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Rapport
1-Rapport
3 – Décocher « Fissuration » si FAME+ ne vous demande pas un contrôle pour recherche de fissures
4 – Corrosion externe/interne : Pas accessible : Préciser sur WSE les points critiques (support non visible,
point US inaccessible à faire par cordiste) et transmettre à Dhaher AMINI. Sur rapport, préciser : en attente
CND ou inspection complémentaire (support ou autres).
Une corrosion doit être quantifiée. On parle de corrosion dès que nous avons une perte d’épaisseur
supérieure à 0.5 mm.
Exemple :
Corrosion par cratères localisées (ou isolé) de profondeur maxi 0.8mm.
Corrosion uniforme de profondeur 0.8mm.
Ancienne corrosion stoppé par peinture de profondeur 0.8mm. Pas d’évolution, sans gravité en état.
Corrosion/Erosion en génératrice inférieure du coude de profondeur 0.6mm maxi
Lorsque l’on trouve de la corrosion, il est nécessaire de faire une mesure d’épaisseur à proximité du défaut et de
soustraire la perte d’épaisseur. On parle d’épaisseur résiduelle.
Exemple :
Corrosion par cratères épars de profondeur 0.6 mm. Epaisseur mesuré 18.2 mm, Epaisseur résiduelle : 17.6 mm
« C’est l’épaisseur résiduelle qui va permettre de mettre à jour FAME+ »
Attention : de la corrosion par piqures ne se quantifie pas, on ne connaît pas la profondeur (forme du défaut) c’est un
défaut très critique…
Exemple :
Si vos points de mesure WSE ne sont pas accessibles, mais que vous avez l’accès sur d’autres points, n’hésité pas à
faire quelques points (Exemple : item1=6.2 mm à reporter sur la feuille UT)
Trace de fuite
En cas de fuite, signaler le plus vite possible (exploitant pour action immédiate) et éviter toute pollution ou perte
de confinement. (à préciser dans rapport : pose collier, isolation de la ligne, etc.)
Cas : Suintement, trace d’hydrocarbure, joint abimé, ancienne fuite, etc… utiliser le terme « trace de fuite sur
jeu de bride, clapet, vanne, presse étoupe, etc….)
Brûlage par soudure et ou par oxycoupage. Lors de soudure ou d’oxycoupage le système peinture dans la
périphérie immédiate (environ 20 cm de chaque côté de la zone en question) subit l’élévation de température de
l’acier, ce qui altère sa résistance et sa qualité à court terme.
Supportage :
Absence d’isolant, absence de collier, support manquant, etc.
Remarque : Sur un support glissant, c’est normal que la peinture de la semelle soit détériorée…cela n’affecte pas
l’intégrité de l’équipement, donc le support est en bonne état.
Soupape : Relever le numéro de soupape, la pression de tarage, la date de tarage et le numéro de l’appareil qu’il
protégé.
2-Lignes/Appareil + Mesures
Important : Vérifier les épaisseurs mesurées avec les épaisseurs mini de calcul. Alerter si problème…
Si on ne peut pas faire de contrôle US épaisseur noté sur rapport :
« Ligne non accessible, pas de mesure d’épaisseur : Intervention cordiste ou échafaudage »
En cas d'épaisseur mesurée faible, le contrôle est étendu dans tout le voisinage immédiat pour apprécier la
surface défectueuse
3-ISO
Sur iso, mettre les indications de type Cadre noir et fond blanc et lettrage en noir. Flèches en noir (épaisseur
2.25)
ITEM10
4-Photos
Signaler la ligne ou l’appareil par une flèche ou une indication s’il y a confusion ou
plusieurs lignes
Faire des clichés sur les défauts décelés, exemple :
Vue générale
Exemples de constat/recommandation
Boulonnerie ITEM1- Boulonnerie non peinte et non graissé. ITEM1- Remise en conformité de la
boulonnerie par peinture ou graissage
ITEM1- Boulonnerie non peint, non graissé, ITEM1- Remise en conformité de la
oxydation généralisée boulonnerie par peinture ou graissage
ITEM1- Boulonnerie non peint, non graissé, ITEM1- Remise en conformité de la
corrosion généralisée boulonnerie par peinture ou graissage
ITEM1- Boulonnerie peinte, début d’oxydation ITEM1- Remise en conformité de la
boulonnerie par peinture ou graissage
ITEM1- Boulonnerie peinte, corrosion ITEM1- Remplacement de la boulonnerie
suivant GS EP PV 112
ITEM1- Boulonnerie non peinte, corrosion ITEM1- Remplacement de la boulonnerie
suivant GS EP PV 112
ITEM1- Boulonnerie excentrée (3 filets mini de ITEM1- Remise en conformité au prochain
chaque côté de la boulonnerie, on tolère que ce soit arrêt ou remplacement de la boulonnerie
excentré mais que le taraudage de l’écrou ne soit
pas visible)
ITEM1- Boulonnerie trop courte ITEM1- Remplacement de la boulonnerie
suivant GS EP PV 112
ITEM1- Manque boulonnerie ITEM1- Mise en place de la boulonnerie
manquante
Supportage ITEM1- Manque isolant, manque support, vibration ITEM1- Remise en conformité du
(pendards, ligne, support déformé, boulonnerie manquant, supportage suivant la GS EP PVV 119
colliers, patins, corrosion, etc…
chaises, supports
à ressort)
ITEM1- Support détérioré ou corrodé ITEM1-Remise en état du support et de la
tuyauterie éventuellement.
ITEM1- Collier support corrodé ITEM1 -Dépose du collier pour inspection
de la tuyauterie (repose collier).
ITEM1- Support en position anormale ITEM1- Recherche de la cause, actions
correctives, remise en position normale.
ITEM1- Montage non conforme ITEM1- Mise en conformité
(avec précision du degré d'urgence)
ITEM1- Fers de charpentes détériorés ITEM1- Remise en état
Calorifuge ITEM1- Dégradation sur plusieurs endroits du ITEM1: Dépose calorifuge pour inspection
calorifuge de la ligne rendant l'ouvrage sensible aux et contrôle US épaisseur (recherche
intempéries et aux dommages (corrosion externe corrosion), retouche peinture (optionnel) et
sous calorifuge) remise en conformité du calorifuge.
Nota : Ne pas calorifuger les éléments dont la Voir note interne MAMADY
température est inférieur à 100° C.
Calorifugé que sur exigence de l’exploitant. Les
protections personnelles pour T>70° C seront
assurées par un grillage anti-personnel.
Traçage vapeur ITEM1- Présence de fuite de Vapeur (visible) ITEM1- Stopper la fuite de vapeur
ITEM1- Présence de fuite de Vapeur (non visible) ITEM1: Dépose calorifuge pour stopper la
fuite puis inspection et contrôle US
épaisseur sur collecteur, retouche peinture
(optionnel) et remise en conformité du
calorifuge.
Traçage ITEM1- Traçage électrique n’est pas en contact ITEM1- Fixer le traçage électrique au
électrique avec le collecteur collecteur
Isométrique ITEM1- Isométrique modifié sur place, tracé de ITEM1- Mise à jour de l’isométrique
l’isométrique modifié.
ITEM1- Erreur de repérage de tag, etc… ITEM1- Mise à jour de l’isométrique
Corrosion ITEM1- Corrosion généralisée de profondeur 5mm ITEM1- Remplacement du tronçon suivant
maxi, épaisseur résiduelle non conforme la GS EP PV112
ITEM1- Corrosion interne de la ligne, épaisseur ITEM1- Remplacement du tronçon suivant
résiduelle de 3mm pour 4mm, non conforme la GS EP PV112
Dommage ITEM1- Tronçon de ligne déformé suite accident ITEM1- Remplacement suivant la GS EP
mécanique PV112
ITEM1- Déformation de la tuyauterie ITEM1- Remplacement suivant la GS EP
PV112
Point singulier ITEM1- Mise en évidence d’un bras mort (purge, ITEM1- Contrôle du bras mort par US
tuyauterie, etc…) épaisseur ou scan, Gammagraphie.
ITEM1- Abesence de bouchon sur évent de selle ITEM1- Elimination des oxydes, mise en
renfort place d’un bouchon
Support béton ITEM1- Dégradation du massif béton ITEM1- Réfection du massif béton
ITEM1- Fissuration du support béton ITEM1- Réfection du massif béton
Plaque ITEM1- Plaque constructeur non lisible (peinture, ITEM1- Confection et remplacement de la
constructeur sablage, endommagé, etc.…) plaque constructeur (marquer dans registre
de l’appareil)
ITEM1- Plaque constructeur manquante ITEM1- Confection et mise en place de la
plaque constructeur (marquer dans registre
de l’appareil)
ITEM1- Manque 1 rivet sur la plaque constructeur ITEM1- Mise en place du rivet manquant
ITEM1- Corrosion (de type foisonnement, ITEM1- Remplacement du pontet
percement) entre le pontet et la plaque constructeur
Mise à la terre ITEM1- Mise à la terre défectueuse ITEM1- Remise en conformité de la mise à
la terre
ITEM1- Mise à la terre manquante ITEM1- Remise en conformité de la mise à
la terre
Réparation ITEM1- Présence d'une réparation provisoire ITEM1- S'assurer de sa prise en compte
provisoire type pour réparation définitive
colmatage de
fuites
Divers ITEM1- Tuyauterie baignant dans de l'eau ou des ITEM1- Pompage et inspection.
hydrocarbures Aménagement de la zone
ITEM1- Tuyauterie en contact avec le sol ITEM1- Dégagement et inspection.
Aménagement de la zone
ITEM1- Tuyauterie en contact avec une structure ITEM1- Dégagement et inspection.
en béton Actions correctives
ITEM1- Détérioration de l'enrobage à l'entrée dans ITEM1- Dégagement et inspection de la
le sol tuyauterie. Actions correctives
ITEM1- Présence de végétation rendant l’inspection ITEM1- Dégagement et inspection.
et les contrôles impossible Aménagement de la zone éventuellement.
Inspection externe
- Extérieur des tubes (ailettes : dépôts, aspect, écrasées, corrodées, parties non ailetées)
- Aspect général extérieur (mise à la terre, accès, revêtement, fixation / corrosion tôles, hottes)
- Etat des infrastructures (échelles, supportage,…)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Boite de distribution (dépôts : présence, quantité, prélèvement, aspect ; corrosion par oxydation, cratères, piqûres,
corrosion des piquages et des soudures, état des filets et des bouchons, du revêtement externe, des jeux de brides)
- Boite de retour (dépôts : présence, quantité, prélèvement, aspect, corrosion par oxydation, cratères, piqûres, corrosion
des piquages et des soudures, état des filets et des bouchons, du revêtement externe)
- Tubes (dépôts : présence, prélèvement, aspect, nombre de tubes bouchés, corrosion par oxydation, cratères, piqûres,
état de l’entrée des tubes) prélèvements éventuels ou contrôle IRIS
Equipement : BALLON
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état calorifuge, tôles, revêtement, jupe, accessoires, soudures, piquages, soupapes, évents,
jeux de brides, trous d’homme, mise à la terre)
- Etat des infrastructures (échelles, supportage…)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation, repérage nombre piquages bouchés)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat de l’appendice
- Etat revêtement
- Etat matelas
- Etat cloison
- Etat serpentin de réchauffage
- Etat accessoires divers
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état calorifuge, tôles, revêtement, jupe, accessoires, soudures, piquages, soupapes,
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation, nombre de piquages bouchés)
- Corrosion des parois, fond, zone de flash, dôme (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat doublage, clad, plateaux, déversoirs, gardes hydrauliques, supports, visserie, garnissage (tombés, déformés,
ondulation, érosion, corrosion)
- Etat déflecteur ligne de charge
- Etat anti-vortex
- Etat cloison
- Etat accessoires divers
Equipement : REACTEUR
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état calorifuge, tôles, revêtement, peinture thermosensible, accessoires, soudures,
piquages, soupape, évent, mise à la terre, trou d’homme, tiges filetées, jeux de brides)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat des infrastructures (échelles, supportage, …)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation, nombre de piquages bouchés)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat clad, doublage, gunitage, internes (paniers, plateaux, attaches, grilles, déflecteurs, crépines, distributeurs,
cheminées, scallop)
- Etat accessoires divers (gaines de thermocouples…)
Equipement : ECHANGEUR
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état calorifuge, tôles, revêtement, accessoires, soudures, piquages, soufflet, jeux de
brides, mise à la terre)
- Etat des infrastructures (échelles, supportage,…)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Boite de distribution : dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect), corrosion (oxydation, cratères, piqûres,
cloques), corrosion des soudures, corrosion des piquages, cloisons (déformations, corrosion généralisée / cratères /
piqûres), portées de joints
- Extérieur des tubes : dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect), corrosion (oxydation, cratères, piqûres),
déformation
- Etat des chicanes et tirants
- Intérieur des tubes / tête flottante : dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, nombre de tubes bouchés),
corrosion (cratères, piqûres), éventuel prélèvement de tubes et repérage, contrôle IRIS
- Plaque tubulaire mobile / fixe : corrosion (oxydation, cratères, piqûres), état extrémité des tubes et des portées de
joints
- Couvercle tête flottante : corrosion (oxydation, cratères, piqûres), portées de joint, état des ½ couronnes et des
éclisses
- Calandre : dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation), corrosion (oxydation, cratères, piqûres,
cloques), corrosion des piquages et soudures, état portée de joints
- Fond de calandre : dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect), corrosion (oxydation, cratères, piqûres,
cloques), état et corrosion des piquages et soudures, état portée de joints
Equipement : CHAUDIERE
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état calorifuge, tôles, revêtement, accessoires, soudures, piquages, mise à la terre, portes
autoclaves,
tubes écran, gaines, état des brûleurs et de la combustion, niveaux à glace, équipements de régulation, regards,
paliers de
ramoneurs)
- Etat des infrastructures (échelles, supportage,…)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Chambre : Etat tubes écran (prélèvement éventuel), turbes surchauffeur (prélèvement éventuel)
- Faisceau arrière : Etat tubes (prélèvement éventuel), tubes sous ramoneurs, pieds de tubes
- Etat ballon supérieur et de ses internes
- Etat ballon inférieur
- Etat collecteur d'écran
- Chambre morte : Etat collecteurs entrée sortie surchauffeur
- Fumisterie : Etat sole, ouvreaux des brûleurs, murs, chicanes
- Economiseur : Etat du casing, tubes
- Etat des brûleurs (cane à fioul, lance à gaz, pilote, réfractaire)
- Gaines d'air et de fumée : Etat des tôles, piquages, ventelles, thermocouples, purges.
Equipement : FOUR
Inspection externe
- Casing : aspect général extérieur (étanchéité, état calorifuge, tôles, revêtement, accessoires, piquages, trappes,
portes)
- Cheminées / carneaux : Etat portes, trappes, liaison cheminée / carneaux, registres, piquages, fût, viroles, gaines,
paratonnerre
- Etat tuyauteries extérieures, pieds, ignifugeage, ramoneurs
- Etat des infrastructures (échelles, escaliers, plates-formes, supportage …)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Radiation : Etat du réfractaire gunitage et briquetage (façade, portes, trappes, voûte, sole (soulèvement, fissuration,
délitage, présence de briques), ouvreaux, joints de dilatation, passages tubes / façade),
- Radiation : Etat des tubes (aspect épaisseur et prélèvement dépôts, corrosion, déformation), guides tubes, supports
tubes (cassés,
corrodés), boites de retour, thermocouples, tubes base convection (plaque support)
- Radiation : Etat caisson et gaines d’air (état des ventelles), brûleurs (état du réfractaire)
- Convection : Etat du réfractaire (façade, portes, trappes, voûte, liaisons carneaux, joints de dilatation, passages
tubes / façades, caissons coudes retour)
- Convection : Etat des tubes (aspect épaisseur et prélèvement dépôts, corrosion, déformation, encrassement, état
des picots, plaques support, coudes de retour
- Convection : Etat des ramoneurs, passages ramoneurs, thermocouples
- Cheminée / carneaux : Etat réfractaire, joints de dilatation, points d’ancrage
Equipement : SPHERE
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état, tôles, revêtement, peinture, accessoires, soudures, piquages, soupapes, évents,
jeux de brides, trous d’homme, mise à la terre)
- Etat des infrastructures (échelles, supportage,…)
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation, nombre piquages bouchés)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat revêtement
- Etat accessoires diversns
Actions d’inspion
Equipement : RESERVOIR SOUS TALUS
Inspection externe
- Partie visible : aspect général extérieur (état, tôles, revêtement, peinture, accessoires, soudures, piquages,
soupapes, évents, jeux de brides, trous d’homme, mise à la terre)
- Etat des accès
- Plaque constructeur (fixation, lisibilité)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation, nombre piquages bouchés)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Corrosion des piquages
- Etat revêtement
- Etat accessoires divers
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état parois, revêtement, accessoires, soudures, soupapes, jeux de brides, mise à la terre)
- Etat des infrastructures (accès, supportage,…)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Etat revêtement
- Etat vessie / membrane de séparation
- Etat accessoires divers
Inspection externe
- Aspect général extérieur (état tôles, revêtement, accessoires, soudures, soupapes, jeux de brides)
- Etat des infrastructures (accès, supportage,…)
Inspection interne
- Dépôts (présence, quantité, prélèvement, aspect, localisation)
- Corrosion des parois (oxydation, cratères, piqûres, cloques)
- Corrosion des soudures
- Etat revêtement
- Etat vessie / membrane de séparation
- Etat accessoires divers
Inspection externe
- Aspect général extérieur (revêtement, plaque de tarage, plombage, jeux de brides)
- Etat des infrastructures (accès, supportage,…)
Equipement : Tuyauterie
Si sur site, vous mettez en évidence des zones critiques (bras mort, piquages
manquants, autres…) qui ne sont pas sur le WSE, faire les contrôles et faite
modifier le WSE.
D'une manière générale, les points seront plus nombreux dans la zone de spécificité physique ou opératoire de la
ligne (bras mort, injection, tronçons en charge sur capacité,...)
Dans le cas des tuyauteries calorifugées avec risque de corrosion sous calorifuge (service tiède), les points
singuliers (support, discontinuité de calorifuge, points bas, évents) sont particulièrement suivis.
ACCESSOIRE DE SECURITE
Fonction
La soupape de sûreté est un élément essentiel des installations sous pression qui a pour fonction la protection ultime
des opérateurs et des installations contre les dommages (fissuration, fuite ou explosion) en cas de surpression interne.
Cet appareil répond à des exigences réglementaires fortes pour les réservoirs sous pression de gaz et de vapeur.
Il ne faut pas confondre la soupape de sûreté avec la soupape de décharge dont la fonction différente est de réguler
une pression et non pas de protéger contre une explosion. Pour des renseignements sur la soupape de décharge
(appelée aussi déverseur ou régulateur de pression amont), lire les informations à la fin de cette section.
Domaines d’utilisation
Soupape pour l’air comprimé installée sur le compresseur, le réservoir d’air et le réservoir tampon, le réseau de
distribution et sur les postes de détente. Soupape pour la vapeur saturée, soupape pour l’eau surchauffée, installées
sur la chaudière, le poste de détente, l’échangeur, les diverses installations fonctionnant à la vapeur. Soupape pour le
gaz naturel et les gaz de process installées sur les capacités de stockage et le poste de détente. Soupape pour l’eau
chaude sur les chaudières industrielles.
Un ressort taré à la pression de déclenchement exerce une force de fermeture sur un clapet appuyé sur le siège de
la soupape. En cas de dépassement de la pression de réglage, la soupape s’ouvre et laisse échapper le fluide afin
ramener la pression interne du réservoir en dessous de la pression de service normale
Réglementation
Les soupapes sont soumises à différents textes réglementaires dont les principaux sont :
- pour leur construction, la directive CE PED 97/23 (appareil classé en catégorie IV),
- pour leur utilisation, les arrêtés du 4 décembre 1998 et celui du 15 mars 2000
Dans la pratique, une soupape de sûreté doit toujours être fournie avec son certificat de tarage. L’utilisateur doit
conserver dans un dossier à la disposition des organismes d’inspection, les certificats de tarage, les fiches techniques
et les notices de montage et entretien de l’ensemble des soupapes installées sur le site. La traçabilité de fabrication de
la soupape est assurée par un numéro unique gravé sur chaque soupape et reporté sur le certificat de tarage et sur nos
registres de fabrication.
De plus, chaque soupape doit être munie d’un dispositif d’essai (molette ou levier).
Homologations
Nos soupapes sont conformes et homologuées suivant : CE catégorie IV, ISO 9001, ASME section, ATEX, TÜV, UDT
et VERITAS.
Limites d’utilisation
Comme évoqué ci-dessus, les soupapes de sûreté ne sont pas utilisable pour des fonctions de réglage de débit ni
d’écrêtage de pression.
Propreté du fluide : une soupape ne doit être utilisée que sur des fluides propres ne contenant pas de particules solides.
- Les soupapes sont limitées suivant les modèles entre 0,5 et 100 bars de pression de tarage.
- Certaines soupapes ne doivent pas être installées en zone ATEX.
- Conditions de service : nos électrovannes sont bien adaptées pour les fluides non corrosifs de -196°C à 450°C
suivant le modèle de soupape.
Recommandations d’utilisation
- Montage vertical : les soupapes à ressort ou à contrepoids ne sont pas prévues pour fonctionner à l’horizontal,
- Position de la soupape : La plus proche possible de la capacité à protéger,
- Protection au cours du transport : les vibrations dans le transport peuvent provoquer le déréglage de la pression de
tarage,
- Nettoyage de la portée du siège avant montage : les impuretés et les corps étrangers sont fatals pour l’étanchéité des
soupapes,
- Sauf pour les soupapes basses pression installées sur l’air comprimé, l’échappement des soupapes doit être canalisé.
La canalisation d’évacuation (verticale vers le toit) doit être supportée afin de ne pas créer de distorsions et de fuite en
ligne,
- La tuyauterie aval peut être encombrée par des impuretés, des condensats, etc qui engendrent une obstruction ou une
perte de charge gênante pour l’évacuation. Il est donc nécessaire de prévoir la purge de la tuyauterie aval.
- Le collecteur unique pour plusieurs soupapes est fortement déconseillé. Son débit total doit toujours être supérieur au
total des débits de toutes les soupapes,
- La perte de charge en amont d’une soupape doit être la plus faible possible. La canalisation de raccordement entre
l’enceinte à protéger et la soupape doit donc être la plus courte et la plus directe possible.
- Lors de l’épreuve hydraulique de l’installation à la pression d’épreuve, toujours supérieur à la pression de tarage de la
soupape, il convient de déposer la soupape et la remplacer par un bouchon ou une bride pleine
Toutes les opérations de maintenance et de réparation doivent être exécutées exclusivement par le constructeur ou par
une société agréée à cet effet et habilitée à procéder au re-tarage de la soupape avec émission d’un nouveau certificat
de targe
Soupape de décharge
Les soupapes de décharge (ou déverseurs) sont destinées à la décharge des réseaux de fluide lorsque un écrêtement
de pression est recherché, par exemple en aval d’une pompe de refoulement. De ce fait, l’utilisation de cet appareil en
tant que soupape de sûreté est proscrite. Aucun certificat de tarage ne peut être délivré. Ce type de soupape est un
organe de régulation et n’entre pas dans la catégorie IV de la directive CE pression.
Soupapes combinées
Appareils combinant dans un seul corps la fonction soupape de respiration avec arrête-flammes bout de ligne.
La majeure partie de nos soupapes de respiration peuvent être livrée munie d’un arrête-flammes Intégré pour la
protection contre les explosions de vos stockages contenant des produits inflammables. L’un des avantages primordial
de cette solution combinée est que les performances de l’ensemble sont connues et mesurées en usine sur notre banc
test comme spécifié dans la norme
ISO 16852.
En effet, il était courant dans le passé, d’installer pour la protection des réservoirs de stockage de produits
inflammables, une combinaison d’un arrête-flammes en ligne avec une soupape de respiration de bout de ligne.
Or, l’association de deux éléments, à la performance connue, n’engendre pas un équipement dont la performance est la
somme des performances cumulées. La présence de l’arrête-flammes influe sur le comportement du ou des clapets de
la soupape et la performance est en réalité moindre.
Soupapes de respiration
Les soupapes de respiration sont des soupapes protégeant votre installation (cuves, tuyauterie,…) de toute
surpression ou dépression dans le cadre d’un fonctionnement normal de vos installations.
Leur gamme de tarage est importante entre quelques millibars et 500 millibars tant en surpression qu’en dépression. Il
est également possible pour certains cas de réaliser des tarages supérieurs jusqu’à 3 bars.
La qualité d’une soupape de respiration dépend principalement de la qualité de son clapet d’étanchéité (accumulation,
taux d’étanchéité,…).
DISQUE DE RUPTURE
Ils constituent un dispositif de protection contre les surpressions ou les dépressions.
Lame coupante
Disque Inversé
Arrête flamme
Le fonctionnement de ces dispositifs est basé sur le laminage du front de flamme à travers une matrice formée d’un ou
plusieurs disques arrête-flammes. Ces disques fonctionnent comme des échangeurs thermiques. Au fur et à mesure de
sa progression dans le jeu de disques, la flamme va transférer sa chaleur vers les parois du (ou des) disque(s). Ce
transfert de chaleur va permettre d’abaisser la température du mélange gazeux en dessous de sa température d’auto-
inflammation, et ainsi permettre une extinction de la flamme en quelques centimètres.
Les disques arrête-flammes sont composés de bandes métalliques enroulées en spirale, avec pour les plus évolués
une alternance de bandes métalliques plates et de bandes ondulées. La structure « gaufrée » des disques permet
d’obtenir une plus grande surface spécifique et donc augmente la capacité d’échange thermique du dispositif.
La largeur et la longueur des interstices vont déterminer la capacité d’extinction de l’élément arrête-flammes. Ces
paramètres sont déterminés par les constructeurs, en fonction des gaz en présence, et du meilleur compromis capacité
d’extinction / perte de charge générée par l’appareil.
Certains dispositifs utilisent la propriété des flammes qui ne peuvent pas se propager à une distance très faible des
parois (distance limite), ni traverser les treillis métalliques très fins : en multipliant les bandes métalliques gaufrées
enroulées pour que le diamètre de passage soit inférieur à la distance limite, la flamme ne peut pas passer, ni dans le
sens de l'écoulement, ni dans le sens inverse.
Mise à la terre
Mise à la terre = Une liaison équipotentielle reliant un équipement/bâtiment/installation à une prise de terre électrique.
C’est une protection permettant de garantir l'absence de différence de potentiel électrique entre différents éléments
conducteurs d'électricité (charpente métallique, tuyauteries, appareils, sol humide, etc.). Cette différence de potentiel
pourrait générer le passage d’un courant électrique par contact entre ces différents éléments, le risque étant que ce
contact électrique soit assuré par l’opérateur…
Potentiel électrique : est généré par des charges électrique (Electricité statique) qui pourrait s’accumuler au passage
des fluides dans les capacités, tuyauteries, ect..
Rôle : La mise à la terre ou liaison équipotentielle permet de placer tous les équipements au même potentiel et
d’éviter ainsi le risque de décharge électrique (passage de courant) au travers de l’opérateur avec un risque
d’électrocution, plus généralement, pour garantir la sécurité des biens et des personnes
Nota pour inspecteurs : Il est impératif, lors de vos inspections de vérifier en premier lieu la mise à la terre de vos
capacités (connexion d’un câble généralement vert-jaune sur une barrette de terre). Si non conforme = 04 ST
Type d’échangeur
OUTILS DE CONTRÔLE
INSPECTION & CONTRÔLE
TYPE DE RACLEURS
PROTECTION CATHODIQUE
La Protection Passive
Elle est constituée par le revêtement extérieur dont le rôle est de créer un effet de barrière électrique entre le métal
des canalisations et le milieu environnant. Ce revêtement ne constitue cependant pas une protection absolue et
définitive en raison des imperfections ou blessures susceptibles de se produire lors de la pose ou au cours de la vie de
l’ouvrage. C’est pourquoi on maîtrise ces risques potentiels par l’installation d’une protection cathodique.
La Protection Active
La protection cathodique est la technique qui permet de conserver dans son intégrité la surface extérieure des
structures en acier enterrées ou immergées, en s’opposant au processus électrochimique d’attaque du métal par le
milieu ambiant, c’est-à-dire la corrosion. Les canalisations acier constituent le champ d’application principal de cette
protection. Les réseaux en acier, même anciens et dégradés, peuvent bénéficier de cette technique dans des conditions
économiques admissibles.
Elle consiste à amener par des moyens extérieurs et artificiels l’ensemble de la surface extérieure du métal à un
potentiel suffisamment négatif pour rendre le métal entièrement cathodique et supprimer ainsi tout risque de corrosion
extérieure. Le critère de protection cathodique est la valeur du potentiel au-dessous duquel l’acier ne peut se corroder.
Pour l’acier enterré ou immergé, le critère de protection est mesuré avec une électrode de référence Cu/CuSO4 en
contact avec le milieu situé au voisinage immédiat du métal de – 850 mV. Ce n’est qu’à partir d’une certaine valeur de
courant que le potentiel nécessaire est atteint.
Pour réaliser la protection cathodique des canalisations enterrées en acier, il suffira donc :
• soit de constituer une pile à l’aide d’un métal plus électro-négatif que l’acier (magnésium ou zinc) : c’est la protection
par anode galvanique (sacrificielle)
Principe : on crée un couple galvanique dont la canalisation métallique sera la cathode de la pile et l’anode un métal
choisi pour son potentiel plus électronégatif (magnésium, aluminium, zinc).
• soit de les relier à une source électrique convenablement connectée de manière que l’acier devient la cathode du
système et de vérifier que le potentiel de cette cathode atteint bien le critère de protection en tous points : c’est le
courant imposé (ou soutirage de courant)
Principe : l’abaissement de potentiel des canalisations à la valeur voulue est obtenu en connectant le réseau, en un ou
plusieurs de ses points, au pôle négatif d’une source électrique de courant continu.
Le champ électrique se répartit dans le sol, par la prise de terre ou déversoir.
Les électrons gagnent la canalisation et pénètrent par leur surface latérale, cheminent longitudinalement dans les
conduites jusqu’à la connexion au pôle négatif du redresseur.
Il en résulte un abaissement de potentiel dans le réseau.
Cet abaissement de potentiel croît depuis les extrémités du réseau les plus éloignées de la connexion jusqu’au pôle
négatif de l’alimentation pour être au maximum au droit de celle-ci.
Il doit être suffisant pour que le critère de protection soit partout atteint et maintenu.
Ce type de protection est tout indiqué pour la protection des grands réseaux et offre une grande souplesse d’adaptation
et de réglages.
Mesure et Contrôle
1) Points de mesure
Ils sont destinés à contrôler le potentiel d’une canalisation par rapport au sol. Le nombre de points de mesure dépend
de la configuration de l’ouvrage.
2) Mesure de potentiel
La mesure du potentiel des canalisations dans le sol est indispensable pour contrôler l’efficacité de la protection
cathodique. Or, celles-ci étant assimilables à des éprouvettes plongées dans un électrolyte, on mesure le potentiel par
l’intermédiaire d’électrodes de référence. La conduite dans le sol constitue une demi-pile que l’on associe à l’autre
demi-pile, l’électrode.
Courants vagabonds
Lorsqu’une canalisation acier se trouve à proximité d’une voie ferrée électrifiée en continu, la canalisation peut être
soumise à des influences qui peuvent aboutir à des corrosions très rapides.
Les phénomènes de corrosion par les courants vagabonds sont annulés par la mise en place d’un drainage ou d’une
liaison polarisée. Cette dernière permet de canaliser les sorties non contrôlées de courant et assure un chemin
préférentiel vers la voie ferrée. Les courants drainés complètent les injections de courant du soutirage.
La protection cathodique complète de manière absolue la protection passive du revêtement et ceci quelles que soient
les modifications de l’environnement des conduites dans le temps :
• blessures des revêtements externes dues à des travaux réalisés par des tiers au voisinage de la conduite ;
• modification de la résistivité du sol à la suite d’une pollution accidentelle, aux variations du niveau des nappes
phréatiques, … ;
• nouvel environnement électrique de la conduite tel que nouveau réseau sous protection cathodique (gaz, pétrole, eau
…) ;
• ligne Très Haute Tension, tramway, TGV, SNCF ;
• drainage de courants vagabonds.
Pour un investissement minimum, l’exploitant d’une canalisation sous protection cathodique pourra régulièrement
contrôler le niveau de potentiel électrique de la conduite par rapport au milieu environnant et, de ce fait, être alerté de
toute dégradation accidentelle ou modification de l’environnement de la conduite : c’est la surveillance cathodique. Il
assurera ainsi la pérennité de son réseau et de son investissement : c’est l’assurance vie du réseau.
La Détection de Défauts de Revêtement de Canalisation est utilisée sur des canalisations enterrées afin de localiser les
défauts du revêtement.
1) La théorie
Cette méthode de recherche des défauts de revêtement de canalisation repose sur la mesure du gradient de tension
créé par un défaut de revêtement (métal apparent).
La mise sous tension de la canalisation se fait à partir du système de protection cathodique existant sur la canalisation,
ou bien à l’aide d’une injection provisoire.
Cette méthode ne s’applique qu’aux canalisations électriquement continues (canalisations en fonte exclues).
2) Le matériel
• Cannes-électrodes : elles permettent de mesurer les gradients de tension créés par les défauts de revêtement.
Normes applicables
NF EN 12068 : Revêtements organiques extérieurs pour la protection contre la corrosion de tubes en acier enterrés ou
immergés en rapport avec la protection cathodique – Bandes et matériaux rétractables
Norme publiée sous l’indice A 05 677 et sous le statut de norme française homologuée en avril 1999
NF EN 12473 : Principes généraux de la protection cathodique en eau de mer
Norme publiée sous l’indice A 05 669 et sous le statut de norme française homologuée en juin 2000
NF EN 12474 : Protection cathodique des canalisations sous-marines
Norme publiée sous l’indice A 05 671 et sous le statut de norme française homologuée en septembre 2001
NF EN 12495 : Protection cathodique des structures en acier fixes en mer
Norme publiée sous l’indice A 05 670 et sous le statut de norme française homologuée en mai 2000
NF EN 12499 : Protection cathodique interne des appareils, réservoirs et tubes
Norme publiée sous l’indice A 05 676 et sous le statut de norme française homologuée en mai 2003
NF EN 12696 : Protection cathodique de l’acier dans le béton
Norme publiée sous l’indice A 05 668 et sous le statut de norme française homologuée en juillet 2000
NF EN 12954 : Protection cathodique des structures métalliques enterrées ou immergées – Principes généraux
Norme publiée sous l’indice A 05 662 et sous le statut de norme française homologuée en avril 2001
NF EN 13173 : Protection cathodique des structures flottantes
Norme publiée sous l’indice A 05 673 et sous le statut de norme française homologuée en avril 2001
NF EN 13174 : Protection cathodique des installations portuaires
Norme publiée sous l’indice A 05 675 et sous le statut de norme française homologuée en avril 2001
NF EN 13509 : Techniques de mesures applicables en protection cathodique
Norme publiée sous l’indice A 05 661 et sous le statut de norme française homologuée en octobre 2003
NF EN 13636 : Protection cathodique des réservoirs métalliques enterrés et des conduites associées
Norme publiée sous l’indice A 05 614 et sous le statut de norme française homologuée en décembre 2004
TS EN 14038 : Réalcalinisation électrochimique et traitements d’extraction des chlorures applicables au béton armé
Partie 1 : réalcalinisation
Spécification technique publiée sous l’indice A 05 679-1 et sous le statut de norme française homologuée en janvier
2005
NF EN 14505 : Protection cathodique des structures complexes
Norme publiée sous l’indice A 05 663 et sous le statut de norme française homologuée en juillet 2005
NF EN 15112 : Protection cathodique des cuvelages de puits
Norme publiée sous l’indice A 05 623 et sous le statut de norme française homologuée en novembre 2006
NF A05 800 Prestations de service en protection cathodique
Norme publiée en mars 2006.
NF EN 15257 Niveaux de compétence et certification du personnel en PC
NF EN 15257 Nouvelle norme concernant certif des agents
NF EN 62305-3 -12-2006- foudre partie 3 -17100-3
NF EN 545 Corrosivité pour les fontes
NF EN 10329 Revêtements extrêmes des assemblages
NF EN 12501-1/2 Protection des matériaux métalliques contre la corrosion
NF EN 50443 Perturbations alternatives
AO5 251 Corrosion par les sols (Périmé)
AO5 610 Protection cathodique externe (Périmé)
AO5 615 Traitement des influences du courant continu (Périmé)
AO5 655 Techniques de mesures en protection cathodique externe (Périmé)
NFC 15-100 Installations électriques à hautes tensions
NF EN ISO CEI 17065 Exigences pour les organismes certifiant
Recommandations
Dispositions Particulières
Le fascicule 71 « Fourniture et pose de canalisations d’eau, accessoires et branchements » relatif aux marchés publics
de travaux passés au nom de l’État en définit les modalités. Cette protection doit par ailleurs faire l’objet de contrôles
périodiques réguliers destinés à s’assurer de son bon fonctionnement et de son efficacité dans le temps.
Arrêté du 4 août 2006 portant règlement de la sécurité des canalisations de transport de gaz combustibles,
d’hydrocarbures liquides ou liquéfiés et de produits chimiques du ministère de l’économie, des finances et de l’industrie.
Mise en service
Vous souhaitez que vos installations de protection cathodique soient vérifiées et mises en service.
Nous pouvons :
• démarrer et mettre en service (mise en polarisation) jusqu’à réception finale
• vérifier :
– l’isolation électrique de la structure (efficacité des raccords isolants et valeur d’isolement) ;
– la résistance de terre des déversoirs ou des anodes ;
– le potentiel naturel de la structure.
• fournir un guide d’exploitation
Maintenance
Vous souhaitez maintenir en conformité et en bon état de fonctionnement votre installation de protection cathodique.
Nous pouvons :
• réaliser la vérification du bon état de fonctionnement et la remise en état du matériel composant le système de
protection cathodique
• remettre en état votre installation
• effectuer la maintenance des équipements