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INSTITUT AFRICAIN D’INORMATIQUE AFRICAN COMPUTER INSTITUTE
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ANNEE ACADEMIQUE 2019-2020 ACADEMIC YEAR 2019-2020
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REPUBLIQUE DU CAMROUN REPUBLIC OF CAMEROON
Paix- Travail -Patrie *********
Peace-Work-Fatherland
KNOWLEDGE MANAGEMENT
Rédigé par :
AYISSI Emmanuel
ANNEGA Belinga
KONO Marcel
MEFFO Stella
FOPA Mylord
TSAMO
WABO
Sous l’encadrement de
Mme NGO NDOUM
Année Académique
2019 – 2020
1
PLAN DE TRAVAIL
INTRODUCTION
II : AVANTAGES ET INCONVENIENTS
CONCLUSION
2
INTRODUCTION
3
I / HISTORIQUE ET DEFINITION DU CONCEPT
1) HISTORIQUE
2) DEFINITION
Partant du constat que le Knowledge Management est un concept complexe, Jean-Yves PRAX
propose différentes définitions du concept selon quatre points de vue:
- Définition utilitaire : Elle définit le Knowledge Management comme une solution à la
surabondance d’informations caractéristique du Web. Il permet ainsi de fournir une réponse
personnalisée et pertinente en temps voulu, sans que la demande n’ait été clairement explicitée
(réponse à une demande tacite).
- Définition opérationnelle : Il s’agit de « combiner les savoirs et savoir-faire dans les procès,
produits, organisations, pour créer de la valeur ». En d’autres termes, l’amélioration de la
performance d’une entreprise passe par l’association de savoirs (explicites et diffusables) et de
savoir-faire (tacites et non-diffusables).
- Définition fonctionnelle : C’est la définition la plus répandue qui consiste à décrire le Knowledge
Management à travers le « cycle de vie de la connaissance » (formalisation, validation, diffusion,
etc.) et des dispositifs nécessaires à sa mise en œuvre (travail collaboration, gestion de projet,
GED14, etc.). Selon Jean-Yves PRAX, cette définition est limitée car elle précise comment faire du
Knowledge Management et non ce que c’est et pourquoi en faire.
4
- Définition économique : Il s’agit de valoriser le capital intellectuel de l’entreprise, c’est-à-dire
l’ensemble des savoirs et des savoir-faire, d’exploiter les compétences déjà présentes, en vue
d’améliorer sa productivité.
1) Avantages
2) Inconvénients
5
III / LES OUTILS
Nous présentons quelques outils informatiques actuellement sur le marché pour la production, la
diffusion ou l’archivage des documents et des connaissances de l’entreprise.
Ces outils informatiques permettent de valoriser et de faire circuler la connaissance au sein de
l’entreprise. Ils sont un lieu de fixation et de transmission des connaissances. Ils doivent initier une
communication et créer une dynamique de partage.
L’entreprise doit choisir un outil adapté à son projet de Knowledge Management ainsi qu’à ses
objectifs et enjeux stratégiques. Elle devra donc naviguer parmi un méli-mélo et chassé-croisé
d’outils informatiques qui se réclament du Knowledge Management. Elle devra donc appliquer une
méthodologie afin de choisir son outil dans de bonnes conditions sans se laisser influencer par le
discours commercial. Il faut prendre en compte le cœur du métier de l’outil et analyser les
fonctionnalités par famille. Enfin, il est essentiel de suivre les évolutions de ces outils.
Les origines du Knowledge Management s’inspirent de cinq courants technologiques :
- les moteurs de recherche et outils linguistiques permettant la recherche, l’extraction, la
classification et le traitement linguistique ;
o le Web avec les sites et les portails ;
o le travail collaboratif participant au partage et à la communication ;
o la GEIDE qui décrit, gère et stocke les documents. La connaissance est mise en
valeur ;
o la documentation qui permet la description et la normalisation des connaissances.
Le choix de l’outil informatique devra tenir compte de ses origines. L’entreprise devra également
s’interroger sur les éléments qu’elle souhaite mettre en valeur. Jean-Yves PRAX détermine six
familles de technologies du Knowledge Management :
o échanger des idées,
o échanger de la connaissance,
o veiller et accéder aux sources externes,
o produire et gérer la documentation interne,
o transférer la connaissance, le e-learning,
o cartographier l’expertise.
6
L’entreprise devra hiérarchisée ces technologies en fonction de sa stratégie pour répondre à ses
besoins.
Les outils actuellement sur le marché sont nombreux. Gilles BALMISSE a réalisé un panorama des
outils de Knowledge Management lors de deux éditions de ses livres blancs. La présentation qui suit
en est inspirée. Cette liste d’outils n’est pas exhaustive. Elle propose des outils variés et de diverses
familles du Knowledge Management (outils de travail collaboratif, d’extraction des connaissances,
de cartographie, de gestion des processus, etc.).
IDS Sheer
Aris Process Platform
http://www.ids-scheer.fr/fr/index_fr.html
http://www.mega.com/index.asp/l/fr/c/product/p/mega-modelingsuite/p2/mega-
process
FileNet
Business Process Manager
7
http://www142.ibm.com/software/dre/ecatalog/detail.wss?locale=fr_FR&synke
y=B743624C32937K30
http://www.w4global.com/
Inxight VizServer
Inxight
Inxight Smart Discovery
http://www.inxight.com/
http://drupal.org/
http://www.sixapart.com/
http://www.vignette.com/fr/
EMC-Documentum eRoom
http://france.emc.com/index.htm
8
IBM/Lotus QuickPlace
http://www-306.ibm.com/software/lotus/products/quickplace/
Mayetic MayeticVillage
http://fr1.mayetic.com/
http://www.microsoft.com/france/office/2007/servers/sharepointserv
er/default.mspx
http://www.tacit.com/home.asp
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CONCLUSION
En somme
10