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3
L‟entreprise industrielle
L‟entreprise est un ensemble de moyens matériels, humains, financiers et
informationnels réunis en vue de produire et vendre sur un marché des biens
et/ou des services qui satisfont des besoins.
PRODUIT FINI
On peut classer les entreprises en fonction de leur activité : industrielle, commerciale, ou de services :ƒ
L‟entreprise industrielle (ou entreprise de production) achète des matières premières et les transforme en
produits finis qui seront vendus.
L‟entreprise commerciale (ou entreprise de distribution) achète des marchandises à ses fournisseurs et les
revend à ses clients sans les transformer.
L‟entreprise de services vend des prestations non matérielles satisfaisant des besoins variés. 4
Fonctions de l‟entreprise
5
Objectifs de la fonction industrielle
La Définition correcte des caractéristiques du produit.
La Production au coût de revient prévu.
Le Respect du niveau qualité.
La Production de la quantité demandée en respectant les délais.
Qualité
Fonctionnalité
Produit ou service
Coût Délais
6
Management industriel : Taylorisme
Frédéric Winslow Taylor (1856-1915) :
9
Le Toyotisme ou TPS (Toyota Production System)
Taiichi Ohno ( 1912-1990) Manager exécutif chez Toyota, père du
Système de Production Toyota, auteur de plusieurs livres sur le TPS.
13
Le lean manufacturing
Philosophie Lean
Identifier la chaîne de valeur pour mettre en évidence les
gaspillages.
Produire seulement ce que le client a commandé
Rechercher perpétuellement la perfection, en améliorant la qualité
et en éliminant les gaspillages.
Quantifier la valeur du produit du point de vue du client.
Ce qui a de la valeur pour le client, ce qui est prêt à payer.
Un processus de production
Des activités de production
Des activités de stockage
Des activités de transport
Des attentes
15
La valeur Ajoutée en production
La valeur ajoutée correspond aux tâches pour lesquelles le
client veut bien payer, car elles ont de la valeur pour lui.
16
Les 3M du Lean Muda Muri Mura
18
MUDA: SURPRODUCTION
19
MUDA: STOCK
20
MUDA: TRANSPORT
21
EXEMPLE
GASPILLAGE : TRANSPORT
22
MUDA: DEFAUT
23
MUDA: ATTENTE
24
MUDA: ATTENTE
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MUDA: MOUVEMENT
26
MUDA: PROCESSUS EXCESSIF
27
Mura – Irrégularités
28
Muri – Excès
29
Monument lean manufacturing
30
Les Axes de la démarche Lean
Local
GEMBA, Management visuel
Kaizen, 5S : (seiri : trier, seiton : ranger, seiso : nettoyer, seiketsu : organiser, shitsuke :
suivre, respecter).
SMED (Single Minute Exchange of Die).
TPM (Total Productive Maintenance)
Audit des postes de travail.
31
GEMBA
33
5 POURQUOI?
34
5 POURQUOI : EXEMPLE
35
GEMBA
36
Pourquoi doit-on utiliser le management visuel?
er
37
le management visuel
38
le management visuel
39
Andon
40
Le Système de Production Renault -
SPR
41
LEAP (LISI Excellence Achievement Program)
42
OCP Production System (OPS), vers
l‟excellence industrielle
OPS est un système complet dont l‟objet, parfaitement aligné avec la stratégie
du Groupe, est :
– d‟amener le système de production OCP à un niveau de performance mondiale :
World Class ;
– d‟être un système de référence mondiale pour les industries de process continu
comme Toyota l‟est pour les industries manufacturières.
www.ocpgroup.ma
43
Citations
« La perte de temps diffère des autres pertes du fait qu‟elle est irrécupérable.
Le temps perdu ne gît pas sur le sol comme le matériel gaspillé.»
Henry FORD, 1926
44
Thème 2
45
Amélioration en entreprise
Amélioration radicale.
Re-engineering des processus
Management Hoshin.
46
KAIZEN
47
Les méthodes du KAIZEN
48
L’amélioration continue : Roue de Deming
act plan
check do
49
La méthode des 5S
50
1. Seiri
Débarrasser. Tout ce qui est inutile.
51
2. Seiton
Ranger ... Pour trouver facilement
52
3. Seiso
Nettoyer , Maintenir propre le lieu de
travail … Pour détecter les anomalies
53
4. Seiketsu
Standardiser … pour rendre évident
54
5. Shitsuke
55
Audit 5S hebdomadaire
56
Etat des lieux du local actuel
PFE à LISI AEROSPACE
Etat actuel du local de stockage
Etat des lieux de la zone PR
Etat du nouveau local après le plan d‟action
Zone PR après le déménagement de tout le matériel et le
nettoyage complet
Résumé : 5S
•Supprimer l’inutile
•Situer les choses
•Scintiller
•Standardiser les règles
•Suivre et progresser
62
SMED: Single Minute Exchange of Die
63
SMED: Single Minute Exchange of Die
65
LES ETAPES DU SMED
66
Exemple : SMED en faisant la lessive
HO : DIRECTION
Le choix de la bonne direction
SHIN : COMPAS
71
Management Hoshin
Formulation des résultats visés pour l‟année à venir
Définition des moyens
Des indicateurs de mesure des progrès
Une valeur cible pour chaque indicateur et un délai
Les Hoshins annuels principaux (ou du plus haut niveau) sont alors
déployés (ou diffusés en cascade) partout dans l‟organisation.
74
Les coûts cachés
75
Iceberg des coûts
Coût de la main-d‟œuvre.
Coût de la matière première.
Frais d‟éclairage, téléphone, loyer,...
76
Coût de non-qualité
Interne :
78
Coût de défaillance (CNQ)
Externe:
Les pénalités de retard : les indemnités demandées par le client à la suite
d‟une livraison en retard.
Retours clients : les dépenses entraînées par les réclamations des clients
(produits qu'il faut reprendre, retirer du marché, avec tous les frais annexes de
manutention, de transport, de stockage, et ceux qu'il faut livrer en
remplacement).
Annulation de commandes (penser à consentir des ristournes pour amadouer
et garder le client).
Le plus grave est le manque à gagner sur les clients définitivement perdus. Le
plus difficile à chiffrer est le déficit d'image accumulé.
79
Coûts d’Obtention de la Qualité COQ
Coûts de détection:
Vérification des produits, recherche d‟anomalies, contrôles et essais , Frais
d‟étalonnage .
Coûts de prévention :
Formations , Cercles qualité , Audits internes, Tout investissement au niveau
de la qualité
80
Réduire les coûts cachés
82
Juste A Temps
84
Kanban
Le kanban est un système de flux tiré où l‟information
circule dans le sens inverse du flux physique
• Remonter l‟information de l‟aval vers l‟amont
Le flux est dit tiré quand les quantités à produire de chaque référence sont définies par
la demande des clients. Ce sont donc les demandes clients réelles qui vont servir à
planifier le dimensionnement des stocks, du plan de production et des ressources 85
nécessaires à la fabrication des produits.
Kanban
Un Kanban est donc une étiquette qui correspond à une commande bien
précise. Cette étiquette indique :
Les références de l'article commandé :
– désignation ;
– code attribué par l'entreprise ;
– code-barre.
Les informations concernant l'approvisionnement :
– poste client et poste fournisseur ;
– quantité ;
– packaging.
87
Takt time
Exemple:
Soit un atelier travaillant en une seule équipe de 420 min par jour
et une demande moyenne quotidienne de 840 unités .
89
Cartographie de la chaîne de la valeur
(VSM)
But
Fournir une valeur optimal au client à travers un processus complet
de création de la valeur avec un minimum de gaspillage en :
- Conception (orientation client)
- Production (Juste à Temps)
- Après la Vente (à travers le cycle de vie, Services)
90
Qu’est ce que la Valeur?
Ligne de temps
92
Les étapes du VSM
93
Etape 1
Constituer une équipe de projet et nommer un chef de
projet
94
Etape 2
Définir le processus à analyser.
95
Etape 3
Analyser les flux traversant le processus.
97
Flux matière demande du client
Client
80000 u/mois
98
Flux matière
Fournisseur Client
80000 u/mois
99
Flux d’informations
Fournisseur Prévisions sur 30 jours Client
Prévisions sur 3 mois
Gestion de
Production
100
Flux de la valeur – Ligne de Temps
et VA
Fournisseur Prévisions sur 30 jours Client
Prévisions sur 3 mois
Gestion de
Production
101
Types de temps et carte VSM
Temps de Cycle (Tc)
Exemple : machine qui produit 20 pièces / minute
Temps de Cycle : Tc = 1/20 mn= 3s.
102
Temps de Valeur Ajoutée (TVA)
Temps des taches qui transforment le produit et lui apporte la VA.
Temps dits verts ≠ Temps rouges NVA.
103
Réduire le DE (diminuer la tailles
des lots)
Méthode OPT
Gestion de l‟entreprise à partir de ses goulets.
Un goulet d‟étranglement, est une ressource dont la capacité
réelle est inférieure à la demande du marché.
104
Temps rouges NVA
Arrêts maintenance,
Temps de changement de séries,
Temps de passage en stock (postes de travail).
106
Etape 5
Proposer des améliorations
Les améliorations se déduisent des décisions prise à l'étape
précédente
Il faut s'efforcer d'éliminer les temps perdus, les déplacements
inutiles et les stockages inter opératoires,
107
Amélioration Proposées
Fournisseur Prévisions sur 30 jours Client
Prévisions sur 3 mois
Gestion de
Production
Lundi Mercredi
Shipment
et Vendredi
Ordres de fabrications Ordres d'expedition
Shipment 2 fois par
semaine
Etiquette
Kanban
108
Etape 6
Faire le bilan de la solution proposée.
109
Standardisation des postes de
travail
Un poste de travail élémentaire, est une aire de production entourée de
facilitées nécessaire a l‟exécution d‟une séquence de taches ajoutant la valeur
a un produit.
Il comporte 3 zones :
Zone d‟approvisionnement
Zone active
Zone de sortie
110
Étude d’un poste de travail
Permet de le standardiser en optimisant et en stabilisant la réalisation des produits
relativement :
Au temps d‟exécution,
Au niveau de la qualité
Aux pertes de matières et d‟énergie.
Points à observer
Le mode opératoire
L‟implantation; accès, voies de circulation, zones d‟appro d‟évacuation,
Les conditions de travail. Efforts, déplacements, posture, bruit, éclairage…
La Sécurité, Identification des risques d‟accidents (mécaniques, chimiques,
électrique, incendie)
111
Étapes d’une Étude de poste
Projet d‟amélioration.
112
Mode opératoire optimal
113
Thème 5
114
Amélioration des Performance
Pannes,
Cadence réelle inférieure à la nominale.
Rupture de stocks ou Stocks important (se sont les pièces vendables
qui génèrent du profit).
Défauts (plus un défaut est découvert tardivement, plus il coûte cher)
116
Les 8 Piliers de la TPM
Améliorer le système de production
1 Chasse aux gaspillages (amélioration au cas par cas)
2 Maintenance autonome
3 Maintenance planifiée
4 Formation et entrainement
118
Pilier 2
Maintenance autonome.
Développer la capacité des fabricants à mieux conduire leurs
équipements.
La TPM définie 5 niveau de maintenance.
La maintenance autonome - intervention de niveau 1 et 2
Ne demandent pas une grande qualification et peuvent se faire à
l‟aide d‟outillages classiques.
Établir des standards (formaliser la meilleure pratique du moment
pour réaliser une tâche donnée).
119
Pilier 3
Maintenance planifiée
Une meilleure maîtrise de l‟outil de production.
Traitement des anomalies revient pour une part au
personnel de maintenance
120
Pilier 4
Formation et entrainement.
Pérenniser la démarche
Appliquer au quotidien les standards que l‟on a établis,
Chercher à les optimiser,
former l‟ensemble des acteurs (gérer leur équipement en toute
autonomie)
121
Pilier 5
Maitrise de la conception du produit et du processus.
Dégradations “forcées”
erreurs de conception, des surcharges, des chocs ou des
vibrations, des erreurs de conduite ou de maintenance, (pneus
endommagés par un choc).
122
Pilier 6
Maintenance de la qualité.
La TPM ne se limite pas à supprimer les pannes, mais
toutes les catégories de pertes.
123
Pilier 7
TPM des bureaux (services fonctionnels).
La TPM est une démarche globale qui doit concerner tous les
acteurs d‟une entreprise.
124
Pilier 8
Santé, sécurité et environnement.
125
Démarche Six Sigma
Initiée aux États-Unis dans les années 1980 chez Motorola:
126
Étapes de la méthode DMAIC
127
D. Define. Définir
131
C. Control. Maitriser
132
S. Standardiser
133
Dimensions du Lean
135
Thème 6
136
Conception d’un système
opérationnel de production
Comprend ;
La conception des taches,
L‟analyse de travail,
La mesure du travail,
L‟ergonomie des poste de travail,
137
Système opérationnel de
production
Conception des taches
Assure que les droits et les obligations de chaque employé sont prévue pour
permettre à l‟entreprise d‟atteindre ces objectifs.
Analyse du travail
Permet d‟éliminer les tâches inutiles et d‟améliorer le processus de production.
Mesure du travail
Permet d‟évaluer la performance de l'opérateur et de comparer les méthodes
alternatives pour accomplir une certaine tache.
Ergonomie
Assure que les conditions de travail sont confortables et conformes aux lois en
vigueur.
138
Conception des taches
140
Conception des taches :
facteurs a considérer
Faisabilité technique,
Niveau a partir duquel un operateur est physiquement et mentalement capable faire le
travail.
Le nbr de postulants est d‟autant + petit que le travail est + difficile
Faisabilité économique,
La valeur ajouté par le travail - le coût a engager pour l‟effectuer ou le bénéfice crée par
ce travail,
Si un w coûte plus que la valeur qu‟il ajoute, alors il n'est pas économiquement faisable.
Faisabilité organisationnelle.
Satisfaction morale lors de l‟exécution du travail.
Utiliser ses compétences et travailler en équipe dans une atmosphère de respect mutuel.
141
Les travail devrait il être
automatisées ?
142
Degré de spécialisation
143
Mesure du travail
Analyse du travail
Maniées dont les taches doivent être effectuées au sien d‟un poste de travail (le
comment) : implantation, approvisionnements, outils, enchaînement des tâches,
gestes inutiles, temps d‟attente, évacuation des pièces, …etc.
Outils utilisées : analyse de déroulement, Value Stream Mapping VSM …
Mesure du travail
Établir les durées nécessaires pour accomplir les taches selon une norme
prédéterminé (le combien).
Standards de temps.
144
Moyens de mesure des temps
Chronométrage
Observations instantanées
145
Chronométrage ou chrono-
analyse
Chronométrer les temps passés à la réalisation des différentes tâches ou activités afin
de mesurer la productivité, définir les temps standards et de les vérifier.
Observer les gestes de l‟exécutant et s‟assurer qu‟il respecte le mode opératoire.
Vidéo : avantages, figer les cycles et pouvoir revenir dessus, visionner au ralenti,
Nombre de cycles mesurés :
𝐹𝑠 𝜎 2
𝑛= 𝑎𝑥
Avec : Fs : variable aléatoire de la distribution normale,
: écart type de l‟échantillon,
a : erreur admissible exprimée en pourcentage,
𝑥 : moyenne de l‟échantillon,
e = a 𝑥 est la précision ou marge d‟erreur maximale admissible
146
chrono-analyse
Pour de terminer le temps standard d‟une opération
d‟assemblage un agent d‟étude effectue a l‟aide d‟un
chronomètre 20 lectures,
147
Jugement d’allure
148
Ergonomie Définition
L‟ergonomie physique
L‟ergonomie cognitive
L‟ergonomie organisationnelle
151
L’ergonomie physique
155
La température et l’humidité
Sonomètre:
Seuil de conversation = 50 dB
Seuil de nocivité = 85 dB
Seuil de douleur = 120 dB
157
L’éclairage
Plus le travail a réaliser est minutieux plus le degrés d‟éclairage
requis est élevée
Un bon niveau d'éclairage permet une bonne productivité avec
une baisse des erreurs, des accidents, une moindre fatigue
visuelle.
Il faut absolument veiller à une bonne qualité de la lumière :
uniformité de l'éclairement, équilibre des luminances pour éviter
les éblouissements
Le nombre, la nature et l'emplacement des luminaires dépendent
de l'implantation des machines, du mobilier et de l'architecture.
158
Les Posture au travail
159
Analyse ergonomique
Anthropométrie
Etude comparative des dimensions du corps humain et de ses
propriétés
Grandes variations en taille dans la population humaine
Autres facteurs :Taille des mains
Largeurs à différents endroits du corps, Poids
161
Surfaces de travail réglables
162
La grille RULA
Chaque partie est notée individuellement puis est traduit via un tableau en une note
par groupe.
Une note globale est attribuée en fonction des notes des groupes A et B et des efforts
nécessaire.
164
Processus RULA
Epaule levé : +1
Bras en abduction : +1
Bras soutenu (table…)
ou personne assise : -1
166
Evaluation du groupe A
Etape 2 : Position du coude
Évaluation du coude.
Le score est à ajuster si le
coude travaille en
abduction selon le schéma
suivant.
167
Evaluation du groupe A
Etape 3 : Position du poignet
Le score du poignet va
dépendre de l'angle associé à
son mouvement, selon le
schéma suivant.
Torsion du poignet.
Si la torsion n’est que partielle
(jusqu’au milieu de nos
possibilités), la note est 1,
Si la torsion est proche de nos
limites extrêmes, c’est 2.
168
Evaluation du groupe A
Etape 4 : Score de la posture A
169
Etape 5 : Activité musculaire
Etape 6 : Score de fréquence et effort
170
Evaluation du groupe A
Etape 7 : Score global groupe A
171
Evaluation du groupe B
Etape 8 : Position de la nuque
Position de la nuque
Niveau d'inclinaison par
rapport à l'axe du corps.
172
Evaluation du groupe B
Etape 9 : Position du tronc
Position du tronc
Inclinaison .
173
Evaluation du groupe B
Etape 10 : Position des Jambes
174
Evaluation du groupe B
Etape 11 : Score de posture B
Rechercher dans la
table dédiée le score
total pour la posture du
groupe B.
175
Evaluation des efforts
176
Evaluation des efforts
Etape 13 : Fréquence et effort
Effectuer une évaluation de la fréquence et du niveau d'effort
spécifique aux éléments de la posture B.
La grille d'évaluation est strictement la même :
Pas d‟effort spécifique ou charge inférieur à 2Kg par
intermittence : 0
Charge entre 2 et 10Kg par intermittence : +1
Charge entre 2 et 10Kg posture statique ou répétitivité de l‟effort
: +2
Charge supérieure à 10Kg ou répétitivité ou choc : 3
177
Evaluation du groupe B
Etape 14 : Score global groupe B
178
Score final
179
Interprétation du score
181
La méthode de calcul
FP : le Facteur Poids
FH : Facteur Horizontal
FV : Facteur Vertical
FD : Facteur Déplacement
FA : Facteur Asymétrie
FF : Facteur Fréquence
FI : Facteur Interface
182
FP : le Facteur Poids
FV = 1 – 0,003*(V – 75)
V est la distance en cm qui sépare le sol des mains
au début de la prise de charge.
Pour la plupart des opérateurs, V est compris entre 0
(charge au niveau du sol) et 175 cm).
FV est égal à 1 pour un objet situé à 75 cm du sol.
Cette distance correspond donc à la hauteur optimale
d‟un objet dans le plan vertical.
FV diminue au fur et à mesure que les mains
s‟éloignent, vers le haut ou vers le bas, de 75 cm.
Si FV est inférieur à 1, réduire la position de la
dépose de la charge. Faire en sorte d‟avoir la charge
plus loin du sol et éradiquer le fait de soulever au-
dessus des épaules.
185
FD : Facteur Déplacement
FD = 0,82 + (4,5/VD)
VD représente le déplacement vertical en cm d‟un objet entre le
début et la fin de la manutention, le plus souvent en
soulèvement.
Pour VD inférieur à 25cm, FD = 1.
Ainsi, plus un déplacement est long, plus FD est petit et plus la
CMA diminue. Réduire donc au maximum la distance à effectuer.
186
FA : Facteur Asymétrie
FA = 1 – (0,0032 * A)
A est l‟angle entre le plan sagittal et le plan d‟asymétrie en
degré. Le plan d‟asymétrie est défini comme un plan vertical qui
passe par le milieu de la droite qui relie les 2 mains et l‟axe du
corps. A est mesuré au début ou à la fin du mouvement.
Dans le cas ou FA est inférieur à 1, modifier l‟origine et/ou la
destination de l‟objet pour réduire au maximum la torsion à
effectuer.
187
FF : Facteur Fréquence
FF est obtenu en intégrant 3 informations
Fréquence de soulèvement : Nombre moyen de levée par minute: FF varie de 1
(fréquence < 0,2 /min) à 0 (9 à 15 mouvements/ min).
Posture : Évaluée par V. Opérateur debout si V>75cm et debout penché si
V<75cm.
Durée de manutention : Temps pendant lequel la levé est effectué. 3 situations :
Moins d‟une heure. Période de récupération (au moins 120% de la phase de manutention)
Moins de 2 heures. Ppériode de récupération (30% de la phase de manutention)
Jusqu‟à 8 heures. Sans autres pauses que celles intervenant habituellement.
188
FF : Facteur Fréquence
189
FI : Facteur Interface
FI : Interface main/objet.
190
L’indice de levé
191
Catia V5 Human Builder et Human
Activity Analysis
Principales fonctionnalités
193
Thème 7
194
Indicateurs de performances
197
Compromis entre les dimensions de la
performance
Réactivité Stocks
Meilleur réactivité Stocks important Prix élevé.
Réduire les stocks Cout de revient bas mais mauvaise réactivité.
Frontière d‟efficience :
Capacité de l‟entreprise a se situer au dessus de la frontière des possibilités de
production.
L‟entreprise qui opère sous sa frontière de production est techniquement inefficace.
Frontière d’efficience
Benchmarking
Fabricants des micros ordinateurs (réactivité et cout de revient )
Trois entreprises concurrentes A, B et C
A très réactive stocks important cout de revient élevé.
B stocks plus faible couts de revient faible au détriment de la réactivité.
C un peu différente : plus réactive et prix plus bas
208
Arbre des objectifs
209
Arbre des objectifs
210
Arbre des indicateurs
211
Projet d’amélioration
opérationnelle
Élaborer la cartographie des flux
Faire une analyse des processus, en identifiant les
variables opérationnelles
Élaborer un arbre des objectifs, ce qui vous aidera a
comprendre comment les variables opérationnelles
génèrent la performance financière.
Élaborer à partir de l‟arbre des objectifs, l‟arbre des
indicateurs.
212
Mise en œuvre d’un système
d’indicateurs de performance
Cycle de développement d‟un SIP selon une démarche structuré :
Conception
Proposer selon deux analyses distinctes, d‟une part, les indicateurs de résultat
et d‟autre part, les indicateurs de process cohérents avec les objectifs globaux.
Implémentation
Exploitation
C‟est à l‟issue de l‟exploitation sur une période significative que peut être
évaluée la performance du système d‟indicateurs.
Mise a jour
Il est nécessaire de faire évoluer le système d‟indicateurs.
213
Les indicateurs de performance
de la SOMACA
Indicateur qualité
Pourcentage d‟acceptation direct
PAD/NPAD
214
Indicateurs de Productivité
215
Rendement de l‟UET.
Indicateur de productivité.
216
TPAR/TAPAR.
Indicateur qualité.
217
La mise en œuvre d’un SIP
218
3 Modes de saisie
La saisie manuelle.
On demande aux opérateurs de remplir des fiches de
relevés.
La saisie semi-automatique
Lecture de codes à barres. Acquisition automatique de la
durée de l'arrêt, l'opérateur renseignant la cause de
l'arrêt.
Des codes à barre utilisés, pour identifier l‟ordre de fabrication. Capteur pour le
comptage des pièces produite relié a l‟automate L‟opérateur renseigne un type
d‟évènement par un enfoncement d‟une touche au clavier sur la machine.
L‟agrégation des données et le calcul des indicateurs est assuré par un logiciels
MES.
220
Performance d’une ligne de production
synchronisé
Machine équivalente
Méqui
221
Exemple : Taux de défaut
222
Ligne de production non synchronisé
Assemblage
M1
16 p/h
M2 M4
13 p/h 10 p/h
M3
15 p/h
Taux de qualité
Produit des taux de qualité des machines aval.
225