et de chimie
Plans, commentaires
et quelques présentations
Promotion 2020
2
Table des matières
i
Chapitre 0 TABLE DES MATIÈRES
ii
Chapitre 1
1
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Bonne route !
2
1.1 Référentiels non galiléens
Mohammed Amlieh
Commentaires AM :
— Introduction : j’aurais mis (b) avant (a).
— Il me semble que le titre du paragraphe 2 aurait pu être celui de 2(b),
avec comme sous-paragraphes la description des divers effets inertiels.
Loi fondamentale de la dynamique.
— Je vois mal la différence de contenu entre les paragraphes 2(b) et
3(b).
— Paragraphe 4 : j’aurais commencé par 4(b), dont 4(a) n’est qu’une
conséquence ; il s’agit ici de marée terrestre et non maritime ; 4(c) est
un exemple de synchronisation d’oscillateurs, par effet de marée.
— Un point a été occulté du plan : le premier terme du développement en
série du potentiel dont dérive l’effet de marée est un terme statique ;
ce terme est exactement compensé par l’effet inertiel centrifuge dû à
la rotation de la Terre et de la Lune autour de leur centre de masse.
— Applications possibles : limite de Roche. Lancement de fusées. Com-
ment se change le lagrangien d’un référentiel à l’autre (voir cours de
Mécanique du point).
— En Relativité Générale, tous les repères sont inertiels.
3
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
1.2 Entropies
1. Entropie et deuxième principe de la thermodynamique
(a) Nécessité du deuxième principe
(b) Énoncé du deuxième principe
(c) Identité thermodynamique
(d) Entropies de gaz parfait et de phase condensée
2. Entropie et échanges thermiques
(a) Diagrammes entropiques
(b) Transferts thermiques et calcul d’entropies
(c) Entropie dans les détentes
3. Interprétation statistique de l’entropie
4. Analyse statistique de l’état d’un gaz
5. Probabilité d’un macro-état
6. Troisième principe de la thermodynamique
Abdechafik El Harrak
Commentaires AM :
— Le plan pourrait être plus précis, notamment sur la nécessité : borne
ce que l’on peut attendre d’une machine.
— Il serait intéressant de discuter la mesurabilité de l’entropie ; existe-t-il
des entropimètres ?
— Parmi les applications, on peut en citer aussi des classiques (échauffe-
ment d’un conducteur électrique, équilibre thermique d’une barre, ...)
et des moins standard (trou noir, ...)
— Mentionner l’hypothèse ergodique, ou en tout cas celle de l’égalité en
probabilité des états microscopiques, conduisant au même état ma-
croscopique
— Affirmer l’identité entre l’entropie statistique et celle de de la thermo-
dynamique.
— Discussion possible : peut-on construire une physique en se passant
de la constante de Boltzmann ? Il faudrait pour ce faire remplacer T
par kT (la température se mesurerait en énergie) et S par S/k ; rien
ne serait changé, nulle part.
4
1.3 Diffraction par des structures périodiques
Marouane Fouad
Commentaires AM :
— L’Introduction est trop vague. Par exemple réseaux permanents
(spectromètre) ou induits (effet photoacoustique, par exemple). Mon-
trer la généralité des phénomènes observés.
— Paragraphe 2 : réseaux finis ou infinis ? par transmission ou par ré-
flexion ?
— On peut supprimer 2(a), si les réseaux ont été définis dans l’introduc-
tion, ce que je propose.
— Le paragraphe 3 peut être inclus dans le 2 : l’intensité n’est que le
carré du champ.
— Bonne idée que de présenter une structure permanente et une struc-
ture induite. Autres applications possibles : Filtrage de Bragg (docu-
ment envoyé). Ondes de Bloch dans un cristal (ondes électroniques)
établir que ces ondes subissent une diffusion de Bragg sur une pa-
roi de Brillouin (voir cours) ; plus tard, effets Brillouin ou Raman,
que l’on peut voir aussi comme une diffraction sur un réseau d’ondes
mécaniques. Également l’optique non linéaire (à suivre).
— Paragraphe 6 : préciser !
— La Bibliographie est trop allusive.
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Boubaker Guejar
Commentaires AM :
— L’introduction est abrupte : absorption et émission étaient connus
bien avant la Mécanique quantique, qui est née d’énigmes associées à
ces effets (raies spectrales de l’hydrogène, émission spontanée)
— 1(b) : Il est curieux d’ouvrir sur la MQ (1(a)) et de continuer de la
physique classique. Pourquoi ne pa commencer par montrer les succès
et les limites des modèles classiques puis d’introduire la MQ ?
— 1(b) : Dire que et d’expliquer pourquoi les formules classiques et celles
de la MQ, pour les systèmes, à deux niveaux, coïncident. Voir cours !
— L’intitulé du paragraphe 2(a) est trop vague ; de quel genre de milieu
s’agit-il ? Solide ? liquide ? gazeux ? métallique ? isolant ?
— L’intitulé du paragraphe 2(b) est trop vague.
— Il vaut mieux introduire les coefficients d’Einstein (2(c)) avant de
discuter leurs relations.
6
1.4 Absorption, émissions
— Soit pour Beer-Lambert (4(a)), mais c’est une loi empirique ; il lui
faut un substrat théorique.
— 4(b) : Préciser de quelle application astrophysique il s’agit.
— L’oscillateur bouclé n’est-il pas présent dans le laser ?
— La phrase de conclusion Les phénomènes d’émission et d’absorption
peuvent être mis à profit dans des applications diverses est vraiment
trop passe partout. Il faut quelque chose de meilleure envergure.
— Quelques omissions de taille : nulle part il n’a été question d’antenne ;
nulle part il n’a été question des hypothèses sous jacentes aux modèles ;
par exemple l’approximation dipolaire électrique ; il y en a d’autres.
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Meryam Lassri
Commentaires AM :
— Préciser le contenu de l’introduction et celui de la conclusion.
— J’aurais commencé par le plus fondamental : raies spectrales, décrois-
sance de la capacité thermique avec la température, spin, puis quanton
(interférence de particules).
— J’aurais rapproché l’effet photo électrique de ses applications : effets
photovoltaïques et photoconducteurs ; détection de la lumière.
— L’émission spontanée est un effet quotidien (lumière solaire, diodes
électroluminescentes, ampoules, ...) qui méritait d’être noté.
— J’aurais développé le contenu de Chimie (estimation d’enthalpies)
— Le magnétisme est un domaine à part ; il n’y a pas de magnétisme
classique ! Applications en électrotechnique, en effet.
— Renvois à d’autres domaines : vibrations non linéaires (microscopie
tunnel), traitement du signal (diodes et transistors), Mécanique des
Fluides (équation de conservation) ? ...
— Indiquer les documents consultés (polycopiés, articles, sites web datés
etc. ). Voir les textes de Balian (envoyés).
8
1.6 Oscillateurs couplés
Abderrahim Rguibi
Commentaires AM :
— Le plan est un peu long, par excès de détail ; par exemple, la des-
cription des modes propres peut inclure celle des fréquences et de la
structure de ces modes.
9
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
10
1.7 Symétries
1.7 Symétries
1. Introduction
(a) Naissance en cristallographie
(b) changement d’écoulement du temps
2. Champ créé par des distributions stationnaires particulières
(a) Principe de Curie
(b) Champ créé par des distributions stationnaires particulières
3. Symétrie en chimie
(a) Réseaux cristallins
(b) RMN du proton
4. Symétrie en Mécanique quantique
(a) Conservation du moment cinétique
(b) Zone de Brillouin
5. Conclusion
Mohammed Amlieh
Commentaires AM :
— Introduction : définir la symétrie, qui n’est pas ici le sens que l’on
donne usuellement. Le paragraphe 1(b) me semble être plus fonda-
mental que le 1(a) et j’aurais commencé par cet invariant fondamen-
tal, en lui ajoutant les deux autres : homogénéité et isotropie de l’es-
pace (conservations de p~ et de ~σ ).
— Le Principe de Curie est mal placé ici, car il déborde largement le
cadre de l’électrostatique.
— Les titres de 2 et de 2(a) sont identiques, ce qui est bancal. Il fallait
donner un paragraphe au Principe de Curie et à quelques applications,
puis faire un paragraphe sur les symétries du champ électromagné-
tique, en général.
— Les réseaux cristallins ne relèvent pas de la seule chimie. Un para-
graphe pouvait leur être consacré (systèmes, réseaux et groupes).
— Pour la chimie, on peut parler aussi bien d’énantiomérie, de chiralité
et de symétrie dans les orbitales.
— La RMN ne relève pas que de la Chimie ; son application en chimie
est déterminante ; ce n’est pas la même chose.
— La conservation du moment cinétique ne relève pas que de la seule
MQ. Sa spécificité en MQ est que, quel que soit le champ central,
la partie angulaire de la fonction d’onde est la même pour tous les
électrons.
11
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
12
1.8 Résonances
1.8 Résonances
1. Introduction
(a) Généralité
(b) Exemple de résonance (passerelle Millenium)
2. Résonances en électrocinétique (circuit RLC)
(a) Étude de tension
(b) Étude de l’intensité
(c) Entropie dans les détentes
3. Résonances en mécanique
4. Applications
(a) Résonance Magnétique Nucléaire (RMN)
(b) Récepteurs radio
(c) Antirésonances
(d) Résonances en mécanique quantique
5. Conclusion
Abdechafik El Harrak
Commentaires AM :
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Marouane Fouad
Commentaires AM :
14
1.9 Phénomènes de Transport
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Boubaker Guejar
Commentaires AM :
16
1.10 Dispersion des ondes
17
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Meryam Lassri
Commentaires AM :
— Paragraphes 1, 3, 7 et 10 : préciser le contenu !
— Les paragraphes 4(b) et 4(c) sont fusionnables.
— Les paragraphes 5 et 6, Lorentz et Neumann, sont fusionnables, sous
un titre général.
— Paragraphe 9(c) : MCC = Moteur à Courant Continu ?
— Paragraphe 9(d) : Éviter les acronymes.
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1.11 Induction électromagnétique
19
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Abderrahim Rguibi
Commentaires AM :
— Ce plan serait avantageusement détaillé.
— Les paragraphes 1, 5 et 6 sont vides.
— Avant d’introduire, immédiatement, la fibre à saut d’indice, il vaut
mieux donner le cadre général à l’étude, puis commencer par les cas
les plus simples possible : guides métalliques creux, à commencer par
celui du paragraphe 3 ; mentionner aussi les exemples qui suivront, de
complexité croissante.
— Rappels sur les champs à la surface des conducteurs (effet de peau) ;
théorème (admis) : tout champ vectoriel V~ est décomposable en la
somme de deux champs, V~ = V~L + V~T , où le champ longitudinal, V~L ,
−→
vérifie rot V~L = ~0 et le champ transverse , V~T , vérifie div V~T = 0. Dans
le cas très particulier des ondes planes, le sens des termes est évident.
Modes TE, TM et TEM.
— Introduire les notions : Impédance d’onde, fréquence de coupure
— Guide métallique creux rectangulaire. Considérations énergétiques.
— Cavités résonantes.
— Fibre à saut d’indice
— Fibre cylindrique à gradient parabolique d’indice ; analogie avec l’os-
cillateur harmonique quantique.
— Détailler les applications. Résonances de Schumann
— Esquisse des guides diélectriques (dispersions par guidage et maté-
rielle)
— Il n’y a pas que l’optique ! Circuits hyperfréquence ; micro-rubans,
circulateurs, ...
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1.13 Interféromètres à division d’amplitude
Mohammed Amlieh
Commentaires AM :
— Mentionner le concept de cohérence dès le début.
— Citer quelques appareils (Fizeau, Sagnac, ...) et annoncer ceux dont
le fonctionnement sera détaillé. Cela ne doit pas apparaître comme
un catalogue, mais comme une présentation comparée (que fait l’un
mieux que l’autre ?).
— Indiquer aussi, dès que possible, les caractéristiques opérationnelles
(visibilité, contraste, finesse, localisation, ordre d’interférence, ...).
— Michelson : bien faire ressortir les formules importantes : δ = 2x, ou
δ = 2ne cos i.
— Paragraphe 3b : Quid des franges d’égale épaisseur ?
— Paragraphe 4b : plutôt que Fonction d’Airy (il y en a plusieurs !),
coefficient de transmission : fonction d’Airy.
— Donner des nombres (distances, précision de réglage et ainsi de suite).
— Définir les symboles employés, ou dire que ce sont les symboles usuels.
21
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
22
1.14 Cinématique relativiste
2. Principe de relativité
(a) Énoncé
(b) Expérience de pensée
3. Transformation de Lorentz
(a) Isométrie d’espace
(b) La loi de composition de vitesse
4. Intervalle espace-temps
(a) Définition
(b) Propriété de l’intervalle espace-temps
5. Applications
(a) Paradoxe des jumeaux
(b) Muons
Abdechafik EL HARRAK
Commentaires AM :
— Paragraphe 1 : de quelle relativité s’agit-il ? la galiléenne, je suppose ;
quoiqu’il en soit, il faut spécifier.
— Quelle est cette difficulté de la cinématique classique ? S’agit-il de
rappels historiques ?
— On peut mentionner ici que les lois galiléennes de transformation des
vecteurs sont incompatibles avec les équations de Maxwell.
— Il apparaît que la relativité du paragraphe 2 n’est pas la même que
celle du paragraphe 1 ?
— Quelle est cette expérience de pensée ? Il faut lui donner un titre.
— Paragraphe 4 : les notions de temps propre, de cône de lumière, de
contraction des distances et de dilatation du temps doivent apparaître
clairement.
— Un mot sur la composition des accélérations ; sans détail (le calcul est
lourd).
23
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
24
1.15 Écoulement parfait d’un fluide
Commentaires AM :
— Dire dès le début qu’un écoulement est dit parfait lorsqu’un critère du
style Re 1 est satisfait, où le nombre de Reynolds, Re, sera défini
dans ce qui suit. Citer aussi des substances pour lesquelles la valeur
Re ≈ 1 est rencontrée, par exemple la glycérine.
— Insister : c’est l’écoulement qui est incompressible, par le fluide.
— Lorsque le mode convectif de transport
de
quantité de mouvement
η
−−→
~
l’emporte sur le mode diffusif, alors
µ ∆~v
~v · grad ~v
. Un
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Boubaker GUEJAR
Commentaires AM :
— Le rendement d’une machine monotherme peut être égal à 1 : le ra-
diateur électrique, récepteur.
— Signaler que le cycle de Carnot est indépendant de l’agent thermique.
— Le paragraphe ditherme appelle un paragraphe non ditherme lui-même
structuré en sous paragraphes : Machines à combustion interne (Die-
sel, Otto) et à combustion externe (Stirling) ; dans ce dernier cas, le
rendement est indépendant du régime.
26
1.16 Machines thermiques réelles
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Meryam Lassri
Commentaires AM :
— La détection synchrone, qui est dans le titre du sujet, n’a droit qu’au
paragraphe 5c, ce qui est déséquilibré.
— L’intérêt du Traitement de Signal va de soi, c’est l’intérêt de la détec-
tion synchrone qu’il faut argumenter en introduction.
28
1.17 Traitement de signal : Analyse fréquentielle et détection synchrone
29
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Abderrahim RGUIBI
Commentaires AM :
— Le paragraphe 2 pourrait faire partie de l’introduction.
— Les rappels pourraient inclure le bilan de puissance d’un porteur de
charge dans un champ et les finesses de la relation e = −ϕ̇.
— Le rail de Laplace a sa place, en exercice ; développement : le moteur
linéaire. Autre exercice jouet, d’intérêt historique et conceptuel : la
roue de Barlow.
— Montrer au plus tôt les modes moteur et générateur. Introduire la
notion de rendement.
— On peut mettre les machines à courant continu et les machines à
courant alternatif dans deux paragraphes distincts.
30
1.18 Conversion de puissance électromécanique
31
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Mohammed Amlieh
Commentaires AM :
— Introduction : Faire remarquer que l’acception française est restric-
tive : pas de réfraction. Indiquer en quoi l’image par réflexion est
différente de l’image par réfraction.
— En 3, Préciser les notions d’oculaires et d’objectif ; détailler l’oculaire
de Plössl et décrire un ou deux autres oculaires. Indiquer les raisons
de leur abandon.
— Présenter les divers types de monture, leurs avantages, leurs inconvé-
nients et nommer quelques appareils en justifiant le type de monture
choisi pour ces derniers. Introduire les coordonnées équatoriales.
— Commenter les grandeurs caractéristiques Diamètre - Longueur focale
- Grossisement - Grandissement et les facteurs de qualité associés (par
exemple (D/f )2 pour le pouvoir de collimation).
— De la même manière, Pouvoir de résolution devrait apparaître dans le
plan, avec des critères, théoriques ou empiriques, pour le déterminer.
32
1.19 Télescopes, Applications
Commentaires BD :
— Remarque sur le titre : dans l’acception française du terme « téles-
cope », les lunettes astronomiques sont exclues car on ne considère
que les systèmes constitués de miroirs ; les anglo-saxons parlent pour
celles-ci de « télescopes réfracteurs ». Leur utilisation étant abandon-
née (aberrations chromatiques, difficulté à couler des lentilles de gros
diamètre), on ne traite que des télescopes « réflecteurs ».
— Au-delà de 10 m de diamètre, tous les miroirs sont segmentés en hexa-
gones, leur masse devenant trop élevée.
— Le polissage des miroirs est de classe λ/20 ou mieux sur la plupart
des miroirs, c’est-à-dire 30 nm !
— La déformation statique du miroir primaire, due par exemple à la
flexion ou à la dilatation thermique, est compensée par des actuateurs :
c’est l’optique active dont il faut signaler l’usage.
33
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
34
1.19 Télescopes, Applications
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Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Commentaires AM :
— J’aurais parlé de localisation au plus tôt.
— Les sources d’élargissement apparaissent simultanément, mais avec des
importances contrastées selon le milieu étudié : largeurs homogènes ou
non homogènes des raies spectrales, élargissements Doppler (pour les
gaz), élargissement dû à l’instrument, ...
— Le paragraphe 4 présente des illustrations du phénomène ; il ya des
démonstrateurs ; il serait pertinent de décrire des dispositifs d’utilité
pratique ; la conclusion Il y a des applications en astronomie peut
supporter quelques développements.
— On détecte, autant et plus que l’on trace, l’enveloppe d’un signal in-
terférométrique.
— Les références bibliographiques manquent. Celle de Mélusine
(https://melusine.eu.org/syracuse/immae/mp/physique-chimie/
electromagnetisme/23.pdf) s’impose, immédiatement et irrésisti-
blement ...
36
1.21 Spectrographes interférentiels en optique. Pouvoir de résolution
spectroscopique
Marouane FOUAD
Commentaires AM :
— J’ai du mal à repérer l’aspect interférentiel du prisme. Le spectro-
graphe à prisme n’est pas le plus performant de ce genre de dispositif.
— Attention, de toute manière : le prisme n’est plus au programme ...
mais, au passage : Quelle est la raison pratique faisant travailler au
minimum de déviation ?
— Comment se pose et se traite, dans l’étalonnage d’un réseau, la ques-
tion de mélange d’ordre ? Introduire le réseau blazé (miroitement).
— La notion de dédoublement achromatique ne peut pas être introduite
sans un minimum d’explication.
37
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Commentaires BD :
— Analyse du titre : l’adjectif interférentiels élimine le bon vieux prisme
qui a rendu l’âme en tant que spectrographe !
— Il reste donc des dispositifs à résolution temporelle comme le Michel-
son (interféromètre à deux ondes), ou des dispositifs à résolution spa-
tiale comme le réseau ou le Pérot Fabry (interféromètre à N ondes).
— Il est bon de montrer que le pouvoir de résolution relève toujours de
la même expression : 2p pour le Michelson, N p pour le réseau et F p
pour le Pérot Fabry où p est l’ordre d’interférences ; cette relation ne
condamne pas nécessairement le Michelson : l’ordre p peut y être très
grand devant celui d’un réseau.
— Les réseaux utilisés aujourd’hui’hui travaillent en réflexion ; on peut
citer les réseaux blazés, concentrant la lumière dans un ordre par-
ticularisé, et la présence de ghosts (raies fantômes), artefacts d’une
périodicité erratique des motifs.
— Pour augmenter leur pouvoir de résolution, on les utilise souvent en
incidence rasante : le réseau HARPS 4 , utilisé au foyer du VLT, mesure
le décalage Doppler d’un spectre d’étoile modulé par la présence d’une
exoplanète avec un pouvoir de résolution est inférieur à 1 m/s.
— Le spectrographe peut être caractérisé par sa fonction d’appareil, ré-
ponse à une vibration monochromatique et englobant tous les défauts
possibles : géométrie, diffraction, taille du récepteur . . .
— Apparemment surclassé, le Michelson agit finement, grâce au contraste
des interférences relié par transformation de Fourier au spectre recher-
ché. Ainsi, en TP enseignement, le Michelson fait-il largement aussi
bien que le réseau dans la résolution du doublet du sodium.
— Le chevauchement des spectres sur deux ordres consécutifs est d’au-
tant plus problématique que l’ordre est élevé ; tel est le cas du Pérot
Fabry, dont la spécialité est donc la spectroscopie à haute résolution
d’une raie unique ou d’une bande étroite, préalablement filtrées, le cas
échéant, par un réseau.
— Les applications de la spectroscopie optique sont nombreuses : en phy-
sique atomique, on recherche l’accord entre théorie et expérience, mais
aujourd’hui les théoriciens ont plus d’un ordre de grandeur d’avance
sur la résolution des spectrographes ! En astrophysique, la mesure
du décalage Doppler, du spectre thermique d’une étoile, du spectre
d’émission, du spectre d’absorption constituent une mine de rensei-
gnements sur les sources.
4. High Accuracy Radial velocity Planet Searcher, soit « Chercheur de planètes par
vitesses radiales de haute précision ; sa précision permet de détecter des planètes de faible
masse ou des oscillations stellaires de faible amplitude (note A. M.)
38
1.22 Convertisseurs électriques statiques. Applications
39
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Boubaker GUEJAR
Commentaires AM :
— Introduction : aux fonctions d’adaptation entre diverses sources et
diverses charges s’ajoutent celles d’isolation entre éléments de circuits
(masses distinctes).
— Le dessin est réussi, mais peut-être un tableau à double entrée est-il
plus simple à lire ?
— L’interrupteur idéal et la diode idéale ne me semblent pas être des
composants de l’électronique de puissance, mais des idéalisations de
composante réels.
— Un absent de taille : le transformateur ! Conventions d’orientation,
la flux est une fonction d’état, transfert d’impédance (ramenée au
primaire), inductance de fuite, non linéarités de matériau, pertes et
ainsi de suite.
— Insérer des exercices : ondulation résiduelle en mono et en double
alternance, calcul de Fp
— Ampli de puissance utilisant un AO ?
— Présenter des composants (HT et BT) et des gammes de valeurs nu-
mériques.
— Aspects fréquentiels.
— La conversion Analogique Digitale et les CAN, avec leurs caractéris-
tiques, pourraient trouver une place dans cette leçon.
— Quel est le contenu de la conclusion ?
Commentaires BD :
— Cette leçon concerne l’électronique de puissance : elle utilise un nombre
réduit de composants discrets : interrupteur unidirectionnel commandé,
interrupteur unidirectionnel non commandé, self de lissage, condensa-
teur HF, dispositif de refroidissement . . .
— Les structures classiques 1Q, 2Q, 4Q peuvent être présentées dans
un tableau initial en énumérant le type de convertisseur : hacheur,
onduleur, redresseur, gradateur.
— Il faut ensuite présenter de manière détaillée le fonctionnement d’un
des convertisseurs : on choisira de préférence le hacheur série ; un pont
de Graetz non commandé est à proscrire car il se met en court-circuit
sur une charge inductive, pouvant détruire des diodes de redressement.
— Comme souvent en électronique, les schémas théoriques résistent au
temps, seule la performance des composants s’améliore. Il est donc
utile de mettre en relation les composants idéaux des schémas et l’offre
technologique actuelle : IGBT ou MOSFET pour l’interrupteur com-
mandé, diode Schottky ou Ultra Fast Recovery pour l’interrupteur
40
1.22 Convertisseurs électriques statiques. Applications
5. La résistance série équivalente (Equivalent Series Resistance) est, dans une gamme
de fréquences donnée, un modèle du comportement résistif d’un composant électronique
passif (Note A. M.).
6. La Modulation de largeur d’impulsions (Pulse Width Modulation), est une technique
de synthèse de signaux pseudo analogiques à partir d’un environnement numérique ou
analogique, à l’aide de circuits à états discrets, pour permettre un traitement de ce signal
par des composants en commutation (Note A. M.).
41
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
42
1.23 Dipôle magnétique : champs créé et actions subies. Exemples
Meryam Lassri
Commentaires AM :
— Le moment magnétique ne doit pas être introduit brutalement, son
expression résulte naturellement de la modélisation d’un phénomène.
— Bien distinguer les notions de champ dipolaire et champ d’un dipôle ;
affronter la question du monopole magnétique, éventuellement par le
biais d’un exercice.
— Si l’on parle du potentiel vecteur, il faut montrer son utilité pratique ;
autrement, il encombre le discours.
— Donner des aperçus élémentaires sur les assemblées de dipôles, éner-
gies ou hamiltoniens d’interaction, types de magnétisme et renvoyer à
d’autres leçons.
— Noter l’universalité du rapport gyro magnétique et de la particularité
de l’électron : facteur de Landé.
— Le champ du piège de Paul est quadrupolaire. Universalité de l’équa-
tion de Mathieu.
Commentaires BD :
— En l’absence de découverte de monopôles magnétiques, le terme dipo-
laire est le terme principal du développement du champ magnétique
d’une distribution de courants.
— Comme pour le dipôle électrique, on est en présence d’un développe-
ment en série entière ; un exemple de distribution quadripolaire ma-
gnétique, montre une dépendance en r−4 .
— Il existe un champ dipolaire rayonné, en r−1 , dans la zone de rayonne-
ment, au cas où le moment magnétique possède une dérivée seconde
non nulle en fonction du temps. Masqué par le rayonnement dipo-
laire électrique lorsqu’il existe, il entre souvent en compétition avec le
rayonnement quadripolaire électrique.
— Dipôle permanent, dipôle induit, ferromagnétisme, paramagnétisme,
diamagnétisme sont des notions qui ont leur place dans le thème.
— Une fois introduit le rapport gyromagnétique, la précession de Larmor
est un exemple d’action subie, conduisant à la résonance magnétique.
— Signaler les nombreuses inversions du moment magnétique terrestre,
lors desquelles celui-ci s’annule, ôtant à la terre sa protection contre
le vent solaire, ce phénomène étant mémorisé dans les roches volca-
niques contemporaines de ces inversions. Les conséquences sur la vie
43
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
44
1.24 Contact entre solides : lois de Coulomb. Applications
Abderrahim RGUIBI
Commentaires AM :
— Introduction : bien spécifier la phénoménologie : équations générales
de la mécanique + choix de l’équation
X à ajouter, selon qu’il y a, ou
pas, glissement. Forme générale : ci (q) q̇i = 0.
i
— Le parti pris Sciences Industrielles est trop marqué ; on peut intro-
duire des considérations physiques, par exemple sur les mécanismes
physiques (moléculaires) du frottement, sur l’hypothèse du contact
ponctuel, introduire des considérations énergétiques, ajouter lois de
45
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
46
1.25 Classification périodique des éléments (niveau : sup et spé)
Prénom Nom
47
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
48
1.27 Dosages (niveau : sup et spé)
Prénom Nom
49
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
50
1.29 Gaz parfait, gaz réels. Descriptions, phénoménologies, modèles.
Prénom Nom
51
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
52
1.31 Gravitation. Champ de pesanteur de la Terre
Prénom Nom
53
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
54
1.33 Bilans thermiques, flux conductifs, convectifs et radiatifs
Prénom Nom
55
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
56
1.35 Ondes acoustiques
Prénom Nom
57
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
Prénom Nom
58
1.37
1.37
1. Premier paragraphe
2. Deuxième paragraphe
(a) Premier sous paragraphe
(b) Deuxième sous paragraphe
(c) ...
3. Troisième paragraphe
4. ...
5. Conclusion et son contenu
Prénom Nom
59
Chapitre 1 Promotion 2020 : plans et supports
60
1.38 Quelques supports
1.38.1 Entropies
1.38.6 Symétries
61
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Scanned with CamScanner
Oscillateurs couplés
MP-PC-PSI
Réalisé par:
RGUIBI Abderrahim
Objectifs:
Prérequis:
2
Plan:
I. Régime libre de deux oscillateurs harmoniques couplés
II. Généralisation : modes propres de vibration
III. couplés
IV. Un exemple de couplage en électricité
V. Applications et Perspectives
VI. Bibliographie
Figure 1
4
I.2. Mise en équation:
pour la masse 2 :
action du ressort de droite :
pour la masse 2 :
En obtenons
6
I.3. Résolution :
Le système à résoudre est un système de deux équations déférentielles couplées linéaires du second ordre.
Ainsi , il vient :
Les mouvements des masses 1 et 2 sont donc la superposition de deux mouvements sinusoïdaux de pulsation 1 et
2; les courbes ci-dessous donnent les variations de X1 et X2 en fonction de t/ tau avec tau= 1/ dans le cas où
(11/10)* et u = v = 0 et um = vm = 1.
Figure 2 :
8
I.4. Pulsations et modes propres:
Le système peut également osciller à la pulsation 2 si t u(t) = 0, donc lorsque x1(t) = - x2(t). Nous avons,
les oscillations sont
antisymétriques : les deux masses se déplacent en opposition de phase.
propres. Si les conditions initiales sont telles que le système se trouve à t=0 dans un mode propre alors
il évoluera en permanence dans ce mode propre.
II.1. définition :
10
Si on remplace l'expression de la solution dans l'équation de mouvement, on obtient :
Ce que nous cherchons c'est la pulsation à laquelle le système va osciller et le vecteur déplacement des deux masses X.
Soit :
Ainsi, il vient :
L'équation vérifiée par la pulsation propre est une équation algébrique de
second degré en **2 qui admet pour solutions :
1 et 2 sont les pulsations propres du système aux quelles le système peut vibrer si excité librement. A chacune de ces
pulsations propres correspond un vecteur solution de l'équation KX = **2 MX et appelé vecteur propre. Ce dernier
est déterminé à une constante pré.
11
Cela veut dire que si le système oscille à la première pulsation propre, les deux masses se déplacent en phase et ont la
même amplitude.
12
Deuxième vecteur propre :
Quand le système oscille à la deuxième pulsation propre, les deux masses se déplacent
en opposition de phase et ont la même amplitude.
13
On définit la matrice modale dont les colonnes sont les vecteurs propres :
14
Calcul de la vitesse de déplacement :
En remplaçant dans
On obtient la solution :
15
On considère le système de la figure 1, avec trois ressorts identiques et le support droit mobile : il décrit un mouvement
sinusoïdal Xsupport = l + X cos ( t). Nous pouvons reprendre le calcul précédent en remplaçant l par Xsupport :
le système :
III.2. Résolution :
En posant u = x1 + x2 et v = x2 - x1 :
16
les prérequis concernant le régime forcé d'un oscillateur harmonique, On a :
expressions de X1et X2
Nous étudions un système constitué de deux circuits LC identiques couplés par une inductance mutuelle. Nous négligeons
les pertes par effet joule.
Figure 4
IV.2. Mise en équations :
18
V.3. Modes propres :
19
V. Applications et Perspectives :
V.1. Applications :
Civile.
Modélisation des interactions atomiques dans un réseau cristallin.
Absorbeurs Dynamiques (Amortisseur de rail, Rasoir électrique, Absorbeur sous un
V.2. Perspectives:
20
VI. Bibliographie :
http://sertella.free.fr/cours_psi_physique/ondes/
http://jam.bouguechal.free.fr/
http://gilbert.gastebois.pagesperso-orange.fr/java/oscillateur/couplage/theorie_couplage.pdf
http://ressources.unisciel.fr/sillages/physique/ondes_mecaniques/res/osc-couples.pdf
21
25/04/2020
Phénomènes de Transport
(CPGE PSI – PC)
Leçon présentée par :
Marouane FOUAD
Pré‐requis
• Thermodynamique à l’équilibre
• Hydrostatique
• Notion de flux
• Rayonnement thermique
1
25/04/2020
Bibliographie
• Hulbert Lumbroso, THERMODYNAMIQUE
• Pérez, THERMODYNAMIQUE (DUNOD)
• H‐Prépa, PHYSIQUE THERMODYNAMIQUE
Plan
Introduction
I. Transport d’une propriété X
I.1. Causes de transport
I.2. Description locale du flux
II. Diffusion thermique
II.1. Puissance et flux thermiques
II.2. Loi de Fourier
II.3. Equation de diffusion de chaleur
III. Diffusion de particules
III.1. Flux de particules
III.2. Loi de Fick
III.3. Equation de diffusion de particules
Conclusion et ouvertures
2
25/04/2020
Introduction
On a précédemment étudié la thermodynamique des
transformation entre état d’équilibre sans jamais se poser
la question du chemin suivi (c’était d’ailleurs le grand
intérêt des fonctions d’état!). Dans cette leçon, on va lever
l’hypothèse d’équilibre thermodynamique et s’intéresser
aux mécanismes de transport des grandeurs usuelles
(matière, énergie, charge, ...) essentiellement sous trois
formes: diffusion (via des mouvements microscopiques),
convection (via des mouvements macroscopiques du
fluide), rayonnement (pour l’énergie).
3
25/04/2020
I.2. Description locale du flux
Plan Il faut définir tout d’abord la densité de courant 𝚥⃗ . La connaissance de
cette grandeur en tout point permet la description complète de
l’évolution du système.
Le nombre δN d’éléments macroscopiquement petits, de vitesse de
I. Transport dérive u, qui traversent l’élément de surface ndS, pendant la durée
élémentaire dt, n = 𝒆𝒙 étant le vecteur unitaire porté par la normale à
d’une propriété X dS, est celui contenu dans le volume cylindrique de base dS et de
hauteur n.vdt :
𝛿𝑁 𝑛 𝒏 𝑑𝑆 𝐯𝑑𝑡
II. Diffusion 𝑛 étant le nombre d’éléments par unité de volume. On en déduit que
la quantité 𝛿X transportée, pendant cette durée, se met sous la forme :
thermique 𝛿𝑋 𝜌 𝒏 𝑑𝑆 𝐯𝑑𝑡
𝜌 étant la densité volumique de la propriété X. Il est alors naturel
d’introduire le vecteur courant volumique de la quantité transportée :
III. Diffusion de 𝑱𝑿 𝜌 𝐯
Enfin, le flux de la grandeur X qui traverse une surface S est:
particules
Plan II.1. Puissance et flux thermiques
a) Puissance thermique V (ou flux thermique)
Lorsque la température d’un milieu n’est pas uniforme, il se produit un
transfert thermique (diffusion de chaleur) irréversible depuis les zones
I. Transport de haute température vers les zones de faible température, donc dans
le sens d’un rétablissement de l’équilibre thermique.
d’une propriété X On appelle puissance thermique à travers une surface dS du milieu,
l’énergie thermique dQ qui traverse dS par unité de temps :
𝛿𝑄
II. Diffusion 𝑃
𝛿𝑡
thermique b)Flux thermique surfacique
Pour un transfert thermique unidirectionnel (suivant la direction Ox de
vecteur unitaire ux), on définit le vecteur densité surfacique de flux
thermique 𝑗 de même direction Ox et de même sens que le transfert
III. Diffusion de thermique et de module égal à la puissance thermique par unité de
particules surface perpendiculaire à Ox :
1 𝛿𝑄
𝑗
𝑑𝑆 𝛿𝑡
4
25/04/2020
Plan II.2. Loi de Fourier
Le flux thermique conductif surfacique est
proportionnel en chaque point du milieu au
I. Transport gradient de la température:
d’une propriété X 𝒋𝑸 λ 𝒈𝒓𝒂𝒅 𝑻
Où λ est le coefficient de proportionnalité qui
II. Diffusion dépend de la nature du milieu appelé
thermique conductivité thermique (en W.𝑚 . 𝐾 )
Ordres de grandeurs:
III. Diffusion de • Métaux : 10 ‐ 400
particules • Eau : 0,6
• Air : 0,03 très bon isolant
Plan II.3. Equation de diffusion de chaleur
A partir d’un bilan d’énergie dans un
I. Transport milieu de conductivité thermique λ,
d’une propriété X
de masse volumique μ et de chaleur
II. Diffusion massique c, on démontre aisément
thermique que la température T(x,t) obéit à
l’équation de la chaleur :
III. Diffusion de
particules
𝜕²𝑇 μ𝑐 𝜕𝑇
𝜕𝑥² λ 𝜕𝑡
5
25/04/2020
Plan III.1. Flux de particules
Soit un milieu (gaz, liquide ou solide)
dans lequel peuvent diffuser des
I. Transport particules et une surface S.
d’une propriété X
Le flux de particules à travers la
surface S est le nombre de particules
II. Diffusion traversant la surface par unité de
thermique temps :
III. Diffusion de Dans le cas général :
particules
II. Diffusion
thermique avec D le coefficient de diffusion en m²/s.
III. Diffusion de
particules
6
25/04/2020
Plan III.3. Equation de diffusion de particules
Considérons alors un petit volume de section S
compris entre les abscisses x et x+dx. Ce
I. Transport volume contient dN = nSdx particules.
d’une propriété X
Effectuons un bilan sur le nombre de particules
entre les deux instants voisins t et t+dt.
II. Diffusion
thermique
III. Diffusion de
particules On obtient simplement l’équation de diffusion
unidimensionnelle :
Conclusion et ouvertures
Les phénomènes de transport les plus courants sont régis par
des lois similaires :
7
25/04/2020
Conclusion et ouvertures
Parmi les applications pertinentes de ces phénomènes, on peut
citer :
• Application au Vase Dewar
• Effet Seebeck
• Loi de Wiedemann et Franz
• Ouverture sur la mécanique des fluides : transport de
quantité de mouvement et viscosité
• Etude statistique du phénomène de transport de particules
8
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Scanned by CamScanner
Propagation guidée
Filières :MP-PC-PSI
Réalisé par:
RGUIBI Abderrahim
Objectifs:
Prérequis:
Les équations de maxwell
Propagation des ondes dans le vide
Plan:
I. Introduction
II. onde lumineuse par une fibre optique à saut
I. Introduction
I.1. Principe du guidage
A gradient
I.2.1. Les ondes Hertziennes
Ainsi métal,
On considère
.
-à-
II.2. Approche interférentielle, modes de propagation
Pour
successives, et imposer à celui- 2 . Pour ce faire, calculons une différence de marche géométrique
.
puisque :
si :
pulsation :
On suppose que les plans conducteurs sont infinis, et que ce sont des conducteurs parfaits
Onde propagée
Elle classique
On a des conditions aux limites imposées par les plans et la source.
On cherche ici si on peut avoir des ondes de la forme :
C'est-à-dire des ondes sinusoïdales (par rapport à ), se propageant selon Oz, avec
III.2. Mise en équation
Notation complexe
Equations de Maxwell
Equation
On a avec les opérateurs :
III.3.1. Propagation
Relation de dispersion
Propagation
Charges :
Courants :
Remarque
On a bien conservation de la charge :
III.4.1. Champ E
Donc :
Soit et on peut montrer Bz = 0 (avec les équations et conditions aux limites), ce qui est le cas précédent
Soit E x 0 .
Donc E E yu.y E(x)u.y
III.4.2. Champ B
Donc B est orthogonal à E , avec une composante longitudinale et une composante transverse :
III.4.3. Modes TE
Relation de dispersion
En uy , on obtient:
Donc :
Pour donné, tous les modes qui ont une pulsation de coupure en dessous vont pouvoir passer, mais pas les autres
on a donc un filtre passe-haut.
III.4. Ondes transverses magnétiques (TM)
III.4.1. Champ B
Bx cte 0
Donc B B yu.y B(x)u.y
III.4.2. Champ E
III.4.3. Modes TM
Relation de dispersion
On uy pour B :
Pulsation de coupure
En pulsation:
III.5.1. Relation de dispersion
IV. Applications
Fibre optique
Pince optique
Isolateur pour guide d'ondes
Diplexeur de guide d'ondes dans un radar de surveillance du trafic aérien
V. Conclusion et perspectives
VI. Bibliographie
[1] Jean-Marie Brébec, Thierry Desmarais, Alain Favier, Marc Ménétrier, Bruno Noël, Régine Noël,
Claude Orsini et Jean-Marc Vanhaecke. Ondes 2e année MP-PSI-PC-PT. H-Prépa. Hachette, 2004.
[2] Marie-Noëlle Sanz et Bernard Salamito. Tout-en-un Physique PC-PC*. Dunod, 2010.
[3] Baptiste Portelli et Julien Barthes. La physique par la pratique. H&K, 2005.
[4] Richard Taillet. Optique physique. de Boeck, 2006.
[5] Christian Garing. Ondes électromagnétiques dans le vide et les milieux conducteurs. Ellipses, 1998.
28/04/2020
Cinématique relativiste
Le plan
I. Rappel de la relativité Galiléenne
1. transformation de Galilée
2. difficulté de cinématique classique
II. Principe de la relativité restreinte
1. Énoncé
2. Expérience de pensée
III. Transformation de Lorentz
1. Isométrie d’espace
2. La loi de composition des vitesse
IV. Intervalle espace temps
1. Difénition
2. Propriété de l’intervalle espace temps
V. Applications
conclusion
Réalisé par: A.ELHARRAK
4/22/2020 1
𝑥 𝑡 = 𝑥 𝑡 −𝑢∗𝑡
𝑦 𝑡) = 𝑦(𝑡)
𝑧 𝑡 = 𝑧(𝑡)
𝑣 =𝑣 +𝑢
4/22/2020 2
1
28/04/2020
Avec : 𝑣′ = 𝑣⃗ − 𝑣 q
→
𝒗𝒆
4/22/2020 3
Exemple
!
4/22/2020 4
2
28/04/2020
4/22/2020 5
2-Expérience de pensée
L'impulsion, réfléchie par le miroir, revient vers
le contrôleur et l'atteint au bout d'un temps 𝑇′ =
Avant 1905:
3
28/04/2020
III-Transformation de Lorentz
1-Isotropie de l’espace
La transformation doit être invaiante par translation dans
l’espace et dans le temps
O’ se déplace à la vitesse 𝑣
4/22/2020 7
4/22/2020 8
4
28/04/2020
avec l’algèbre
𝐴 𝐵
Transformation direct 𝐿 =
𝐶 𝐷
𝐷 −𝐵
Alors transformation indirect 𝐿 =
−𝐶 𝐴
𝑥′ = L 𝑥 𝑥
=𝐿 𝑥′
𝑡′ 𝑡 𝑡 𝑡′
OR
4/22/2020 9
4/22/2020 10
5
28/04/2020
Transformation de Lorentz
3-Application
Deux particules de vitesse respectivement 𝑣1 et 𝑣2
Déterminons la vitesse de la particule 2 dans le référentiel
de la particule 1
4/22/2020 11
l’intervalle espace-temps
Soient A et B deux événements
Événement A: (𝑐𝑡 , 𝑥 , , 𝑦 , , 𝑧 )
Événement B: (𝑐𝑡 , 𝑥 , , 𝑦 , , 𝑧 )
Distance spatiale
si si
Intervalle de Intervalle de
genre temps genre espace
4/22/2020 12
6
28/04/2020
4/22/2020 13
V-Application
1-Paradoxe des jumeaux dû à Langevin
deux frère jumeaux, l’un reste sur terre et l'autre vole vers Proxima du
centaure, à une distance de 4 années lumière, avec une
vitesse constante, proche de celle de la lumière
La solution:
le référentiel du jumeau voyageur n'est pas un
référentiel galiléen
Le temps est affecté par la gravitation et accélération relativité
générale
4/22/2020 14
7
Niveau : CPGE PSI PC
Leçon présentée par :
Marouane FOUAD
Pré-requis
Thermodynamique
Cinématique des fluides
Viscosité
Dérivée particulaire
Conclusion et perspectives
22/04/2020 Ecoulement parfait d'un fluide - FOUAD 3
Introduction
majeur de cette leçon est dynamique
des fluides, dans le modèle des fluides parfaits.
Nous avons vu les écoulements visqueux sans tenir
compte des forces extérieures, alors nous allons
étudier la limite où la viscosité est négligeable, en
explicitant l'expression générale du principe fondamental
de la dynamique pour un écoulement parfait.
Enfin nous allons simplifier pour des cas
particuliers.
22/04/2020 Ecoulement parfait d'un fluide - FOUAD 4
Plan I.1. Écoulements parfaits
Un écoulement est parfait si tous les
I. Modèle de phénomènes diffusifs (diffusion thermique,
diffusion de la quantité de mouvement,
parfait diffusion de particules,...) sont négligeables.
II. Dynamique On caractérise aussi par le
nombre de Reynolds qui représente le
des fluides
rapport des transferts convectifs sur les
III. Applications transferts diffusifs de quantité de
mouvement
22/04/2020 Ecoulement parfait d'un fluide - FOUAD 5
parfait
II. Dynamique Si Re>>1 :
est turbulant
des fluides
III. Applications
Plan
La relation fondamentale de la dynamique,
I. Modèle de appliquée à une particule de fluide de masse dm,
dont nous suivons le mouvement s'écrit
parfait peut expliciter
les diverses expressions de la dérivée particulaire:
II. Dynamique
des fluides
III. Applications
Ecoulement stationnaire v2 P
II. Dynamique
e Pm cste
2
le long d'une ligne de courant
III. Applications
Ecoulement irrotationnel et v2 P
stationnaire e Pm cste
2
en tout point du fluide
I. Modèle de
parfait
II. Dynamique
des fluides
v2
On a directement P0 PA eau gH .
III. Applications
air
2
Le tube de Prandtl permet la mesure de la pression en un point.
III. Applications v 2 gh
Bibliographie
Tout-en-un, PC/PC*
Pérez, Mécanique des fluides PSI/PSI*
H-Prépa, Mécanique des fluides PSI/PSI*
Cours Mr. GAUDIN
Traitement de signal: analyse
fréquentiel et détection synchrone
Meryam Lassri
1
plan
1) Introduction
2) Décomposition harmonique d‘un signal
2‐1) Quelques observations
2‐2) Fonction périodique et série de Fourier
2‐3) Généralisation
3) Filtrage linéaire
3‐1) Diagramme de Bode
3‐2) Filtre du premier ordre
3‐3) Filtre du second ordre
4) Modulation démodulation
4‐1) Intérêt et principe
4‐2) Modulation
4‐3) Démodulation
5) Conclusion
1
25/04/2020
Introduction
2) Décomposition harmonique d‘un signal
2.1 Quelques observations
a) Spectre d’une sinusoïde
Représentation temporelle et fréquentielle
Fig1: Signal sinusoïdal de fréquence 50 Hz et d’amplitude 1 et
4
son spectre
2
25/04/2020
• b) Cas de la somme de deux sinusoïdes
Fig2: Allure du signal et spectre de la somme de deux sinusoïdes de fréquences
respectives 50 Hz et 500 Hz et d’amplitudes respectives 1 et 0,2.
s(t) = A1 sin (2pf1t) + A2 sin (2pf2t)
• c) Sommes de sinusoïdes et signaux
périodiques
Synthèse d’une dent de
scie par somme de
sinusoïdes.
3
25/04/2020
• clear all
• t = [0:0.01:5];
• x = zeros(length(t));
• f = 1;
• w = 2*pi*f
• A1 = 1;
• A2 = 0;
• A3 = ‐1/9;
• A4 = 0;
• A5 = 1/25;
• A6 = 0;
• A7 = ‐1/49;
• A8 = 0;
• x = A1*sin(w*t) + A2*sin(2*w*t) +
A3*sin(3*w*t) + A4*sin(4*w*t) +
A5*sin(5*w*t) +
• A6*sin(6*w*t) + A7*sin(7*w*t) +
A8*sin(8*w*t);
• plot(t,x)
• 1.2 Fonction périodique et série de Fourier
• Soit f (t) une fonction périodique de IR dans IR, de période T, de classe C1
par morceaux. En notant ak et bk les coefficients de Fourier, le théorème
de Fourier (qui sera vu dans le cours de mathématiques) permet alors
d’écrire cette fonction :
2 2
2
s(t ) a0 a k . cos k. .t bk . sin k. .t a0 c k . cos k. .t k
k 0 T T k 0 T
t T
1 0
T t0
a0 . s ( t ).dt
t T
2 0 2
T t0
ak . s ( t ). cos k . .dt
T
t T
2 0 2
T t0
bk . s ( t ). sin k . .dt
T
a0 est la valeur moyenne du signal.
On a : c k a k2 b k2 = amplitude de l’harmonique k 8
4
25/04/2020
• Exemples de décompositions en séries de Fourier
• Cas du signal carré
Pour un signal carré s(t) de fréquence f , d’amplitude E0, et de valeur moyenne E1,
on a le développement dit ‘’en série de Fourier’’ suivant
2E0
1 2
s (t ) E 1 sin 2 k 1 .t
k 0 2k 1 T0
Cas du signal triangulaire
8E0
1 2
s(t ) E1 cos2k 1 .t
2 k 0 2k 12 T0
10
5
25/04/2020
• 2.3 Généralisation
On s’est limité ici aux cas des fonctions
périodiques. La notion d’analyse harmonique
peut se généraliser aux fonctions non
périodiques grâce à la transformée de Fourier.
11
3) Filtrage linéaire
Un système est linéaire (d’entrée e(t) et de sortie s(t)) est régi dans le domaine
temporel par une équation différentielle à coefficients constants du type :
𝑎 𝑒 ∑ 𝑎 =𝑏 𝑠 ∑ 𝑏
∑
𝐻 𝑗𝜔 =∑
12
6
25/04/2020
• 3‐1) diagramme de Bode
La représentation de Bode d’une fonction de transfert est constituée des graphes :
G dB ( ) 20 log H ( j )
( ) Arg H ( j )
L’échelle des abscisses est une échelle logarithmique.
L’échelle logarithmique des abscisses permet d’obtenir une meilleure vision du
comportement fréquentiel du système étudié.
Cette représentation est très simple à utiliser car :
Si
H ( j ) H 1 ( j ) H 2 ( j )
alors
• Lorsque le gain GdB présente un maximum noté GdB,max, on
définit la (les) pulsation(s) de coupure à −3 dB, wc telles que :
• GdB(wc) = GdB,max − 3 dB
14
7
25/04/2020
• 3‐2) filtre du premier ordre
𝑑𝑠 𝑡 𝑑𝑦
𝐴 𝐵𝑠 𝑡 𝐶 𝐷𝑒 𝑡
𝑑𝑡 𝑑𝑥
• Filtre passe bas
1
𝑢 𝑗𝐶𝜔
𝐻 𝑗𝜔
𝑢 𝑅 1
𝑗𝐶𝜔
15
Filtre passe haut
𝜔
𝜔
𝐻 𝜔
1 𝜔
𝜔
16
8
25/04/2020
• 3‐3) filtre du second ordre
• Passe bas 𝜔 1
𝐿𝐶
Diagramme de Bode en gain d’un filtre passe‐bas du
second ordre pour différentes valeurs du facteur de
qualité : pointillés : Q = 5, trait plein : Q = 1/√2,croix
: Q = 0,2.
𝐻
𝐻 𝑗𝜔
𝜔 1 𝜔
1 𝑗𝜔
𝑄 𝜔
17
• Passe bande
Diagramme de Bode en gain d’un filtre passe‐bande du second ordre pour
différentes valeurs du facteur de qualité : pointillés : Q = 5, trait plein : Q
= 1/√2, croix : Q = 0,2.
18
9
25/04/2020
4) Modulation et démodulation
• 4‐1) Intérêt et principe
• La transmission directe est impossible ; en effet :
• La transmission à longue distance par voie hertzienne d'un signal
(émission radio par exemple) exige une fréquence élevée (on
montre que l'énergie rayonnée par un dipôle émetteur varie
comme la puissance quatrième de la fréquence).
• Le signal véhiculant l'information à transmettre est, en général, de
trop faible fréquence pour satisfaire aux conditions précédentes.
• On utilise alors un signal de fréquence beaucoup plus élevée
• les dimensions des antennes, de l'ordre de grandeur de la longueur
d'onde, auraient des valeurs irréalistes (ex : pour f = 1kHz; d= cT =
c/f = 300km) ; 19
4) Modulation et démodulation
• 4‐1) Intérêt et principe
‐ On part d'un signal porteur
sinusoïdal sp(t) de haute
fréquence, couramment
appelée la porteuse,
caractérisé par trois
paramètres : son amplitude
Ap, sa fréquence fp et sa
phase phip :
sp(t) = Ap cos(2fpt + phip)
‐ On module un des trois
paramètres de la porteuse,
en fonction du signal s(t) à
transmettre.
‐En fonction du paramètre
modifié, on obtient les trois
types de modulation,
représentées : 20
10
25/04/2020
• 4‐2) Modulation
On envoie à l’entrée du multiplieur
un signal de fréquence fm :
v1 = sm(t) = Am(1+mcos(2pifmt))
et un signal de fréquence fp :
v2 = sp(t) = Ap cos(2pifpt)
21
• vs(t) = kAmAp(1 + mcos(2pifmt))cos(2pifpt)
• vs(t) = kAmAp cos(2pfpt) +km/2AmApcos(2p(fm + fp)t) + cos(2p(fp − fm)t)
Modulation avec m < 1 Modulation avec m >1
22
11
25/04/2020
Spectre du signal modulé
23
• 4‐3) démodulation
4‐2) Démodulation
24
12
25/04/2020
fm << 1/RC<<fp
25
Dans le cas où m > 1, le détecteur
de crête ne donne pas un résultat satisfaisant.
En effet, dans ce cas, les enveloppes
se croisent et un détecteur de crête récupérera
l’enveloppe supérieure qui est différente du
signal sinusoïdal modulant..
Limitations de la démodulation
par détecteur de crête.
26
13
25/04/2020
• Détection synchrone
On doit donc utiliser un autre procédé: la démodulation synchrone. Pour cela on multiplie
vs(t) par la porteuse de fréquence fp. On pourra montrer que le spectre du signal obtenu est
constitué de plusieurs composantes de fréquences : fm, fm + 2fp, 2fp − fm, 2fp et d’une
composante continue. Il suffit alors d’envoyer ce signal sur un filtre passe‐bas pour ne garder
que le signal basse fréquence (fm) et la composante continue.
27
Conclusion
• On le sait maintenant tout signal est
décomposable en une somme de sinus et
cosinus.
• On a pu ainsi voir qu'un signal est caractérisable
par une fréquence, que l'on peut obtenir après
un filtrage. Le filtrage peut donc être de plusieurs
ordre selon le degré du polynôme définissant la
fonction de transfert.
• Nous avons pu voir comment on fait pour
envoyer des ondes grâce à la modulation de
signal.
28
14
25/04/2020
Bibliographie
• Marie‐Noëlle Sanz, Anne‐Emmanuelle Badel et
François Clausset “Physique TOUT‐EN‐UN MPSI ‐
PCSI – PTSI”, 3ème édition Dunod Paris 2008
• J‐M.Brébec, T.Desmarais, M.Ménétrier, B.Noel,
R.Noel et C.Orisini « H‐prépa électronique
électrocinétique MPSI ‐ PCSI – PTSI” Hachette
2003
• Professeur Gaudin « Cours rappels et
compléments d’électrocinétique » UM6P 2019
29
15
23/04/2020
Conversion de puissance
électro-mécanique
Niveau : PSI
Réalisé par:
RGUIBI Abderrahim
Objectifs:
Prérequis:
Induction
Milieux ferromagnétiques
Force et énergie magnétique
1
23/04/2020
Plan:
I. Rappels d’électromagnétisme
II. Conversion électromécaniques de puissance
III. Machines tournantes
IV. Conclusion et Perspectives
V. Bibliographie
I. Rappels d’électromagnétisme
I.1. Force de Lorentz
colinéaire à
2
23/04/2020
On a :
Force de Laplace
Figure 2 : Force magnétique s’exercant sur
un élément de courant
5
F.E.M
La loi de Faraday
La circulation des champs électromoteur
de Lorentz et de Neumann
3
23/04/2020
Remarques:
4
23/04/2020
Stator
Principe de fonctionnement :
Pour finir, on rajoute le principe fondamental de la dynamique appliqué Figure 4 : Modèle équivalent d'une
à la partie tournante ramenée sur l'arbre moteur : MCC
Avec Jeq le moment d'inertie de la partie tournante ramené sur l'arbre moteur et feq les frottements
visqueux appliqués sur l'arbre.
10
5
23/04/2020
Bilan de puissances :
Rendement :
11
12
6
23/04/2020
Définition:
Principe de fonctionnement :
13
Vitesse de synchronisme
14
7
23/04/2020
Diagrammes de Fresnel :
Équations caractéristiques :
Électrique
Magnétique
Mécanique
Électromécanique
À excitation constante :
À excitation variable :
15
Bilan de puissances :
16
8
23/04/2020
17
V. Bibliographie
18
9
23/04/2020
Conversion de puissance
électro-mécanique
Niveau : PSI
Réalisé par:
RGUIBI Abderrahim
19
10
29/04/2020
III. Autres dispositifs interférentiels par division de front d’onde Réalisé par: A.ELHARRAK
29/04/2020 conclusion 1
introduction
Interférences
Cohérences spatiales
Par division de front
Les sources lumineuses Par division d’amplitude
d’onde
Cohérences temporelles
1
29/04/2020
I. Trous de Young
1-Expérience de Young
29/04/2020 3
I. Trous de Young
2-Intensité lumineuse (éclairement )
1
29/04/2020 cos 𝑎 cos 𝑏 = cos 𝑎 + 𝑏 + cos(𝑎 − 𝑏) 4
2
2
29/04/2020
I. Trous de Young
2-Intensité lumineuse (éclairement )
sachant
, cos(𝜔𝑡) =0
29/04/2020 5
I. Trous de Young
3-Double trous de Young
3
29/04/2020
I. Trous de Young
4-Figure d’interférence
4-1- Franges
𝛿 = 𝑘(𝑟 − 𝑟 )
Pratiquement
𝑟 − 𝑟 ≈ 𝑎.
𝑟 − 𝑟 = cte y ≈ 𝑐𝑡𝑒
29/04/2020 7
I. Trous de Young
4-Figure d’interférence
4-2- interfrange
C’est espacement des franges, c-à-d la
différence entre les positions de deux
maxima consécutifs
𝐷. 𝜆
𝑖=𝑦 −𝑦 = = Δ𝑦
𝑎
29/04/2020 8
4
29/04/2020
I. Trous de Young
5- Facteur de visibilité, contraste
𝛾=
𝐼 = 𝐼 + 𝐼 + 2 𝐼 𝐼 𝐼 −𝐼 2 𝐼 𝐼
𝛾= =
𝐼 = 𝐼 + 𝐼 − 2 𝐼 𝐼 𝐼 +𝐼 𝐼 +𝐼
𝐼 = (𝐼 + 𝐼 ) 1 + 𝛾 cos 𝛿
on définit visibilité :
𝜈= 𝛾
29/04/2020 9
I. Trous de Young
6-Déplacement des franges par variation d’indice
6-1- exemple
𝛿 = 𝑘 (𝑆 𝑀) − (𝑆 𝑀) = 𝑘(𝑟 − 𝑟 − 𝑛 − 1 𝑒)
𝑎𝑦
𝛿=𝑘 − 𝑛−1 𝑒
𝐷
On pose 𝑌 = 𝑦 − 𝑛 − 1 𝑒.
𝑎𝑌
𝛿 = 𝑘.
𝐷
𝐼 = 2𝐼 1 + cos 𝛿
Les franges restent parallèle à (Oy) mais décalés de Δ𝑦 = 𝑛 − 1 𝑒.
L’interfranges i n’est pas modifié
29/04/2020 10
5
29/04/2020
I. Trous de Young
6-Déplacement des franges par variation d’indice
Avant : ∆𝐿 = 𝑚. 𝜆
Après ∶ ∆𝐿 = (𝑚 + 100) 𝜆
∆𝐿 − ∆𝐿= 100 𝜆 = (𝑛 − 1)𝑒
Donc :
𝑛 = 1 + 100
𝑛 = 1.000295 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒 = 20𝑐𝑚
29/04/2020 11
I. Trous de Young
7-Déplacement des franges par décalage du point source
𝑎𝑦 𝑎𝑦′
𝐷 −𝐷 = 𝑑 −𝑑 =
𝐷 𝑑
29/04/2020 12
6
29/04/2020
dy′
𝑑𝐼 = 2𝐼 1 + cos 𝛿
b
𝐼=∫ 1 + cos ( + dy’
d
𝜋𝑎𝑏 2𝜋𝑎𝑦
𝐼(𝑥) = 2𝐼 1 + 𝑠𝑖𝑛𝑐 cos
𝐷𝜆 𝐷𝜆
𝜋𝑎𝑏
4𝐼 𝑠𝑖𝑛𝑐
𝐷𝜆
29/04/2020
b 13
répartition de Lorentz
due à la collision entre atomes par effet thermique
29/04/2020 14
répartition de Gauss répartition de Lorentz
7
29/04/2020
𝐼 = 2𝐼 1 + cos 𝛿
𝑑𝐼 = 2𝐼 1 + cos 𝛿 𝑑𝑣
2𝜋𝑎 𝑦
𝐼= 2𝐼 1 + cos 𝑣 𝑑𝑣
𝑐 𝐷
29/04/2020 15
29/04/2020 16
8
29/04/2020
A partir d’une seule source (cohérence temporelle) ponctuelle (cohérence spatiale), on forme deux sources
secondaires cohérentes.
29/04/2020 17
29/04/2020 18
9
29/04/2020
29/04/2020 19
29/04/2020 20
10
29/04/2020
Conclusion:
29/04/2020 21
29/04/2020 22
11
28/04/2020
Pré-requis
• Optique géomètrique
• Phénomène d’interférence
• Structures périodiques en optique
1
28/04/2020
Plan
Introduction
I. Spectrographe à prisme
I.1. Définition
I.2. Pouvoir de résolution
II. Spectrographe à réseau
II.1. Définition
II.2. Pouvoir de résolution
III. Application aux spectres stellaires
Conclusion et perspectives
28/04/2020 Spectrographes interférentiels et pouvoir de résolution - FOUAD 3
Introduction
Il faut tout d’abord différencier entre le spectromètre,
spectroscope et le spectrographe:
• Spectromètre : balaye tout le spectre
• Spectroscope : permet d’observer les différentes
raies
• Spectrographe : permet de mesurer les longueurs
d’onde et d’enregistrer le spectre
28/04/2020 Spectrographes interférentiels et pouvoir de résolution - FOUAD 4
2
28/04/2020
I. Spectrographe
à prisme
II. Spectrographe
à réseau
III. Application
3
28/04/2020
II. Spectrographe
à réseau
Le pouvoir dispersif devient alors :
III. Application =
III. Application
Pour que les deux images soient séparées il faut que :
𝑑 > a’
28/04/2020 Spectrographes interférentiels et pouvoir de résolution - FOUAD 8
4
28/04/2020
I. Spectrographe
à prisme
II. Spectrographe
à réseau La limite de résolution (∆λ)1 du spectrographe
III. Application
II. Spectrographe
à réseau
Pour une longueur d’onde λ donnée et un ordre k fixé, on
III. Application désigne par 𝐷 = 𝜃 − 𝑖, la déviation
On obtient une dérivation minimale 𝐷 pour
5
28/04/2020
𝑑 =0,31mm> a’
III. Application
Donc on voit clairement que les doublets sont bien séparés.
II. Spectrographe
à réseau
III. Application
6
28/04/2020
Ouvertures
• Spectrométrie et Spectrographie Interférentielles
par Dédoublement Achromatique Transversal de
la Source
• Spectroscopie astronomique
Bibliographie
• Lumbroso Optique MP/PC/PSI
• Pérez Optique
• CCP 2006 MP PHYSIQUE2
• http://articles.adsabs.harvard.edu//full/1940
AnAp....3...13D/0000017.000.html (consulté
le 25/04/2020)
28/04/2020 Spectrographes interférentiels et pouvoir de résolution - FOUAD 14
7
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