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CHAPITRE
2
Un courant électrique dans un fil, est-ce vraiment plus qu’un torrent de "pe-
tites choses qui courent", ça dépend du point de vue. En tout cas, un courant
électrique, ça ne fait que passer!
Les courants 2
L’idée d’atome est une idée qui date de l’antiquité mais sa connaissance précise est relativement récente. Aristote a
toujours pensé que la matière était continue. Démocrite et Lucrèce, par contre, parlaient déjà de matière discontinue
(atomes et vide). Mais avant Rutheford, Thomson considérait l’atome comme un “cramique” dans lequel la pâte consti-
tuait la matière lourde et les raisins les électrons. Pour lui, les atomes étaient statiques. Aujourd’hui cette idée d’atome
est communément admise et confirmée expérimentalement mais il faut noter que personne n’en a jamais vu.
© André Yernaux.
Qu’il s’agisse de notre corps, de l’air que nous respirons, des vêtements ou du
sol sur lequel nous marchons, tout est constitué d’atomes. Nous en connais-
sons environ 120 dont 91 existent à l’état naturel sur terre.
Tout atome, quel qu’il soit, est constitué de 3 particules différentes : des neu-
trons, des protons et des électrons. C’est uniquement le nombre de chacune
de ces particules qui fait la différence entre les atomes. Par exemple, un atome
d’hydrogène ne contient qu’un proton, un neutron et un électron. Dans la fi-
gure 36, c’est l’atome de plomb qui en contient le plus.
A quoi ressemble un atome? C’est impossible à dire car même le plus gros des
atomes est tellement petit (en une bouffée d’air, nous avalons 25000 milliards
de milliards d’atomes) que personne n’en a jamais vu. On sait seulement qu’il
y a une partie centrale qu’on appelle le noyau qui contient les protons et les
neutrons. On sait aussi que les électrons “tournent” autour de ce noyau. Com-
ment tournent-ils? On ne le sait pas exactement. On peut juste définir des ré-
gions (orbitales) dans lesquels la probabilité de trouver un électron est plus
grande. Alors à quoi ressemble un atome? Disons que la meilleure image que
l’on peut se faire d’un atome est celle d’une boule d’ouate.
Arrêter un électron pour l’observer est impossible car un électron ressemble plus à un son qui se propage qu’à une
bille. Les scientifiques disent que l’électron est de nature plus ondulatoire que corpusculaire. Au fond, est-on sûr que
les électrons existent puisque qu’on ne les a jamais vus? Oui car trop de choses s’expliquent et se prédisent
aujourd’hui en supposant leur existence. Ne fut-ce que l’électricité.
Les atomes sont constitués de 3 particules. Mais elles, de quoi sont-elles faites? Sont-elles élémentaires (indivisi-
bles)? On le croyait au début de ce siècle mais aujourd’hui, les scientifiques ont découvert que les protons et neutrons
sont constitués de quarks. Peut-être apprendrez-vous de vos enfants que ces quarks sont constitués d’autres choses
encore plus élémentaires et ainsi de suite.
Aujourd’hui déjà, certains parlent déjà de cordes Quelquefois présentée comme la théorie du tout ou encore la théorie
finale, la théorie des cordes n’est pourtant encore qu’une symphonie inachevée, qui n’a en outre pas encore reçu la
moindre confirmation expérimentale. Un chercheur américain a dit : la théorie des cordes fait partie de la physique du
XXI ème siècle; elle est tombée par hasard au XX ème siècle.
© Le Soir du 26/10/01 à propos de “L’Univers élégant” - Brian Greene, Laffont
Dans un circuit électrique c’est exactement le même principe qui est en jeu.
Le courant s’établit quasiment instantanément car il s’agit d’un mouvement
de proche en proche à l’image de la figure 41. Les électrons qui entrent dans
un fil électrique d’un côté ne sont pas ceux qui sortent presque aussitôt par
l’autre.
Fig. 41. Les billes dans
ce tuyau illustrent bien
le principe du mouve-
men t d e p ro ch e en
proche des électrons
dans un fil électrique.
Quasiment au moment
à la bille de gauche est
poussée, la bille de
droite tombe.
Notre image du début (un embouteillage d’été) n’était donc pas si farfelue.
Toutefois la vitesse d’établissement du courant n’est pas instantanée. Si l’on
pouvait relier la planète Mars et la Terre avec une ligne téléphonique, cela
prendrait 20 minutes pour transmettre un message.
Notez que si dans le cas le plus fréquent (celui d’un fil électrique) cette con-
vention s’est avérée fausse, elle est correcte pour un courant dans un électro-
lyte (liquide conducteur) puisque ce sont des ions positifs (atomes ayant perdu
l’un ou l’autre électron) qui se déplacent.
Les unités de longueur changeaient cependant au cours du temps et d'une région à l'autre. A la fin du Moyen-âge, on
utilisait, par exemple, des “coudées” dont la longueur pouvait varier entre 50 et 75 cm. On devait ainsi combiner des
unités diverses (en disant par exemple, que telle longueur valait 5 pieds et 3 pouces). Pour rationaliser ces premiers
systèmes d'unités, on établissait des conventions telles que celles-ci : “2 coudées valent 3 pieds” et “1 pied vaut 12
pouces”.
Le Brugeois Simon Stévin proposa, en 1585, de choisir une seule longueur comme unité de base et de considérer uni-
quement des unités secondaires qui sont 10, 100 ou 1000 fois plus grandes ou plus petites que celles-ci. Ce système
décimal n'a pu être adopté qu'à partir de la Révolution Française. Un projet de loi (déposé en 1790) demandait que la
nouvelle unité de base pour les longueurs soit définie à partir des dimensions du globe terrestre, pour insister sur le
fait qu'elle devait créer un lien entre tous les hommes.
On chargea une commission de savants de la détermination de la longueur totale d'un grand cercle passant par les
pôles, appelé méridien. On mesurait la distance séparant Dunkerque et Barcelone (en toises) et on calculait la lon-
gueur totale du contour de la terre. Ensuite, on définissait la nouvelle unité de longueur, appelée “mètre” (du grec
metron qui veut dire mesure) comme étant la quarante millionième partie de cette longueur. Les autres unités étaient
généralement des multiples ou des fractions décimales du mètre. Ainsi est né le système métrique qui nous est familier
aujourd'hui.
Ensuite, pour matérialiser la longueur du mètre, on fabriqua un mètre étalon constitué d'une lame de platine (de 4 mm
d'épaisseur, 25 mm de largeur et exactement 1 mètre de longueur). L'emploi du système métrique fut imposé pour la
France en 1799, mais Napoléon rendit son usage facultatif. Après sa réimposition, en 1840, son utilisation se généra-
lisa rapidement dans les autres pays du continent européen.
Malheureusement, de nouvelles mesures géodésiques révélaient cependant (vers 1875) que la longueur totale du
méridien terrestre n'était pas égale à 40 000 km, mais à 40 007 km environ. A cause de l'accumulation des incertitudes
de mesure pour des distances aussi grandes, il était illusoire de vouloir définir la longueur du mètre à partir des dimen-
sions de la terre. Il fallait se contenter de l'adoption d'un mètre étalon. On décida de maintenir le mètre tel qu'il avait
été défini précédemment, mais on fabriqua “un mètre étalon” dont la longueur pourrait être préservée de manière plus
fiable. Ce mètre fut adopté lors de la “Première Conférence des Poids et mesures” (en 1889) par un très grand nombre
de pays (à l'exception notable des pays anglo-saxons).
Le nouveau mètre étalon correspondait à une barre de platine iridié. Cela veut dire qu'on avait utilisé un alliage de
90% de platine et de 10% d'iridium qui se dilate et se con-tracte très peu quand il subit des variations de température.
On avait donné aussi à la barre un profil en “x” pour qu'elle reste bien rigide. Ce mètre était conservé soigneusement
dans une cave, à Sèvres, près de Paris.
Cette situation s'est maintenue jusqu'en 1960. A cette époque, on décida d'abandonner la référence à la longueur
d'une barre métallique pour se servir d'un étalon inaltérable et universel. Il s'agissait de la “longueur d'onde” de la
lumière émise par les atomes de krypton 86, c'est-à-dire de la distance que cette lumière parcourt pendant la durée
d'une de ses oscillations. Elle est très petite, mais elle peut être mesurée avec une très grande précision dans les
laboratoires de n'importe quel pays du monde. En fait, on a préservé l'ancienne valeur du mètre en disant qu'il est 1
650 763,73 fois plus grand que la longueur d'onde choisie. © A. Meessen, Mécanique, (De Boeck 1990), pp. 350 à 352.
Parmi les unités, il faut distinguer les unités de base des unités composées. Les
unités de base répondent à une convention internationale arbitraire (il n’y a
pas de raison objective de choisir tel étalon plutôt qu’un autre). Le système
international, aussi appelé le système MKSA, utilise le mètre, le kilogramme,
N . B . • Lo rs q u’i l la seconde et l’ampère comme unités de base.
peut y avoir confu-
sion avec d’autres Les unités composées dépendent toutes des unités de bases. Ce sont, par
lettres, les unités
doivent s’écrire en-
exemple, l’heure qui vaut 3600 secondes, le kilomètre par heure (km/h) qui
tre crochets. n’a pas reçu de nom particulier ou le watt qui vaut 1[kg.m²/s3]. Nous défini-
Ex. : v = 120[km/h]
rons beaucoup d’unités composées dans ce cours.
Et le MKSA alors?
Les quatre unités de base sont officiellement le mètre, le kilogramme, la seconde et... l’ampère. Pourquoi en est-il
autrement dans ce cours? Pour des raisons exclusivement didactiques. Cela clarifie les choses pour la majorité des
étudiants. Or, comme ce n’est ni un cours de physique ni un cours d’histoire des sciences, j’estime que cela vaut bien
une petite entorse à la version officielle.
L’unité du courant (le mot courant est un abus de langage très répandu pour
parler de l’intensité du courant) s’exprime en coulomb par seconde. Cette uni-
té a reçu le nom d’ampère en hommage à André Marie Ampère.
Ainsi un courant de 12A en un point d’un circuit signifie que 12C y passent à
chaque seconde. De même si 180C passent par minute en un autre point, il y
a un courant de 3A.
I1
I2
sur les conducteurs
Itot
qui désigne le sens po-
2
sitif du courant.
Par exemple, si I5=2,5A
12V
alor s le cou rant va A I5
5 B
bien du noeud A vers
B m ai s s i I 5 =- 2 , 5A
4
alors le courant va de
B vers A.
I3
I4
I tot
AC DC
1 [Ah] = 1 [C/s . h]
= 1 [C/s . 3600 s]
= 3600 [C/s . s]
= 3600 [C]
1Ah peut donc être remplacé par 3600C ou inversement puisqu’il sont équi-
valents. Ainsi une batterie qui contiendrait 30Ah peut générer un courant de
30A pendant 1h, ou un courant de 15A pendant 2h, ou un courant de 10A pen-
dant 3h, ou un courant de 1A pendant 30h, etc.
Ainsi, la pile rechargeable de la figure 48 contient en fait 792[C] (le ’m’ de-
vant l’unité Ah veut dire ici la même chose que le m de mm, c’est-à-dire
m=0,001).
= 220.3,6 [C]
= 792 [C]
Fig. 48. Les Ah sur les
piles ou les batteries
désignent leur capaci-
té. Cette pile rechar-
geable ci-contre peut
contenir une charge
électrique de 220mAh,
c’est-à-dire de 792[C].
Cette notation de la charge électrique est fréquemment utilisée sur les batte-
ries des portables GSM, ordinateurs portables ou autres, pour identifier leur
capacité.
1. Je préfère appeler cette loi “la loi des courants” plutôt que “la loi des noeuds” comme le font la plupart des gens car cela
permet de mieux retenir sur quoi porte la loi et, surtout, qu’elle est valable même quand il ne s’agit pas d’un noeud.
∑I in = ∑ Iout
EQ 2
Cette loi s’accepte assez facilement car elle fonctionne aussi bien avec des
voitures que des ampères. Elle s’applique en écrivant l’équation (à une incon-
nue maximum) pour le noeud ou n’importe quel ensemble et en la résolvant
mathématiquement.
∑
o r ie n t é e
I noeud = 0
EQ 3
I1 - I3 - I5 = 0 plutôt que I1 = I3 + I5 .
2.3.4. Exemples
Afin de bien comprendre comment s’applique cette loi, étudiez en détails les
exemples de la figure 51.
2 ? 2
3 Autos I2 3A I2
1
1
2 Autos
2A
3 Autos + 2 Autos = I2 3A + 2A = I2
Fig. 51. les courants
répondent toujours à ⇒ I2 = 5A
une loi très simple : la ⇒ I2 =
somme de ce qui sort
est égale à la somme
ce qui rentre... quel
que soit l’ensemble
sur lequel s’opère la I2
2
loi.
Quant à l’application
4
3
de la loi, il suffit de
13A
1A
ne un jeu d’enfants.
3
19A
Dès qu’il y a plusieurs noeuds, il faut appliquer la loi des courants autant de
fois qu’il y a de noeuds. Il n’y a pas vraiment d’ordre d’application mais cette
loi n’est utile que s’il n’y a qu’un courant qui est inconnu. Il faut donc com-
mencer par les noeuds dont tous les courants sauf 1 sont connus.
Prenons un exemple, le circuit de la figure 52 (page suivante). On désire cal-
culer le courant dans le dipôle x du circuit par la loi des courants. Mais le
2,5mA
Fig. 52. Pour calculer Méthode 1 :
B
1,4mA
le courant dans un cir- Noeud A : I1=1mA + 0,2mA = 1,2mA
cuit, il faut parfois ap- Ensemble B : I2 = 2,5mA - I1 = 1,3mA
pliquer plusieurs fois Noeud C : I3 = 8,4mA-1mA = 7,4mA
la loi des courants. Ensemble D : I4 = I3 - I2 = 6,1mA
L’ordre d’application Noeud E : Ix = 5mA + 1,4mA - I4 = 0,3mA
dépend des courants E
I1
connus. I2
En fonction des en- 5mA I4 A 0,2mA
Méthode 2 :
sembles et/ou noeuds
D Ensemble du circuit :
Ix
I3
que l’on considère, on
1mA 5mA + 1,4mA + 2,5mA = Ix + 8,4mA + 0,2mA
peut trouver la répon-
C donc Ix = 0,3mA
x
se en plus ou moins
d’étapes 8,4mA
En électricité, on rencontre des nombres dont la grandeur varie entre des limi-
tes énormes. On doit, par exemple, pouvoir comparer la charge minuscule
d’un électron avec celle, infiniment plus grande, d’un éclair. Le rapport entre
la plus grosse et la plus petite de ces quantités est tellement grande qu’il faut
trouver un moyen simple pour l’exprimer.
Par exemple, on l’a vu plus haut, un courant électrique de 1 ampère corres-
pond au passage de 6.240.000.000.000.000.000 électrons par seconde. Com-
ment exprimer simplement des chiffres aussi grands?
On utilise pour cela la notation scientifique (NS). Cette notation est facultative
pour les nombres de 1 à 999 c’est-à-dire ni trop grands ni trop petits, mais
obligatoire pour tous les autres.
Elle se base sur les puissances de 10. Il faut donc maîtriser la table suivante.
N.B. • La méthode …
de conversion est 100000 = 105
simple. 10000 = 104
si x>1 : l’exposant 1000 = 103
est égal au nombre 100 = 102
de zéros 10 = 101
si x<1 : l’exposant 1 = 100
est égal à - le nom- 0,1 = 10-1
bre total de zéros, y 0,01 = 10-2
compris celui qui se 0,001 = 10-3
trouve devant la vir- 0,0001 = 10-4
gule. 0,00001 = 10-5
…
puissance de 10
mantisse
?
?,?? .10
3
Ex.: 1840 se note 1,84.10
La deuxième partie est la puissance de 10. Si le nombre initial est >1, cette
puissance est positive et vaut le nombre de chiffres entre le 1er chiffre signi-
ficatif et la virgule. Si le nombre initial est < 1, cette puissance est négative et
vaut le nombre total de zéros à gauche du 1er chiffre significatif. Si le nombre
est 1, cette puissance vaut 0. Analysez en détail ces exemples.
La puissance de 10 ...
• est positive si le nombre initial est >1, elle vaut le nombre de
chiffres entre le 1er chiffre significatif et la virgule.
• est négative si le nombre initial est < 1, elle vaut le nombre
total de zéros à gauche du 1er chiffre significatif.
• est nulle si le nombre est 1.
N.B. • La mantisse
mantisse puis. de 10 N.S.
est mise en bleu et
1.238 = 1,24 *10^ 3 = 1,24.103
les chiffres à comp-
-78.452 = -7,85 *10^ 4 = -7,85.104
ter pour obtenir la
9.006.030 = 9,01 *10^ 6 = 9,01.106
puiss ance de 10
12 = 1,20 *10^ 1 = 12
sont soulignés.
1008 = 1,01 *10^ 3 = 1,01.103
N.B. • Les chiffres
6,40568 = 6,41 *10^ 0 = 6,41
entre 1 et 999 ne
-0,20096 = -2,01 *10^ -1 = -2,01.10-1
doivent pas obliga-
0,005 = 5,00 *10^ -3 = 5.10-3
toirement être écrit
0,000087571 = 8,76 *10^ -5 = 8,76.10-5
en N.S.
TI 30 Casio
U = R.I
−6
= 50.10 .0, 4.10 [Ω.A]
3
4 3−6 V
= 50. .10 [ .A]
10 A
−3
= 20.10 [V]
= 20 mV
a) La règle de 3
Cette règle, bien qu’un des plus simples en mathématique, est cruciale dans
ce cours. Elle est utilisée dans presque tous les exercices. Il existe des “trucs”
pour l’utiliser correctement. En voici 3 différents.
B B
= Si A = , dessiner B A2 = 6
X A .X X3
Déplacement en croix. Cacher le terme à calculer. Remplacer les termes par 2, 3 et 6
B B Ex : en cachant X, on voit qu'il Ex : comme 3 = 6/2, on voit
Ex : A = ⇒X = est égal à B/A
X A que X est égale à B/A
1 - -----------
1- 1 - ------------
1 -
----------- + = ------------------ +
1000 1500 3 6
400.10 2.10
Si vous ne pouvez dire, sans machine, que les réponses sont 1/600 pour le cal-
cul de gauche et 3.10-6 pour l’autre, vous devez absolument revoir la techni-
que du PPCM. Si vous ne savez pas ce que c’est, demandez à votre prof. de
math.
2.5. Exercices
Les réponses de ces exercices se trouvent à la page 175.
• Le calcul scientifique
Ex 2.9 : Ecrire en puissance de 10 les nombres suivants
1000 = 0,000001 =
100000000 = 0,1 =
10 = 0,00001 =
1= 0,001 =
10-3 = 100 =
105 = 10-5 =
106 = 102=
10-1 = 10-4=
102 103
106 105
10-2 101
10-6 104
10-6 10-7
10-2 10-1
10-0 10-1
0,8 = 9989 =
12,52 = 60510 =
0,0300512 = 800489=
406600,25 = 0.0000897645 =
2500 = 0,0008 =
806000 = 0,00567 =
10008 = 0,02 =
-140 = 0,9 =
6= -0,000000899
150mA =
800kA =
7,6µA =
-0,2MA =
0,03nA =
50cm = 800mA =
940cm = 500MA =
0,5GA = 0,2µA =
3µA = 100kA =
0,4mA = 0,006km =
Ex 2.16 : Quel courant peut débiter le transformateur dont voici la plaque signali-
tique?
Ex 2.17 : Ecrire les courants suivants en notation ingénieur (avec le préfixe adé-
quat)
5.104A = 0,04mA =
0,0006A = 5400mA =
80.107A = 0,4kA =
0,64.10-2A = 0,6A =
2A
I
3A
Ex 2.19 : Calculer le courant dans l’ampoule
4A
1A
2A
IA
0,02A 300µΑ
5mA
1A
4A
1A 2A
Itot 6A
12mA
2mA
3mA
500µA
Ex 2.23 : Calculer le courant dans le haut-parleur du circuit suivant.
+Vcc
6mA
10mA
1mA
500µA
500µA
2mA
5A
1A
0
Z
1 5
a1 Vcc1 b1
2 6
a2 b2
Z
3 7
a3 b3
4 8
a4 GND b4
0
1A
1A
Z
Z
Z
4A 3A
3mA
0,5mA
11µA
6µA
3µA
17µA
LED
0,5µA
1µA
Ceci n'est pas un
noeud !
Ex 2.27 : Calculer le courant total consommé par le dipôle suivant (examen fictif
janvier 2001)
3mA
6mA
1,5mA
2mA
1mA
Ex 2.28 : Calculer le courant Iin dans le circuit suivant (examen fictif janvier 2000)
Vcc +20V
1,4mA
1,3mA
620
68k
300 µA
I in 200 µA
10k
1mA
10k
2mA
1k
2,4mA
Ex 2.29 : Calculer le courant qui traverse le dipôle LDR en supposant que l’inter-
rupteur reste ouvert (examen janvier 2001)
Vcc = +12V
30mA
900µA
10k
10k
1 14 3
220
LDR 2 5
HEF
800µA
20mA
4011
4
3mA
10k 6 7
500µA
10µF
400µA
10µA 60µA
10µA LM394 LM394 10k
100µA
150k
20k
1k
LM394 30µA
10µA
1N4142
5µA
0
0
0
0 0
10µA
LT1012
0 0 10k
LT1012
20k
1mF
10k
40µA
1mF 1N4148
10µA