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d’ingénieurs de Bizerte
Robotique industrielle
Elaboré par:
Abdelkhalek SAIDI & Hanin MEJRI
Encadré par :
Mme Manel ZOUARI & Mme Taysir REZGUI
I. La cobotique .................................................................................................................. 16
Annexe ................................................................................................................................. 23
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Activités en mode projet
ii
Activités en mode projet
Introduction générale
Afin de faciliter les tâches difficiles et d'assurer une haute performance et qualité dans
l’industrie et pour répondre aux besoins humains toujours en évolution, l’homme ne cesse pas
de développer de nouvelles technologies.
Depuis les années cinquante et avec l’invention du premier robot mobile autonome par Grey
Walter en 1948, la robotique s’impose de plus en plus comme l’une des technologies les plus
prometteuses que ce soit dans l’industrie ou ailleurs.
Cependant, l’homme rencontre jusqu’à maintenant pleins de problèmes avec les robots en
terme de sécurité et de manipulation, dans ce contexte s’introduit le concept de la robotique
collaborative comme une alternative plus interactive, cette notion propose des robots qui tra-
vaillent à coté et en interaction avec l’homme en démultiplier ses capacités en termes d’efforts
en toute sécurité.
Nous détaillons dans le présent rapport une étude bibliographique sur les robots industriels
qu’on a effectué dans le cadre du module séminaire et visite d’entreprise, activité en mode
projet, nous commençons tout d’abord par une généralité sur les robots, passant par un appro-
fondissement dans le monde de la robotique industriel pour finir par l’introduction de la nou-
velle génération des robots à savoir la robotique collaborative.
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Activités en mode projet Chapitre I
Introduction
Depuis l’apparition du mot robot dés le début du 20ème siècle le domaine de la robotique est
en évolution continue. Nous présenterons dans ce chapitre l’historique et la chronologie de la
robotique en citant les différents types des robots.
I. Origines de la robotique
Le mot robot qu’on utilise souvent de nos jours cache derrière elle tout un historique.
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Activités en mode projet Chapitre I
préhenseurs. Les capteurs, ils permettent l'acquisition de données informant sur l'état du robot
et sa position dans l'espace. On peut citer les capteurs GPS, caméras, Lidar ultrasons et les
capteurs de force et de contact [2].
1738 : Le canard mécanique qui est un est le plus surprenant des automates, crée par
Jacques Vaucanson. Il est articulé en cuivre et capable de boire manger, cancaner et
diriger comme un véritable animal.
Figure 2 : Grey Walter avec la tortue Figure 3 : Tortue inventée par Grey
Walter
1956 : John Mc McCarthy définit pour la première fois le terme intelligence artifi-
cielle.
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Activités en mode projet Chapitre I
1961 : Apparition du premier robot industriel mis en place dans une usine de General
Motors : UNIMATE.
Figure 4 : UNIMATE
Les robots manipulateurs ce sont des robots ancrés physiquement à leur place de travail et
généralement mis en place pour réaliser une tâche précise ou répétitive. On cite l’exemple des
robots industriels et les robots pour l’assistance médicale.
Les robots mobiles ce sont des robots capables de se déplacer dans un environnement. Ils
sont équipés ou non de manipulateurs suivant leur utilisation. On peut trouver dans cette caté-
gorie des robots exploiteurs, de militaire, de service, humanoïdes… [4].
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Activités en mode projet Chapitre I
Figure (a) : Robot Da Vinci Figure (b) : Da Vinci lors d'une opération
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Activités en mode projet Chapitre I
Figure 7 : Canadarm2
Robots militaires : sont principalement utilisés pour la surveillance aussi bien dans
les airs que dans la mer telle que les drones. Exemple, le drone MQ 1 Predator a essen-
tiellement été conçu pour des opérations militaires de reconnaissance de l'armée amé-
ricaine.
Robots de service : ils sont destinés à aider l’homme pour certaines taches comme les
robots ludiques, de ménagers (aspirateur,..), pour aider des personnes âgées ou ayant
un handicap. Exemple, le robot chien Genibo, coréen. Ce robot capable de comprendre
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Activités en mode projet Chapitre I
On note aussi le robot Aeolus est un robot capable d’utiliser un aspirateur il se sert de
l'IA et de l'apprentissage automatique pour reconnaître des milliers d'objets au domi-
cile de ses propriétaires.
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Activités en mode projet Chapitre I
Conclusion
Le présent chapitre fait l’objet d’une description sur le domaine de la robotique en mettant
l’accent sur son évolution depuis le canard de Jacques de Vaucanson de 1738 jusqu’au Handle
en 2017. Elle est un domaine récent qui permet aujourd’hui de remplacer l’homme dans des
milieux hostiles, d’améliorer le domaine de la santé et notamment dans le domaine de
l’industrie. Une description détaillée sur la robotique industrielle fait l’objet du chapitre sui-
vant.
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Activités en mode projet Chapitre II
Introduction
Nous consacrons ce chapitre pour détailler les notions de base de la robotique industrielle
partant de la composition d’un robot jusqu’à ses différentes configurations.
I. Robotique industrielle
Système de manipulation programmable de trois axes ou plus, à usage multiple, contrôlé
automatiquement, reprogrammable, qui peut être mobile ou fixe lors de son utilisation auto-
matique (définition ISO 8373).
Un robot industriel doit en principe comporter au moins trois axes (ce qui n'est pas forcement
le cas dans la classification japonaise). Le terme reprogrammable signifie que les mouvements
programmés ou fonctions auxiliaires peuvent être changés sans entraîner d'altérations phy-
siques. Enfin, un robot industriel peut être adapté pour une utilisation différente avec altéra-
tions physiques et est donc à usage multiple [5].
base : support sur lequel est située l'origine du premier élément de la structure articu-
lée constituant le bras.
porteur (ou bras) : chaîne constituée d'éléments de translation et/ou de rotation ani-
més les uns par rapport aux autres et qui permet de déplacer et d'orienter un organe
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Activités en mode projet Chapitre II
terminal(ou effecteur), comme par exemple un préhenseur ou un outil (selon les défi-
nitions, le porteur inclut ou non le poignet, qui est alors dans ce dernier cas considéré
comme faisant partie de l'organe terminal).
poignet : ensemble mécanique de l'extrémité du bras d'un robot, constitué d'articula-
tions et permettant l'orientation de l'organe terminal.
liaison active : liaison motorisée entre deux corps successifs d'un robot. La pratique
industrielle fait que l'on parle ici d'axe (parfois d'articulation), voire de degré de liber-
té articulaire pour désigner un tel degré de mobilité. On dira donc communément
qu'un robot a n axes.
liaison passive : liaison non motorisée entre deux corps successifs d'un robot.
coordonnée articulaire : variable représentant un degré de mobilité d'un robot, en ro-
tation ou en translation. L'ensemble des coordonnées articulaires correspondant à une
certaine posture du robot définit le vecteur des coordonnées articulaires ou générali-
sées. L'ensemble des vecteurs des coordonnées articulaires est appelé espace de confi-
guration.
coordonnée opérationnelle : variable représentant un degré de liberté (ddl) de l'or-
gane terminal du robot dans l'espace (en position ou en orientation). Il y a donc six
coordonnées opérationnelles, l'ensemble représentant le vecteur des coordonnées opé-
rationnelles. Les coordonnées opérationnelles et articulaires sont reliées par la géomé-
trie du robot ; la tâche que le robot doit effectuer se définit dans l'espace opérationnel,
qui correspond à l'espace de la tâche.
Un robot à n axes avec n < 6 ne peut pas générer 6 ddl indépendants au niveau de son
effecteur. Pour qu'il puisse le faire, un robot doit posséder au minimum 6 axes.
Cette dernière condition est nécessaire mais pas suffisante car on peut trouver des ro-
bots redondants possédant plus de 6 axes et générant moins de 6 ddl.
D'autre part, l'espace 3D comportant six degrés de liberté, un robot, quel que soit le nombre
de ses axes, ne pourra générer au maximum que six degrés de liberté de son organe terminal.
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Activités en mode projet Chapitre II
Le robot peut agir sur ses mouvements et son environnement à l'aide de ses actionneurs. Pour
réagir de façon adaptée, le robot doit percevoir des informations sur lui-même et sur son envi-
ronnement par l'intermédiaire de capteurs. On distingue généralement :
les capteurs proprioceptifs qui le renseigne sur son état interne (positions, forces, in-
tensités, etc.),
les capteurs extéroceptifs qui l’informent sur son environnement (attente d'un con-
voyeur, qu'un opérateur appuie sur un bouton, utilisation de la vision pour localiser
des objets, etc.).
En fonction des informations qu'il reçoit, le robot doit prendre une décision pour accomplir sa
tâche (atteindre une destination, maintenir une force, éviter les obstacles, etc.).
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Activités en mode projet Chapitre II
rotoïde, symbolisée par la lettre R) soit des liaisons glissières (ou prismatique, symbolisée par
la lettre P). Les robots industriels peuvent être classifiés en fonction de leur structure méca-
nique et du type des axes. Les principales configurations des porteurs industriels à chaîne ci-
nématique ouverte sont :
structure cartésienne (ou robot portique) = PPP
structure cylindrique = RPP,
structure SCARA (bi-cylindrique) = RRP,
structure sphérique = RRP,
structure anthropomorphique (bi-sphérique) = RRR.
Ces configurations sont illustrées dans un tableau dans l’annexe « Classification des robots
industriels par structure mécanique (norme ISO 8373) ».
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Activités en mode projet Chapitre II
Cet ensemble est équivalent à une liaison sphérique. Elle permet donc d'obtenir une orienta-
tion quelconque de la pince et un découplage par rapport au porteur, d'où une simplification
de la commande : le centre du poignet est fixe par rapport au bras, mais aussi par rapport à
l'effecteur et sa position ne dépend que des trois premiers axes (ceux du porteur). Un poignet
à axes non concourants a l'avantage de permettre des débattements angulaires plus importants
par un montage en « porte-à-faux » du deuxième axe.
Ce type de structure était notamment utilisé à l'origine dans des simulateurs de vol pour l'en-
traînement des pilotes. Plus récemment, développé dans les années 1980, le robot suisse Delta
(EPFL/ABB) connaît le succès industriel à partir des années 1990.
Les avantages de ce type de structure sont les suivants :
En dépit du fait que les débattements de ces porteurs sont plus faibles que ceux des
porteurs séries, générant donc un volume de travail plus faible, leur structure articu-
laire met les erreurs de position (ainsi que les imprécisions des capteurs, les défauts
divers : jeux, frottements, flexion des corps) en parallèle au lieu de les mettre en série.
Ces robots ont une meilleure précision. Ainsi ils sont intéressants pour les applications
de type « petits mouvements et grande précision » (notamment en micro robotique).
Une telle architecture permet une meilleure répartition des efforts et un montage des
actionneurs sur la base, autorisant une structure mécanique plus légère et donc des
mouvements rapides, de grandes accélérations et un rapport charge utile sur masse to-
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Activités en mode projet Chapitre II
tale mouvement plus favorable (dans le cas des robots série ce rapport est en général
très largement inférieur à 0,3).
Cela permet également d'augmenter la rigidité de la structure (beaucoup moins de sol-
licitation en flexion des corps, peu de déformation).
L'utilisation de chaînes parallèles permet d'utiliser des composants identiques (mo-
teurs, constituants mécaniques), d'où une facilitation de la maintenance. Il est égale-
ment possible d'utiliser une structure parallèle comme poignet de robot afin d'augmen-
ter la dextérité. Les types de transmission en chaîne fermée de type parallélogramme,
tels que celui illustré par la Figure 17 permettant de réaliser une transmission de mou-
vement (mécanisme à un degré de liberté) à partir de quatre corps formant un parallé-
logramme, n'entrent pas dans la catégorie des robots parallèles. Les relations géomé-
triques entre les différents angles restent simples et similaires à celles d'un robot série.
Le parallélogramme articulé permet de ramener les actionneurs vers la base du robot,
limitant la masse du robot en bout de porteur et augmentant ainsi les possibilités en
termes de masse embarquée. En outre, une structure en parallélogramme peut être uti-
lisée pour l'équilibrage d'un robot.
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Activités en mode projet Chapitre II
rescente peut devenir un robot à chaîne cinématique fermée par la saisie d'une pièce avec
deux bras ou le contact avec le sol de deux ou plusieurs pattes.
Ce type de structure est davantage utilisé pour les robots de service (robots marcheurs, robot
humanoïde) mais depuis les années 2010 des robots manipulateurs industriels à deux bras sont
proposés pour réaliser des tâches particulièrement complexes.
Conclusion
Dans ce chapitre nous avons énuméré les types des robots industriel et décrit toutes les confi-
gurations possibles, bien que la robotique ait facilité la vie des hommes et apporté plus de
précision et de performance au travail effectué, des limites de sécurités et de manipulation ont
imposé l’apparition d’un nouveau concept celui de la robotique collaborative.
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Activités en mode projet Chapitre III
Introduction
I. La cobotique
Néologisme provenant des mots «coopération» et «robotique», la cobotique désigne la colla-
boration entre un homme et un robot. Toutefois, il existe deux approches de la cobotique, une
assez large et l’autre plus restrictive.
L’acceptation la plus large est cette retenue par la norme ISO/TS 15066, en cours d’adoption,
qui définit la cobotique comme « un robot conçu pour une interaction directe avec l’humain à
l’intérieur d’un espace de travail collaboratif délimité ». L’espace de travail collaboratif étant
lui-même défini comme « un espace de travail au sein d’un périmètre de sécurité où le robot
et l’humain peuvent réaliser leurs tâches simultanément pendant la production ».
Le cobot (robot collaboratif) assiste l’homme lors des opérations de production. Il intervient
lorsque l’opérateur humain est indispensable mais confronté à des tâches pénibles, difficiles,
dangereuses, répétitives ou à très faible valeur ajoutée. Le cobot assiste alors l’opérateur en
démultipliant ses capacités en termes d’effort. Il pourra ainsi manipuler en sécurité des pièces
mécaniques ou des matériaux de construction lourds et encombrants, manipuler des éléments
toxiques, des éléments chauds dont le contact direct est impossible, manipuler des pièces trop
petites pour être saisies manuellement ou avec la précision nécessaire … [6].
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Activités en mode projet Chapitre III
assiste un opérateur en tant qu’amplificateur d’effort. Un tel robot peut alors prendre la forme
d’un bras robotisé, voire d’un exosquelette complet (figure 18).
Solution
Interaction
Robot adaptéeaux
Robot mobile homme/robot
Pas standardperm intéractionsh
évoluant aux très forte
d’interactionh ettantdes omme/robot
côtés de :assistance
omme/robot interactionssé ponctuelle
l’opérateur physiquede
curisées sou
l’opérateur
permanentes
Un îlot robotisé standard est constitué d’une zone robotisée dans laquelle aucune in-
teraction n’est prévue avec l’opérateur. Il s’agit des robots industriels « classiques »
entièrement automatiques.
Les îlots robotisés « flexibles » sont ensuite apparus pour permettre une interaction
entre l’homme et le robot tout en garantissant un minimum de sécurité.
Les îlots robotisés modernes sont dorénavant collaboratifs. Cette solution repose sur
un partage des tâches entre le robot et l’opérateur, ce qui permet une interaction opéra-
teur/machine quasi permanente au sein d’une même zone de travail. Ce type d’îlots est
particulièrement utile lors d’opérations complexes qui nécessitent une présence hu-
maine qualifiée. Le robot est dans ce cas chargé de simplifier au maximum le travail
de l’opérateur en réalisant pour lui les mouvements les plus simples et les plus pé-
nibles, ne serait-ce que maintenir une pièce pour observation.
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Activités en mode projet Chapitre III
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Activités en mode projet Chapitre III
Productivité accrue
Qualité améliorée et reproductible
Pallie à la pénurie de main d’œuvre
Développement du Chiffre d’affaires par des possibilités nouvelles de production
Communication externe en mettant en avant l’avancée technologique, image
d’entreprise performante. Sur le plan de la transformation de l’entreprise
Toutes les fonctions de l’entreprise sont impactées : le BE pouvant tirer parti des nou-
velles possibilités, les méthodes, les régleurs, les opérateurs, la maintenance, etc...
La culture de l’entreprise se transforme, avec une meilleure acceptation des robots par
les opérateurs (pas de suppression de postes, valeur ajoutée humaine augmentée).
Les conditions de santé au travail sont améliorées, l’ergonomie des postes étant facili-
tée grâce la prise en charge par le robot des manipulations répétitives ou pénibles.
Conséquences prévisibles : diminution des arrêts de travail, diminution de la pénibili-
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Activités en mode projet Chapitre III
té, augmentation de l’intérêt attribué au travail par l’opérateur, flexibilité dans le choix
de l’opérateur (accès à de nouvelles tâches pour le personnel féminin, vieillissant ou
handicapé)
Frein à la délocalisation en effectuant certaines tâches pénibles par ce type de robots
Relocalisation de certaines activités
La robotique collaborative rend attrayant les métiers de la production et facilite donc
le recrutement.
Conclusion
Les technologies cobotiques se dirigent peu à peu vers la maturité industrielle. Après des
dizaines d’années de recherche, les exosquelettes ne sont dorénavant plus réservés au secteur
militaire, les grands constructeurs automobiles ou aéronautiques commencent à équiper leurs
sites de production en exosquelettes légers pour soulager les travailleurs. Car la productivité
n’est pas le seul enjeu de la robotique collaborative. Résolument tournée vers l’humain, la
cobotique est un changement de paradigme qui remet en question la relation entre travailleurs
et machines. Ainsi, l’acceptabilité de la robotique collaborative par les opérateurs et les poten-
tiels risques physiques associés sont des défis pour les industriels. Si l’avenir de la cobotique
dépend en partie de l’ergonomie de cette interaction homme/robot, il est à présent évident que
les bras robotisés, les îlots collaboratifs et autres exosquelettes sont une réalité industrielle.
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Activités en mode
Conclusion générale
Pour conclure, nous avons effectué notre projet dans le cadre du module séminaire et visite
d’entreprise en 1ere année Génie Mécanique à l’Ecole Nationale d’Ingénieurs de Bizerte en-
cadré par Mme Manel ZOUARI & Mme Taysir REZGUI.
Nous présentons dans le présent rapport la finalité de notre étude bibliographique en trois
grande partie, nous consacrons une première pour une généralité sur les robots à savoir leur
historique, chronologie et les différents types qui existent jusqu’à maintenant, une deuxième
partie pour étudier les notions de base de la robotique et une troisième partie pour présenter la
nouvelle génération des robots ; la robotique collaborative sa définition et ses enjeux.
Le travail sur ce projet intitulé « Robotique industrielle » nous a permis de nous introduire et
familiariser avec le domaine de la robotique un domaine qui s’impose comme l’un des plus
important dans le monde de la mécanique, ainsi que connaitre et comprendre des notions in-
dispensables pour notre formation en tant qu’élèves ingénieurs en Génie Mécanique.
La robotique est une science vaste, nous avons dans ce projet essayé de traiter une partie que
nous avons jugé importante et primordiale pour s’introduire à ce monde, nous compte conti-
nuer davantage dans de futur travaux en ce domaine bien précisément la ROS : Robot Opera-
ting System, qui est un ensemble d'outils informatiques permettant de développer des logi-
ciels pour la robotique.
A la fin de ce projet, nous tenons à exprimer notre satisfaction d’avoir pu travaillé sur ce pro-
jet et élargir nos connaissances tout en étant confrontés par plusieurs contraintes de coordina-
tion à distance et de ré-planification du projet à cause des circonstances de confinement et de
travail à distance mais dans un contexte dans lequel le travail d'équipe est très important.
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Activités en mode projet
Références bibliographiques
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Activités en mode projet
Annexe
Classification des robots industriels par structure mécanique (norme ISO 8373)
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