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Sommaire
Généralités
Conception d'un assemblage soudé
Soudage par friction
Soudage par aluminothermie
Énergie de soudage
Thermique du soudage
Métallurgie du soudage
Examens, essais et mesures
Cet ouvrage fait partie de la collection Technologie
Le chapitre présent aborde de manière générale la soudure dans le contexte de la pièce, de l'ensemble fabriqué.
Il ne prétend pas être exhaustif, mais donner des orientations générales sur les cas les plus courants.
Le soudage est donc bien adapté pour la construction métallique (escaliers, passerelles, gardes-corps), les
tolérances en génie civil étant en général de l'ordre du cm. Dans le cas de l'assemblage de pièces mécaniques par
soudage — ensemble mécano-soudé —, donc avec notion de mouvement, il faut s'assurer que le mécanisme est
isostatique afin de pouvoir s'adapter aux imperfection de positionnement et d'orientation (défaut de coaxialité,
de concentricité, …). Le soudage permet également d'assurer l'étanchéité, il est donc utilisé en tuyauterie, et
pour la fabrication des cuves, réservoirs, chaudières et appareil de pression (chaudronnerie).
Mais tous les matériaux fusibles ne sont pas soudables. Par exemple, les aciers dits « trempés » (rendus durs par
un refroidissement rapide) fondent comme tous les aciers, mais la soudure les fragilise.
si les pièces de base ne doivent pas être altérées : brasage (soudure hétérogène) ;
le chauffage est modéré, seul le métal d'apport fond, cela nécessite peu de matériel (fer à
souder, petit chalumeau), déforme peu les pièces, et permet d'assembler des matériaux très
différents comme du verre et du métal, du polymère et du métal (composant sur carte en
électronique) ;
si l'assemblage doit avoir une grande résistance mécanique : soudage autogène ;
le métal de base (c'est-à-dire les pièces) et le métal d'apport fondent et se resolidifient, on
obtient donc au final une seule pièce (continuité métallique), mais le chauffage est important
(température de fusion du métal) et cela déforme l'assemblage ;
si les pièces sont en acier :
en acier non allié (acier au carbone) à basse teneur en carbone : tous les procédés
de soudage peuvent être utilisés ;
en acier inoxydable : le bain de fusion doit être protégé de l'oxygène de l'air, on utilise
donc essentiellement le procédé MIG (metal inert gas, procédé 131 [1] ) ou bien TIG
(tungstene inert gas, procédé 141),
si les métaux s'oxydent facilement : alliages d'aluminium, de nickel, de titane : le problème
est similaire à celui des inox, on utilise le TIG (141).
Le soudage au chalumeau — soudage autogène (procédés 311 à 313), brasage (procédés 91, 94 et 971) — est le
plus simple à mettre en œuvre (il ne nécessite pas de source d'électricité, le poste avec les bouteille de gaz est
autonome). Les procédés à arc (désignation commençant par un 1) sont les plus utilisés industriellement pour le
soudage autogène : la fusion est très localisée, ce qui limite la déformation, et la productivité est importante,
mais le refroidissement est rapide (phénomène de trempe, contraintes résiduelles).
électronique (assemblage de composants sur circuit imprimé — carte polymère) : brasure avec
un alliage d'étain et de plomb (par exemple 60 %Sn/40 % Pb, fondant à 190 °C), avec un fer à
souder (énergie électrique convertie en chaleur par une résistance) ;
plomberie : assemblage de tuyaux de cuivre par soudo-brasage (brasage au chalumeau
oxyacétylénique), le métal d'apport est un alliage de cuivre contenant du phosphore, du zinc
(laiton) ou de l'argent, ces éléments d'alliage permettant d'abaisser le point de fusion entre 600
et 800 °C (le cuivre fond à 1 085 °C) ; pour les raccords gaz, seul l'alliage cuivre/argent est
autorisé (meilleure résistance mécanique) ;
fonte, acier galvanisées (recouvert de zinc) : soudo-brasage (procédé 97), le métal d'appport
étant un laiton à 40 % de zinc (CuZn40, CW509L selon la désignation européenne) ;
acier non allié à basse teneur en carbone (aciers d'usage général, aciers de construction, aciers
« à ferrer les ânes ») : on choisit en priorité les procédés suivants :
soudage à l'arc avec électrode enrobée (procédé 111) : ne nécessite qu'un poste à souder
(en particulier pas de bouteille de gaz), la fusion de l'enrobage produit un gaz qui protège
le bain de fusion, c'est le procédé à arc qui a le meilleur rendement (chaleur produite par
rapport à l'électricité consommée) ; le cordon doit être meulé entre deux passes pour
éviter des inclusions de laitier ;
MAG (metal active gas, procédé 135) : la présence d'un gaz actif permet d'abaisser la
température et donc de moins déformer les pièces, le métal d'apport est sous forme de fil
qui défile de manière semi-automatique ; il nécessite la présence d'une bouteille de gaz,
mais le caractère semi-automatique facilite l'opération.
Le procédé TIG (141) peut être utilisé dans tous les cas et donne un cordon de soudure d'excellente qualité,
mais :
Choix de l'acier
Le refroidissement d'une soudure est rapide, on se retrouve donc dans des conditions de trempe. Or, la formation
de martensite — phase durcissante des aciers trempables — fragilise la soudure. Il faut donc s'assurer que l'on
ne formera pas de martensite. Il existe d'autres problèmes métallurgiques. Tout ceci conditionne le choix de la
nuance des pièces — métal de base — et de la baguette — métal d'apport.
aciers formables à froid de type S315MC (1.0972) à S700MC (1.8974) ; le suffixe M indique un
formage thermomécanique (typiquement laminage) et le C un formage spécial à froid (cold
forming) ;
aciers soudables à grain fin de type S275N (1.0486) à S460N (1.8905), S275NL (1.0488) à
S460NL (1.8915) ; le suffixe N désigne un acier normalisé, le L une utilisation possible à basse
température (low temperature) ;
idem pour les appareils de pression, nuances P275NH (1.0487) à P460NH (1.8935) pour les
hautes températures, P215NL (1.0451) à P460NL1 (1.8915)/P460NL2 (1.8918) pour les basses
températures ;
aciers trempés (quenched) et revenus, de type S460Q (1.8908) à S960Q (1.8941), S460QL
(1.8906) à S960QL (1.8933) ;
aciers microalliés soudables de type H240LA (1.0480) à H400LA (1.0556).
Le cas des aciers inoxydables est plus compliqué. En effet, la très grande majorité des inox utilisés sont des inox
austénitiques, de phase gamma, donc qui comportent des éléments gammagènes, ceux-là même qui favorisent la
formation de martensite. Par ailleurs, comme ce sont des aciers fortement alliés, il y a lors du refroidissement
une concentration des éléments d'alliage en certains endroit (phénomène de ségrégation) qui abaisse localement
le point de fusion (eutexie) et provoque de la fissuration à chaud. Il existe d'autres phénomènes de fragilisation :
formation d'une phase sigma (fer-chrome), grossissement de grains de phase alpha.
Pour les inox, le point capital est le choix de la nuance de métal d'apport : en utilisant un métal d'apport différent
du métal de base, on crée un bain de fusion ayant une composition différente du reste des pièces, donc avec un
comportement à la trempe différent. En particulier, on cherche à avoir un mélange d'austénite avec 5 à 15 % de
ferrite (phase alpha), qui va « ancrer » la soudure. Pour choisir la nuance de métal d'apport, on peut utiliser par
exemple le diagramme de SCHAEFFLER (voir Wikiversité : Composition et structure d'un cordon de soudure).
Communication technique
Sur un plan, les soudures peuvent être représentées de deux manières : de manière simplifiée ou de manière
symbolique.
La représentation simplifiée permet de visualiser le cordon de soudure. On peut coter sa longueur et son
épaisseur, mais cela n'apporte pas d'information sur sa réalisation (mode de soudage). Vue en coupe, on
représente les pièces avant soudage (bords préparés), et le cordon de soudure est noirci. En vue extérieure, on
représente des arcs de cercle correspondant à la progression de la soudure.
épaisseur de la soudure ;
préparation des bords (chanfreinage) ; les symboles
élémentaires de soudure sont donnés ci-après ;
longueur de la soudure ;
procédé de soudage.
Les pièces sont représentées avant préparation des bords.
1. Ligne de repère.
2. Ligne d'identification (ici : symbole côté trait plein, indiquant
que le cordon se trouve du côté où pointe la flèche).
Représentation symbolique d'une
3. Symbole complémentaire (ici : soudure sur chantier). soudure
4. Épaisseur du cordon de soudure.
5. Symbole de soudure (ici : soudure d'angle) .
6. Longueur du cordon de soudure.
7. Mode de soudage selon la norme ISO 4063 (ici : électrode enrobée).
Dans les domaines sensibles — assemblage soumis à de fortes pressions, fortes températures, nucléaire —, le
mode opératoire de soudage (MOS) doit être défini de manière précise : procédé utilisé, mais aussi conditions
(nature du métal d'apport, intensité du courant de l'arc, vitesse d'avance, …). Le soudage doit être réalisé sur des
éprouvettes (pièces métalliques) qui sont ensuite testées pour vérifier leur résistance. On constitue un dossier de
qualification du mode de soudage (QMOS). Le soudeur doit être lui-même qualifié pour réaliser la soudure : il
réalise la soudure sur des éprouvettes qui sont testées, la qualification devant être renouvellée régulièrement. Le
descriptif des modes opératoires de soudage (DMOS) accompagne les plans, souvent sous la forme d'un cahier
de soudage.
Procédés de soudage selon ISO 4063 (extrait)
1 Soudage à l'arc 3 Soudage aux gaz
11 Électrode fusible sans protection gazeuse 31 Soudage oxygaz
111 électrode enrobée 311 oxyacétylénique
112 électrode enrobée, par gravité 312 oxyproprane
113 fil nu 313 oxyhydrique
114 fil fourré 4 Soudage par pression, à l'état solide
12 Sous flux en poudre 41 par ultrasons
13 Sous protection gazeuse avec fil-électrode fusible 42 par friction
131 MIG 7 Autres procédés de soudage
135 MAG 71 aluminothermie
14 Sous protection gazeuse avec électrode réfractaire 74 par induction
141 TIG 75 Par rayonnement
15 Au plasma 751 laser
2 Soudage par résistance 78 Soudage des goujons
21 par points 9 Brasage
22 à la molette 91 brasage fort
24 par étincelage 92 brasage tendre
25 en bout par résistance pure 97 soudobrasage
Symboles complémentaires
1. Soudure périphérique.
2. Soudure sur chantier.
Symboles
complémentaires
on cherche à faire les cordons de soudure les plus petits possibles (diminution des déformations
et du temps de travail) ; si possible, on fait des cordons discontinus ;
on évite les cordons trop rapprochés ou se croisant ;
si le cordon doit changer de direction, on utilise une courbe et non un angle vif ;
on met le cordon au milieu des faces, pas aux arêtes ;
l'épaisseur des pièces doit être la même de chaque côté du cordon, afin que la vitesse de
refroidissement soit la même de chaque côté.
Soudure bord-à-bord
Les bords des pièces doivent être préparés : le métal doit être propre (dégraissé, sans trace d'oxydation). Les
bords sont en général chanfreinés, hormis pour les tôles de faible épaisseur, afin d'avoir une bonne pénétration
de la soudure ; sinon, le résultat n'est qu'un « collage » (seule une petite partie du métal de base fond, le métal
d'apport pénètre dans le joint sans se mélanger).
1. Pour les très faibles épaisseurs
(moins de 1 mm), on peut faire une
soudure sur bords relevés
complètement fondus : les plis aux
extrémités des tôles disparaissent
avec la fusion.
2. Pour les faibles épaisseurs (entre 1
et 1,4 mm), on peut faire une simple Soudures bout-à-bout.
soudure bord-à-bord.
3. À partir de 3 ou 4 mm, on peut faire
une soudure envers ou un chanfrein avec talon.
4.
5. À partir de 10 mm, on peut faire une soudure en Y.
6. Entre 3 et 20 mm (éventuellement jusqu'à 40 mm), on fait une soudure en vé ; par rapport à la
soudure en Y, le talon fait moins de 3 mm.
7. À partir de 6 mm, on peut faire une soudure en X (ou en double vé).
8. Pour les très fortes épaisseurs (supérieures à 20 mm), on fait une soudure en tulipe.
Si les pièces n'ont pas la même épaisseur, on
s'arrange pour accomoder les épaisseurs au niveau
de la soudure (illustration ci-contre, figures de
droite) :
Soudure d'angle
On fait en général une soudure d'angle symétrique (figures
2 et 4). Si l'on ne fait un cordon que d'un seul côté, alors la
sollicitation doit se faire dans le sens de l'ouverture de la
soudure (fig. 1 et 3). Si l'on peut, on effectue la soudure
bout-à-bout sur une partie rectiligne (fig. 3 et 4) : ainsi, la
concentration de contrainte est hors du cordon (meilleure
tenue en fatigue) et cela diminue la déformation, mais cela
nécessite en général d'avoir une pièce de fonderie.
Plan de gorge
S = s×L.
.
Traction sur une soudure bout-à-bout en vé.
Si l'on suppose que l'épaisseur s est fixée, la longueur minimum que doit faire le cordon est
Par exemple, pour des tôle en acier S235 (Re = 235 MPa) et d'épaisseur s = 5 mm, soumis à une force F =
5 000 N et avec un facteur de sécurité k = 2, la longueur minimale du cordon vaut :
On retient en général que, avec un coefficient de sécurité de 2, un cordon ayant un plan de gorge de 1 cm2 (soit
10 mm×10 mm ou bien 20 mm×5 mm) peut tenir plus de 10 000 N (soit l'équivalent de 1 t).
Une soudure acier tient une tonne par centimètre carré en traction.
S = n×L×a ; n = 2
.
Pour que la conception de la soudure soit validée, il faut que cette contrainte soit inférieure à la résistance
pratique au glissement Rpg, qui est la limite élastique au glissement Reg à laquelle on applique un coefficient de
sécurité k, Rpg = Reg/k :
Rappelons que pour un acier doux, dont notamment les aciers de construction, ou un alliage d'aluminium, on a
Reg ≈ Re/2 [3] .
soit
(MPa).
On peut aussi obtenir ce résultat de manière géométrique — voire graphique — plutôt qu'algébrique : on
commence par projetter le vecteur contrainte sur les axes horizontaux et verticaux
Comme nous sommes en présence à la fois de contrainte normale et de cisaillement, on calcule une contrainte
équivalente σe, par exemple de VON MISES :
ou bien de TRESCA
On compare ensuite cette contrainte à la résistance pratique à l'extension ; ici, Re = 295 MPa, si l'on prend un
coefficient de sécurité k = 2, on a Rpe = 147 MPa.
Si, pour les matériaux ductiles, von Mises est un peu plus précis que Tresca, de nombreuses
vérifications expérimentales ont donné des résultats situés sur la frontière entre les deux
critères. Tresca, plus simple et souvent utilisé, est plus conservatif [4] en laissant une marge de
sécurité légèrement plus grande. Cependant, beaucoup de programmes commerciaux
d'analyse des contraintes et d'éléments finis s'appuient sur von Mises ; de ce fait, il existe une
tendance naturelle à utiliser celui-ci en toutes circonstances.
Jean-Louis Fanchon, Guide de mécanique — Sciences et technologies industrielles,
Nathan/VUEF, 2001 (ISBN 2-09-178965 - 8), p. 445
Rappelons le calcul du moment d'encastrement dans deux cas (l'encastrement étant ici réalisé par la soudure).
, s'ajoute à ;
, s'ajoute à ;
, s'ajoute à ;
Lorsque le problème présente une symétrie des cordons de soudure et du chargement, alors l'effort se répartit
équitablement sur chacun de cordons.
Sinon, il faut répartir les efforts en fonction de l'orientation des soudures, en appliquant les règles
(simplifications) suivantes [7] :
forces :
si un cordon est parallèle à une force, alors il reprend intégralement cette force ;
si plusieurs cordons sont dans ce cas, alors la force est répartie proportionnellement à
l'aire de la section de la gorge ;
moment :
si un cordon est parallèle à un vecteur moment, alors il reprend intégralement ce moment ;
si plusieurs cordons sont dans ce cas, alors le moment est réparti proportionnellement au
moment quadratique de la section de la gorge.
On détermine que l'action maximale du sol sur un pied est F = 1 000 daN. La limite élastique de la soudure vaut
Re = 250 MPa, et le coefficient de sécurité vaut k = 2.
Mise en situation : filtre à vin
Il n'est pas nécessaire d'aller au bout du calcul : la contrainte maximale de cisaillement générée par la torsion est
largement supérieure à la limite élastique en cisaillement (3 100 >> 125, τ// max >> Reg).
On a ainsi 6,90 ≤ 25 soit τ// ≤ Rpg donc les cordons horizontaux sont validés.
Comme les cordons horizontaux sont espacés, on peut considérer que la contrainte est uniforme dans chaque
cordon et que le couple M est sous la forme d'un couple de de forces distantes de d = 163 mm =
0,163 m :
soit
Cette contrainte est inférieure à la limite élastique, mais hors de la zone de sécurité puisque la résistance
pratique à l'extension vaut Rpe = Re/k = 125 MPa. Le coefficient de sécurité effectif vaut keff = 250/186 = 1,3.
Le cordon n'est donc pas validé.
Normes de calcul des soudures
Les normes reprennent la démarche utilisée précédemment. Le critère général est
où
λ est un coefficient établi expérimentalement ; il allait de 1,8 à 2 dans les années 1970 [8] , il est
établi actuellement entre 2,5 et 3 ; il vaut 3 si l'on considère le critère de VON MISES et 4 si l'on
considère le critère de TRESCA ;
α est un coefficient de qualité ; β = 1/α est le coefficient de sécurité.
Outre ce coefficient de qualité de soudure, on applique un coefficient de pondération de charge kp en fonction
du domaine (typiquement, kp = 1,5 pour une oreille de levage) ; l'effort retenu est l'effort nominal multiplié par
ce coefficient. Le coefficient de sécurité total vaut donc
k = kp/α = kpβ
avec
avec
avec
Voir aussi
Bibliographie
Claude Hazard, Frédy Lelong et Bruno Quinzain, Mémotech — Structures métalliques, Paris,
Casteilla, 1997 (ISBN 2-7135-1751-6), p. 249-292
André Chevalier, Guide du dessinateur industriel, Paris, Hachette, 2004 (ISBN 978.2.01.168831.6[à
vérifier : ISBN invalide]), p. 172-179
Notes et références
1. désignation numérique des procédés selon la norme ISO 4063
2. http://hypertextbook.com/facts/2007/AnthonyHo.shtml
3. soit Reg ≈ 0,5×Re ; pour les aciers mi-durs, on a Reg ≈ 0,7×Re, et pour les aciers durs et les
fontes, Reg ≈ 0,8×Re
voir Daniel Spenlé et Robert Gourhant, Guide du calcul en mécanique, Hachette technique, 2003
(ISBN 2-01-16-8835-3), p. 161
4. prudent
5. le coefficient dépend du rapport h/b, nous supposons ici un rapport supérieur à 10 ; pour plus de
précision, pour un rapport h/b supérieur ou égal à 5, on peut prendre
C = k1×h×b2
avec k1 = (1 - 0,63×b/h)/3
voir Jean-Louis Fanchon, Guide de mécanique, Nathan, 2001 (ISBN 978-2-09-178965-1), p. 315
6. comme précédemment, nous avons supposé un rapport L/a supérieur ou égal à 10 ; dans le cas
général, on a
C⊥ = C// /η
où η dépend du rappport h/b, mais varie très lentement : η = 0,743 pour un rapport de 6
voir Torsion (ESTP) (http://rdmestp.voila.net/poly/TP1_C11.pdf) p. 5
7. Alain Michel, « Pièces mécaniques soudées — Calcul des assemblages », dans Techniques de
l'ingénieur, no BM 5 187, 2006, p. 6
8. par exemple norme CM66 (décembre 1966)
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