BIBLIOGRAPHIE
INTRODUCTION
1. Définition
2. Définition des principaux concepts de la distribution
3. Objectifs de la distribution
4. Fonctions de la distribution
5. Formes de commerce
1. Types de canaux
2. La mise en place d’un circuit de distribution
3. La gestion d’un circuit de distribution
4. Cycle de vie d’un circuit de distribution
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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INTRODUCTION
La politique de distribution est une des 4 composantes du marketing
mix. Les entreprises lui prêtent à ce titre une attention toute particulière
puisque le choix d’une formule de distribution n’est jamais neutre.
Il ne suffit pas en effet de distribuer un produit sur tous le fronts mais il
faut choisir un mode de distribution conforme, en autres choses, au prix
du produit, au segment visé ou encore au volume des ventes escomptés.
Aussi les décisions et les opérations de distribution ont un poids décisif en
marketing parce qu’elles conditionnent le bon acheminement du produit
jusqu’au consommateur ou jusqu’à l’utilisateur final. En outre, ces
opérations engagent les entreprises pour une durée assez longue.
En effet, les choix sont rigides : on ne change pas de canal de distribution
aussi aisément que l’on modifie une compagne de publicité ou que l’on
retouche au prix d’un tarif. D’ailleurs, les décisions prises en matière de
distribution commandent parfois les choix concernant les différentes
variables de l’action commerciale, les trois autres « P ». Ainsi, lorsque le
vendeur d’un nouveau produit cherche à se faire référencer, par l’acheteur
d’une grande centrale d’achat, ce dernier demande fréquemment au
représentant de remodeler le produit, de transformer le conditionnement,
de réviser le prix ou de réaménager le programme de promotion. Il ne
paraît donc pas imprudent de dire que le producteur sollicite l’avis des
distributeurs avant d’adopter son plan commercial définitif.
Observons, enfin, que le secteur de la distribution connaît depuis une
trentaine d’années de grandes mutations. L’emploi de plus en plus
fréquent du libre-service, l’apparition de nouveaux types de commerce,
ont provoqué un véritable séisme dans un domaine qui jusqu’aux années
60, ressemblait encore à ce qu’il était au XIXéme siècle.
De nos jours, les producteurs ont perdu une part du pouvoir qu’ils
détenaient sur le marché, au bénéfice de firmes purement commerciales,
et plus précisément au profit des grandes chaînes du commerce de détail.
Ce sont ces nouveaux vus qui imposent souvent leur choix, et non plus le
fabricant qui sélectionne ses futurs clients revendeurs.
Nous vous proposons un travail scindé en quatre grandes parties, la
première partie présente quelques généralités sur la distribution, la
deuxième partie traite le choix des stratégies des distributeurs, la
troisième partie analyse les différents circuits de distribution, et la
quatrième et dernière partie propose la politique marketing des
distributeurs.
3. Objectifs de la distribution
Objectifs généraux:
Mieux pénétrer des marchés actuels ou des marchés nouveaux.
Objectifs mercatiques:
Nous avons constaté que la stratégie marketing consiste
essentiellement à choisir tout d’abord un segment, une cible, que l’on
suppose et/ou plus facilement exploitables que d’autres. Puis, sur la base
de ce choix, le gestionnaire tente, par divers artifices, de se démarquer
des concurrents au terme d’un positionnement judicieux. Dans les deux
cas, ces options entraînent des conséquences en matière de distribution.
De ce fait, on trouve essentiellement deux objectifs mercatiques :
Atteindre la cible visée : La segmentation a pour objet de repérer
des groupes d’acheteurs (consommateurs ou institutions) homogènes,
afin de leur offrir des produits correspondant à leurs attentes. Or, il
convient de choisir judicieusement les chemins, grâce auxquels les biens
offerts atteindront, avec efficacité, les clients potentiels.
Maints exemples illustrent cette relation directe entre la segmentation et
le choix d’un canal. Des biens de luxe qui précédemment étaient vendus
par des détaillants spécialisés (des briquets, des stylos, des montres)
sont devenus des biens banals au cours des dernières années. Pour
toucher un plus grand public, certaines firmes, telles Bic, Parker, ou
Kelton ont abandonné le canal des commerçant spécialistes des cadeaux
ou des horloges pour choisir les détaillants de masse : les grandes
surfaces ou les bureaux de tabac, de manière à toucher des
consommateurs qui attendaient (segmentation par avantages attendus)
des nouveaux produits différents de ceux qui jusqu’alors leur étaient
proposés. Or, distribuer n'a pas surtout pour objet de choisir un chemin
adéquat. La distribution participe encore à la formation de l’image du
produit.
Donner au produit le positionnement voulu : Se positionner, cela
signifie, on le sait, chercher à dessiner des traits, à attribuer des qualités
qui différencient notre produit de ceux de nos rivaux. Le choix d’un canal
contribue à ce façonnement, au même titre que le choix d’une marque
ou d’un conditionnement.
4. Fonctions de la distribution :
5. Formes de commerce :
Coopérative de consommateurs:
Sociétés de personne à capital variable, ayant pour vocation
d’approvisionner au meilleur compte les besoins propres de leurs
membres.
Grandes surfaces:
Hypermarchés:
Grande surface de vente de 2500 à 5500 m², assortiment très large
de 25 à 40 000 références, parking avec vente de carburant, marges et
prix réduit.
Supermarchés:
Magasin en libre service à prédominance alimentaire, d’une surface
de vente comprise entre 400 et 2500 m².
Les magasins d’usine:
Magasin présentant des produits directement issus des fabricants,
souvent dégriffés, à des prix discount.
Commerce indépendant:
Forme de commerce dans laquelle les fonctions de gros et de détail
sont dissociées et donc remplies par des entreprises différentes.
Grossiste
Détaillant
Commerce associé:
Forme de commerce intermédiaire entre le commerce intégré et le
commerce indépendant. Se compose d’entreprises qui coordonnent, sans
cependant les fondre totalement au sein d’une même organisation, les
fonctions de gros et de détail.
Groupement de grossiste:
Association regroupant des grossistes qui s’entendent pour effectuer
en commun leurs achats auprès des fabricants.
Groupement détaillants:
Plusieurs détaillants se réunissent pour court-circuiter le
grossiste et effectuer ensemble leurs achats.
Chaîne volontaire:
Association entre grossistes et détaillants aux termes de laquelle les
détaillants effectuent leurs achats par l’intermédiaire du grossiste selon
des contrats d’approvisionnement.
Franchise :
Collaboration continue où un franchiseur accorde à un franchisé une
licence lui donnant le droit d’exercer une activité et de bénéficier d’une
assistance en contrepartie d’une redevance.
1) Domaine
Alimentation/Non alimentaire/Mixte
3) Clientèle ciblée
Clients actuels/clients potentiels
Ciblée par niveau de revenu
Style de vie
Etc.
7) L’architecture du magasin
Luxueuse/Moyenne/Simple
12) Présentation de la marchandise
1. Types de canaux :
Un Niveau Détaillant
Consom
Fabricant Consom
Fabricant mateur
mateur
Deux Niveaux Grossiste Détaillant
Trois Niveaux
Grossiste Détaillant Détaillant
Elevée Basse
Lancement : Déclin :
Taux Bas
de Apparition dans les points Le produit se trouve chez
croissance de vente et boutiques les discounters et dans
du spécialisés. les catalogues de vente.
marché
Croissance : Maturité :
Elevé
Quatrième partie : LA POLITIQUE MARKETING
DES DISTRIBUTEURS
L’emplacement :
La politique de prix :
Il existe principalement deux politique de prix :
High and low price (HILO) :
Elle consiste à baisser le prix d’un produit pour attirer les consommateurs
sensibles aux prix bas, puis l’augmenter pour améliorer les marges, et
assurer ainsi une meilleure rentabilité.
Every Day Low Price (EDLP):
Elle consiste à proposer des prix bas tous les jours sans réductions de prix
temporaire, et ce pour augmenter la part de marché.
La politique d’assortiment :
La politique de communication :
La politique de services :
Le merchandising :