Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Dédicace
Je dédie ce mémoire à :
Mes parents, pour leurs encouragements, leur patience, leur soutien et leurs sacrifices.
On peut dire qu’il n’y a aucune dédicace qui pourrait exprimer mon respect et ma
profonde considération envers eux. Je prie le bon Dieu de les bénir, de veiller sur eux,
en espérant qu’ils seront toujours fiers de moi.
A toute ma famille
A mes professeurs
Leur générosité et leur soutien m’obligent à leur témoigner mon profond respect et ma
loyale considération.
Touaiba CHAT
Dédicace
Je dédie ce mémoire à …
A ma très chère mère Vitas Saloua, Tu représentes pour moi le symbole de la bonté
par excellence, la source de tendresse. Aucune dédicace ne saurait être assez éloquente
pour exprimer ce que tu mérites pour tous les sacrifices depuis ma naissance, durant
mon enfance et même à l’âge adulte. Tu as fait plus qu’une mère ne puisse faire pour
que ses enfants suivent le bon chemin dans leur vie et leurs études.
A mon cher frère Mohammed EL Amine, Mon ange gardien et mon fidèle
accompagnant dans tous les moments et aussi ses belles surprises sucrées. Je te
souhaite un avenir plein de joie, de bonheur et de réussite. Je t’exprime à travers ce
travail mes sentiments de fraternité et d’amour.
A mes professeurs
Un remerciement particulier et sincère pour tous vos efforts fournis. Vous avez
toujours été présent. Que ce travail soit un témoignage de ma gratitude et mon profond
respect..
En témoignage de l’amitié qui nous unit et on souvenir de tous les moments que nous
avons passés ensemble, je vous dédie ce travail et je vous souhaite une vie pleine de
santé et de bonheur
Youssra DIB
Remerciements
commencer ce rapport par des remerciements à ceux qui ont eu la gentillesse de rendre ce stage un
Nous adressons nos vifs remerciements et notre profonde gratitude à notre encadrant
professionnel, monsieur TEMSAMANI Mohamed, qui s'est toujours montré à l'écoute tout au
long de la réalisation de ce stage, ainsi que pour son inspiration, son temps consacré à nous
Nos plus vifs remerciements s’adressent aussi à tout le corps professoral et administratif de
l’ESCG Tanger
Nos remerciements vont enfin à toute personne qui a contribué de près ou de loin à
l’élaboration de ce travail.
Finalement nous voudrions exprimer notre reconnaissance envers les amis et collègues qui
nous ontapporté leur support moral et intellectuel tout au long de notre démarche.
Sommaire
Dédicace
Remerciement
Sommaire
Introduction générale...........................................................................................................1
Partie I : Audit commercial : sens et fondement ...........................................................5
Chapitre I : Notion d’audit et de marketing...................................................................6
Section1 : Définitions..........................................................................................................6
Section 2 : Les règles d’un audit ........................................................................................
Chapitre II : La fonction commerciale............................................................................
Section 1 : Généralités sur la fonction commerciale...........................................................
Section 2 : L’organisation de la fonction et les interfaces avec d’autres unités..................
Section 3 : Finalité et objectif de la fonction ......................................................................
Section 4 : Le cycle normale de la fonction commerciale...................................................
Chapitre III : Audit de la fonction commerciale..........................................................
Section 1 : Rappel de la méthodologie de la fonction commerciale....................................
Section 2 : Les principaux risques à la vente.......................................................................
Section 3 : Les points de contrôle de l’auditeur..................................................................
Section 4 : Evaluation du contrôle interne...........................................................................
Partie II : Audit de la fonction commerciale : Cas de la société « Tingis Consulting»…
Chapitre I : Contexte du stage, problématique et méthodologie de recherche………..
Introduction générale :
Notre stage s’est effectué au sein d'un cabinet comptable, TINGIS CONSULTING.
Par sa forme juridique, on peut dire que c’est une entreprise individuelle ou une société à
responsabilité limitée. Il peut se définir comme un bureau d’étude comptable de construction
de société, d’audit et de conseil (fiscal, financier, juridique, de gestion & organisation et de
gestion de patrimoine).
Notre stage coïncidé avec une période particulière pour l’entreprise qui représenté par
nous une opportunité de premier ordre.
C’était la première fois que Tingis Consulting allait avoir un audit commercial. Ce
dernier est une analyse commerciale pour détecter des problématiques, et les résoudre par des
analyses des méthodes de prospection et l’analyse du chiffre d’affaires.
On peut dire également que c’est un service dédié aux nouvelles entreprises, aux entreprises
en période de crise et aux entreprises qui visent loin dans leur cycle de développement etc…,
la performance de ce service offre l’opportunité de corriger et sauver l’exercice. Pour réaliser
sa mission, la fonction commerciale a besoin de se doter de moyens humains, matériels et
financiers nécessaires à son fonctionnement. De plus, elle se caractérise par une organisation
particulière lui permettant d’agencer les moyens mis à sa disposition et de structurer ses
relations avec les autres unités de l’entreprise. De ce fait, une attention particulière doit être
adressée à cette fonction et plus spécialement au cycle ventes – clients.
Quelque soit le type de commerce, les objectifs de toute entreprise sont fondamentalement les
mêmes : augmenter les ventes et le chiffre d’affaires, améliorer la productivité et la
rentabilité, avoir une vision plus précise des besoins des clients et des opportunités de marché,
et créer une organisation plus facile à contrôler, plus transparente.
Notre problématique porte sur le rôle de la pratique d’audit commercial dans l’entreprise,
autrement dit comment l’auditeur doit être en mesure d’émettre une opinion sur l’efficacité du
fonctionnement du cycle des ventes.
Pour apporter des éléments de réponse à cette problématique, notre travail se structurera selon
la méthodologie suivante :
Dans une première partie nous allons présenter les finalités et les objectifs de « l’audit
fonction et ses interfaces avec les différentes unités. On s’intéressera ensuite à recenser les
Dans une deuxième partie que nous avons nommée « Audit de la fonction commerciale :
Partie I :
Audit commercial : sens et
fondement
La Fonction Commerciale, fonction carrefour au service des autres fonctions internes, est
l’une des plus importantes sources de valeur ajoutée pour toute entreprise. Cette grande
importance de la fonction nous amène, dans un premier chapitre, à parcourir la littérature pour
mettre le point sur la présentation des traits caractéristiques de cette fonction ainsi que son
organisation et ses relations avec les autres services de l’entreprise. Une fois la présentation
de la fonction commerciale est faite, nous allons nous concentrer, dans un deuxième chapitre,
sur l’évaluation du contrôle interne pour déceler les points forts et les faiblesses en rapport
avec cette fonction.
1) Définition d’audit :
L’audit se définit comme une activité ou l’examen d’une information par un professionnel
indépendant en vue d’exprimer une opinion par référence à un critère. L’audit s’exerce à
postériori.
Le terme « audit » est souvent indûment confondu ou parfois utilisé de façon inadaptée avec
des notions avoisinantes mais différentes comme celles de diagnostic, analyse et évaluation ;
état des lieux et d'autres expertises.
Cela est généralement dû aux situations auxquelles la notion, mais aussi les outils de l'audit
pourraient s'appliquer qui sont d'une diversité inqualifiable.
L'audit est souvent utilisé à des fins qui peuvent varier considérablement en
fonction de ceux qui le pratiquent.
En effet, alors que les uns le mettent en œuvre pour prendre connaissance de la situation avant
d'agir, d'autres l'utilisent par obligation légale.
L'audit peut être occasionnel ou permanent. Dans le premier cas, l'audit n'est souvent mis en
œuvre qu'à l'apparition d'un problème grave que l'organisation n'arrive pas à circonscrire ou à
l'occasion d'une décision stratégique ayant des implications sérieuses sur son devenir. Dans le
second cas, l'audit fait partie du système normal de gestion de l'entreprise, il s'intègre dans les
méthodes et procédures mises en place et enrichit le tableau de bord de l'entreprise par des
voyants qui permettent de mieux la gérer dans un environnement de plus en plus turbulent.
« Audit », un simple mot plein de sens fait allusion à des significations bien différentes :
La littérature nous apprend que l'audit est l'activité qui applique, en toute indépendance, des
procédures cohérentes et des normes d'examen en vue d'évaluer l'adéquation, la pertinence, la
sécurité et le fonctionnement de tout ou partie des actions menées dans une organisation par
référence à des normes.
L’audit est une activité de contrôle et de conseil qui peut porter sur différents aspects d’une
organisation. Les deux principaux types d’audit sont :
• l’audit financier : qui est l’examen de la validité des états financiers émis par une
organisation.
Il peut exister d’autres types d’audit par exemple : audit social, audit statutaire, audit
environnemental, audit des systèmes d’information, etc.
L’audit peut être mené soit par une personne appartenant à l’organisation, c’est
l’audit interne ; soit par une personne extérieure, c’est l’audit externe. C’est le type d’audit qui
nous intéresse le plus.
a. Les principes d’audit :
b. La démarche d’audit :
Connaissance de l’environnement
Définition des objectifs
Compréhension et appréciation de l’organisation
Etude des normes et procédures empruntées
Détermination des zones de risque
Proposition des actions correctives
Etablissement des rapports
Vérification des solutions
- l’audit financier.
- l’audit social.
- l’audit informatique.
- l’audit d’organisation et plus particulièrement l’audit qualité, qui nous intéresse ce jour.
Il permet de vérifier l’état de l’organisation de l’entreprise, suivant les référentiels
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
L’audit interne est une procédure indépendante, objective et neutre exercée en équipe au sein
d’une entreprise par des personnes formées. Cette activité a pour but d’induire une
amélioration des performances de l’entreprise en s’assurant de son bon fonctionnement et en
apportant des conseils.
Grâce à une technique systématique et organisée, l’audit permet à l’entreprise d’atteindre les
objectifs visés. Il s’agit d’une approche de perfectionnement des processus de gestion des
risques, de surveillance et de gouvernance d’entreprise.
L’audit interne n’est pas chargé de produire des rapports mais plutôt d’aider l’entreprise à
atteindre ses objectifs, même si ça se fait le plus souvent par l’émission d’un compte-rendu
comportant plusieurs recommandations.
Mais ils sont nécessaires pour avoir une vue d’ensemble du fonctionnement global de
l’entreprise.
Suite à ce suivi, des recommandations sont émises. L’auditeur interne est dans l’obligation de
revenir sur le terrain pour constater qu’elles ont bel et bien été mises en œuvre. Il ne faut pas
oublier que l’audit interne est exigible d’une prestation de service. Elle doit être en mesure
d’induire des résultats positifs réels et concrets.
Donc, de façon générale, l’audit interne a un champ d’action qui touche principalement trois
processus :
En effet l’audit interne est en mesure de gérer les facteurs pouvant entraver la réalisation d’un
objectif en procédant à l’adaptation de l’organisation. Il faut savoir qu’un risque se matérialise
par la survenue d’un évènement contraignant ne s’adaptant pas avec le mode de
fonctionnement actuel. Ainsi il peut être à l’origine d’un échec dans l’atteinte des objectifs.
Donc, il est important de savoir que ce n’est pas l’évènement fortuit qui est la cause de
l’échec mais plutôt le non prévoyance du risque et le maintien de la même organisation.
« Vous sortez de chez vous à l’heure à laquelle vous êtes habitué de sortir. Il s’agit ici du
mode de fonctionnement, c'est-à-dire l’organisation [sortir à une heure bien déterminée].
Cependant vous êtes ralenti par les embouteillages. Il s’agit dans ce cas de la matérialisation
d’un risque [évènement fortuit + organisation non adaptée].
Donc, il est erroné de penser que le retard qui en découle [échec de l’objectif] est dû aux
embouteillages [évènement, incident].
Vous devez plutôt être prévoyant et modifier l’heure à laquelle vous sortez [adaptation de
l’organisation] pour espérer arriver à l’heure [objectif atteint]. »
L’audit interne met en place un système similaire de gestion de risque en agissant au niveau
du fonctionnement de l’entreprise pour éviter les échecs.
Dans cette optique, il est donc possible de définir le management de risques comme étant une
procédure à trois temps (avant, pendant et après)
http://www.coach-rh.com/audit-performance-commerciale-nantes.php
b) L’audit externe :
L’audit externe est une institution financière est tenue de faire un rapport détaillé de ses
ressources et de ses activités. Elle doit mettre en place des processus comptables ainsi que des
systèmes de contrôle qui reflètent la nature et les aboutissements de ses opérations.
La direction et le personnel d’une entreprise, par exemple, sont dans l’obligation de fournir
des informations financières aux différentes parties concernées, notamment les membres du
conseil d’administration et les investissements extérieurs (actionnaires, bailleurs de fonds).
Pour que ces parties puissent obtenir une confirmation concrète de ces informations, ils ont
alors recours à l’audit externe.
L’audit externe est mis en œuvre par un organisme indépendant chargé de vérifier la validité
des informations communiquées aux parties par les institutions. Ainsi, l’audit externe se
définit comme étant un examen indépendant et formel de la situation financière d’un
organisme ainsi que de la nature et des résultats de ses activités. Cette étude est mise en œuvre
par des commissaires aux comptes professionnels. Ils ont pour but de s’assurer de la
pertinence des rapports de la direction et de la crédibilité des états financiers. Elle permet
également de dresser la responsabilité des institutions dans la gestion des capitaux des
bailleurs et d’objectiver les points faibles des suivis internes.
Les travaux d’audit externes peuvent varier énormément en fonction des objectifs. En effet,
un auditeur externe est en mesure d’effectuer différents types d’audit :
Le type d’audit externe le plus répandu est l’audit des états financiers.
Les états financiers sont composés du bilan de l’institution, son compte de résultats et les
fluctuations de son état économique. Ils sont établis par des procédures comptables
instaurées par les institutions. Ces organismes peuvent financer des audits des états financiers
pour plusieurs raisons :
Les parties directement concernées par les états financiers (les bailleurs de fonds, la
direction…) sont en droit de vouloir s’assurer que l’image reflétée par l’institution est
bel et bien fidèle à sa situation réelle.
Une institution peut apporter la preuve de sa transparence. La confirmation de ses états
financiers est destinée aux bailleurs de fonds, prêteurs ou investisseurs potentiels et
fait appel à un organisme indépendant.
L’audit externe peut être imposé par la loi ou par certaines réglementations.
Les organismes répertoriés comme étant des intermédiaires financiers sont tenus
d’établir des états financiers audités. Dans certains pays, il est impératif que toutes les
ONG (organisations non gouvernementales) présentent des états financiers audités
qu’elles soient considérées ou non comme institutions financières.Donc dans un audit
des états financiers, l’auditeur est chargé d’émettre une opinion sur la situation
financière d’une institution en vérifiant si elle est bien conforme aux normes
comptables. L’étendue des travaux d’un auditeur se base sur :
L’examen des données qui justifient les montants et l’ensemble des éléments
constituant les états financiers.
L’évaluation des normes comptables appliquées par l’institution.
L’analyse des principales estimations fournies par la direction.
L’étude de la présentation globale des états financiers.
une opinion sans réserve : stipule que les états financiers de l’institution sont
représentés de façon transparente et fidèle. C'est-à-dire qu’ils ne comportent aucune
anomalie significative.
une opinion avec réserve : reflète des problèmes de gestion qui ne permettent pas à
l’auditeur d’exprimer une opinion sans réserve.
une opinion défavorable : est émise lorsque les normes comptables ne sont
pas respectées et que les états financiers sont biaisés.
Enfin, il est important de savoir que l’audit externe est soumis à des « normes d’audit ».
Les normes d’audit prévoient que l’auditeur réalise un travail contentieux en vue de confirmer
concrètement que les états financiers d’une institution ne présentent aucune anomalie
significative. Une donnée est qualifiée de significative si son omission ou son inexactitude
peut influencer la décision des destinataires des états financiers.
Les normes d’audit reconnues et mises en place par l’ordre professionnel des experts
comptables du pays ;
Les normes reconnues dans le pays où sont implantés des ordres professionnels de
longue date (France, Etats-Unis…) ;
Les normes internationales d’audit (ISA, International Standards On Auditing)
Si l’auditeur a le choix, il est toujours préférable d’avoir recours aux normes internationales
d’audit.
Enfin, il est primordial de différencier entre les audits externes et les contrôles menés par les
autorités de supervision bancaire ou par la banque centrale. Le contrôle est une procédure
réglementaire menée par un inspecteur. Son étendue est beaucoup plus étendue que celle des
audits.
http://www.doubleyouconsulting.com/audit-commercial-et-marketing/
http://www.cadre-expert.fr/conseil/strategie-commerciale
3) Concept du marketing
o L'optique vente qui consiste dans la mise en œuvre des moyens pour amener
les produits sur le marché et susciter l'intérêt des consommateurs à les acheter.
o L'optique marketing, ici l'accent est mis sur la prise en compte des besoins des
clients actuels et potentiels pour pouvoir mettre sur le marché un ensemble
cohérent des produits et services destinés à répondre à ces besoins.
Et c'est dans la mise en œuvre du plan marketing que nous retrouvons l'audit marketing.
a) La définition du marketing
Le marketing se définit comme une science de la totalité nous dit NZENZA, M, (20112012).
En effet, pour cet auteur, c'est une approche opérationnelle qui consiste pour les managers à
considérer la fonction marketing comme quasi incontournable dans les décisions stratégiques
à prendre au sein de l'entreprise.
On parle alors d'un processus de marketing itératif, qui part de la définition des objectifs, en
passant par les analyses desquelles sont opérées des choix et des orientations en vue de la
mise en application d'un plan marketing qui doit faire l'objet de contrôle dans sa réalisation.
Dans la suite de NZENZA (2011-2012), nous pouvons affirmer avec VALSECCHI, Y. (2012)
que beaucoup croient faire du marketing en créant un département du même nom. La structure
ne suffit pas à créer la fonction, car si le marketing est l'une des fonctions de l'entreprise, il est
plus important que les autres fonctions. Il est la fonction primordiale.
Pour leur part KOTLER, P., KELLER , L.,MANCEAU, D, et DUBOIS, B.,(2006) désigne le
marketing comme la science et l'art de choisir ses marchés cibles, et d'attirer conserver et de
développer une clientèle en créant, délivrant et communiquant de la valeur.
Pour notre part, le marketing est une discipline qui vise à créer de la valeur en ce qu'il cherche
à déterminer les offres de biens, de services ou d'idées en fonction des attitudes et de la
motivation des consommateurs ou du public en général, pour favoriser leur
commercialisation. Pour y arriver, il fait appel à un ensemble de méthodes et de moyens dont
dispose une organisation pour s'adapter aux publics auxquels elle s'intéresse, leur offrir des
satisfactions si possible répétitives et durables. Par aspect créatif, il suscite des innovations
sources de croissance d'activité.
Pour la petite histoire, le marketing tire son origine en réaction à la pensée économique
classique qui, au XIXe siècle, était incapable de résoudre les problèmes provoqués par la
rapide croissance de l'économie.
Insatisfaction du consommateur
Développement du mouvement consumérisme
Intervention nécessaire des pouvoirs publics
http://www.a2dmarketing.com/audit-diagnostic-marketing-et-commercial-entreprise.htm
L’analyse SWOT
Cette analyse reprend, dans un tableau synthétique, les conclusions tirées de l'analyse de
l’environnement, du marché, de la concurrence, de notre entreprise, et du consommateur
Forces Faiblesse
- La proximité offerte aux clients locaux. - Le manque de moyens pour être au bon niveau
de veille juridique et sociale.
- la stabilité des équipes dans le temps
- Impossibilité de se spécialiser, pour certains
- L’adaptabilité vis-à-vis des demandes cabinets positionnés sur des marchés de niche.
individualisées.
- Le manque de moyens pour assurer
- La connaissance du marché et des entreprises durablement et de manière profitable les
de petite taille, (artisans, commerces, missions de commissariat aux comptes selon les
professions libérales,…) normes de qualité attendues.
Les forces sont les aspects positifs internes que contrôle l'organisation ou le pays, et sur
lesquels on peut bâtir dans le futur.
Par opposition aux forces, les faiblesses sont les aspects négatifs internes mais qui sont
également contrôlés par l'organisation, et pour lesquels des marges d'amélioration importantes
existent. L'analyse SWOT étant basée sur le jugement des participants, elle est par nature
subjective et qualitative. Si l’étude des forces et celle des faiblesses nécessitent d’être
approfondies, deux outils peuvent être utilisés pour fournir des pistes d’investigation : l’audit
des ressources et l’analyse des meilleures pratiques (comparaison à l’intérieur d’un pays entre
ce qui fonctionne bien et ce qui fonctionne moins bien suivant certains indicateurs)
Les opportunités sont les possibilités extérieures positives, dont on peut éventuellement tirer
parti, dans le contexte des forces et des faiblesses actuelles. Elles se développent hors du
champ d'influence du pays ou à la marge.
Les menaces sont les problèmes, obstacles ou limitations extérieures, qui peuvent empêcher
ou limiter le développement du pays ou d'un secteur.
http://www.memoireonline.com/05/08/1069/diagnostic-fonction-commerciale-compagnie-
assurances-saar-sa.html
a. Définition
De la même façon qu'un chef d'entreprise fait auditer ses comptes régulièrement, il doit faire
auditer son service commercial. C'est ce qui lui permet de vérifier que dans un monde
mouvant, il garde une efficacité maximum.
• Audit interne
• Audit externe
• L'auto évaluation
C'est la consolidation de l'ensemble qui permet d'avoir une bonne analyse du service
commercial de l'entreprise.
i. Audit Interne
L'audit interne consiste à poser des questions à l'ensemble des forces commerciales de
l'entreprise. C'est à dire de l'ensemble des collaborateurs impliqués dans la relation
commerciale avec les clients.
Il s’agit alors de connaître de façon objective, précise et claire l’analyse que la force
commerciale a de l’organisation commerciale qu’elle pratique au quotidien.
Chacun voit et vit l'organisation de l'entreprise à travers son travail au quotidien, les
problématiques auxquelles il est confronté et qu'il doit résoudre. Ce type d’audit permet de
• Stratégie
• Organisation et moyens
• Management et communication
• Implication et relations interpersonnelles
L'audit externe se déroule en posant des questions aux clients grâce à une étude de satisfaction
client.
Il s’agit de mesurer le niveau de satisfaction des clients et détecter leurs attentes.
Ce type d’étude met en lumière les convergences et les divergences, entre les analyses
internes et les analyses terrain. Elle indique :
La direction commerciale doit faire son auto évaluation en se posant un certain nombre de
questions concernant :
• L’environnement
Connaître son marché et ses clients est un préalable. Connaître les pièges à éviter aussi.
• La stratégie
La stratégie commerciale doit toujours faire référence à un objectif précis à atteindre dans un
délai établi.
• L'organisation commerciale
o Les outils commerciaux. Les outils de vente y compris les tarifs, doivent
respecter un certain nombre de conditions : être cohérents (même logos, adresse à jour,
typo identique…) et ils doivent être simples et compris de tous.
o Le mode de commercialisation
o La gestion de l’information commerciale. Il s’agit de recenser les renseignements
nécessaires sur chaque client et chaque prospect et de faciliter le partage, au niveau de
la société, des informations remontées du « terrain » par les commerciaux.
Nous savons que l’audit commercial doit s’appliquer sur tous les points concernant le
performance commerciale, afin d’analyser les forces et faiblesses de l’entreprise dans sa
démarche commerciale habituelle. Dans cette phase, il est important de connaitre les niveaux
d’assimilation des techniques commerciales, ainsi que les compétences et besoins des
vendeurs sur un certain nombre de points.
L’expert commercial doit alors guider son client dans le processus d’évaluation des bases
commerciales de ses équipes.
Pour cela, l’estimation des compétences des hommes, les pratiques utilisées, le niveau de
satisfaction des divers acteurs de l’entreprise est capitale si on veut renforcer la performance
commerciale globale.
Il s’agit tout d’abord, d’étudier les comportements de tous les membres de la force de vente,
principalement au niveau de leurs relations avec les clients.
Il est important de porter un regard neutre sur chaque individu, et sur la perception qu’il a, de
sa place dans l’organisation. Car la cohésion de l’équipe de vente est aussi capitale pour le
succès des affaires
Nos modules d’enquêtes clients (outil en ligne) permettent de poser facilement de nombreuses
questions, qui favorisent la perception des besoins non déclarés, utiles à connaitre pour le
pilotage de la stratégie commerciale.
Un audit est toujours composé d’un diagnostic suivi d’une série de recommandations qui
permettront à l’équipe de proposer des actions destinées à combler les carences de
l’organisation, à moyen/long terme selon les possibilités et les objectifs prioritaires de
l’entreprise.
Pour plus d’impartialité, les auditeurs devront aussi être contrôlés sur leur
progression et leurs résultats.
Chacun d’entre eux devra prendre du recul par rapport à l’activité générale, être force
d’analyse et de propositions.
Le métier d’auditeur n’implique pas d’être perfectionniste mais professionnel. L’auditeur
n’est pas un décideur, c’est pourquoi il doit dire la vérité mais en évitant de froisser ou de
commander.
1. Importance de la fonction
2. Actions de la fonction
Ainsi, les responsabilités des vendeurs consistent principalement à s'assurer que le produit
et/ou service vendu soit conforme aux exigences spécifiées. Ceci implique, entre autres, les
actions suivantes :
Comprendre le besoin externe et adapter l'offre à la demande ;
Identifier et maîtriser les risques de vente ;
Fidéliser ses clients ;
Etablir de bonnes relations avec les clients : usuelles (court, moyen terme),
partenariales (moyen, long terme)
Associer les services techniques à toute idée ou action pouvant contribuer à
l’amélioration des performances des produits ou services vendus ;
Promouvoir l'esprit d'innovation et de compétitivité en améliorant constamment la
qualité des services rendus et des produits vendus et en restant ouvert sur
l'environnement et sur l'offre des concurrents.
Il n’y a guère de structure idéale. La meilleure, dans un cas donné, est celle qui
permet d’appliquer les orientations de politique générale de l’entreprise au coût minimum
(entendu dans un sens large évidemment).
Cela nous renvoie donc à l’examen des conditions de fonctionnement de la structure.
Deux aspects sont alors complémentaires : la nature des problèmes à résoudre, le coût des
coordinations nécessaires.
S’il est admis que les problèmes complexes doivent pouvoir être traitéspar des responsables
de haut niveau d’une manière simple, il en résulte qu’à un fort degré de complexité et
d’hétérogénéité de produits, de clientèles, de zones géographiques, doit correspondre une
structure simple de la fonction commerciale.
Les coordinations internes doivent être analysées quant aux actions qui doivent être
entreprises, aux délais et fréquence d’exécution qu’elles impliquent : le meilleur choix
organisationnel serait celui qui en minimiserait le coût total.
Celles-ci sont nombreuses et concernent pratiquement tous les autres services de l’entreprise.
- le sur stockage ;
- le maintien en stock de produits obsolètes ou de pièces détachées inutiles ;
- les ruptures de stocks ;
- l’exécution défaillante du service après-vente pour lequel le vendeur est souvent
l’interlocuteur du client ;
- le mauvais usage des capacités de production, entraînant des périodes de sous-activité
alternant avec des périodes de pointes ;
- le non-respect des engagements envers les clients, associés à une campagne de médias.
- La facturation :il s’agit d’éviter les omissions, les erreurs, les incohérences entre les
décisions prises par les vendeurs et la capacité de l’administration commerciale d’exécuter, de
respecter les délais de facturation les plus courts, les conditions et les modalités agréés, et à
l’inverse d’éviter l’incapacité du service commercial à tenir les engagements de vente – tarifs
et conditions – tels qu’ils sont intégrés dans les programmes informatiques.
Dans son fonctionnement quotidien, le système Ventes - Clients a pour principale mission de
répondre aux besoins et exigences externes en offrant les produits demandés au meilleur prix,
avec la qualité requise et dans les délais convenus.
I- Finalités de la fonction
1. A long terme :
2. A moyen terme :
3. A court terme :
Prendre contact avec les acheteurs constituant le marché potentiel défini par la
politique marketing ;
Développer les moyens adéquats pour obtenir leur clientèle ;
Assurer les aspects technico-commerciaux, préparer les éléments nécessaires à
l’élaboration des devis ;
Prendre les commandes ;
Collecter les informations susceptibles d’aider le marketing à affiner la connaissance
des opinions et attentes du marché ;
S’assurer que les clients disposent du produit commandé dans les conditions prévues
de délais et de qualité ;
Aider les clients à tirer le meilleur parti des produits et services de l’entreprise ;
Eventuellement, exercer le précontentieux vis-à-vis des clients ;
Veiller à la présentation de clients solvables, à la surveillance des éléments visibles de
la solvabilité.
Les objectifs de vente peuvent être variés (réalisation d’un volume de chiffre d’affaires et de
part de marché, modification de la structure de la clientèle, etc.) et peuvent aussi évoluer dans
le temps (la recherche d’une modification d’image générale peut être souhaitée).
Il peut y avoir un risque de fixer des objectifs irréalistes ou peu cohérents avec la politique de
l’entreprise. Ainsi, la qualité des procédures de suivi conditionne à la fois le réalisme des
objectifs et la capacité de l’entreprise à déclencher à temps les actions correctives appropriées.
Les principales sources de risque résident dans :
La procédure relative au cycle ventes – clients englobe le circuit de vente, depuis la passation
de la commande par le client jusqu’au recouvrement de la créance.
Pour émettre une opinion sur l’efficacité du fonctionnement du cycle des ventes, l’auditeur va
dérouler une démarche composée de trois étapes essentielles lui permettant de :
Les différents services intervenant dans la mise en œuvre des procédures sont identifiés ainsi
pour le cycle ventes/clients :
Le cycle peut être décomposé en sept étapes à la réalisation desquelles participent divers
intervenants de l’entreprise :
La première approche de tout cycle, comme de tout travail d’audit, passe par la réunion des
principales données significatives :
Le nombre de clients ;
Le chiffre d’affaires annuel ;
La valeur du poste des créances clients, comprenant les factures à établir ;
Le ratio de crédit clients, exprimant les délais de règlement des clients en jours de
chiffre d’affaires ;
Les devises utilisées pour la facturation et l’encaissement ;
Le nombre de factures émises par mois et leur valeur moyenne ;
Le nombre annuel des avoirs émis ;
Les modes de règlement habituels (chèques, cartes de crédit, numéraire, effets de
commerce).
Ces premiers éléments permettent une orientation sur ce cycle, vers les zones à priori sensible
propres à l’entreprise examinée du point de vue du contrôle interne.
Il apparaît évidemment que les degrés de satisfaction des résultats du contrôle interne de ce
cycle diffèrent selon les caractéristiques du suivi clients (leur classement en catégories, leur
relance, les modes de règlement), ainsi que l’existence de procédures rigoureuses de suivi des
commandes, facturations, livraisons…
Après avoir présenté les traits caractéristiques, l’organisation et le cycle normal de la fonction
commerciale, nous allons aborder, dans ce deuxième chapitre, l’audit de la fonction
commerciale.
Ainsi, nous allons réserver la première section à un rappel sur la méthodologie d’une mission
d’audit des fonctions. Par la suite nous allons dresser la liste des différents risques potentiels
liés à cette activité et leurs sources. Puis nous traiterons les points de contrôle auxquels
l’auditeur doit s’intéresser. Enfin, nous présenterons les objectifs du contrôle interne liés au
cycle vente/client. Sur la base de ces objectifs, on évalue la qualité du contrôle interne à l’aide
de guides d’évaluation et de questionnaires pour dégager ainsi les points forts et les faiblesses
du système, chose qui fera l’objet de la deuxième section.
I. La phase de préparation
Elle ouvre la mission d’audit. Elle exige des auditeurs une capacité importante de lecture,
d’attention et d’apprentissage. En dehors de toute routine, elle sollicite l’aptitude à apprendre
et à comprendre, elle exige également une bonne connaissance de l’entreprise car il faut
savoir où trouver la bonne information et à qui la demander. C’est au cours de cette phase que
l’auditeur doit faire preuve de qualités de synthèse et d’imagination. Elle peut se définir
comme la période au cours de laquelle vont être réalisés tous les travaux préparatoires avant
de passer à l’action.
C’est tout à la fois le défrichage, les labours et les semailles de la mission d’audit.
Durant cette phase, les travaux préparatoires sont réalisés, l’auditeur est amené à rechercher
les informations, à observer le sujet.
Pour plus de détail sur la démarche de l’audit interne, voir J. RENARD, Théorie et
pratique de l’audit interne, Editions d’Organisation, 4ème édition, 2002 audité, à effectuer des
études préliminaires, afin de repérer les zones de risques, elle est composée de quatre étapes, à
savoir :
Elle fait beaucoup plus appel aux capacités d’observation, de dialogue et de communication.
Se faire accepter est le premier impératif de l’auditeur, se faire désirer est le critère d’une
intégration réussie. C’est à ce stade que l’on fait plus appel aux capacités d’analyse et au sens
de la déduction. C’est, en effet, à ce moment que l’auditeur va procéder aux observations et
constats qui vont lui permettre d’élaborer la thérapie.
La réunion d’ouverture
Le programme d’audit
Le travail sur le terrain
Elle exige également et avant tout une grande faculté de synthèse et une aptitude certaine de
rédaction, encore que le dialogue ne soit pas absent de cette dernière période. L’auditeur va
cette fois élaborer et présenter son produit après avoir rassemblé les éléments de sa récolte.
Nommée également, la phase d’achèvement, durant laquelle, l’auditeur rédige le rapport
d’audit en quatre étapes :
La fonction commerciale est sujette à de nombreux risques. On distingue entre les risques à
long terme qui touchent l’horizon stratégique de la fonction, les risques à moyen terme qui
concernent l’horizon budgétaire, et les risques à court terme liés au fonctionnement quotidien
de la fonction commerciale.
I. A long terme :
Ces risques peuvent être plus sérieux lorsque l’entreprise a recours aux services
d’intermédiaires non-salariés : les intermédiaires appliquent souvent leurs propres concepts
commerciaux sans respecter les lignes directrices de leurs commettants.
Selon BECOUR et BOUQUIN, les principales sources de risque sont :
- comme pour l'exercice de la mission stratégique, le manque d’intérêt porté par la fonction
vente à l’observation des évolutions des comportements des clients et des marchés,
- le recours à la subjectivité faute d'avoir élaboré un système d'information adéquat,
- un comportement des vendeurs inadapté aux facteurs clés déterminés par la stratégie,
- l'insuffisance de la coordination des politiques de vente, de distribution, de communication
et de production.
Dans le fonctionnement quotidien de la fonction commerciale, le risque qui se présente est lié
à l’incapacité des vendeurs à appliquer la politique marketing, soit parce que ceux-ci
s’adressent à une clientèle mal choisie, soit parce qu’ils gèrent mal la clientèle existante, soit
parce qu’ils ne remplissent pas leur rôle de représentation de l’entreprise sur son/ses
marché (s).
A chaque niveau d’analyse correspond des contrôles bien spécifiques que l’auditeur est amené
à effectuer pour mener à bien sa mission d’audit.
I. A long terme :
Pour le cycle ventes/clients, l’auditeur identifie les endroits dans le flux des opérations où les
objets de contrôle pourraient ne pas être atteints ; c'est-à-dire qu’il identifie les risques
d’erreurs dans le flux de traitement.
Ces endroits sont ceux où des contrôles sont nécessaires.
Il peut les identifier dans le cycle, en posant une série de questions permettant de déterminer
si chacun des sept objectifs de contrôle est atteint, ou encore d’utiliser des affirmations. Ces
questions ou affirmations sont formulées en liaison avec le flux des données décrit dans le
diagramme de circulation ou dans le narratif, et se concentrent sur les endroits, dans le flux
des opérations, où les données sont générées, transférées ou modifiées.
1. Objectifs du contrôle
interne des ventes
1° Les commandes reçues doivent être suivies pour assurer leur exécution (enregistrement
extra- comptable par exemple).
Une procédure d'autorisation de crédit aux clients est nécessaire. Avant l'exécution de la
commande, il convient de s'assurer que l'encours du client ne deviendra pas supérieur à la
limite fixée compte tenu de sa capacité financière, ce qui nécessite un suivi de la solvabilité
des clients.
Cette fonction ne doit pas être exercée par le service des ventes.
2° l'organisation interne doit permettre de s'assurer que toutes les expéditions (ou services
rendus) donnent lieu à l'établissement d'une facture (contrôle effectué par une personne
différente du magasinier, rapprochement entre quantités sorties et quantités facturées). Il est
particulièrement utile que des bons d'expédition pré numérotés puissent être
rapprochés des factures.
Ce rapprochement doit être effectué par une personne autre que celles qui contrôlent et
expédiente les marchandises. Lorsque les bons d'expédition sont pré numérotés, la personne
chargée des factures doit s'assurer qu'il n'y a pas de rupture de séquence.
4° Les factures de vente doivent être contrôlées périodiquement ou par sondage, notamment :
• Par une comparaison avec les commandes (ou devis), les bons d'expédition et les accusés de
réception de marchandise ; cette fonction ne doit pas être cumulée avec les fonctions
d'établissement des factures, et d’expédition ;
• En ce qui concerne les prix et les conditions (remises, délais de paiement, calculs), cette
vérification devant être faite par une personne indépendante de celle qui prépare les factures.
6° La procédure, ne doit pas permettre d'enregistrer une facture de vente avant l'expédition
effective des marchandises (même avec un système de pré-facturation), ou une sortie de stock
et la facture correspondante dans des exercices différents.
7° La procédure d'envoi de relevés aux clients permet d'obtenir une réaction de clients qui ne
sont pas d'accord avec le solde annoncé.
8° Des analyses fréquentes des soldes clients (ou un classement par ancienneté) permettent de
détecter rapidement les arriérés et d'effectuer les relances nécessaires.
Les fonctions de comptabilisation et d’exploitation doivent être séparées. Ainsi, les fonctions
suivantes doivent être assurées par des personnes différentes : la gestion du stock, la tenue des
comptes clients, les encaissements, la facturation, et l’émission des avoirs.
Il s’agit pour l’auditeur de mettre en évidence les points forts du cycle étudié afin d’orienter la
nature et l’étendue du contrôle quantitatifs à mettre en œuvre, mais aussi de déceler les points
faibles, en précisant la nature du risque ainsi engendré, et ses implications comptables.
Afin de faciliter le travail des auditeurs, des guides d’évaluation de contrôle interne,
accompagnés de questionnaires (voir annexe), permettent de travailler avec un aide-mémoire
méthodologique. On peut prendre l’exemple, entre autre, de procédures envisageables
permettant de s’assurer de la correcte recevabilité des créances, on relève :
L’existence d’un service indépendant, chargé du suivi et de la gestion du risque
clients, avec des procédures d’octroi de crédit, l’établissement d’une « liste noire »
(liste des clients jugés indésirables compte tenu de leur insolvabilité probable) et de
fiches de renseignement par client ;
Un blocage automatique des commandes, en cas de liste noire ou de dépassement du
plafond du crédit d’un nouveau client ;
L’approbation ou la validation systématique des commandes avant l’expédition des
marchandises.
Cet aide-mémoire ne sert cependant que de support, et ne peut remplacer le regard critique de
l’auditeur. En effet chaque entreprise a ses particularités et, s’il est vrai que certaines
procédures semblent être des points forts évidents, il faut être capable d’analyser chaque
situation.
Après cette description du cycle, l’auditeur a une vision transversale des procédures
appliquées par les différents services. Cela lui permet éventuellement de remettre en question
ce qui peut être considérés comme un point fort par un service mais est perverti par la pratique
quotidienne.
Pour clore cette partie on peut dire que les missions de Performance Commerciale débutent
souvent par un diagnostic du service commercial, des services en contact avec la clientèle et
de la situation de l'entreprise sur son marché permettant de dégager des forces et des
faiblesses et de vérifier si l’entreprise est capable de saisir les opportunités commerciales et de
se prémunir des menaces. Ce diagnostic commercial permettra donc de préconiser une
stratégie commerciale et de mettre en œuvre un plan d’actions commerciales en ligne avec les
objectifs et les ressources de l'entreprise.
Performance commerciale réalise des diagnostics commerciaux approfondis et basés sur les
modèles les plus efficaces sur lesquels peuvent s'appuyer de véritables stratégies de
développement commercial à court et moyen termes.
Partie II :
Audit de la fonction
commerciale : Cas de la société
« TINGIS CONSULTING »
Après avoir passé en revue la théorie concernant l’audit de la fonction commerciale, cette
deuxième partie sera consacrée à la mise en application des acquis tout en utilisant l’ensemble
des outils mis à la disposition de l’auditeur. Pour ce faire, nous allons présenter dans un
premier point la description générale de la société TINGIS CONSULTING ainsi que de la
procédure vente/client. Dans un deuxième point, l’accent sera mis sur le déroulement de la
mission d’audit de la fonction commerciale de ladite société.
Email contact@tingiscons.com
Téléphone 0539941333
Adresse 1,RueOkba ibn nafie N°5 TANGER
1. L’historique
2. L’IMPORTANCE DE LA FIDUCIAIRE :
La forme juridique d’un cabinet comptable est souvent une entreprise individuelle ou
une société à responsabilité limitée. Il peut être défini comme un bureau d'étude comptable de
constitution de société et de conseil (fiscale, financier et Juridique).
3. L’ORGANISATION DE LA SOCIETE :
1. L’organigramme :
La Direction
Générale
Le secrétariat
Les stagiaires
C’est le service lien entre le fiduciaire et l’extérieur, il se charge de recevoir les clients,
soit directement, ou par téléphone, et tout ce qui révèle de la correspondance.
L’impression de la
L’élaboration du L’impression et la
balance et du
bilan correction
grand livre.
Après cette phase qui est purement comptable, on passe à la phase concernant les déclarations
fiscales. Ces dernières consistent à déclarer l’IS, s’il s’agit de société anonyme ou de société à
responsabilité limitée, on utilise un imprimé bleu (voir l’annexe). Il y a aussi la déclaration de
l’IGR s’il s’agit des personnes physiques, on utilise un imprimé blanc (voir l’annexe). Le
dossier est envoyé par la suite à la direction des impôts.
Le Service Juridique :
Il prend sous sa charge les expertises qui se tiennent par voie judiciaire (conflits avec la
société d’assurance, conflits entre les héritiers…etc.).
Le Service Informatique :
Il dépend de tous les autres services, pour le traitement des rapports de commissariat aux
compotes, ceux d’expertises et aussi la saisie des opérations comptables.
I. Le contexte du stage :
Cette partie sera consacrée aux différentes tâches effectuées au sein de ce cabinet comptable
durant un séjour de huit semaines.
- Les deux premières semaines : semaine d’observation pour découvrir la société, ses
compétences techniques et aussi ses différents services.
Conseil Expertise
En matière Audit Comptable
Juridique
Conseil en fiscalité
Conseil en Conseil en matière
Organisation Conseil en Gestion
Organisation
Formation Informatique et
Ingénierie systèmes
financière d'information
Audit :
Seules des méthodes de révision approfondies et élaborées permettent d’assurer la qualité de
la certification contractuelle des comptes : simple référence dans la présentation de
l’entreprise face à un interlocuteur, ou introduction appréciée par les organismes de
financement, une signature reconnue représente un facteur important dans toute négociation.
L’audit est également un investissement permettant d’accroître l’efficience de la gestion par la
rationalisation des flux internes d’information et le contrôle permanent des performances des
systèmes en place.
Depuis son origine, TINGIS CONSULTING a été au service de la révision des comptes
d'entreprises commerciales et industrielles.
C'est ainsi que ses dirigeants et ses collaborateurs ont acquis un savoir-faire et une expérience
qu'ils mettent au service de leurs clients dans le cadre des missions suivantes :
Expertise comptable :
Le département "Expertise Comptable" de TINGIS Consulting traite les mandats de
comptabilité et répond à la demande des sociétés préférant confier la tenue de leurs comptes à
des spécialistes
Le but recherché par ces sociétés est l'assurance de pouvoir se consacrer entièrement au
développement de leurs propres activités et de bénéficier de partenaires expérimentés et
fiables au niveau de la gestion administrative et comptable.
Le département profite des avantages des logiciels les plus performants, qui permettent de
proposer aux clients des solutions appropriées, flexibles et, au besoin, sur mesure. La veille
technologique est l’un de nos principes.
L'organisation comptable prévoit ainsi la tenue de la comptabilité soit chez le client, soit à
TINGIS CONSULTING, tout en permettant, grâce au recours aux nouvelles technologies
d’information, un transfert de données de part et d'autre ainsi que d'assurer un suivi direct et
efficient.
Gestion prévisionnelle
Analyse de coûts, de marges, de rentabilité
Projets d'investissements : coût et rentabilité
Tableaux de bord, contrôle budgétaire, comptes de résultats prévisionnels
Contribution à la protection du patrimoine de l'entreprise
Étude d'optimisation du profit
Ratios de gestion
Assistance dans la prévention et le traitement des difficultés de l'entreprise
Diagnostic d’entreprise
Analyse de gestion financière et de rentabilité des capitaux investis
Ratios financiers
Techniques d'analyse de gestion du fonds de roulement
Systèmes de crédits, de crédit-bail et affacturage
Prises de participation (étude, assistance, réalisation pratique)
Constitution de dossiers de subventions, de réduction de droits et taxes,
d'exonération des taxes
Etablissement des tableaux de bord
Droit du travail
Conseil en fiscalité :
Alliant la compétence à l'esprit innovateur, TINGIS CONSULTING est le spécialiste dans
tous les domaines de la fiscalité au niveau technique le plus élevé.
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
Une large expérience an matière de l'impôt des personnes physiques associées à une
connaissance approfondie de la fiscalité de la clientèle industrielle et commerciale, permettent
de proposer des solutions sur mesure.
Conseil en organisation :
Introduction :
Analyse et restructuration de l'organigramme
Formation :
Nous sommes un " organisme de formation reconnu ", ainsi, toutes nos formations
bénéficient d'une prise en charge.
Nos programmes de formation seront bientôt disponibles.
Ingénierie financière :
Secrétariat social :
→ Le dossier est classé par mois et par ordre chronologique, selon le procédé suivant :
DOSSIER ACHAT.
DOSSIER VENTE.
DOSSIER BANQUE.
DOSSIER CAISSE.
DOSSIER OPERATIONS DIVERS.
1- DOSSIER ACHAT
Dans ce dossier, on classe toutes les factures d’achats, quittances de loyer, et d’électricité,
les factures de téléphones, ainsi que les redevances de crédit-bail réglé soit au comptant
(chèque ou espèces) ou à crédit (traite à 60 jours ……..)
2-DOSSIER VENTE
Il comprend toutes les factures de vente, quelque soit leur mode de règlement, et qui sont
classées par numéraux de série.
3-DOSSIER DE BANQUE
Il comprend le relevé bancaire plus les pièces justificatives des montants figurants dans ce
relevé (avis de débit, avis de crédit, avis de versement en espèces).
4-DOSSIER CAISSE :
On y classe toutes les déclarations fiscales de la société (TVA, IGR, IS, …) ainsi que les
bordereaux de la CNSS.
N.B :
Avant de comptabiliser une facture, il faut que cette dernière répond à certaines conditions :
Dans ce journal on enregistre toutes les factures d’achats du mois concerné, par exemple
les achats effectués au cours du mois janvier doivent être comptabilisés au journal achat du
même mois.
Les montants T.T.C. enregistrés dans ce journal sont crédités en premier lieu, et suivant leur
mode de règlement, ils sont débités dans le journal Caisse ou le journal Banque. En
contrepartie, on débite le compte de charge correspondant et la T.V.A. récupérable sur les
charges afin de respecter la règle de la partie double.
Pour analyser, contrôler et/ou chercher la situation d’un fournisseur quelconque à une date
précise; il suffit de consulter son code.
2- JOURNAL VENTE :
Les factures de ventes sont saisies de la même manière que celles d’achats :
Dans le cadre du régime débit on peut centraliser les écritures de la TVA d’un mois dans une
seule écriture (seule ligne). Par conséquent cela nous permet de savoir aisément le montant de
la TVA à déclarer.
3- JOURNAL BANQUE :
La société peut avoir un ou plusieurs journaux de banque selon le nombre des comptes
bancaires qu’elle détient.
Dans ce journal on procède au détail du relevé bancaire, en passant les écritures dans
leurs comptes appropriés. Cependant cette technique reste une exception dans la
mesure où la plupart des sociétés utilisent l’état de rapprochement bancaire.
4- JOURNAL DE CAISSE :
Le journal caisse est composé de recettes qui sont représentées par les factures clients
réglées espèces et les alimentations qui proviennent soit de la banque, soit d’un apport espèces
d’un associé, et de dépenses qui sont constituées de factures fournisseurs réglées espèces, des
bons de caisses et des retraits pour alimentation de la banque.
En ce qui concerne les bons de caisse, leurs libellés doivent comprendre le nom de
Frs et la désignation.
Dans ce journal on passe généralement toutes les opérations autre que les Achats, ventes,
banques et caisse, par exemple (Charges sociales, TVA, les écritures de régularisations …).
N.B : Si le règlement est fait en totalité on procède systématiquement au lettrage des
comptes, cette méthode nous aide à savoir s’il y a un montant qui n’a pas encore réglé.
A- VOLET FISCAL :
Sont obligatoirement imposés à ce régime : Les redevables dont le chiffre d’affaire taxable
réalisé au cours de l’année écoulée atteint ou dépasse 1.000.000dhs.
N.B : Ces redevables doivent déposer avant l’expiration de chaque mois, auprès du bureau du
percepteur, une déclaration du chiffre d’affaire réalisé au cours du mois précédent, et versé en
même temps la taxe correspondante.
Déclaration trimestrielle :
Sont imposés à ce régime :
Les redevables dont le chiffre d’affaire taxable réalisé au cours de l’année écoulée est
inférieur à 1.000.000dhs.
N.B : Les redevables imposés à ce régime doivent déposer avant l’expiration du premier
mois de chaque trimestre, auprès du bureau du percepteur, une déclaration du chiffre d’affaire
réalisé au cours du trimestre écoulé et verser en même temps la taxe correspondante.
Régime débit :
Dés l’établissement de la facture, la TVA devient exigible s’il s’agit d’une facture de vente, et
elle est déductible s’il s’agit d’une facture d’achat.
2.1) L’établissement de la déclaration :
La déclaration doit être faite sur un imprimé modèle délivré par l’administration .On se base
sur les relevés bancaires & l’état de caisse qui justifient les encaissements et les décaissements
envisagés.
A partir de ces éléments on remplie les tableaux suivants :
2.2) L’enregistrement de la TVA due :
2.3) Les sanctions :
Toute taxe déclaré en dehors du délai prévu, et sans que ce retard excède un mois, est
assortie d’une pénalité de 10% du montant des droits dus.
Tout retard excède trois mois est passible d’une pénalité égale au minimum à25%, et
peut atteindre 100%.
Si la taxe et déclaré en dehors de délai prévu mais ne comporte pas de la taxe à payer
ni de crédit de la taxe, le redevable est passible d’une amende de 500dhs
Lorsque la dite déclaration est déposée en dehors de délai prévu mais comporte
un crédit de taxe, le dit crédit est réduit de 15%
B- VOLET SOCIAL :
La paie :
Le personnel de la société perçoit une rémunération mais l’entreprise supporte d’autres
charges sociales en respect de la législation en vigueur. Il peut être soit forfaitisé par
période c’est à dire mois quinzaine, semaine.
1- Les éléments du salaire :
1.1) Salaire de base :
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
Il peut être soit forfaitisé par période c’est à dire mois, quinzaine, semaine soit
calculé par application d’un taux horaire au nombres d’heures effectuées dans la limite de
la durée légale de travail (26 jours par mois ) soit calculé à la pièce produite.
1.2) C ompléments de salaire :
Le salaire de base est augmenté par d’autres éléments.
Les primes :
Une prime est une somme d’argent accordée à un salarié à titre d’encouragement.
A- ancienneté : le droit de travail fixe ces primes à
2 à 5 ans 5%
5 à 12 ans 10%
12 à 20 ans 15%
Supérieure à 20 ans 20%
B- les autres primes différentes d’une entreprise à une autre .prime de risque (caissiers)
prime de responsabilité
Les indemnités :
Ce sont des compléments de salaire mais pour indemniser l’employé sur des charges qu’il
supporte en exerçant son travail
Exemple : indemnité de transport.
Autres avantages :
Logement, prise de charge du loyer par l’employeur, etc.…
2- Charges patronales :
A- ALLOCATIONS FAMILIALES :
7.50% du salaire brut sans plafond
B- C.N.S.S :
8.58% du salaire brut plafonné à 6000 dhs
2.2) Cotisation National de la Sécurité Social :
Cette cotisation est obligatoire, et déterminée comme suit :
4.29 % du salaire brut plafonné à 6000dhs
Les mutuelles :
Exemple : assurance maladie
2.4) Avances et oppositions :
Si le salarié a bénéficié d’un prêt ou d’une avance sur salaire, des sommes lui seront retranchées
de son salaire net.
2.4) Impôt Général sur le Revenu Salariaux :
-Déclaration mensuelle :
Modèle 9404
Cette déclaration doit être déposée avant la fin du mois. L’IGR versé mensuellement constitue des
acomptes qui seront régularisés à la fin de l’année
-Déclaration annuelle :
Modèle 9421
Dans cette déclaration on calcule l’IGR globale que l’employeur doit verser à l’ETAT, et
le montant verser c’est la différence entre le total des acomptes et l’IGR global, qui doit être
déposé au plus tard fin février.
La législation a prévu un barème applicable en vue de déterminer l’impôt de l’IGR.
La CNSS :
1.1) La définition :
La CNSS est un établissement public qui assure la gestion de sécurité sociale dont
l’inscription est obligatoire pour les personnes physiques et morales.
1.2) Demande de recrutement à la CNSS :
Pour l’employeur :
Il faut remplir une demande d’affiliation qui permet d’avoir un N° d’affiliation (F-312-1-02) à
cet organisme, cet imprimé fourni par la CNSS doit être accompagnée avec des pièces
mentionné au verso, ainsi que le bordereau spécial concernant les mois déclarés et un relevé
de personnel en exercice.
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
Pour l’employé :
1.3) Autres demandes :
Demandes de perception des allocations familiales, établie par le salarié qui veut bénéficier
des allocations familiales de la CNSS accompagnée des pièces mentionnée à son verso.
Demandes de perception au titre d’un enfant supplémentaire (F 311-1-03), établie par le
salarié lors de la naissance d’un enfant supplémentaire.
Documents demandés :
- Présenter une demande sur imprimé à retirer auprès du CRI
- Carte d'identité nationale ou passeport,
- Photocopie de la carte d'identité nationale ou passeport si l'investisseur se fait représenter
par une autre personne
Ou le chercher : Directement dans les CRI, à l'OMPIC ou sur le site de l'OMPIC Cout :
230Dhs au CRI ou à l'OMPIC.
N.B : Passé un délai d'un mois, les certificats négatifs non retirés seront annulés
Passé un délai d'un an, les certificats négatifs retirés et non déposés pour inscription
Au registre du commerce seront annulés La demande du certificat négatif doit être déposée
à la même ville du dépôt du dossier de création.
Formalité 2 : Établissement des statuts (Acte notarié ou sous seing privé)
Entreprise concernées : Toutes les sociétés commerciales Organes concernés : Cabinet
Juridique : fiduciaires, notaires, avocats, experts comptables, conseillers juridiques, centre
d’affaires etc.
Renseignements à fournir : A définir avec le cabinet juridique chargé du dossier a savoir :
1. Copie de la pièce d’identité des associés (CIN ou PASSEPORT)
2. Montant du capital
3. Répartition du capital
4. L’activité de la société
5. Le ou les noms des gérants …
Frais :
- 20Dhs de frais de timbres pour la légalisation par feuille
- honoraires du cabinet juridique
- droit d'enregistrement 1,5% du capital minimum 1000dhs.
Formes Juridiques : Il y a plusieurs formes (juridiques) de sociétés. La plus utilisée et la
plus simple est la S.A.R.L : Société à responsabilité Limitée. Avec la SARL, vous avez à
la fois une simplicité et une marge de manœuvre qui vous permet de gérer l'entreprise
vous-même. D'ailleurs, vous pouvez être Associé unique (Vous êtes Seul propriétaire de la
société) ou plusieurs associés à la fois. Cette forme juridique (S.A.R.L) préserve vos Biens
: Si par exemple votre société est en faillite (qu'elle n'a plus d'argent ou ressources) et
qu'elle doit de l'argent aux "Autres", ces derniers ne peuvent pas confisquer vos biens
personnels, mais seulement les biens de la Société (sauf si vous vous êtes porté garant
pour votre société ou que vous avez abusé de biens de votre société).
Siège social : Adresse de la société.
A. Phase d’étude
1) Méthodologie :
Il s’agit alors de rencontrer le demandeur pour comprendre ses attentes, recueillir une
première idée sur l'activité à auditer (lectures + documentation + interview des Directions
hiérarchiques et fonctionnelles, importance et organisation, finalités, objectifs, performances,
frontières), rencontrer le demandeur pour valider ses attentes, redéfinir la mission et rédiger
l'Ordre de Mission, le faire signer, le diffuser.
Exemple d’ordre de mission :
Direction : Générale
Direction: Audit Interne
Objet : Audit des achats de l'usine de Bousfiha
Conformément aux décisions du Comité Interne d'Audit, la Direction d'Audit Interne
commence, à la demande de la Direction de la Branche, un audit des achats de l'usine de
Bousfiha.
Les objectifs généraux sont les suivants :
- Apprécier l'organisation en vigueur et les systèmes d'informations existants ;
- S'assurer de l'efficacité des procédures mises en œuvre pour prévoir, effectuer et
suivre les achats (commandes, réceptions, règlements) ;
- Evaluer les gains réellement apportés par le système de suivi récemment mis en place.
Cette mission sera menée par Ch. Alaoui (0 XXX.XXX.XXX) assisté de A. Kamal et
M. Slaoui.
Vous voudrez bien en informer les personnes concernées et prêter votre concours actif au bon
déroulement de cette mission.
2) Outils :
Organisation de l’activité
Particularités
Concurrence
Part du marché et situation du marché
Perspectives
Facteurs externes
Principaux clients
Principaux fournisseurs
Liens de sous-traitance
Collecte documentaire :
- Brochure commerciale
- Monographie du secteur
- Articles, diverses documentations
Appartenance à un groupe
Position dans le groupe
Société mère
Filiales
Consolidation
Collecte documentaire :
- Organigramme du groupe
- Règles de consolidation
- Listes des filiales et participations
Organisation
Implantation
Structure interne
Conseils externes
Services d’audit interne et/ou organes de contrôle externes
Collecte documentaire :
- Organigramme fonctionnel
- Liste et coordonnées des conseils
Données juridiques
Forme sociale
Entité cotée
Composition du capital
Direction
Historique
Particularités
Collecte documentaire :
- Statuts et principaux contrats
- Liste de dirigeants
Données fiscales
Régimes fiscaux
Particularités
Existence de redressements
Données sociales
Régimes sociaux
Particularités
Conflits sociaux
Mode de rémunération des dirigeants
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
Données comptables
Mode de gestion comptable
Mode de gestion budgétaire
Organisation comptable
Particularités
Calendrier d’arrêté comptable
Partenaires financiers
Politique de financement et d’endettement
Règles d’inventaire
Collecte documentaire :
- Derniers états de synthèse
- Rapport des auditeurs précédents
- Dernier budget
Tableau 1 : Questionnaire de simplification de la prise de
connaissance
Appréciation du risque
Risques liés à l’activité de l’entreprise :
- Secteur d’activité (en croissance ou en récession)
- Risques spécifiques aux produits et au marché
- Intégrité et compétence de la direction
- Facteurs d’influence sur la direction
- Intérêt de la direction pour les données comptables et financières
- Degré de fragilité de la structure financière (dont existence
d’engagements financiers importants)
- Ratios comparés de l’entreprise et de la moyenne du secteur
- Respect des lois et règlements
- Degré de sensibilisation au risque de fraudes et erreurs
- Existence d’opérations juridiques particulières en cours
- Existence er nombre de conventions règlementées
- Difficulté entre associés ou avec des partenaires
- Appréciation de la continuité d’exploitation
- Identification de retards de règlement
- Qualité de l’organisation générale de l’entreprise
- Existence d’un manuel de procédures et de documentations
appropriées
- Compétence du personnel
- Place des intervenants externes
Risques liés aux opérations :
- Complexité du système et des opérations
- Qualité de suivi de la comptabilité
- Anomalies détectées dans les données comptables et financières
- Existence de changement de méthodes et choix de règles
comptables particulières
- Existence d’opérations exceptionnelles, particulièrement
complexes ou inhabituelles
- Implication de la direction dans le suivi des opérations
- Existence de procédures de contrôle interne
- Fiabilité de l’environnement informatique
- Principales transactions comptables
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
B) Phase de vérification
1) Méthodologie :
2) Outils
Le premier outil de la phase de vérification est la trame de plan de mission, s’en suit une
feuille de travail et ensuite la FRAP.
Données de base sur l’entité
Présentation générale
Description de l’activité
Stratégie et évolution
Noms et coordonnées des dirigeants et principaux interlocuteurs
Données comptables caractéristiques (sur au moins 3 exercices)
Evénements significatifs de l’exercice
Politique d’arrêté des comptes
Données de base sur la mission
Réglementation particulière, méthodes spécifiques
Actualisation et appréciation du système de contrôle interne
Détermination des domaines sensibles
Outils internes sur lesquels l’auditeur peut s’appuyer
Organisation de la mission
Travaux sur le contrôle interne
Référence aux travaux de tiers
Travaux particuliers
Contrôles substantifs
Coordination avec le co-commissaire
Equipe et budget
Interlocuteurs
Calendrier
Tableau 3 : Trame de plan de mission
Nom du dossier : Référence dans le
dossier :
Date de clôture de l’exercice : Dates d’intervention :
Intervenants de l’équipe d’audit :
Interlocuteurs dans l’entité :
Objectifs recherché :
Travail effectué :
Documents utilisés :
Techniques mises en œuvre :
Critères de sélection utilisés :
Table des symboles utilisés :
Conclusions des travaux :
Conclusion des travaux :
FRAP n° X
Problème :
Faits :
Causes :
Conséquences :
Recommandations :
1) Méthodologie
C’est à la fin de cette phase que le travail de l’auditeur d’achève et se limite dans la
structuration des conclusions et des futurs rapports, la réorganisation des FRAP en un projet
de rapport puis validation, la modification et diffusion du rapport définitif et enfin l’obtention
des plans d’action des audités en réponse aux recommandations.
2) Outils
Oui Renvoi
Non
NA
Démarche mise en œuvre
Prise de connaissance :
- Mise à jour des éléments du dossier
- Examen analytique global
- Identification du risque
Plan de mission
Lettre de mission
Evaluation du contrôle interne :
- Actualisation de la connaissance des procédures
- Tests de conformité
- Testes de procédures
Evaluation du système de contrôle
Adaptation de l’approche audit
Communication
Compte-rendu de la mission :
- Ecrit
- Oral (note de résumé dans le dossier)
- Cohérent avec les conclusions de la mission et l’opinion
Recommandation :
- Sur le contrôle interne
- Sur les comptes
- Cohérent avec les conclusions de la mission et l’opinion
Rapport :
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
- Général
- Spécial
Assemblée générale :
- Présence
- Communication sur des événements postérieurs à la clôture de
l’exercice et à la date de signature du rapport général
La problématique
A l'issue de notre étude et après un travail d'investigation sur notre problématique et dans
notre recherche de vérifier les hypothèses que nous avions émises, nous pouvons noter ce qui
suit :
1.- L’entreprise, laquelle a été notre point de repère dans la construction de notre problème,
car ne pratiquant pas l'audit commercial, n'est pas la seule dans cette non application.
2.- En effet, l'audit commercial n'est pas de pratique courante dans la quasi-totalité des
entreprises commerciales pour lesquelles cette notion est nouvelle dans leur environnement.
L'auditeur peut provenir de l'entreprise, à condition qu'il ne soit mêlé d'aucune façon au
service commercial, ou il peut provenir de l'extérieur. Dans un tel cas, l'auditeur doit être
autonome et bénéficier de la confiance de la direction. Ici, gare aux intentions cachées et aux
manipulations ayant pour but de bien paraître aux yeux de la direction. Mais à la lumière de
nos analyses, un auditeur externe à l'entreprise est souhaité.
4.-Il a été démontré que ce qu'éprouvent ces entreprises à pratiquer l'audit commercial
peuvent être solutionnées à travers une démarche d'audit commercial appliquée, c'est-à-dire
une méthodologie spécifique qui tienne compte des réalités. C'est ce que nous avons mis en
place dans le cadre de la validation d'une méthodologie.
Le problème que pose l'audit commercial est à la fois stratégique et conjoncturel. Il veut
pousser le chef d'entreprise à oser faire des changements dans la manière de voir les choses
différemment.
Il n'y a pas de procédure unique convenant à tous les types d'audit commercial ni à toutes les
organisations ou à toutes les circonstances. Toutefois, qu'il s'agisse de consultants internes ou
externes, ces derniers doivent disposer d'un ensemble complet de documents d'audit
commercial en plus d'avoir la capacité d'expliquer le processus d'audit et ses résultats aux
responsables de l'entreprise.
5.- Nous pouvons également confirmer que l'audit commercial peut-être justifié comme une
nécessité de la fonction commerciale en ce qu'il est appelé à faire l'état des lieux d'une crise
dans la vie commerciale d'une entreprise.
En effet, L'audit commercial doit être considéré comme une fonction à part entière
dans les entreprises et plus même comme une profession organisée et structurée au service
d'une direction générale ou d'un comité d'audit dans le but d'aider à améliorer l'efficacité
marketing de l'entreprise autant que le font le contrôle de gestion, le conseil en
management,...dans les autres aspects structurels.
En définitive, c'est par souci de rendre la fonction commerciale efficace et performante que
nous avons pensé que les entreprises congolaises doivent obéir à la logique de l'audit
commercial.
Cette logique de l'audit commercial appelle à une similitude dans ce que CORHAY &
MBANGALA, appelle le cadre logique, c'est -à-dire un outil précieux d'aide à l'amélioration
du système de planification et de gestion des projets, ici, la fonction commerciale.
Un plan marketing même bien ficelé n'est pas une société ; pas plus qu'une nouvelle stratégie
ne constitue nécessairement le remède à un mal de l'entreprise, car généralement comme le
souligne PETERS, & WAREEMAN dès qu'un problème surgit dans l'entreprise nous nous
contentons de réclamer une nouvelle stratégie allant jusqu'à bousculer l'organigramme pour
soi-disant pour mettre l'homme qu'il faut à la place qu'il faut.
Nous citons en exemple le simple fait que les ventes d'une entreprise s'accroissent ne signifie
absolument pas que l'entreprise va bien si ses coûts s'accroissent encore plus rapidement.
Au terme de notre étude, nous pouvons dire que pousser par la mondialisation des marchés et
l'évolution des moyens de communication, le marketing évoluera encore beaucoup.
Cependant, si quelques principes de base resteront toujours valables, l'évolution constante des
facteurs extérieurs à l'entreprise, oblige les entreprises à réagir en adaptant sa politique
commerciale.
L'audit commercial n'est pas une science, il s'apparente plus à une pratique, à un art de mise
en application des procédures.
Comme disait J. HAGERTY, il y a plus de 40 ans après avoir écrit la première thèse doctorale
sur le marketing en 1899 (The distribution of Industrial Products), cité par VALSSECHI, Y.
(2012), : « aussi étrange qu'il nous paraît aujourd'hui, relativement peu de personnes
semblaient s'intéresser au marketing. Longtemps on a pensé que si la marchandise était
produite, elle sera automatiquement vendue. Il n'y avait donc aucune raison d'étudier les
méthodes pour la vendre ».
Aussi nous faisons notre cette assertion pour dire de même sur l'audit commercial.
Touaiba CHAT Année 2014/2015
Youssra DIB
AUDIT COMMERCIAL
En effet, nous sommes partis d'un constat alarmant dans nos fonctions de
responsable commercial, qui n'a jamais vu ou vécu l'audit commercial, le même constat amer
caractérise autant les entreprises congolaises, et nous a donné l'occasion de mettre à jour la
nécessité de l'application de l'audit marketing dans une entreprise, comme outil efficace dans
la recherche des solutions stratégiques dans des situations non maitrisables par la fonction
commerciale.
Les entreprises ne connaissent d'audit commercial que dans la littérature. Sa pratique n'a pas
encore droit de cité dans son univers managérial. Nous en avons eu la preuve à travers une
enquête par questionnaire auprès d'un échantillon de 275 cadres toutes fonctions confondues
et de chefs d'entreprises. Nos observations et divers interviews, nous ont confirmé cette même
tendance.
Cette raison majeure nous a permis de mettre en place une méthodologie spécifique
d'application de l'audit marketing à côté d'autres méthodes qui existent déjà d'après la
littérature en cette matière.
Ainsi nous avons démontré la spécificité de notre méthodologie et les raisons de sa validation,
en ce qu'elle se démarque des autres méthodes et que nous situons à cinq niveaux
d'appréciation, à savoir :
b) L'auditeur doit, à mi-parcours de l'audit, faire un état des lieux des travaux avec le
commanditaire de l'audit lorsque les circonstances initiales du marché évoluent sensiblement
et ce, en vue de réorienter la démarche dans l'analyse-diagnostic.
c) Les rubriques à prendre en compte, dans l'analyse-diagnostic, doivent tenir compte des
objectifs et de la spécificité du travail à faire, cela pour éviter la tendance à vouloir tout
embrasser, ce qui généralement occasionne de perte de temps inutiles.
d) L'accompagnement de l'analyse SWOT par une analyse PORTER dans le but de profiter de
l'historique de l'avantage concurrentiel du produit.
e) L'auditeur peut accompagner, pour une période de courte durée, l'entreprise dans le
processus de mise en application des recommandations de l'audit commercial pour s'assurer
de l'efficacité de ses propositions.
Notre méthode est conçue pour proposer des solutions à travers de recommandations et des
directives dans les décisions à prendre.
Elle propose que l'auditeur soit à même de créer une relation de confiance avec les
audités sans attitude policière, de s'appuyer sur les outils appropriés et de définir ses rubriques
en fonction de l'organisation et des exigences de chaque entreprise.
L'audit commercial sera toujours réalisé par un expert neutre et indépendant de la fonction
commerciale de l'entreprise.
A travers cette étude, le lecteur est appelé dans sa conscience à tirer la sonnette d'alarme de
cette carence que nous avons mise à jour dans l'univers des affaires et surtout pour les
entreprises qui veulent briser le tabou de la toute puissante fonction commerciale face à un
examen d'audit commercial.
Car l'audit commercial doit permettre de déterminer les orientations des efforts commerciales
de l'entreprise en vue de les rendre plus efficaces faces aux aléas de son environnement tant
interne qu'externe, l'auditeur commercial doit, non seulement, démontrer ses forces comme
ses faiblesses et les erreurs à éviter dans l'organisation, mais en plus, par ses
recommandations, aider l'organisation à faire face à des dysfonctionnements dans ses
stratégies et à s'adapter à son environnement politique, légal, technologique en constante
évolution.
L’immense majorité des entreprises ne devient jamais ultra performante précisément parce
que, comme l'affirme COLLINS, J. (2006), elle atteint un niveau relativement bon, ce qui du
reste constitue son principal handicap.
Nous avons estimé que nos leaders doivent faire preuve d'une attitude allant de la
performance à l'excellence au lieu de se contenter des habitudes ancrées estimant que ce qui
existe est bon. C'est précisément la raison pour laquelle l'excellence, dit-on est une denrée si
rare.
C'est dire que l'évolution de l'audit commercial et son implantation dans les industries ne doit
pas être longue comme ce fût le cas du marketing et aussi ce n'est pas en vain que le
programme de master en gestion de l'entreprise et droit des affaires permet de rendre
disponibles les connaissances (le savoir), l'application de ces connaissances (le savoir-faire),
les attitudes et les comportements (le savoir-être) ; et les pratiques auprès des autres leur
permettant à leur tour d'appliquer (le savoir faire-faire).
Pour clore cette partie en peut dire que la fonction commerciale est primordiale
dans une compagnie. En général l'aspect marketing y est allié car il faut déployer divers
moyens tels que la publicité pour éveiller et attirer l'attention de la clientèle. Cela permettra de
déterminer quelles sont leurs attentes, ce qui est extrêmement important quand on sait que ce
sont les clients qui font des cabinets comptables ce qu'elles sont.
Conclusion :
Ce stage a été effectué dans le cadre de notre formation au sein de l’ESCG (Ecole
Supérieure de Commerce et de Gestion), et a eu lieu à TINGIS CONSULTING. C’est un
stage qui a duré trois mois et qui avait comme objectif de connaître le fonctionnement d’audit
commercial dans l’entreprise dans le but de faire un bilan en profondeur des points forts et des
faiblesses de sa stratégie marketing, de tirer des conclusions et de repartir à la conquête du
marché.
L’objectif du notre stage est de faire une étude pour démontré la spécificité d’audit
commercial et sa pratique dans le monde d’entreprise, A travers cette étude, le lecteur est
appelé dans sa conscience à tirer la sonnette d'alarme de cette carence que nous avons mise à
jour dans l'univers des affaires et surtout pour les entreprises qui veulent briser le tabou de la
toute puissante fonction commerciale face à un examen d'audit commercial car l'audit
commercial doit permettre de déterminer les orientations des efforts commerciales de
l'entreprise en vue de les rendre plus efficaces faces aux aléas de son environnement tant
interne qu'externe, l'auditeur commercial doit, non seulement, démontrer ses forces comme
ses faiblesses et les erreurs à éviter dans l'organisation, mais en plus, par ses
recommandations, aider l'organisation à faire face à des dysfonctionnements dans ses
stratégies et à s'adapter à son environnement politique, légal, technologique en constante
évolution
Durant ce stage nous avons eu l’opportunité de connaitre le travail d’audit qui consiste à
analyser en détail le marché, les objectifs de l’entreprise, son organisation, sa politique à court
et à long terme, les processus mis en place pour l’application de la fonction commerciale et
l’implication du personnel et des partenaires de l’entreprise dans ce processus..
La solution de la problématique étudiée c’est que l'audit commercial doit être considéré
comme une fonction à part entière dans les entreprises et plus même comme une profession
organisée et structurée au service d'une direction générale ou d'un comité d'audit dans le but
d'aider à améliorer l'efficacité marketing de l'entreprise autant que le font le contrôle de
gestion, le conseil en management,...dans les autres aspects structurels. C’est par souci de
rendre la fonction commerciale efficace et performante que nous avons pensé que
les entreprises doivent obéir à la logique de l'audit commercial.
L’audit commercial peut être mené par l’entreprise elle-même ou bien par un fiduciaire
spécialisé.
Ce stage a été très intéressant et enrichissant, puisqu’il s’agissait pour nous d’un
domaine intéressant ou on aimerait approfondir nos compétences. Il été une utilité pour une
meilleure acquisition, une bonne prise du métier et une période d’adaptation avec le mode
de travail tout cela grâce a tout le personnel de fiduciaire
Webographie :
http://www.memoireonline.com/05/08/1069/diagnostic-fonction-commerciale-
compagnie-assurances-saar-sa.html date de consultation le 11/11/2015
http://www.fusacq.com/buzz/ae99,comment-effectuer-un-audit-commercial-d-une-
societe-avant-son-rachat.html date de consultation le 20/11/2015
http://www.primaressource.com/blog/3-cles-pour-fixer-des-objectifs-de-vente-atteignables-et-
motivants date de consultation le 11/11/2015
http://quickbooks.intuit.fr/experts-comptables/blog/la-fonction-commerciale-dans-les-
cabinets-dexpertise-comptable/ date de consultation le 20/11/2015
http://quickbooks.intuit.fr/experts-comptables/blog/la-fonction-commerciale-dans-les-
cabinets-dexpertise-comptable/ date de consultation le 21/11/2015
http://www.a2dmarketing.com/audit-diagnostic-marketing-et-commercial-
entreprise.htm date de consultation le 15/12/2015
http://www.doubleyouconsulting.com/audit-commercial-et-marketing/ date de
consultation le 15/12/2015
http://www.coach-rh.com/audit-performance-commerciale-nantes.php date de
consultation le 08/01/2015
Bibliographie
édition, 2002
Remerciement
Introduction générale...........................................................................................................
Section 2 : l’organisation de la fonction et les interfaces avec d’autre unité .....................
I- Finalité de la fonction.........................................................................................
1) A long terme................................................................................................
2) A moyen terme............................................................................................
3) A court terme...............................................................................................
II- Les principaux objectifs......................................................................................
I- A long terme........................................................................................................
II- A moyen terme....................................................................................................
III- A court terme......................................................................................................
I- A long terme........................................................................................................
II- A moyen terme....................................................................................................
III- A court terme......................................................................................................
Partie 2 : Audit de la fonction commerciale : Cas de la société « TINGIS CONSULTING »….
Chapitre 1 : Présentation de la société TINGIS CONSULTING........................................
Section 1. Description Générale de la société.....................................................................
2. L’historique............................................................................
L’importance du fiduciaire..................................................
L’organisation de la société ................................................