DEDICACE
Nous dédions ce travail à nos familles qui ont toujours été là pour
nous, qu’elles trouvent dans ce dernier toutes nos reconnaissances.
REMERCIEMENTS
Ce présent rapport n’aurait pu voir le jour sans l’apport précieux du tout puissant
Miséricordieux de qui nous tenons la science, de la sagesse et le labeur qui ont
présidé à la réalisation de ce modeste travail. Et également d’un grand nombre de
personne ayant contribué moralement ou matériellement.
SOMMAIRE
DEDICACE ........................................................................................................................................... I
REMERCIEMENTS .............................................................................................................................. II
AVANT-PROPOS ............................................................................................................................... IX
RESUME.......................................................................................................................................... XIII
ABSTRACT....................................................................................................................................... XIV
RIASSUNTO...................................................................................................................................... XV
AV : Auriculo-Ventriculaire
AT : Auto-Tensiomètre
OD : Oreillette Droit
OG : Oreillette Gauche
PA : Pression Artérielle
PP : Pression Pulsée
VD : Ventricule Droit
VG : Ventricule Gauche
DC : Débit Cardiaque
FC : Fréquence Cardiaque
PB : Pression du Brassard
MCU : Microcontrôleur
AVANT-PROPOS
Dans le but de d’assurer son développement et de fournir à son industrie des agents
compétents dans divers domaines, l’Etat Camerounais a créé de nombreuses structures et
formations, au rang desquelles le Brevet de Technicien Supérieur (BTS). L’Examen national
du BTS est créé par arrêté ministériel No90/E/58/MINEDUC/DUET du 24 décembre 1971.
L’Institut Supérieur des Technologies et du Design Industriel (ISTDI) crée par arrêté N°
02/0094/MINESUP/DDES/ESUP du 13 septembre 2002 et dont l’autorisation d’ouverture
N° 0102/MINESUP/DDES/ESUP du 18 septembre 2002. L’ISTDI a été érigé en Institut
Universitaire de la Côte (IUC) par arrêté n°1/05156/N/MINESUP/DDES/ESUP/SAC/ebm du
24 octobre 2011. L’IUC comporte trois établissements, notamment :
Assurance
Banque et Finance(BF)
Action Commerciale (ACO)
Commerce International (CI)
Communication d’Entreprise (CE)
Comptabilité et Gestion des Entreprises (CGE) ;
Logistique et Transport (LT).
Marketing ;
Finance-Comptabilité ;
Banque ;
Gestion des Ressources Humaines ;
Logistique et Transport.
3. L’Institut d’Ingénierie Informatique d’Afrique Centrale (3i-AC) qui forme dans les
cycles et filières suivantes :
MASTER EUROPEEN :
Génie Logiciel
Informatique Embarquée
Administration des Systèmes Web
Administration des Systèmes, Réseaux et Télécoms.
MASTER PROFESSIONNEL
Génie Electrique & Informatique Industrielle ;
Génie Télécommunications & Réseaux ;
Génie Energétique et Environnement ;
Maintenance Industrielle ;
CYCLE INGENIEUR
Ingénieur de Génie Industriel (POLYTECH Nancy) ;
Ingénieur Informaticien (3iL-France) ;
Ingénieur biomédical (IBM-Italie) ;
Architecture et Design Industriel (ADI).
L’Ingénierie Biomédicale est une filière d’avenir qui forme des ingénieurs
biomédicaux, principalement aptes à concevoir et assurer la maintenance des appareils
médicaux. Notre cycle est d’une durée de 5 ans. Trois ans à l’IUC et deux ans à l’étranger dans
les universités telles qu’Ancona, HEI (Haute Ecole d’Ingénierie), Rajiv Gandhi Institute of
Technology etc.
Des thèmes de projet tuteuré sont attribués aux étudiants du niveau 2 en cycle
ingénieur pour une durée allant du 2janvier au 18 mai de l’année académique en cour et
devront être présentés et soutenus devant un jury. Pour ces projets, il nous a été confié le
thème « REALISATION D’UN TENSIOMETRE ELECTRONIQUE ».
RESUME
Dans le domaine médical, la pression artérielle est l’un des paramètres les plus
surveillés dans le cadre des maladies cardio-vasculaires. En effet, quand la pression
artérielle est trop élevée, pendant des durées très longues, le muscle cardiaque finit par se
fatiguer jusqu’à atteindre des insuffisances cardiaques sévères ; on parle d’hypertension.
À l’inverse, une tension trop basse conduit à sous-alimenter les organes et peut conduire à
des étourdissements ou évanouissements. L’hypotension n’est généralement pas
considérée comme une maladie. Communément, la mesure de la pression artérielle se fait
par la détermination de deux valeurs classiques : la pression systolique et la pression
diastolique. Plusieurs méthodes permettent de mesurer cette pression à l’instar de la
méthode auscultatoire qui est généralement faite par le médecin à l’aide d’une poire
gonflable et d’un stéthoscope et le plus souvent utilisé pour les tensiomètres manuels. La
méthode oscillométrique est celle la plus utilisé en médecine grâce à sa grande fiabilité.
Elle utilise un capteur de pression et se fait de manière automatique. L’objectif principal
de ce projet est de concevoir et de réaliser un dispositif permettant de mesurer les pressions
artérielles et le pouls. Ce pendant pour aboutir à ces mesures, il est indispensable de
fabriquer un tensiomètre. La procédure de mesure ce fait en deux étapes : la première
consiste à envoyer une pression de 180 mmHg dans le brassard qui sera, après l’arrêt du
moteur refoulé lentement par l’électrovanne puis la réponse en tension du capteur sera
récupérée par le microcontrôleur. Puisque les données affichées sur un écran LCD sont
exclusivement numériques, il est nécessaire de faire une conversion analogique. La
deuxième étape fait appel à la programmation de la carte Arduino Uno afin de convertir
les données analogiques du capteur pouvant être affiché à l’écran.
ABSTRACT
In the medical field, blood pressure is one of the most monitored parameters in
the context of cardiovascular diseases. Indeed, when the blood pressure is too high, for
very long periods, the heart muscle eventually get tired until reaching severe heart failure;
we talk about hypertension. Inversely, too low a voltage leads to under-power organs and
can lead to dizziness or fainting. Hypotension is not usually considered a disease.
Commonly, the measurement of blood pressure is done by the determination of two classic
values: systolic pressure and diastolic pressure. Several methods can be used to measure
this pressure, such as the auscultatory method, which is usually performed by the doctor
using an inflatable pear and a stethoscope and most often used for hand-held
sphygmomanometers. The oscillometric method is the most used in medicine because of
its high reliability. It uses a pressure sensor and is done automatically. The main objective
of this project is to design and build a device to measure arterial pressures and pulse. This
pendant to achieve these measurements, it is essential to manufacture a blood pressure
monitor. The measurement procedure is done in two steps: the first is to send a pressure of
180 mmHg in the cuff which will be, after stopping the engine slowly discharged by the
solenoid valve and then the voltage response of the sensor will be recovered by the
microcontroller. Since the data displayed on an LCD screen is exclusively digital, it is
necessary to do an analog conversion. The second step involves programming the Arduino
Uno board to convert the analog sensor data that can be displayed on the screen.
RIASSUNTO
In campo medico, la pressione sanguigna è uno dei parametri più monitorati nel
contesto delle malattie cardiovascolari. In effetti, quando la pressione del sangue è troppo
alta, per periodi molto lunghi, il muscolo cardiaco alla fine si stanca fino a raggiungere una
grave insufficienza cardiaca; parliamo di ipertensione. Inversamente, una tensione troppo
bassa porta a organi sotto-potenza e può portare a vertigini o svenimenti. L'ipotensione
non è generalmente considerata una malattia. Comunemente, la misurazione della
pressione arteriosa viene effettuata mediante la determinazione di due valori classici:
pressione sistolica e pressione diastolica. Diversi metodi possono essere utilizzati per
misurare questa pressione, come il metodo auscultatorio, che di solito viene eseguito dal
medico utilizzando una pera gonfiabile e uno stetoscopio e più spesso utilizzato per gli
sfigmomanometri portatili. Il metodo oscillometrico è il più utilizzato in medicina a causa
della sua alta affidabilità. Utilizza un sensore di pressione e viene eseguito
automaticamente. L'obiettivo principale di questo progetto è progettare e costruire un
dispositivo per misurare le pressioni arteriose e il polso. Questo ciondolo per ottenere
queste misurazioni, è essenziale per produrre un misuratore di pressione sanguigna. La
procedura di misurazione viene eseguita in due fasi: la prima è quella di inviare una
pressione di 180 mmHg nel polsino che sarà, dopo aver arrestato il motore lentamente
scaricato dall'elettrovalvola e quindi la risposta di tensione del sensore sarà recuperata dal
microcontrollore . Poiché i dati visualizzati su uno schermo LCD sono esclusivamente
digitali, è necessario eseguire una conversione analogica. Il secondo passo prevede la
programmazione della scheda Arduino Uno per convertire i dati del sensore analogico che
possono essere visualizzati sullo schermo.
INTRODUCTION GENERALE
Dans cette première partie nous allons voir plusieurs informations qui vont
nous permettre d’avoir une idée générale sur notre projet. En vue de faciliter
la compréhension, nous avons organisé cette partie en trois chapitres : le
premier repose sur le système cardiovasculaire, le second sur la pression
artérielle, ses différentes méthodes de mesure et sur la fréquence cardiaque
(pouls) et le troisième nous renvoi la généralité sur le tensiomètre.
CHAPITRE 1 : LE SYSTEME
CARDIOVASCULAIRE
La circulation du sang dans l’organisme est assurée par un vaste réseau clos appelé
système cardiovasculaire, constitué par le cœur, les vaisseaux et le sang. Le sang transporte
l’oxygène et les nutriments vers les cellules afin de satisfaire à leurs besoins énergétiques et les
débarrasse des déchets de l’activité cellulaire ; ces déchets sont épurés par les organes de
détoxification. Ce transport est assuré par trois types de vaisseaux : les artères, les capillaires
et les veines.
1.1. Le cœur
1.1.1. Structure
1.1.2. Vascularisation
Les vaisseaux nourriciers du cœur sont les vaisseaux coronaires. Les artères
coronaires naissent de l’aorte. La gauche ou antérieure descend dans le sillon inter
ventriculaire gauche jusqu’à la pointe du cœur. Avant d’entrer dans ce sillon, elle émet une
grosse branche qui parcourt vers la gauche le sillon auriculo-ventriculaire jusqu’à la face
postérieure du cœur où elle s’anastomose avec une branche de la coronaire droite.
a) La grande circulation
Elle irrigue tout l’organisme. Le sang riche en oxygène est transporté par l’aorte et ses
branches à partir du ventricule gauche vers les tissus. Le sang appauvri en oxygène et
chargé de déchets est ramené à l’oreillette droite par les deux veines caves.
b) La petite circulation
Le sang provenant du cœur est conduit aux différents organes par les artères et leurs
embranchements. A chaque niveau du système circulatoire, les artères jouent un rôle
quelque peu différent. Leur rôle respectif se traduit par l'épaisseur relative de leur paroi et
leur composition histologique. Les différents organes et parties de l'organisme n'éprouvent
pas tous les mêmes besoins en sang. Par exemple, une petite glande comme la thyroïde ne
demande pas le même volume sanguin qu'une glande aussi considérable que le foie. De
plus, le besoin de chacun d'eux varie selon son niveau d'activité. Il va de soi que les muscles
des jambes nécessitent un apport sanguin beaucoup plus considérable durant la course que
pendante sommeil. Une façon d'ajuster l'apport sanguin aux besoins individuels et
ponctuels des organes est de modifier le calibre des artères qui distribuent le sang à ces
organes et, de ce fait, régler la quantité de sang qui les atteint. Le système vasculaire est
alors composé d'artères, d'artérioles, de capillaires, de veinules et de veines.
cas d’un effort intense. Dans le cycle cardiaque on distingue quatre phases : la contraction,
l’éjection, la relaxation et le remplissage du ventricule gauche.
ml soit entre les deux-tiers et la moitié). Le résidu post-systolique ou volume télé systolique
(VTS) ou encore volume résiduel, constitue un volume de réserve utilisable pour
augmenter le volume d'éjection suivant.
Le marché des appareils de mesure de la tension artérielle est très vaste. Pour
pouvoir juger un tensiomètre à utiliser cliniquement, il faut tenir compte de la méthode de
mesure employée et de la précision des valeurs affichées. Dans ce chapitre, il sera question
pour nous de faire une étude sur la pression artérielle proprement dite, la fréquence
cardiaque et les différentes méthodes de mesure de la pression artérielle ainsi que les
limites qui y sont attachées.
Au niveau des artères de gros calibres (aorte, artère pulmonaire) et moyen calibres
(artère radiale humérale), la courbe de la PA peut être divisée en deux composantes : une
première composante constante et continue qui représente la pression artérielle moyenne
(PAM), et une seconde composante pulsatile qui représente les variations autour de la
pression moyenne. Le maximum des variations correspond à la pression artérielle
systolique (PAS) et le minimum à la pression artérielle diastolique (PAD). La différence
entre la PAS et la PAD représente la pression pulsée.
Vu que la PAS est très élevé par rapport à la PAD, la pression artérielle moyenne
(PAM) est donnée par la relation
PAM = DC x RVP
Elle est la même dans tout le réseau artériel de l’origine de l’aorte aux petites artères.
Lorsque le cœur « pompe » de façon plus énergétique, le débit cardiaque s’élève faisant
ainsi augmenter la pression artérielle.
L’hypertension artérielle, ou HTA, est définie par une pression artérielle trop élevée.
Le patient porteur d'une HTA est un hypertendu.
2.1.2.1.Définition
La pression artérielle doit être mesurée en position assise ou allongée, après 5 à 10
minutes de repos. Les valeurs doivent être retrouvés élevées à trois occasions différentes pour
qu'on puisse parler d'hypertension artérielle (ou HTA). Le médecin mesure :
la pression artérielle systolique ou PAS
une pression artérielle moyenne PAM qui se calcule à partir des deux premiers.
La tension artérielle est considérée comme étant normale pour des valeurs de la pression
artérielle systolique comprises entre 120 et 139 mmHg et/ou de la pression artérielle
diastolique comprises entre 80 et 89 mmHg.
PRESSION PRESION
SYSTOLIQUE DIASTOLIQUE
HTA sévère >180 mm Hg >110 mm Hg
HTA stade 2 >160 mm Hg >100 mm Hg
HTA stade 1 >140 et <159 mm Hg >90 et <99 mm Hg
Pression artérielle normale >120 et <139 mm Hg >80 et <89 mm Hg
2.1.2.2.Causes de l’ HTA
Dans 90% des cas, l'hypertension artérielle est dite essentielle : aucune cause connue
ne peut être retrouvée dans ce cas. Dans 10% des cas, l'hypertension artérielle est secondaire :
plusieurs causes peuvent être à l'origine d'une hypertension, certaines étant curables de façon
définitive : affections rénales, la coarctation aortique…
Le poids : Il existe une forte corrélation entre l'indice de masse corporelle (indice
de surcharge pondérale, rapportant le poids à la taille) et le niveau tensoriel. A
l'opposé, un régime hypocalorique chez un obèse hypertendu s'accompagne d'une
baisse de la tension.
Le diabète : Les sujets diabétiques ont, en moyenne, une tension artérielle plus
élevée que dans le reste de la population.
Le stress : Un stress aigu s'accompagne d'une augmentation transitoire de la
tension. Un stress chronique, ou plutôt, certaines façons dont l'individu réagit face
à un stress chronique, semble favoriser une élévation durable de la pression
artérielle.
L'effort physique : L'augmentation des chiffres tensoriels à l'effort est tout à fait
normale. La pression artérielle semble par contre plus basse chez le sujet sportif
par rapport au sujet sédentaire.
b) Les complications
Si l'HTA n'est pas maîtrisée par un traitement, des complications peuvent survenir. Il
est important de préciser que l'hypertension elle-même n'est pas une maladie : elle n'est qu'un
facteur favorisant. En d'autres termes, son existence n'est ni nécessaire ni suffisante pour voir
les maladies se développer chez l'individu. A l'échelle d'une population, l'hypertension est un
enjeu de santé publique majeur. A l'échelle d'un individu, elle n'a qu'une valeur prédictive
assez faible sur le développement de problèmes vasculaires. Elles peuvent être :
la conséquence "mécanique" de la pression artérielle augmentée sur les vaisseaux
(rupture de ces derniers avec hémorragies)
la conséquence "mécanique" sur la pompe cardiaque travaillant à hautes pressions
pendant longtemps
la conséquence de la participation à la formation ou à la croissance de l'athérome,
obstruant plus ou moins progressivement les artères.
Elles sont surtout cardiaques, neurologiques et rénales.
a) Symptômes
L'hypotension peut se révéler par une fatigue, des vertiges en position debout, un voile
noir. À l'extrême, elle peut désamorcer la pompe cardiaque lors du collapsus. Une pression
artérielle à moins de 50 mm Hg est particulièrement sévère.
b) Étiologies
L'hypotension peut révéler une hypovolémie absolue (baisse du volume sanguin),
consécutive, par exemple à une hémorragie, ou relative, par baisse des résistances
périphériques. L'hypotension peut être due à une diminution du taux de potassium dans le sang.
La PA correspond donc à la pression du sang dans les artères. Alors que l’unité de
mesure internationale est le pascal (Pa), l’usage médical veut que l’unité utilisée soit le
millimètre de mercure (mm Hg) sachant que 1 Pa = 7,5x10-3 mm Hg. La mesure de la
pression artérielle peut être effectuée soit de manière invasive directement dans l’artère,
soit de manière non-invasive.
2.1.4.1.Mesure non-invasive
Plusieurs méthodes non-invasives peuvent être employées pour la mesure de la PA.
Parmi les différentes méthodes on s’intéressera plus particulièrement à la méthode
oscillométrique.
a) Méthode auscultatoire
L’auscultation des bruits artériels a été décrite en 1905 par Korotkoff. L’apparition du
premier bruit marque la pression systolique et sa disparition marque la pression
Les bruits de Korotkoff sont en rapport avec des oscillations de la paroi artérielle
et possiblement avec des turbulences au sein de l’artère partiellement occluse par le
brassard. On a cinq types de bruits qui apparaissent successivement, phases de Korotkoff
de I à V, La PA systolique (PAS) est déterminée par la phase I de ces bruits et la diastolique
(PAD) par la phase V, sauf dans quelques cas (hypertonie, enfant, femme enceinte) où les
bruits peuvent ne pas disparaître jusqu'à une pression très faible. Dans ces cas, c'est la
phase IV qui détermine la PAD. Les phases II et III n’ont pas de signification
physiologique connue, en particulier, elles ne permettent pas de déterminer la PAM.
Cette méthode est utile et pratique, en particulier dans le cas d’un médecin qui se
déplace en visite .Toutefois ; malgré le savoir-faire de médecin, la mesure est tributaire des
incertitudes liées à la perception de ces sons .en outre la présence d’un observateur risque
d’augmenter le stress lié à la prise de la PA, ce qui peut influencer la mesure.
b) La méthode oscillométrique
Les difficultés techniques liées à la méthode auscultatoire ont conduit au développement de
la méthode oscillométrique par l’utilisation des tensiomètres semi-automatiques ou
automatiques qui diminuent les risques d’erreurs liés à la personne qui effectue la mesure.
non
50 mm Hg ≥ PAS non perçu
perçu
d) La méthode microphonique
C’est méthode est dérivée de la méthode auscultatoire directe. Elle est basée sur la détection
des bruits de Korotkoff à l'aide d'un microphone placé en regard de l'artère auscultée.
cathétérisme artériel pour la mesure de la PA peut engendrer des complications dont certaines,
comme l’ischémie ou l’hémorragie peuvent être graves bien qu’exceptionnelles.
Les mesures directes de PA ou mesures invasives sont des mesures réalisées directement
dans l’artère (aorte, radiale, humérale, fémorale…etc.) suite à l’introduction d’un cathéter relié
à un capteur de pression. Ainsi le signal de pression est enregistré sous forme d’onde de
pression. Le site de perfusion du cathéter joue un rôle important pour la mesure des pressions
artérielles puisque la forme du signal de la PA varie d’un site de perfusion à un autre
On obtient la pression artérielle à l’aide d’un cathéter inséré en position intra artérielle, c.-
à-d. directement dans l’artère. C’est la méthode de référence qui permet d’obtenir des mesures
fiables de la PA. La mesure invasive est généralement mise en œuvre en milieu médical
spécialisé lorsque la surveillance de la pression artérielle doit être la plus précise possible
(risque de fortes variations, utilisation de drogues vaso-actives, techniques chirurgicales
particulières).
Une ouverture est faite dans la peau du patient et un cathéter est introduit dans le système
de circulation. Un cathéter est un tube ouvert utilisé pour coupler la pression à l’intérieur du
patient à un capteur. Les points les plus communs d’ouverture sont situés au niveau du cou, le
bras ou l’aine, car ces emplacements ont de grandes veines et artères qui sont proches de la
surface de la peau.
Le cathéter est rempli d’une solution saline et relié à un capteur de pression externe. Le
cathéter transmet la pression au capteur externe. Le boitier du capteur de pression permet au
cathéter d’être régulièrement rincé avec la solution saline pour empêcher le sang de coaguler à
l’extrémité ouverte du tube (les caillots dans le système de circulation peuvent obstruer le flux
de sang et causer des dommages au cerveau ou à la fonction des poumons). Le boitier de capteur
permet également un raccordement d’une source de pression de référence tenant compte du
calibrage du capteur.
La fréquence cardiaque est le nombre de battements du cœur par minute. C’est une notion
quantitative qui peut aussi se définir en nombre de cycle par seconde par l’inverse de la période.
Chez un adulte en bonne santé, au repos la fréquence cardiaque se situe entre 50 (sportif
pratiquant l’endurance) et 80 pulsations par minutes. Pendant un effort physique, la fréquence
cardiaque maximale théorique est de 220 moins l’âge (exemple : 180 à 40 ans).
Nouveau-né : 140 ± 50
1-2 ans : 110 ± 40
3-5 ans : 105 ± 35
6-12 ans : 95 ± 30
Adolescent ou adulte : 70 ± 10
Personne âgée : 65 ± 5
La fréquence cardiaque de repos n’est pas constante sur 24h à cause des différents cycles
biologiques. Elle est au maximum vers midi. La digestion, la chaleur et le froid entrainent une
augmentation de la fréquence cardiaque. Les facteurs de stress influencent également sur la
fréquence cardiaque.
Dans ce chapitre, nous avons expliqué en détail la pression artérielle et ses différentes
composantes (pressions artérielles systolique et diastolique, pression différentielle ou pulsée),
et les paramètres modulant la pression artérielle (débit cardiaque, résistances périphériques
totales...) qui expliquent la grande variabilité des chiffres tensoriels d'une minute à l'autre chez
le même individu. En résumé, l'effort et le stress font augmenter la pression artérielle, le repos
le fait diminuer. La prise de tension est donc sujette à de nombreux artefacts. Elle doit donc
être idéalement prise en position allongée, le patient étant au repos. Les appareils
oscillométriques permettent d’obtenir des résultats fiables
dans la plupart des cas. On doit toutefois faire preuve de vigilance lorsque le patient se
situe hors de la moyenne (âge, statu pondéral, hypotension ou hypertension grave).
En 1628, W. Harvey découvre la circulation du sang et ce n’est qu’un siècle plus tard
(en1730) que la pression sanguine est mesurée pour la première fois par S. Hales avec un
manomètre relié à l'artère crurale d'un cheval. J.L.M. Poiseuille (1828) réalise les mêmes
mesures avec un manomètre à mercure.
Riva- Rocci (1896) et Barnard (1897) développent ensuite une méthode de mesure de la PA
basée sur la détection du pouls des patients en utilisant un brassard relié à un manomètre à
mercure. En occluant l’artère humérale lors du gonflage du brassard, les auteurs relèvent une
extinction du pouls qu'ils associent à une pression interne au brassard identique à la PA.
Ces appareils sont assez récents (le premier modèle conçu par la société Panasonic
date de 1993). Mais en quelques années ils sont devenus incontournables, que ce soit
auprès des professionnels de santé ou des particuliers, car ils combinent de nombreux
avantages :
Simplicité
Fiabilité
Praticité
modèle au bras, il présente l'avantage d'être plus petit et plus léger, donc de pouvoir être
transporté facilement (pratique pour surveiller sa tension, même en déplacement). Il est
également plus facile à mettre en place, car il suffit de retrousser une manche et il n'est pas
nécessaire d'enlever une chemise, un pull etc. ...
Ces appareils ont une histoire assez ancienne, mais les premiers modèles
véritablement utilisables à grande échelle datent du début du XXème siècle. Même s'il perd
régulièrement du terrain face au tensiomètre électronique, le tensiomètre manuel reste,
avec le stéthoscope, le symbole du médecin généraliste dans l'esprit du plus grand nombre.
Dans cette partie il sera question pour nous de faire une étude sur les
différents composants d’un tensiomètre tout en faisant le choix de ceux que
nous allons utiliser, présenter notre circuit électronique et élaborer un
programme pour le fonctionnement de notre dispositif.
Nous avons cité les différents types des méthodes utilisées afin de mesurer la pression
sanguine. La méthode exploitée dans le présent projet est celle de l’oscillométrie. L’air est
pompé dans le brassard 60 mm Hg en plus de la valeur normale de la pression systolique
(120 mm Hg), ensuite l’air est lentement chassé du brassard, causant la chute de pression
dans ce dernier. Durant le dégonflement du brassard, il est possible de mesurer les petites
oscillations qui apparaissent. En effet, c’est durant la pression systolique que ces
oscillations commencent à apparaître. Un microcontrôleur (MCU) implanté sur la carte
Arduino est utilisé pour détecter le moment auquel ces oscillations prennent naissance et
pour enregistrer la pression dans le brassard. Par la suite, on note la décroissance de la
pression dans le brassard jusqu’à la disparition de ces oscillations : c’est la phase
diastolique et la valeur de la pression dans le brassard peut être mesurée.
Dans ce chapitre nous allons projeter la lumière sur les outils utilisés pour le
développement de notre projet et donner ainsi une définition de chaque composant ayant une
relation avec notre projet.
Le
tensiomètre
Diagramme pieuvre
Le diagramme pieuvre permet de définir les liens c’est - à – dire les fonctions de service
entre les systèmes et son environnement. Il permet de recenser la plupart des fonctions du
système.
A. Partie matérielle
a) Le microcontrôleur ATMega328
Un microcontrôleur ATMega328 est un circuit intégré qui rassemble sur une puce
plusieurs éléments complexes dans un espace réduit au temps des pionniers de
l’électronique. Aujourd’hui, en soudant un grand nombre de composants encombrants ;
tels que les transistors ; les résistances et les condensateurs tout peut être logé dans un petit
boîtier en plastique noir muni d’un certain nombre de broches dont la programmation peut
être réalisée en langage C. la figure montre un microcontrôleur ATMega 328, qu’on trouve
sur la carte ARDUINO.
b) Alimentation de la carte
c) Entrés et sorties
C'est par ces connexions que le microcontrôleur est relié au monde extérieur. Une carte
Arduino Uno est dotée de : six entrées analogiques et de 14 entrées/sorties numériques
dont 6 peuvent assurer une sortie PWM (Pulse width modulation). Les entrées analogiques
lui permettent de mesurer une tension variant entre 0 et 5 V pouvant provenir de capteurs.
Les entrées/sorties numériques reçoivent ou envoient des signaux « 0 » ou « 1 » traduits
par 0 ou 5 V. On décide du comportement de ces connecteurs (entrée ou sortie) en général
dans l'initialisation du programme chargé dans le microcontrôleur.
Microcontrôleur ATmega328P
Tension de fonctionnement 5V
Tension d'entrée (recommandé) 7-12V
Tension d'entrée (limite) 6-20V
PWM numérique E / S Pins 6
B. Partie programme
a) L’environnement de la programmation
Le logiciel de programmation de la carte ARDUINO sert d'éditeur de code
(langage proche du C). Une fois, le programme tapé ou modifié au clavier, il sera transféré
et mémorisé dans la carte à travers de la liaison USB. Le câble USB alimente à la fois en
énergie la carte et transporte aussi l'information.
b) Structure générale du programme (IDE ARDUINO)
Comme n’importe quel langage de programmation, une interface souple et simple est
exécutable sur n’importe quel système d’exploitation ARDUINO basé sur la
programmation en C.
b) L’unité de mesure
Le capteur sera calibré en tenant compte de la précision, de la grandeur et des unités
demandées par l'utilisateur.
c) La précision de la mesure
La précision d’un capteur est le pourcentage d’erreur de son signal de sortie par rapport
à la vraie valeur (mesurande). Plus la précision d’un capteur est grande, plus son coût est
important. C’est pourquoi il est essentiel de connaître la précision nécessaire pour
l’application afin de réduire les coûts.
d) La linéarité de la mesure
La linéarité est également un facteur dont il faut tenir compte. Elle se traduit par la
proportionnalité entre le signal d’entrée et celui de sortie. Un capteur de qualité disposera
d’une sortie proportionnelle à l’entrée pouvant être représentée par une droite. La relation
qui lie l’entrée à la sortie sera linéaire.
e) La répétabilité de la mesure
La répétabilité peut elle aussi influencer le choix d’un capteur, car elle indique
l’aptitude de ce capteur à reproduire le même signal de sortie lorsqu’une même pression y
est appliquée avec les mêmes conditions et la même direction.
4.4.1. Principe
Dans les capteurs utilisés, l'effet de pression provoque la déformation d'une pièce
mécanique généralement métallique. Cette déformation doit rester dans le domaine
d'élasticité mécanique de la pièce. Le matériau qui la constitue doit présenter un minimum
de rémanence et rester, le moins possible, sensible aux variations de température. Cette
déformation mécanique est mesurée par un transducteur qui la traduit en variation d'une
valeur électrique.
Il existe plusieurs types de capteur de pression. Dans le cadre de notre étude, nous
avons utilisé un capteur de pression piézoélectrique.
S’il est correctement taillé et bien orienté par rapport à son axe cristallographique, un
morceau de quartz ou une céramique poly cristallin produira une petite charge électrique
quand elle est tendue. Les sondes piézoélectrique n’exigent aucune puissance externe et
sont employées pour des mesures dynamiques. Ces sondes ont des fréquences normales
très hautes et sont à faible bruit.
Les capteurs piézoélectrique de pression sont généralement utilisés pour mesurer les
changements très rapides de pression, tels que des ondes de choc des explosions ou d’un
transitoire de pression très rapide.
L’électropompe et l’électrovalve
Nous avons utilisé une petite électropompe alimenté en 6V (MPDO de Andon) montrée
sur la figure (). L’électropompe est attachée à un système pneumatique qui fournit l’air au
système pour gonfler le brassard. Le dégonflage se fait grâce à une petite valve
électronique de la marque VLDC de Andon alimenté en 6V (figure). Le dégonflage se
fait de manière intermittente (3mmHg/seconde).
Le brassard
Il se compose de deux parties distinctes. Tout d’abord, le brassard lui-même est fait
d’une poche d’air extensible cernée par une enveloppe non élastique qui sert au maintien
de la poche autour du membre du patient. Le plus souvent, la solution adoptée est celle du
scratch qui présente une grande simplicité d’utilisation et un système d’attache répartissant
les contraintes physiques sur la totalité de la largeur du brassard.
Pour amener le signal jusqu’au capteur, les constructeurs utilisent des tubes semi
rigides de façon à conduire l’onde jusqu’au capteur sans trop d’atténuation, tout en
permettant une bonne manœuvrabilité pour les soignants ainsi qu’une liberté de
mouvement du patient.
Afficheur ci-dessous est un afficheur LCD avec 2 lignes fois 16 caractères ayant les
mêmes fonctionnalités et caractéristique que le LCD 2004A ; la seule différence se fait au
niveau du nombre de ligne et de caractère (4 lignes fois 20 caractère).
Un Arduino Uno
Un capteur de pression MPX2050DP
Une électropompe
Une électrovanne
Un transistor 2N2222
Un potentiomètre de 10KΩ
Un afficheur LCD 20×4
Une alimentation 10V pour le capteur
Une alimentation 5V pour le moteur et l’écran
Les fils de connexions
Un multimètre
Un câble USB pour Arduino
0V, le transistor est bloqué et le moteur va s’arrêter. Pour l’électrovanne, si la tension est
de 5V, la vanne est fermée et si la tension est de 0V, la vanne est ouverte.
Tout montage électronique nécessite une alimentation pour fonctionner. Notre montage
nécessite une alimentation de 5V pour l’alimentation de la carte Arduino et ses
périphériques, mais aussi des tensions de :
10V pour alimenter le capteur de pression. Pour cela, nous allons utiliser une source
d’alimentation externe (pile).
5V pour alimenter le moteur et l’écran. Pour cela, nous allons utiliser l’alimentation
5V fournie par l’une des broches de la carte Arduino.
5.2.1. Organigramme
Apres que la pompe élève la pression à 180 mmHg, ce qui est approximativement
supérieure à la pression systolique d’une personne saine, le brassard commence à dégonfler et
le programme entre dans l’étape de la mesure systolique. Durant cette étape le programme
observe l’onde issue de la broche analogique lorsque la pression dans le brassard décroît jusqu’à
une certaine valeur, le sang commence à couler dans le bras. A ce moment, si on observe
l’oscilloscope on peut voir le début des oscillations. La pression systolique peut alors être
obtenue. La méthode de notre programme est la mise d’un seuil de tension de 19.5mV pour les
oscillations du brassard. Au début, il n’y a pas de pulsations. Ensuite, lorsque la pression dans
le brassard décroît jusqu’à ce que la valeur de la pression systolique soit atteinte, l’oscillation
commence et augmente. Nous pouvons alors compter le nombre de pulsations qui ont des
valeurs maximales en dessous de tension seuil. Si le programme a jusqu’à quatre oscillations,
il entre dans l’étape du calcul de la pression systolique. Dans cette étape, le programme
enregistre l’amplitude maximale des 4 oscillations obtenues. Ensuite, il convertit cette valeur
de tension en la pression dans le brassard pour déterminer la pression systolique d’utilisateur.
A partir des caractéristiques de transfert du capteur de pression, nous pouvons
déterminer la pression systolique en observant l’amplitude maximale des quatre oscillations
obtenues.
Donc, la pression dans le brassard en KPa peut être calculée par l’équation :
En combinant toutes ces conversions, nous obtenons la formule pour convertir la tension
du capteur en pression dans le brassard de la manière suivante :
Où « tension du capteur » est la plus petite tension des quatre dernières oscillations
obtenues dans le brassard.
Ce projet achevé laisse évidement place à l’idée d’ajouter plusieurs améliorations car
le temps alloué au développement du projet est limité. On peut suggérer quelques-unes
pour l’amélioration de la réalisation :
CONCLUSION GENERALE
Cette réalisation nous a permis d'élargir nos connaissances aussi bien en anatomie
qu’en électronique et également en programmation sur Arduino.
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Québec, Montréal, 22 Mai 2007. 13 consulté le 12/05 /2019
DEDICACE ........................................................................................................................................... I
REMERCIEMENTS .............................................................................................................................. II
AVANT-PROPOS ............................................................................................................................... IX
RESUME.......................................................................................................................................... XIII
ABSTRACT....................................................................................................................................... XIV
RIASSUNTO...................................................................................................................................... XV
1.1.2. Vascularisation................................................................................................................ 4