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Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars
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Ebook185 pages2 hours

Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars

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« Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars » est un pamphlet se présentant comme le texte d'une lettre qu'un homme d'affaires juif, Benjamin H. Freedman, a écrit à un médecin "converso", David Goldstein, en 1954. Cette lettre défend l'idée selon laquelle le christianisme est une réalité du judaïsme. Le texte expose la notion selon laquelle la plupart des individus désormais identifiés comme juifs, ne sont pas le peuple sémitique israélite de la Bible, mais les descendants des Khazars, un peuple turcophone d'Asie centrale converti en masse au judaïsme au 8ème siècle. Freedman ne se réfère pas aux Juifs, mais à des « soi-disant » Juifs.

Né dans une famille juive ashkénaze, Benjamin H. Freedman se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme. Il fut l'assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d'autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.

En 1946, il fonda la « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ».

LanguageFrançais
Release dateMay 14, 2019
ISBN9780463417706
Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars

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    Les faits sont les faits, la vérité sur les Khazars - Benjamin H. Freedman

    Benjamin H. Freedman

    Les faits sont les faits: la vérité sur les Khazars

    Suivi de son discours à l’hôtel Willard en 1961

    First published by Editions Dedicaces 2019

    Copyright © 2019 by Benjamin H. Freedman

    Publié par les Éditions Dédicaces.

    Ce livre fut professionnellement composé sur Reedsy.

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    Publisher Logo

    « Suis-je devenu votre ennemi en vous disant la vérité? »

    Épître aux Galates 4 :16

    Dedicace

    A tous les hommes de bonne volonté

    de toutes les origines raciales et

    de toute foi religieuse

    La connaissance est un recueil de faits.

    La sagesse est l’utilisation de la connaissance.

    Sans faits, il n’y a pas de connaissance.

    Sans connaissance, il n’y a pas de sagesse.

    Les faits empêchent ce que rien ne peut guérir.

    Les faits sont le meilleur mécanisme de défense de l’homme.

    Sans eux, les hommes tâtonnent, faiblissent et échouent.

    Sans eux, les nations déclinent et tombent.

    La sagesse gagne les guerres avant qu’elles ne commencent.

    La connaissance annule les hostilités nationales.

    La sagesse évite les antipathies raciales.

    La connaissance efface les animosités religieuses.

    L’émancipation de la bigoterie préfigure

    l’intolérance, tout prendre et ne rien donner.

    La paix récompense le respect réciproque.

    À tous les hommes de bonne volonté, Pax Vobiscum!

    — Benjamin H. Freedman

    Les faits historiques révélés ici pour la première fois prouvent de manière incontestable que leur suppression continue aura des effets défavorables sur la sécurité de la nation, la paix du monde, le bien-être de l’humanité et le progrès de la civilisation.

    « À l’heure actuelle, nous ne connaissons aucune nation sous le ciel où les chrétiens ne vivent pas. Car [on trouve même des chrétiens] dans les pays de Gog et Magog - qui sont une race hunnique et s’appellent Gazari (Khazars) [ils] sont circoncis et observent toutes les lois du judaïsme. Les Bulgares, cependant, qui appartiennent aux sept mêmes tribus [comme les Khazars], sont en train de se faire baptiser [dans le christianisme]. »

    — Christian de Stavelot

    Expositio In Matthaeum Evangelistam

    http://bit.ly/Matthaeum (864 apr. J.-C.)

    À propos de l’auteur

    Benjamin Harrison Freedman est un homme d’affaires et pamphlétaire américain du XXe siècle (New York, 1890 - 1984). Né dans une famille juive ashkénaze, il se convertit au christianisme et devient un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme.

    Freedman fut l’assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assurait la liaison entre Rolla Wells, futur gouverneur de la Réserve fédérale à Saint-Louis et Henry Morgenthau senior. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes (un groupe de 117 personnes menées par Bernard Baruch) lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d’autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.

    Freedman était, de 1925 à 1937, partenaire de Samuel D. Leidesdorf dans les laboratoires John H. Woodbury, institut de dermatologie et société dérivée de la vieille Woodbury Soap Company. Benjamin H Freedman figurait sur le papier à en-tête de l’Institute for Arab American Affairs et, vers 1946, avec son épouse, RM Schoendorf (Rose M. Schoendorf Freedman), il parrainait une série de publicités sous le nom de « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ». En 1946, il poursuivit en justice le Comité juif américain pour diffamation et l’affaire fut rejetée en moins d’un mois.

    Freedman apporte une analyse contestée sur les relations entre le sionisme, le judaïsme et les puissances occidentales de son époque. Ainsi son témoignage historique relève un lobbying concerté des milieux sionistes internationaux durant la Première Guerre mondiale en vue de la création d’un futur état juif en Palestine par le moyen d’une manipulation des alliances et des oppositions diplomatiques entre pays. Des sionistes seraient venus trouver le gouvernement de Grande-Bretagne en 1916, à un moment où l’Allemagne triomphait sur tous les fronts et où les Britanniques envisageaient de signer l’armistice que leur proposa le Kaiser, en leur proposant de promettre la Palestine (alors sous domination ottomane et où la Grande-Bretagne n’avait aucun droit) comme un foyer de peuplement juif en échange d’une entrée en guerre des États-Unis aux côtés de la Triple-Entente.

    Selon son discours de 1961 sur le sionisme, les États-Unis à cette époque étaient pro-allemands mais les relais sionistes dans la presse américaine firent leur possible pour retourner l’opinion publique et la pousser à la guerre. Après l’entrée en guerre des États-Unis contre l’Allemagne, des opérations militaires réussies par la Grande-Bretagne en Palestine contre l’armée ottomane permirent que la promesse britannique prenne forme dans la Déclaration Balfour de 1917. D’un point de vue allemand, ces affirmations renforceraient la théorie du « coup de poignard dans le dos » car l’Allemagne de ce fait aurait ainsi été trahie par sa communauté juive. Son témoignage rejoint celui d’Henry Ford sur la volonté des milieux sionistes d’instrumentaliser le conflit à leur bénéfice.

    Il fit part de ses théories et témoignages en particulier dans la revue Common Sense puis dès 1946 dans ses propres publications.

    Freedman prétendit que les juifs ashkénazes descendaient des anciens Khazars, royaume caucasien de l’époque du Moyen Âge, convertis en masse au judaïsme à la suite de leur roi, en l’an 838. Après la destruction du royaume khazar, les nombreux « Juifs » de Russie, et de toute l’Europe orientale, n’étaient plus connus comme « des Khazars », mais comme « les populations yiddish/ashkénaze » de tous ces pays. Les implications de ce postulat sont audacieuses : la communauté ashkénaze représentant la majorité de la communauté juive actuelle, elle infirmerait les mythes fondateurs du sionisme du « retour à Sion » étant donné qu’il n’y aurait pas de lien du sang avec les anciens Hébreux et donc dénierait tout droit ou prétention à l’établissement de ceux-ci en Palestine et discréditerait et décrédibiliserait l’état d’Israël actuel. L’utilisation du terme « sémite » ne pourrait donc pas s’appliquer à la communauté juive dans son ensemble mais uniquement aux sépharades, tout comme son corollaire « antisémite », de plus cette théorie vide de signification tout un pan de l’idéologie antisémite raciste en général et du national-socialisme en particulier.

    Benjamin Harrison Freedman recevant le Service Award of the Anti-Communist Federation of Polish Freedom Fighters, en 1972.

    Cette prise de position intervient après la publication en 1941 du professeur Abraham N. Poliak, titulaire de la chaire d’histoire à l’université de Tel-Aviv, intitulée La conversion des Khazars au judaïsme, qui fut accueillie avec beaucoup d’hostilité par la communauté ashkénaze, son essai démolissant la « tradition sacrée » faisant remonter tous les juifs modernes aux douze tribus bibliques d’Israël. Trente ans plus tard, son nom fut supprimé de l’Encyclopaedia Judaica pour l’édition 1971-1972, preuve de l’étendue de la polémique à ce sujet. Freedman développa sa thèse dans une lettre ouverte adressée au Dr David Goldstein en 1954 qu’il fit amplement circuler. Pour Freedman, plus de 90 % des juifs actuels descendent des Khazars, en tenant compte des mariages entre les communautés ashkénazes et sépharades. Ses thèses seront reprises plus tard par Arthur Koestler.

    Ce postulat, ainsi que ses vues critiques sur le Talmud, que l’on pouvait lire en langue anglaise dès 1935 suite à une traduction intégrale officielle (agréée par le rabbinat) et annotée, jouèrent un rôle décisif dans sa conversion au christianisme. Freedman interpréta aussi négativement certaines traditions juives comme le Kol Nidre, durant la célébration de Yom Kippour, qui, selon son interprétation, absout les juifs pratiquants de tous leurs serments faits durant l’année écoulée, comme une porte ouverte à la déloyauté. Cette nouvelle religion lui donna une sensibilité exacerbée des attaques contre le christianisme qu’il trouva dans le Talmud ou qu’il considéra comme tel et qu’il répertorie et cite dans ses pamphlets dans ses écrits sur la critique du Talmud.

    Préface

    Benjamin Freedman fut élevé comme un « juif non pratiquant ». Il vivait à New York, et devint un homme d’affaire très efficace, et très riche. À une certaine période de sa vie, il était le principal actionnaire de l’immense Compagnie des Savons Woodbury.

    Il fut témoin, et même un peu acteur, des manipulations qui permirent aux Talmudistes de dominer la politique et les médias des États-Unis. Dans ses différentes fonctions au service des intérêts sionistes, il eut l’occasion d’avoir un grand nombre d’entretiens personnels et approfondis avec sept présidents des États-Unis.

    À la fin de la seconde Guerre Mondiale, il fut écœuré par ce à quoi il avait assisté, et il devint dès lors un « transfuge du sionisme ». Il décida de révéler tout ce qu’il pourrait. Il rompit avec le judaïsme, et se convertit au catholicisme. En 1946, il fonda la Ligue pour la Paix et la Justice en Palestine ; puis passa le reste de sa vie, et une grande partie de sa fortune considérable, à lutter contre la tyrannie sioniste qui enserrait les États-Unis. Il consacra à cette activité plus de 2 millions et demi de dollars, tirés de son portefeuille personnel.

    L’ironie du sort voulut que ce transfuge fut justement l’une des personnes qui devait avoir le plus de choses à raconter ; Benjamin Freedman avait appartenu au plus haut niveau de l’organisation juive. Il a connu personnellement : Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy. Comme on l’a dit, Monsieur Freedman était très riche, et disposait d’un carnet d’adresses exceptionnel, ce sont sans doute les raisons qui l’ont maintenu en vie.

    Le magazine Commentary, publié par le Comité Israélite Américain, l’appelle régulièrement : « le Juif antisémite ».

    Arnold Forster, un haut fonctionnaire de la Ligue Anti-Diffamation du B’nai B’rith (A.D.L. : une sorte de CIA privée, travaillant pour le compte d’Israël, et qui épie les faits et gestes des patriotes américains), a défini Benjamin Freedman comme un « riche apostat juif, mu par la haine de soi » ; car lorsqu’un Juif non- Talmudiste a une critique à faire sur les Juifs Talmudistes, il est inévitablement mu par la haine de soi… il n’y a pas, il ne peut pas y avoir d’autre explication possible ! Mais Benjamin Freedman va nous montrer que tout repose sur une définition correcte du mot « Juif ».

    — Ferdinand

    Introduction

    Dr David Goldstein LL.D. 960 Park Avenue New York City. SPECIAL DELIVERY - Astor Post Office Station Boston, Massachusetts

    Le 10 Octobre 1954

    Mon cher Docteur Goldstein,

    Vos œuvres exceptionnelles en tant que converti au catholicisme m’ont impressionné à un point tel que je dois vous avouer ne pas connaître d’exemple analogue au vôtre dans toute l’histoire moderne. Votre dévotion à la doctrine et aux dogmes de l’Église catholique défie toutes mes tentatives de description par des mots. Oui, les mots me manquent pour cela.

    En tant que vigoureux prédicateur de la foi chrétienne, si constant et si déterminé dans la défense des principes, des programmes, et de la politique de l’Église catholique romaine, votre détermination sans faille a toujours été une véritable source d’inspiration pour ce nombre incalculable de personnes qui cherchent si courageusement à s’engager dans vos traces.

    En considération de votre illustre position, je vous avoue qu’il m’a fallu un grand courage pour oser vous écrire cette si longue lettre. Je prie donc pour que vous lisiez mes paroles en gardant à l’esprit le verset 16 du chapitre 4 de l’Épître aux Galates : « Suis-je donc devenu votre ennemi en vous disant la vérité ? », et j’espère que vous me ferez l’honneur de méditer sur le sens profond de ce verset, avant de réagir à tout ce que je vais vous dire.

    C’est véritablement pour moi une source de grand plaisir et de joie authentique de pouvoir vous saluer enfin, malgré tous les inconvénients de la correspondance. J’éprouve une déception profonde de devoir faire votre connaissance de cette manière. Ma joie actuelle serait bien plus intense si j’avais eu le privilège de pouvoir vous saluer en personne pour l’occasion de notre première rencontre.

    Notre excellent ami commun essayait depuis longtemps d’arranger entre vous et moi une première entrevue. J’espère toujours que nous en aurons l’opportunité. J’attends avec plaisir de vivre un tel jour dans un futur qui ne soit pas trop éloigné, et à un moment qui vous conviendra parfaitement.

    Vous découvrirez dans cette lettre un grand nombre de raisons qui justifieront pleinement l’urgence avec laquelle j’ai dû mettre fin à toute temporisation pour entrer de plein pied en contact avec vous. Vous découvrirez que cette urgence ne fait que refléter la gravité de la crise qui met aujourd’hui en péril la permanence de la foi chrétienne dans cette lutte ancestrale qui fit d’elle la force spirituelle et sociale la plus efficace pour le développement du bien être de toute l’humanité, dans une mission divine qui n’avait de considération ni pour une race particulière, ni pour une religion particulière, ni pour une nationalité particulière.

    Votre dernier article est paru au mois de septembre dans le Bulletin du G.C.P.I., la publication officielle de cette organisation qui s’est baptisé : La Grande Confraternité de ceux qui Prient pour la paix et la bienveillance envers Israël… Le titre de votre article (« Ce que pensent les Juifs aujourd’hui »), et la vocation du G.C.P.I. rappelée sur la première page (« Faire connaître et promouvoir l’apostolat chrétien entrepris parmi Israël »), me poussèrent immédiatement à saisir par les cheveux l’occasion de vous présenter mes commentaires. Je sollicite donc votre indulgence si ma lettre présente les défauts de la spontanéité qui lui a donné naissance.

    Ce fut toutefois avec beaucoup de répugnance que je me suis résigné à vous présenter mes commentaires de façon épistolaire; j’ai longtemps hésité à le faire, mais compte tenu des circonstances, j’ai bien peur de n’avoir dû choisir que la seule et unique solution. Je

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