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[33-105-A-10]
Résumé
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RAPPEL ANATOMIQUE
Généralités
Situation
La forme de l'estomac est variable selon l'âge, les sujets, la position et, bien
entendu, l'état de réplétion de la poche gastrique dont les parois ont une
plasticité très grande.
Configuration interne
Moyens de fixité
Rapports (fig. 4)
Face antérieure
Portion thoracique
Portion abdominale
Face postérieure
Portion sus-mésocolique
Portion sous-mésocolique
Grande courbure
Ses trois portions ont des rapports différents qui s'établissent par l'intermédiaire
des structures ligamentaires déjà décrites, avec le diaphragme, la rate et le côlon
transverse.
Petite courbure
une portion haute ou pars condensa, en regard du cardia, qui contient les
nerfs gastro-hépatiques,
une portion basse ou pars flaccida, étendue sur tout le bord gastrique
contenant le cercle artériel de la petite courbure ainsi que les nerfs issus des
pneumogastriques,
une portion à distance ou pars vasculosa située plus à droite autour du
pédicule hépatique.
l'aorte abdominale,
le tronc coeliaque et ses branches, splénique, hépatique et coronaire
stomachique,
les ganglions lymphatiques coeliaques,
le plexus solaire avec ses deux ganglions semi-lunaires.
Cardio-oesophage
en avant :
le nerf pneumogastrique gauche longe son bord droit et descend
vers la petite courbure,
le lobe gauche du foie est fixé au diaphragme par le ligament
coronaire gauche.
en arrière :
le nerf pneumogastrique droit longe également son bord droit,
le pilier gauche du diaphragme sépare l'oesophage de l'aorte.
à gauche ;
la grosse tubérosité s'élève au-dessus de l'oesophage en
ménageant un angle ouvert vers le haut, l'angle de Hiss.
Pylore
Le pylore entre en rapport par l'intermédiaire du bulbe duodénal qui lui fait suite
avec :
Artères
Veines
Lymphatiques
Nerfs
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TECHNIQUE RADIOLOGIQUE
Produits de contraste
L'opacifiant
La viscosité du produit doit être faible pour favoriser son ruissellement. Plus le
produit coule facilement sur la muqueuse, plus il dépose de particules à la
surface de celle-ci. Ainsi des suspensions faibles en gommes facilitent
l'écoulement sur la muqueuse et la sédimentation rapide des particules lourdes.
Par contre la stabilité du produit augmente avec la viscosité et la finesse des
particules. L'augmentation de la viscosité par l'adjonction de gommes de pectine,
de cellulose, améliore l'adhésivité du produit mais ne favorise pas la mise en
évidence des détails pariétaux.
Le gaz
L'insufflation gazeuse peut être réalisée sans produit effervescent, à l'aide d'un
appareil conçu de manière à injecter de l'air, sous une pression et un débit
réglables, dans le bec de succion du gobelet contenant la baryte . Cette technique
évite les artefacts susceptibles d'être induits par les sels effervescents (bulles,
résidus). Elle évite la dilution liée à l'ingestion d'une gorgée d'eau. Elle favorise le
tapissage des parois oesophagiennes par l'effet de projection de la baryte. Si la
mucographie oesophagienne en double contraste s'en trouve nettement
améliorée, la distension gastrique est souvent insuffisante et doit être complétée
par l'ingestion de sels effervescents.
Agents pharmacodynamiques
L'appareillage
Réplétion gastrique
La réplétion de l'estomac par 150 à 300 ml. d'une suspension barytée vise à
obtenir un moulage de ses parois. L'image obtenue est une silhouette des
contours gastriques, laissant dans l'ombre la plage intermarginale. On peut ainsi
mettre en évidence le péristaltisme et le mode de vidange de l'estomac d'une
part, d'autre part, dans la zone de tangence au rayonnement, les accidents de
relief pariétal en addition ou en soustraction. Ainsi ont été décrits
magistralement par Gutmann [22], les signes radiologiques du cancer gastrique
au début. Cette technique présente plusieurs inconvénients. Elle se limite à
l'étude du « profil » d'une éventuelle lésion. Elle risque de méconnaître une
portion horizontale de l'estomac, même si les possibilités d'inclinaison cranio-
caudale du rayonnement permettent d'explorer les zones avoisinant les
courbures.
Compression gastrique
Couche mince
Double contraste
Technique triphasique
Technique préconisée
Conditions générales
[50]
L'examen de routine de l'estomac doit répondre à certains impératifs :
Le plan d'examen est redressé à la verticale (-10°) et l'on fait absorber au patient
une poudre effervescente avec une gorgée d'eau (15 ml). La quantité de sels
effervescents (habituellement deux sachets) varie en fonction inverse de la
quantité d'air spontanément présente dans l'estomac. Elle peut être réduite si
l'on dispose d'un insufflateur . Si le patient éructe en cours d'examen, il faut
renouveler l'ingestion de sels effervescents, malgré l'inconvénient que présente
l'ingestion supplémentaire d'une gorgée d'eau.
Examen de l'oesophage
Les deux radiographies suivantes (fig. 6E1, 6E2) sont centrées sur la région
antrale et antro-pyloro-duodénale en incidence oblique antérieure droite plus ou
moins accentuée. Elles sont pratiquées sur un cliché 24 × 30 divisé en deux dans
le sens de la largeur, avec une inclinaison cranio-caudale du rayonnement. Elles
peuvent bénéficier d'une compression dosée, à l'aide du palpeur, (nous utilisons
le palpeur de Holznecht) qui évitera une superposition de l'antre et du bulbe.
Avant de procéder à ces radiographies et entre les deux poses, on effectue une
manoeuvre de ruissellement transversal de la baryte pour épaissir la couche.
Pour cela, sous contrôle radioscopique, on guide le ruissellement de la baryte par
un mouvement de rotation du sujet de gauche à droite puis de droite à gauche.
Lorsque la distension gazeuse du bulbe est insuffisante pour le dégager de la
superposition de l'antre distendu, ou si la baryte reste « piégée » dans le bulbe,
la table est redressée à 45°. Inversement, il arrive que la baryte tarde à dessiner
l'image du bulbe. On recherche alors en radioscopie la position adéquate pour
placer le pylore au point déclive (souvent en décubitus Trendelenburg oblique
antérieure gauche, puis droite).
Les deux radiographies suivantes (fig. 6F1, 6F2) sont centrées sur la tubérosité
gastrique ; elles sont effectuées sur un cliché 24 × 30 divisé en deux dans le sens
de la largeur. L'incidence oblique antérieure gauche (6F1) fournit une image de
face du cardia. L'incidence oblique antérieure droite (6F2) couplée à une
inclinaison cranio-caudale du rayonnement fournit une image de profil du cardia
(angle de Hiss) ; elle est effectuée dans une position plus proche de la verticale
pour éviter que la baryte ne stagne dans le réseau tubérositaire postérieur.
L'estomac est ensuite examiné de profil : le sujet prend appui sur la table
d'examen par son côté gauche et contracte la sangle abdominale pour rehausser
le niveau de la baryte dans le fundus.
Ces manoeuvres peuvent être difficiles chez les sujets corpulents et brévilignes
ou chez des sujets âgés aux côtes fragiles. Il ne faut pas hésiter soit à renouveler
l'ingestion de sels effervescents, soit à diluer le produit de contraste présent
dans l'estomac, en faisant boire au patient un verre de baryte très diluée (4/5
d'eau) pour faciliter la compression de l'estomac. On se trouve ainsi ramené, à
peu de chose près, aux conditions d'un examen gastro-duodénal tel qu'on le
pratiquait dans le passé.
Le patient est placé en décubitus oblique antérieur droit. La baryte est ainsi
collectée dans la tubérosité. La table est basculée en position de Trendelenburg,
le rayonnement légèrement incliné vers les pieds. Le patient effectue une
rotation de 90° de gauche à droite pour se placer en décubitus oblique antérieur
gauche, de telle sorte que le cardia se trouve au point déclive.
Mucographie gastrique
Les auteurs japonais [34] ont pour habitude de dresser une carte de l'estomac
découpé par des sections verticales et horizontales en soixante-dix-sept plages
numérotées, auxquelles s'ajoutent trois aires pour la grosse tubérosité. En
opératoires montre que les repères radiologiques sont plus précis que les repères
endoscopiques. La hantise du radiologue doit être la crainte de ne pas « couvrir »
la totalité de la surface muqueuse. La juxtaposition des clichés ne doit pas laisser
la moindre zone dans l'ombre. Le recoupement des informations fournies par les
différentes incidences constitue un temps essentiel de l'analyse des images.
É tude du relief
La forme de l'estomac peut être modifiée par des images de compression sans
caractère pathologique : encoche curviligne sur la partie haute de la grande
courbure verticale au contact de la rate et de l'angle gauche, image de tonalité
délimitée par un bord curviligne à convexité gauche, traduisant à la partie
moyenne du fundus, près de la petite courbure, l'empreinte du lobe gauche du
foie.
En appui dorsal oblique sur le plan d'examen, le pôle supérieur de l'estomac est «
démasqué » par une inclinaison adéquate de la table. Le cardia ouvert dessine
une image annulaire, ronde ou ovoïde, large de 1 cm en moyenne, d'où naissent
quelques plis sous forme d'images linéaires très courtes dont l'une assez
constante à concavité supérieure, sur le bord gauche de l'anneau. La béance du
cardia, au-delà de 1 cm, retrouvée sur plusieurs clichés, évoque son incontinence
et la probabilité d'un reflux. En position fermée, le cardia dessine une image en
sablier à partir de laquelle les plis vont diverger pour se ramifier dans le dôme
tubérositaire.
Selon la qualité des moyens de fixité du cardia, quatre images ont été décrites
[69]
:
Sous une incidence oblique antérieure droite, on peut voir l'angle de Hiss formé
par le bord gauche de l'oesophage et la face droite de la tubérosité.
Résultats comparatifs
Durée
La durée de l'examen est un peu plus longue que celle d'un examen
conventionnel mais surtout la part active que prend l'opérateur est nettement
plus importante, en particulier dans les manoeuvres de compression de la face
antérieure qui peuvent être laborieuses.
Désagréments et risques
Performances
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Une erreur par surestimation de l'épaisseur pariétale est possible dans les
régions où la paroi est coupée obliquement par le faisceau de rayons X. Il en va
de même en cas de réplétion insuffisante de l'estomac qui peut faire conclure à
tort à une infiltration inflammatoire ou tumorale.
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CONCLUSION
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Fig 1 :
Fig 1 :
Fig 2 :
Fig 2 :
Fig 3 :
Fig 4 :
Fig 4 :
Fig 5 :
Fig 5 :
Fig 6 :
Fig 28 :
Fig 28 :
Pièce opératoire d'un ulcère de l'angulus : comparer les aréoles normales à distance de la lésion
(grosse flèche) aux mailles élargies à contours de la muqueuse atrophique péri-ulcéreuse (petite
flèche).
Fig 29 :
Fig 29 :
Fig 17 :
Fig 17 :
Le ruissellement baryté confirme le siège postérieur des plis dessinés par un double liséré
(muqueuse d'hyperfonctionnement fundique).
Fig 18 a et b : :
Fig 18 a et b : :
Fig 19 :
Fig 19 :
Fig 30 :
Fig 30 :
Fig 7 :
Fig 7 :
Fig 8 :
Fig 8 :
Estomac en décubitus de face : une « bonne » distension efface les plis et privilégie le réseau
aréolaire.
Fig 9 :
Fig 9 :
Estomac normal en décubitus de face : une distension insuffisante privilégie les plis aux dépens
des aréoles.
Fig 10 :
Fig 10 :
La distension n'efface pas les plis anormaux : convergence de plis rigides sur un cancer de
l'angulus.
Fig 11 :
Fig 11 :
Estomac normal en décubitus OAD avec une distension modérée : coexistence sur le fundus du
système de plis près de la grande courbure et du réseau aréolaire près de la petite.
Fig 12 :
Fig 12 :
Fig 13 :
Fig 13 :
Bulbe normal en procubitus OAD. La compression fait apparaître le relief villositaire sous forme
d'un aspect finement granité.
Fig 14 :
Fig 14 :
Fig 15 :
Fig 15 :
Fig 16 :
Fig 16 :
Fig 20 :
Fig 20 :
Fig 21 :
Fig 21 :
Fig 22 a et b : :
Fig 22 a et b : :
Fig 23 a et b : :
Fig 23 a et b : :
Le réseau aréolaire visible en décubitus dorsal (a) s'observe également en procubitus sous
compression (b).
Fig 24 :
Fig 24 :
Fig 25 :
Fig 25 :
Fig 26 :
Fig 26 :
Fig 27 :
Fig 27 :