NOUVELLE EDITION !
En 1936 paraîssait la première édition du bon usage, conçu dans l'esprit de
Vaugelas par un jeune professeur de français, Maurice Grevisse (1895-1980).
Déjà largement plébiscité dès les premières éditions, le bon usage allait
connaître une diffusion fulgurante à la suite d'un retentissant article d'André
Gide. En 1947, le célèbre écrivain le recommandait aux lecteurs du supplément littéraire du journal
Le Figaro comme la meilleure grammaire française.
Le Bon Usage est une grammaire, mais bien plus qu'une grammaire, il est le reflet de l'évolution
de la langue française à travers le temps et l'espace. Le premier devoir du grammairien est
d'observer et de décrire, car la langue est le reflet de l'usage. Le Bon Usage en est l'expression
même.
Organisé autour de quatre parties principales, Le Bon Usage tire sa force de l'exhaustivité des
règles qu'il énonce et des usages qu'il évoque. Ceux-ci sont illustrés par nombre d'exemples
classiques et contemporains. Il n'est pas rare de retrouver Chateaubriand ou Jules Verne aux côtés
d'Amélie Nothomb ou François Weyergans. En outre, les notices historiques et les particularismes
francophones donnent à l'ouvrage un caractère encyclopédique. L'usage oral n'est pas oublié
puisque les auteurs s'attachent à mentionner les prononciations, grâce à l'alphabet phonétique.
La 14e édition, la première du XXIe siècle, offre une véritable refonte - fruit d'un travail de plus de
14 ans avec une meilleure lisibilité et une consultation aisée.