INTRODUCTION
1-La parure
2-Les surnoms
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
INTRODUCTION
La littérature féminine est l’ensemble des productions littéraires d’abord faites par
les femmes et quelques fois par les hommes. Ces femmes prêtent leur voix à l’écriture
féminine pour dénoncer, réclamer leur liberté, l’égalité entre homme /femme. L’écriture
féminine quant à elle est une théorie qui dissocie l’inspiration psychologique et culturelle du
corps et de la différence dans la langue et les textes. Ainsi, pour identifier les personnages
féminins stéréotypes, nous allons tout d’abord voir les catégories des personnages féminins
dans la littérature féminine, ensuite la représentation des stéréotypes de la femme dans la
littérature féminine et enfin, l’image de la femme dans la littérature féminine.
I-LES CATEGORIES DES PERSONNAGES FEMININS DANS LA LITTERATURE.
La femme dépendante est donc une personne diminuée à ses propres yeux, car elle
ne s’estime pas assez bien, pas assez méritante de la relation qu’elle a avec cette personne
qu’elle admire tant. Cela implique également une souffrance dans son lien à elle-même : elle
pensera que c’est parce qu’elle n’a pas suffisamment de valeur que l’autre de l’aime pas
autant qu’elle le voudrait. Les personnes souffrant de dépendance sont donc vulnérables,
peu sures d’elles et s’aiment peu : seule la validation de l’autre compte. Dans cette situation,
il devient très difficile, voire impossible de se construire en tant qu’individu : asservi à ses
sentiments extrêmes et déséquilibrés, le dépendant affectif accorde peu de temps à son
développement personnel et est vulnérable à la dépression.
Généralement, la dépendance de la jeune fille prend ses racines dans l’enfance. Elle
est le plus souvent le résultat d’un manque d’affection à ce période cruciale de la vie de la
part des parents par exemple. Le sujet affectivement dépendant ne se sent pas digne de
l’amour de ces derniers puisqu’il ne l’a pas reçu. Il sera donc tout le temps dans
l’observation, dans la même de l’amour que les autres lui donnent au cours de ses relations.
Convaincu, avant même qu’elles se commencent vraiment, qu’il n’en recevra pas assez, car
au fond de lui, il pense ne pas le mériter. Plus rarement, la dépendance peut survenir à l’âge
adulte à l’issue de relations abusives.
Les stéréotypes raciaux sont considérés comme des clichés qu’une race a vis-à-vis
d’une autre. Ces stéréotypes sont marqués dans la littérature féminine par le mouvement le
« Womanisme » qui est une réponse ou grief formulé contre des femmes de couleur par
rapport à leur dissociation du courant occidental. Cette considération était une lutte
générale des femmes entre elles-mêmes. Les womanistes afro-américaines telles que Alice
Walker, Clenora Hitson-Wdems s’unissent pour combattre l’oppression raciale, le racisme
pour la survie de toute la race noire. En Afrique les féministes telles que Colakolawolé la
nigériane ou la camerounaise Calixte Beyala croient que le womanisme lit le problème de
discrimination sexuelle à la question raciale et socio-politique. Ce womanisme est une afro-
féminisme qui met en avant le courage, l’audace, la fierté de la femme noire face aux
considérations raciales. L’afro-féminisme est une dénonciation des clichés sexistes qui
associent la femme noire à une bête de sexe, à une bête de sexe, à une mère pondeuse, à
une victime résignée ou encore à un être soumis et sans opinion.
Les stéréotypes de genre sont structurant à la fois pour la société et l’individu, mais
expliquent aussi le maintien de situations inégalitaires ou discriminantes envers femmes et
envers les hommes qui se conforment pas aux attentes que l’on a d’eux : en raison de leurs
choix professionnels, de leur orientation sexuelle, ou à l’inconscient collectif. Quelques
exemples de ces stéréotypes : les femmes sont plus émotives que les hommes, plus fragiles,
voire d’une grande instabilité nerveuse. Dans le mesure où l’on perçoit les femmes comme
plus faibles physiquement et psychologiquement que les hommes, elles sont tenues à
l’écart des métiers les plus pénibles et les dangereux. Les hommes justifient une
participation plus faible aux taches ménagères par différents arguments schémas sexués
hérités, manque de formation et manque de temps parce que les hommes travaillent plus.
On peut relever les traits adjectifs souvent cités dans la littérature concernant les
stéréotypes positifs et négatifs. Masculins positifs : confiant, sûr de lui, courageux,
aventureux, rationnel, analytique, fort, compètent, responsable, ambitieux. Masculins
négatifs : agressif, impatient, arrogant, égoïste, autoritaire Féminins positifs : patiente,
douce, aimante, affectueuse, intuitive, imaginative, sentimentale. Féminins négatifs :
inconstante, vulnérable, docile, soumise, émotionnelle. Ces traits masculins stéréotypes sont
davantage assimilés aux qualités de prestige, d’indépendance, de confiance en soi et de
responsabilité, et les traits féminins à l’affectif, la communication, les sentiments.
Différentes études suggèrent ainsi que les qualités d’intelligence, de confiance en soi et de
responsabilité sont reliées dans la conscience collective au prestige et à un statut social
élevé, ce qui expliquerait que les hommes occupent l’essentiel des positions hiérarchiques
alors que les femmes ont des fonctions professionnelles associées aux soins des autres, aux
relations et à l’éducation des enfants.
Ce sont des clichés, des banalités que l’on conçoit de la femme dans le domaine
religieux Ici, nous nous attarderons sur la religion musulmane qui considère la femme
comme un être de basse classe, recalée au second rang. De ce fait l’on se permettait de dire
que la femme musulmane est opprimée puisqu’elle est obligé d’obéir, de se soumettre aux
ordres de son mari, dans la prise des décisions. La première page de couverture de livre de
Djalil nous montre cela : « nous passons notre vie à souffrir pour faire plaisir à nos parents,
puis à nos maris, puis à parents. Nous passons notre vie à penser aux autres quand personne
ne pense jamais à nous. Nous passons notre vie pour les autres, en réalité nous n’avons
même pas de vie…
Oui, c’est pathétique. Un seul mot pour lui prononcer : ‘’je te répudie’’ et l’on se rend
soudain compte que l’on n’a même pas un chez soi. L’on a beau construire ensemble, tout
est à lui. Nous ne sommes rien, nous ne vallons rien, nous n’avons rien… ».
1-La parure
Elle renvoie au bibelot, l’embellissement, les bijoux et tous autres éléments qui
renvoient à la physionomie de la femme. La parure de la femme noire est observable à
travers son port des vêtements, sa façon de se maquiller au mode africain(traditionnel).
Tandis que chez la femme blanche, elle a plutôt un style libre car, elle peut s’habiller, se
maquiller comme elle veut.
2-Les surnoms
En conclusion, il était question pour nous d’identifier des personnages féminins dans
la littérature féminine. Il ressort de cette analyse d’abord des catégories des personnages
féministes dans la littérature féminine qui nous a conduit à parler de la femme dépendante
et de la femme indépendante, ensuite la représentation des stéréotypes de la femme dans la
littérature féminine qui nous a emmené à jaser des stéréotypes raciaux, des stéréotypes de
genre, des stéréotypes culturels et des stéréotypes religieux et enfin l’image de la femme
dans la littérature féminine qui nous a dirigé à papoter de la parure et des surnoms.
Rappelons pour finir que la littérature féminine est l’ensemble des œuvres écrites par les
femmes et l’écriture féminine est cette théorie qui a permis à la femme d’exposer son
problème, de dénoncer les violences envers elles, de réclamer leur liberté, l’égalité et leurs
droits.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.
-GOOGLE, WIKIPEDIA.