT : système de référence pour les coordonnées cartographiques
FV : version du fichier NM : nom du système de référence
DT : date du levé SX : translation en x
HM : heure du levé SY : translation en y
NM : nom du Job SZ : translation en z
CR : équipe terrain RX : rotation en x
NT : commentaires RY : rotation en y
RZ : rotation en z
UNM : unités de mesure SC : facteur d’échelle
AN : unité de mesure angulaire DT : type de système de référence
DS : unité de mesure des distances PX : rotation du point en x
SL : unité de mesure des pentes PY : rotation du point en y
PZ : rotation du point en z
DEC : précision pour chaque type de mesure
ELL : ellipsoïde
AN : angles
CD : coordonnées NM : nom de l’ellipsoïde
EL : élévation SA : demi-grand axe
DS : distances IF : inverse de l’aplatissement
AR : surfaces
SL : pentes GED : géoïde de référence en altitude
NM : nom du géoïde
CRD : paramétrage des coordonnées
NO : préfixe des coordonnées nord RED : Réduction des distances
ET : préfixe des coordonnées est SL : réduction du niveau de la mer
EL : préfixe de l’élévation AE : élévation moyenne
OR : ordre (nord/est ou est/nord) CN : réduction plane cartographique
SF : facteur d’échelle
LOC : localisation
HZ : localisation horizontale PNT : point topographique
VT : localisation verticale NM : matricule
CD : code
L1P : localisation d’un point unique NO : coordonnée nord
GP : nom du point de référence GPS ET : coordonnée est
LT : latitude du point de référence (en radians) EL : altitude
LN : longitude du point de référence (en radians) LT : latitude (en radians)
HT : altitude du point de référence LN : longitude (en radians)
LP : matricule du point local HT : hauteur de canne
NO : coordonnée nord TP : type de point
ET : coordonnée est NT : description
EL : altitude
NTE : commentaires
LCS : localisation dans un système cartographique DT : date du commentaire
NM : nom du système HM : heure du commentaire
PJ : projection NT : commentaire
DM : nom du système de référence
EP : ellipsoïde GPS : point mesuré au GPS
LT : latitude d’origine (en radians) DT : date de la mesure
LN : longitude d’origine (en radians) HM : heure de la mesure
FN : faux nord BS : nom du pivot de référence
FE : faux est PT : matricule
SC : facteur d’échelle CD : code
LT : latitude (en radians)
LN : longitude (en radians)
HT : hauteur de canne
AH : hauteur d’antenne du mobile
BH : hauteur d’antenne du pivot
US : heure de début de mesure
UE : heure de fin de mesure
NT : description
JOB,FV1.0,DT2011-11-04,HM09:57:12,NMTest.gfd,CR,NT
UNM,ANGON,DSMETER,SL%
DEC,AN4,CD3,EL3,DS3,AR2,SL2
CRD,NON,ETE,ELZ,OREN
LOC,HZSINGLE,VTLOCAL
L1P,GP100,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,LP100,NO0.0000,ET0.0000,EL0.0000
PNT,NM100,CD,NO0.0000,ET0.0000,EL0.0000,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,TPGPS_POI
NT,NT
PNT,NM101,CDCODE,NO0.7909,ET12.3152,EL-
0.4257,LT0.802026065,LN0.218074984,HT70.8787,TPGPS_POINT,NT
PNT,NMOFS_0001,CD--,NO-1.6844,ET4.7078,EL0.7872,LT0.802025676,LN0.218073271,HT72.0915,
TPGPS_HIDDEN_DISTDIST,NT-------
PNT,NMOFS_0002,CDYY,NO-5.4806,ET-7.3232,EL1.5743,LT0.802025080,LN0.218070563,HT72.8787,
TPGPS_HIDDEN_ALIGNOFF,NTdesc yy
GPS,DT2011-11-
04,HM16:10:49,BS0209,PT100,CD,LT0.802025941,LN0.218072211,HT71.3043,AH2.0000,NT
QTY,EP3,GP7,GS6,GA0,HD0.800,VD1.400,PD1.600,GD0.000,PH0.0500,PV0.0000,FQRTK_FIXED
COV,XX0.000000000,XY0.000000000,XZ0.000000000,YY0.000000000,YZ0.000000000,ZZ0.000000000
GPS,DT2011-11-
04,HM16:11:20,BS0209,PT101,CDCODE,LT0.802026065,LN0.218074984,HT70.8787,AH2.0000,NT
QTY,EP3,GP6,GS4,GA0,HD1.100,VD2.100,PD2.300,GD0.000,PH3.1750,PV0.0000,FQRTK_FLOAT
COV,XX0.000000000,XY0.000000000,XZ0.000000000,YY0.000000000,YZ0.000000000,ZZ0.000000000
NTE,DT2011-11-04,HM16:11:40,NTtest
GPD,DT2011-11-
04,HM16:13:02,PTOFS_0001,CDCode,R1100,D15.0000,V11.0000,R2101,D28.0000,V21.0000,
NTDescription estesa
GPO,DT2011-11-
04,HM17:13:13,PTOFS_0002,CDCode,R1100,R2101,RPN,DS20.0000,OF5.0000,HD2.0000,
NTDescription estesa
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans les options des calculs
(fichier CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil
sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations du fichier. Les calculs topométriques utiliseront
ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Entrez le nom du fichier de paramétrage du driver à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton
« Parcourir ».
Le Bouton « Modifier » vous permet de changer le paramétrage du driver de lecture du carnet (voir plus loin).
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
1. Le menu Fichier
Ce menu permet de créer, d’ouvrir et d’enregistrer les
fichiers de paramétrage.
• « Nouveau » : sélectionnez cette option du menu pour
créer un nouveau fichier de paramétrage sans nom.
• « Ouvrir » : utilisez cette option pour charger un fichier
de paramétrage existant.
• « Enregistrer » : sélectionnez cette option pour
sauvegarder les modifications dans le fichier de
paramétrage courant.
• « Enregistrer Sous » : utilisez cette option pour
sauvegarder les modifications effectuées dans un fichier
autre que le fichier de paramétrage courant.
• « Quitter » : cette option du menu vous permet de
quitter le dialogue de paramétrage du driver et de revenir
au dialogue de lecture du carnet.
2. Paramètres généraux
Si les commandes Référence ou Référence angulaire
n’ont pas été utilisées lors du levé pour les mesures des
références dans le carnet, deux zones d’édition ont été prévues pour indiquer les matricules des mesures qui doivent être transformées
en références.
• « Matricules des mesures sur références stationnables » : les mesures dont les matricules sont spécifiés dans cette zone de
saisie seront transformées en références, tout en conservant toutes les données fournies avec la mesure (hauteur de prisme, angle
horizontal, angle vertical, distance inclinée et symbole).
• « Matricules des mesures sur références non stationnables » : comme précédemment, les mesures dont les matricules sont
indiqués dans la zone de saisie seront transformées en références, mais seuls l’angle horizontal et le symbole seront conservés.
Vous pouvez spécifier les matricules des mesures à transformer en références en les séparant par des virgules ou en indiquant des
plages de valeurs séparées par des virgules.
Exemples :
1000;1001;1004 .......................................... seules les mesures 1000, 1001 et 1004 seront transformées en références
1000-1010 ...................................................... les mesures de 1000 à 1010 seront transformées en références
1000-1010;2000-2010;3000-3010 ...... les mesures allant de 1000 à 1010, de 2000 à 2010 et de 3000 à 3010 seront
transformées en références
3. Commandes du levé
Les combinaisons d’enregistrement entre la distance horizontale, la distance inclinée, la dénivelée et l’angle vertical sont acceptées
et traduites au format GéoBase.
Exemples :
#:S,M=ST.20,HT=1.66,C=1
Station ST.20 ayant pour hauteur d’instrument 1.66 m et pour code symbole 1.
#:V,M=R.99,AH=356.2565,C=7
Référence R.99 visée avec un angle horizontal de 356.2565 gr et de code symbole 7.
#:v,M=1201,HV=1.458,AH=256.2548,AV=99.8896,DI=50.325,C=10,PV=0
Mesure 1201 avec une hauteur de prisme de 1.458 m, un angle horizontal de 256.2548 gr, un angle vertical de 99.8896 gr,
une distance inclinée de 50.325 m, un code symbole égal à 10 et sans calcul d’altitude.
1. Appareil
Cette case à cocher donne accès à la liste déroulante qui contient
les appareils définis dans les options des calculs (fichier
CalTopo.ini). Si la case est cochée, l’appareil sélectionné sera ajouté en début de GéoBase et s’appliquera à toutes les observations
du fichier. Les calculs topométriques utiliseront ces appareils pour corriger des défauts tels que la collimation verticale ou une
constante de prisme (cf. § IV.6).
2. Carnet brut
Entrez le nom du fichier carnet à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il est
possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans la
zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en
cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par défaut, le programme propose le même nom que le
fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’. Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la
transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
4. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
REMARQUE :
Dans certains pseudo-formats Topojis, les caractères « # : » n’apparaissent pas en début de ligne. COVADIS permet tout de
même de lire ces fichiers.
1. Appareil
Cette case à cocher vous donne accès à la liste déroulante qui
contient les appareils définis dans le fichier CalTopo.ini. Si la case
est cochée, une ligne appareil sera ajoutée en début de GéoBase
2. Carnet brut
Saisissez le nom du fichier de points à traiter dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Il
est possible d’éditer directement le fichier en utilisant la combinaison des touches <Shift> + <Ctrl> et un clic droit de la souris dans
la zone d’édition correspondante. Cette façon de procéder est aussi valable pour éditer le fichier de paramétrage.
3. Paramétrage
Saisissez le nom du fichier de paramétrage à utiliser dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur
le bouton « Parcourir ».
4. GéoBase
Entrez le nom du fichier GéoBase à créer dans cette zone d’édition ou sélectionnez-le en cliquant sur le bouton « Parcourir ». Par
défaut, le programme propose le même nom que le fichier carnet suivi de l’extension ‘geo’.
Cliquez sur le bouton « OK » pour démarrer la transformation du fichier carnet en GéoBase.
Si la GéoBase existe déjà, le programme demande de confirmer son remplacement.
Cette zone d’édition n’est pas disponible si la commande est lancée depuis l’éditeur de
GéoBases. Vous pouvez alors compléter la GéoBase courante ou en créer une nouvelle.
5. Table
Cette case à cocher vous permet de sélectionner la table de codes qui sera utilisée pour interpréter les codes terrain. Il n’est pas
nécessaire d’interpréter les codes au moment de la lecture. En effet, l’interprétation peut aussi se faire au moment de la génération
du dessin. Pour plus de détails reportez-vous au chapitre VIII de ce manuel.
REMARQUE :
Les séparateurs de codes et de paramètres doivent être différents du séparateur d’information du fichier brut et de la virgule.
REMARQUE :
Les séparateurs de codes et de paramètres doivent être
différents de la virgule.
Cette fonction est disponible dans le menu Lecture de l’éditeur de GéoBase. Le choix de la base de données Access ainsi que le
paramétrage de l’importation sont réalisés dans les options des calculs topométriques (cf. § IV.4).
Le but de cette fonction est d’ajouter à la GéoBase courante les coordonnées des stations et références extraites de la base de données.
Le lien entre les stations et références avec les coordonnées présentes dans la base de données s’effectue par le matricule. Il est donc
très important d’immatriculer, lors du levé, une station ou une référence de manière unique.
Si la station ou la référence n’existent pas dans la base de données, le message
ci-contre est affiché. Il sera répété sur les stations ou références suivantes non
présentes dans la base de données. Le fait de cliquer sur « Annuler » empêche
la réapparition du message.
REMARQUE :
Cette fonctionnalité n’est disponible que sur les versions 32 bit de Windows.
Cette fonction est disponible dans le menu Lecture de l’éditeur de GéoBase et permet de créer les fichiers PTS à partir de la base
de données Leica (*.XCF).
Avant toute chose, le répertoire Leica Nova du DVD d’installation contient deux sous-répertoires correspondant aux version 32 bits
et 64 bits de Windows. Copier le sous répertoire adéquat sur le disque dur. Idéalement, choisissez un des emplacements approuvés
d’AutoCAD. Ce répertoire contient l’exécutable (ExtractNova.exe) et les DLLs nécessaire à la création des fichiers scans (*.PTS).
Au premier lancement de la commande, le chemin vers l’exécutable est demandé. Ensuite indiquez la base de données Leica
correspondant à la GéoBase courante.
Les fichiers scans (*.PTS) sont alors créés dans le répertoire des fichiers scan binaires (*.SDB).
Extrait du contenu d’un fichier PTS :
3127
19983.923937 20003.662349 102.224117 -1812 0 0 0
19983.921770 20003.660882 102.219052 -1813 0 0 0
19983.922503 20003.661376 102.213912 -1813 0 0 0
19983.923237 20003.661872 102.208772 -1816 0 0 0
19983.923887 20003.662314 102.203630 -1818 0 0 0
19983.923546 20003.662084 102.198511 -1817 0 0 0
19983.921383 20003.660625 102.193434 -1813 0 0 0
19983.922951 20003.661682 102.188266 -1811 0 0 0
19983.923441 20003.662013 102.183134 -1815 0 0 0
19983.923685 20003.662179 102.178021 -1817 0 0 0
19983.923016 20003.661732 102.172947 -1817 0 0 0
La première ligne de ce fichier contient le nombre de points contenus dans le scan. Sur chaque ligne suivante, les coordonnées et
quatre autres nombres. La couleur des points n’est pas initialisée, ces derniers seront donc monochromes.
Si les stations de levé sont recalculées suite à un cheminement par exemple, une commande du menu Calculs de l’éditeur de
GéoBase permet de recalculer les coordonnées présentes dans les fichiers PTS (cf. § V.12).
II.1. GÉNÉRALITÉS
Ce chapitre traite des possibilités d’exportation des coordonnées calculées présentes dans une
GéoBase. Ces commandes sont exécutables soit à partir du sous-menu Exportation carnet du menu
Cov.Calculs soit directement depuis l’éditeur de GéoBases comme montré ci-contre.
Les fichiers ainsi obtenus peuvent servir pour le chargement des appareils de terrain en vue d’une
implantation ou comme fichier de points en entrée dans un logiciel de dessin.
Les possibilités de formats sont : GéoBase, fichier avec séparateur, fichier colonné, fichier au
format Topojis®-Pc, fichier au format Wild/Leica, fichier au format Geotronics/Spectra Precision
ou fichier au format Sokkia. En fonction du format de sortie choisi, des paramétrages peuvent être
demandés. Les paragraphes suivants traitent chaque format en détails.
Le groupe d’éléments Paramètres pour l’écriture vous permet de spécifier différentes options :
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points sélectionnés pour l’écriture du fichier
contiennent des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule du
point EU.123 sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude seront automatiquement omis
lors de l’écriture du fichier.
• « Alignements dans les colonnes » : ce sous-groupe de paramètres permet d’indiquer les côtés d’alignement des matricules
et codes symboles dans leurs colonnes respectives. Cliquez sur les boutons pour sélectionner les modes d’alignement désirés.
Si la case « Ecrire la ligne de fin de fichier » (! ----+) est cochée, cette séquence de caractères (nécessaire à certains systèmes)
sera automatiquement écrite à la fin du fichier de points.
Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points sélectionnés avant leur
écriture dans le fichier.
Ce décalage ne peut être utilisé qu’avec le format de données sur 8 caractères. Il est inutile si les coordonnées restent inférieures à
10000.0 et que le nombre de décimales n’est pas supérieur à 3.
Comme pour les formats vus précédemment, le menu « Fichier » permet de gérer différents fichiers de paramétrage.
L’appui sur le bouton libellé « Terminer » est équivalent à la sélection de l’option « Quitter » du menu, ainsi qu’à l’appui sur
l’icône de fermeture de la fenêtre .
2. Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points sélectionnés avant leur
écriture dans le fichier.
Ce décalage est nécessaire pour le format SDR20 si le nombre de caractères pour les coordonnées est supérieur à 10.
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points sélectionnés pour l’écriture du fichier contiennent
des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule du point EU.123
sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude seront automatiquement omis lors de
l’écriture du fichier.
« Combler les espaces avec des zéros dans le fichier de sortie » : remplace les espaces par des zéros.
« Justifier les coordonnées à gauche » : les coordonnées x, y et z des points sont justifiées à gauche.
« Ecrire le code symbole » : cochez cette case pour que le code symbole soit ajouté à la fin des lignes de données pour les
points qui en possèdent un.
• « Nombre de décimales » : utilisez cette liste jaillissante pour spécifier le nombre de décimales pour l’écriture des coordonnées
dans le fichier de points.
Utilisez cette possibilité d’exportation du menu Export de l’éditeur de GéoBase pour créer un fichier Dxf version 12 à partir des
points calculés dans une GéoBase. Le fichier obtenu est compatible avec AutoCAD ®.
REMARQUE :
S’il n’y a pas de point sélectionné dans l’éditeur de GéoBase le radio-bouton « Uniquement les points sélectionnés » n’est
pas disponible.
2. Eléments à exporter
Des cases à cocher permettent d’inclure ou d’exclure des éléments du dessin :
• « Stations » : Insère un point dans le calque spécifié pour les stations. La couleur est celle du calque.
• « Références » : Insère un point dans le calque spécifié pour les références. La couleur est celle du calque. Si le point est
déjà inséré en tant que station il n’est pas inséré une seconde fois en tant que référence.
• « Points ray. » : Insère un point dans le calque spécifié pour les points de détail (Mesures). La couleur est celle du calque.
• « Visées Réf. » : Trace une ligne entre la station et le point de référence dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
• « Visées Pnt. » : Trace une ligne entre la station et le point de détail dans le calque spécifié. La couleur est celle du calque.
• « Flèches Réf. » : Dessine une flèche au milieu de la ligne station-référence dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
• « Flèches Pnt. » : Dessine une flèche au milieu de la ligne station-mesure dans le calque spécifié. La couleur est celle du
calque.
III.1. GÉNÉRALITES
Une GéoBase est un fichier texte (ASCII) contenant les informations de levé, de codification et les coordonnées des points dans un
format propre à COVADIS. Bien que ce fichier soit lisible et modifiable par tout éditeur de texte, un éditeur spécial (l’éditeur de
GéoBases) a été développé. Ce chapitre se propose de vous présenter les fonctionnalités propres à l’éditeur de GéoBase.
Chacun des calculs topométriques modifie la GéoBase courante (coordonnées des stations calculées, V0 des stations, coordonnées
des points de détail…).
Chaque ligne d’une GéoBase définit un élément particulier (station, référence, mesure, point, commentaire, …) et est composée
d’un numéro de ligne, du type de l’élément décrit, et des paramètres associés à cet élément. La colonne symbole quant à elle ne sert
qu’à remplir l’attribut code des points topographiques et ne joue aucun rôle lors de la génération du dessin (codification).
Pour lancer l’éditeur de GéoBases, sélectionnez l’option « Edition GéoBase » dans le menu Cov.Calculs ou tapez GEOEDIT2
sur la ligne de commande d’AutoCAD®. La dernière GéoBase utilisée (lecture de fichier carnet ou calcul) peut être chargée
automatiquement au démarrage de l’éditeur (voir options de l’éditeur § IV.3.1).
Le nom de la GéoBase courante (actuellement chargée) est toujours affiché dans la barre de titre de la fenêtre, le caractère « »
indique, s’il est présent après le nom, que la GéoBase a été modifiée depuis le dernier enregistrement (ou depuis le chargement).
L’éditeur de GéoBases peut être décomposé en trois zones principales : la barre de menus, la barre d’outils et la liste d’affichage.
Ces différentes zones sont décrites plus loin dans ce chapitre.
Il est possible de personnaliser la taille et l’emplacement de la fenêtre de l’éditeur, la police d’affichage de la liste, le nombre de
décimales affichées ainsi que la largeur des colonnes de la liste. Des couleurs différentes peuvent être choisies pour chaque colonne
ou chaque type de lignes (voir les options § IV.3.5).
REMARQUES :
Les différents messages générés par l’éditeur de GéoBase sont envoyés dans la fenêtre de texte d’AutoCAD ® (erreur lors du
chargement, modifications d’éléments, résultats de calculs…).
A une ligne de la GéoBase correspond en général une ligne de la liste d’affichage dans l’éditeur de GéoBase. Ceci n’est pas
vrai pour les cheminements de plus de huit stations et les polylignes qui font l’objet de plusieurs lignes dans le fichier
GéoBase.
Tous les calculs peuvent être effectués soit dans l’éditeur de GéoBases soit à partir du menu Cov.Calculs.
Les différents types d’éléments qu’il est possible de rencontrer dans une GéoBase sont décrits ci-après. Les icônes situées sous les
titres correspondent aux boutons de la barre d’outils de l’éditeur de GéoBase.
A chaque mise en station sur le terrain correspond une ligne Station dans la GéoBase.
Paramètres :
matricule du point stationné
hauteur d’instrument (HI), exprimée en mètres
V0 de la station (mettre –1.0 pour indiquer l’absence de valeur)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
Station <matricule> <HI>
Station <matricule> <HI> -1.0 <SY>
Station <matricule> <HI> <V0>
Station <matricule> <HI> <V0> <SY>
Exemples :
Station S.10 1.455
Station S.10 1.455 10
Station S.10 1.455 325.2658
Station S.10 1.455 325.2658 10
Les références sont des observations sur des points stationnés ou servant à orienter une station (clocher,
château d’eau…). Elles ne sont pas recalculées lors d’un calcul de points rayonnés mais sont nécessaires pour
un calcul de cheminement ou de rattachement altimétrique d’une station.
Paramètres :
matricule du point visé
hauteur de prisme (HP), exprimée en mètres
angle horizontal (AH), exprimé en grades
angle vertical (AV), exprimé en grades
distance inclinée (DI), exprimée en mètres (0.0 si non mesurée)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
Reference <matricule> <AH>
Reference <matricule> <AH> <SY>
Reference <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI>
Reference <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI> <SY>
Exemples :
Reference R.1 126.3887
Reference R.1 126.3887 20
Reference R.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954
Reference R.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954 20
Les mesures sont des observations sur des points de détails. Seules les mesures sont calculées lors d’un calcul
de points rayonnés.
Paramètres :
matricule du point visé
hauteur de prisme (HP), exprimée en mètres
angle horizontal (AH), exprimé en grades
angle vertical (AV), exprimé en grades
distance inclinée (DI), exprimée en mètres (0.0 si non mesurée)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
Mesure <matricule> <AH>
Mesure <matricule> <AH> <SY>
Mesure <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI>
Mesure <matricule> <HP> <AH> <AV> <DI> <SY>
Exemples :
Mesure M.1 126.3887
Mesure M.1 126.3887 20
Mesure M.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954
Mesure M.1 1.600 126.3887 99.6587 78.954 20
Un point dans la GéoBase contient les coordonnées. Cela peut être un point d’appui ou un point de détail. Le
seul lien avec les observations (mesures ou références) et les points matérialisés sur le terrain est le matricule
d’où l’importance de ce dernier.
Paramètres :
matricule du point
constance du point (CP) décrivant l’invariance des coordonnées :
0 : X, Y et Z modifiables
1 : X et Y invariants, Z modifiable
2 : X et Y modifiables, Z invariant
3 : X, Y et Z invariants
abscisse (X) du point (-999999.000000 si absente)
ordonnée (Y) du point (-999999.000000 si absente)
altitude (Z) du point (-999999.000000 si absente)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
Point <matricule> 2
Point <matricule> 2 <SY>
Point <matricule> <CP> <X> <Y>
Point <matricule> <CP> <X> <Y> <SY>
Point <matricule> <CP> <X> <Y> <Z>
Point <matricule> <CP> <X> <Y> <Z> <SY>
Point <matricule> <CP> <Z>
Point <matricule> <CP> <Z> <SY>
Exemples :
Point P.1 2
Point P.1 2 1
Point P.1 1 995415.256 1011258
Point P.1 1 995415.256 1011258.365 1
Point P.1 1 995415.256 1011258.365 140.254
Point P.1 1 995415.256 1011258.365 140.254 1
Point P.1 1 140.254
Point P.1 1 140.254 1
Lors d’un nivellement, une station de niveau commence toujours par une lecture arrière, le reste des
observations étant des lectures avant.
Paramètres :
matricule du point mesuré
lecture sur mire (LM) exprimée en mètres
distance horizontale (DH) entre le niveau et la mire en mètres (0.0 si non mesurée)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
NivLectAR <matricule> <LM>
NivLectAR <matricule> <LM> <SY>
Lors d’un nivellement, les lectures avant sont aussi bien des lectures sur points du cheminement que des
points de détails.
Paramètres :
matricule du point mesuré
lecture sur mire (LM) exprimée en mètres
distance horizontale (DH) entre le niveau et la mire en mètres (0.0 si non mesurée)
code symbole associé au point (SY)
Syntaxes :
NivLectAV <matricule> <LM>
NivLectAV <matricule> <LM> <SY>
NivLectAV <matricule> <LM> <DH>
NivLectAV <matricule> <LM> <DH> <SY>
Exemples :
NivLectAV N.1 1.546
NivLectAV N.1 1.546 30
NivLectAV N.1 1.546 36.388
NivLectAV N.1 1.546 36.388 30
D’autres commandes (interprétées celles-là) sont décrites en détails au chapitre VIII. Les trois commandes
d’excentrement (voir création d’une commande) sont des commandes de levé.
Paramètre :
valeur de l’excentrement (en mètres).
Syntaxe :
ExcentVer <valeur>
ExcentRad <valeur>
ExcentTan <valeur>
Exemple :
ExcentRad 0.50
liste des stations du cheminement, chaque station étant décrite par son matricule et son indice de reprise
(<matricule>-<reprise>)
Syntaxe :
CheminAntenne <matricule> <S1-R1> <S2-R2> … <Sn-Rn>
Exemple :
CheminAntenne C.4 S.18-1 S.17-1 S.16-1 S.15-1 S.14-1 S.4-1
REMARQUE :
Si un cheminement est composé de plus de huit stations, le programme écrira sa description sur plusieurs
lignes (pour des raisons de lisibilité) dans le fichier GéoBase. Le type et le matricule du cheminement
seront bien sûr les mêmes pour chaque ligne créée.
Un cheminement encadré définit une suite de stations dont les première et dernière stations devront être
connues en coordonnées au moment du calcul.
Paramètres :
matricule du cheminement.
liste des stations accompagnées du numéro de la reprise (<matricule>-<reprise>).
Syntaxe :
CheminEncadre <matricule> <S1-R1> <S2-R2> … <Sn-Rn>
Exemple :
CheminEncadre C.4 S.18-1 S.17-1 S.16-1 S.15-1 S.14-1 S.4-1
REMARQUES :
Si le cheminement est fermé, le programme ajoute automatiquement la première station à la fin.
Si un cheminement est composé de plus de huit stations, le programme écrira sa description sur
plusieurs lignes dans le fichier GéoBase.
Un appareil de terrain sert à corriger les observations de certains défauts de l’instrument de mesure.
Paramètres :
valeur de la collimation verticale (en grades),
valeur de la constante de prisme (en mètres),
valeur de la précision sur les angles horizontaux (en grades),
valeur de la précision sur les angles verticaux (en grades),
valeur de la précision absolue sur les distances (en mètres),
valeur de la précision relative sur les distances (en ppm),
nom de l’appareil.
Syntaxe :
Appareil <CV> <CP> <PAh> <PAv> <PDi> <PPM> <nom>
Exemple :
Appareil 0.00 0.00 0.005 0.005 0.005 5.0 Appareil Standard
Les photos prises lors d’un levé peuvent être mentionnées dans la GéoBase.
Paramètre :
Emplacement + nom du fichier de la photo
Syntaxe :
Photo <chemin complet de la photo>
Exemple :
Photo F:\Géobase\Exemple Leica\Img_TS0009_211015_145403.jpg
Une polyligne définit une suite de point (identifiés par leurs matricules) reliés entre eux par un type de
liaison (par défaut un segment droit).
Paramètres (1ères lignes) :
matricule de la polyligne.
liste des matricules de points accompagnés des types de liaison.
Paramètres (dernière ligne) :
matricule de la polyligne.
calque de la polyligne.
type de ligne de la polyligne.
couleur de la polyligne.
indication polyligne 2D ou 3D.
Syntaxe :
ExcentVer <valeur>
ExcentRad <valeur>
ExcentTan <valeur>
Polyligne <matricule> <mat. point> <liaison> <mat. point> <liaison>…
Polyligne <matricule> Proprietes <calque> <type ligne> <couleur>
<2D/3D>
Exemple :
000105 Polyligne 2 TS0001 ligne TS0002 ligne TS0003 arc TS0005 arc
La barre de menus contient les menus Fichier, Edition, Affichage, Lecture, Export, Calculs, Outils et Codification.
• Le menu fichier
Ce menu est utilisé pour la gestion des GéoBases : création, ouverture, enregistrement,
concaténation et écriture des fichiers listings. Les différentes options du menu sont décrites
ci-dessous.
• « Nouveau » : permet de créer une nouvelle
GéoBase vide nommée GeoBase.geo. Si la
GéoBase courante n’a pas été enregistrée, le
programme demande s’il faut l’enregistrer avant
de créer la nouvelle GéoBase. Si vous choisissez
« Annuler », la nouvelle GéoBase ne sera pas
créée.
• « Ouvrir… » : permet de charger une GéoBase existante. Si la GéoBase courante n’est
pas enregistrée, le programme vous demande s’il faut l’enregistrer avant de choisir la
GéoBase à ouvrir. Le choix du fichier à ouvrir est fait grâce à la boîte de dialogue de
sélection de fichiers.
• « Enregistrer » : permet de sauvegarder les modifications effectuées dans la GéoBase courante. Une option des calculs permet
de sauvegarder la GéoBase avant modifications avec une extension ‘gbk’.
• « Enregistrer sous… » : permet de sauvegarder la GéoBase courante sous un autre nom ou à un autre emplacement sur le
disque.
• « Enregistrer affichage sous… » : permet de créer une GéoBase contenant uniquement les éléments visibles de la liste. Le
nom de cette GéoBase vous est demandé par l’intermédiaire d’une boîte de sélection de fichiers. Cette GéoBase devient la
GéoBase courante. Cette commande permet, entre autres, d’extraire le réseau de polygonales en ne gardant que les points, les
stations et les références.
• « Concaténer… » : permet d’ajouter à la fin de la GéoBase courante
une autre GéoBase sélectionnée par l’intermédiaire de la boîte de
dialogue de sélection de fichiers. Cette commande permet entre autres
de compléter une GéoBase par un levé complémentaire.
Attention : les projections rattachées aux deux GéoBases doivent être
les mêmes. Dans le cas contraire, un message d’erreur apparaît et annule
l’opération. Il convient alors d’uniformiser les projections des deux
GéoBases (cf. § IV.7)
• « Imprimer la GéoBase… » : ouvre la GéoBase courante dans l’éditeur défini dans la configuration des listings pour les fichiers
textes en mode listing (cf. § IV.2.3). Si nécessaire, le programme demande confirmation pour l’enregistrement de la GéoBase.
Cette commande permet, entre autres, de faire des modifications sur le fichier GéoBase lui-même. Ces modifications supposent
une parfaite connaissance du format d’enregistrement d’une GéoBase. Il est ensuite nécessaire de recharger la GéoBase dans
l’éditeur de GéoBases pour tenir compte des modifications réalisées hors éditeur.
• « Imprimer le listing… » : crée un fichier sur le disque vous permettant d’imprimer la GéoBase courante telle qu’elle est affichée
dans l’éditeur de GéoBases (modifications non enregistrées incluses). Seuls les éléments affichés dans la liste seront présents
dans le fichier listing. L’éditeur utilisé pour visualiser ce listing est celui défini dans la configuration des listings pour les fichiers
au format Word (cf. § IV.2.3). Le nom du fichier listing est celui de la GéoBase suivi de « _lgb.rtf ».
• « Quitter » : cette option permet de sortir de l’éditeur de GéoBases et de revenir à AutoCAD ®. Si nécessaire, le programme
demande confirmation pour enregistrer la GéoBase.
REMARQUE :
Les noms des huit dernières GéoBases utilisées sont proposés dans le menu. Il suffit de cliquer sur un nom pour ouvrir la GéoBase
correspondante.
• Le menu édition
Ce menu propose des fonctions pour la modification, la suppression et l’ajout de nouveaux éléments
dans la GéoBase courante.
• « Annuler » : permet d’annuler la dernière action effectuée.
• « Rétablir » : permet de rétablir la dernière action annulée.
• « Modifier… » : permet de modifier l’élément sélectionné dans la liste d’affichage. Cette option
du menu n’est active que si un seul élément est sélectionné. Reportez-vous au paragraphe III.5
(Modifications des éléments) pour une description complète de la fonction.
• « Supprimer » : permet de supprimer tous les éléments sélectionnés dans la liste d’affichage. La
suppression ne sera effective qu’après confirmation.
• « Ajouter… » : permet d’ajouter un nouvel élément à la fin de la GéoBase. La sélection du type
de l’élément à créer se fait à l’aide d’une boîte de dialogue.
• « Insérer avant… » : permet d’ajouter un nouvel élément avant l’élément sélectionné dans la
liste d’affichage. Cette option du menu n’est active que si un seul élément est sélectionné. Le
choix du type de l’élément à créer se fait à l’aide d’une boîte de dialogue.
• « Insérer après… » : permet d’ajouter un nouvel élément après l’élément sélectionné dans la
liste d’affichage. Cette option du menu n’est active que si un seul élément est sélectionné. Le
choix du type de l’élément à créer se fait à l’aide d’une boîte de dialogue.
• Le menu contextuel
Dans la fenêtre de l’éditeur de GéoBase, un clic droit avec la souris affiche le menu contextuel ci-contre.
Les commandes disponibles dans ce menu dépendent des éléments sélectionnés.
• « Modifier… » : identique à un double clic sur un élément.
• « Supprimer » : permet de supprimer les éléments sélectionnés.
• « -> Référence » : transforme les mesures sélectionnées en références.
• « -> Mesure » : transforme les références sélectionnées en mesures.
• « -> Cercle à droite » : transforme une observation réalisée en cercle à gauche (Av > 200 gon) en une
observation en cercle à droite.
• « -> Lecture AV » : transforme les lectures arrière sur mire en lectures avant sur mire.
• « -> Lecture AR » : transforme les lectures avant sur mire en lectures arrière sur mire.
• « -> Invers. Chemin. » : inverse la définition des cheminements (ordre des stations)
• « -> Commentaire » : transforme les éléments sélectionnés en commentaires. Cette commande vous permet de « geler » les
éléments sélectionnés afin qu’ils n’entrent plus en compte dans les calculs. Les définitions de cheminement ne peuvent être
passées en commentaire.
• « Commentaire -> » : Tente de transformer les commentaires sélectionnés en éléments signifiants.
• « Ajouter… » : Demande de sélectionner un type d’élément à ajouter en fin de GéoBase.
• « Insérer avant… » : Insère un élément avant la ligne sélectionnée.
• « Insérer après… » : Insère un élément après la ligne sélectionnée.
• « Rechercher… » : Ouvre la boîte de dialogue de recherche d’un élément (par son matricule). Si une seule ligne est
sélectionnée, reprend le matricule de cette ligne et lance la recherche sur ce matricule.
• Le menu affichage
Ce menu permet d’activer et de désactiver l’affichage des différents types
d’éléments dans la liste.
Pour que les éléments d’un type donné soient visibles dans la liste d’affichage, il
suffit que l’option correspondante dans le menu soit cochée (symbole ✓ devant le
texte de l’option).
Exemple :
REMARQUES :
Ces options sont très intéressantes pour retrouver rapidement les éléments à modifier, ainsi que pour limiter la création d’un
fichier listing aux informations souhaitées (stations + références, par exemple) ou extraire un réseau de polygonales avec la
commande « Enregistrer Affichage sous… » du menu Fichier.
La couleur et la police de caractères des éléments présents dans la GéoBase peuvent être personnalisées (cf. § IV.3.5) pour
une visualisation optimale du contenu affiché.
• Le menu lecture
Ce menu permet d’effectuer des transformations de carnets terrain vers le
format GéoBase. Pour plus de détails, reportez-vous au chapitre I. Si la
GéoBase courante n’est pas vide une question vous est posée pour
compléter cette GéoBase ou pour en créer une nouvelle.
L’importation depuis une base de données (cf. § IV.4 et § I.15) n’est disponible que dans l’éditeur
de GéoBase. Cette fonction recherche dans la base de données spécifiée les coordonnées des
stations et références d’après leur matricule, et les ajoute à la GéoBase.
• Le menu export
Ce menu permet d’effectuer la transformation de la GéoBase
courante vers un autre format de fichier. Pour plus de détails,
reportez-vous au chapitre II. Ces commandes sont rigoureu-
sement identiques, que vous les lanciez depuis l’éditeur de
GéoBases ou depuis le menu Cov.Calculs dans AutoCAD®.
L’exportation vers une base de données n’est disponible que dans
l’éditeur de GéoBase. Cette fonction écrit, dans la base de
données spécifiée (cf. § IV.4), les coordonnées des stations et
références.
• Le menu calculs
Ce menu regroupe les différents calculs classiques. Pour plus de détails, reportez-vous au chapitre V dans lequel chaque calcul est
passé en revue. Les calculs s’effectuent dans la GéoBase en cours d’édition.
• Le menu outils
Ce menu regroupe des utilitaires de la GéoBase.
• « Visualiser la polygonation » : permet de faire apparaître à l’écran un croquis des visées avant tout calcul. Les points sont
calculés de proche en proche. Il est donc nécessaire de connaître au moins un point dont les coordonnées seront fixées et une
orientation (V0 ou deux points connus).
Il est possible d’afficher les matricules des points et les flèches indiquant le sens des visées. Une liste déroulante contient les
matricules des points qui n’ont pu être calculés.
Les coordonnées approximatives des points s’affichent quand le curseur de la souris passe dessus. La molette de la souris sert à
zoomer (rotation de la molette) et à se déplacer (rester appuyé et glisser).
Les stations et les références sont représentées avec des couleurs différentes selon qu’elles sont connues ou calculées.
Le bouton « Terminer » ferme la fenêtre d’affichage et retourne dans l’éditeur de GéoBase. Bien entendu, les coordonnées
approximatives des points n’ont pas été enregistrées dans la GéoBase. La taille de la fenêtre est identique à celle de l’éditeur de
GéoBase.
• « Cheminements auto. » : permet de rechercher des définitions de cheminements à partir des visées. La boîte de dialogue ci-
contre permet de donner un radical aux cheminements à créer et de choisir l’indice pour le premier cheminement. Il est aussi
possible de supprimer les cheminements existants.
Le principe de cette recherche est d’essayer de créer des cheminements encadrés
les plus courts possibles entre deux points connus. Les conditions sont identiques
à celles de la visualisation de la polygonation (minimum d’une station connue et
fixe en coordonnées et V0 connu).
Les mesures utilisées dans les définitions de cheminements sont automatiquement
transformées en références.
• « Créer tous les points » : permet de créer tous les points avec des coordonnées nulles. Le symbole rattaché à la mesure est
associé au point. Cette commande est utile pour savoir si tous les points rayonnés ont été calculés.
• « Contrôle des points doubles (code) » : permet de supprimer les points doubles ayant le même code (cf. § III.10).
• « Élimination des points doubles (matricule) » : permet de supprimer les points doubles de matricule (cf. § III.11).
• « Points triés à la fin » : permet de trier tous les points existants en fin de GéoBase. Le tri s’effectue sur le matricule. Cette opération
n’est pas conseillée s’il s’agit d’un levé en coordonnées (GPS…) codé car cela détruirait l’ordre du levé.
• « Points triés selon altitude » : permet de trier tous les points existants selon une altitude croissante. Cette opération n’est pas
conseillée s’il s’agit d’un levé GPS codé car cela détruirait l’ordre du levé.
• « Contrôle de précision (Arrêté 16.09.2003) » : effectue un contrôle du levé en application de l’Arrêté du 16 Septembre 2003
(cf. § III.12). Cet arrêté remplace les tolérances de 1980 et 1988.
• « Changement de système » : Cette nouvelle fonction permet de recalculer les coordonnées des points dans un nouveau
système de projection. Le paramétrage de la boîte de dialogue est expliqué au paragraphe III.13.
• « Réduction des reprises » : Il est parfois impossible de faire les
observations d’une station en une seule fois. L’équipe de levé revient
donc et effectue une reprise. Cela se traduira dans la GéoBase par deux
lignes de station de même matricule. La commande de réduction permet
de réduire ces deux reprises en une seule.
Vous pouvez cocher indifféremment une ou plusieurs des options
proposées dans le dialogue ci-contre, mais les règles suivantes sont
appliquées :
Seules les options cochées seront prises en compte.
Si vous cochez les trois premières options, le programme donne
priorité à la première puis à la seconde puis à la troisième
Vous pouvez demander d’effacer les stations et leurs
observations ayant fait l’objet d’une réduction.
Vous avez la possibilité de réduire les observations effectuées
en cercle à gauche. La moyenne avec les observations effectuées
en cercle à droite peut alors être effectuée.
Il est aussi possible d’intégrer les excentrements dans les
observations.
Les corrections d’appareils peuvent être intégrées dans les observations
• « Changement de Repère » :
Cette transformation effectue une translation et une
rotation planes à partir de deux points. Les points
doivent être connus en coordonnées dans les deux
repères. Vous pouvez choisir chacun des deux points
par leur matricule, les anciennes coordonnées étant
recherchées dans la GéoBase.
L’ensemble des fonctionnalités de cette boîte de dialogue facilite l’utilisation des données d’un levé de façade. Après chargement
du semis de points, vous obtenez un nuage de points disposés suivant le plan de la façade en vue de dessus
(schéma ). Vous pouvez projeter ces points sur le plan vertical de la façade (schéma ). Par une inversion des Y et des Z, vous
obtiendrez des points dans le plan XY (schéma ).
e
h 2 2 Projection perpendiculaire des points b
sur le plan de la façade
g
1 a b c d ef g h e h
z
y 1 2 y 1 2
y x x x
REMARQUE :
Vous pouvez également insérer le semis avec les véritables coordonnées et utiliser la commande Changement de repère du
menu Cov 2D/Points Topographiques qui est spécialisée dans le basculement de façade.
• Le menu codification
Ce menu regroupe les commandes permettant de traiter l’aspect codification d’un levé.
REMARQUE :
L’ordre des points dans la GéoBase et celui dans le fichier texte contenant les codes terrain doivent être identiques.
REMARQUE :
Cette commande n’est pas disponible dans le logiciel de Calculs Topométriques seul (sans AutoCAD ®).
La barre d’outils est constituée par des boutons permettant d’accélérer l’accès aux commandes principales de l’éditeur de GéoBases.
Il est effectivement plus rapide de cliquer sur un bouton que de dérouler un (ou plusieurs) menu(s).
Sur chaque bouton est dessinée une icône symbolisant la commande associée. Lors du passage de la souris sur une icône, un message
(info bulle) est affiché pour rappeler la fonction du bouton.
Les dialogues affichés pour la création des nouveaux éléments sont décrits au paragraphe III.6.
Impression de listing
Ce bouton correspond à l’option « Imprimer le listing » du menu Fichier.
Modification d’éléments
Ce bouton permet de modifier l’élément sélectionné dans la liste d’affichage. Il est aussi possible d’activer la fonction en
effectuant un double clic sur l’élément dans la liste. Cette fonction est décrite en détail dans le paragraphe III.5.
La modification d’un élément s’effectue dans une boîte de dialogue. Les points suivants sont communs à tous les éléments modifiés :
• Il est possible de déplacer un élément dans la GéoBase (et donc dans la liste d’affichage) en modifiant son numéro de ligne.
Cette opération doit être effectuée avec précaution car l’ordre dans lequel sont rencontrés les éléments lors des calculs est
déterminant pour les résultats.
• Chaque élément possède un matricule modifiable. Les matricules sont composés d’un radical alphanumérique facultatif
(3 caractères au maximum) et d’un indice numérique (de 1 à 999999). Le radical et l’indice peuvent être séparés par un point,
mais il n’est pas obligatoire (S1 et S.1 sont deux matricules différents). On dira que S.1 est un matricule pointé alors que S1 ne
l’est pas.
Exemples de matricules : 12, 1000, S.1, Ch.3, REF12, IGN.5645, P3.574…
• Suivant le type de l’élément et ses relations avec d’autres éléments, un ou plusieurs onglets seront ajoutés à la boîte de dialogue
de modification pour vous permettre de changer les informations rattachées à cet élément. Par exemple, si une station est aussi
connue en coordonnées, la boîte de dialogue de modification vous proposera un onglet pour la station levée et un onglet pour le
point associé.
Cliquez sur l’onglet « Visées » pour visualiser toutes les références et les
mesures visées depuis cette station. Cet onglet n’est disponible que pour les
stations n’ayant qu’une seule reprise.
Aucune modification n’est possible dans cet onglet.
REMARQUES :
Si la station a été reprise plusieurs fois, l’onglet « Station » sera
remplacé par plusieurs onglets « Reprise n », où n est l’indice de la
reprise.
Les propriétés des appareils ne sont pas modifiables. Seule la sélection
d’un autre appareil, défini dans les options, est autorisée.
La modification du matricule de la station n’entraîne pas automa-
tiquement la mise à jour du matricule du point associé. Ceci est
nécessaire pour pouvoir corriger d’éventuelles erreurs de saisie sur les
matricules.
La validation des modifications se fait par le bouton « OK ».
Si la case « Seul l’angle horizontal est mesuré » est cochée, les zones de
saisie permettant d’entrer la hauteur de prisme, l’angle vertical et la distance
inclinée seront désactivées. De plus, ces données seront supprimées lors de la
validation du dialogue.
REMARQUES :
Il est possible, dans l’éditeur de GéoBases, de transformer une Référence en Mesure (et inversement) en sélectionnant
l’élément dans la liste d’affichage avec le bouton droit de la souris. Choisissez alors l’option du menu jaillissant correspondant
à l’opération à effectuer : « →Mesure » pour transformer une référence en mesure ou « →Référence » pour transformer
une mesure en référence.
Si une référence est visée par plusieurs stations, le dialogue de modification affichera un onglet pour chaque visée.
REMARQUE :
Il est possible, dans l’éditeur de GéoBases, de transformer une Lecture
arrière en Lecture avant (et inversement) en sélectionnant l’élément dans
la liste d’affichage avec le bouton droit de la souris. Choisissez alors l’option
du menu conceptuel correspondant à l’opération à effectuer : « →LectAR »
pour transformer une lecture avant en lecture arrière ou « →LectAV » pour
transformer une lecture arrière en lecture avant.
REMARQUES :
Le type cheminement fermé n’est accessible que si l’option « Encadré » est sélectionnée.
Une station (+ reprise) ne peut apparaître que dans une des deux listes.
Il est possible d’inverser le sens d’un cheminement par le menu contextuel de l’éditeur de GéoBase.
• Option de l’Éditeur
Dans les options de l’Éditeur, vous pouvez activer ou
désactiver l’enregistrement des constantes de prisme dans la
GéoBase.
REMARQUE :
Les lectures des carnets (Leica et Trimble GDM) récupèrent
la constante de prisme.
Il est possible de réimmatriculer les éléments de levé (stations, références, mesures et lectures de nivellement) ainsi que les points
de la GéoBase.
Pour ce faire, sélectionnez l’option « Réimmatriculer… » du menu
Outils, puis choisissez l’onglet du dialogue de paramétrage correspondant
à l’opération à effectuer (voir l’exemple ci-contre) :
• L’onglet « Éléments du levé » permet de réimmatriculer les stations,
les références, les mesures et les lectures de nivellement.
• L’onglet « Points connus en coordonnées » permet de réim-
matriculer les points d’appui et les points calculés.
1. Éléments à réimmatriculer
Ce groupe de paramètres vous permet de sélectionner les différents
types d’éléments à réimmatriculer (en cochant la case corres-
pondante), d’entrer les nouveaux radicaux alphanumériques des
matricules et, éventuellement, de spécifier les indices de départ pour
les nouveaux matricules.
2. Paramètres généraux
Vous devez préciser dans ce groupe de paramètres la plage des
numéros de lignes à traiter (premier et dernier numéros de lignes),
ainsi que le mode de traitement des éléments :
• « Mettre à jour uniquement les radicaux alphanumériques » : si cette case est cochée, seuls les radicaux des éléments
dont le type est sélectionné seront modifiés. Si elle n’est pas cochée, vous pourrez indiquer les indices de départ pour la
renumérotation (dans le premier groupe de paramètres), à condition que la case « Faire suivre … » ne soit pas cochée.
• « Faire suivre les indices pour tous les éléments traités en commençant par la valeur : » : cette case n’est intéressante
que si les radicaux alphanumériques ne sont pas utilisés pour les matricules des points (numérotation simple). Dans ce cas,
si cette case est cochée, les éléments seront réimmatriculés à partir de l’indice donné, celui-ci étant incrémenté pour chaque
nouvel élément rencontré dans la GéoBase, tous types confondus.
REMARQUES :
La réimmatriculation est toujours faite sur l’ensemble des lignes
sélectionnées (plage de valeurs) dans la GéoBase et non sur les seuls
éléments affichés.
Pour réimmatriculer des lectures de nivellement, il suffit de cocher
la case « Mesures » dans le groupe de paramètres Éléments à
réimmatriculer (de l’onglet « Éléments du levé »).
Lorsqu’un élément doit être réimmatriculé, le programme recherche
tous les autres éléments possédant le même matricule (avant
modification) puis affecte le nouveau matricule à tous ces éléments.
Ces éléments ne seront plus modifiés par la commande de
réimmatriculation en cours.
Li et Lj représentent des numéros de lignes dans la GéoBase. Si et Si+1 sont le nom d’une station d’un cheminement et la station
suivante. Ch.n représente le nom d’un cheminement.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ptd’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
##############################################################################
# COVADIS CALCULS TOPOMETRIQUES - Traitement des points doubles #
##############################################################################
Nom de la GéoBase traitée : E:\COVADIS\Exemples\Calcul topométrique\Polygonales\Station.geo
Calculs effectués le : 27/10/2007 à 15:58:00
Tolérance sur les distances : 0.050 m.
Code pour les points doubles : 102
------------------------------------------------------------------------------------------------
| Point | X | Y | Z | dX m. | dY m. | dZ m. | Di m. |
------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.998 | 1149.998 | 155.000 | -0.001 | -0.001 | 0.000 | 0.002 |
| C.2 | 2190.000 | 1150.000 | 154.999 | 0.001 | 0.001 | -0.001 | 0.001 |
| C.3 | 2190.000 | 1150.001 | 155.000 | 0.001 | 0.001 | 0.000 | 0.001 |
------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.3 | 2189.999 | 1150.000 | 155.000 |
--------------------------------------------------------
Cette fonction supprime ou passe en commentaire les anciens points (ceux qui ont servi à calculer le point moyen) selon le choix
fait dans les options des calculs topométriques.
Outre l’élimination des points doubles suite au calcul des points rayonnés, cette fonction peut également servir à comparer les points
d’un projet avec ceux réellement implantés donc relevés à condition qu’ils portent le même code.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ptd’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
##############################################################################
# COVADIS CALCULS TOPOMETRIQUES - Traitement des points doubles #
##############################################################################
Nom de la GéoBase traitée : E:\Geo200x-7\Levé.geo
Calculs effectués le : 06/09/2005 à 11:34:28
Tolérance sur les distances : 0.050 m.
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| Point | X | Y | Z | dX m. | dY m. | dZ m. | Di m. |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.9980 | 1149.9987 | 155.000 | -0.0007 | -0.0005 | 0.000 | 0.0008 |
| C.1 | 2189.9980 | 1149.9985 | 155.000 | -0.0006 | -0.0007 | 0.000 | 0.0010 |
| C.1 | 2190.0000 | 1150.0004 | 154.999 | 0.0013 | 0.0012 | -0.000 | 0.0018 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.1 | 2189.9987 | 1149.9992 | 155.000 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.2 | 2189.9980 | 1149.9987 | 155.000 | -0.0014 | -0.0007 | 0.000 | 0.0015 |
| C.2 | 2190.0001 | 1149.9989 | 155.000 | 0.0008 | -0.0005 | -0.000 | 0.0009 |
| C.2 | 2190.0000 | 1150.0006 | 155.000 | 0.0006 | 0.0012 | 0.000 | 0.0013 |
-----------------------------------------------------------------------------------------------------
| C.2 | 2189.9994 | 1149.9994 | 155.000 |
----------------------------------------------------------
Cette fonction supprime ou passe en commentaire les anciens points (ceux qui ont servi à calculer le point moyen) selon le choix
fait dans les options des calculs topométriques.
Outre l’élimination des points doubles suite au calcul des points rayonnés, cette fonction peut également servir à comparer les points
d’un projet avec ceux réellement implantés donc relevés à condition qu’ils portent le même matricule.
Cette commande Contrôle de précision (Arrêté 16.09.2003) est accessible à partir du menu Outils de l’éditeur de GéoBase.
a) Le premier critère
L’écart moyen (la moyenne des écarts en position) ne doit pas être supérieur à la valeur limite calculée par :
b) Le second critère
Soit le premier seuil défini par :
c) Le troisième critère
Aucun écart en position ne doit dépasser le second seuil défini par :
1
Second seuil = 1,5.k .xx.1 + 2 en cm, k dépendant du type de contrôle
2C
Si les trois critères sont respectés, le bouton <OK> est accessible et le listing peut être fourni. Dans le cas contraire, vous ne
pouvez produire de listing qu’en appuyant sur le bouton « Annuler » et la mention «ATTENTION : ECHEC DU CONTROLE
!» y figure.
• Utilisation de la commande
Sélectionnez tout d’abord la GéoBase de contrôle en utilisant le
bouton de même nom. Cette GéoBase contient les coordonnées
précises des points de contrôle (matricules identiques aux points
levés).
Choisissez ensuite le type de contrôle (Z, XY ou XYZ) et saisissez
le coefficient C ainsi que la classe de précision (en mètre) à tester.
La case à cocher « Calculer la précision interne » permet de caler
préalablement les points sur les points de contrôle en faisant une
rotation et une translation. Cela ne modifie pas la géométrie du levé
et l’on s’affranchit ainsi des erreurs de rattachement. C’est donc la
précision interne du levé qui est alors évaluée.
Si un des critères n’est pas satisfait, un message est affiché. Le
bouton <OK> n’est alors pas disponible. Vérifiez les écarts en
position dans la colonne « Epos ». Il est peut-être possible de
désactiver le point présentant le plus grand écart en position en
cliquant sur la coche devant le matricule.
REMARQUE :
La GéoBase en cours d’édition n’est pas modifiée par cette commande.
Exemple de listing :
Point Ex m. Ey m. Ez m. Epos m.
S.1 0.000 0.000 0.00000 0.000
S.9 -0.020 0.000 -0.03000 0.036
S.11 0.000 0.000 0.00000 0.000
SUCCES DU CONTROLE
3. Mode de fonctionnement
Vous pouvez utiliser cette boîte de dialogue selon deux modes
distincts.
• « Saisie manuelle des coordonnées » : vous spécifiez la
projection de départ, les coordonnées à transformer (Est, Nord
et Altitude) et la projection d’arrivée. L’action sur le bouton
« Calculer » affiche les coordonnées transformées dans le groupe « Coordonnées dans le système d’arrivée ».
• « Calcul de tous les points de la GéoBase courante » : la projection de départ
est celle de la GéoBase en cours. Choisissez la projection d’arrivée et appuyez sur
le bouton « Calculer ». Tous les points de la GéoBase sont transformés.
L’information sur le système de projection est inscrite dans la GéoBase. Un
contrôle de la latitude des points est effectué et le message ci-contre apparaît.
REMARQUE :
Vous n’avez pas accès au bouton « Calculer » si l’une des projections est « Aucune » (pas de projection).
4. Grilles et altitudes
Ce groupe d’options permet d’activer ou de désactiver l’utilisation des grilles planimétriques et altimétriques. Certaines
transformations, pour gagner en précision, utilisent des grilles fournissant des valeurs interpolées pour les paramètres de la
transformation. C’est notamment le cas pour les passages du Lambert Zones en Lambert 93.
« Tenir compte de l’altitude » : Si cette option est sélectionnée, l’altitude des points est utilisée lors des calculs. Dans ce cas,
il est possible d’utiliser la grille altimétrique permettant le calcul de la hauteur au-dessus de l’ellipsoïde à partir de l’altitude du
point.
« Utiliser la grille planimétrique » : Si cette case est cochée, la grille fournissant Tx, Ty et Tz est utilisée lors du passage des
coordonnées cartésiennes du système1 vers les coordonnées cartésiennes du système2. Sinon ce sont les paramètres standards
qui sont utilisés.
Le fait de n’utiliser aucune des grilles revient à effectuer la transformation standard dans le logiciel CIRCE de l’IGN (France).
REMARQUE :
Si le système de départ est NTF (projections Lambert zone), et le système d’arrivée RGF93 (projection Lambert 93), le
programme commence par calculer les coordonnées cartésiennes approchées dans le repère lié à l’ellipsoïde GRS 80 en appliquant
les paramètres standards (TX = -168, TY = -60 et TZ = 320). Ensuite, il effectue la transformation des coordonnées cartésienne
vers les coordonnées géographiques, ce qui donne un point d’entrée dans la grille. Il est ensuite possible d’obtenir des paramètres
TX, TY et TZ plus précis en appliquant l’interpolation bilinéaire.
La grille altimétrique de l’IGN (raf09.mnt pour le continent et rac09.mnt pour la Corse) est un fichier dont voici un extrait :
• Algorithme de la conversion
Pour effectuer la conversion il est impératif de calculer les coordonnées géographiques (longitude, latitude et hauteur ellipsoïdale).
S’il y a un changement d’ellipsoïde (cas d’une transformation Lambert zone Lambert 93) il faut en plus convertir les coordonnées
géographiques en coordonnées cartésiennes. Le programme effectue ces transformations deux fois (une fois dans chaque sens). Le
diagramme suivant résume les différentes transformations effectuées.
IV.1. GÉNÉRALITÉS
Les options des calculs topométriques COVADIS vous permettent de paramétrer le fonctionnement des différentes parties qui
composent ce module. Les différents paramétrages s’organisent en sept onglets :
• paramétrage des listings produits par les calculs,
• paramétrage du fonctionnement de l’éditeur de GéoBases,
• paramétrage de la base de données pour les coordonnées des stations et références,
• paramétrage des calculs de stations et de points,
• définition des instruments utilisés (collimation et constante de prisme),
• choix d’une projection et calcul des corrections relatives au chantier,
• paramétrage des tolérances pour le nivellement direct,
• paramétrage des tolérances pour le calcul de polygonales.
Cette commande est exécutable soit à partir du menu COV.CALCULS soit à partir du menu OUTILS de l’éditeur de GéoBases soit
encore en tapant la commande CALCOPT dans AutoCAD®. Tous ces paramètres sont stockés dans le fichier CalTopo.ini pour une
part et dans la GéoBase pour le reste (tolérances et corrections).
Lors d’un calcul de points rayonnés, un contrôle systématique des V0 des stations est réalisé quand cela est possible (station visant
des références connues en coordonnées).
• « Faire apparaître le contrôle des V0 dans le listing » :
Quand un contrôle de V0 est possible, affiche un tableau de calcul du V0 si cette case est cochée.
• « Colonnes … » :
Les informations présentes dans les colonnes des tableaux du listing peuvent être choisies parmi N (numéro du point), X, Y, Z
(coordonnées calculées), HP (hauteur de prisme), AV (angle vertical), AH (angle horizontal), DI (distance inclinée), GI (gisement
de la visée), DH (distance horizontale) et CS (code symbole). Vous choisissez les informations désirées et leur ordre dans les
colonnes en renseignant la zone d’édition avec un séparateur virgule entre les éléments.
Cette option du menu Covadis 2D permet de paramétrer l’écriture des fichiers listings produits avec les différentes fonctions de
COVADIS (à de rares exceptions près).
2. Nombres de décimales
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les nombres de
décimales à utiliser pour les différents types de données écrites
dans les fichiers listings.
Il suffit de sélectionner une nouvelle valeur dans une liste
jaillissante puis d’enregistrer la configuration pour que la
modification soit prise en compte pour les futurs listings créés.
3. Police de caractères
Le bouton « … » de ce groupe de paramètres vous permet de
sélectionner la police de caractères à utiliser dans les listings au format
RTF (et uniquement ceux-ci).
Sélectionnez d’abord le nom de la police, ensuite le style de celle-ci
puis terminez avec la hauteur des textes (taille en points). Cliquez sur
le bouton « OK » pour valider votre choix.
De retour dans l’onglet des paramètres généraux, vous pouvez
constater que la zone de prévisualisation de la police a été mise à jour
(en bas du groupe de paramètres).Vous pouvez taper un autre texte
d’exemple dans cette zone si vous le désirez.
Cet onglet vous permet de spécifier les caractéristiques des pages de listing à imprimer. En fonction du type de listing sélectionné
(format RTF ou autres), la page de propriétés sera différente.
1. Marges
Entrez, dans les zones de saisie, les marges (en millimètres)
à prendre en compte pour la mise en page, ou utilisez les
boutons prévus à cet effet à droite des zones d’édition.
2. A partir du bord
Ces deux paramètres permettent de spécifier la position des
premières lignes d’en-tête et de pied de page. Les valeurs
doivent être inférieures aux marges haute et basse.
3. Format du papier
Vous pouvez sélectionner dans la liste jaillissante le format du papier d’impression. Trois formats fixes sont proposés : A5, A4 et
A3, ainsi qu’un format utilisateur pour lequel vous devez spécifier la largeur et la hauteur à l’aide des deux paramètres prévus à cet
effet (les valeurs sont à donner en millimètres).
4. Orientation
Vous pouvez modifier l’orientation du papier en choisissant l’option qui vous convient.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Il n’est pas possible de prévoir le nombre de lignes utiles dans un listing au format RTF, même connaissant tous les paramètres
de format, de mise en page et de police de caractères. Vous devrez donc indiquer le nombre de lignes maximum à utiliser
(entre la marge haute et la marge basse) dans les listings, à l’aide du paramètre « Nombre de lignes » accessible pour les
formats autres que RTF (voir ci-dessous).
1. Marges
Entrez, dans les zones de saisie, les marges à prendre en
compte pour la mise en page, ou utilisez les boutons prévus
à cet effet à droite des zones d’édition. Les marges à gauche
et à droite sont données en caractères (colonnes) alors que
les marges haute et basse sont données en lignes.
2. Format du papier
Le format du papier est à indiquer en nombre de colonnes
(largeur) et de lignes (hauteur). Le choix de l’orientation du
papier vous permet d’inverser les valeurs pour la largeur et
la hauteur du papier.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Utilisez le paramètre « Hauteur » pour spécifier le nombre maximum de lignes imprimables (sans tenir compte des éventuelles
marges haute et basse) pour les fichiers au format RTF.
%d remplacé par le numéro du jour (01 - 31), %#d pour supprimer le 0 de début
&f remplacé par le nom du fichier listing
&p remplacé par le numéro de page
&P remplacé par le nombre total de pages
%A remplacé par le nom du jour, %a pour le nom abrégé (lun., mar., …)
%B remplacé par le nom du mois, %b pour le nom abrégé (jan., fév., …)
%c remplacé par la date et l’heure en format abrégé (jj/mm/aa hh:mm:ss)
%#c remplacé par la date et l’heure en format complet (jour mois année, hh:mm:ss)
%H remplacé par les heures (00 - 24), %#H pour supprimer le 0 de début
%I remplacé par les heures (00 - 12), %#I pour supprimer le 0 de début
%m remplacé par le mois (01 - 12), %#m pour supprimer le 0 de début
%M remplacé par les minutes (00 - 59), %#M pour supprimer le 0 de début
%S remplacé par les secondes (00 - 59), %#S pour supprimer le 0 de début
%x remplacé par la date au format abrégé (jj/mm/aa)
%#x remplacé par la date au format complet (jour mois année)
%X remplacé par l’heure au format standard (hh:mm:ss)
%y remplacé par l’année sans le siècle (00 - 99), %#y pour supprimer le 0 de début
%Y remplacé par l’année avec le siècle
&& remplacé par le caractère &
%% remplacé par le caractère %
&l indique que le texte qui suit sera aligné à gauche (défaut)
&c indique que le texte qui suit sera centré
&r indique que le texte qui suit sera aligné à droite
Nous pourrions ainsi avoir comme résultat, dans le cas d’un listing au format RTF :
Zones de texte
REMARQUE :
Les calculs utiliseront néanmoins toutes les décimales.
Dans les fonctions de contrôle (cf. § III.10) et d’élimination (cf. § III.11) des points doubles, vous choisissez dans ce groupe d’options si
les points doubles sont transformés en commentaires ou s’ils sont simplement supprimés de la GéoBase.
Vous renseignez également la valeur de la tolérance sur le positionnement des points doubles et le code permettant d’identifier les points à
prendre en compte dans la fonction de contrôle des points doubles par code.
REMARQUE :
Pour des raisons de lisibilité il est préférable de choisir une police
isométrique (caractères de même largeur) telle que la police Courier. De
même, évitez les italiques.
Cet onglet n’est présent que sur les versions 32 bit de Covadis.
• « Contrôler le V0 des stations d’appui » : Permet de calculer un V0 de contrôle sur la ou les stations d’appui du cheminement. Si
le contrôle est hors tolérance, un message d’erreur est affiché. Les stations d’appui sont la première et la dernière pour un
cheminement encadré.
• « Affecter le V0 de contrôle aux stations d’appui » : Si le V0 de contrôle est correct, affecte cette valeur aux stations d’appui avant
tout calcul de cheminement.
• « Recalculer le V0 des stations après calcul des cheminements » : Une fois le calcul du cheminement effectué, il est possible
de recalculer les V0 des stations intermédiaires (non d’appui) en utilisant les références connues en coordonnées.
• « Utiliser uniquement les visées du cheminement » : Si l’option précédente est activée, permet de n’utiliser que les visées arrière
et avant pour recalculer le V0 après calcul du cheminement (sinon toutes les références connues sont utilisées).
• « Tenir compte des rattachements altimétriques des stations » : Si cette option est cochée, l’altitude de toute station visant des
références dont le Z est fixe (i.e. visée sur un repère NGF) sera calculée par rattachement. L’altitude ainsi obtenue sera considérée
comme fixe et donnera lieu à une fermeture altimétrique. Le calcul du rattachement apparaît dans le listing.
• « Tenir compte des V0 présents sur les stations intermédiaires (réorientations) » : Si cette option est cochée, toute station ayant
un V0 connu avant calcul sera considérée comme définitivement orientée. Cela implique qu’une fermeture angulaire sera
calculée.
• « Répartir la fermeture planimétrique par rapport aux longueurs des côtés » : Sinon la répartition se fait en parts égales, c’est-à-
dire par rapport au nombre de côtés du cheminement.
• « Utiliser la valeur du V0 de contrôle pour le calcul des points rayonnés » : Pour chaque station, un V0 de contrôle est
systématiquement calculé. Il est possible, grâce à cette option, d’affecter la valeur calculée à la station pour le calcul des points
rayonnés. La valeur utilisée pour le calcul des points rayonnés est de toute façon rappelée juste avant le tableau du calcul des
points.
• « HP = … interprété comme point sans altitude » : (avec HP = hauteur de prisme) : Les points dont l’altitude n’est pas à calculer
peuvent être signalés de plusieurs façons. Premièrement un code point sans Z peut être saisi sur le terrain lors du levé. Une
seconde façon de faire est de mettre une hauteur de prisme particulière à ces points. Dans la boîte de dialogue ci-dessus, c’est la
valeur zéro qui signifie que le point n’a pas d’altitude. Cette option n’est prise en compte que si la case est cochée.
• « Proposer aussi les points rayonnés » : Le calcul de triangulation propose par défaut tous les points calculables à partir de visées
d’intersection, de relèvement et de distance, ce qui inclut les points rayonnés (une visée d’intersection et une distance). Cette
option a pour but de filtrer ces points afin de ne pas surcharger la liste des points proposés.
• « Tenir compte de Hp » : Lors d’un calcul d’intersection vous pouvez tenir compte des hauteurs de prisme des visées en cochant
cette option.
• « Nom » :
Liste contenant tous les instruments définis et stockés dans
le fichier CalTopo.ini. Deux appareils ne peuvent avoir le
même nom. Un message d’avertissement apparaît alors.
• « Collimation verticale » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la valeur de la
collimation verticale exprimée en grades. Dans les calculs,
cette valeur s’ajoutera algébriquement aux angles verticaux.
• « Constante de prisme » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la valeur de la
constante de prisme exprimée en mètres. Dans les calculs,
cette valeur s’ajoutera algébriquement aux distances
inclinées.
• « Précision sur Ah » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les
angles horizontaux exprimée en grades. Cette valeur sera
utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les observations d’angles horizontaux
par rapport aux autres observations.
• « Précision sur Av » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les angles verticaux exprimée
en grades. Cette valeur sera utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les
observations d’angles verticaux par rapport aux autres observations.
• « Précision sur Di » :
Indique, pour l’appareil sélectionné, la précision sur les distances inclinées exprimées en mètres et ppm (parties par million).
Dans l’exemple affiché et pour une distance de 100 mètres la précision sera 0.005 + 0.000005 x 100 = 0.0055 mètres. Cette
valeur sera recalculée pour chaque visée et utilisée dans le calcul en bloc pour pondérer les observations de distances par rapport
aux autres.
Bouton servant à créer un nouvel appareil. Le programme donne un nom (Nouvel Appareil 1…) ainsi que des caractéristiques
par défaut que vous pouvez éventuellement modifier dans les différentes zones d’édition. Il est à noter qu’un contrôle sur le nom est
effectué. Il est donc impossible que deux appareils portent le même nom.
Bouton utilisé pour supprimer l’appareil en cours d’édition. L’ "Appareil Standard" ne peut être ni supprimé ni modifié.
• « Projection » :
Liste déroulante contenant les projections.
Le bouton permet de visualiser les caractéristiques de
la projection comme montré ci-contre. Il est rappelé le
système géodésique de référence et les paramètres
permettant de passer de l’ellipsoïde courant à l’ellipsoïde
international WGS 84. Tx, Ty, Tz (resp. Rx, Ry, Rz) sont
les translations exprimées en mètres (resp. rotations
exprimées en grades) des axes et d+1 est le facteur
d’homothétie. Les projections proposées par défaut ne
sont pas éditables. Vous pouvez créer vos propres
projections en cliquant sur le bouton . La projection
ainsi créée a les mêmes caractéristiques que la projection
courante au moment de la création. Cette manipulation
s’adresse à des spécialistes. Le bouton en forme de croix
supprime (si possible) la projection courante.
• « Calculer la correction pour chaque visée » :
Cette option permet, pour chaque distance observée, de
recalculer l’altération linéaire ainsi que la réduction à
l’ellipsoïde en utilisant les coordonnées de la station. Ceci
peut être nécessaire si l’étendue du chantier est importante
(les corrections n’étant plus homogènes sur l’ensemble du
chantier).
• « X moyen du chantier » :
Permet de saisir l’abscisse moyenne (en mètres) en vue
d’un calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Y moyen du chantier » :
Permet de saisir l’ordonnée moyenne (en mètres) en vue
d’un calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Altitude moyenne » :
Permet de saisir l’altitude moyenne (en mètres) en vue d’un
calcul pour l’ensemble d’un chantier (bouton
« Calculer ! »). Dans ce cas, l’option « Calculer la
correction pour chaque visée » doit être désactivée.
• « Altération linéaire » :
Zone d’édition de l’altération linéaire exprimée en mm/km.
Cette valeur est recalculée et mise à jour à chaque appui sur
le bouton . Le programme calcule, à partir des
coordonnées XY moyennes, les coordonnées
géographiques (longitude et latitude) correspondantes et un message d’erreur apparaît si le point moyen n’est pas dans le
domaine réservé à la projection.
Notez que si l’option « Calculer la correction pour chaque visée » est cochée, cette valeur est ignorée.
où Di est la distance inclinée mesurée, Dh la distance horizontale calculée et Av la distance zénithale mesurée (angle vertical).
La valeur de la correction de niveau zéro est calculée en appuyant sur le bouton , et s’exprime en millimètres par kilomètre.
Après avoir saisi les coordonnées moyennes du chantier, vous pouvez calculer automatiquement l’altération linéaire en appuyant
sur les boutons .
Les valeurs ne seront prises en compte qu’après validation sur le bouton « OK ».
IV.7.3. Utilisation
REMARQUES :
Le choix d’une tolérance n’a de sens que dans le cas des
cheminements fermés ou encadrés. Pour un cheminement
lancé, aucune qualification de la fermeture n’est possible.
Les tolérances fournies correspondent au cas où le nombre
de dénivelées au kilomètre serait supérieur à 16.
2
• pour le nivellement ordinaire : T = 36 N + N
16
4
• Cas de visées réciproques : T = 4 + (3 + L )2 sin 2 i + 40.L2 cos 2 i + L
2
T = Ti
2
(exprimée en centimètres), où Ti est la tolérance sur chaque dénivelée (visées réciproques obligatoires) ainsi que
la tolérance altimétrique des points de départ et d’arrivée.
Instruction du 1er juillet 1988 (11 G-1-88) canevas d’ensemble et cheminement de précision à longs cotés :
Canevas ordinaire Canevas de précision
Encadré
i = n −1 i = n −1
Fermeture plani.
i =0 i =0
Fermé
i = n −1 i = n −1
T = 16n + 40 Li en cm T = 16n + 5 Li en cm
2 2
i =0 i =0
Encadré
Fermeture angul.
T = 1.4 n en mgr
où T représente la tolérance,
Li est la distance rectiligne entre le point d’arrivée du cheminement et chaque sommet, exprimée en kilomètres,
n est le nombre de côtés du cheminement.
i = n −1 i = n −1
Fermeture plani.
i =0 i =0
Fermé
i = n −1 i = n −1
T = 160L + 260 Li + 30L en cm T = 16n + 160 Li en cm
2 2
i =0 i =0
Encadré
Fermeture angul.
T = 10 n en mgr T = 6 n en mgr
où T représente la tolérance,
Li est la distance rectiligne entre le point d’arrivée du cheminement et chaque sommet, exprimée en kilomètres,
L est la longueur du cheminement exprimée en kilomètres,
n est le nombre de côtés du cheminement.
V.1. GÉNÉRALITÉS
Ce chapitre traite des calculs topométriques. Le but des calculs topométriques est de calculer les coordonnées des points levés
relativement à un système géodésique et à une projection. L’utilisation de tolérances paramétrables permet de contrôler la précision
des points. Pour chaque calcul, un listing peut être produit, ce qui permet de garder une trace de celui-ci.
Les calculs suivants peuvent être effectués avec COVADIS :
calcul des coordonnées d'un point par intersection de visées,
calcul des coordonnées de points par intersection de visées et d’un plan vertical,
calcul des coordonnées d'une station par relèvement,
calcul des coordonnées d'une station par recoupement,
calcul des coordonnées d’une station décalée (excentrée),
calcul des coordonnées d’un point par triangulation,
calcul du V0 de stations,
calcul de cheminements polygonaux et de points nodaux,
calcul en bloc d’un réseau d’observations tachéométriques,
calcul des points de détail (rayonnés),
recalcul des nuages de points (fichiers PTS),
calcul de nivellement direct simple
calcul de nivellement par double station de niveau.
Pour tous les calculs il est possible de séparer la planimétrie de l’altimétrie grâce aux cases à cocher « XY » et « Z ».
Les résultats des calculs sont affichés dans la fenêtre de texte d’AutoCAD®. Vous pouvez voir les listings en appuyant sur la touche
<F2> avant de sauvegarder un calcul.
Concernant les calculs d’intersection, de relèvement, de recoupement et de triangulation le principe est le suivant :
• Un calcul est tenté chaque fois que l’on ajoute une visée.
• Calcul du point approché m (x, y ) et le v 0 approché de la station (relèvement, recoupement et triangulation uniquement) en
employant les visées les plus favorables parmi celles sélectionnées par l’utilisateur.
• S’il y a plus de visées sélectionnées que d’inconnues, la méthode des observations intermédiaires ou médiates (utilisant le
principe des moindres carrés) sera employée pour calculer les appoints dx , dy et dv0 (pour les relèvement, recoupement et
triangulation). Le point M ( X , Y ) définitif sera calculé par :
X = x + dx
Y = y + dy
V0 = v 0 + dv0
• Le calcul de l’altitude Z du point M suit les mêmes principes que le calcul en planimétrie. Si un angle vertical est mesuré,
l’altitude approchée z est d’abord calculée. Pour plus de deux angles verticaux mesurés, un calcul par la méthode des observations
intermédiaires est effectué pour arriver à l’altitude définitive.
• La méthode de calcul utilisée compense les inconnues (X, Y, Z, Vo) par l’intermédiaire des observations (ici les angles
horizontaux ou verticaux et les distances pour la triangulation) et permet d’extraire les erreurs moyennes quadratiques des
inconnues. Compte tenu du nombre souvent peu élevé d’observations, ces erreurs moyennes quadratiques sont à utiliser avec
précaution.
Les fonctions de calcul sont accessibles soit depuis le menu COV.CALCULS, soit directement depuis le menu Calculs de l’éditeur
de GéoBases.
Les options de COVADIS CALCUL (voir le chapitre IV) contiennent des paramètres pouvant influer sur les calculs. Il s’agit
essentiellement des paramètres de corrections et des contrôles de V0 de stations. Avant tout calcul, il est judicieux de vérifier que
les paramètres de corrections et tolérances sont corrects. Nous rappelons que ces paramètres (projection et tolérances) sont
enregistrés dans la GéoBase.
A l’issue du calcul des points rayonnés ou du calcul en bloc, la fonction « Chargement de semis » du menu COVADIS 2D permet
l’importation du semis de points dans AutoCAD® directement à partir de la GéoBase contenant les points calculés. Dans le cas où
des commandes de codification sont présentes, il existe une commande spécifique permettant de générer automatiquement le dessin
correspondant dans AutoCAD®. Cet aspect sera traité au chapitre suivant.
REMARQUE :
Si vous lancez les calculs depuis l’éditeur de GéoBase, vous n’aurez pas le bouton « GéoBase courante » permettant
d’indiquer la GéoBase de travail. C’est alors la GéoBase en cours d’édition qui fournit les éléments du calcul.
Les notations utilisées dans les différentes formules de ce chapitre sont les suivantes :
DI AB distance inclinée entre les points A et B,
DH B
A distance horizontale entre les points A et B,
G AB gisement de A vers B,
xA , y A , z A coordonnées approchées du point A
X A , YA , Z A coordonnées définitives du point A,
Vo A Vo de la station A,
DZ B
A dénivelée entre les points A et B,
AH M
A angle horizontal lu depuis la station A sur le point M,
AV AM angle vertical lu depuis la station A sur le point M.
REMARQUES :
En cas de visées surabondantes (>2) le point est calculé par la méthode des moindres carrés.
L’altitude du point sera calculée si au moins une station est connue en Z et si l’angle vertical a été mesuré lors de la visée sur
le point.
Il est possible de calculer plusieurs points à la suite sans sortir de la commande. Ne pas oublier d’enregistrer le calcul avant
de passer au point suivant.
Vous pouvez tenir compte ou pas de la hauteur de prisme des visées (cf. options de COVADIS CALCUL)
1. Choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs (possible uniquement hors de l’éditeur de GéoBase).
2. Choisissez le point à calculer dans la liste déroulante.
3. Choisissez les visées d’intersection sur le point à calculer parmi celles qui vous sont proposées.
4. Dès qu’un calcul est possible, le programme l’exécute et renseigne les coordonnées calculées.
5. Appuyez sur la touche <F2> du clavier pour visualiser le listing correspondant au calcul effectué (contrôle du calcul).
6. Appuyez sur le bouton « Enregistrer » pour stocker les coordonnées du point en mémoire.
7. Faites éventuellement le calcul pour d’autres points (étapes 2 à 6).
8. Appuyez sur le bouton « Fin + Listing » pour sauvegarder la GéoBase courante sur le disque ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant tous les calculs enregistrés.
9. Si le bouton « Fin + Listing » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé (ou complété dans
le cas d’un format ASCII). Pour imprimer le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de
COVADIS (voir § IV.2 pour le paramétrage des listings).
Un point approché est calculé par la moyenne des n-1 intersections de deux visées prises deux à deux parmi les n visées.
G BM = Vo B + AH BM
G AM = Vo A + AH AM
avec :
x M = X A + DH AM sin( G AM )
y M = Y A + DH AM cos(G AM )
REMARQUE :
Selon l’option des calculs, la hauteur de prisme peut ne pas être prise en compte dans ce calcul (HP = 0 dans la formule).
En cas de visées surabondantes (>3) les coordonnées planimétriques de la station sont calculées par la méthode des moindres
carrés.
Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer
un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par : Z M = z M + dz
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y et éventuellement Z). Compte tenu
du nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cin’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Calcul en planimétrie
Station Rep. X Y V0 AH El m
S.3 1 5856.015 3227.614 0.0999 143.4164 0.000
S.5 1 5976.996 3154.853 0.0999 323.4870 0.000
S.13 1 5896.211 3119.865 300.1000 121.1405 0.000
S.14 1 5959.433 3215.746 0.0999 254.2983 0.000
P approché : 5916.485 3178.358
P calculé : 5916.485 3178.358
EMQ (m) : 0.000 0.000
Calcul en altimétrie
Station Rep. Z HI HP Z Pt AV Ez m
S.3 1 102.703 1.671 1.500 103.361 99.6025 -0.000
S.5 1 102.001 1.673 1.500 103.361 98.8361 0.000
S.13 1 102.552 1.651 1.500 103.361 99.3234 0.000
S.14 1 102.809 1.597 1.500 103.361 99.4913 0.000
Z approché : 103.361
Z calculé : 103.361
EMQ (m) : 0.000
L’exemple de listing précédent présente un calcul d’intersection en mode RTF. Le premier tableau rend compte du calcul
planimétrique, le second rend compte du calcul altimétrique (avec compensation par la méthode des moindres carrés).
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § IV.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée d’intersection, exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée d’intersection et le point définitif, exprimé en mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
La commande CALINTPL permet de calculer les coordonnées de points visés sans distance (Di = 0 dans la GéoBase) comme
intersection de la visée et d’un plan défini par deux points connus planimétriquement. Cette commande peut être également lancée
depuis l’éditeur de GéoBase par le menu Calculs de l’éditeur.
La boîte de dialogue ci-contre permet d’effectuer les
calculs.
• « GéoBase courante » : ce bouton permet de
charger une autre GéoBase et n’est disponible qu’en
dehors de l’éditeur de GéoBase. Si des changements
ont été faits sur la GéoBase courante, ceux-ci
pourront être sauvegardés et le fichier listing pourra
être créé. Le choix de la GéoBase à charger est
effectué à l’aide du dialogue de sélection de fichier.
• « Station visante » : sélectionnez dans cette liste
jaillissante la station ayant effectué les visées sans
distance. Ses stations doivent être connues en
planimétrie et leur V0 doit être calculé. Si vous
sélectionnez une station se trouvant dans le plan
d’intersection, le message suivant est affiché.
REMARQUES :
Les calculs sont effectués automatiquement à chaque sélection d’une station ou d’un des points définissant le plan.
La distance de la station au plan, la distance entre les deux points définissant le plan et le gisement du plan sont affichés dans
la partie médiane de la boîte de dialogue afin de vous aider dans la sélection de la station et des points.
Il est possible d’enchaîner plusieurs calculs à la suite car l’enregistrement d’un calcul met à jour la liste des points disponibles
pour définir le plan.
Vous pouvez tenir compte ou pas de la hauteur de prisme des visées (cf. options de COVADIS CALCUL)
Ce type de calculs est utilisé pour relever des pylônes électriques ou des façades de bâtiment lorsque les points ne sont pas
mesurés en distance.
1. Choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs (possible uniquement hors de l’éditeur de GéoBase).
2. Choisissez la station ayant effectué les visées dans la liste déroulante correspondante.
3. Choisissez les deux points définissant le plan d’intersection.
4. Cochez ou décochez les points à calculer.
5. Appuyez sur le bouton « Enregistrer » pour stocker les coordonnées du point en mémoire.
6. Faites éventuellement le calcul pour d’autres points (étapes 2 à 5).
7. Appuyez sur le bouton « Fin + Listing » pour sauvegarder la GéoBase courante sur le disque ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant tous les calculs enregistrés.
8. Si le bouton « Fin + Listing » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé (ou complété dans
le cas d’un format ASCII). Pour imprimer le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de
COVADIS. (voir § IV.2 pour le paramétrage des listings).
La station étant connue en coordonnées et en orientation (V0), nous connaissons les gisements de chaque visée.
DH SM
zM = Z S + HI − HP + + na
tan( AVSM )
1er point Station
avec ZS, l’altitude de la station, HI et HP les hauteurs d’instrument
et de prisme. La correction de niveau apparent (na) est prise en
compte.
REMARQUE :
Point non
calculé Selon l’option des calculs, la hauteur de prisme peut ne pas être
prise en compte dans ce calcul (HP = 0 dans la formule).
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cip’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Matricule X Y Z Dh Code
630 5824.633 3461.467 101.674 203.6214
633 5927.791 3524.732 101.930 125.0963
638 6029.449 3587.077 98.283 137.3466
REMARQUES :
En cas de visées surabondantes (>3) les coordonnées planimétriques de la station sont calculées par la méthode des moindres
carrés.
L’altitude de la station sera calculée si au moins un point est connu en Z et si l’angle vertical a été mesuré.
Il est possible de calculer plusieurs stations, à la suite, dans la même commande.
1. Choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs (possible unique hors de l’éditeur de GéoBase).
2. Choisissez la station à calculer dans la liste déroulante.
3. Choisissez les visées de relèvement à prendre en compte dans les calculs.
4. Appuyez sur la touche <F2> du clavier pour visualiser le listing correspondant au calcul effectué.
5. Appuyez sur le bouton « Enregistrer » pour stocker les coordonnées de la station dans la GéoBase courante (en mémoire).
6. Faites éventuellement le calcul pour d’autres points (étapes 2 à 6).
7. Appuyez sur le bouton « Fin + Listing » pour sauvegarder la GéoBase courante sur le disque ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant toutes les modifications effectuées.
8. Si le bouton « Fin + Listing » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé. Pour imprimer
le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de COVADIS.
Le point approché est calculé sur trois visées. Le programme choisit ces visées pour obtenir le meilleur résultat possible :
• La première de ces visées est celle dont l’angle horizontal est le plus proche de zéro. Soit AH MA l’angle horizontal.
La deuxième est celle qui fait un angle le plus proche de 133 grades avec la première. Soit AH MB l’angle horizontal.
Enfin, la troisième est celle dont l’angle horizontal AH MC est le plus proche de 200 + ( AH MA + AH MB ) / 2 .
GBM = G AM + et GCM = G AM +
• Une moyenne de toutes les déterminations est effectuée pour obtenir l’altitude approchée. La distance DH MP peut être calculée
avec les coordonnées des points M et P.
• Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer
un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par :
Z M = z M + dz
REMARQUES :
Si les trois points visés et la station sont cocycliques, les résultats du calcul seront imprécis.
Aucune distance n’est requise pour ces calculs (visées sur clochers par exemple).
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y, V0 et éventuellement Z). Compte
tenu du nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘crl’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Dans le listing, les visées ayant servi au calcul du point approché sont identifiées par le caractère ‘*’ en mode texte et sont en gras
en mode RTF. Le choix des visées, pour ce calcul, s'effectue en fonction de la configuration afin d'obtenir le point approché le plus
probable.
Calcul en planimétrie
Matricule visée X Y V0 AH El m
R.1 5477.302 2977.797 399.7987 239.5680 -0.000
R.2 5342.248 3165.631 399.7987 281.6400 -0.003
R.3 5364.252 3309.198 399.8004 308.3290 0.004
R.4 5509.941 3428.027 399.8004 347.5175 -0.001
S.2 5770.275 3251.158 399.8004 112.5691 0.000
P approché : 5683.881 3268.159 399.7997
P calculé : 5683.887 3268.157 399.7999
EMQ (m/Gr) : 0.003 0.001 0.0003
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § V.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée de relèvement, exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée de relèvement et le point définitif, exprimé en mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
REMARQUES :
Si les données du calcul le permettent, une altitude est calculée.
On peut enchaîner plusieurs calculs sans sortir de la commande (pensez à enregistrer chaque calcul).
Le principe des moindres carrés est utilisé pour plus de trois visées (deux visées de relèvement et une d’intersection).
1. Choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs (disponible uniquement hors de l’éditeur de GéoBase).
2. Choisissez la station à calculer dans la liste déroulante.
3. Choisissez les points et les stations à prendre en compte.
4. Appuyez sur la touche <F2> du clavier pour visualiser le listing correspondant au calcul effectué.
5. Appuyez sur le bouton « Enregistrer » pour stocker les coordonnées de la station dans la GéoBase courante (en mémoire).
6. Faites éventuellement le calcul pour d’autres points (étapes 2 à 5).
7. Appuyez sur le bouton « Fin + Listing » pour sauvegarder la GéoBase courante sur le disque ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant toutes les modifications effectuées.
8. Si le bouton « Fin + Listing » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé. Pour imprimer
le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de COVADIS.
D C
• S’il y a des visées surabondantes, un calcul de compensation par les
moindres carrés est effectué. Les observations ne sont pas pondérées. Les inconnues de la compensation sont XM, YM et V0.
• Si au moins l’un des points visés ou stations visantes est connu en Z, l’altitude du point M est calculée comme suit.
• Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations altimétriques. Il est ainsi possible
de calculer un appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point M par :
Z M = z M + dz
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘crc’ et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Dans le listing, les visées ayant servi au calcul du point approché sont identifiées par le caractère ‘*’ et sont en gras en mode RTF.
Le choix des visées s'effectue en fonction de la configuration de façon à avoir la meilleure détermination possible du point.
Calcul en planimétrie
Matricule visée R X Y V0 AH El m
S.3 5856.015 3227.614 300.0001 43.5164 0.0000
S.5 5976.996 3154.853 299.9999 223.5870 0.0000
S.14 5959.433 3215.746 299.9999 154.3983 -0.0000
S.3 1 5856.015 3227.614 0.0999 143.4164 0.0001
S.5 1 5976.996 3154.853 0.0999 323.4870 0.0001
P approché : 5916.485 3178.358 300.0000
P calculé : 5916.485 3178.358 300.0000
EMQ (m/Gr) : 0.000 0.000 0.0001
Il est possible de demander l’affichage des tolérances et corrections employées pour le calcul (voir § IV.2).
La colonne intitulée « El m » est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre
le point définitif et la visée (relèvement ou intersection), exprimée en mètres.
La colonne intitulée « Ez m » est l’écart en altitude entre la visée (relèvement ou intersection) et le point définitif, exprimé en
mètres.
Si vous avez demandé la mise à jour du journal (voir § IV.2) les lignes suivantes y seront écrites :
Le journal permet de conserver une trace succincte des calculs effectués sur une GéoBase.
Soit la station 5018 à calculer à partir des points IGN.9050, IGN.9021, IGN.9105 et IGN.9042. La distance entre 5018 et IGN.9050
est observée.
a) Le programme affecte dans un premier temps les coordonnées de IGN.9050 à la station 5018.
b) Le V0 de la station 5018 est alors recalculé à partir des visées de référence.
c) Le programme calcule alors le gisement de 5018 vers IGN.9050 avec le V0 obtenu et l’angle horizontal 5018-IGN.9050.
d) Les nouvelles coordonnées de 5018 sont calculées à partir de celles de IGN9050, de la distance observée et du gisement
précédemment calculé.
e) Le programme reprend l’algorithme au point 2) jusqu’à ce que les coordonnées de 5018 ne varient plus.
f) Les coordonnées définitives de 5018 sont constituées de ces valeurs.
Le listing apparaît après chaque calcul dans la fenêtre de texte d’AutoCAD ® mais peut aussi être sauvegardé dans un fichier.
Seuls les résultats de la dernière itération apparaissent dans le listing. Un premier tableau rappelle les coordonnées des points connus
utilisés. Ensuite vient un tableau de calcul de V0 avec les écarts. Enfin, suivent les coordonnées planimétriques et altimétriques.
Calcul en planimétrie
Matricule X Y Gi DH
St exc. S.1 5683.887 3268.157 312.5108 5.010
St calc. S.1b 5688.801 3267.179
• « Annuler » : cliquez sur ce bouton pour abandonner les calculs en cours. Une des options permet de produire un listing des
calculs enregistrés (voir le chapitre IV) sans toutefois altérer la GéoBase.
Le programme commence par calculer des coordonnées en utilisant les six méthodes suivantes :
Le calcul de l’altitude du point s’effectue d’une façon analogue. Pour toutes les stations connues en altitude et pour lesquelles un
angle vertical a été mesuré, l’altitude est calculée par :
Une moyenne de toutes ces déterminations est effectuée pour obtenir l’altitude approchée de M. La distance DH SM peut être calculée
avec les coordonnées des points M et S.
Une compensation portant sur les angles verticaux est entreprise à partir de deux observations. Il est ainsi possible de calculer un
appoint dz permettant de calculer l’altitude compensée du point par :
Z M = z M + dz
La compensation permet le calcul d’erreurs moyennes quadratiques sur les inconnues (X, Y et éventuellement Z). Compte tenu du
nombre d’observations souvent peu élevé, ces EMQ sont à relativiser.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ctr’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Dans l’exemple précédent, les visées sont précédées d’une lettre indiquant s’il s’agit d’une visée d’intersection (I), de relèvement
(R) ou d’une distance (D). Le premier tableau rend compte du calcul en planimétrie et le second tableau rend compte du calcul
altimétrique.
La colonne intitulée El est l’écart linéaire de la visée par rapport au point définitif. Cette valeur correspond à la distance entre le
point définitif et la visée de relèvement exprimé en mètres.
La colonne intitulée Ea est la différence entre l’angle horizontal mesuré et celui calculé à partir des coordonnées définitives. Dans
le cas d’une distance, il s’agit de l’écart en distance traduit en angle.
La colonne intitulée Ez est l’écart en altitude entre la visée de relèvement et le point définitif exprimé en mètres.
1. Si la GéoBase courante n’est pas celle à traiter, choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs.
2. Choisissez la station dont vous voulez calculer le V0.
3. Si les coordonnées de la station n’ont pas été renseignées dans la GéoBase, saisissez-les dans les zones d’édition correspondantes.
Les coordonnées saisies seront enregistrées dans la GéoBase.
4. Si le V0 de la station doit être imposé (non calculé), entrez-le dans la zone d’édition puis passez au point n° 9, sinon passez au
point suivant.
5. Sélectionnez dans la liste les références à prendre en compte pour le calcul. Si les références choisies doivent être utilisées quel
que soit l’écart par rapport à la tolérance, cochez la case « Forcer l’utilisation des références choisies ».
6. Cochez la case « Pondérer par les distances » si cette méthode de calcul doit être utilisée.
7. Cliquez sur le bouton « Calculer » pour obtenir la nouvelle valeur du V0 de la station.
8. Appuyez sur la touche <F2> du clavier pour visualiser le listing correspondant au calcul effectué.
9. Appuyez sur le bouton « Enregistrer » pour stocker la valeur du V0 dans la GéoBase courante (en mémoire).
10. Faites éventuellement le calcul pour d’autres stations (étapes 2 à 9).
11. Appuyez sur le bouton « Fin + Listing » pour sauvegarder la GéoBase courante sur le disque ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant toutes les modifications effectuées.
12. Si le bouton « Fin + Listing » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé (ou complété).
Pour imprimer le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de COVADIS.
a. Pour chaque visée i, le programme calcule Voi (orientation calculée sur la visée i) par :
Voi = GSRi − AH Ri où G SRi est le gisement calculé par les coordonnées et AH Ri l’angle horizontal mesuré.
Vo =
Vo DH
i
Ri
S
Calcul de la moyenne pondérée par les distances horizontales DH SRi issues des coordonnées si la case
DH Ri
S
« Pondérer par les distances » est cochée, sinon calcul de la moyenne arithmétique.
• Si la case « Forcer l’utilisation des références choisies » est cochée, le programme calcule le V0 en tenant compte de toutes
les références sélectionnées dans la liste. Dans ce cas, le calcul est terminé et la valeur calculée est affichée dans la zone d’édition
correspondante.
• Si la case « Forcer l’utilisation … » n’est pas cochée, le programme compare chaque écart V0i-V0 à la tolérance (fonction du
nombre de visées et du type de canevas). Si au moins une visée est hors tolérance, la visée entraînant le plus grand écart sera
supprimée de la liste des références à prendre en compte, puis le calcul sera réitéré à partir du point a.
REMARQUES :
Si l'utilisateur veut conserver toutes les visées, il peut utiliser une tolérance personnalisée suffisamment importante pour que
toutes les visées soient toujours prises en compte, ou cocher la case « Forcer l’utilisation des réf. choisies ».
Si des éléments du type Mesure doivent être utilisés pour le calcul du V0, ils doivent obligatoirement être préalablement
transformés en éléments de type Référence (voir le paragraphe III.3.3).
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cv0’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Un premier tableau rappelle les coordonnées de la station et des références sélectionnées.
Le deuxième tableau concerne le calcul lui-même avec la mention des écarts.
La ligne « V0 avant le calcul » indique la valeur du V0 présent dans la GéoBase avant que les calculs ne soient effectués.
REMARQUES :
Pour les visées hors tolérance écartées du calcul, l’écart entre le V0i et le V0 final ainsi que la tolérance (fonction du nombre
de visées) sont rappelés en fin de listing.
Le programme compare, quand cela est possible, les distances horizontales et les dénivelées calculées (par les coordonnées)
avec les distances et dénivelées observées. Un message est affiché si l’écart est hors tolérance.
REMARQUES :
Pour le calcul des points nodaux, l’ordre des cheminements dans la
liste a de l’importance. En effet, si au moins deux cheminements en
antenne finissent par le même point, ce dernier sera calculé comme
point nodal
Toutes modifications, suppressions ou créations ne seront
sauvegardées dans le fichier GéoBase qu’une fois le calcul terminé.
2. L’onglet « Cheminement »
Cet onglet ressemble à la boîte de dialogue utilisée pour la création ou la
modification d’un cheminement.
• « Matricule » : permet de choisir le cheminement à modifier ou de
saisir le matricule du cheminement à créer.
• « En Antenne », « Encadré », ou « Fermé » : vous permet
de modifier ou de fixer le type du cheminement à modifier ou à créer.
• « Ajouter > », « Insérer > », « < Enlever », et « << Enlever
tout » : utilisez ces quatre boutons pour modifier ou créer la liste des
stations composant le cheminement considéré.
• « Nouveau » : permet de créer un nouveau cheminement.
• « Supprimer » : permet d’effacer la définition d’un cheminement de
la Géobase.
• « Enregistrer » : utilisez ce bouton pour valider les modifications apportées à un cheminement existant.
1. Si la GéoBase courante n’est pas celle à traiter, choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs.
2. Construisez la liste « Chemins à traiter » contenant les cheminements polygonaux à calculer.
3. Créez éventuellement de nouveaux cheminements en utilisant l’onglet « Cheminements » ou le bouton « Nouveau ».
4. Appuyez sur le bouton « Calculer » pour exécuter le calcul. Le bouton « Annuler » vous permet de sortir sans modification.
5. Le calcul terminé, le programme demande si les points calculés doivent être enregistrés dans la GéoBase.
6. Si vous avez répondu « Oui », le programme vous propose de créer le listing des calculs. Si le fichier listing existe déjà sur le
disque, une boîte de dialogue vous permet de choisir de compléter ou de remplacer ce fichier.
7. Pour imprimer le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de COVADIS.
Rattachements altimétriques :
Un rattachement altimétrique a les caractéristiques suivantes :
• une ou plusieurs visées de référence sur des points connus et invariants en Z.
• la station ne doit pas posséder de Z constant, sinon cette valeur serait prioritaire.
• le calcul des rattachements doit être activé dans les options (onglet Calculs, groupe Cheminement).
Le programme calcule dans ces conditions l’altitude de la station et en tiendra compte dans le calcul de l’altitude des autres
points.
Si plusieurs visées permettent un rattachement, le programme calcule une moyenne et indique des écarts (détection de fautes
possibles à ce niveau…).
REMARQUE :
Une comparaison de l’altitude calculée par rattachement avec l’éventuelle altitude présente est effectuée. Un message
d’avertissement est affiché si la différence est trop importante.
Exemple :
Soit le cheminement 1-2-3-4-5-6-7-8-9 dont les points Z6 Z9
Z3
3, 6 et 9 possèdent une altitude invariante. 2 8
4 6 9
1 3 5 7
Le programme calcule les cheminements suivants :
• cheminement altimétrique 3-2-1 calculé en antenne,
REMARQUES :
Ce découpage est automatique. Vous devez supprimer ou rendre variable l’altitude des points intermédiaires (avec
l’éditeur de GéoBases) si vous souhaitez recalculer les altitudes de ces points.
Un contrôle des fermetures de chaque tronçon par rapport aux tolérances calculées est systématiquement effectué.
La répartition des fermetures altimétriques s’effectue par rapport aux distances cumulées.
G NN −1 = G NN−1 200gr
et
V 0( N ) = G NN −1 − AH NN −1
K
Les poids de la pondération, sont calculés par : pi = 2 avec K une constante arbitraire et Ti la tolérance planimétrique
Ti
pour chaque cheminement.
Le V0 définitif est obtenu à partir des V0 calculés dont le programme fait la moyenne pondérée (poids pi déjà rencontrés).
Le programme recalcule les cheminements en encadré avec le point nodal définitif comme dernier sommet.
REMARQUES :
Les coordonnées X, Y (éventuellement Z) et le V0 des stations d’appui doivent être connus.
Les cheminements en antenne ne peuvent avoir qu’un seul point invariant. Il s’agit du point de départ.
Les observations entre sommets polygonaux doivent être réciproques.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘ccp’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Le listing suivant concerne un cheminement encadré avec rattachement altimétrique de la station S.5 sur la référence S.12.
Remarquez les lignes Constante(s) qui indiquent les éléments constants pour le calcul.
L’extrait de listing suivant concerne le calcul d’un point nodal. A la suite de ce calcul les cheminements C.1, C.2, C.3 et C.4 seront calculés en
considérant les coordonnées et le V0 de S.4 constants.
REMARQUE :
Plusieurs stations peuvent être calculées en même temps,
cela évite de lancer la commande plusieurs fois.
• « Stations calculables » : cette liste indique les matricules et reprises des stations disponibles pour le calcul.
• « Stations à calculer » : cette liste contient les matricules et reprises des stations à prendre en compte pour le calcul.
• et : ces deux boutons vous permettent d’ajouter une ou toutes les visées pour le calcul..
• et : ces deux boutons vous permettent d’enlever une ou toutes les visées du calcul.
• « Calculer » : permet d’effectuer le calcul des points rayonnés. L’onglet « Points rayonnés » apparaît automatiquement.
REMARQUES :
Pour une station, seules les Mesures sont calculées ;
les Références étant présumées connues en
coordonnées.
Les coordonnées calculées sont systématiquement
ajoutées en fin de GéoBase. Les points doubles sont
ainsi gardés et il convient de lancer l’élimination des
points doubles pour les contrôler.
Les points déclarés invariants dans la GéoBase avant
le calcul ne sont pas recalculés
Un contrôle du V0 des stations est réalisé avant de
calculer les points rayonnés.
1. Si la GéoBase courante n’est pas celle à traiter, choisissez la GéoBase dans laquelle seront effectués les calculs.
2. Sélectionnez les stations à calculer.
3. Cliquez sur le bouton « Calculer ».
4. La liste des points calculés est affichée. Si nécessaire, effectuez les modifications à l’aide des boutons « Supprimer » et
«Pas de Z ».
5. Appuyez sur le bouton « OK » pour sauvegarder les points calculés dans la GéoBase courante ou sur le bouton « Annuler » pour
quitter la fonction en ignorant toutes les modifications effectuées.
6. Si le bouton « OK » a été cliqué, le fichier listing correspondant aux calculs effectués peut être créé (ou complété). Pour imprimer
le fichier listing, utilisez l’option « Imprimer le fichier » dans l’un des menus de COVADIS.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cpr’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Le calcul du V0 de la station donne lieu à un tableau. Suit, ensuite, le tableau des points rayonnés pour lesquels les coordonnées, le
V0 et la hauteur instrument de la station sont rappelés.
REMARQUE :
A cause d’une limitation des outils de création des fichiers PTS, les points du nuage seront affichés en blanc.
Les calculs de nivellement sont séparés en deux commandes (CALNIVSM et CALNIVAR) selon que le cheminement est simple ou
en aller-retour. Dans les deux cas il est possible de traiter :
• les cheminements lancés (le point de départ doit être connu en Z),
• les cheminements encadrés fermés (retour sur le point de départ connu en Z),
• les cheminements encadrés (les deux extrémités sont différentes et connues en Z).
Le calcul des points de détail suit automatiquement celui des points du cheminement.
Les informations nécessaires dans la GéoBase sont de trois types :
• les lectures arrière (NivLectAR) qui débutent toute station de nivellement,
• les lectures avant (NivLectAV),
• les points connus (Point), qui peuvent être fixes ou non-fixes en Z.
REMARQUES :
Si un point est visé plusieurs fois dans une même station, seule la première occurrence rencontrée est prise en compte.
Dans la fenêtre de l’éditeur, les lectures arrière correspondent à la colonne de droite et les lectures avant à celle de gauche.
REMARQUES :
Pour un cheminement lancé, il n’y a pas de fermeture donc les dénivelées ne sont pas corrigées.
Lors de la constitution du cheminement, il est impossible de repasser par un point déjà sélectionné dans la liste.
Le numéro entre parenthèses placé avant le matricule du point correspond au numéro de ligne dans la GéoBase.
Les points du cheminement sont numérotés de 1 à N dans la suite. Chaque point est calculé en lancé à partir du précédent par :
Z i = Z i −1 + DZ ii−1 ce sont ces valeurs qui sont affichées dans la boîte de dialogue du calcul.
Pour un cheminement encadré ou fermé la fermeture F (reprise dans le listing) est calculée par :
N −1
F = DZ ii +1 + Z 1 − Z N cette fermeture ainsi que la tolérance calculée sont rappelées dans le listing.
i =1
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cns’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Ce premier exemple correspond à un cheminement encadré. La fermeture, la tolérance calculée et la correction appliquée sur
chaque dénivelée sont rappelées en fin de tableau.
REMARQUES :
Dans les listings, les points du cheminement sont soit en gras (format RTF) soit précédés du caractère ‘*’ (format texte).
Les tolérances sont définies dans les options du calcul et sont stockées dans la GéoBase.
Les points du cheminement sont numérotés de 1 à N dans la suite. Pour chaque couple de dénivelées aller et retour, une dénivelée
moyenne est calculée par la formule :
DZm = ( DZ 1 + DZ 2) / 2 ce sont ces valeurs qui sont affichées dans la boîte de dialogue du calcul.
Pour un cheminement encadré ou fermé, la fermeture F figurant dans le listing est calculée par :
N −1
F = DZm ii +1 + Z 1 − Z N cette fermeture ainsi que la tolérance calculée sont rappelées dans le listing.
i =1
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase et l'extension ‘cna’ en mode texte et ‘rtf’ en mode RTF (WordView).
Cet exemple correspond à un cheminement aller-retour encadré. Le premier tableau rappelle les observations tandis que le second
concerne le calcul lui-même. Les en-têtes des colonnes sont expliquées ci-dessous :
Calcul du cheminement
Matricule DZ 1 DZ 2 DZm DZc Z
2 10.050
3 0.750 10.800
1 0.492 0.490 0.491 0.491 10.541
16 0.110 10.651
7 0.200 0.200 0.200 0.200 10.741
10 0.300 0.300 0.300 0.300 11.040
19 0.310 11.350
14 0.460 0.460 0.460 0.460 11.500
13 0.550 0.550 0.550 0.550 12.050
Fermeture (m) : 0.001
Tolérance (m) : 0.013
Corr./portée (m) : -0.000
REMARQUES :
Dans les listings, les points du cheminement sont soit en gras (format RTF) soit précédés du caractère ‘*’ (format texte).
Les tolérances sont définies dans les options du calcul et sont stockées dans la GéoBase.
Le principe du calcul en bloc est illustré par Création de la liste des points intervenant dans les calculs :
l’organigramme ci-contre : • Points d’appuis
• Points avec observations redondantes
a) Choix des points de la compensation
Pour des raisons de gain de temps, le programme
ne traitera pas tous les points. En effet, seuls les Tentative de calcul des coordonnées
points surdéterminés produiront des contraintes approchées des points inconnus
au niveau des observations. Le programme met
dans une liste les points surdéterminés (au moins
deux observations sur ou depuis le point). Cette Elimination des points qui n’ont
liste comprend aussi les points d’appui fixes en pas pu être calculés
coordonnées.
c) Equations d’observations
Test de convergence
Chaque visée fournit une relation entre les
du calcul
valeurs observées et les inconnues
(coordonnées). Ces relations ne sont pas linéaires
car elles font intervenir des fonctions Coordonnées
trigonométriques. définitives et EMQ
En effectuant un développement limité de Taylor
d’ordre 1 autour des coordonnées approchées, le problème devient linéaire et donc beaucoup plus simple à résoudre.
Soit Lk = F ( X i , Yi , X j , Y j ) la relation théorique, non linéaire, entre l’observation Lk et les inconnues Xi, Yi, Xj et Yj (Lk peut être un
angle horizontal ou une distance horizontale). Les points Pi et Pj représentent la station et le point visé de l’observation.
La linéarisation fournit une équation simplifiée de la forme:
Lk = aX i + bYi + cX j + dY j (1)
Or les valeurs théoriques L, Xi, Yi, Xj et Yj sont inconnues. Seule la valeur observée l et les coordonnées approchées xi, yi, xj et yj sont
connues. Soient dxi, dyi, dxj , dyj et dl les appoints (inconnus) tels que :
Lk = l k + dl k
X i = xi + dx i
Yi = y i + dy i
X j = x j + dx j
Y j = y j + dy j
soit encore :
dlk = a.dxi + b.dyi + c.dx j + d .dy j + f k (2)
soit matriciellement :
dl = M .dx + F
Le programme calcule les coefficients a, b, c, d et fk. Chaque observation constitue ainsi une ligne dans les matrices M[a,b,c,d] et
F[fk]. Il y aura beaucoup plus d’équations que d’inconnues et on ne pourra pas résoudre d’une façon univoque ce système. Ces
équations sont multipliées par un coefficient de pondération pour se ramener à la même loi normale de distribution des erreurs
accidentelles.
Les poids des observations sont calculés à partir des précisions des instruments données dans le dialogue de paramétrage.
d) Equations normales
Ce sont les équations définitives obtenues en écrivant le principe des moindres carrés :
Cette condition est réalisée si chaque dérivée partielle par rapport aux inconnues est nulle. Soit encore :
(
dl k
2
)=0
(dx i )
Ceci produira autant de nouvelles équations linéaires qu’il y a d’inconnues dans le réseau. Ces équations sont dites normales. Les
inconnues ne sont plus les coordonnées mais les appoints. Les coefficients de ce système sont rangés dans la matrice normale N.
Une fois les appoints sur les inconnues calculés, les appoints sur les observations sont recalculés à l’aide des équations d’observations
(2).
p dl
2
Mq 0 =
k k où n est le nombre d’observations, q le nombre d’inconnues et p k le poids de l’observation.
n−q
Pour qu’un calcul soit possible, il faut connaître quelques points fixes (au moins une station avec son V0) en coordonnées afin de
caler le réseau.
Il est aussi possible de calculer un cheminement lancé, bien qu’il n’y ait pas d’observations redondantes. Pour ce faire, il suffit de
fixer les coordonnées de la première station et de spécifier son V0 dans la GéoBase.
De plus il faut suffisamment d’observations pour calculer les coordonnées approchées des points et assurer l’homogénéité du réseau.
La recherche de fautes peut être entreprise à partir du tableau comparatif entre les observations effectives et recalculées.
Le fichier listing a le même nom que la GéoBase avec l'extension ‘cbl’. Il est composé de plusieurs tableaux :
• Observations brutes réduites : observations réduites à l’horizontale, intégrant les éventuels excentrements et les corrections
d’appareils.
• Coordonnées approchées : rappel des coordonnées approchées. Les colonnes fxy et fz indiquent si les coordonnées XY ou Z sont
fixes (O) ou variables (N).
• Résidus sur les observations réduites (avant compensation) : contient une comparaison des observations réelles et recalculées
avec les coordonnées approchées. Ce tableau permet de détecter des fautes et incohérences grossières. Les observations sont de
trois types. ANGU désigne des angles horizontaux, DIST des distances et ALTI des angles verticaux (les écarts angulaires sont
traduits en distances).
• Tableau des coordonnées compensées avec les Erreurs Moyennes Quadratiques (EMQ) sur les inconnues. Pour les points
stationnés, le V0 définitif est indiqué.
• Résidus sur les observations réduites (après compensation) : ce tableau est le même que celui indiqué avant compensation mais
les observations ont été recalculées avec les coordonnées définitives compensées.
• Ellipses de confiance : pour chaque point compensé, les caractéristiques des ellipses de confiance indiquées sont le gisement du
demi-axe X, la valeur du demi-axe noté X et celle du demi-axe noté Y. Ce tableau n’apparaît que si la case de calcul des ellipses
a été cochée lors du paramétrage.
COORDONNEES APPROCHEES
Station Rep. X Y Z V0 fxy fz
S.1 1 2000.000 1160.000 153.500 300.0000 N N
S.2 1 2069.999 1210.000 153.000 15.0010 N N
S.3 1 2150.000 1220.000 154.500 356.1000 N N
S.4 1 2260.000 1210.000 156.000 1.3576 N N
S.5 1 2340.000 1220.000 157.500 5.4501 N N
...
C.1 2189.998 1149.999 155.000 N N
R.4 2500.000 1200.000 O N
R.6 2450.000 1000.000 O N
R.5 2200.000 900.000 O N
Observations altimétriques :
Type Station Rep. Point Obser. Calc. Ec.(m)
ALTI S.1 1 S.2 100.3700 100.3704 -0.0004
ALTI S.1 1 S.7 99.6332 99.6335 -0.0003
ALTI S.2 1 S.1 99.7417 99.7421 -0.0004
ALTI S.2 1 S.3 98.8560 98.8563 -0.0003
ALTI S.3 1 S.2 101.1448 101.1452 -0.0004
ALTI S.3 1 S.4 99.1067 99.1072 -0.0005
ALTI S.3 1 C.1 100.8294 100.8297 -0.0003
...
ALTI S.8 1 C.1 100.7446 100.7449 -0.0003
ALTI S.7 1 S.8 99.6502 99.6505 -0.0003
ALTI S.7 1 S.1 100.4891 100.4894 -0.0003
Observations altimétriques :
Type Station Rep. Point Obser. Calc. Ec.(m) Poids
ALTI S.1 1 S.2 100.3700 100.3717 -0.0017 1.00
ALTI S.1 1 S.7 99.6332 99.6324 0.0008 1.00
ALTI S.2 1 S.1 99.7417 99.7408 0.0009 1.00
ALTI S.2 1 S.3 98.8560 98.8515 0.0045 1.00
...
ALTI S.8 1 C.1 100.7446 100.7359 0.0087 1.00
ALTI S.7 1 S.8 99.6502 99.6573 -0.0071 1.00
ALTI S.7 1 S.1 100.4891 100.4906 -0.0015 1.00
Ecart maximal en angle AV de S.9 1 sur S.8 = -0.0135 m.
Ecart maximal en angle AV de S.8 1 sur S.9 = 0.0129 m.
Ecart maximal en angle AV de S.10 1 sur S.12 = -0.0095 m.
VI. GÉOCODIFICATION
VI.1. GÉNÉRALITÉS
La géocodification COVADIS permet d’automatiser la création d’un plan topographique en codant les points lors du levé.
Le principe est de croiser une GéoBase (codée et préalablement calculée) avec une table de codes afin d’obtenir le dessin du levé.
La table de codes fait le lien entre les codes et les objets dessinés (calque, symbolique…).
Les caractéristiques principales de la codification COVADIS sont les suivantes :
• Codes alphanumériques : personnalisables et stockés dans une table de codes.
• Multicode : un point levé peut avoir plusieurs codes donc servir à plusieurs objets.
• Répétition automatique : vous dispense de ressaisir le dernier code utilisé si votre appareil de levé ne le propose pas.
Il existe dix familles de types de codes, détaillées dans le chapitre VII, se distinguant par la nature des objets AutoCAD® générés :
• Les points topographiques : insertion de points topographiques COVADIS.
• Les symboles : insertion de symboles sous la forme d’un bloc AutoCAD ®.
• Les polylignes : dessin de formes géométriques carrées, circulaires ou rectangulaires.
• Les liaisons : dessin de polylignes passant par des points levés.
• Les escaliers : dessin du contour et des marches d’escaliers.
• Les marquages : dessin de passages piétons et vélos en levant les quatre coins.
• Les textes : insertion de textes.
• Les attributs : pour gérer l’ajout ou l’occultation d’attributs sur les points topographiques ou les symboles.
• Les divers : regroupe les codes d’accrochage sur polyligne ou point topographique.
• Les constructions : permettent de construire géométriquement des points inaccessibles.
Un code terrain est une chaîne de caractères alphanumérique (Exemples : ar1, 45, trottoir, perp, 1, 0, 4512a). L’utilisateur choisira
les codes terrain les mieux adaptés aux possibilités de l’appareil de terrain utilisé (type de clavier, structure du fichier carnet), le but
étant de saisir un minimum de caractères sur le terrain afin de gagner du temps.
Les codes saisis peuvent être accompagnés de paramètres, d’un suffixe (pour les liaisons) ou d’un préfixe.
Un suffixe est un caractère, ajouté au code, qui indique le rôle du point dans la polyligne. Il y aura un caractère pour signaler le
début de la polyligne et un caractère différent pour les points suivants.
Le préfixe permet de modifier la position du point levé pour les codes Liaison, Symbole d’entrée et Construction perpendiculaire.
Les paramètres permettent de saisir des informations (le plus souvent relatives aux dimensions de l’objet levé) telles que le diamètre
d’un arbre, une largeur de marche, etc. Les paramètres sont généralement saisis sur le premier point.
Pratiquement, les codes sont écrits selon le carnet électronique soit dans des infos (Leica) soit dans une chaîne de caractères (Trimble
GDM et autres). Dans ce dernier cas, vous utiliserez un caractère spécial pour séparer les codes entre eux et un autre caractère pour
séparer les codes de leurs paramètres. Ce sont les séparateurs de codes et de paramètres.
REMARQUE :
Dans un fichier brut de carnet, les lignes de codes peuvent être placées avant ou après la ligne de mesure. Dans la GéoBase, les
codes apparaissent toujours avant la mesure sur laquelle ils portent.
Exemple : Lever un arbre et son entourage pour un appareil de type Trimble GDM.
Point levé et
codé 10;20+170
Représentation désirée : l’entourage est assimilable à un cercle de rayon 1.700 m ; l’arbre sera
représenté dans le dessin par un bloc AutoCAD ®.
Table de codes :
Les éléments suivants ont été définis :
- Le code 10, de type « Symbole non orienté » (page VII-7), permettra de lever l’arbre.
- Le code 20, de type « Cercle par centre+rayon ou centre+point » (page VII-25), servira
pour lever l’entourage. Le rayon du cercle sera le paramètre du code 20 en centimètres.
- Séparateur de codes : ;
1.700
- Séparateur de paramètres : ± (les deux caractères + et – sont séparateurs de paramètres)
Sur le terrain : il suffit à l’opérateur de lever le point au centre du parterre en le codant 10;20+170
Représentation désirée : le trottoir est une polyligne habillée d’une symbolique linéaire et l’avaloir est un symbole levé par deux
points.
Le levé : L’opérateur lève les points 1 à 5 avec les codes figurant sur le schéma ci-avant. La GéoBase résultante est :
…
000005 Liaison Code = 100 Débute la polyligne représentant le trottoir. Ce code s’applique à la mesure suivante donc au point 1.
000006 Mesure 1 HP = 1.600 , … Point 1.
000007 Mesure 2 HP = 1.600 , … Point 2. Puisque ce point n’est pas codé et que le code 10 est en répétition auto, le programme devrait lui
attribuer le code 100. Au lieu de cela il utilisera le code 103 pour continuer la polyligne et joindre 1 à 2.
000008 Sym_2Pt_EX Code = 20 Code pour débuter l’avaloir. S’applique à la mesure suivante donc au point 3.
000009 Liaison Code = 103 Code pour la polyligne. S’applique aussi au point 3. Le programme joindra 2 à 3.
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , … Point 3.
000011 Mesure 4 HP = 1.600 , … Point 4. Puisque ce point n’est pas codé, le code 10 se répète avec le suffixe 3. Le code 20 se répète également
sur ce point car il attend un second point de construction.
000012 Mesure 5 HP = 1.600 , … Point 5. Le code 10 se répète sur ce point avec le même suffixe. Le code 20 n’attend plus de point et ne se …
répète pas.
Si les codes 10 et 20 n’étaient pas déclarés en répétition, il aurait fallu coder ainsi :
…
000005 Liaison Code = 100
000006 Mesure 1 HP = 1.600 , …
000007 Liaison Code = 103
000008 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000009 Sym_2Pt_EX Code = 20
000010 Liaison Code = 103
000011 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000012 Sym_2Pt_EX Code = 20
000013 Liaison Code = 103
000014 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 103
000016 Mesure 5 HP = 1.600 , …
…
On constate que c’est plus long que la version avec répétition automatique.
La plupart des codes dessine un point topographique au point levé. Chaque code utilise la définition de point topographique (fichier
d’extension ‘bpt’) que vous lui avez spécifiée (cf. § VIII.5.3).
Le bloc point topographique inséré vérifie les règles suivantes :
• Règle n°1 : les points topographiques sont toujours insérés aux coordonnées présentes dans la GéoBase.
• Règle n°2 : un seul point topographique est inséré par matricule.
• Règle n°3 : si un point levé supporte plusieurs codes, le point topographique inséré est celui du premier code.
• Règle n°4 : un point réellement non codé (pas de répétition de code) utilisera le point topographique défini pour les points non
codés.
Exemple :
La façon de coder sur le terrain est alors différente ; ce qui est constatable dans l’extrait de la GéoBase fournie :
Dans la colonne du milieu figurent les codes supportés par les mesures. La notation (ra) signifie que le code concerné a été transmis
par répétition automatique.
Dans la colonne de droite est indiqué le point topographique utilisé.
Les points levés sur le terrain ne suffisent pas toujours à caler un objet. Par exemple, les bordures de trottoir sont levée par le fil
d’eau, les murs sont levés du côté public et non privé, etc.
La convention de levé, propre à chaque code (cf. § VIII.5.7), indique au programme comment dessiner les objets :
Objets levés par leur gauche (Sens Topo) Objets levés par leur droite (Sens Trigo)
Ces deux schémas illustrent un même levé avec des conventions différentes. Il est conseillé de choisir la même convention de levé
pour tous les codes même si le mélange des genres est possible.
Dans l’éditeur de GéoBase, les commandes de géocodification portent sur les observations (Mesure, Référence, Station ou Point)
immédiatement placées après. L’ordre des commandes par rapport aux observations sera toujours le même dans l’éditeur, quel que
soit l’ordre adopté sur le terrain (« code avant la mesure » ou « code après la mesure »).
Les commandes peuvent apparaître dans l’éditeur de GéoBase sous deux formes:
• Soit sous forme interprétée (Exemple : 000005 Liaison Code = 103, Epaisseur = 0.200 …).
• Soit sous forme non interprétée (Exemple : 000005 Commande 103+20 …).
Fonction : Dessine un point topographique dont l’orientation est celle du système de coordonnées générales (SCG) si non
orienté sur une polyligne proche.
Intitulé GéoBase : PT_Sans_Ori Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
Exemples :
Le point 1 est un point non codé qui utilise une définition de point topographique avec un attribut ALT. Les points 2 et 3, codés
10, utilisent une définition sans attribut ALT.
Fonction : Permet de lever un point topographique dont l’orientation des attributs est définie par deux points codés
définissant l’orientation des points topo (cf. § VIII.1.3).
Intitulé GéoBase : PT_Avec_Ori Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
Fonction : Permet de définir l’orientation des attributs des points topographiques avec orientation (cf. § VIII.1.2).
Intitulé GéoBase : Def_Ori_PT Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
Exemple :
Les points 1 et 2, codés 9, définissent une base d’orientation, qu’adoptent les attributs du point topographique inséré au point 3.
Le point 4 permet de définir une nouvelle orientation (2 vers 4) qu’utilise le point 5.
GéoBase :
000001 Def_Ori_PT Code = 9
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Def_Ori_PT Code = 9 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 PT_Avec_Ori Code = 11 104.22
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 4
000007 Def_Ori_PT Code = 9 1
104.24
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20
000009 PT_Avec_Ori Code = 11
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Fonction : Remet à zéro l’orientation pour les points topographiques avec orientation à venir (cf. § VII.1.2).
Intitulé GéoBase : Annul_Ori_PT Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
Exemple :
Le point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des points topographiques.
Ainsi le point topographique orienté suivant est inséré sans orientation (parallèle au SCG).
GéoBase :
000001 Def_Ori_PT Code = 9
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
2
000003 Def_Ori_PT Code = 9
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 104.22
000005 PT_Avec_Ori Code = 11 4
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 1
000007 Annul_Ori_PT Code = 12 104.20 104.24
000008 PT_Avec_Ori Code = 11
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des points sur la polyligne la plus proche
ajoutée dans la version 10 de COVADIS.
Les symboles à l’échelle sont stockés dans les répertoires d’échelle (50, 100, 200…) de COVADIS. Ces symboles sont destinés à
être insérés dans un dessin avec les échelles en X et en Y égales à 1 car ils ont déjà la bonne taille pour l’impression à l’échelle
considérée.
Les symboles génériques sont stockés dans le répertoire « Générique » de COVADIS. Ils sont généralement définis dans un carré
de 1 mètre sur 1 mètre ou un cercle de diamètre égal à 1 mètre. Ces symboles sont, par exemple, utilisés pour dessiner des plaques
levées par trois points.
Il est évident que pour dessiner un symbole mesurant A par B avec un symbole
générique (a = 1 et b = 1) il faut avoir EchX = A et EchY = B.
Les symboles dits composés sont la superposition de deux symboles dont les points d’insertion sont superposés.
Nous verrons dans la suite chacun des types de code qui utilisent un symbole.
Fonction : Permet de définir l’orientation des symboles orientés en levant deux points.
Intitulé GéoBase : Déf_Ori_SY Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
Exemple :
Les points 1 et 2 définissent une base d’orientation, qu’adopte le symbole orienté simple inséré au point 3.
Le point 4 permet de définir une nouvelle orientation (du point 2 vers le point 4) qu’adopte le symbole inséré au point 5.
GéoBase :
000001 Def_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Def_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Def_Ori_SY Code = 10
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000009 Sym_Orienté Code = 20
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
Exemple :
Le point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles.
Ainsi le symbole orienté suivant est inséré sans orientation.
GéoBase :
000001 Déf_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Déf_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Annul_Ori_SY Code = 30
000008 Sym_Orienté Code = 20
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Fonction : Permet de lever un objet non-orienté sur 1 point et de le dimensionner en fonction des paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Sym_sans_Ori Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]] Définition du bloc : A l’échelle, semi-générique ou générique
selon le nombre de paramètres saisis
Codifications terrain :
Exemple 1 :
1 arbre et une plaque ont été levés respectivement sur les points 1 et 2.
Pour l’arbre, aucun paramètre n’a été saisi, un symbole à l’échelle est utilisé.
2 paramètres ont été nécessaires pour dimensionner la plaque (utilisation d’un symbole générique).
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_sans_Ori Code = 20 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Exemple 2 :
Plaques levées sur les points 1, 2 et 3.
Saisie de 2 paramètres.
Répétition automatique activée (les paramètres sont aussi transmis).
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 10 , EchX = 2.000, EchY = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
L’orientation du symbole est celle du SCG sauf si le symbole doit s’orienter sur la polyligne la plus proche (cf. § VIII.5.4).
Fonction : Permet de lever un objet circulaire en précisant son rayon, soit par un deuxième point, soit par une valeur.
Intitulé GéoBase : Sym_Cir_Ray Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>] Définition du bloc : Générique, point d’insertion centré
Codifications terrain :
2
- Aucun paramètre : <Code>
104.21
Nombre de points levés : 2 1
EchX = 2R, EchY = 2R
104.20
Seul le code est saisi, l’objet nécessite alors 2 points pour être levé.
Les facteurs d’échelle en X (EchX) et en Y (EchY) du symbole inséré
correspondent à 2 fois la distance 2D (2R) entre les 2 points levés.
2R
Le centre correspond au 1er point levé.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Ray Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_Ray Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
2 3
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
104.21 104.29
Exemple 2 : 1
Exemple identique au précédent. 104.20
1.200 4
Répétition automatique activée.
104.31
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Ray Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Sym_Cir_Ray Code = 10 , EchX = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Fonction : Permet de lever un objet circulaire en précisant son diamètre, soit par un deuxième point, soit par sa valeur.
Intitulé GéoBase : Sym_Cir_Dia Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>] Définition du bloc : Générique, point d’insertion centré
Codifications terrain :
Seul le code est saisi, l’objet nécessite alors 2 points pour être levé. 104.21
Les facteurs d’échelle en X (EchX) et en Y (EchY) du symbole inséré
correspondent à la distance 2D (D) entre les 2 points levés.
1
Le centre correspond au milieu des deux points levés.
104.20
Exemple 1 :
3 plaques circulaires ont été levées.
La 1ère est levée sur les points 1 et 2, aucun paramètre saisi.
Les 2ème et 3ème sont levées respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie d’un paramètre.
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_Dia Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 2 3
104.21 104.29
Exemple 2 :
Même exemple mais avec la répétition automatique activée (le diamètre
1 1.200
est également transmis sur le point 4). 4
104.20
104.31
GéoBase :
000001 Sym_Cir_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Sym_Cir_Dia Code = 10 , EchX = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
1
3
Exemple 1 : 104.20
104.29
1 plaque circulaire levée sur 3 points.
Répétition automatique inactive.
GéoBase :
000001 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Cir_3Pt Code = 10
2
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
104.21
Exemple 2 :
Exemple identique au précédent. 1
3
Répétition automatique activée. 104.20
104.29
GéoBase :
000001 Sym_Cir_3Pt Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Fonction : Permet de lever un objet orienté sur 1 point et de le dimensionner en fonction des paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Sym_Orienté Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]] Définition du bloc : A l’échelle ou générique selon le
nombre de paramètres saisis
Exemple :
Le 1er symbole, levé au point 3, est dimensionné par 2 paramètres et adopte l’orientation définie par les points 1 et 2.
Les 2ème et 3ème objets, levés aux points 4 et 5, sont dimensionnés par un seul paramètre et adoptent l’orientation du SCG (car le
point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles orientés).
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des symboles sur la polyligne la plus
proche.
Exemple :
3 objets sont levés.
Le 1er, levé au point 3, est dimensionné par 1 paramètre et adopte l’orientation définie par les points 1 et 2.
Les 2ème et 3ème objets, levés aux points 4 et 5, ne sont pas dimensionnés (échelle = 1) et adoptent l’orientation du SCG (car le
point 4 supporte un code d’annulation de l’orientation des symboles orientés).
Répétition automatique activée.
GéoBase :
000001 Déf_Ori_SY Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Déf_Ori_SY Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000005 Sym_Orienté Code = 20 , EchX = 1.200
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000007 Annul_Ori_SY Code = 30
000008 Sym_Orienté Code = 20
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Cette notion d’orientation par deux points levés est moins pratique que l’orientation des symboles sur la polyligne la plus
proche ajoutée dans la version 10 de COVADIS.
Codification terrain :
Exemples :
1 plaque carrée levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Car_Dia Code = 10 000001 Sym_Car_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Car_Dia Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Dans le cas où la répétition automatique est activée, le code ne se répète pas sur le point 3 car le code a besoin de 2 deux points
seulement. Il faudrait ressaisir le code 10 sur le point 3 pour débuter une nouvelle plaque.
Fonction : Permet de lever un objet en précisant son orientation par 2 points (aucun dimensionnement possible).
Intitulé GéoBase : Sym_Fixe_2Pt Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> Définition du bloc : A l’échelle, point d’insertion bas-gauche
Codification terrain :
Exemples :
1 plaque orientée par les points 1 et 2.
Répétition automatique inactive / active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Car_Dia Code = 10 000001 Sym_Car_Dia Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Car_Dia Code = 10 000002 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Fonction : Permet de lever un objet carré sur 2 points par son côté.
Intitulé GéoBase : Sym_2Pts Répétition Automatique : disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>] Définition du bloc : Générique
Codifications terrain :
Par1 104.19
Exemples 1 :
1 plaque carrée levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pts Code = 10 000001 Sym_2Pts Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1
000003 Sym_2Pts Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 104.21 2
104.19
Exemples 2 :
1 plaque carrée orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pts Code = 10 , Ech = 1.200 000001 Sym_2Pts Code = 10 , Ech = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pts Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1 1.200
104.21
2
1.200 104.19
Fonction : Permet de lever un objet en dimensionnant le côté précisé par les 2 points levés.
Intitulé GéoBase : Sym_2Pt_EX Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>] Définition du bloc : Semi-générique, point d’insertion en
bas à gauche.
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 plaque levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 2
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 120.30
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
120.21
Exemples 2 :
1 plaque orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchX = 1.200 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchX = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
2
120.30
1
120.21
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 plaque levée sur 2 points.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EY Code = 10 000001 Sym_2Pt_EY Code = 10 2
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 120.30
000003 Sym_2Pt_EY Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
120.21
Exemples 2 :
1 plaque orientée selon 2 points.
Saisie d'un paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchY = 1.200 000001 Sym_2Pt_EX Code = 10 , EchY = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_2Pt_EX Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1.200
2
120.30
1
120.21
Fonction : Permet de lever un objet sur 2 ou 3 points selon les paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Sym_3Pts_H Répétition Automatique : disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]] Définition du bloc : Générique, point d’insertion en
bas à gauche.
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Plaque levée sur 2 points (1 et 2).
Saisie de deux paramètres.
Pas de répétition automatique.
1.200
GéoBase : 2
000001 Sym_3Pts_H Code = 10 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200 104.21
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_3Pts_H Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
2.000
104.20
Exemple 2 :
Plaque levée sur 3 points (1, 2 et 3)
Saisie d’un paramètre.
Répétition automatique activée. 3
104.21
2
GéoBase : 104.21
000001 Sym_3Pts_H Code = 10 , EchX = 2.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , … 2.000
104.20
Fonction : Permet de lever un objet sur 2 ou 3 points selon les paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Sym_3Pts_D Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]] Définition du bloc : Générique, point d’insertion en
bas à gauche.
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Plaque levée sur 2 points ( 1 et 2).
Saisie de 2 paramètres.
Pas de répétition automatique.
1.200
GéoBase : 2
104.21
000001 Sym_3Pts_D Code = 10 , EchX = 2.000 , EchY = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_3Pts_D Code = 10
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
2.000
104.20
Exemple 2 :
Plaque levée sur 3 points (1, 2 et 3)
Saisie d’un paramètre. 3
Répétition automatique activée. 104.21
2
104.21
GéoBase :
000001 Sym_3Pts_D Code = 10 , EchX = 2.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1 2.000
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.20
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué d’un symbole -b-
générique (Symbole 1) et d’un symbole à l’échelle (Symbole 2).
-1- -a-
Codifications terrain :
Exemples :
Deux arbres levés aux points 1 et 2.
Saisie d’aucun paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Comp_1 Code = 10 000001 Sym_Comp_1 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_1 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
1
104.20
2
104.22
Fonction : Permet de lever un objet sur 1 ou 2 points selon la saisie de paramètre conditionnant le dimensionnement du
1er symbole du symbole composé.
Intitulé GéoBase : Sym_Comp_2 Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>] Définition du bloc : Symbole composé, point d’insertion centré
→ Symbole 1 : générique
→ Symbole 2 : à l’échelle
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
-b-
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué d’un symbole
générique (Symbole 1) et d’un symbole à l’échelle (Symbole 2).
-1- -a-
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 arbre levé sur les points 1 et 2.
Saisie d’aucun paramètre. 1
Répétition automatique inactive / active 2
104.20
104.21
GéoBase : GéoBase :
000001 Sym_Comp_2 Code = 10 000001 Sym_Comp_2 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_2 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , …
Exemples 2 : 2
2 arbres levés aux points 1 et 2 avec un diamètre de tronc de 40 cm. 1
104.21
Saisie d’aucun paramètre. 104.20
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
Fonction : Permet de lever un objet sur 1, 2 ou 3 points selon les paramètres saisis afin de dimensionner
indépendamment les 2 symboles constituant le symbole composé.
Intitulé GéoBase : Sym_Comp_3 Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]] Définition du bloc : Symbole composé, point d’insertion centré
→ Symbole 1 : générique
→ Symbole 2 : générique
Symbole 1 Symbole 2
REMARQUE :
-1-
Pour illustrer notre propos, le symbole composé choisi est constitué de deux symboles
génériques (Symbole 1 et Symbole 2).
-1- -1-
Codifications terrain :
3
- Aucun paramètre : <Code> 104.19
Nombre de points levés : 3 d2
2
Symbole 1 : EchX(1) = 2d1, EchY(1) = 2d1 d1
104.21
Symbole 2 : EchX(2) = 2d2, EchY(2) = 2d2 1
Seul le code est saisi, l’objet nécessite 3 points pour être levé. 104.20
Les facteurs d’échelle en X (EchX(1)) et en Y (EchY(1)) appliqués
au symbole 1 correspondent à 2 fois la distance 2D (d1) entre les 1 er
et 2ème points levés ; ceux (EchX(2) et EchY(2)) appliqués au
symbole 2 correspondent à 2 fois la distance 2D (d2) entre les 1 er et
3ème points. 2.d1
2.d2
Par1
Par2
Exemples 1 :
1 arbre levé sur les points 1, 2 et 3.
Aucune saisie de paramètre.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active 3
104.19
GéoBase : GéoBase :
2
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 000001 Sym_Comp_3 Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.21
1
000003 Sym_Comp_3 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 000004 Mesure 3 HP = 1.600 ,… 104.20
000005 Sym_Comp_3 Code = 10
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , …
Exemples 2 :
2 arbres levés aux points 1 et 2 avec saisie de 2 paramètres (dimensionnement du
tronc et du feuillage).
GéoBase :
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , … 1
104.21
104.20
Répétition automatique active :
GéoBase : 0.400
000001 Sym_Comp_3 Code = 10 , Ech1 = 0.400 , Ech2 = 1.200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1.200
000003 Mesure 2 HP = 1.600 ,…
Fonction : Permet de lever une entrée par 2 points seulement. Dessine les piliers, la flèche et la ligne de seuil.
Intitulé GéoBase : Sym_Entrée Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : [<Prefixe>]<Code> [<Par1> [<Par2>] [<Par3>]] Définition du bloc : Symbole 1 : pilier
Symbole 2 : flèche
Codifications terrain :
Dans tous les cas, les échelles en X et Y du second symbole (flèche) sont égales à 1.
2
- Aucun paramètre : <Code>
Symbole 1 : EchX(1) = EchY(1) = 1
Seul le code est saisi, l’objet nécessite 2 points levés.
Le symbole 2 est placé au milieu des deux piliers et est orienté
1
perpendiculairement aux deux points.
2
REMARQUES :
Le rôle du préfixe, pour ce code, est d’inverser la convention de levé, c’est-à-dire qu’avec le même code il est possible de
lever une entrée par sa droite (sens trigo sans préfixe ou sens topo avec préfixe) ou par sa gauche (sens trigo avec préfixe ou
sens topo sans préfixe).
Le fait de lever les points à l’extérieur des piliers facilite les éventuelles constructions à la perpendiculaire pour les arrivées
ou les départs de murs (cf. § VII.10.1).
Fonction : Permet de lever un alignement de symboles identiques en levant le premier et dernier symbole.
Intitulé GéoBase : Sym_Align Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1> Définition du bloc : Symbole à l’échelle
Codifications terrain :
Une application possible de ce code est le levé d’un alignement d’arbres ou de plots.
1
Tous les codes de cette catégorie ont pour premier paramètre dans leur codification terrain le code de la liaison de base. Tous ces
types génèreront une polyligne dont les caractéristiques correspondent au paramétrage de cette liaison dans la table de codes. Si
l’opérateur n’indique aucun paramètre ou que le code de la liaison de base n’existe pas dans la table, la polyligne sera alors insérée
dans le calque 0 avec le type de ligne Continuous.
Fonction : Permet de lever un cercle par centre levé et rayon levé ou saisi.
Intitulé GéoBase : Cercle_R Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]]
Codifications terrain :
Exemple 1 :
3 cercles ont été levés.
Le 1er est levé sur les points 1 et 2, seul le paramètre de la liaison de base (ici code 20#) est saisi.
Les 2ème et 3ème sont levés respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie de deux paramètres.
Fonction : Permet de lever un cercle par centre levé et diamètre saisi ou par 2 points diamétralement opposés.
Intitulé GéoBase : Cercle_D Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]]
Codifications terrain :
Exemple 1 :
3 cercles ont été levés.
Le 1er est levé sur les points 1 et 2, seul le paramètre de la liaison de base (ici code 20#) est saisi.
Les 2ème et 3ème sont levés respectivement sur les points 3 et 4 avec saisie de deux paramètres.
Exemple 2 :
Même exemple avec répétition automatique activée. 1 1.200
4
104.20
104.31
GéoBase :
000001 Cercle_D Code = 10 , Liaison = 20
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , …
000004 Cercle_D Code = 10 , Liaison = 20 , Diamètre = 1.200
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000006 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Codification terrain :
Codification terrain :
Longueur(diagonale) = d 2
Le code et le paramètre de liaison de base sont saisis, l’objet 104.19
nécessite 2 points pour être levé.
La longueur de la diagonale du carré est la distance 2D (d) entre les 2 1
points levés. 104.21
Exemples :
1 carré levé sur 2 points avec saisie de la liaison de base (ici code 20#).
Codifications terrain :
Exemples 1 :
1 carré levé sur 2 points.
Saisie d’un paramètre (liaison de base code 20#).
104.21 2
104.19
Exemples 2 :
1 carré orienté selon 2 points.
Saisie de 2 paramètres.
Fonction : Permet de lever un rectangle sur 2 ou 3 points selon les paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Rect_3Pts_H Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2> [<Par3>]]]
Codifications terrain :
Hauteur = h 104.21
Exemple 1 :
Rectangle levé sur 2 points (1 et 2). Saisie de 3 paramètres (liaison de base code 20#).
Exemple 2 : 1
2.000
Rectangle levé sur 3 points (1, 2 et 3). Saisie de 2 paramètres. 104.20
Fonction : Permet de lever un rectangle sur 2 ou 3 points selon les paramètres saisis.
Intitulé GéoBase : Rect_3Pts_D Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2> [<Par3>]]]
Codifications terrain :
Exemple 1 :
Rectangle levé sur 2 points (1 et 2).
Saisie de 3 paramètres (liaison de base code 20#).
Fonction : Permet de dessiner des polylignes (composées de segments droits, d’arcs ou lissées).
Intitulé GéoBase : Liaison Répétition Automatique : Disponible
REMARQUE :
Dans la table de codes les liaisons sont facilement repérables. En effet, Un caractère dièse (#) est ajouté pour rappeler le suffixe.
Ainsi le code 10# sera décliné sur le terrain en 100, 101, … ou 10A selon le suffixe employé. Il existe 15 suffixes qui doivent
être différents (cf. § VIII.4.4 pour leur paramétrage).
Epaisseur de liaison :
Tous les types de symbolique COVADIS sont affectables à une liaison, mais ceux pour lesquels l’épaisseur est modifiable sont
les murs à grille (‘syg’), les murs simples (‘sym’), les objets mur/haie (‘dmu’) et les types de ligne AutoCAD®.
Il existe plusieurs façons de modifier une épaisseur de liaison.
La première est de donner l’épaisseur en paramètre du code sur un point de la liaison. Dans ce cas, l’épaisseur peut être négative
ce qui a pour effet de dessiner la symbolique de l’autre coté.
Vous pouvez également lever un point donnant l’épaisseur en utilisant le suffixe correspondant.
Si la polyligne est habillée d’un type de ligne AutoCAD ®, l’épaisseur correspond à un décalage de polyligne. Dans ce cas, le
décalage peut varier le long de la polyligne (cf. § VIII.5.5). Dans le cas contraire (symbolique COVADIS), c’est la dernière
épaisseur saisie qui sera adoptée.
Rôle des différents suffixes (entre parenthèses figure la valeur par défaut du suffixe) :
« Ouverture avec un segment rectiligne » (0) : permet de débuter une polyligne avec un segment rectiligne.
« Ouverture avec un segment d’arc » (1) : permet de débuter une polyligne avec un segment d’arc.
« Ouverture avec un segment lissé » (2) : permet de débuter une polyligne avec un segment lissé.
REMARQUE :
L’ouverture d’une liaison arrête si besoin la polyligne de même code ouverte précédemment. Toutes les liaisons en cours à la fin
de la génération du dessin sont automatiquement arrêtées.
Exemple :
Liaison de code 10# avec le suffixes 0 (ouverture rectiligne) et 3 (segment rectiligne).
REMARQUES :
La construction des arcs suit les mêmes règles que la commande polyligne d’AutoCAD ®, c’est-à-dire que l’arc sera tangent
au segment précédent.
Si on commence une liaison par un segment d’arc COVADIS attendra qu’une direction de tangence soit connue pour donner
une direction de départ à la polyligne. (cf. Exemple 2 ci-après).
Exemple 1 :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment rectiligne (suffixe = 0). Ce dernier indique la tangente pour le segment
d’arc suivant. Les tangentes sont continues aux points 2 et 3.
Exemple 2 :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment d’arc (suffixe = 1). Le segment rectiligne au point 3 impose une direction
de tangence aux segments d’arc précédents.
« Second point de l’arc » (5) : permet d’ajouter un segment d’arc passant par trois points.
REMARQUE :
Un point codé second point d’arc (suffixe = 5) sera transformé en segment d’arc (suffixe = 4) s’il n’est précédé d’un point codé
ouverture ou segment d’arc
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 par un segment d’arc (suffixe 1).
2 séquences de codes pour segment d’arc passant par 3 points concernent les points 1-2-3 et 3-4-5.
Les tangentes sont discontinues au point 3.
REMARQUES :
Les segments lissés créent des points supplémentaires afin de respecter la continuité des tangentes.
Les segments lissés sont représentés par deux segments d’arc et donnent la même géométrie que le lissage AutoCAD®.
Exemple :
La liaison 10# est composée de segments lissés. Les tangences sont respectées aux points 2 et 3.
REMARQUE :
La continuité des tangentes n’est pas perdue en utilisant un segment non dessiné alors qu’elle le serait si on réouvrait la liaison.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et comporte un segment non-dessiné au point 2.
« Point donnant l’épaisseur (Liaisons épaisses) » (8) : permet de donner l’épaisseur de la polyligne en levant un point.
La liaison 10# est ouverte au point 1 et est composée uniquement de segments rectilignes.
Le point 4 donne l’épaisseur de la liaison (distance entre 4 et la liaison).
Au point 6, une autre liaison de même code est ouverte (ce qui clôt la liaison précédente). Aucune épaisseur ne lui est affectée.
GéoBase : 1
000001 Liaison Code = 100 4
104.20
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.23
000003 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 2.000 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000005 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 1.000 104.25
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.21
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Si le décalage variable n’est pas activé pour le code, c’est la dernière valeur de l’épaisseur qui est appliquée.
La liaison 10# est ouverte au point 1 avec une largeur de 0.5 m. L’épaisseur de la liaison varie au fur et à mesure du levé.
GéoBase : 1
000001 Liaison Code = 100 , Epaisseur = 0.500
4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 1.000 104.23
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103 , Epaisseur = 2.000 3
2
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.25 104.21
000007 Liaison Code = 103
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUES :
La valeur du décalage au point 4 est la même qu’au point 3 bien qu’elle ne soit pas précisée.
Le décalage variable ne fonctionne pas avec le point donnant l’épaisseur mais avec le paramètre saisi.
Il est également possible de lever l’axe et ne dessiner que les polylignes décalées des deux cotés (décalage bilatéral).
« Clore la liaison sur le premier point » (9) : permet de fermer la liaison ouverte sur le premier point de la liaison.
REMARQUE :
Pour que la liaison passe par le point 4 vérifiez le paramètre de la table concernant les codes de fermeture (cf. § VIII.4.4), sinon
il serait nécessaire d’ajouter un code 103 avant le code 109 pour faire passer la liaison par le point 4.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et fermée au point 4.
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 000001 Liaison Code = 100 1 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.22
104.20
000003 Liaison Code = 103 000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 2 3
000005 Liaison Code = 103 000005 Mesure 3 HP = 1.600 , …
104.25 104.21
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 000006 Liaison Code = 109
000007 Liaison Code = 109 000007 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
« Point donnant la direction d’amorce (bâtiments) » (A) : permet d’ajouter une amorce à la liaison ouverte.
REMARQUES :
Un paramètre saisi est considéré comme la longueur de l’amorce et non plus l’épaisseur de la liaison. Par défaut, cette dernière
est fixée à 5 m (paramétrable cf. § VIII.4.4).
La direction de construction de l’amorce dépend du signe de sa longueur en adoptant la convention de levé inhérente au code
de la liaison (paramètre précisé dans la table de codes).
Une amorce sur un point intermédiaire double le segment d’amorce (utile pour les hachures de bâtiments).
Exemple :
Le point 2 de la liaison 10# est codé deux fois. Une fois pour faire passer la polyligne par le point 2 et une seconde
fois pour dessiner l’amorce.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 4.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103 2
000004 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000 104.25
1
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000006 Liaison Code = 103 104.20
000007 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.22
• 2nd cas : le point supportant ce type est également le premier ou le dernier point de la liaison. L’amorce est alors créée
perpendiculairement au premier ou dernier segment de la liaison suivant le cas.
Exemple :
Les points 1 et 3 de la liaison 10# supportent un code amorce.
Aucun paramètre n’a été saisi pour le point 3. La longueur de l’amorce sera donc de 5 m.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 3.000
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2
000004 Liaison Code = 103
3.000 1 104.25
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
3
000006 Liaison Code = 103 104.20 5.000
000007 Liaison Code = 10A 104.22
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
• 3ème cas : le point supportant ce type est également un point de segment non-déssiné.
L’amorce est alors créée perpendiculairement au segment précédent si le point est le premier du segment non-dessiné,
sinon il s’agira du segment suivant.
Exemple :
Les points 2 et 3 de la liaison 10# supportent un code amorce. Le segment 2-3 n’est pas dessiné (code 107).
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5.000
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 4.000
000003 Liaison Code = 107
000004 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000 2 3
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
104.25 104.22
000006 Liaison Code = 103 1
000007 Liaison Code = 10A 4
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.20
104.22
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
•4 ème
cas : le point codé amorce n’est pas un point de la liaison. L’amorce est alors dessinée comme dans l’exemple.
Exemple 1 :
Le point 3 est codé en amorce. L’amorce part de 2, et est dans le prolongement de 3 vers 2 sur 4 mètres.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 4.000
000003 Liaison Code = 103
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 2
000007 Liaison Code = 10A , Epaisseur = 4.000 104.25
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1 4
000009 Liaison Code = 103 3
104.20 104.22
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
104.22
Exemple 2 :
Même exemple sans donner la longueur. Dans ce cas la longueur de l’amorce est égale à la distance 2-3
GéoBase : 3
000001 Liaison Code = 100 104.22
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
d 2
000003 Liaison Code = 103
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.25
000007 Liaison Code = 10A 1 d 4
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
104.20 104.22
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
« Fermer perpendiculairement (bâtiments) » (B) : permet de fermer perpendiculairement la liaison sur le premier point.
REMARQUE :
Pour que la liaison passe par le point 3 vérifiez le paramètre de la table concernant les codes de fermeture (cf. VIII.4.4), sinon il
aurait fallu mettre un code 103 avant le code 10B.
Exemple :
La liaison 10# est ouverte au point 1 et est fermée perpendiculairement au point 3.
GéoBase :
3
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.22
000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 10B
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1 2
104.20
104.25
« Tangente Avant (sauf premier point) » (C) : impose la direction d’arrivée d’un segment lissé sur le point codé.
« Tangente Après (sauf dernier point) » (D) : impose la direction de départ du point codé pour un segment lissé.
Exemple :
Liaison de code 10#.
La liaison 10# est en répétition automatique et est ouverte au point 1 par un segment lissé.
Le point 4 est codé Tangente Avant et le point 8 est codé Tangente Après. Les tangentes sont continues aux points 3 et 7.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 102
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 105
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Liaison Code = 105 104.20
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 4 2
000007 Liaison Code = 10C 3
104.22 104.25
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 5
104.21
000009 Liaison Code = 105 104.28
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , … 6 8
000011 Mesure 6 HP = 1.600 , … 7
104.27 104.32
000012 Mesure 7 HP = 1.600 , … 9
104.21
000013 Liaison Code = 10D
104.23
000014 Mesure 8 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 105
000016 Mesure 9 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
La polyligne ne passe pas par le point codé Tangente Avant ou Tangente Après.
« Point Topo uniquement » (E) : dessine le point topographique avec le paramétrage du code de la liaison.
Pour dessiner des talus en utilisant une symbolique de talus (fichier d’extension ‘syt’), procédez comme dans l’exemple suivant :
Exemple :
La liaison 10# code le haut de talus, la liaison 20# code le bas de talus.
Le bas de talus doit être ouvert (ligne 000001) avant que le haut de talus ne l’utilise (ligne 000003). L’indication du bas de talus
n’est pas forcément sur le premier point. Sur le terrain, l’indication du bas de talus dans le code haut de talus (ligne 000003)
doit correspondre au deuxième paramètre du code haut de talus ; le premier paramètre étant nul. Le code entré sera donc
100+0+20.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 200
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 100 , Bas Talus = 20
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 104
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000007 Liaison Code = 104
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
000009 Liaison Code = 104
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
000011 Liaison Code = 104
000012 Mesure 6 HP = 1.600 , …
000013 Liaison Code = 204
000014 Mesure 7 HP = 1.600 , …
000015 Liaison Code = 204
000016 Mesure 8 HP = 1.600 , …
000017 Liaison Code = 204
000018 Mesure 9 HP = 1.600 , …
000019 Liaison Code = 204
000020 Mesure 10 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Il est possible d’indiquer plusieurs bas de talus à condition de disposer de plusieurs codes bas de talus dans la table de codes.
VII.4.3. Liaison 3D
Fonction : Permet de dessiner des polylignes 3D avec un décalage en Z par rapport aux points levé (pour le levé de réseau
linéaires).
Intitulé GéoBase : Liaison 3D Répétition Automatique : Disponible
REMARQUE :
Les liaisons 3D s’utilisent globalement de la même manière que les liaisons principales. La principale différence est que le
paramètre 1 ne sert plus à indiquer une épaisseur ou un décalage planimétrique mais un décalage en Z.
Fonction : Permet de construire une perpendiculaire au dernier segment de la dernière liaison en cours.
Intitulé GéoBase : Perp_Segment Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]]
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemples :
Liaison de code 10#.
Code 20 : « Perpendiculaire au dernier segment ».
Convention de levé du code 20 : sens trigonométrique.
La liaison est ouverte au point 1.
GéoBase 2 (2 paramètres) :
000001 Liaison Code = 100 3
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.28
000003 Liaison Code = 103 2.000
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Perp_Segment Code = 20 , Déport = 2.000 , Prolongement = 1.200 2
104.20
000007 Liaison Code = 103 104.23
000008 Mesure 3 HP = 1.600 , … 1.200
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemples :
Liaison de code 10#.
Code 21 : « Prolongement de segment ».
Convention de levé du code 21 : sens trigonométrique.
La liaison est ouverte au point 1.
GéoBase 2 (2 paramètres) :
000001 Liaison Code = 100 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.28
000003 Liaison Code = 103 2.000
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 1
000005 Prol_Segment Code = 21 , Prolongement = 1.200 , Déport = 2.000 2
104.20
000006 Liaison Code = 103 104.23
000007 Mesure 4 HP = 1.600 , … 1.200
Fonction : Permet de calculer l’intersection des segments précédent et suivant appartenant à la dernière liaison en cours
en considérant éventuellement des décalages. La liaison est alors modifiée afin de passer par l’intersection.
Intitulé GéoBase : Inter_Segment Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]]
Codifications terrain :
REMARQUE :
Ce code n’insère pas de point topographique.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Code 22 : « Intersection décalée ».
Convention de levé du code 22 : sens trigonométrique.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2 2.000
000003 Liaison Code = 103 104.23
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 4
2.000
000005 Prol_Segment Code = 22 , Décalage 1 = 2.000 , Décalage 2 = 2.000
1 104.28 5
000006 Liaison Code = 103
000007 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20 104.25
000008 Mesure 5 HP = 1.600 , …
VII.4.7. Parallèle
Fonction : Permet de lever la parallèle à la liaison de base dont le code est indiqué dans le premier paramètre.
Intitulé GéoBase : Parallèle Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1> [<Par2>]
Codifications terrain :
A
- 1 paramètre : <Code> <Par1>
Nombre de points levés : 1 104.25
2 3
Par1 : code de la liaison de base. 104.23
Le code et un paramètre sont saisis ; un seul point de levé suffit. 104.28
4
Cette codification permet de construire la parallèle à la liaison de 1
104.25
base de code Par1 ou Par1# passant par le point (A) supportant le 104.20
code « Parallèle ». Liaison de code Par1 ou Par1#
REMARQUES :
Vous pouvez utiliser ce code à tout moment sur une liaison en cours de levé et plusieurs fois avec des décalages différents.
Si la liaison n’est pas en cours alors que vous essayez de la décaler, un message d’erreur sera produit.
Si dans la table de code vous ne spécifiez pas l’habillage du code, la parallèle adoptera celui de la liaison à décaler.
Exemple1 :
Parallèle (code 20) à la liaison 10# passant par le point 3.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 3
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.25
000003 Liaison Code = 103 2 4
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.23
000005 Parallèle Code = 20 , Liaison = 10 104.28
5
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
1
000007 Liaison Code = 103 104.25
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , … 104.20
000009 Liaison Code = 103
000010 Mesure 5 HP = 1.600 , …
Exemple2 :
Parallèle (code 20) à la liaison 10# avec un décalage saisi.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2.000
000003 Liaison Code = 103 2 3
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
104.23
000005 Parallèle Code = 20 , Liaison = 10 , Décalage = 2.000 104.28
4
000006 Liaison Code = 103
1
000007 Mesure 3 HP = 1.600 , … 104.25
000007 Liaison Code = 103 104.20
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUE :
Pour tous les types d’escalier, la polyligne matérialisant le contour et les lignes matérialisant les marches sont dessinées dans des
calques différents.
Fonction : Permet de lever un escalier par 3 points, les deux premiers donnant la largeur et le troisième la longueur.
Intitulé GéoBase : Escalier_1 Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>]
Codifications terrain :
Exemples :
Escalier régulier levé sur 3 points.
Saisie d’un paramètre correspondant au nombre de marches.
Fonction : Permet de lever un escalier par 3 ou 4 points ; les deux premiers donnent la largeur, le troisième détermine
la longueur et le quatrième donne la limite des marches et du seuil.
Intitulé GéoBase : Escalier_2 Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1> [<Par2>]]
Codifications terrain :
Exemple :
Escalier avec seuil levé sur 3 points.
Saisie de 2 paramètres. 3
104.25
Répétition automatique active
2
GéoBase :
104.21
000001 Escalier_2 Code = 10 , Marches = 3 , Largeur = 0.300
0.300 1
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
0.900
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 104.20
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Codifications terrain :
REMARQUE :
Si aucun paramètre n’est spécifié, le nombre de marches considéré sera 0 (pas de marche).
Exemple :
Escalier de forme quadrilatère levé sur 4 points.
Saisie d’un paramètre correspondant au nombre de marches.
3
Répétition automatique inactive / Répétition automatique active
GéoBase : GéoBase : 104.23
000001 Escalier_3 Code = 10 , Marches = 7 000001 Escalier_3 Code = 10 , Marches = 7
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Escalier_3 Code = 10 000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
4 2
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000005 Escalier_3 Code = 10 000005 Mesure 4 HP = 1.600 , ... 104.28 104.22
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 1
000007 Escalier_3 Code = 10
104.20
000008 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
Codifications terrain :
REMARQUE :
Utiliser ce type est possible à tout moment de la phase de construction de la liaison. Une liaison est considérée en phase de
construction tant qu’une liaison de même code n’est pas ouverte ou tant qu’elle n’est pas close (utilisation des suffixes « Clore
la liaison sur le premier point » ou « Fermer perpendiculairement (bâtiments) »).
Exemple :
Escalier rattaché (de code 20) à une liaison (code 10#) à laquelle est affectée une symbolique.
Fonction : Permet de lever un escalier non rectangulaire par 4 points en spécifiant la largeur des marches.
Intitulé GéoBase : Escalier_5 Répétition Automatique : disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codifications terrain :
REMARQUES :
La largeur des marches est obligatoire et les marches sont parallèles au coté 1-2.
L’ordre des points 3 et 4 importe peu car le programme les replace de façon à ne pas avoir de quadrilatère croisé.
Exemple :
Escalier de forme quadrilatère levé par 4 points.
Saisie d’un paramètre correspondant à la largeur des marches.
4 2
104.28 104.22
1
104.20
REMARQUES :
Pour tous les types de marquage, les polylignes matérialisant le contour et celles matérialisant les marquages sont dessinées
dans des calques différents.
Seule la polyligne matérialisant le contour peut être en 3D.
Fonction : Permet de lever un passage piéton par 4 points, les bandes sont perpendiculaires au dernier segment (1-4).
Intitulé GéoBase : Passage_Piéton Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
3
Fonction : Permet de lever un passage pour vélos de la même façon qu’un passage pour piétons.
Intitulé GéoBase : Passage_Vélo Répétition Automatique : Disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
3
Codification terrain :
0 paramètre : <Code>
Nombre de points levés : 1
Le code est saisi ; un seul point de levé suffit.
Le texte par défaut, spécifié dans la table de codes, est inséré selon les caractéristiques
précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
Exemples :
3 textes non orientés « Maison ».
Saisie d’un paramètre.
REMARQUE :
Si vous ne précisez pas de texte sur le terrain, c’est le texte par défaut (spécifié dans la table pour ce code) qui sera utilisé.
Codification terrain :
0 paramètre : <Code>
Nombre de points levés : 2
Le code est saisi ; deux point levés sont nécessaires.
Le texte par défaut, spécifié dans la table de codes, est inséré selon les caractéristiques
précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
REMARQUES :
Si vous ne précisez pas de texte sur le premier point, c’est le texte par défaut (spécifié dans la table de codes) qui sera utilisé.
Si la répétition automatique n’est pas validée, le paramètre sur le second point (orientation) est ignoré.
Exemples :
2 textes orientés « Maison ».
Saisie d’un paramètre.
Pour la GéoBase 1 (répétition automatique inactive), le point 2 est considéré comme point d’orientation pur ; le texte paramétré en
ce point n’est donc pas considéré, contrairement à la GéoBase 2.
Fonction : Permet de changer la couleur et le calque de destination de l’attribut spécifié dans la table de codes et
appartenant au point topographique inséré.
Intitulé GéoBase : Cache_Attrib Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne modifie que les attributs inhérents au bloc point topographique qui lui correspond.
Exemple :
Il s’agit de déplacer le matricule des points 1 et 3 dans le calque « Particulier ».
Dans la table de codes, l’attribut spécifié est MAT, le calque de destination « Particulier ».
Au point 2, le bloc point topographique spécifié pour les points non codés est inséré.
Au point 1 et 3, il s’agit du même bloc avec le matricule déplacé dans le calque Matricules déplacés dans
« Particulier ». le calque « Particulier »
1
GéoBase : 104.22
000001 Cache_Attribut Code = 10
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000004 Cache_Attribut Code = 10
104.19
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
2
104.25
Fonction : Permet d’ajouter un attribut, dont l’étiquette est spécifiée dans la table de codes, au dernier symbole inséré.
Intitulé GéoBase : Ajout_Attrib Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codification terrain :
REMARQUE :
Il est possible de rendre l’attribut invisible en le précisant dans la table des codes.
Exemple :
Il s’agit d’ajouter à un symbole non-orienté un attribut, dont l’étiquette est « Réseau » et la
valeur est « EU 1 ».
Dans la table de codes, l’étiquette spécifiée est Réseau. EU 1
Le paramètre saisi sur le terrain est « EU 1 ».
Le symbole non-orienté (de code 20) est inséré au point 1. 1
104.22
3
GéoBase :
000001 Sym_sans_Ori Code = 20 104.19
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 2
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Ajout_Attrib Code = 10 , Texte = <EU 1> 104.25
000005 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
Fonction : Permet d’ajouter un attribut, dont l’étiquette est spécifiée dans la table de codes, au point topographique levé.
Intitulé GéoBase : Ajout_Attrib Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codification terrain :
REMARQUE :
Il est possible de rendre l’attribut invisible en le précisant dans la table.
Exemple :
Il s’agit d’ajouter au point topographique 2 un attribut, dont l’étiquette est « Etat » et la
valeur est « correct ».
Dans la table de codes, l’étiquette spécifiée est Etat. 1
Le paramètre saisi sur le terrain est « correct ». 104.22
Au point 1 et 3, le bloc point topographique spécifié pour les points non codés est inséré.
Au point 2, il s’agit du même bloc avec un attribut supplémentaire.
3
correct 104.19
GéoBase : 2
000001 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000002 Attrib_Point Code = 10 , Texte = <correct> 104.25
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
VII.9. DIVERS
Fonction : Permet de repositionner l’objet supporté par le point levé sur le point le plus proche précédemment levé.
Intitulé GéoBase : Accro_Pt_Pro Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code>
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne peut prendre en compte qu’un seul objet.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Raccroche point levé sur point le plus proche » de code 20.
L’utilisateur lève une liaison le matin et l’après-midi, il désire la continuer. Il faut donc se raccrocher sur le dernier point levé.
Les points 1, 2 et 3 de la liaison ont été levés le matin. Le point 3 doit être raccroché pour continuer la liaison.
Celui-ci est bien dans l’emprise du cercle de recherche centré sur le point 4 ; il est donc considéré comme le point le plus proche
précédemment levé.
Le point 3 applique le code 103 supporté par le point 4.
GéoBase : 5
1
000001 Liaison Code = 100 104.22
104.22
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Liaison Code = 103
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103 2
3
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 104.25
000007 Liaison Code = 103 4 104.25
000008 Accro_Pt_Pro Code = 20 104.19
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
000010 Liaison Code = 103 Rayon de recherche maxi
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Fonction : Permet de positionner un objet supporté par le point levé sur la liaison le plus proche sans l’intégrer
à cette dernière.
Intitulé GéoBase : Accro_Li_Pro Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codification terrain :
REMARQUE :
La liaison peut être ouverte ou close.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Accrochage sur liaison proche » de code 20.
« Symbole non orienté simple » de code 30.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5
1
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
104.22
000003 Liaison Code = 103 104.22 4
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
104.19
000005 Liaison Code = 103
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 2
000007 Sym_sans_Ori Code = 30 3
104.25
000008 Accro_Li_Pro Code = 20 , Liaison = 10 104.25
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ...
000010 Liaison Code = 103
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Fonction : Permet de repositionner l’objet supporté par le point levé sur le point topographique dont le matricule est
passé en paramètre.
Intitulé GéoBase : Rappel_Point Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codification terrain :
REMARQUE :
Ce code ne peut prendre en compte qu’un seul objet.
Exemple :
Liaison de code 10#.
Suffixes : - « Ouverture avec un segment rectiligne » :0
- « Segment rectiligne » :3
« Accrochage par matricule » de code 20.
« Symbole non orienté simple » de code 30.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 5 4
1
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 104.22 104.19
000003 Liaison Code = 103 104.22
000004 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000005 Liaison Code = 103
000006 Mesure 3 HP = 1.600 , ... 2
000010 Liaison Code = 103 3
104.25
000009 Mesure 4 HP = 1.600 , ... 104.25
000007 Sym_sans_Ori Code = 30
000008 Rappel_Point Code = 20 , Point = 3
000011 Mesure 5 HP = 1.600 , ...
Les trois premiers codes de construction fournissent des coordonnées provisoires pour le ou les codes qui suivent immédiatement la
construction.
Fonction : Permet de construire une perpendiculaire par rapport au deux derniers points et les deux prochains si le code
est préfixé.
Intitulé GéoBase : Perp_2Pts Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : [<Prefixe>]<Code> [<Par1>]
Codifications terrain :
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé.
Ce code n’insère pas de point topographique.
Si vous préfixez ce code, ce sont les deux prochains points levés qui seront utilisés (voir exemple).
La convention de levé permet de choisir la position du point de construction par rapport aux point de base du calcul.
Exemple :
Le code perpendiculaire est 55, le code liaison est 10# et le code entrée est 20. La convention de levé pour ces trois codes est le
sens trigonométrique (objet levé par sa droite).
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100 Epaisseur = 0.200 4
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000003 Perp_2Pts Code = -55 Déport = 0.100
000004 Liaison Code = 103
000005 Sym_Entrée Code = 20
000006 Mesure 2 HP = 1.600 , ... 3
000007 Sym_Entrée Code = 20
000008 Perp_2Pts Code = 55 Déport = 0.100
000009 Liaison Code = 100 Epaisseur = 0.200
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
000011 Liaison Code = 103 2
000012 Mesure 4 HP = 1.600 , …
Fonction : Permet de construire le symétrique du point codé par rapport au dernier point levé
Intitulé GéoBase : Symétrique Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> [<Par1>]
Codifications terrain : d
d
- Aucun paramètre : <Code>
Le point de construction est le symétrique du point codé par rapport au 2
dernier point levé. 1
Const.1
- 1 paramètre : <Code> <Par1>
Par1> 0
Le point de construction est aligné avec le dernier point levé et le point
codé, et la distance au dernier point levé est Par1.
2
1
Exemple : Const.1
Levé d’un point inaccessible.
Code 20 : « Symétrique par rapport au dernier point levé ».
Code 10# bâtiment et code 20# le mur.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 1m 4
000004 Liaison Code = 103 1
2
000005 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000006 Liaison Code = 10A
000007 Symétrique Code = 20 , Distance = 1.000
000008 Liaison Code = 200 3
000009 Mesure 3 HP = 1.600 , …
000010 Liaison Code =203
000011 Mesure 4 HP = 1.600 , …
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé. Cela explique pourquoi le code 10A (amorce de
bâtiment) apparaît avant le code de construction.
Si la distance est négative, le point est calculé du même coté que le point levé.
Fonction : Permet de calculer le point résultant de l’intersection par les distances depuis le dernier point codé et le suivant
Intitulé GéoBase : Inter_Dist Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1> <Par2>
Const.1
Codifications terrain :
- 2 paramètres : <Code> <Par1> <Par2> d2
Par1 : distance au point 1. d1
2
Par2 : distance au point 2.
1
La solution retenue est fonction des signes des distances et de la 104.25
104.20
convention de levé du code.
REMARQUES :
Le point ainsi construit devient le point courant comme s’il avait été levé.
Si les distances Par1 et Par2 sont de même signe, le programme retient la solution en accord avec la convention de levé du
code. Dans le cas contraire le programme retient l’autre solution.
Exemple :
Code 23 : « Intersection par les distances » (convention de levé = sens trigo).
Code 10# bâtiment et code 20# le mur.
GéoBase :
000001 Liaison Code = 100
000002 Liaison Code = 10A
000003 Mesure 1 HP = 1.600 , ... 3m 3
2m
000004 Liaison Code = 103 1
000005 Inter_Dist Code = 23 , Distance 1 = 2.000 , Distance 2 = 3.000 2
000006 Liaison Code = 103
000007 Liaison Code = 200
000008 Mesure 2 HP = 1.600 , ...
000009 Liaison Code = 203
000010 Mesure 3 HP = 1.600 , …
Dans cet exemple, le premier code 103 porte sur le point 2 tandis que le second code 103 porte sur le point construit par intersection.
Le mur part aussi (code 200) de ce point.
Si nous avions voulu l’autre solution (celle à droite de 2-3) il nous aurait suffi de changer le signe d’une des distances.
Fonction : Crée un point topographique décalé en Z de la valeur du paramètre 1. Un attribut est ajouté à ce point indiquant
la valeur du décalage.
Intitulé GéoBase : DecalV_Att Répétition Automatique : Non disponible
Syntaxe Carnet : <Code> <Par1>
Codifications terrain :
- 1 paramètre : <Code> <Par1>
Par1 : valeur du décalage vertical. Servira aussi de valeur de l’attribut, dont l’étiquette est spécifiée dans la
table de codes.
Le code et un paramètre sont saisis ; 1 point de levé suffit.
L’attribut est inséré selon les caractéristiques précisées dans la table de codes (cf. § VIII.5.6).
REMARQUES :
Il est possible de rendre l’attribut invisible en le précisant dans
d la table.
Exemple :
Il s’agit de décaler le point topographique de -1.45 m en altitude, et d’y un attribut, dont
l’étiquette est « Décalage » et la valeur est la valeur de décalage.
Dans la table de codes, l’étiquette spécifiée est Décalage. 1
Le paramètre saisi sur le terrain est « -1.45 ». 104.22
Au point 1 et 3, le bloc point topographique spécifié pour les points non codés est inséré.
Au point 2, il s’agit du même bloc avec un attribut supplémentaire.
3
104.19
GéoBase : 2
000001 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
000002 DecalV_Att Code = 10 , Texte = <-1.45> 102.75
000003 Mesure 2 HP = 1.600 , ... -1.45
000004 Mesure 3 HP = 1.600 , ...
VIII.1. GÉNÉRALITÉS
La barre de menus contient les menus Fichier, Edition, Code Terrain et Table de codification.
Ce menu est utilisé pour la gestion de fichiers de table de codes : création, ouverture, enregistrement.
Les différentes options du menu sont décrites ci-dessous :
« Nouveau » : permet de créer une nouvelle table de codes vide et sans nom.
« Ouvrir… » : permet de charger une table de codes existante. Le choix du fichier à ouvrir se fait grâce à
la boîte de dialogue de sélection des fichiers.
« Enregistrer » : permet d’enregistrer les modifications effectuées dans la table de codes courante. Une
sauvegarde de la table de codes avant modification est créée et porte l’extension ‘cbk’.
« Enregistrer sous… » : permet de sauvegarder la table de codes courante sous un autre nom ou à un autre emplacement sur le
disque.
REMARQUE :
Si la table de codes courante a été modifiée mais n’a pas été enregistrée lorsqu’une des options « Nouveau », « Ouvrir… » et
« Quitter » est sélectionnée, une boîte de dialogue vous propose d’effectuer une sauvegarde, ou d’annuler.
La barre d’outils est constituée par des boutons permettant d’accélérer l’accès aux commandes principales de l’éditeur de la table de codes.
Sur chaque bouton est dessiné une icône symbolisant la commande associée. Lors du passage de la souris sur une icône, un message
(info bulle) est affiché pour rappeler la fonction du bouton.
Aide
Cliquez sur ce bouton pour obtenir un descriptif du type du code courant.
VIII.4.1. Généralités
Les paramètres généraux sont valables pour tout ou partie des codes de la table.
Pour visualiser et modifier ceux-ci, sélectionner l’option « Paramètres généraux » dans le menu Table de Codification ou cliquer
sur le bouton .
Une boîte de dialogue comportant quatre onglets est affichée ; ces onglets sont développés ci-après.
REMARQUE :
Les séparateurs de paramètres et de codes sont à choisir parmi les éléments de la liste déroulante et doivent être évidemment
différents.
GéoBase : 6
000001 Liaison Code = 100
000002 Mesure 1 HP = 1.600 , ...
5
0000