SIEGMA NUMÉRO 3

ACTUALITÉS DISCORD:
Par Vorherrschaft

Chers adhérents de S.I.E.G.M.A, je suis très

content de vous revoir pour cette troisième
édition de notre journal, et j'espère qu'il vous
satisfera au plus haut point, n'hésitez surtout
pas à en faire la critique sur le serveur.
Je vous souhaite à tous une excellente lecture.

Message de la rédaction, par Justine

Bonjour à tous. C'est avec plaisir que nous vous

proposons ce nouveau numéro de Siegnews. Sur
RUBRIQUE
le précédent numéro, une coquille s'est glissée à
Edition Politique et
la page 3 : Henry de Lesquen est président du
Survivalisme
Parti National Libéral (PNL). Je rappelle que nous
recrutons toujours de nouveaux rédacteurs. Si
La convention citoyenne sur le climat ou
cela vous intéresse, vous pouvez me contacter l’illustration de l’écolo-pastèque par Justine
ou contacter Vorherrshaft. Je gère aussi le club Les bases d'un itinéraire de randonnée et d'un
campement par IvanSirko
de lecture de Siegma. Nous lisons actuellement
"Combat pour Berlin" de Joseph Goebbels. Vous
pouvez demander le pass si cela vous intéresse.
LA CONVENTION CITOYENNE SUR
LE CLIMAT OU L’ILLUSTRATION
DE L’ÉCOLO-PASTÈQUE
Qu’est-ce qu’on appelle «  écolo-
pastèque » ? Une pastèque est verte et
rouge à l’intérieur, comme le sont ces
écolos  : «  verts  » est leur couleur de
parti mais ils sont en réalité des
rouges déguisés. Leur lutte des
classes, si chère à leurs yeux, s’est
imprégnée de l’écologie pour la
rendre plus acceptable  : les gentils
prolétaires contre les vilains
capitalistes pollueurs. Mais taper sur
les «  bourgeois  » ne suffisant pas, il
faut aussi taper sur le peuple et en
particulier sur les classes moyennes
qui ne bénéficient pas des aides de
l’Etat pour compenser ce qu’elles
perdent au nom de la justice sociale.
La convention citoyenne sur le climat
est une tentative foireuse d’apporter
un nouveau souffle à la démocratie
par M. Macron. Cent cinquante
citoyens français ont été tirés au sort
pour mettre en place des propositions
face à la fameuse crise climatique.
Pas de chance, ils ont tiré au sort des
bolcheviques, ce qui est cocasse pour
une initiative qui se veut
démocratique. Mais cela n’est pas
étonnant au vu des objectifs : réduire
d’au moins 40% l’émission de gaz à
effet de serre pour 2030 et à plus long
terme, la neutralité carbone pour
2050.

Les propositions s’articulent autour de

cinq thématiques : consommer ;
produire et travailler ; se déplacer ; se
loger ; se nourrir. Nous allons les
analyser rapidement afin de présenter
l’absurdité de cette peste rouge. Je
vous renvoie au site internet de la
convention et au rapport complet si
vous voulez les détails des mesures. Il
est long mais il s’agit quand même du
nouveau manifeste du parti
communiste.
I. Thématique 1 - Consommer

L’idée défendue par les acrobates du

saut en hélicoptère est qu’il faut
consommer moins et des produits
générant moins d’effet de serre.
Jusque-là, tout va bien mais
évidemment, il n’est aucunement fait
mention du localisme. Laissons cela
aux fachos et contentons-nous
d’éduquer la population en lui disant
que sa manière de consommer est
mauvaise et mettons des étiquettes
sur les produits indiquant un score
carbone. L’idée en soi n’est pas
mauvaise mais franchement, était-il
nécessaire de faire appel à cent
cinquante citoyens pour poser une
étiquette ? Une autre bonne idée est
le retour des consignes en verre et le
développement des produits en vrac
dans les commerces. C’est dommage
de vouloir à tout prix l’imposer mais il
faut reconnaître que l’initiative est
bonne.
 Il n’y a pas besoin d’être « de gauche »
pour comprendre que la
surconsommation est un fléau sans
pour autant renoncer au capitalisme :
les consommateurs doivent être
responsabilités et faire des achats en
ce sens. Les entreprises cherchent
juste le profit donc s’il faut passer par
d’autres modes de production, elles
seront bien obligées de le faire. Il est
même étonnant que l’écologie soit
La secte extinction
laissée à ce qu’on appelle la gauche
rebellion est très active
en France mais aussi alors qu’il y a tout à gagner à s’en
dans bien d'autres pays. emparer à droite. L’individu
Ils sont connus pour leurs responsable et fier de sa nation que
opérations coup de
poing. nous voulons ne peut-il pas aussi
consommer raisonnablement ? C’est
même seulement lui qui peut le faire
et non pas l’homme soja émasculé qui
a besoin d’un discours minable d’une
gamine autiste pour agir.
II. Thématique 2 – Produire et
travailler

Nous avons là aussi de bonnes idées

notamment quant à la durée de vie
des produits : lutter contre
l’obsolescence programmée, aider à la
réparation des produits vendus en
France (disponibilité des pièces
notamment) et développement du
recyclage en particulier du plastique
qui sera systématique dès 2023.
Evidemment, tout ne repose pas sur le
consommateur. Si les produits ont
une durée de vie limitée, forcément
l’impact sur l’environnement sera plus
fort, mais surtout comment peut-on
responsabiliser les individus dans un
système où l’obsolescence
programmée est partout ? Limiter les
plastiques à usage unique est aussi
une bonne chose : si le vrac se
développe, cela permettra d’utiliser
ses propres sacs ou sachets
facilement.
Là où l’odeur du goulag commence à
se faire sentir, c’est au niveau du
financement de la transition
écologique :
«  Les entreprises qui distribuent
plus de 10 millions d'euros de
dividendes annuels, participeront
chaque année à l'effort de
financement à la hauteur de 4 % et
celles dont les dividendes sont
inférieurs ou égaux à 10 millions
d'euros participeront à hauteur de
2 % »

Forcément ça manquait de rouge

jusque-là mais nous voilà servis. Les
entreprises devront aider au
financement d’on ne sait quoi.
Apparemment, les entreprises ne sont
pas assez taxées en France et il faut
en remettre une couche. C’est surtout
que les efforts à faire sont déjà assez
importants comme ça  puisqu’il s’agit
de changer nos habitudes de
consommation et de production.
III. Thématique 3 - Se déplacer

C’est là que nous allons commencer à

grincer des dents. Depuis quelques
temps déjà nous assistons à un
acharnement de la part des
écologistes sur les voitures et en
particulier les voitures diesel, jugées
trop polluantes. Récemment, nous
avons assisté à la fin des 90km/h sur
les routes nationales pour passer à
80km/h comme les conducteurs en
période probatoire.
Les propositions ici vont de
l’incitation au covoiturage ou au
développement des pistes cyclables
dans les villes au contrôle des
véhicules qui ont le droit ou non de
circuler en ville.
Cette méthode est très contestable  :
n’importe qui souhaiterait une voiture
neuve et moins polluante, ne serait-ce
que pour le porte-monnaie. C’est juste
que cela coûte cher surtout s’il faut
un plus gros véhicule ou s’il en faut
plusieurs pour certaines familles. C’est
une manière d’éloigner les plus
pauvres des villes et renforcer le
clivage entre le monde citadin et le
monde rural. Une autre perle est la
limitation à 110 km/h sur les
autoroutes. Ça vaut le coup de payer
au péage, n’est-ce pas  ? D’autres
propositions visent à encadrer le
transport de marchandises  :
privilégier le transport ferroviaire et
maritime au transport routier. Ça fera
moins de polonais alcoolisés sur les
routes et autoroutes. Le transport
aérien est aussi très ciblé  par les
propositions, jugé très polluant. Les
bobos écolos ne pourront plus aller en
vacances aussi facilement.
IV. Thématique 4 – Se loger

Cette partie n’est pas la plus

intéressante : des logements et des
bâtiments moins consommateurs
d’énergie, aider à la rénovation,
protéger les espaces naturels, etc. De
bonnes idées tant qu’il ne s’agit pas
d’imposer de façon brutale ces
changements aux personnes
concernées comme l’obligation de
remplacer les chaudières au fioul
jugées trop polluantes pour les
logements rénovés et neufs. La
dictature écolo se loge tranquillement
dans nos foyers comme il fallait s'y
attendre.
V. Thématique 5 – Se nourrir

Les objectifs ici sont tournés vers une

façon de se nourrir plus propre
écologiquement et vers des produits
de meilleure qualité. Le localisme
apparaît ici au niveau des
commandes publiques  : «  Utiliser le
levier de la commande publique pour
valoriser les produits issus de circuits
courts, locaux et à faible coût
environnemental, sous la forme d’un «
guide d’achat » à adresser aux
acheteurs publics.  » Espérons que ce
guide d’achat reste un simple guide.
Hélas, les recommandations en
termes de qualité sont poussées vers
le bio donc elles laissent de côté
l’agriculture qui se veut responsable
sans être labellisée bio. Une autre
proposition concerne les menus dans
les cantines  : inciter les services de
cantine à menu unique, à partir de
2022, à proposer des menus
végétariens. Une bonne nouvelle est
qu’au moins le menu ne sera pas
halal. Mais c’est toute l’agriculture qui
va subir la planification bolchevique
avec l’interdiction de nombreux
pesticides et l’obligation de se
conformer à de nouvelles normes
absurdes. En gros, des bobos écolos
qui n’ont jamais vu une vache
ordonnent aux agriculteurs ce qu’ils
doivent faire.
Les consommateurs en auront aussi
pour leur compte avec la taxation des
produits jugés trop polluants, si ceux-
ci ne voient pas interdire à
l’importation. Pour la fin, nous allons
parler de la crème de cette
convention : le crime d'écocide.
 «  Constitue un crime d’écocide,
toute action ayant causé un
dommage écologique grave en
participant au dépassement
manifeste et non négligeable des
limites planétaires, commise en
connaissance des conséquences
qui allaient en résulter et qui ne
pouvaient être ignorées. »

Et pour aller encore plus loin, nous

aurons droit au délit d’imprudence.

«  Constitue un délit d’imprudence

caractérisé d’écocide, toute
violation d’une obligation de
prudence ou de sécurité prévue
par la loi ou un règlement ayant
causé un dommage écologique
grave en participant au
dépassement manifeste et non
négligeable des limites
planétaires. »
En plus de cela, les chefs des goulags
demandent la création d’une haute
autorité des limites planétaires. Elle
sera indépendante de l’Etat, tout en
étant constituée de vermines rouges
mettant le nez un peu partout, et le
conseillera en matière
d’environnement. Voilà le peu de
souveraineté qu’il nous reste offert en
pâture aux écolos pastèques.
Ce qu'il faut retenir :

La Convention citoyenne pour le

climat est un leurre de plus pour nous
faire croire que le gouvernement
écoute son peuple. Les différentes
propositions émises partent d'une
bonne intention mais dans les mains
du spectre le plus à gauche de la
gauche, cela donne un pavé
liberticide qui aurait pu être écrit par
n'importe quel parti nostalgique de
l'URSS. Et encore, notons qu'une
proposition portait sur le passage de
la semaine de travail à 28 heures pour
que tout le monde puisse avoir accès
au travail. En théorie cela permettrait
moins de chômage mais un salaire
moindre. Mais nous pourrons écrire un
article entier au sujet de ce mythe si
cher à la gauche. Heureusement,
cette proposition n'est pas passée au
vote et n'a pas été retenue dans le
rapport remis au gouvernement.
 LES BASES D'UN ITINÉRAIRE DE
RANDONNÉE ET D'UN
CAMPEMENT DE FORTUNE
Suite à l’article précédent sur la
composition d’un sac de survie, dans
cet article j’indique comment bien
suivre un itinéraire et je donne des
conseils afin d’établir un campement.
 
L'ITINERAIRE:
La préparation de l’itinéraire :

Lorsque l’on prépare une randonnée

Thym
assez longue, il est très important de
préparer son itinéraire un peu à
l’avance et d’en connaître les grandes
lignes. Je vous conseille de protéger
votre carte avec un porte
carte. Ensuite, je vous invite à placer 2
points, l’arrivée et le départ.  Repérez
tous les dénivelés en suivant les
courbes de niveau. Repérez aussi les
calvaires , les points particuliers , les
églises ...
 tout ce qui pourrait vous servir de
point de repère durant la
marche.    Puis faîtes un itinéraire du
point A au point B, vous pouvez
fragmenter cet itinéraire en plusieurs
petits points à atteindre, chaque
point de préférence étant un point de
Houx
repère.  Privilégiez la facilité d’accès
en choisissant les routes et les
chemins plutôt que les layons ou de
couper sauvagement.  Placez 2 limites ,
Il est interdit de couper une au nord et l’autre au sud. Les
du Houx, du Gui, du limites que vous placez doivent être
Sapin et du Thym en
des limites naturelles, c’est à dire la
France.
lisière d’une forêt, une grosse route
départementale, un carrefour etc

La carte :

Tout d’abord, il est toujours conseillé

d’avoir une carte du lieu où l’on se
rend si la randonnée est étalée sur
plusieurs jours.  Il y a plusieurs
Gui
échelles de cartes, l’idéal c’est d’avoir
2 cartes avec 2 échelles différentes,
l’une au détail : 1cm = 25 000m et une
autre un peu plus régionale : 1 cm =
250 000m . Et bien sûr une carte
IGN.  Je vous conseille de protéger
votre carte avec un porte
carte.  Durant la randonnée, orientez
la carte dans le sens de la marche.
 Je n’entre pas dans les détails un peu
plus complexes de la topographie tels
que les reports de points, sachez
simplement que pour vous orienter
vous devez faire coïncider le nord de
votre carte avec celui de la boussole.
Un azimut est un angle Et c’est très simple.
entre la direction d'un
objet et une direction de
La Boussole :
référence (le nord). Est =
90°, Ouest = 270°. La
mesure est plus précise Avant toute chose, je rappelle qu’il y a
en Millièmes mais n'est 3 Nords, le Nord de la carte, le Nord
pas obligatoire.
de la boussole et le Nord polaire dit
Magnétique. Votre boussole ne
pointera jamais vers le véritable nord
magnétique, elle pointera toujours un
peu plus à l’Est. Mais rassurez-vous, ça
ne change pas grand-chose à votre
échelle, cependant vous pouvez
toujours le calculer c’est ce qu’on
appelle la Déclinaison Magnétique .

Très honnêtement, la boussole vous

sert la plupart du temps à faire ce
qu’on appelle de “l’Azimut sauvage”
Si vous souhaitez couper
sauvagement à travers (prendre une direction hors-piste à la
les bois, prenez l'azimut boussole ) ou à vous orienter
du point à atteindre correctement si jamais vous êtes
depuis votre position et
progressez de points de
perdus. Mais la plupart du temps vous
repères en points de n’aurez pas besoin de la boussole. 
repères (arbres, rochers
etc)
 Prenez votre carte, faites coïncider le
nord de la carte et celui de la
boussole, ensuite déduisez
naturellement à partir de votre
position l’itinéraire que vous
souhaitez prendre. Ainsi vous saurez
quelle direction prendre. Pour une
méthode plus précise, je vous invite à
utiliser la boussole Equerre conseillée
dans l’article précédent car elle a un
cadran rotatif. La méthode est
sensiblement la même, vous orientez
la boussole dans le sens de l’itinéraire,
puis vous faîtes tourner le cadran pour
le faire coïncider avec le nord de la
carte. Ainsi vous aurez la direction
exacte à suivre.

Durant la Marche :

Il est souvent conseillé de calculer son

double-pas. Un double-pas
Exemple d'un calvaire. correspond plus ou moins à 1 mètre,
l’idéal étant de le calculer sur 100
mètres et de le faire avec un sac sur le
dos. Vous en déduisez un double-pas
qui vous servira à estimer toutes vos
distances durant vos marches.
Veillez à ne pas vous arrêter trop
longtemps durant une marche car
vous allez vous refroidir, et ce sera
d’autant plus compliqué à repartir.
 Ne portez jamais de polaire ou de
vêtements trop chauds sous prétexte
que vous avez froids. Vous vous
réchaufferez bien assez vite, en
revanche conservez dans une de vos
poches un Poncho en cas
d’intempéries.
Boire des petites gorgées
permet d’économiser
l’eau et de mieux Campement :
s’hydrater.

Choix de la zone :

Choisissez un terrain plat à une

dizaine de mètres en lisière de forêt.
Commencez par inspecter le sol,
vérifiez qu’il n’y a aucune roche, ni
branche morte au sol. Vérifiez que
vous disposez de 2 arbres ou arbustes
(ou plus) espacés de quelques mètres
l’un de l’autre. Suivant le climat et la
végétation, après avoir bien ratissé le
sol vous pouvez disposer de branches
de sapins sur votre emplacement pour
isoler du froid mais sachez que la
cueillette de sapin est interdite en
France. Pour l’emplacement de votre
Mettez une paire de nid, vous devez d’abord confectionner
chaussettes de rechange
le toit : Vous devez vous adapter
dans votre poche, de
cette manière en
suivant le terrain et le nombre de
arrivant, vous mettez vos personnes à loger dessous. Accrochez
pieds au frais. un tendeur à un coin de la bâche (ou
au milieu de la longueur si votre
bâche dispose des trous conséquents)
 et attachez celui-ci à un arbre à votre
mi-hauteur environ. Faîtes de même
pour le coin opposé. Vous pouvez
tendre les 2 autres coins de la bâche
en accrochant un tendeur à une
sardine au sol mais veillez à ce que la
sardine soit bien enfoncée sinon
mettez votre sac dessus. Ensuite
disposez la bâche au sol, vous pouvez
la plier en 2 pour plus d’isolation.
Si vous avez une Mettez ensuite votre Tapis de sol ou
ampoule au pied, ne la gonflant. Déroulez votre sur-sac et
percez pas, au contraire
mettez le sac de couchage à
laissez-la tranquille pour
la marche, vous la l’intérieur. Si vous disposez d’un
percerez chez vous. Poncho-liner, disposez-le à l’intérieur
de votre duvet ou bien entre votre sur
sac et votre duvet.

Une fois que vous avez confectionné

votre abris pour dormir, la priorité n°2
est de se CHANGER . Il est impératif
de ne pas dormir avec des vêtements
trempés par la sueur, même si la
fatigue et le froid vous commandent
de rester ainsi, faîtes-vous violence et
changez-vous. C’est IMPERATIF .
Ne dormez jamais Lorsque vous partez de la zone,
habillé ! Veillez toujours à ratissez bien celle-ci de manière à ne
vous déshabiller dans
rien oublier. Rangez correctement vos
vos duvets, sinon vous
aurez froid le matin au affaires, c’est toujours agréable d’avoir
réveil et vous pourrez un sac correctement rangé. Ne laissez
difficilement vous pas vos affaires à l’extérieur de votre
réchauffer.
sac.
 Mettez vos téléphones, batteries, et
cie dans vos duvets. Ne laissez pas les
sacs ouverts la nuit.

Nourriture :

Je l’ai précisé dans l’article précédent,

Si vous voyagez à
plusieurs, rangez vos
affaires de la même
manière. C’est à dire par
ordre de priorité et
d’accès comme spécifié
dans l’article précédent.
et je le reprécise ici, reprenez vos
déchets avec vous. Mettez-les à l’écart
de vos affaires, de cette façon vous
éviterez les insectes ou prédateurs
nocturnes.
Rangement :

Il est impératif de tout ranger une fois

que vous n’en n’avez plus besoin.
Vivre dans un abri dans la sorte peut
vite devenir contraignant si vos
affaires traînent partout. Dans les plis
du duvet, de la bâche, entre vos
affaires de rechange, vous pouvez
perdre du temps à chercher vos
affaires.

Un exemple d'abris de
fortune valable pour 1
nuit.