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LES
POÈTES DU PEUPLE
Al XIX' SIECLE
— Inij). d'OIiviei-Fulgence et Comp.
LES
POÈTES DU PEUPLE
AU XLV SIÈCLE
ISiG
AVERTISSEMENT.
II AVERTISSEMENT.
du génie.
de la poésie.
France, nous desirons les unir l'un ;\ l'autre par les liens
)'^
POfiTES DU PLI].
C'OX<>»T A \T lï 9 li UFV
rcuse. Sa nière ,
(jui était une cxcollcnlt'
contredit ,
ipTil s'arian{;i>a de manière à 41er-
essentiellement liiéroglypbiques !
CUNSIAMI IIII.IU.V
un sujet si plaisant.
''
A MesdemohiUcf, *
uni nidroicHi n\v>(r à
(dlcr t/c.'v y\ \.
,
j);ii'co qiio ,
ajr»ul;i-l-il , en omj)loyaiit le liUî-
l'anbcrjie ,
il aelielail un j^ain de deux sous
'
Chacun vent acqiii rir des connais';. iiiccs, mais de payrr 1
sa niofpierie.
L aj)pariii()n de ce inoi'ccau cl Tiibcrlion de
Tel je me moi-même,
relourne
A peine au sommet du eoteau,
l'our donner un regard sui)rènie
Aux eliamps qui furent mon beiet-au !
A M. VICTOR HUGO.
20 (:0.>SiAM UII.BEY.
f i
(;()>siA>r im.iîi V. 21
'riuicydidc ,
incite, Monlesquieu ,
Corneille,
Racine, et quelfjiies poêles modernes. C'est
sous ces nobles cl crandes inllnenecs (jue se
de la nalui'c.
Talène cl le tianchel.
50 (.lO^M.LI ,
suivants :
Tibulle.
Ô2 • .(J.NZALLF.
I
i;o\/vii.i:. 35
36
1 l.i'|iirii<in i\f riitilcur sui .I.-.I. Houssenn »-sl éviilciimicnl lùute pudique. Il
tn-
— Kiiinklin
,
meaux ,
la déclamation et Texagéralion. Tel
Himm ï FoRiaiDtlkî'j,
massant du bois.
rillimélique et de mémoire.
Pendant son court séjour dans ce pensionnai,
le jeune Dm*and raj>porle nu Irait de caractère
personnel que nous croyons devoir rej)ro-
duire :
'
Cl llo fniiiiiiiii ii'c<l ii;is iiou\"'llc 1 i elle i\Vn ''>t l'as \i\u< »i,i-
'i'5 ALtXlS DLUAM».
que lableau.
d'être raillé.
2" 11 est fiiiix ([Ile Ic^ inriiiior.-; du t'Iii'iis aiciil [K'nsi'' couimi' lis
pliilftsoiihos. U.-i 111^ [loiivaii'hl a\iiii- de U'iiiiilcr; Itusiiu'ils ('laicnl
forcés (le se oaclicr |iiiin' cr'ir'lner le» saint* mvstèirs; mais ils hà-
tireiit lies églises, dès (|iie cela leur fii! permis, et elles fiirciil d'-
molies pendant l;i persécution de Dinelélieu. 11 y eu avail ciilai-
nement du temps d'Origène. Jamais les chrétiens n'ont tenu leurs
assemlili-es en pleine eampaiiUi'. 'C>FRttP.r,Diri/mnaire tla-'olo-
pique. ,
48 Ai.iixis jniuND.
pas un sou ;
ils avaient reçu une brillante édu-
gadier.
iLà ,
il apprit le (Icbniqucnieiil de Napoléon.
rèlèrciil à SainkMaixenI ;
niais, au bout <le
parler la lanj'ue.
(lanjjers.
nité .
<•! même dan> le ciel, pu >(pieje v()\ai> les.
juiuvi'ctc !
la cùle. et i
étais Iransporle d admiration à las-
I
') A(iènes, mes paoli j^-'idircul nioiiK. ; j':d
,
nolone, qui ,
()oui' plaire, doit recourir à d in-
miinioii mt/ildire.
bi'L'Vct.
d
ALEXIS DIRàND. B9
BOUQUET DU ROI
\j' tcmits a tout dt'lniil ; oii n'a jjltis j)Oin' les bois
La vi'Mii'ialion ([u'on avait autrefois;
paycM' ;
mais coiiiine la bourse se déseinplissail,
lu ciiansoii laisail fermenlei' dans le cœui' et
païens.
sôclier.
LE MOUSSE DE LA LOIRE.
Je soiii'fremon co'iir
! liai Irop lo; I
'
O mon père !
ma mère !
I)esarls,(lela jrlnirf !
Le clocher de SidnI-Pierre ;
((mon iPLTc !
O ma iik'tc !
17 JanviîT 1843.
A REFOUR
' Irmaiiiiln yuf„uv. Lis Ar l'iroiMhill.ni .Ir S.innini . :< (loii.>r ];i prruve que
S0II5 iiKidi-.sti; lllcnl^f jjall.iil un
.-.il co.'iir g<iriiri;T ; ^J cuiuluilf îi rté au ilessus île
crainte de Dieu !
qii il
y a de plus précieux au monde, un ami
dans la personne de Al. Pierre .lavouhey, jeune
hoimne m;;(lesle, sa;;e, pieux . le neveu (Kune
(\r^ lémme> les j lu ; rcspeclablo |>ar si s vertus
-
llll•l<)l.^ Il \ iiii.c.vr S7
N'as-tu pas. dan; les 'aux, dan* les ^enl^, dans les bol;
1III'1'«M/V IT. M'M.t;\l . IJl
04 iiirroivn \ mi.i vi
larmes.
et à Tamilié.
Tissciani à Lizy-str-Oiiicq,
la |;râce et de la (;:cilil<'.
piiMlioii ;
comnic l;i ( liiysjilidc il siihil une iiu'-
vei's suivants :
RÉPONSE DE MAGU.
ENVOI.
MACr. 107
et si pr«'cise :
d08 M AGI
A MA NAVETTE.
A mes amis ,
cpi il eoin])(e sur le mérite du por-
trait j)oui' aidei' à la lorluno de son li\i'e? et il
reniit à un connnis ,
|)our aller la porter à
gratuitement.
A y]. MA(iL ,
Tisserand à Lizy-sur-Otircq.
Le Pair de France,
Ministre de l'inslruclion publique,
\ II.LKMAI.V.
leurs Uiniiùres :
iiomie.
11
EUGÈ.^E OHRIT
1^1^Uè:\E OJKKIT,
Composileur-lypoijrafîie.
(lramali(pie ,
j)oésie intime ; les sujets les plus
1
2(i i;i (.km: (tuKii .
typo|vraj)he ;
mais de sa \ie il axait lait di^yw
Monsieur,
souflrances exprimées dans ses vers ont été |)our lui une
réalité ; il n'a seulement pas eu le moindre dédomma-
'
,MM. laiii Ll Ihuuul.
J28 ELGÈ.NE URRIT.
pardon.
Un jour, madame Orrit ayant trouvé soii fils
j)as releiuie.
et la solitude.
en matière!
Le vide de la mort ;
12.
iùB £LGh>L UUUli.
L EGLISE
UN SVLI'HE.
Voyez !
PUEMIÈnE ONDINK.
LE SYLPHE.
('.hariiiaiile fée,
I.A IKi:.
LI£ SVLPlli:.
LA IKt;.
i'HKMiiir. svLi'iii;.
I.A I Ki;.
^ais('/,-^{lU:i.
r,LS [lariiles
Sont t'Iiaii^c.-.
iii:r\ikMi; sii.niE.
PnKMlkUE OMlINIi.
l'ollron.-!
alijrs sdiis Ips arhi'ps, rt , (iittind rlh'it fini, iinc mi.r s'élère
(liilt^ Uitr liifpclinn oppiisrr.
pmcMiicnK VOIX.
Au liniide \ ol;
Dr iilenrs ('•IdutTée
Kl lasaiil U- soi,
niaxiKMF. VOIX.
.l'aime le l'euillap-e
DFAXiii.ME FÉE.
Me voici !
thoisième h'.e.
Me voici !
PKEMIEnE FEE.
Que vous ont dit les vents, les étoiles, les mies?
DEUMÈME FÉE.
TROISIÈME FÉE.
del:xiè.me fée.
TR0IS1È.ME FÉE.
pnn.MiKRK FKf:.
Le cercle magitpie
Sur riierhe reluil ;
Ijienr iaiitasli(|ue
lîrille dans la nuit.
CliMiit cal)alisti(pie
L'aiipel l'alidi(pie ;
L'esprit i)ropIiéli(pie.
Vile, l'heure fuit.
[
l'ne flaminr s'élève toui à coup suus le chéiw ; tes fées
LES SYLPHES.
Le vent s'élève.
Comme un rêve,
Sur les gazons,
Sur les sables,
Insaisissables,
Nous passons.
Formons la ronde
Dans un éclair ;
Le vent s'élève.
Comme un rêve,
Sur les gazons,
Sur les sables.
Insaisissables,
Nous passons.
d'autres SYLPHE-;.
QUELQUES SYLPHES.
Voyez ! de ces naissanles fleurs
Déjà se fanent les couleurs!
[Pause.)
IN SYLPHE.
Rose pâle
Dont le dernier soupir
S'exhale,
Tu vas mourir !
Soumise
Tu penches tristement
Ton front dépouillé lentement.
Sens-tu la brise
Accourir?
Rose, lu vas mourir !
i'ur.MiiiUK FÉi;.
Silence, silence,
Doux enfants des airs,
l>'esprit de vengeance
Sui'git des enfers !
l'UEMUilil:; lEE.
Silence, silence,
Doux enfants tics aiis,
SYLPHES ET O.NDl.NES.
Adieu !
Adieu !
Adieu !
[
l ne pause. )
[Longue pause.]
13.
150 ELGÈMi OKUIT.
DEUXIÈME FÉE.
L'heure ! voici l'heure !
.\'en1cndez-Y0us pas
La l'orèl cpii pleure
A ce bruit de pas?
Elîravant mystère !
Sentez-vous la terre
Frémir et trembler ,
El du chêne austère
Le tronc s'ébranler?
Tout se tait silence
; !
La lune a pâli ;
Où l'astre s'engage
Sous le noir nuage
Presque enseveli.
Elle éclaire à peine
Mont, forêt et plaine
De ternes lueurs;
Dans sa marche lente
Son disque s'augmente
De vagues rougeurs.. .
La feuille jaunie
Vole en loui'billon ;
Meurt le papillon ;
Contre le manoir.
Le vent se décliaîne,
Courhe le grand chêne,
Tortl, d(''pouille, ahat
La débile plante
Qui, sous la tourmente,
En vain se débat.
Et traîne, brisée.
Sur le sol poudreux
Sa lleur irrisée
Pleine de rosée....
Toinbillon affreux !
L'éclat disparaît ;
Elle se relève;
Mais le vent, sans trêve,
Frappe à coups pressés
Les cimes géantes
D'effioi mugissantes ;
l-ni-MlkllE FIÎE.
morlelle atteinte,
La llamnip est éteinte !
Silence et mystère !
Silence et mystère !
Etlleinant la terre
J^es [las lii''silants.
Je suis un vova!j;eur:
Sur son j('unc front iiàiu
Je vois l'ombre fatale
De la main du Seigneur.
DEUXtiiMK FKE.
PREMIÈUE 1-ÉE.
(
Les fées disparaissent. L'orage continue. Le ciel est
fianeo de voiis-iiièine ;
songez à (ia\ ailler pour
vos enl'anls et non pour vous. Car. nous jie le
nombreux innrlyrs ;
hilte doiil Tlieure sonne ;ui
conrnfT(>derenlreprcndre? Écoulez-m(ti :
1 î
HIPPOLYTE TAMPUCCI
HIPPOLYTt: TA.^PlCtl.
toucher.
chissement ;
pour laquelle même il avait coin-
lliri'nL\iK lAMl'lCCI. 16j
liberlé?
loiiilaiiie.
TllftODORE I.F.nnETON
15
THKODOKf: liEBliETOiV,
Fils(riinj()iirnali('iel(rim('l)lniU'liissciiso,(jiii
lemj)cralure extérieure.
I
(lus ignorai its des jeunes ouvriers de la fabrique ;
tenterait aussi.
barbarie.
j)lus mâles.
;>()ureu\ el puissaul.
16.
, ,
H.
masses ;
— il esl illustre, aux yeux des lioniuies
relioieux de ions les pîiys, le pauvre ouvrier, qui,
lOpprcssion syslémali(pie ;
— illustre suivant le
vertu cl charilc!
niodcriîe.
nrlisans.
le diinaticlie ,
trois eours oraluits de tenue de
livi'es. de droit commercial et de géométrie ;
mains inconnues.
Celte oHivrc méritait l'approhalion que le
j)i-is(>nniers romains :
Elles loin iMiil ennlre ciiv entre les mains des luaves.
Romains, vous ero\e/.-vons, dans voire vanili'-,
Brizrvii.r.E. 205
Ma:on à Toulon.
la truelle.
Mais pourquoi ,
quand le soleil a londu le
poêle de la nalure.
linspiralion ,
encoie laul-il <pi'clle s.)il disci-
derai'l,quiétuilaiissilioiniiiede[>oùt.CeliilaI()rs
de soin ;
et, quand il eut épuisé vis à vis de lui-
de la publicité.
LEVER DU SOLEIL.
l,'!ij:ovisé à Partéga!.
M.)nl:,;«riH.\.l>- T,..,l,:
10.
22:2 i.OLis-r.H.VRi.F.s poncy.
II
Varmi les illvers systriiics d'(Scliafamlugc eii usage ilans le ir.iili, il <•» csl un .loi.l
1
inarors se servent, qm consiste à Mijpcmlie par les iIcuN lioiils, avec des palaiu
ll•^
Im.s »,;«» U-s luiis, lie |oiiK"''srrhelle5.iiiiieri)i\eni lrn.>m >{r /mnH. .Vulc rf» l'oiict.'.
,
,
A To'àlùii en 1E38.
20
BATlIIliU BOrXIOIi,
Typographe de Paris.
nécessairement cond)ler.
AMç^(1g::uB.... N. HB....D.
LK l'OJilt:.
Oh vous ne
! savez pas ce que c'est que la vie;
Ce qu'au fond de la coupe on peut trouver de lie,
Vous le , cnlauts
verrez du [)]aisir un se lasse
1 !
21
lier ds Pari?.
LE BOIS.
Allez au ]>ois ;
De douces \oi\.
Du lanii'aii xcri,
(;ai'cs?e-nioi;
Je suis à toi.
Apprlle aii??i ;
Qui s'enfouit ;
lionrdonnc et fuit.
'il.
21^ saVinîen l.vpointi:.
LV'clal iip?aiil,
i Lc« cris de la lorrcur, les pavés de la ville
Rouges de sang !
11 est ouvert!
conduit à Sainle-Pélagie ,
Saviiiicii [)ut jiij»>M'
I
!^AVIMr>- lAl'OINTF. 2 il»
vil , observateur ;
un sentiment délicat de la
'
M. .1.' (:ilAI.';iMlMi;ill.l.
âo6 (tvirm?; hébûakh.
M.
2Îj8 CLALDfUS HÉBRARD.
Oh que
! d'illusions ! que de vagues systèmes !
Viens je partagerai
! le poids de ton fardeau ;
sion.
'
La cascade à laquelle l'aiileur s'adresse exiàle dans le parc du
fhàteaii de Chùteaimeiif sur Loire, appartenant .\niadame Kulalif
Lebrun.
PU I. CERMir.NV. 2G9
» jicine bi
i
eus le temps d a]>prendre à assem-
)> hier les mots et \c ne fus admis, depuis, dans
» aucun*' aulre. Quand j eus alUinl I à|{e de
» pièce ;
mais il faut dire que les coniidents litté-
» moins périlleux ;
je ne compose plus que, de
» lejnps à autre , ([uelques pièces fujjitives ,
» dire en proNcncal ;
j'ai essayé de les bégayer
I.Ol IS t'KLAliON. 279
» par soi-iiièiîie!
Irères et sieurs.
écrites au chantier.
plus sévères.
LOUIS PKLABOX. 28')
L'HIRONDELLE ET LE CHRIST.
Kt l'obéissante hirondelle,
A ee tendre avis du Seigneur,
De plaisir secoua son aile
Kt tressaillit d'un saint bonheui'.
Depuis, sur la couronne auguste
Qui ceint le front de l'homme juste,
L'oiseau se plaît à se poser;
Alors, peiché sur cette branche,
11 prodigue à l'épine blanch(î
De son amour le doux baiser.
î
LOUIS I'I^:laiion. -2H1
(>.\l fil ordi liai l'O pour lo chatit dos oflicos cliviiis.
Coiffeur à km.
part :
nanl ,
[jrâco à Jasmin, ils suiil tout disposésù
roi du midi.
Après la publication de son beau poème
Françounelto ,
il se décida à venir à Paris
26
J02 JAQII-S JASIIIN.
Le bateau a sonné,
JATOLKS JASMIN. 503
Oh! hon Dieu! (luellc ville! oli ! hon Dieu! comme elle grandit !
8 MAI.
Il
Oh bon Dieu
! ! clans Paris comme la vie se hàlc !
I
JACQUES JASMl.X. 50o
Oh! c'est ([ue celui-là n'a |)as liesoin d'or sur ses murailles,
('ar il a la ^^loirc [JOur dorure,
Et surtout de[)uis ([u'il logea l'euiiiereur !
20.
506 JACniES JASMIN.
A mO :^' S I £ V K F © jV T È s .
MARS 18iO.
t
,
Car vous écoutez mes vers, vous aclietez tout ce que j'écris.
Et ma muse se pavane,
Parce qu'elle sait que nulle part elle n'est juyée mieux.
C'était le mien ;
je le vis d'abord.
1
1
JACQtirs Jasmin. 31
Bon Dlou ! qui no cansou ! que hny Men ! qui l'a fèyto ?
Acos Pascal ! resi)0in' Tournas ;
I
non Bip» : iiiifii,- ,i.:„-,^r,ii ! ,|„viip \i i,;,'ii : ,,ii; l'i ciie
— Ce,! 1'hm:.1 : ,,-l.oi„l n,ui,l,,s.
— BiavK '
»lïi- l'.isr.iJ '
sWile la luiile ciiliùi;
ÉLISE MOREAU.
27
ElilSE ITIOREAt
sa bibliothèque.
en paiement. »
doit.
i
ÉLISE MUlltAl. 521
monies.
En I85i, le premier congrès scientipKjue se
plus dV^spérances.
A MADEMOISELLE MARIA DE F.
28
,
Mai i8i(;.
MAHIfi LAURE.
28.
.IIARIE liALRE.
plorable :
«lAUIE LALRE.
Pourtant on me sauva.
sciencieux éditeur.
534 MARIE LAURE.
l'intimité de sa pensée.
MARIE LAIRE. 53o
UN REGARD EN ARRIERE
de son lomljcau :
Il me souvient ;
je \is venir la poésie.
29.
MARIE CARPA^'TIER.
De la Flèche,
rais!. .
SI JE MOURAIS! ..
Mourir oli Dieu !... mais non, je suis trop jeime encore
! !
Si je mourais!... si je mourais!...
30
ôoO MAniK CARPANTItR.
Pendant la nuit,
1
l.ps louis ilu cull.'^c iiiilituiic >U la ïlcvlu-, làli en lOoJ l'ai llcmi IV.
!
os MARIE CARrAMltK.
Orgueil de mon
œuvre d'un roi chéri,
pays, 1
Ne voit-on pas planer une omljrc prolectrice ?
I/onibredn magnanime Henri!'
30.
354 MAUIE CARPANTIER.
sans maître.
beaucoup de traverses ,
une jeune sicilienne
morte à Gilbrallar.
grande ,
profonde. A lu vue des tableaux de
Ilubens ,
« Bubens, » s'éeriait-il avec cxaila-
tre et de Técolière.
MA MÈRE.
V Oiseau inconnu.
L'OISEAU INCONNU.
JOSF.PH-I.AFON I\B\TrT.
En stroiiiies matiuales.
Où se bâte l'aurore?
Constant et résigné, braves-iu nos (rimas,
(^.ber oiseau'.' .le l'iunorf.
^Iaj(niness(î ravie,
quelque chose.
» Si jusqu'à présentje m'étais toujours refusé
rn'y hasarder. »
EPILOGUE.
m rlii temps.
MALHLRBE.
Oh me»
! vers, eliers enrants, iiui nViniircherez pas
Que, sans postérité, votre père à gi'ands pas
Vers le néant s'avance et toi, précoce veuve,
;
FtN.
A it
TABI.E.
UN DF I.A TABLE.
ïjf* ^
r^^;
W'
flf »I«lUtlftl