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RÉPUBLIQUE DU TCHAD
UNION EUROPÉENNE
MINISTÈRE DE L’AMENAGEMENT DU
TERRITOIRE DE L’URBANISME ET DE
L’HABITAT
(P-SIDRAT)
Par
F. Références bibliographiques.............................................................................................................................104
I. NOTION DE CARTOGRAPHIE : Par LIBAR et ANGELINE
A. Introduction
La cartographie a pour but la représentation de la terre ou d’une autre planète sous une forme
géométrique et graphique grâce à la conception, la préparation et la réalisation de cartes. La
cartographie est à la fois une science, un art et une technique.
- Science car ses bases sont mathématiques notamment la détermination de la forme et des
dimensions de la terre puis la projection de la surface courbe de la terre sur un plan (la carte) et
enfin l’établissement de canevas planimétrique et altimétrique. L’enjeu étant la précision.
- Art car en tant que mode d’expression graphique la carte doit présenter des qualités esthétique
et didactique de sorte à accrocher ou à frapper l’imagination du lecteur. Pour cela sa clarté et sa
lisibilité doivent être de rigueur.
-Technique car elle nécessite d’amont en aval l’emploi d’instruments et de techniques dont les
progrès ont bouleversé toute la filière cartographique (photographie aérienne, satellites,
ordinateurs, impression et diffusion etc.)
La representation de la terre nécessite un ensemble de techniques et de méthodes synthétisables
dans deux branches cartographiques :
- Du côté des techniques, on a une cartographie mathématique dont l’objectif est le repérage
objectif et précis, mais aussi la mesure des dimensions de la terre. Les domaines suivants
permettent de recueillir ce type de données : astronomie, géodésie, océanographie,
photogrammétrie, système de projection, télédétection, topométrie, topographie. Cette
cartographie permet de mettre au point des cartes générales, des cartes de base.
- Du côté des méthodes, on a une cartographie thématique dont l’objectif est la description et
l’explication des répartitions spatiales de phénomènes géographiques. Cette cartographie
regroupe la géographie physique (biogéographie, géomorphologie, climatologie, etc.) et la
géographie humaine (géographie urbaine, rurale, économique, politique, des transports, etc).
D’autres domaines tels que le marketing, l’aménagement et les statistiques en font également
usage. Cette cartographie permet de mettre en place des cartes spéciales, des cartes
thématiques.
B. Représentation de la Terre
La Terre n’est pas ronde, et sa surface est loin d’être uniforme. En plus d’être aplatie aux pôles,
sa forme est constellée d’irrégularités.
Le géoïde est l’appellation utilisée pour designer la surface irrégulière du globe terrestre.
Géoïde : surface équipotentielle coïncidant avec le "niveau moyen de la mer" et en chaque point
perpendiculaire à la direction de la verticale locale.
On accole à cette surface, une surface plus régulière : l’ellipsoïde
Ellipsoïde :l'ellipsoïde est une surface mathématique coïncidant aussi bien que possible avec le
"géoïde" et caractérisée en général par son "demi-grand axe" a et "l'aplatissement" f.
C. Système gé odésique
Un système géodésique (ou datum géodésique) est caractérisé par :
Un système géodésique ne doit pas être confondu avec un type de projection : il définit une
représentation du géoïde terrestre.
WGS 84 (World Geodetic System 1984 : Système géodésique mondial, révision de 1984) est le
système géodésique associé au GPS ; il s'est rapidement imposé comme une référence
pour la cartographie.
Généralement, les coordonnées géocentriques ne servent que d’étape de calcul pour les
changements de système géodésique.
Pour passer de 10° 28’ 48’’ à 10, 48°, on fait le c hemin inverse :
C’est ainsi que l’on dit que le tropique du Cancer est à 23,45°ou 23°27’ de latitude nord.
1. Passage de l'ellipsoïde au plan : les projections cartographiques
La nature et l’ampleur des altérations varient selon le type de projection et sont régies par une
série d’équations particulières.
En fonction de ses caractéristiques, chaque projection répond à des usages spécifiques et a été
élaborée pour minimiser un type d’altération choisi ou pour respecter un compromis dicté par un
usage cartographique déterminé. Il est impossible en utilisant une simple projection, de préserver
toutes les propriétés. La plus part du temps, on obtient une distorsion minimale pour une propriété
alors que les autres subissent des déformations plus importantes.
On retrouve quatre grands types:
La projection conforme
La projection équivalente
La projection équidistante
La projection azimutale.
a) La projection conforme
... préserve les directions locales et ne déforme pas les angles.
Pour les objets de taille réduite, les formes sont préservées.
Une ligne d’orientation constante apparaitra comme une ligne droite.
En aspect équatorial, l’intersection des méridiens et des parallèles forme des angles droits.
Certaines surfaces sont exagérées, surtout sur les bords de la carte
b) La projection équivalente (« equal area »)
... maintient le rapport entre les superficies des zones.
Elle ne peut être conforme ce qui implique une forte distorsion au niveau des angles et des
formes.
Dans certains cas, spécialement pour les cartes à grandes échelles, les formes ne sont
presque pas déformées
c) La projection équidistante
... conserve les distances entre certains points.
Il n’est pas possible de représenter les distances sans distorsion en utilisant une simple
projection.
La majorité des projections équidistantes disposent d’une ou plusieurs lignes sur la carte ou
l’échelle est conservée.
Aucune projection n’est équidistante pour tous les points
d) La projection azimutale
... conserve les directions ou les azimuts de tous les points sur une carte.
Elle maintient les grands arcs de cercle du globe ce qui permet d’obtenir correctement les
directions.
Certaines projections azimutales sont également conformes, équivalente et équidistantes
2. La projection UTM (Universal Transverse Mercator)
La Transverse universelle de Mercator (en anglais Universal Transverse Mercator ou UTM) est
un type de projection conforme de la surface de la Terre.
Cette projection est une projection cylindrique où l’axe du cylindre croise perpendiculairement
l’axe des pôles de l’ellipsoïde terrestre au centre de l’ellipsoïde.
LES FUSEAUX UTM
Attention : pour éviter des longitudes négatives, la longitude du méridien central de chaque
fuseau est (arbitrairement) 500 000 m
L’échelle doit toujours être présente sur la carte, elle permet d’évaluer les dimensions du territoire
cartographié. Il est préférable d’utiliser l’échelle graphique car elle offre une plus grande
commodité d’emploi. Par ailleurs elle reste opérationnelle même lorsque la carte est réduite ou
agrandie (par photocopie).
Cependant en cas de modification, l’échelle numérique devient fausse.
L’échelle est un rapport : plus le dénominateur est important donc le rapport sera petit, plus
l’échelle petite.
Une carte à grande échelle représente une petite surface mais avec beaucoup de détails tandis
qu’une carte à petite échelle couvre une grande surface en sacrifiant le détail de la représentation.
Carte à grande échelle = plus de détail beaucoup de précision
Carte à petite échelle : moins de détail moins de précision donc une grande généralisation.
Les plans (échelle > 1:5000) ex. parcelles d’une exploitation, cadastre d’une commune
Cartes grande échelle: entre 1/5.000 et 1/50.000
Echelle moyenne entre 1/50.000 et 1/500.000
Petite échelle: carte au delà du 1/500.000
Cartes a très petite échelle: carte représentant les continents ou le monde entier.
II. GENERALITES SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION
GEOGRAPHIQUE (SIG) : Par LIBAR et ANGELINE
A. Définitions
Il existe de multiples définitions de SIG:
Etc.
Les données peuvent être conservées et classées sous différentes formes : papier, numérique,
alphabétique, images, sons, etc.
La longueur des côtés des pixels est la résolution de l’image. Plus cette longueur est petite, plus
l’image est précise.
Ces fiches permettent de stocker des informations qui décrivent les objets. Leur contenu dépend
des besoins et des objectifs poursuivis.
Il faut donc réfléchir au problème que l’on veut résoudre afin de bien définir les types et la
qualité des données à collecter ainsi que la façon de les structurer
L’énergie lumineuse réfléchie (ou réémise) par les objets de la surface terrestre est captée par le
satellite, transformée en énergie électrique, puis en nombres entiers (compris entre 0 et 255).
Les objets de la surface terrestre ne réfléchissent pas les lumières élémentaires de la même
manière. Ex : l’eau absorbe la lumière proche infrarouge alors que la végétation active la réfléchit
fortement.
A cause de cela, les satellites de télédétection enregistrent la lumière réfléchie par un paysage
dans différents canaux, i.e. différentes plages de longueurs d’onde.
Résultat : pour un même paysage, on obtient des images différentes. On peut ainsi discriminer
les « objets » courants de la surface terrestre (eau, sol nu, végétation, neige, etc.).
Pour obtenir une image en couleurs, on fait une combinaison colorée de trois canaux.
Il faut savoir qu’il y a trois couleurs fondamentales desquelles découlent toutes les autres. En
synthèse additive, les couleurs fondamentales sont : rouge, vert, bleu (RVB).
Image où le canal MIR est coloré en rouge, le canal PIR en vert et le canal vert en bleu.
C. Extraction du contenu informatif d'une image
Certains éléments (objets) d’une image sont immédiatement reconnaissables (cours d’eau, routes,
plans d’eau, etc.).
Pour identifier les autres, on procède à une interprétation de l’image. Il faut alors :
1 – créer des catégories (classes) d’objets et affecter chaque objet de l’image à une catégorie.
C’est la classification.
Ce type de logiciels offre aussi à l’opérateur la possibilité de déterminer lui-même les classes en
désignant des objets représentatifs de chacune de ces classes. Il s’agit alors de classification
supervisée.
ème
La 2 étape dépend fortement de la connaissance du milieu par l’opérateur . Il s’agit en fait de
créer une légende. Cette étape nécessite en général une visite de terrain.
Outre la classification automatique et la classification supervisée, il existe une autre voie pour
extraire l’information contenue dans une image : l’interprétation visuelle.
Elle consiste en :
1 – analyse visuelle de l’image qui permet de créer des classes d’objets selon leur forme, leur
teinte, leur texture et leur voisinage
2 - choix d’échantillons dans chacune des classes en tenant compte de leur apparente
accessibilité
Attention : il faut choisir les dates de prises de vue qui permettent la discrimination optimale
des objets contenus dans l’image.
Zone de Banda près de Sarh. Les objets circulaires sont des champs de canne à sucre irrigués en
pivot par la CST.
IV. UTILISATION DU GPS
A. Introduction
Le GPS est un système de 24 satellites qui tournent autour de la terre deux fois par jours suivant
une orbite très précise et qui transmettent des informations à la terre. Le GPS doit « voir » au
moins trois de ces satellites pour calculer la position et suivre le déplacement. En utilisant un
almanach (horaire et orbite des satellites par numéros), enregistré dans la mémoire du récepteur,
le GPS peut déterminer la distance et la position de n’importe quel satellite GPS et utilises cette
information pour calculer votre position. Etant donné que le GPS dépend des signaux des
satellites pour vous fournir un guidage de navigation, le récepteur à besoin d’une vue dégagée et
claire du ciel pour fonctionner au mieux. En résumé, la vue que le GPS à du ciel détermine
généralement à quelle vitesse vous obtenez une position.
Les signaux GPS sont relativement faibles et ne passent pas au travers, des bâtiments, des gens,
du métal ou des épaisses couvertures de feuillages. Le GPS à en réalité besoin de 4 satellites
pour donner une position en 3D, cependant avec 3 satellites il lui est possible de donner la
position en 2 D.
Quand un récepteur GPS reçoit le code, il peut déterminer directement le temps que l'onde a mis
pour parcourir la distance (de l'ordre de 70 ms). En multipliant par la vitesse de la lumière, on
obtient la pseudo - distance, qu'il faudra corriger des perturbations naturelles. Comme la longueur
d'onde du signal codé est de 10 à 100 m selon le code utilisé, la distance absolue que l'on obtient
n'est estimée qu'à quelques mètres près.
Remarque : en réalité, pour se positionner, il faut quatre satellites car les inconnues sont 3
paramètres de position et le décalage de temps entre l'horloge réceptrice et celle des satellites.
Ce décalage temporel est lié au fait que, même si les horloges des satellites sont maintenues
parfaitement synchronisées par un système de contrôle au sol, celles des récepteurs,
indépendantes les unes des autres, ne sont pas contrôlées. Ce sont en général de simples quartz
bon marché, qui permettent la production de récepteurs accessibles à tous les utilisateurs. Ces
quartz ont une forte dérive temporelle, ce qui cause le décalage de temps avec les horloges des
satellites qui sont elles parfaitement contrôlées.
1. Potentiel d'utilisation
Conçu à l'origine pour des fins de navigation militaire, le système GPS a vite été utilisé pour des
fins de localisation et de positionnement tant pour les civils que les militaires. Le système GPS est
une solution potentielle à presque toutes les applications nécessitant une référence spatiale
(coordonnées) telles que la géodésie, l'hydrographie, la gérance de flottes de transport, la
circulation aérienne, la foresterie, et bien d'autres encore.
Le GPS est un outil à précision relative. Elle n’est pas fondamentalement liée au récepteur, mais
dépend tant de facteurs endogènes que exogène au système. Suivant que le ciel soit couvert ou
non, le GPS aura plus ou moins de difficultés à positionner un point parce qu’il reçoit en ce
moment de façon très faibles les fréquences des satellites. Or, plus le nombre de satellites capté
est élevé, plus la précision du positionnement sera élevée.
En somme, le GPS pour fonctionner de façon efficient exige un ciel totalement dégagé.
3. Les touches du GPS
2. Page position
C’est la page qui donne votre position actuelle en X, Y et Z, la direction et la vitesse des
déplacement. En haut de la page un compas graphique indique la direction qui est suivie. En bas
de ce compas ;
4. Page navigation
Cette page peut se présenter sous deux formes optionnelles.
- La Boussole
Elle offre un guidage graphique permettant d’aller à un point dont les coordonnées sont connues.
L’anneau du compas, au milieu de la page montre votre direction de déplacement tandis que la
flèche pointée indique votre destination.
Elle présente une image en ligne droite indiquant le déplacement par rapport à la trajectoire
désirée. Ici l’accent est mis sur votre erreur transversale (la distance et la direction de l’écart de
trajectoire). Cette forme de navigation directe convient plus aux bateaux et à certains sites hors
route permettant d’avancer en ligne droite, où il est souhaitable de maintenir un cap spécifique.
5. Page Menu
La page Menu permet d’accéder aux données relevées sur le terrain, d’introduire des données
dans le récepteur GPS mais également de le configurer.
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- La page des Wapoints
Elle permet d’accéder à la liste des points levés mais aussi de détruire ou d’entrer de nouvelles
coordonnées directement dans le GPS.
3. A l’aide des flèches directionnelle Haut Bas, se déplacer et mettre en surbrillance le waypoint
voulu et valider avec Enter
waypoint list
NB. L’option Wapoint donne uniquement accès aux coordonnées du dernier point relevé.
E. Configuration du GPS
Pour commencer un levé, il faut paramétrer le GPS aux normes du référentiel utilisé dans notre
- la projection UTM
- le Datum WGSG84
3) Se positionner sous map Datum système Géodésique faire défiler pour choisir le référentiel
géodésique de notre zone ; valider le choix avec Entrée.
1) appuyer sur la touche MARK. La page Mark position apparaît, avec un numéro de trois
chiffres par défaut.
waypoint qui soit plus significatif pour vous, pour cela il faut :
utiliser les touches de direction pour mettre en surbrillance le
champ nom
appuyer sur Enter pour commencer la saisie du nouveau code.
La flèche de direction haut permet de faire défiler les lettres de l’alphabet, tandis que celle bas
vous permet de choisir les chiffres. Les flèches de direction gauche droite vous permettent de
vous déplacer de passer d’une lettre à la suivante ou d’un chiffre au suivant.
G. Navigation
L’option navigation permet de retrouver sur le terrain un point à l’aide de ses coordonnées
connues. Elle est très utile pour les contrôles et le suivi. Pour activer la navigation, il faut:
Lorsqu’on approche du point le GPS nous le signale par une message sonore ou écrit.
1. Brancher GPS sur le câble de transfert et le lier à l’ordinateur par un port parallèle.
2. Ensuite cliquer sur garmin et choisir le type de données que vous voulez récupérer.
(Waypoints, waypoint list, track, routes, almanac, protocol)
1. ouvrir fichier
- choisir le répertoire
- choisir le format
Enregistrer
On peut aussi saisir les points dans Excel et les introduire directement dans ArcGis (Cf.
intégration de données brutes GPS).
V. PRISE EN MAIN DU LOGICIEL ARCGIS 10
A. Présentation du logiciel
ArcGis est un logiciel permettant d’exploiter un Système d’Information Géographique (SIG).
Le principe directeur d’un SIG est le suivant : nous avons d’un côté les données géométriques et
de l’autre les données attributaires. Ces données sont stockées sous format numérique et
organisées par couche (appelées aussi « shapefile » dans ArcGis).
ArcGis est en réalité une suite qui se décline en trois versions (ArcView, ArcEditor et ArcInfo). La
différence entre ces versions est le nombre d’options supplémentaires disponibles, ArcView en
possédant le moins. Ceci est indépendant des extensions (Spatial Analyst, 3D Analyst… qu’on
peut acheter en supplément).
Chacune de ces trois versions de la suite ArcGis est constituée d’une interface ArcMap et d’une
interface ArcCatalog et ArcToolbox.
1. Pré sentation de l’interface ArcMap
ArcMap montre, questionne, édite, crée ou analyse des données, sous forme de cartes ou de
tables. ArcMap facilite la disposition des cartes lors de la mise en page pour l’impression,
l’intégration dans d’autres documents et l’édition de documents électroniques. L’interface du
logiciel est présenté ci-dessous :
ArcCatalog vous permet de passer en revue, organiser, distribuer et modifier les éléments
de propriétés des données géographiques. L’interface permet d’employer des méthodes
graphiques ou textuelles pour passer en revue, contrôler ou modifier l’ensemble des données.
C’est idéalement dans cet interface que l’on exécutera les actions les plus courantes listées ci-
dessous :
Attribuer un système de coordonnées lorsqu’il n’est pas reconnu par le logiciel ou non
attribué ;
Tables attributaires, feuilles de calcul Excel pour les versions 9.2 et + et dBase (*.dbf)
: ce sont des fichiers généralement issus d’un fichier Excel que l’on intègre à l’étude
cartographique. Ces données ne sont pas géoréférencées.
Fichiers couche (*.lyr) : ce sont les représentations graphiques issues des fichiers de
forme.
Fichiers raster sont les fichiers images auxquels chaque couleur est rattachée une
valeur numérique.
ArcToolbox est le module dans ArcGis 9.X et ArcGis 10 (ou l’application dans ArcGis 8.X)
qui permet d’accéder à toutes les fonctionnalités puissantes de traitement et d’analyse. La boite à
outils fournit un ensemble très riche de fonction de géotraitement. Il convertit aussi les formats de
données pour l’importation ou l’exportation de fichiers ainsi que les changements de projection.
L’ensemble des outils présents dans chaque boite à outil n’est pas obligatoirement accessible.
Certains nécessitent l’achat d’extensions supplémentaires.
Généralement en cliquant sur un outil, une fenêtre correspondant à l’outil s’ouvre, permettant de
paramétrer ce dernier.
4. Le document MXD
La mise en forme des fenêtres, la Mise en page, le choix de style pour les objets cartographiques,
le positionnement des étiquettes, etc. sont autant d’opérations qu’il est intéressant de sauvegarder
pour ne pas avoir à les reproduire à chaque ouverture de ArcMap. Le document de travail (*.mxd)
vous permet de sauvegarder une session de travail.
Pour enregistrer l’état d’avancement de votre travail dans le document, allez dans le menu Fichier
> Enregistrer sous (File > Save as).
Le document de travail est un fichier unique contrairement à une couche. Il ne contient pas de
données géographiques. Il renferme simplement une série d’instructions qui est donnée à ArcMap
et qui précise les couches géographiques utilisées dans la session, les fenêtres ou données
ouvertes, la mise en forme des objets, etc. le document ArcMap peut être assimilé à une macro
des logiciels bureautiques. Ainsi il peut exister un grand nombre de documents qui utilisent les
mêmes tables de données dans des mises en forme différentes.
Cependant, le document contient les instructions sur les tables à utiliser. Il est indispensable de
préserver ces tables telles que lors de l’enregistrement du document. Si, par exemple, une table
Portabilité du document
Il est possible d’enregistrer le « chemin relatif » des couches utilisées. Ceci vous permet de
déplacer tout votre dossier de travail et de pouvoir rouvrir votre document après le déplacement,
sans encombre. Le document et les couches utilisées doivent tout de même rester à la même
place les uns par rapport aux autres !
Ouvrez votre document. Dans le menu fichier, sélectionnez propriétés du document. Cochez
enregistrer le chemin relatif et cliquez sur Appliquer puis Ok.
File > Map Document Properties > store relatives pathnames to data source
B. Gestion des couches
La gestion des couches est essentielle pour bien démarrer l’apprentissage du logiciel. Bien
comprendre comment s’organisent les couches les unes par rapport aux autres et comment
s’organise l’articulation entre la donnée géographique et la table attributaire qui lui est associée,
est la base de la compréhension des logiciels SIG.
Si le lecteur où vous stockez vos données n’est pas disponible dans l’arborescence des fichiers,
cliquez sur le bouton connecter un dossier (connect to folder) pour ajouter le dossier ou
lecteur désiré.
Démarrer ArcMap en cliquant sur le bouton situé dans la barre de tâches du haut de
l’écran.
Une boite de dialogue apparaît, soyez sûr de travailler sur un nouveau document vide.
Sélectionnez les fichiers ‘*.shp’ que vous voulez ouvrir dans l’arborescence de ArcCatalog et
faites-les glisser jusque sous la couche (layers) de ArcMap.
Remarque : l’opération d’ajout de données est directement réalisable depuis ArcMap en cliquant
simplement sur Ajouter de données (Add data). L’opération réalisée ici a pour objectif de
montrer l’interactivité entre ArcCatalog et ArcMap.
Changez le nom de votre vue de données . Dans le menu affichage (View), sélectionnez les
propriétés du bloc de données (data frame properties). Sous l’onglet application (general),
changez le nom des données pour reconnaître votre travail. Changez le menu déroulant afficher
(display) des unités selon vos besoins (kilomètre par exemple puis cliquer sur Ok)
Dans la barre d’outils, cliquez sur l’outil de zoom (zoom in) pour une meilleure vue de votre
carte, en pressant simplement le bouton de la souris ou en maintenant le bouton enfoncé pour
définir un cadre de zoom.
Pour fermer une couche dans ArcMap, faites un clic droit sur son nom et sélectionnez supprimer
(remove). Cette opération supprime la couche du logiciel mais pas de l’ordinateur.
Cliquer sur le nom d’une couche la rend active. Maintenez le clic et faites glisser la couche au-
dessus ou en dessous d’une autre couche pour modifier l’ordre d’affichage.
La sélection vous permet d’éliminer les fichiers de forme lorsque vous sélectionnez tout en
laissant la couche affichée.
L’affichage met en avant l’ordre de superposition des couches les unes par rapport aux autres. Le
nom le plus haut correspond à la couche la plus au-dessus des autres.
La source est le chemin d’accès à la couche. Les fichiers ne possédant pas d’objet graphique (les
tables attributaires telles que *.DBF) n’apparaitront que dans cet onglet.
Explorer les polygones (ou les aires) et cliquez dessus afin d’observer les informations des
couches. Dans le menu déroulant couche de la fenêtre résultats d’identification, vous pouvez
choisir les couches pour lesquelles les informations doivent apparaître. Fermez la fenêtre
d’information lorsque vous avez fini.
Dans ArcMap ou ArcCatalog, allez dans le menu Customize, sélectionnez Toolbars puis
choisissez l’outil désiré. Vous pouvez aussi faire un simple clic droit sur le contour gris du logiciel
et choisir directement l’outil.
Si la barre d’outil fait référence à une extension (sous réserve d’avoir une licence), choisissez
toujours dans le même menu Customize > extension… et choisissez la case de l’extension
voulue pour l’activer.
ArcCatalog est présenté comme l’explorer Windows. Dans l’arborescence gauche du logiciel, allez
dans le dossier où est rangé le shapefile (ou la couche) que vous voulez observer et sélectionner
le fichier en cliquant sur son nom. La représentation graphique apparaît dans la fenêtre de droite.
Dans l’onglet aperçu, vous pouvez avoir un aperçu de la table de données ou de la géographie
de votre couche. L’aperçu géographique est un petit visualisateur où vous retrouvez les outils de
navigation de la barre d’outils de ArcMap.
Notez que vous pouvez lancez ArcToolbox depuis ArcCatalog de la même façon que dans
ArcMap.
4. Affichage des donné es attributaires à l’é cran
Faites un clic droit sur le nom de la couche et sélectionnez ouvrir la table attributaire (open
attribute table), observez les données puis fermez la table lorsque vous avez fini.
Une entité correspond à une ligne. La sélection d’une entité sur la carte avec l’outil sélection
implique la sélection des données associées dans la table attributaire (et inversement).
Predefined > Projected Coordinate Systems > UTM > WGS 1984 > Northern Hemisphere
>WGS 1984 UTM Zone 33N
Choisissez Ok en bas de la boite de dialogue puis oui en bas de la boite de dialogue qui
apparaît ; cet avertissement indique que le système choisi est différent de celui de source des
données.
Attention : Vous avez modifié ici l’affichage des données selon une projection différente mais pas
les données en elles-mêmes. Le logiciel « recalcule à la volée » le système que vous lui avez
appliqué mais il travaille toujours dans le système de coordonnées initial.
Dans ArcToolbox choisissez Data Management Tools > Projections and transformations >
Features > Project (Outils de gestion de données > Projections et Transformations > Entités >
Projeter). Remplir les cases appropriées et cliquer sur ok
d) Attribuer une projection (ArcCatalog)
Si vous observez que le système de projection est « inconnu » dans ArcMap (cf. « connaître le
système de projection de la vue ») et que votre couche ne se superpose pas aux autres couches,
cela peut arriver dans deux cas :
Le logiciel ne possède pas la projection de la couche dans ses références (ou pas
exactement) ;
Lorsque vous importez ou exportez des données, il est important (indispensable !) de connaître le
référentiel (et de mettre les métadonnées à jour) afin d’indiquer le bon référentiel lors de
l’importation. Indiquer un mauvais référentiel altère et déforme vos données.
L’étape est importante car les références géographiques permettent tous les calculs de distances
(calculs d’aires, barres d’échelles…) et aussi une superposition parfaite des couches travaillées.
Pour indiquer au logiciel le système de projection de la couche, allez dans ArcCatalog et faites un
clic droit sur le nom de la couche pour ouvrir les propriétés (Properties). Cliquez sur l’onglet XY
Coordinate System, pour importer la référence spatiale d’une autre couche ou spécifier une
référence prédéfinie.
La couche dont on modifie la projection doit être fermée dans ArcMap pour que les modifications
prennent effet.
Des données primaires: données obtenues par Télédétection, GPS ou des mesures
directes sur le terrain.
Des données dérivées: données extraites des cartes, statistiques, enquêtes ou autres
recueils de données existant. Ces données sont soit sur support papier ou numérique. Pour
être intégrer dans le SIG, elles doivent être géoréférencées puis vectorisées pour extraire
l'information. On peut aussi s'en servir comme fond de plan ou pour analyser conjointement
plusieurs plans d'information (analyse spatiale).
Dans tous les cas, se soucier des informations à renseigner dans les métadonnées:
1. Saisie de mé tadonné es
On appelle métadonnées "les données sur les données". Il s'agit d'information décrivant
l'information géographique telle que la thématique, la qualité, le propriétaire de la données, ...
L'absence de métadonnées conduit à une interprétation erronée, un mauvais usage et une fausse
perception de la précision.
Pour renseigner les métadonnées, ouvrir ArcCatalog, cliquer sur la couche à renseigner, puis
dans la colonne droite où s'affiche le contenu des dossiers, cliquer sur Description puis sur Edit
et renseignez les différents champs (titre, mots clés, résumé, etc.) et les sauvegarder en cliquant
sur Save.
2. Inté gration de données brutes GPS
Certaines données ne présentent pas d’objets géographiques mais ceux-ci peuvent être construits
si on connaît leur localisation en X et en Y. c’est notamment le cas de points acquis sur le terrain à
l’aide de système de positionnement par satellite type GPS. Ouvrez votre fichier ASCII (*.txt),
dBase – DBF4 (*.dbf) ou Excel (*.xls), observez sa structure. La présence de coordonnées X et Y
va vous permettre de créer pour chaque ligne du tableau un point avec les coordonnées
correspondantes. Puis fermez le fichier et ouvrez ArcMap pour ajouter le fichier en passant par le
menu Ajouter des données (Add data) . Faire ensuite un clic droit sur le nom du tableau
apparu sous Layers dans la zone Table of Contents à gauche et cliquer sur
Ouvrez l’image dans ArcMap, le logiciel vous indique qu’elle ne possède pas de référence
spatiale connue.
Cliquez sur Ok si cette fenêtre s’affiche puis choisissez de faire une Vue générale (Full extent)
si d’autres couches sont aussi ouvertes. La vue générale est à très petite échelle (très
éloignée) car le logiciel a, par défaut, caler l’image aux coordonnées X= 0 et Y= 0 de la projection
courante. Observez la référence spatiale du fichier dans les propriétés de la couche raster, onglet
source.
Cliquez sur l’outil Ajouter des points de contrôle (Add control points) et cliquez sur un
emplacement connu de l’image non référencée pour ajouter la première coordonnée au lien. Par
Remarque : Avec un minimum de trois liens, l’équation mathématique utilisée (pour une transformation de premier
ordre) peut exactement transposer chaque point du raster sur l’emplacement cible. Un nombre de liens supérieur à
trois introduit des erreurs, ou résidus qui sont distribués à tous les liens. Un quatrième lien n’est cependant pas
superflu, en effet, si le positionnement d’un point est incorrect, l’impact sur la transformation est beaucoup plus
important. Ainsi, même si l’erreur de transformation mathématique peut augmenter avec la création de liens
supplémentaires, la précision générale de la transformation augmente également.
Une fois les quatre points positionnés, ArcView vous donne une appréciation de votre calage pour
chaque point en pixel. Si cette erreur vous parait acceptable, vous pouvez valider le calage en
cliquant sur Ok.
Dans la liste des couches (layers) (à gauche de l’écran, dans la table des matières), faites un clic
droit sur la couche référencée et cliquez sur zoom sur la couche (zoom to layer).
Dans la barre de géoréférencement, cliquez sur le menu déroulant couche (layer) et cliquez sur
l’image à référencer. Attention à ne pas altérer la référence d’une couche géoréférencée
Remarque : cet outil vous permet d’afficher l’image dans l’aire et à la dimension de la fenêtre active. Vous ne pouvez
Cliquez sur l’outil ajouter des points de contrôle (Add control points), le curseur est alors
devenu une croix.
Pour ajouter un lien, cliquez sur un point de localisation connu de l’image et cliquez sur ce même
point sur la carte référencée ; les coordonnées de ce point sont à jour !
Ajoutez assez de points pour que la transformation prenne effet. Vous avez besoin d’un minimum
de trois points pour une transformation polynomiale de premier ordre, six pour une transformation
de second ordre et dix pour une transformation de troisième ordre. On utilise une transformation
de premier ordre lorsque l’image à référencer est dans la même projection que l’image de
référence.
Remarque : un grand nombre de points n’améliore pas forcement la qualité du résultat, préférez donc des points
prêts de chaque angle de l’image à référencer et quelques points au centre.
Vous pouvez supprimer un lien en cours de création en appuyant sur la touche Echap (Esc). Pour
supprimer un point créé, appuyez sur le bouton Visualiser la table des liens (view link
table), sélectionnez le point non désiré (dont le lien apparaît en jaune sur la carte) et appuyez sur
Remarque : dans la table des liens, vous pouvez évaluer la transformation. L’erreur résiduelle de chaque lien y est
reportée. Une transformation de deuxième ou troisième ordre (lors de courbures ou d’incurvations d’images),
augmente l’erreur car la déformation est plus complexe.
c) Enregistrement du géoréférencement
Cliquez sur géoréférencement (georeferencing) et choisissez mettre à jour le
géoréférencement (update georeferencing) pour sauvegarder les informations de transformation
de l’image.
Remarque : cette action de mise à jour ne modifie pas l’image. Elle crée un fichier de référencement
(*.aux).
La création d’une couche doit être précédée d’une étape de réflexion sur la modélisation du
phénomène à intégrer dans le SIG. Il s’agit d’un aspect fondamental qui permettra une utilisation
rationnelle et aisée du SIG. Une étape à ne pas négliger !
Une collection d’objets de même type sémantique correspond à une couche (fichier de forme sous
ArcGis). Tous les objets d’une même couche doivent être du même type géographique
(point, ligne ou polygone).
Chaque objet géographique stocké dans une couche est doté d’un certain nombre d’attributs (ou
champs), qui sont définis ultérieurement lors de la modification de la structure de la couche.
Ouvrez ArcCatalog, allez dans le dossier où vous voulez créer le nouveau fichier de forme. Par
un clic simple droit, allez dans Nouveau > Fichier de forme (New > shapefile). Nommez votre
fichier et renseignez le type d’entité que vous voulez créer. N’oublier pas de modifier le système
de coordonnées du fichier de forme. Si vous êtes sur un travail en cours, faites importez le
système d’une couche que vous utilisez. Cliquez sur Ok.
Une fois la couche créée, elle ne comporte aucun enregistrement graphique et aucun champ
attributaire mis à part le champ FID (identifiant géographique propre au logiciel et SHAPE
indiquant la géométrie des entités de la couche).
5. Cré ation de champs attributaires
ArcGis gère différents types d’attributs : texte, entier court, entier long, réel simple, réel double,
date.
Pour supprimer un champ, faites un clic droit sur l’entête du champ à supprimer puis cliquer sur
supprimer un champ (delete field)
Ajouter la barre Editeur (editor) depuis le menu Customize > Toolbars > Editor
Dans la barre d’édition, ouvrir une session de mise à jour (Start Editing). Suivez les
instructions de la boite de dialogue et cliquez sur Ok. Votre couche est alors modifiable.
Cliquez sur un des outils de dessin reproduits ci-dessous et dessinez les entités.
Prenons l’exemple d’une création de points (rappel : le type d’entité créable est défini lors de la
création de la couche !) :
Sélectionnez le crayon (encerclé en rouge) dans la fenêtre Créer une nouvelle entité qui
permet de créer des objets dans cette boite d’outils Editeur
Cliquer dans la fenêtre à l’endroit désiré (Attention : à chaque clic avec l’outil activé, vous
créez un nouveau point même si vous ne le voyez pas à l’écran).
Attention : veuillez à bien quitter la session de mise à jour avant d’entreprendre une autre tâche.
NB: C'est le même processus selon qu'on veut créer des points, lignes ou polygones. Mais c'est
la configuration de l'outil qui change. Voici comment il se présente:
L’opération consiste à sélectionner une entité sur la couche et à la supprimer. Il existe trois façons
de supprimer l’entité une fois qu’elle est sélectionnée avec la flèche noire de la barre
d’édition :
Pour supprimer plusieurs enregistrements, utiliser Ctrl pour les sélectionner à partir de la table.
Utilisez la touche Maj pour les sélectionner à partir de la couche graphique.
A l’aide de l’outil de mise à jour du menu Editor, double-cliquez sur l’entité que vous voulez
modifier.
Déplacer les sommets un à un vers les contours de l’entité de référence. Vous pouvez insérer un
sommet (insert vertex) avec un clic droit sur le contour de l’entité à modifier, ou supprimer un
sommet (delete vertex) avec un clic droit sur le sommet à effacer.
Remarque : à l’approche de l’entité de référence, vous pouvez maintenir la touche V enfoncée pour afficher
temporairement les sommets de cette entité.
Une fois les modifications réalisées, n’oubliez pas d’enregistrer les mises à jour (Save edits)
depuis le menu Editor et de quitter la mise à jour (Stop editing).
Remodelage de limite
Il est possible de remodeler une limite en l’alignant sur une construction manuelle.
Dans la barre d’outils Editeur, sélectionner l’entité à remodeler avec l’outil de mise à jour .
Puis prenez l’outil remodelage (reshape) et tracez une ligne en suivant les sommets de
l’entité de référence. Double-cliquez pour Terminer la construction. L’entité est alors remodelée.
La sélection de l’objet sur la carte se matérialise par un bleu fluo (couleur modifiable dans le
menu Selection > Selection Options). Dans la table correspondante, la sélection se remarque
4. Cliquez sur le nom de la couche contenant les entités dont vous souhaitez afficher les attributs.
Les propriétés attributaires de la couche apparaissent dans la partie droite (ou en bas selon
l'option d'affichage choisi) de la boite de dialogue.
2. Cliquez dans la colonne valeur à l'endroit où vous souhaitez ajouter la valeur de l'attribut
3. Saisissez la valeur de l'attribut et appuyez sur Entrée. La valeur attributaire est ajoutée à
l'entité.
b) Ajout d'une valeur attributaire à l'ensemble des entités
sélectionnées d'une couche
1. Cliquez sur la couche à laquelle vous souhaitez ajouter une valeur attributaire
2. Cliquez dans la colonne valeur à l'endroit où vous voulez ajouter la valeur de l'attribut
3. Saisissez la valeur de l'attribut et appuyez sur Entrée. La valeur attributaire est ajoutée à toutes
les entités sélectionnés de la couche.
Lorsque vous avez fini, terminez la session de mise à jour (stop editing).
champ puis calculer les valeurs . Une boite de dialogue apparaît, vous pouvez ainsi calculer
vos valeurs suivant une expression.
N’hésitez à consulter l’aide (bouton Aide dans la fenêtre Calculatrice) qui donne beaucoup
d’exemples sur la syntaxe.
Il est indispensable d’enregistrer les modifications opérées sur la table en fin de calcul.
2. Faire un clic droit sur la colonne de base (les champs contenant les différentes classes
d'occupation de terre: ici le champ CODE) et choisir SUMMARIZE
3. Dans la fenêtre de dialogue qui apparait, vérifiez que le champ de base ("CODE") est bien
sélectionné dans l'onglet select a field to summarize.
5. Donnez le nom de sortie dans Specify output table puis validez par Ok.
Pour créer des diagrammes, aller sous le menu View > Graphs > Create. Une fenêtre de
dialogue s'ouvre:
2. La couche ou table qui doit servir à la création du diagramme dans Layer / Table (ici nous
choisissons le tableau de somme que nous avions extrait ci-dessus: Unités_Ocsol_Lac-Fitri)
3. Dans Value field (qui correspond à l'axe Y), choisir le champ de valeur (ici, Sum_superficie)
4. Dans X label field, choisir le champ correspondant à l'axe des X (ici CODE)
5. Dans Color, choisir Palette pour mieux distinguer les différentes unités
9. Dans Axis Properties , saisir le titre de l'axe sous Title et cliquer sur Visible s'il ne l'est déjà
Il est ensuite possible d'ajouter un diagramme à la sortie cartographique en effectuant un clic droit
sur la barre de nom du diagramme, et en choisissant Add to Layout. Attention, le diagramme
perd alors caractère dynamique, c'est à dire que la modification d'une ou plusieurs valeurs de vos
données ne se répercutera pas dans le diagramme.
D. Analyse spatiale
L’analyse spatiale participe au traitement même des données à partir de requêtes spatiales bien
définies ou d’actions qui permettent de répondre à un questionnement précis.
Une requête est une opération qui consiste à interroger une partie de la table de données (ou
table attributaire).
Les requêtes peuvent porter aussi bien sur la table attributaire que sur les objets graphiques.
Si la vérification indique que la syntaxe est correcte, appliquer la sélection et fermer la fenêtre
pour voir les sélections sur-brillantes.
Exportez la sélection
Par un clic droit sur le nom de la couche sur laquelle vous venez de réaliser la sélection puis
Données > Exporter les données (Data > Export data). Dans la boite de dialogue, modifiez le
nom de la couche de sortie (Output shapefile). Pour exporter uniquement la table, passer par
Table > Option > Export
Exemple 1: Localiser les jachères de Lac Fitri 2 pour un essai d'amendement et de conservation
de sol
Dans le menu déroulant intitulé Layer (couche), sélectionnez la couche Lac Fitri 2
Vérifiez dans le deuxième menu déroulant que la méthode de sélection est Create a
new selection (créer une nouvelle sélection)
Sélectionnez CODE dans la liste des champs puis cliquez sur Get Unique Values
(pour afficher les valeurs contenues dans le champ CODE)
Toujours dans la liste champs, double-cliquez sur le champ CODE
Vous devez voir apparaitre le nom du champ dans la fenêtre inférieure
Cliquez sur l'opérateur =
Double-cliquez sur la valeur JAC dans la liste Valeurs uniques
Vous devez voir apparaitre dans la fenêtre inférieure de la boite de dialogue la syntaxe suivante:
"CODE"='JAC'
Cliquez sur le bouton Appliquer pour lancer la sélection puis Ok pour fermer la boite de
dialogue.
Les entités sélectionnées apparaissent en bleu dans la zone d'affichage de votre document
ArcMap
Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le nom de la couche Lac Fitri 2 dans la table
des matières (Table of Contents) et cliquez sur Open attributes table
Vous pouvez constater que certains enregistrements de la table apparaissent en bleu. Ces
enregistrements correspondent aux entités sélectionnées dans la boite de dialogue Select by
attributes.
Par défaut, ArcMap affiche la totalité des enregistrements de la table. Vous avez la possibilité
de n'afficher que le résultat de la sélection en cliquant sur le bouton Show selected records,
situé en bas de la table attributaire.
Exemple 2: Pour les besoins d'aménagement agricole, on cherche à localiser les jachères et les
zones de culture pluviale du Lac Fitri 2
Cliquez sur le bouton Show all records juste à côté du bouton Show selected records
pour faire réapparaitre l'ensemble des enregistrements de la table
Dans la table attributaire, cliquez sur le bouton Table Option pour voir apparaitre
le menu déroulant
Dans ce menu sélectionnez la commande Select by Attributes
Pour l'instant, on a déjà sélectionné les entités représentant les jachères. Nous allons donc
conserver ce premier ensemble de sélection et ajouter à la sélection courante les entités
représentant les zones de culture pluviale.
La boite de dialogue de sélection par attribut apparait:
1. Dans le menu déroulant Méthode, sélectionnez Add to current selection (ajouter à la
sélection courante)
2. Double-cliquez sur le champ CODE dans la première liste de la boite de dialogue
3. Cliquez une fois sur le signe =
4. Double-cliquez sur la valeur CP (Culture pluviale) dans la liste Get Unique Values
Cliquez sur le bouton Apply puis Ok
Vous pouvez constater que de nouvelles entités apparaissent maintenant en bleu.
Exemple 3 : On veut aménager uniquement les zones de culture et de jachères ayant une
superficie de plus d'un hectare.
Comme on a déjà sélectionné les entités représentant les jachères et les cultures pluviales dans
l'exemple 1 et 2, nous allons donc extraire de cette sélection les entités ayant plus de 1 ha.
Toujours dans la boite de dialogue de sélection par attribut:
1. Dans le menu déroulant Méthode, sélectionnez Select from current selection (extraire de la
sélection courante)
2. Double-cliquez sur le champ SUPERFICIE dans la première liste de la boite de dialogue
3. Cliquez une fois sur le signe >=
4. Saisissez le chiffre 1 (après >=)
Il faut dans un premier temps sélectionner la couche dans laquelle la sélection va se faire, la
relation spatiale utilisée pour la sélection et enfin sélectionner par rapport à quelle couche la
sélection va se faire.
Dans le menu Sélection, choisissez Select by Location (Sélection par entité), une boite de
dialogue apparaît. Suivez le didacticiel présenté à l’écran.
Exemple 1 : Sélectionnez les éléments de la couche ‘Routes’ qui intersectent les éléments de la
couche 'Cours d'eau’.
2. La couche: Route
2. La couche: Localités
5. 1000 mètres (valeur à saisir après avoir cocher Apply à search distance et choisi l'unité qui est
ici le mètre)
1. Activez la barre d'outils Editor en passant par le menu: Customize > Toolbars > Editor ou en
3. Dans la fenêtre Start editing, choisir dans la liste des couches présentes dans votre vue, celle
qui contient l'entité autour de laquelle, vous voulez créer une Zone tampon ou Buffer.
4. Avec le bout de la flèche noir (Edit tool) de la barre d'outils Editor, sélectionnez les entités
autour desquelles vous voulez créer votre Buffer
6. Dans la boite de dialogue Buffer qui apparait, sélectionnez les entités autour desquelles vous
voulez créer le Buffer dans Input features, le nom de sortie dans Output classe features, entrez
la distance de création de buffer dans l'onglet Distance et choisir son unité juste à côté. Laissez
les autres paramètres proposés par défaut. Puis cliquez sur Ok pour valider l'action.
Exemple: La rivière Batha est contaminée. Etant donné que la population utilisatrice de ce cours
d'eau se situe dans un rayon d'environ 5Km autour de cette rivière, identifiez les villages exposés
à cette contamination pour des actions urgentes à mener.
Solution: Regardez le schéma qui reprend les différentes étapes mentionnées ci-dessus:
Le résultat est affiché ci-dessous (la rivière Batha est sélectionnée en bleu et le buffer de rayon de
5Km crée autour est en jaune)
On remarque qu'il ya quatre villages qui seront directement touchés par la contamination du cours
d'eau Batha.
4. Jointure attributaire
La jointure de tables est généralement utilisée pour adjoindre des attributs supplémentaires à la
table d’une couche géographique (couche de départ). Pour joindre deux tables, le type des
données du champ joint doit être identique entre les tables (nombre, chaine…).
La jointure ne concerne que les lieux géographiques présents dans la couche de départ.
Faites le clic droit sur le nom de la couche géographique de départ et sélectionnez Joins and
Relates ( jointures et relations) puis join (joindre).
Cliquez sur Validate Join puis OK pour fermer les boites de dialogues.
Faites un clic droit sur le nom de la couche géographique de base et ouvrez la table attributaire
pour voir si la jointure a réussi. Observez pour cela les entêtes des champs.
Exemple
5. Outils d’analyse
Les outils d’analyse sont nombreux. Il convient de réfléchir à la finalité du travail avant de se
lancer dans les modifications.
NB : Si vous avez une sélection active sur la couche, l’opérateur réalise l’analyse uniquement sur celle-ci.
E. Restitution Cartographique
L’analyse thématique met en évidence un ou plusieurs phénomènes de la carte et participe
grandement au rendu final d’une carte. Elle joue un rôle dans la perception de la carte par vos
interlocuteurs. Il est donc indispensable de prendre du recul pour voir si le rendu de l’information
est fidèle à ce que vous vouliez mettre en avant. Il est autant indispensable que votre information
soit claire et non noyée dans une masse d’informations inutiles.
Cette étape est importante lors de la manipulation des données car elle gère le rendu visuel de la
superposition des couches. C’est dans ces propriétés que vous rendrez l’intérieur des entités
d’une couche transparent pour voir les couches du dessous.
Double-cliquez sur la couche ou faites un clic droit pour afficher les propriétés de la couche
(Properties) puis sélectionnez l’onglet Symbology (symbologie). Cliquez sur le rectangle coloré
du symbole pour appeler la fenêtre de sélection du symbole (symbol selector).
Le bouton Propriétés (Properties) permet de changer plus d’options dans l’affichage des entités
d’une couche.
NB : L’onglet Affichage (Display) des propriétés (Layer properties) de la couche gère la transparence absolue de la
couche.
2. Analyse thématique / Affichage avancé des entité s
L’analyse thématique a pour objectif principal de mettre en forme les données que vous voulez
faire ressortir de la carte. L’analyse thématique répond aux règles principales de la sémiologie
graphique. Reportez-vous à ces règles (Aide ArcGis /cours…) pour connaître les différents types
d’analyse et/ou méthode de classification des données (Jenks, écart-type…).
Par un clic droit de la couche, sélectionnez l’onglet Symbology de Layer properties. Dans la
partie Show (Afficher) à gauche de la boite, sélectionnez l’analyse thématique la plus appropriée
à l’affichage de vos données. Reportez-vous à l’aide et aux règles de la sémiologie graphique
pour adapter votre analyse.
Exemple : Pour afficher un dégradé de couleur pour la superficie d’une couche de polygones :
Dans la partie Show (Afficher) de l’onglet symbology, choisissez quantities puis les couleurs
graduées (graduated color).
Dans la partie Fields (champ), au centre de la boite de dialogue, choisissez ‘Superficie’ dans le
menu déroulant. Vous pouvez changer les couleurs des plages en double-cliquant dessus ainsi
que le nombre de classe et le mode de calcul des classes puis Ok.
Remarque : Les couches sont enregistrées en fichier de forme / shapefile (*.shp). Il est possible
de sauvegarder les symbologies produites sous forme de fichier de couche (*.lyr). Ce fichier est
lié au shapefile d’origine. Pour enregistrer un fichier de couche (*.lyr), faites un clic droit sur le
nom de la couche désirée ou (fichier de forme *.shp) puis choisissez enregistrez comme fichier
de couche. Les fichiers *.lyr sont l’équivalent d’une légende ; pour l’appliquer à d’autres couches,
cliquez sur le bouton Import (importer) de l’onglet Symbology.
3. Etiquetage des entité s
Double-cliquez sur le nom de la couche et choisissez l’onglet Labels (Etiquette). Assurez-vous
que l’étiquetage des entités dans cette couche est active (label features in this layer) et que le
champ de l’étiquette (label field) est bien celui qui contient les noms que vous voulez voir
afficher. Cliquez sur l’option de placement des étiquettes (placement properties) pour choisir
les caractéristiques de l’étiquetage.
Remarque : Pour étiqueter une seule entité à la fois, vous pouvez utiliser l’outil étiquette (label)
de la barre d’outil dessin. Vous pouvez afficher l'outil dessin par le menu Customize > Toolbars >
Draw
Pour modifier le placement des étiquettes, faites un clic droit sur le nom de la couche
préalablement étiquetée et choisissez convertir les étiquettes en annotations (Convert labels
to annotation). Dans la boite de dialogue qui apparaît, choisissez stocker les annotations >
dans la carte (Store Annotation > in the map) et cliquez sur convert (Convertir). Les étiquettes
sont alors converties en textes simples modifiables et déplaçables…
4. Mise en page cartographique et habillage de la carte
La mise en page est l’étape finale du travail. Elle consiste à mettre tous les éléments
indispensables à une carte. La carte doit contenir impérativement : une légende, un titre,
l’orientation, l’échelle, les sources, le nom et la date de réalisation. Les logos et mentions légales
ne sont pas superflus ainsi qu’un texte explicatif pour éviter toute mauvaise interprétation de la
carte produite.
Si nécessaire changez le nom de vos couches en double-cliquant sur chacune d’elles pour ouvrir
les propriétés de la couche sous l’onglet général. Vous pouvez changer les couleurs et les
symboles de tous les éléments sous l’onglet symbologie.
Choisissez la mise en page (layout) dans le menu View > Layout (affichage > mode mise en
page). Avec un clic droit sur la page, choisissez page and print setup, ou dans le menu fichier >
mise en page. Vous pouvez aussi changer la mise en page de portrait vers paysage
(landscape). Cliquez ensuite sur Ok. Vous pouvez aussi choisir un modèle de mise en page à
Une commande spécifique existe pour créer une légende décrivant toutes les informations
contenues dans la carte. Menu Insert > legend… Pour cela, il faut bien évidemment se trouver
sur l’Affichage > Mode mise en page (View > layout).
La première fenêtre permet de sélectionner les couches qui seront insérées dans la légende et de
faire varier l’ordre d’apparition (organisation). La seconde fenêtre permet de faire varier le titre de
la légende alors que la troisième organise l’aspect général (contour, fond…). L’intérêt de la
quatrième fenêtre est la possibilité de faire apparaître les entités autrement que par défaut (par
exemple un polygone par un rectangle). La dernière fenêtre modifie l’espace entre les éléments
de la légende. Lorsque vous avez terminé, une nouvelle fenêtre Légende apparaît.
Pour gérer les libellés de la légende, reportez-vous aux propriétés de la couche concernée. En
effet sous l’onglet général, vous pouvez modifier le nom de la couche et sous l’onglet symbologie,
vous pouvez gérer les étiquettes de chaque classe.
Les styles de chaque élément de la légende sont à modifier dans les propriétés de la légende
elle-même par un double-clic ou clic droit sur celle-ci.
c) Ajouter du texte : Titre, commentaire, etc.
Pour ajouter du texte cliquez sur puis sur la carte à l’endroit désiré
Vous pouvez par la suite modifier le texte (taille, police, orientation, habillage, etc) en double-
cliquant sur celui-ci.
Tous les outils utilisables sur les objets géographiques dans les fenêtres cartes sont utilisables
dans les objets de la mise en page.
- Vous déplacer sur la page : à partir de la barre spécifique de la mise en page (Layout)
Pour redimensionner un objet, il faut le sélectionner puis faire glisser les “poignées” situées aux
coins du rectangle englobant l’objet.
Pour supprimer un objet, il suffit de le sélectionner puis presser la touche suppr du clavier.
f) Ajouter une carte de situation (un carton)
Pour ajouter une carte de situation (carton) afin de localiser l'espace étudié dans un grand
ensemble. Toujours dans le menu INSERT, cliquez sur Data Frame. Un New Data Frame
apparait alors dans la table des matières et un petit cadre redimensionnable est dessiné dans le
Layout pour accueillir le carton. Faire un clic droit sur le New Data Frame et cliquer sur Add
Data (Ajouter les données). Par exemple pour situer le Lac Fitri dans la carte du Tchad; ajouter
d'abord la carte de Département (ou de Région) du Tchad puis la carte du Lac Fitri, toutes les
deux cartes dans le New Data Frame.
Comme un quadrillage s'applique à un bloc de données particulier, celui-ci se définit dans la boite
de dialogue des propriétés du bloc.
Dans la table des matières, faites un clic droit sur votre couche (Layer) et cliquez sur Properties.
Dans la boite de dialogue Data Frame Properties qui apparait, cliquez sur l'onglet Grids
Cliquez sur New Grid, l'assistant de quadrillage s'ouvre:
La seconde étape de cet assistant consiste à définir le style des lignes et les intervalles (vérifier
que l'option Graticule and Labels est sélectionné, puis cliquez sur Style pour faire apparaitre le
symbol selector qui permet de modifier les épaisseurs et couleur des lignes). Quant aux
intervalles, entrez manuellement vos subdivisions en Degré, Minute, Seconde, aussi bien pour les
parallèles que pour les méridiens. Puis cliquez sur suivant.
La troisième étape consiste à définir le style des divisions principales, secondaires et les
étiquettes. Cliquez sur suivant.
La dernière étape consiste à placer une bordure autour du quadrillage. Cliquez sur Finish.
Le quadrillage que vous venez de définir s'ajoute alors à la liste des grids défini pour le bloc de
données.
Dans la fenêtre Data Frame Properties, cliquez sur Appliquer puis Ok. Le quadrillage que vous
venez de générer s'applique alors à votre carte.
Lorsque la carte est terminée, allez dans le menu fichier pour exporter la carte. Choisissez le
format d’exportation, le nom de la carte et cliquez sur enregistrer.
Remarque : Lorsque vous exécutez cette action, vous imprimez la fenêtre active, donc n’oubliez pas de vous
positionner sur la mise en page, si elle est la fenêtre que vous désirez imprimer.
A partir du menu File > Export Map, vous pouvez ainsi exporter la mise en page (ou l’étendue
de la fenêtre si vous êtes en mode Affichage > Mode donnée (View)) vers une image.
La boite de dialogue représenté ci-dessus propose les différents formats d’images exportables.
D’une manière général, il est préférable d’exporter en PNG lorsque votre carte ne contient que
de vecteurs et en JPG lorsqu’il y a des images ou des rasters sur votre carte.
Quoiqu’il en soit, faites plusieurs essais pour obtenir une image à la fois légère en taille et de
qualité suffisante pour l’utilisation ultérieure que vous voulez en faire.
Exemple : La qualité de l’image doit être plus importante pour une image qui doit être projetée
en présentation (PowerPoint) que pour une image insérée dans le texte d’un rapport d’étude
(Word).
F. Références bibliographiques
1. BGB /Méridien : Formation ArcGis des agents DRED et DGAT / DLR (Burkina Faso) ;
juillet 2008
3. GUERREIRO Fabien : Fiches d’aide à ArcGis 9.X Desktop, version janvier 2009