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Un tour de raison et point de refaire (tribologie dans l’industrie et l’économie)

Introduction :

Chapitre I :

L’usure et le frottement sont deux phénomènes intervenir liée un nombre important de travail en
qualité consacrer à leur étude, il conduit à faire l’objet d’une attention si non pour faire poser des
exigences multiple de fonction, de fiabilité et de coût de production toujours plus sévère invite par le
développement technologie; de grand laboratoire se sont fait un nom on consacrer leurs vie, cette
grand dynamique se trouve sa motivation

- Dans les pertes considérables induites par le frottement et l’usure d’une part
- Dans le caractère plusdisciplinaire mise en jeux d’une part
- Enfin et par ailleurs dans le sursis d’aboutir à une formation universelle des problèmes
tribologique encore impossible à ce jours on raison de la multiplicité des paramètres
intervenue et de la complicité des phénomènes qui gouvernes le processus du frottement,
usure.
- Malgré toute ces efforts la tribologie,thèmeapparue au débit des années 1960 pour
regrouper les études vas sont la maitrise du frottement est d’usure reste fondamentalement
une science expérimentalement.
- Il signifié cependant d’un capital qui ramené l’usure à des limites acceptable dans plus 80%
des cas industriel s’il était exploité correctement.
- Cependant l’industrie caractérise par son inertie traditionnelle et acquièrebeaucoupde retard
dans l’application des solutions nouvelles servant par mes connaissances manque de
confiance mais parfois aussi par une mentalité défaillisse qui pousse les industries à accepter
l’usure comme une malle inévitable donc il faut sa commode.
- Cette état d’esprit a poussé plusieurs nations industrielles à des enquêtes nationaledans le
but d’estimer les pertes annuelles occasionner par l’usure et le frottement et de situe la
possibilité de gain immédiat.
- Si aussi le rapport (JOST Anglaise 1966) à estimer ces pertes à 1 milliard de livre Sterling
au moins récupérable par les applications tribologique de l’époque.
- Plusieurs pays an lancé des enquêtes de même titre et tous les rapports confirment les deux
(02) précédente
- Inertie de l’industrie :
- Possibilité de faire des gains important par une exploitation rationnelle de l’état de
connaissance su la tribologie.
- Une question vient à l’esprit de chacun de nous? à combien ce chiffre, la facture de notre
pays en tenant compte les trois (03) faits supplémentaire?
- Equipement non toujours adapté à nos conditions d’exploitation.
- Pièce non disponible (maintenance corrective privilégie, on déterminant de la maintenance :
production produire de commande, retards, coût d’immobilisation ,
- Personnelle d’exploitation et d’entretien est inexpérimenté
- Il n’est pas de repense ni exact ni approche et aucune étude statique à notre connaissance
n’apporté sur cette question.
Dans une simple extrapolation des chiffres de rapport JOST en tenant compte de la réalité
social et industriel de notre pays laisse passager des sommes et perdu
annuellement et peur être responsables pour une large par la situation économique du pays.
La notion d’user est largement présente la vie quotidien et le dictionnaire la ROUSSE on
donne une définition assez vaste :

Usure : détérioration d’une chose par suite de l’usage que l’on on fait.

Dans le domaine des systèmes mécanique une définition adapter et proposer par le groupe
de recherche sur l’usure des matériaux industriel de l’OCDE.
Usure : l’ensemble des processus de destruction des surfaces par suite du mouvement
relative de deux corps.

Le frottement :
C’est la résistance au mouvement qui provient de l’interaction entre solide sur leur surface
de contact réel, les sciences et les technologies qui s’intéressent à l’usure, au frottement et
moyens de les réduire par exemple par la lubrification, ce groupe sous le nom de tribologie.

La définition de la tribologie :
C’est la science et la technologie des surfaces en interaction un mouvement relatif et des
pratiques associer.
Le frottement et l’usure sont des phénomènes dissipatif, le frottement est un
consommateur l’énergie, l’usure consomme de la matière.
La réduction des frottements et des usures est la source d’économie appréciable.
Aspect économique de l’usure.

1 /3 de l’énergie consommer à traverse le monde sert à vaincre le frottement sous formes
divers.

Rapport ou JOST (1966).


Evaluation des économies annuelle (1 million livre sterling)

Consommation énergétique en diminuant le frottement 50


Lubrifiant de graissage + mains d’œuvres 10 + 10
Le coût de maintenance et remplacement des pièces usées 230
Le coût de réparation et perte liée aux arrêts 115
Economie sur les investissements en machines rendus nécessaire 100
par l’usure de ces dernières

Questions :

- Quel est l’ordre des pertes dans notre pays ?


- Quel sont les gains attendre d’une meilleur exploitation des connaissances actuel sur l’usure
et le frottement 

Analyse des systèmes :

1ere paramètre :

Le mode de contacte :

- contact ponctuel, sphère sur plan


- contact linéique (cylindre sur plan)
- contact surfacique (plan sur plan)

On a Deux pièces

Ps
(1) 
Gs (2)
Dimension cinématique des surfaces

Ps : petite surface cinématique à toujours, c’est point de contact avec l’autre surface

Gs : grand surface cinématiquement les points nous sommes toujours en contacte

La Ps doit être la plus moule, la Gs doit être dur et lisse

Exemple : arbre dans le coussinet à cause de jeu, l’arbre est la grand surface et le coussinet===
frottement toujours en même endroit c’est la petite surface

Gs : dur lisse, facteur thermique grand

2èmeparamètre :

Etat de surface micro-géométrique

Surface : objet géométrique imparfait -----> pression de contact très élevés, déformation aux
niveaux des aspérités

En cas d’échauffement, deux type de surfaces.

Surface apparente (Sa)

Surface réel de contact (Src), en peut atteindre Sa/Src=100


(1)

(2)

3ème paramètre la charge: peut variés milligramme (mlg)-------------- 100T (tonne)

4èmeparamètre : la vitesse, de 0 à 90 m/s, v=0 (contact statique)

5ème paramètre l’ambiance :

- la température
- vide ou gaz
- liquide ou fluide

6ème paramètre ; les matériaux :

Problème de surface :

Sur 100A° = gaz adsorbé (1A° (Angstrom) = 10-10m, 1µm (micromètre) = 10 -6m, 1nm (nanomètre)
= 10-6m)

 Sur 100A° à 1000A° = oxydes


 Sur 0,1 à 0,5µm couche perturbé (un système cristallin Fe avec des oxydes on appelle couche
de Berly.
 De 0,01mm à 0,5mm ===== couche d’écrouissage (le système cristallin déformé)
 Couche en courbe d’écrouissage, résistance au déplacement

⃗vet la tangentiel ⃗
T de sens opposé
⃗v . ⃗
T < 0, |T |=f|⃗
N|, f= tgψ
R

Tψ ⃗
⃗ N (2)
(1)

Décomposition des moments en :

 Moment pivotement
 Moment de roulement
 Moment de glissement

Le18/11/2013

Quelques coefficients de frottement

Métal/métal : dans vide fg= 1 ; dans l’air fg = 0,4 : 0,5 (fg coefficient de frottement de glissement)

 Plastique/métal dans l’air fg = 0,1  : 0,2(téflon)


 Frottement de roulement fr = 0  ,0001  : 0,01
 Frottement de glissement avec lubrifiant solide fg =0,05  : 0,1
 Liquide sans pression fg = 0,001  : 0,01 (paliers en statique)
 Liquide sous pression fg = 0,001 : 0,0001

Les vibrations
Réel
Edeal

Elle la cause de broutement et de crissement, le coefficient de frottement est aussi fonction de la


vitesse.

 C’est la cause de mouvement saccadé au démarrage


 Les phénomènes thermiques (énergie thermique)

θr= θa+ θfr+ θe


Réelcontact ambiante frottement éclair
Très élèves énergie dégager
 Transformation superficiel et structurale
 Etat de surface (θa ----> θ augmente avec le mouvement et le frottement) ; ce qui implique :
- Oxydation superficiel
- Ecrouissage
- Le changement d’état de surface
 Les pertes de masse

1 2 3

Courbe de la vie

1- Rodage :------>adaptation des surfaces (écrasement progressive des aspérités des deux antagonistes)

Les deux surfaces sont lissent


2- Lente : ----->la vie normale
3- Rapide :-----> la destruction
- Usure rapide -------> lubrifiant sont là pour augmenter la phase « 2 »

Exemple P

A (Aire)
h
- Deux pièces
- Aire (surface)
- Aspérité
Le volume usée pendant la phase (3) est proportionnelle à la charge, à la vitesse, et
inversement proportionnelle à la dureté sur l’échelle Brymell.
Pv k
U= k dt ; h = = pdt
HB HB
P : pression de contact apparent, déférente mécanisme provoque les modes d’usure
1- Usure adhésive : le déplacement provoque le cisaillement des liaisons forment entre les
deux pièces par rapport à l’effort de la charge.
2- Usure abrasive : action d’une particule dure --------- arrachement des surfaces
3- Usure érosive : identique à l’usure abrasive, mais les particules dures sont libre
4- Usure par déformation obtenu par sur-contrainte
5- Usure par fatigue
6- Usure corrosive ----- > action physicochimique

II) Etat de surface micro-géométrique

 Surface sur plan /plan, cylindre, sphère


Réalité : très irrégulier -----> usinage, copeaux, non continu ----> vibration
 Etat de surface conditionnelle :
- les contacts,
- les raideurs
- le frottement
- L’écoulement de la chaleur, - l’usure, – le filtre d’huile, - sécurité

Coût
Entretien
Usinage

Point optimal

Rugosité

 Comment caractérise une surface ?


- A la vue, où toucher
Et on donne une fonction, quel état de surface choisi ?
C’est l’aptitude fonctionnelle
Définition de la rugosité.

Ovalisation : mesure
à deux points

Mesure à un point macro-géométrique


Palpeur macro-
géométrique
Profil de rugosité

Mesure 2ème ordre


Ligne réel

Mesure 3ème et 4ème Macro-géométrique


ordre
Micro-géométrique

Palpeur

Pièce

A2
α A1
A1 : amplification 20 à 100

A2: amplification 500 à 50000

Si le pique = 10µm les rayant de courbures sont grand

Enveloppe
Lm .y .m
x
Matière
L

L : longueur de l’échantillon

Lm : ligne moyenne = 8mm

Un point quelconque « m » et défini par x et y (en ordonne et abscisse)

Y : c’est la distance entre la matière on profondeur et l’enveloppe

Profondeur moyenne d’aplanissement


L
Rz = 1/L∫ ydx
0

Lm : ligne moyenne à Rz de l’enveloppe


L’aire des piques en dessus de Lm = l’aire des creux en dessous de Lm

La distribution de profile gaussienne (aire au-dessous de Lm = aire au-dessus de Lm)


L
Critère : Ra = 1/L∫ ¿ Rz−Y ∨dx
0

Critère RMS (écart type)

RMS = 1/2∫ ¿ Rz− y∨¿ 2 dx ¿



On constat Ra = 1,11RMS

Les points figuratif des lignes parallèle à Lm, à la distance y de l’enveloppe

A C
n n
Li Ordonnée= ∑ Li Adaptation
0 ∑ Li 0 Lubrification Tp %
i=1 i=1 des surfaces

CR

Y
CL CF
B
Durée de vie normale

Y C(µm)

Courbe d’Abott

L’utilisation de la caractérisation micro-géométrique de la surface présente par la courbe de portance


dont l’aire de contacte sous une pression donnée (les sommes (les piques) s’écrouisse)

La courbe de portance du surface se décompose on plusieurs région après l’élimination de 1% à 3%


du taux de portance de contacte et de dernier pourcentage de la courbe

Zone A : zone de rodage

Zone B : zone d’exploitation

Zone C : représente la période de lubrification

A 50% (le rodage en profondeur) elle début en fin de rodage et fini lorsque la surface est tropolé -- >
mauvaise rétention d’huile ----> augmentation de la consommation d’huile et risque de grippage

Critère physique ----- profondeur total du profil total

On prend le point le plus haut et le point le plus bas de profil

WT AW
W max W’
AW’
Wi’

WT : profil total

WT

 L’ondulation (avec filtrage passe bas) (Aw)

 Rugosité (avec filtrage passe haut)

h1 h3 h5 h7 h9

h2 h4 h6 h8 h10
Ligne de référence

( h ¿ ¿ 1+ h3 +h5 +h7 + h9)−(h 2+ h4 +h 6+ h8 +h10 )


R z= ¿
5

R max R =P
T r

AR
CHAPITRE III

Usur des métaux

Les lois principaux des métaux

Usure par adhésion : Bowden et Tabor /1935

A réelle N

T

N

A apparente

Le contact réel s’effectuer que sur des petite points---HB pression d’écoulement du métal AR

AR : l’aire réel de contact élémentaire ; N = HB.Aire

Si on plus contrainte tangentielle -T (cisaillement là où se touche realement)

La résistance limite au cisaillement (τ)

T=τ.Aire --- cela provoque le frottement

Le coefficient de frottement f= T/N = τ.Arire/HB .Aire ; f=τ/HB

Influence de l’état de surface

Ra
k
Pression

Gros et
bruyante

Surface est oxydée

Pression

PL
K : le coefficient d’usure : V = k
HB

Les aires élémentaire peuvent se multiplie  Bas pression

Utilisation de toutes les aires existence  Haut pression

Le 09/12/2013

Les contraintes de contact

Hypothèse de calcul

1) Matériaux homogène, isotrope, élastique


Dans matériau homogène 
- Le calcule dans le domaine d’élasticité
- La contrainte = k x la déformation.
2) La géométrie de surface du solide en contact
- Surface libre (au voisinage de point de contact)
- Rayon de courbure définie au voisinage du point de contact lorsqu’ il y a déformation
- L’aire de contact reste plane
- Les dimensions de l’aire de contact restent petites
3) Force et pression
La force est normale à la surface pas de frottement, répartition de la pression sur la
surface élastique
Résultat de Boussinsesq

N X
Z
ψ

m
r
y m’
z

Deux composantes de déplacement Ur et Uz


( 1−2 ν ) (1+ ν) z 1 2r ² z
Ur= ⌊ 2 2−
2 πEr √r + z 2 ν 3
(r ¿¿ 2+ z ²) ⌋ ¿2

( 1+ ν ) z² 1
Uz= N⌊ +2(1−ν)
2 πE 2
3
2 2
1
(r + z ) (r ¿¿ 2+ z ²) 2 ⌋ ¿

Exemple
Par rapport à OZ, Ur =0 (symétrie)
( 1+ ν ) 1 2(1−ν)
Uz= N⌊ + ⌋
2 πE z z
Près de la surface Z ≈0
( 1−2 ν ) (1+ ν) N
Ur=
2 πE r
1−ν ² N
Uz=
πE r

Le 10/12/2013

Contact Hertziens
δ1

m1

r1
r2 X

m2

Z1

Contact initial
Position de problème-- cas général
La théorie de Herts s’applique au contact de sphère au rayon défirent

Parabolique : Z1 = A1x² + B1y² + 2C1xy


Z2 = A2x² + B2y² + 2C2xy
M1M2 = Z = Z1+Z2= Ax²+By²

a
b b

Pression max
Contrainte au contact entre deux sphères les deux axes a-a et b-b ; les deux axes de contact
on la même longueur a = b
Lorsque on presse une sphère sur un matériau élastique la surface de contacte augmente.
Le contact d’Hertz se refaire aux contraintes localise qui se développe lorsque deux surfaces
courbe viennent en contact et se déforme légèrement sous l’action des forces appliquées.

Le degré de déformation
Dépend du module d’élasticité du matériau : autrement dit le l’élasticité du matériau
La théorie de Hertz fournie la contrainte dans la zone de contact en fonction de la force
applique des rayons de courbure des deux corps et de leur module d’élasticité.

Théorie de Boussinesq
La déflexion verticale profonde aux points d’application de la force N
Cette déflexion décroit à mesure que l’on ces écart de point d’application

Pour Hertz
Appuis -------------- déformation ;

δ  : rapprochement des centres


N
la matière d’Пna pas disparus
Z-δ

M1
les surface s’applatisent
Z-δ+w1+w2
ᴦ: aire de contacte
M2

M1  ,M2Єᴦ ------- Z-δ+w1+w2 ; w1+w d2  :déformation élastique dus à sont l’axe oz

Z-δ = w1+w2= Z-Ax²-By²

L’equation de Hertz

F
P(x,y)
x
μ M
M
) F
r

L’équation
(μ) : aire de contact ZF
M Є μ M(x,y) -------- pression p(x,y)
Boussinesq en N dûe à p(x,y)

P(x , y)
W1= k1∬ dxdy : déformable
μ r
1−ν2i
ki = (module réduit )
πEi
ν : coefficient de Poisson
E : module de Yong

P(x , y)
Doù : W1+W2 =(k1+k2)∬ dxdy=δ −( A x2 + B y 2)
μ 2

P(x , y)
∬ dxdy=N
μ 2

Aire de contact elliptique définit par a et b

Répartition des pressions elliptique

P0
x

x2 y ²

P( x , y )=P0 1− −
a2 b ²
La réponse de Boussinesq étant connu le travail de Hertz consiste à découvrir le bon profil de
pression pour obtenir un profil de déflexion (déformation) qui coïncidedans la zone de contact
circulaire et de rayon avec le profil de la sphère de rayon « r » d’une distance « δ »

Le 16/12/2013

Résultat d’Hertz (contact ponctuel)

a=m¿ ¿  ;

b=n ¿ ¿ ;

δ = a²A+b²B

r : angle caractéristique les ½ axes de l’ellipse de contact

m et n l’évolution des coefficients

m et n en fonction de τ est donné par la table

τ m n

90 1 1 cercle
60 1,468 0,717

30 2,731 0,493

0 infinis 0 droite

 Contact contra-formel

Les rayons de courbure sont situés d’une même côte de plan de contact pour chaque solide

Exemple :

Sphère/sphère (elliptique distribution) R1R1’>0

 Contact conformel

Une cuvette : c’est les rayons de courbure sont situés dans le même plan

R2R2’>0 ; R1R1’>0 ligne droite

R2
R1
Si l’on pénètre dans la matière R>0

Si l’on sorte de la matière R<0

En partant de point de contact vers le centre de courbure

R
N
 Contact sphère/plan

P0
a
R2=R2’=infinis ; R1=R1’= R ;
r2
P=P 0 1−

3 N
a2
3 π ²a² a2
P max =  Pm (moyenne); (δ ¿=(k 1 +k 2 )P0 ; δ= ; P (pression)
2 πa ² 2 2 R

Cercle de contact

σθ : contriante principale X


σz
τzr τrz
OZ : axe principal θ
σr
σr =σθ : contrainre radiale σθ
εr =εθ : déformation radial

τ rz = 0 (cisaillement) Z
Répartition des contraintes

Le 17/12/2013

Suite

En surface Z=0 ; (σr, σθ, σz )= σ principale

Dans le cercle de contact r<a Z=0 = compression à l’intérieure de cercle

1+ 2 ν
Au centre du cercle r=o, Z=0 = compression très important dr=dθ = P0;σz =-P0
2

Exemple

ν =0,3 ; σr= σθ= -0,8P0 ,σz =-P0 ============= cisaillement τmax = -0,1P0

 Hors de cercle de contact r>a Z=0 ; σr tension


 Sous la surface, sur l’axe OZ r=0 (σr, σθ, σz) sur l’axe
σr=σθ, σprincipale
σz ===> compression
R2
σ/P0
A A’

-0,5

-1

Figure des forces et intensité des σ principale de surface

Si le matériau à caractère fragile ----risque de fissuration au niveau de cercle de contact (AA’)

o
σ/Rmax

σr=σθ
τ τmax =0,3Pmax

OC = 0,5a
σz
τ = 0,1 Pmax

σsur l’axe oz

Z/a

Sous la surface A’ point de cisaillement maximal : point de Hertz (pression maximal)

Les matériaux à caractère ductile se déformés plastiquement par cisaillement, risque maximale
en A, le début de la déformation étant dessous de la surface.

 Contact linéaire

Contact contra-formel

Sphère/sphère ; sphère/plan

R1>0 R1>0

R2 >0 R1 R2 = infinis R1
Contact conformel

R1>0

R2 <0

R2

R1

Px

a
P0
b
b/a = 0 (pas de déformation)

2 a

Résultat géométrique
1 /2
N R 1 R2 1−ν1 ² 1−ν2 ² x²
b = [4
a R 1+ R 2
(k 1 + k 2)]  ; k 1=
πE 1
;k 2=
πE 2 √
; P=P0 1− 2
b
−1
P0
σy = −2 ν i ¿ ;σx = −¿ ¿ ¿ :σz = z  
1+( ) ²
b
Contrainte max
Si Z=0 σx = -P0 ; σy = -2νiP0 ; σz = -P0 
Cisaillement maxτ = ½(σz-σx)

0,3 0,6 1 σ/P0


σy/P0

σx/P0
τ/P0
σz/P0

Z/b

τ = ½(σx– σy)
Le 06/04/2014

Influence du paramètre vitesse

V
Vc :( Vitesse critique) Vc

Metaux dans l’aire

Il ya une vitesse critique où le coefficient d’usure k diminue de 10 -4 à partir de cette vitesse

Vc ---------> échauffement

θ° (température)--------->oxyde

Oxyde

on plus un contact acier/acier mais oxyde/oxyde coefficient d’usure faible

Si on refroidi les pinddddd par l’exterieur le coefitient d’usure reste fort.

Triboréaction--------> oxydation acier/acier

Acier+crome------> oxyde de crome Cr2o3

Usure sévère

Usure douce
V

Effet de l’environnement

On peut être dans : - le vide, - dans l’air, - dans gaz

 Dans liquide (eau, gaz liquide, lubrifiant)


 Dans le vide on peut avoir le coefficient de frottement f=1 à sec
 Avec lubrifiant solide f=0,2(la mine)
 Avec lubrifiant liquide on peut descendent jusqu’à f=10-4

Le coefficient d’usure k= 1 :10-4

Les contraintes grande proche de la rupture, en initié des fissures sous la surface-----> des molécules
d’adhésif (huile, eau) rentre (pénètre) dans la surface ------> diminution de l’énergie superficielle dans
la fissure ----->facilitation de la propagation de la fissure.

----> Surface fragile (fragilisation)

---->Ce sont les effets de REHBINDER

Le 27/1/2014

Effet des matériaux

Si en veut que l’usure soit faible, il faut que l’on est des jonction (aspérité) faible

On à essayer de prendre un matériau insoluble (les caractéristiques mécanique incompatible au sens


de la métallurgie) l’un dans l’autre.
kP Cu et Pb ils ne
vont diffusés l’un
Fe dans l’autre

Or est soluble
dans le fer
Douce Severe P
P P

Ag :100% 40% P Or :100% alliage P


P

On peut aussi prendre des matériaux dans les composés sont facilement cisaillée fe/Sm ( fer/ laitain)

On dit alors que les matériauxsont compatibles au frottement et à l’usure

Choix des matériaux

Usure adhésive
NP
AP

BP

NP
Deux pièces A et B

Déformation élastique ou plastique de part et d’autre part (A et B) ---->microsoudure, pour avoir un


mouvement il faut cisailler les microsoudures.

1)
2) RC<(RA, RB)

Résistance au cisaillement  cassure à l’interface

3) RA, <RC<RB rupture dans le solide A transfert de solide A sur solide B


4) RC> (RA, RB)  transfert de la matière tantôt de A tantôt de B (Cu/Acier)

Pour limiter l’usure adhésive éviter que les microsoudures se former.

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