Attention :
Ce document est un travail d’étudiant,
il n’a pas été relu et vérifié par Marketing-etudiant.fr.
1. Le modèle originel
Qui ? L’émetteur
Dit quoi ? Le message
A qui ? La cible
Par quel moyen ? Le canal
Avec quels effets ? L’efficacité de la communication
Feed back
A propos des composantes du modèle
. L’effet de source :
L’image de la source joue un rôle déterminant dans la perception et
l’interprétation des messages. (Point fort des grandes marques ?)
Un message doit pouvoir être attribué immédiatement et clairement à une
source. (Pour faciliter l’attribution : nom, logo, slogan, jingle ; personnage…
Maximiser les éléments récurrents !)
. Le bruit :
Bruit publicitaire dans un marché : notion de part de voix (dépenses
publicitaires de la marque / ensemble des dépenses de toutes les marques)
Charge publicitaire d’un support
Contexte rédactionnel
. Le feed back :
Les médias publicitaires classiques fonctionnent à sens unique : il faut
utiliser un autre média pour obtenir du feed back (radio / tél ; télé / sms…)
B. Comment la communication agit-elle sur vous et moi ?...
Achat (action)
(Conçu à l’origine
Désir pour les
argumentaires de
Intérêt vente.)
Attention
Effets intermédiaires
Communication 1 2 3
1. Cognitif
. Notoriété (connaissance de la marque)
. Prise de conscience de l’existence du produit
. Connaissance du produit
2. Affectif De plus en plus
difficile à
. Attrait pour le produit ou la marque modifier
Hormis AIDA, tous les modèles ont été conçus pour expliquer l’action de la
publicité mais sont valables pour les autres formes de communication.
Certains outils correspondent mieux à une étape précise (ex. PLV = conatif). La
hiérarchie des effets est une grille de lecture des moyens de communication et des
publics = adaptation des mixes de communication.
Les premiers modèles proposent une séquence unique 1-2-3 (qui se renouvelle
à chaque achat), qui suppose l’implication du consommateur.
… puis vint la matrice de Vaughn !
Apprentissage Emotion
Routine Plaisir
Exposition
sélective
Forces de
mouvement :
Attention
. Variables
sélective
marketing : stimuli
de tous ordres Filtres
(publicité, promotion,
packaging, PLV, etc. Perception Attitudes
sélective Implication
. Variables
individuelles : Expérience
besoins, motivations
Compréhension
. Variables sélective
socioculturelles :
émulation sociale :
groupes ou personnes Souvenir
de référence
sélectif
Comportement
sélectif
a) Les besoins
L’homo economicus tel que « rêvé » dès le XVIIIè s. existe-t-il ? Satisfaction des
besoins objectifs en optimisant les ressources de façon rationnelle ?
Pyramide de Maslow : atteinte de l’accomplissement psychique une fois les
autres besoins satisfaits…. Assez contestable.
Accomplissement
Estime
Appartenance
Sécurité
Physiologiques
= sociologie
L’individu cherche à appartenir à un groupe et se conforme à ses règles.
« On ne consomme jamais l’objet en soi (dans sa valeur d’usage), on manipule
toujours les objets (au sens le plus large) comme signes qui vous distinguent, soit
en vous affiliant à votre groupe, pris comme référence sociale, soit en vous
démarquant de votre groupe par référence à un groupe de statut supérieur. »
J. Baudrillard.
Lorsque le consommateur reçoit des information qui dérangent ses attitudes, ses
opinions Résistance.
. Evitement
. Réduction (interprétation, rationalisation « détournante »)
. Remise en cause de la source
. Changement de comportement
Conséquences pratiques de la dissonance pour la communication
. Les objectifs doivent être réalistes (on ne peut demander une modification
radicale des opinions et comportements)
. Crédibiliser au maximum la source de l’information
. Utilisation d’alibis rationnels pour justifier l’irrationnel
. Pour modifier en profondeur des comportements durée et continuité
. La dissonance se produit souvent dans la période qui suit immédiatement un
achat à haut degré de risque perçu Recherche (et diffusion !) d’informations
consonantes.
b) L’implication
« L’implication est un état inobservable de motivation, d’excitation ou d’intérêt. Elle est
favorisée par des variables externes (nature du produit, contexte) et par des variables
internes (le moi, les valeurs). Elle se manifeste par des types de recherche, de traitement de
l’information et de prises de décision. »
Déterminants et risque :
Caractéristiques du consommateur Centres d’intérêt, besoins (notamment
psychologiques & sociaux),
connaissance & expérience du produit
Risque perçu
Risque :
. Physique
. Financier (ressources du
IMPLICATION consommateur, prix, coût d’entretien)
. Psychosociologique (renvoi par le
produit d’une image de soi)
Dépend (aussi) de la personnalité et de
l’expérience du produit.
Face au risque, l’individu privilégie les sources les plus crédibles, fait confiance
aux marques célèbres…
a) Attention sélective
Protection d’une « overdose »
Aide dans le processus de décision
Confort (attention aux informations « conformes » = consonance)
« Niveau d’alerte » variant selon le contexte.
A. Les médias
La presse
PQN, PQR, presse quotidienne gratuite, presse périodique.
Audience = lecteur. Termes clés : reprise en main, lecteur régulier ou
occasionnel…
La télévision
Audience = téléspectateur. Mots-clés : audience instantanée, cumulée, au
quart d’heure moyen…
Le cinéma
Audience = spectateur. Mot-clé : multiplexes !
La radio
Généralistes, thématiques (info, culture…), musicales, locales.
Audience = auditeur. Mots-clés : audience cumulée, au quart d’heure
moyen…
L’affichage
Mots-clés : contact... Déplacement.
Internet
Sites marchands, services en ligne, publicitaires, promotionnels (en dehors
des portails)
B. Les agences de communication
Mutation de l’agence de publicité à l’agence de communication, puis
spécialisation.
B. Les annonceurs
Régulation
. BVP (bureau de vérification de la publicité) : 1953. Organisme d’auto-discipline de
la publicité en France.
« Mener une action en faveur d’une publicité loyale, véridique et saine, dans l’intérêt
des professionnels de la publicité, des consommateurs et du public ».
Association privée.
Adhérents : annonceurs, agences de communication, supports de communication,
correspondants (avocats, associations, syndicats professionnels…)
Sont présentées 10 000 campagnes. Le BVP fait modifier 50 % des propositions.
Pour les spots télévisions, TOUTES les campagnes lui sont présentées.
. CESP (Centre d’étude des supports de publicité).
. OJD (Office de justification de la diffusion). Certifie les chiffres de tirages,
distribution et diffusion.
. CSA (Conseil supérieur de l’Audiovisuel). Organisme d’état. Garantit « l’exercice
de la liberté de la communication audiovisuelle ». Chargé de la nomination des
présidents des télévisions et radios publiques.
Garde-fou éthique. Veille sur la concurrence et concentration du secteur.
Représentation professionnelle
. UDA (Union des Annonceurs)
. AACC (Association des agences conseils en communication)
Représentation consumériste
. UFC-Que choisir (Union fédérale des consommateurs)
. INC (Institut national de la consommation). Intègre 60 millions de consommateurs.
Annonceurs
Agences Organismes
Médias
Public
III. La communication en entreprise
C. marketing C. d’entreprise
Institutionnelle
Produit
Mission, valeurs
Performances du produit
Communication Financière
Performances
Marque
Interne
Positionnement de la marque
Performances, objectifs, motivation, climat
Crise
Gestion de la crise (avant, pendant, après)
Ces différents registres sont généralement complémentaires.
Marque
Instit.
Produit
B. Les métiers de la communication en entreprise
Définitions :
.. La cible de communication est l’ensemble des individus ou des organisations vers lesquels on a
choisi de communiquer. Ce peut être un sous-ensemble de la cible marketing (ceux à qui on veut
vendre le produit), la totalité de la cible marketing ou des publics d’influenceurs hors de la cible des
clients.
. Le cœur de cible est un sous-ensemble de la cible de communication que l’on considère
prioritaire (gros clients, jeunes consommateurs avec un fort potentiel, clients les plus profitables,
etc.). On renforce la pression sur le cœur de cible ; on conçoit des actions dédiées à ce cœur de
cible.
Nécessité de qualifier.
Les publics de la communication marketing ne constituent qu’une partie de la
communication globale de l’entreprise.
Citoyens Collaborateurs
Communication sociétale Communication interne
Influenceurs Distributeurs
2. La communication relayée
(Cf schéma Shannon complété)
. Une entreprise peut choisir de ne s’adresser qu’à une cible d’influenceurs /
prescripteurs (ex. livre scolaire, médicaments, banque vers les experts-comptables,
etc.)
. Plus fréquemment, les entreprises communiquent simultanément vers la cible
intermédiaire des influenceurs et la cible finale des acheteurs (« en tenaille »).
Parfois des leaders d’opinion (influenceurs) sont extraits de la cible des acheteurs.
D. Les canaux et moyens de communication
Trois canaux majeurs de communication
Produit (biens et services) Personnes Médias
- Nom (marque) - Membres de l’entreprise - Espace acheté dans les
- Dimensions sensorielles (ex. vendeurs) médias (communication
- Expérience retirée de son - Partenaires (distributeurs, maîtrisée)
usage fournisseurs) - Espace rédactionnel dans
- Clients (bouche à oreille) les médias (communication
- Opinion publique non maîtrisée)
4. La continuité et la durée
6. La cohérence globale
La communication émise par une organisation est multiforme : plusieurs produits,
l’entreprise dans son ensemble, plusieurs vecteurs. Les messages doivent être
convergents ou complémentaires plutôt que divergents. Politique de
communication intégrée
F. Le budget de communication
Attention ! Utiliser la notion de part de voix avec prudence, d’autant plus que
celle-ci est une donnée financière ne prenant pas en compte la créativité.
A qui ? (Destinataires)
Quand ? (Calendrier)
Le plan de
Budgets communication Cibles
Actions
IV. La communication médias
NEW COKE
Annonce presse
Marketing
direct
Pluralisme
. La publicité fait feu de tous bois…
. Tous les médias sont les bienvenus.
. La publicité est devenue la mère nourricière des médias.
B. La stratégie publicitaire
On peut faire un coup publicitaire brillant sans stratégie, mais on ne peut pas
inscrire le développement d’un produit ou d’une marque dans la durée sans piloter
la communication.
. La stratégie : canalise l’expression créative, assure la cohérence des différentes
prises de parole, assure la pertinence vis-à-vis des attentes du consommateur,
différencie un produit ou une marque de ses concurrents…
. La publicité est l’un des éléments du marketing mix, elle est généralement au
service de la stratégie marketing.
. Mais elle n’est qu’une étape dans le processus qui mène l’achat. Dans ce cas, ses
objectifs ne sont pas exprimés en termes de vente ou PDM, mais en notoriété,
image, modification des attitudes, etc.
La notion de hiérarchie des effets aide à répondre à la question centrale : pour une
marque ou un produit donnés, quel est le problème principal à résoudre par la
communication en général, et la publicité en particulier ?
. Trois principaux types d’objectifs de pub, issus des modèles de la hiérarchie des
effets :
- Faire savoir : développer la notoriété, expliquer les caractéristiques d’un
nouveau produit, donner l’adresse des lieux de vente, etc.
- Faire aimer : développer la préférence de la marque en modifiant de
façon positive son image
- Faire agir : créer du trafic vers un point de vente, inciter à essayer un
nouveau produit, etc.
Dans le cadre de ces objectifs, la pub est un moyen souvent complété par
d’autres.
Faire savoir
Faire aimer
Faire agir
3. Les registres de la publicité médias
a) La notoriété ou la présence de la marque à l’esprit des clients
La notoriété est :
… Un peu plus que le simple souvenir d’une marque
… Beaucoup moins que l’image = ensemble complexe d’associations, de
représentations et de jugements de valeur concernant une marque, un produit
un individu…
Pourcentage des
personnes qui, dans un
public donné : Top of mind (immédiatement présente à l’esprit)
. Connaît l’existence de Spontanée (présente à l’esprit)
la marque
Assistée (marque reconnue)
. Sait la catégorie de
produits ou le secteur
économique auxquels Marque inconnue
elle appartient.
Remarques :
Attention à la fausse notoriété (ex. taux de notoriété assistée de la marque
Veuve Amiot)
La notoriété spontanée dépend de la formulation de la question :
Quelles sont les marques de chaussures que vous connaissez ?
Description du contexte
Formulation des cibles
Objectifs et contraintes
Conception de la campagne
Contrôle de la campagne
C. Le briefing de l’annonceur à l’agence
. Avant d’aborder la création, l’annonceur doit remettre un brief précis à l’agence
(souvent remis à plusieurs dans le cadre d’une compétition).
Le brief doit être considéré comme le cahier des charges de la campagne de
publicités-médias, il est l’acte fondateur de la relation entre agence et annonceur.
« Le brief décrit le problème posé ou le travail demandé par l’annonceur, il est
synthétique, précis et opérationnel. L’élément essentiel repose sur les
informations échangées, elles doivent être en phase avec le problème posé ou
l’action envisagée, de telle façon que les agences puissent travailler utilement et
faire les meilleures recommandations. L’agence, par ses questions, peut
contribuer également à l’amélioration du brief. » (AACC).
Le brief doit comprendre les éléments suivants :
Contexte : entreprise, produit à promouvoir (incluant les contraintes
spécifiques), le marché du produit (ou du service) = la cible , le circuit de
distribution, la force de vente, concurrents…
Problème de communication à résoudre
Fondements de la marques : précédentes campagnes de communication,
ensemble de ses modes d’expression.
Stratégie marketing actuelle de la marque
Angles d’attaque proposés par l’annonceur
Côté agence :
. Produit ou service : il faut étudier le produit, savoir le replacer dans son
environnement, comprendre ses contraintes, voire l’utiliser pour comprendre le
message qui motivera le consommateur.
. Marché du produit : étudier la cible en profondeur, veille des concurrents pour
cerner les ouvertures pouvant être exploitées dans le cadre de la campagne.
Cerner le système de distribution, la force de vente, etc.
L’équipe pourra ensuite entamer sa réflexion stratégique et proposer aux créatifs
des axes de travail;
D. Le briefing créatif : la copy strategy
L’insight est le point de vue, le constat ou une croyance des consommateurs sur un
marché par rapport à une marque ou un produit.
L’insight, c’est du vécu. Ce sont de petites choses qui sont ressenties (Citroën est très
confortable pour sa suspension), expérimentées (quand on commence une crème
dessert, on peut plus s’arrêter), ou de simples croyances (manger des carottes est bon
pour le teint).
L’insight a trois fonctions :
-À l’origine de la « justesse » consommateur
- il génère du « prêt à croire » : les consommateurs sont prêts à croire un message s’il est
ancré dans leur vie.
- c’est la garantie de ne pas développer une promesse « à côté ».
NB : toutes les campagnes ne sont pas construites sur des insights. Certaines campagnes
sont conçues pour développer des visions de marque, d’autres pour développer un attribut
produit.
Les critères de choix d’un bon insight :
. L’originalité : utiliser un insight « frais », qui va générer un regard nouveau sur la
marque ou le produit. Le travail en amont va être de détecter le bon insight, pas
forcément apparent. Des insight « enfouis » peuvent servir de support à de bonnes
campagnes (ex. Espace).
. L’adéquation au produit ou à la marque
. La vérité (le train c’est un moment pour soi, de plaisir)
. Le fait d’être inspirant pour les créatifs.
. L’adéquation par rapport à la cible. (ex. « Toutes nos vies sont dans Monoprix »)
Il existe plusieurs variantes. Quoi qu’il en soit, son écriture repose sur les
réponses à quatre interrogations de base, sachant que l’on a défini
préalablement la cible et les objectifs visés :
. Quelle est la promesse choisie ?
. Quelle est le bénéfice-consommateur retenu ?
. Quels supports peuvent être mis en avant pour soutenir ce bénéfice-
consommateur ?
. Quel ton doit avoir le message ?
La promesse est ce que la marque ou le produit « promet » d’apporter à ses
consommateurs. Elle se traduit en un bénéfice matériel (un produit plus
performant, moins cher, plus facile à utiliser, etc.), psychologique (« en achetant
le produit de cette marque, je suis une bonne mère qui fait le maximum pour
ses enfants ») ou sociologique (« cette marque me valorise auprès des
autres »…). Selon les campagnes, on insistera sur un type de bénéfice ou un
autre.
Impératifs :
La copy strategy doit être :
. Spécifique et concrète (bénéfice tangible pour le consommateur)
. Simple et se concentrer sur une seule promesse de base
. Claire et éliminer toute possibilité de confusion
. Cohérente (chacun des éléments doivent être complémentaires)
. Explicitement compétitive
. Positive (se concentrant sur les points de force de la marque et non pas
s’efforçant d’excuser ses faiblesses).
Ce que nous avons vu précédemment est la copy strategy « classique »,
inventée par Procter & Gamble dans les 50’s. Par la suite, plusieurs agences ont
développé des approches spécifiques (en partant de la même base).
Une variante de la copy strategy, plus fexible pour libérer le travail des
créatifs… sans délaisser la rigueur de la plate-forme de création.
S’articule autour de trois points :
L’axe publicitaire : l’idée forte qui est communiquée à la cible de
communication (promesse) à partir des freins et des motivations.
Le concept d’évocation : il relève d’une situation concrète qui doit crédibiliser
l’axe. Doit être attractif, spécifique au produit, crédible, facilement
compréhensible, accepté par tous les publics visés.
Le thème : il est la déclinaison du message : conception-rédaction, scénario,
musique, ton, ambiance, etc.
L’axe publicitaire : l’idée forte qui est communiquée à la cible de
communication (promesse) à partir des freins et des motivations.
Il convient de choisir des motivations qui n'engendrent pas de frein, celles qui
sont stimulantes, qui sont des motivations ni dévalorisées, ni inconscientes, le
choix final est déterminé par la recherche de l'originalité et de la spécificité.
Avec Vittel on boit, on fait du sport (ellipse du message) et on élimine.
Il s'agit donc de se méfier de ses motivations qui peuvent se révéler être des freins
durables pour le produit... et pour la marque.
Le concept d’évocation : il relève d’une situation concrète qui doit
crédibiliser l’axe. Doit être attractif, spécifique au produit, crédible, facilement
compréhensible, accepté par tous les publics visés.
Je cours dans un parc, je suis dynamique, je transpire, je bois pour éliminer.
Le concept d’évocation est ce que Roland Barthes (et oui !) appelle l’effet de
réel, qui crée l'illusion d'une situation ou d'une sensation : pensez à l'effet de
réel que représente une vague qui roule sur la plage pour symboliser la
fraîcheur d'un après rasage.
Le rôle des créatifs est essentiel dans cette phase, et l’attractivité est
essentielle. Quelques principes ont fait leurs preuves : emploi de stars, de
«vrais » consommateurs, personnages publicitaires…
Concept d’évocation :
Thème :
Attention :
Ce document est un travail d’étudiant,
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