Définition : obstruction aigue de l’AP ou l’une de ses branches par un embole dont la nature est:
Dans la majorité des cas est de nature frinocruroique
Elle est très mal tolérée.
Un embole : on avais dit que c un corps etranger circulant ds un vx ou une cavité cardiaque et qui va
s’emboliser , va s’enclaver en biuchant le vx ,l’artére quand le diametre n’est paas assez grand pr lui céder
passage
Ds la plupart des cas ,ds 90°/° des cas ou plus , la nature de l’embole ds l’embolie pulmonaire est
fibrinocruroique ,cad ce n’est rien d’autre qu’un caillot de sang , dans des cas plus rares, alors ds des cas
plus rares ça peut etre septique , gazeuse , neoplasique , graisseuse ds des fractures ; améniotique après
une grossesse …. Tout ça ne représente que 10°/° des cas ; mi ds 90/° des cas il s’agit d’un embole
fibrinocruroique , cad un caillot de sang, ds le point de depart est bien_sur une thrombose veineuse
profonde srtt celle des MB INF , c pr ça qu’on a regrouper la maladir d’embolie pul et thrombose veineuse
profonde s/f d’un seile cadre nosographique nosologique, une seule maladie qu’on appelle la maladie
thrombo_embolique veineuse
C quoi la maladie thrombo_embolique veineuse, c une maladie qui regroupe à la fois un versant
périphérique qui est la thrombose veineuse profonde , et puis sa complication directe qui est l’embolie pul ,
qui est le versant pul et la complication de la 1ere
Alors ds cette def vous avez dit l’element le plus important était le caractére aigu , brutal, et donc l’embolie
pul survenat brutalement , elle ne laisse pas le temps au cœur à la circulation de s’adapter
et tôt ou tard il va s’arrêter et boucher le vaisseau (le vaisseau aura un diamètre inssuffisant) ! il peut avoir
plusieurs nature : fibrinocruorique ++++, séptique, gazeuse néoplasiqueLe
Il est forcément artériel ! car les artères se bifurquent et diminues le diamètres (pieger et enclaver
l’embole). Alors que la veine se dilate quand elle reçoit du sang.
Il y a trois types d’embolies : Systémiques et pulmonaire +++, le troisèmemazal
Le point de départ de la systémique : cavités cardiaque gauches , ou un point plus avant dans l’artère (il
peut se detacher et emboloser l’artère plus en amont)
Le point de départ de la pulmonaire : veineux ++++ (thrombose veineuse profonde des membres inférieur ),
cavidtés droits (rare)
L’embolie paradoxale : de droite à gauche ou de gauche à droite (CIV, CIA)
Conséquence :
Obstruction de l’artère pulmonaire (réduction du diamètre de l’artère pulmonaire)
Conséquences respiratoires : augmentation de l’espace mort anatomique (ventilé, mais non perfusé)
En cas d’EP, il va y avoir un deuxième territoire possible qui continueras à être ventilié mais non pérufsé
Deuxième conséquence : l’effet shunt : courcircuit des capillaires pulmonaires, partie du sang qui ne vas pas
aux capillaires (pas d’oxygénation)
On peut avoir un retricissement pulmonaire en amont, on aura donc un shunt droite gauche ! (source de
cyanose)
Ce n’est pas un shunt vrai, mais un effet shunt (dû à l’insuffisance des echanges gazeux)
On aura un surdébit qui traverse le poumon sein ! ce qui va engendrer : il passe deux fois plus rapidement
donc il n’aura pas bcp de temps pour s’oxygener ! ça va reproduire les memesconséqquences d’un shunt (il
pase trop vite). On aura une innadéquation entre la perfusion et la ventrilation.
Cet effet shunt va donner : un hypoxémie , hyperventilation (reflexe, dû aux centres regulateur au niveau
du plancher du 4eme ventriculaire hyper ventilation reflexe) Hpocapnie (le CO2 n’est pas géné par
l’effet shunt car le CO2 passe rapidement la barrière alvéolo-capillaire) alcalose respiratoire !
Conséquencehémodynamiqeou cardiaque (cœur droite VD) :le VD est habitué a la facilité (dû aux faibles
résistance pulmonaires). La diminution du dimaétre pulmonaire augmentation des resistance
augmentation de la contraction ventriculaires source d’HTAP pré capillaires (on peut avoir un OAP
lesionels après l’embolie). Le VG n’a pas le temps de s’hypertrophie (c’est un phenomene aigue). Le seul
mecanisme d’adaptation qu’on est l’augumentation de la force de contraction du VD on aura une
dilatation pulmonaire une fois qu’il sera vaincue par les resistance pulmonaire une Embolie pulmonaire
avec turgescence des veines jugulaire est très grave car cela signifie que le VD est vaincu
Remarque : cette HTAP ne depasse pas 40-50lmmgg, si ça depasse, c’est que c’est dû à autre chause (HTAP
chronique)
Résumé : réduction du lit arteriels pulmonaire (réduction du diamètre) reistanceaugumenté force
contractile du VD augmenté (non hypertrophié) HTAP pré capillaires
Resistance
Obstruction
L’embolie pulmonaire se produit par des episodes emboliques succéssives à partir du même thrombus (qui
se regenenere , re embolise, regenere, re embolise)
Ce n’est pas psk le patient est stable, que l’embolie pulmonaire n’est pas massive et vis versa !! la moindre
petite recidive peut entrainer un etat de choc ! (certains auteurs préconisent la thrombolyse meme sans
etat de choc)
Le diagnostic est très difficile :
Tableau non spécifique , tableau polymorphe
Il faut la suspecter devant tout tableau (le plus fréquent : devant toute dyspnée récente ou d’aggravation
récente INEXPLIQUE)
TOUTE DYSPNEE INEXPLIQUE BRUTALE D’AGGRAVATION AIGUE DOIT FAIRE EVOQUER LE DIAGNOSTIC
D’EMBOLIE PILMONAIRE
La douleur thoracique est de type pleural !
L’Hemoptisys est un signe tardif (signe d’infarctus pulmonaire), inconstantte (pas tout le temps infarctus),
de petite abondance (petit territoire d’infarctus car le poumon a une deuxième vascularisation nourricière
provenant des branches, le tissu pulmonaire peut aussi s’oxygener directement des alvéoles)
La syncope : la baisse brutale du débit cardiaque (elle arrive souvent durant les episodes emboliques)
Si c’est une embolie basi thoracique : douleur +++
Si c’est plus vers le haut : dyspnée +++
Signe physiques :
Le tableau clinique est le plus svt pauvre
Le contraste : signe respiratoires criants et signe physique pauvre SUSPECTER UNE EMBOLIE
PULMONAIRE
La présence d’ICD est déjà un signe de gravité !
Pouls paradoxal de Kussmaul : le pouls est diminué à l’inspiration ! c’est un signe de gravité car le ventricule
droit est déjà dilaté ! il va dilater le sac péricardique il va le faire en depend du VG former le septum
paradoxal compréssion du VG par le VD dilaté au sein d’un sac péricardique dilaté.
La recherche de la thrombophlébite
Les signes cliniques d’une thrombophlébite :
On peut palper la veine profonde poplitée au niveau du creux poplitée
On aura un oedeme unilatérale, résistant et ne prend pas le godet. (il peut aussi être du à une arthrite)
On peut aussi avoir une rougeur (phenoméne inflammatoire)
On peut avoir un engorgement des veines (ils sont engorgé de sang, dû au contornenemet de l’obstacle et
au passage par le reseau superficielle)
Tout ça concerne la forme commune de la thrombophlébite (phlegmatia alba dolans)
On peut avoir un tableau plus dramétique : Phlégmationséruladolans
On aura un oedeme plus important avec une jambe bleue : la compréssion est arteriel !!!
On l’appele la phlébite bleue de Gregoireurgence chirurgical
Quand le thrombus obstrue une veine proximal (un gros tronc veineux) totalement tout le retour
veineux du membre est genée le membre continue à être alimenté par l’artère OEDEME immense
l’aponévrose est au maximum de sa distension ARRET de l’aggrandissmeent de l’eodreaugmentation
de la pression des tissus au niveau du membre l’artère va être complètement comprisé (Ischémie
surrajouté) Douleur intense ischémique, membre froid, bleue, ABOLITION des pouls
périphérique
On peut une aponévrotomie
L’ECG :
Le plus souvent normal
On peut avoir :
- Une tachychardie sinusale (signe le plus fréquents mais moinspéc)
4 signes plus spécifiques : ils signifient une dilation brutale des cavités doites
BID ou BBD récent (deviation septale)
Déviation axiale droite récente (signe de surcharge droite)
T négative V1V2/V3(signe d’ischémie du ventriculaire droit il augumente ses besoins, et
quand il augumenter sa force, il auguemente sa presison au depend de la préssion coronaire
hypoperfusion coronaire !) Ischémie fonctionnel
Aspect S1Q3
Ces signes ont une valeur d’autant plus grande que leur caractère recent a été confirmé. SI c’est ancien, ils
perdent leurs valeurs
L’un de ces quatre signes peut suffir.
Le signe le plus fréquent reste la tachysinusale.
Biologies : D-dimères postifs (à chaque fois qu’il y a thrombose, il y a un phenomene de lyse du caillou)
Excellente valeur prédictive negative. Il est peu spécifique et extrènement sensibles.
Si c’est négatif, ça peut quasiment exlure l’embolie, si c’est positif, ça ne veut rien dire
Troponines parfois positive : élément de gravité (Lyse des myocytes)
Ischémie fonctionnel du VD
Ca n’aide pas au diagnostic
Examens complémentaires :
Echocardiographie Doppler :
Ça permet le diagnostic indirecte l’embolie pulmonaire, c’est un désavantage car ces signes sont des signes
tardifs et de gravité elevée !
Si l’embolie pulmonaire n’est pas massive et ne retentit pas, bah l’echo sera normal.
L’echo sera utilie devant un etat de choc avec altération hémodynamique, on pourra observer la dilation
des cavités droites
AVANTAGE : INCONVENIANTS :
1- Très bon valeur prédictive négative 1- Problème de disponibilités
2- Bonne valeur prédictive positif si elle met en 2- Transport délicat du patient (provoquer
evidence des territoires ventilé-perfusion d’autres épisodes embolique) vers un autre
3- Elle est souvent non diagnostic (dans 40% centre d’hospitalisation
des cas, surtout chze les patients qui fument 3- Ca reste toujours des signes indirects grâce
depuis longtemps…etcetc) aux défauts de perfusion
4- Examen non invasive 4- L’irradiation est pas négligeable, surtout
chez la femme enceinte, meme si elle est
moins irradiante que l’angioscan
L’ANGIOSCAN :
On Fait des coupes extrènement fines pour ne pas rater le vaisseaux (plus c’est fin, plus les structures sont
bien visualisé).
AVANTAGE : INCONVENIANTS :
1- La plus part des appareils de scanner font 1- Contre indications : IR (car le produit est
des angio scan (pratiquement disponible néphrotoxique)
partout) 2- Le produit de contraste peut être allergisant
2- Ne neccessite pas de transfert de patient (choc anayphylactique possible)
instable 3- L’irradiation qui n’est pas negligeable,
3- Principal avantage : diagnostic de certitude surtout chez la femme enceinte
car on va voir directement l’embole à 4- Ne permet pas de voir des embolies
l’interieur du vaisceau pulmonaire pulmonaires trop distales (plus on va vers la
4- Il permet de faire des Dg differentiel : ça distalité, plus les vx deviennent petits)
visualise aussi l’aorte, le péricarde, le
parenchyme pulmonaire... (Redresser le
diagnostic
5- Permet une approche grossière du
pronostic : estimer le territoire embolisé !
L’ANGIOGRAPHIE PULMONAIRE :
AVANTAGE : INCONVENIANTS :
1- Opacifié tout le lit arteriel pulmonaire 1- Invasive (utilisation d’une sonde pour
permit de visualiser une image lacunaire ou injecter le produit de contraste dans l’AP)
une obstruction cupuliforme dans l’artère 2- Rx
DIAGNOSTIC DE CERTITUDE 3- Injection de produit de contraste
2- Permet d’explorer l’ensemble du lit arteriel 4- Complications à type d’embolie pulmonaire
pulmonaire, même la DISTALITE ! (cet provoqué par le test
avantage n’est pas décisive, car ne sont pas 5- Disponibilité (salle de KT )
dangereuse)
3- Estimer le degré de l’obstruction (grâce à
l’indice de Miller) utile pour le pronostic
50 a 60% embolie pulmonaire massif
Le bon choix : l’Angioscan (rapport avantage inconveniant bénéfique)
Il est très spécifiques et très senssibles (sauf distales)
DIAGNOSTIC :
1ere étape : Estimation de la probablité clinique
Si faible ou intermédiaire Biologie : Di-Dimère (grnade valeur prédictive négative) si positif
ANGIOSCAN pour confirmer (sauf femme enceinte par exemple ou autre contre indication, on fait une
scintigraphie)
Si Embolie avec etat de choc Si scanner dispo : DIRECTE ANGIOSCAN pour gagner le plus de temps
possible
Sinon échographie : car dans l’état de choc, dilatation des cavités droite !
INFO : Collapsus : sa définition purement hémodynamique (chute de trension brutale, baisse brutalement)
Quand ce dernier est accompagné par des signes de souffrance tissulaires, on parleras alors d’état de
choc.
Hypovolémie, signe de souffrance viscéral + insuffisance cardiaque Choc cardiogénique !
2) Traitement anticoagulation (car l’embolie est souvent fibrino-cruorique, et même si elle ne l’est pas,
il y a une complication fibrino-cruorique dû à la stase) : Héparine, HPBM, AVK
Il a pour but de prevenir la récidive (en bloquant l’hemostases), cela va aussi empecher les thrombi
déjà forme d’augmenter de taille
Vu qu’il y a urgence, on utilise l’héparine :
Avantages : Inconvénients :
1- Action rapide instantané 1- Nécessite un traitement parentérale (en
2- Entraine le meme risque hémorragique SC ou en IV délicat de prolonger le
que l’AVK sauf que l’hémorragie produite traitement au long cours)
par l’héparine est plus controlablegrace 2- Thrombopénie induite par l’héparine
aux sulfates de protamine (auto-immunité) risque proportiionnel
à la duré du traitement
Les AVK c ‘est l’inverse.
Info : le trt a l’héparine necessite tjrs une surveillance du taux de plaquette
On commence le traitement à J 0 par les HBPM (plus efficace que les HNF dans l’embolie pulmonaire) à
dose curative qui vont avoir un effet instantané. A J 1, je commence le traitement aux AVK (diminuer le
risquer de thrombopénie induit par l’héparine) et je vais contrôler l’INR (le syntron va inhiber la synthèse
des facteurs 2,7,9,10 en inhibant l’enzyme réductase de la vitamine K, on bloque le recyclage de la vitamine
K)
On verifie après 3-4 jours l’INR (car le TP peut varier selon les labos contrairement à l’INR)
L’INR cible : 2 à 3.
Si c’est une embolie pulmonaire dû à une cause réversible, la durée du traitement sera de 3 mois.
Si c’est une cause irréversible, le traitement est à vie.
Si la cause est inconnue, la durée est de 6 à 9 mois, puis on pèse le pour et le contre ! (risquehémorragique
et risque thromboembolique), ça va être au cas par cas !
Si j’ai une récidive d’une cause inconnue, le traitement est à vie.
NB : Pour les cancers à haut risque hémorragique, le traitement est à vie aux Héparines non fractionnés.
Le filtre caves : sauve le pronostic le vital, mais avec une aggravation momentanée de la thrombo-phlébite
Indication de choix : quand il y a une contre-indication aux traitements anticoagulants. (hemorragie
cérébrale par exemple) on utilise des filtres caves retractables, après l’hémorragie on l’enleve
L’embolectomie chirurgicale : embolie pulmonaire avec etat de choc avec contre indication ou echec aux
thrombolitique.
10 à 20% de mortalités (en Europe)
1- OCYGENOTHERAPIE ET CORRECTION
2- ANTI COAG
3- FILTRES CAVES
4- THROMBOLYSE
5- EMBOLECTOMIE CHIRURGICALE
Traitement préventif :