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Depuis la fin de la 2éme guerre mondiale on observe une forte augmentation du volume des
exportations.
Si on prend X/PIB : reste stable fin des années 60 qui est de 15%.
Maintenant ¼ soit 25% du PIB provient de la production.
En France :
• PIB : 1950,1 milliards
• X : 563,8 soit 28,9% du PIB
• M : 515,6
Questions :
• Pourquoi c'est échanges entre pays ?
• Quel gain ont ils a l'échanger international ?
• Tout le monde tirent t'ils avantagent de ce commerce international ?
• La réglementation du commence internationale, type quota, restrictions afin de protéger
d'autre pays.
Remarque : on s'intéresse qu’à l'aspect réel des échanges, donc seulement des biens et des services.
1
Chapitre 1° La théorie des avantages comparatifs
Commerce industriel
Avant Ricardo, le mercantilisme (doctrine qui s'intéresse à l'économie dans son ensemble) est la
théorie dominante.
L'objectif est de trouver les moyens pour mettre en œuvre une augmentation de la richesse de l'état
(recherche de l'or...) et le développement de l'industrie.
A Smith (1776) : s'oppose à cette conception protectionniste sa théorie repose sur les principes des
avantages absolus. Montre que certain pays ont intérêt à produire et ce spécifier afin de vendre a
l'extérieure.
Objectif est importé des biens moins coûteux afin de produire moins cher.
Exemple 1°
Le but est d'augmenter la production et par la suite d'échanger entre les pays.
Exemple 2°
On suppose que dans les pays A et B les ressources sont fixes : un seul facteur de production le
travail, L = 1000.
Si les pays échanges :
Tableau de production
Pays A Pays B
Bien 1 200 100
2
Pays A Pays B
Bien 2 100 200
Pays A Pays B
Bien 1 100 50
Bien 2 50 100
Donc au total lorsque les économies fonctionne en autarcies on observe que dans la production
globale de il y a 150 biens 1 et 150 biens 2.
S’il y a spécialisation de chacun de ces pays alors la production de chaque pays dépasse la
production globale (des 2 pays en autarcies).
.
Exemple 3°
Pays A Pays B
Bien 1 125 75
Bien 2 75 125
Dans le pays A on échange 75 biens 1 contre 75 biens 2 provenant du pays B. Et inversement pour
le pays B.
On observe que les échanges sont unitaires.
Cette théorie fonctionne si chacun des pays dispose d'un avantage comparatif de production :
avantage absolu.
L'objectif et de produire le bien le moins coûteux.
Si des pays on aucun avantage absolu ils n'ont aucun intérêt à échanger. Cette exemple, en prenant
des situations extrême soit trop d’avantages absolus ou pas du tout, est a l'encontre de la théorie d'A
Smith.
Il faut prendre en compte les avantages comparatifs. Les avantages comparatifs
correspondes au coup d'opportunité de chacun des biens, ça représente a quoi on renonce.
Quand les ressources sont limitées produire un bien c'est nécessairement renoncer au non
production d'un autre bien.
Hypothèses :
un seul facteur de production, le travail
pas de déplacement des travailleurs
Angleterre Portugal
Vin 120 80
Drap 100 90
Remarque : Le Portugal est plus productif pour les 2 biens, donc le Portugal à un avantage absolu
pour la production des 2 biens, l'Angleterre n'en a aucun.
• Si l'on applique la théorie des avantages absolue le Portugal n’a aucun intérêt à échanger.
• S’il y a échange le Portugal a intérêt à produire de vin et l'Angleterre à produire des draps
Dans ce cas le coup d'opportunité est à prendre en compte. Il faut regarder la perte de non
productivité d'un bien.
Angleterre :
1 unité de drap = 100 heures de L = 100/120 unité de vin soit 0,83 unité de vin
1 unité de vin = 120 heures de L = 120/100 unité de vin soit 1,2 unité de drap
Portugal :
1 unité de drap = 90 heure de L = 90/80 unité de vin soit 1.125 unité de vin
1 unité de vin = 80 heure de L = 80/90 unité de vin soit 0,89 unité de vin
Lecture : produire 1 unité de drap en Angleterre entraîne à renoncer à 0,83 unité de vin et au
Portugal on renonce à 1,125 unité de vin.
Donc l'Angleterre a un avantage comparatif pour le vin.
Exemple général :
Hypothèses :
En Angleterre la quantité de travail est de 12000 heures et au Portugal elle est de 7200 heures.
En autarcie :
Angleterre produit des draps pour 72 unîtes et vin : (12000-72×100) :120=4800/120=40 unités
Portugal produit des draps pour 40 unités et vin : (7200-40×90)/80=45 unités
Production mondial en autarcie :
Drap : 112 unités
Vin : 85 unités
On suppose qu’il y a échange avec une ouverture international et les pays ce spécialises, pour le
Portugal spécialisation pour le vin et l’Angleterre spécialisation pour les draps.
Spécialisation :
• Angleterre : drap =12000/100=120 unités
• Portugal : vin = 7200/80=90 unités
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Suit a la spécialisation la production de drap et de vin dépasse la production mondial en autarcie.
Production mondial âpres ouverture > production mondial sans ouverture
2° La situation d’équilibre
Hypothèse :
Exemple :
Soit 2 pays Nation et Etranger ces pays produisent 2 biens le bien 1 et le bien 2.
Nation Etranger
Bien 1 ai=10 ai*=80
Bien 2 ai=20 ai*=40
Deux situations possibles soit ils échangent ou non, par la suit on verra qu’ils ont intérêt à
échanger dans les 2 cas. Il va y avoir spécialisation d’au moins un des deux pays.
L’objectif est de voir les couts de production et de la demande de la préférence des agents.
Si il y ouverture au commerce (donc vers l’extérieur) le prix des biens vont êtres identique.
Dans chaque pays du fais de la parfaite mobilité de la main d’œuvre entre les 2 biens le salaire va
être le même dans les 2 secteurs, donc chaque heure de travail sera affecter a la demande de bien
qui rapporte le plus.
Pour Nation :
1 heure de travail (cout w en euro)
Produit 1/a1 (1/10) unité de bien 1 (ou produire 1/a2=1/20 unité de bien 2)
Rapport P1/a1 en euro (ou un rapport de P2/a2)
P1/a1=P2/a2
Nation :
Nation produit du bien 1 si :
P1/a1 > P2/a2 soit P1/P2 > a1/a2
Donc nation a intérêt à produire du bien 1 si son cout d’opportunité est intéressant.
Etranger :
Il existe 4 possibilités :
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1. P1/P2=a1/a2<a1*/a2*
Etranger : Q2*=160 Q1*=0
Nation : bien 1 et 2
Q2 :0 pour 160
Q1=0 pour 200 (200/10)
(Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) :0 pour 200/160=5/4=1,25
2. P1/P2<a1/a2<a1*/a2*
Nation : bien 1 pour Q1=200 Q2=0
Etranger : bien 2 pour Q1*=0 Q2*=160
(Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) :0 pour 200/160=5/4=1,25
3. P1/P2=a1/a2>a1*/a2*
Nation : Q1=200 Q2=0
Etranger : bien 1 ou 2 avec Q2*=0 Q2*=160
4. P1/P2>a1/a2>a1*/a2*
Nation et Etranger : bien 1
Q2+Q2*=0
(Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) =280/0
Rappel :
Autarcie :
• Nation P1/P2=a1/a2=0,5
• Etranger : P1/P2=a1*/a2*=2
Voir graphique :
Si 0,5<P1/P2<2
• Q1 = 200 Q2 = 0
• Q1* = 0 Q2*=160
• (Q1+Q1*) / (Q2+Q2*) = 200/160 = 1,25
TMSX1, X2 = -P1 / P2
X2 = U 1/0,4 X1-3/2
TMS = dX2 / dX1 = -3 / 2 × U 1/0,4 X1-5/2 = -3/2 (X10,6 × X20,4)1/0,4 X1-5/2 = -3/2 × X2/X1
Equilibre :
Contrainte budgétaire
TMSX1X2 = -P1/P2
Etranger :
P1X1*+P2X2*=160P2
On sait que P1X1=3/2P2X2 donc :
5/2X2*=160 donc X2* = 64 et X1* = 3/2 × (P2/P1)X2* = 80
Conclusion :
P1/P2 = 1,2 Q1 = 200 Q2* = 160
X1 = 120 X2 = 96
X1* = 80 X2* = 64
Il y a spécialisation des deux pays. Les deux pays vont perdre leurs avantages comparatifs, il
va s’établir un équilibre entre ces avantages.
Cas particulier :
La demande relative de bien 1 est faible donc le prix du bien 1 par rapport au bien 2 va s’établir a
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0,5.
• Pour Etranger :
Donc comme P1/P2<a1*/a2* = 2 Q1* = 0 et Q2* = 6400/40 = 160
Donc Etranger va ce spécialisé dans le bien 2.
• Pour Nation :
Comme P1/P2 = 0,5 le pays produit les deux biens. Contenu de la demande bien 1 Nation va
compléter la production de bien 1 du pays Etranger.
Nation :
P1X1 + P2X2 = 200 P1 or on sait que P2X2 = 4 P1X1
Donc 5 P1X1 = 200 P1 alors X1 = 40 et X2 = 4 P1/P2 X1= 80
Etranger:
P1X1* + P2X2* = 160 P2
Or P1X1* = ¼ P2X2*
Donc: 5/4 P2X2* = 160 P2
X2* =128 et X1* = 64
X1 = 40 X1* = 64 104
X2 = 80 X2* = 128 208
Q2* = 160 Q1* = 0
Q1 = 104 Q2 = 48
3° Implications :
Gains à l’échange
Evolution des salaires
L’ouverture internationale accroît les possibilités de consommation dans les 2 pays. Augmenter
l’ensemble de paginer de biens que les consommateurs peuvent acquérir.
On va distinguer les variations avant et âpres ouverture.
Nation ce spécialise dans la production de bien 1 et dans la production de bien 2 le prix relatif
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s’établit pour P1/P2. Et donc si il reste constant 1 unité de bien 1 = 1unité de bien 2, la frontière de
possibilité de production est représenter par une droite.
Les 200 unités de biens 1 Nation peut les échangé a ce taux contre 240 unités de biens 2.
Pour les 2 pays l’ouverture international accrois les possibilités de consommation.
Donc en autarcie les consommateurs peuvent choisir la quantité voulut donc soit le panier (100,200)
ou (240,200).
Donc quand il y a échange il y a un gain de pouvoir d’achat, lie a l’évolution du prix relatif
en autarcie dans Nation 1 unité de bien 1 =1/2 unité de bien 2, cette même unité de bien 1 est
échangeable en situation d’ouverture contre … unités de bien 2.
240 = 200x1,2 = 133,33 = 160/1,2
De façon générale on obtient toujours les mêmes conséquences.
Nation se spécialise en bien car P1/P2 > a1/a2.
Nation gagne a l’échange car P1/P2>a1/a2.
Etranger se spécialise en bien car P1/P2 > a1*/a2* (P2/P1 > a2*/a1*).
Etranger gagne a l’échange car P1/P2>a1*/a2*.
A l’équilibre :
a1/a2 < P1/P2<a1*/a2*
Ca conduit les pays à ce spécialisé dans les secteurs les plus productifs. Accroissement de la
production mondial donc accroissement de la croissance mondiale, la répartition des biens
s’effectuent en fonction du prix relatif qui dépend de l’offre (des productivités) et de la demande.
Se qu’on remarque bien que l’on dispose d’aucun avantage absolu, Etranger a aussi intérêt à
s’ouvrir au commerce international.
Nation est un pays très compétitif alors que Etranger non et ces 2 pays ont intérêt a échangés dans
ce cas.
Il peut être nécessaire pour un pays de ce protéger de la concurrence international lorsqu’il pourra
disposer de leur avantage comparatif mais que ca production n’est pas assez développer pour
exploiter cette avantage comparatif.
Tant que le pays ne produit pas assez il ne peut exploiter ses économies d’échelle et donc d’obtenir
un avantage comparatif.
Un pays dont la productivité du travail augmente moins vite que les autres il ne va pas y perdre.
Nation : bien 1
Profit : П=P1q1 – wL1 L1 = quantité de travail
W= salaire nominal
Or q1= L1/a1
П= P1 L1/a1 – wL1
П’1= 0
P1/a1 – w = 0
w/P1 = 1/a1 W*/P2 = 1/a2
Le commerce international n’est pas incompatible avec des différences de salaire et les 2 pays, ils y
gagnent et ici la concurrence de Nation n’est pénalisante.
Avant ouverture : w/P2 = 1/a2 = 1/20
Apres ouverture : w = P1/a1
W/P2 = P1/P2 x 1/a1 = 1,2 x 1/10 =0,12
Si on regarde les donnés sur les salaires relatif et les productivités il y a une véritable croissance.
Etranger qui n’a aucun avantage comparatif gagne aussi a l’échange et va aussi gagner en terme de
pouvoir d’achat.
L’ouverture internationale accroît les échanges et tout le monde gagne car il y a qu’un seul facteur
de production.
Le commerce international peut affecter la distribution des revenus dans l’économie, en valorisant
d’avantage certain facteurs par rapport a d’autre.
Conclusion
Ce model est l’objet d’un certain nombre de critique qui ne remettent pas en causes les conclusions
mais qui les relativisent.
Le model de Ricardo conduit a une spécialisation de chaque pays. Les coefficients de production
sont constants donc les productions marginales ne sont pas décroissantes.
Plus un pays produit plus sa productivité de chacun des facteurs diminue ce qui fais que sont
avantage comparatif va s’estomper.
Le modèle de Ricardo ne permet d’analyser la rémunération des facteurs entre les facteurs
suite à l’ouverture au commerce. Il ne tien pas compte des différences d’opportunité et n’explique
pas les de productivités et ne tien pas compte de l’impacte des économies d’échelle.
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Un pays a intérêt à ce spécialisé dans certains secteurs, il faut noter que les échanges internationaux
créer une dépendance entre pays. Le secteur de spécialisation va accroitre la croissance du pays
mais si il y a une crise internationale il va se produire une diminution des échanges.
L’objectif et de trouver un juste milieu au niveau des productions d’échelle et des exportations
exemple en Allemagne.
Hypothèse principale : Les techniques peuvent être diffusé d’un pays à un autre. La seul différence
existant entre les pays sont les dotations factorielles.
Hypothèses :
H2 : la technologie est la meme dans les deux pays (meme technique de production) et seront
représenter par une fonction de production a facteur substituables combinant 2 facteurs de
production, le travail et le capital.
H4 : les deux biens sont produits selon des facteurs et quelque soit les prix des facteurs l’intensité
factorielles et irréversible, le rapport K/L a l’optimum pour produire les biens.
Le bien 2 sera supposer plus intensif en K que le bien 1.
k1 = K1/L1 k2 = K2/L2 k2 > K1
H5 : tous les marchés sont en concurrence pure et parfaite. Les entreprises sont preneuses de prix, et
les facteurs sont parfaitement mobiles.
H6 : les préférences des consommateurs sont identiques dans les 2 pays, la demande relative d’un
bien par rapport a un autre dépend pas du revenu et donc de la taille du pays.
plan:
théorème d’Hecksher – Ohlin
theoreme de Stoper – Samuelson
Egalisation des prix des facteurs
1° L’économie fermée
Une technique optimale de production telle que le taux marginal de substitution est égale au rapport
des prix des facteurs.
Qi = f (Ki , Li) = AKiαLi1-α
K
K
A
TMST = ▲K/▲L
L L
L’équilibre dépend du prix de facteurs. Pour un niveau de production donné il faut déterminer la
combinaison K, L qui minimise les dépenses. On peut tracer chaque niveaux de dépenses à partir
d’une droite d’isocoût.
Droite d’isocoût : w = prix du travail
n = prix du capital travail
Droite d’isocoût
w = prix du travail Soit Co=w L + r K
r = Prix du capital
K k2 = K2/L2
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Co/r
K* k1
La productivité marginale du travail comparé au capital dans le secteur 1 est relativement plus
importante que dans le secteur 2. Dans les secteurs on a :
•
•
Soit à l’équilibre
Compte tenu de la concurrence des secteurs et de la parfaite mobilité des facteurs, le prix du capital
et du travail sera le même entre les secteurs. A l’équilibre on a donc : k2=16k1 (k2 > k1)
K k’>k
w/r élevé
k
w/r faible
L’intensité capitalistique augmente avec le rapport w /r, et par ailleurs à une valeur de w/r ne
correspond qu’une et une seule valeur de l’intensité capitalistique
Soit :
Q1 la quantité de bien 1
Q2 la quantité de bien 2
K1 le secteur 1
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K2 le secteur 2
K=K1+K2 (fixe)
L=L1+L2 (fixe)
La quantité de facteurs dans le pays est fixe, ce qui signifie que la production est limitée et donc
qu’il faut déterminer la condition optimale des deux facteurs. A l’équilibre, il va y avoir équilibre
des TMST entre les 2 secteurs et ces TMST seront égaux au rapport du prix des facteurs. Le prix
relatif du travail et du capital est le même dans les deux secteurs :
Dans le secteur, si on utilise 1 unité de travail en plus on peut utiliser 2 unités de capital en moins :
∆K1=+2 et ∆K2=-4 soit ∆K=-2 donc pas optimum
∆L1=-1 et ∆L2=1 soit ∆L=0
Pour qu’il n’y est pas de gaspillage de facteurs, il faudrait ∆K et ∆L égaux à 0.
Q2
Q1
Taux marginal de transformation (coût d’opportunité) : La pente de cette courbe en n’importe quel
point est la quantité de bien 2 à laquelle l’économie doit renoncer, si elle produit une unité de bien 1
supplémentaire, si tous les facteurs sont utilisés.
S’il est égal à deux alors, pour produire une unité de bien 1 en plus il faut renoncer à la production
de deux unités de bien 2.
Cela correspond au coût d’opportunité du bien 1 en fonction du bien 2.
La concavité de la courbe veut dire qu’en valeur absolu la pente augmente. Soit TMST augmente
lorsque Q1 augmente. Le cout d’opportunité du bien 1 exprimé en termes de bien 2 augmente
lorsque Q1 augmente. Pour produire d’avantage de bien 1 il va falloir utiliser d’avantage de facteurs
(plus on en produit plus c’est difficile). Au contraire lorsqu’on diminue la quantité de bien 2 la
quantité de facteur utilisé diminue (pour les deux).
Plus on se spécialise plus c’est difficile de créé des unités de bien supplémentaire. C’est le contraire
si on souhaite créer une unité du bien inverse.
On peut déterminer cet équilibre en passant soit par la courbe d’offre relative soit par la courbe de
transformation.
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a° Par la courbe de transformation
C’est le côté offre de l’économie. L’équilibre dépend des demandes relatives qui sont déterminés
par les préférences. On suppose que les préférences des agents sont représentées par des fonctions
d’utilité collectives (comme dans Ricardo) et on suppose que ces préférences sont normales. (c à d
que les agents apprécient les 2 biens.
Ce qui implique que la courbe d’indifférence est décroissant ; ils apprécient la diversité de
consommation (CI convexe).
Le choix se porte sur la CI la plus éloignée de l’origine. La seul contrainte pour un consommateur
est le budget. Et la contrainte pour un pays est la possibilité de production. La combinaison
optimale de bien produits dans ce pays est consommé. Il se situe à l’intérieur de l’ensemble des
possibilités de la production et sur la CI la plus éloigné de l’origine.
Q2
E
U*
uo
Q1
A l’équilibre, le TMS du bien 1 au bien 2 est égale au TMT. Ce qu’on est prêt à céder en terme de
consommation doit être égal au TMST fixé par les contraintes techniques en termes de production.
Q2
U* Q2=V0/P2=(P1/P2)Q1
-P1/P2 Q1
CT=wL1+wL2+rK1+rK2
∆CT=w∆L1+w∆L2+r∆K11+r∆K2
∆L2=∆L1 et ∆K2=∆K1 et L constant ∆L=0
Soir ∆CT=0
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Q1/Q2 A
Q1 Q1
Analyse graphique :
P1/P2 Q1/Q2
Q1/Q2
P1/P2
Q1/Q2 (offre relative)
Q1/Q2
La demande réelle découle des préférences des consommateurs qu’on peut représenter par des CI.
P1’/P2
Offre relative
P1/P2
Demande relative
Q1/Q2
Q1/Q2
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Soit :
w = prix du travail
n = prix du capital
k=k/L
w/n k1
k2
P1/P2 P1/P2 k1 k2 k
Remarque :
Il existe une correspondance unique entre le prix relatif des biens, des facteurs et les intensités
factorielles : intensité capitalistique.
Partie droite : A une valeur donnée du prix relatif du bien correspond a une certaine partie de la
représentation de la production et donc à partir d’une certaine demande relative des facteurs (donc
une certaine rémunération des facteurs)
Partie gauche : la courbe est croissante ; P1/P2 augmente donc se qui entraine Q1/Q2 augmente
(offre). Le travail est mieux valorisé dans le secteur 1 (w/n augmente).
2° L’économie ouverte
On va comparer les prix relatif en autarcie. Comme les demande relative sont les même donc la
différence de prix relatif va apparaitre au niveau de la demande relative. Il y a des différences au
niveau factoriel qui détermine la capacité de production de chaque pays.
Nations est mieux doté en capital
Etranger est mieux doté en travail
Si il y a aucune entrave a l’échange dans ce cas le prix relatif sera les même dans les 2 pays, pas
d’arbitrage inexploité. Ce prix relatif va s’établir entre les 2 valeurs qui prennent en autarcie.
La seule chose qui distingue les 2 pays c’est la dotation factorielle. Pour voir l’impacte sur les offre
relative de bien au observe le théorème de Rybczynski.
Théorème de Rybczynski : une augmentation de la quantité d’un des facteurs : donc une
modification de la dotation factorielle, cette modification favorise la production du bien qui utilise
ces facteurs en quantité plus importante.
On raisonne a prix donné on souhaite regarder ce qui ce passe sur al courbe d’offre lorsque la
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quantité d’un facteur augmente.
L’augmentation de la quantité du facteur de production pour un rapport des prix d’un facteur donné
conduit a l’augmentation du bien qui utilise ce plus facteur et une diminution de la production de
l’autre bien.
On suppose une augmentation de la quantité de travail disponible et on va voir que pour un prix
relatif d’un bien donné cela conduit a une augmentation de l’offre de bien 1 et une diminution de
l’offre de bien 2. On va raisonner a partir de la courbe des possibilité de production ; cela entraine
une modification de la frontière de possibilité de production : on peut produire plus de bien 2.
Q2
Q’2
Pente = P1/P2
Q1
Q’1
Une augmentation du L :
P1/P2 quelconque
Remarque les tangentes sont parallèles donc les pentes sont identiques.
Nation est mieux doté en capital et Etranger en travail : si on applique ce théorème pour un prix
relatif d’un bien donné Nation av produire relativement plus de bien1 que de bien 2 et Etranger va
produire relativement plus de bien 2 que de bien 1, car les dotations relatives ne sont les même.
P1/P2
S S’
Q1/Q2
Q1/Q2
P1/P2
SN SE
Q1/Q2
Q1/Q2E
Q1/Q2N
Les prix relatifs en autarcie dépendent de la confrontation des offre et demande en autarcie ici les
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déménages relatives sont identiques.
En autarcie : on peut regrouper les demandes des 2 pays car elles sont identiques :
P1/P2
SN SE
P1/P2 A
B
Demande relative
Q1/Q2
Q1/Q2E
Q1/Q2N
Nation dispose contenu des prix relatif un avantage relatif dans la production de bien 2 et Etranger
dans la production de bien 1. Donc
Théorème d’Heckscher – Ohlin : a l’ouverture international chaque pays exporte le bien pour
lequel il dispose d’un avantage comparatif cette avantage comparatif s’expliquant par le fais que la
production du bien exporter utilise de façon plus intensive le facteur le plus abondant relativement
dans le pays.
Avant ouverture le bien 1 est relativement moins cher chez Etranger et l bien 2 est relativement
moins cher pour Nation donc Nation va exporter du bien 2 et Etranger va apporter du bien 2 et
inversement pour le bien1. On remarque Nation export du bien 2 (intensif en capital) et Etranger
exporte du bien 1 (intensif en travail).
Q2 Autarcie
TMS2,1 = -P1/P2
Q2 fixe TMS1,2 = -P1/P2
E
Q1
Q1fixe
20
Q2
Ouverture P1/P2 ↓
Q2
C2 U
Q1
Q1 C1
Remarque :
Nation produit les 2 biens mais exporte du bien 2 et importe du bien 1. Et inversement pour
Etranger.
A l’équilibre les avantages comparatifs s’estompent. Donc on est exportateur d’un seul bien et
producteur d’un seul bien or la on produit les 2 biens c’est lié a la décroissance de la productivité
marginal qui devient de plus en plus difficile de produire des unités supplémentaire au fur et a
mesure que la production ce développe : représenter par la concavité de la courbe.
On pourrait avoir spécialisation total d’un pays si les demande de bien étai tel quelle dépasserai les
capacités de production du pays (équilibre contrains).
Exemple d’équilibre contrains :
Q2
Spécification total
Q2 fixe entraine un eq total
-P1/P2
Q1
Q1 fixe
Il y a un bien être global qui s’améliore parce que l’ouverture au commerce permet d’accroitre les
possibilités de consommation donc ca accrois le pouvoir d’achat du consommateur.
Pour Nation accède a un bien 1 relativement moins chère qu’avant l’ouverture.
Il peut consommer d’avantage de bien 1 et il peut aussi consommer d’avantage de bine 2 parce qu’il
a une augmentation du pouvoir d’achat.
L’ouverture conduit les pays a ce spécialisé la ou ils ont un avantage comparatif : la ou ils sont le
plus efficace et donc ca conduit a une augmentation de la production mondial des 2 biens.
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Q2
-P1/P2 U1 U1 > U0
UO
Q1
Ici le bien être global s’améliore puisse que le panier de consommation qui est choisi âpres
ouverture appartiens a une courbe d’indifférence qui c’est éloigner de l’origine par rapport a la
courbe initial.
Sur ce graphique la consommation du bien 2 diminue c’est un choix du consommateur et que l’on
aurait pu aussi avoir une situation ou la consommation des 2 biens augmente.
L’ouverture au commerce fait diminuer le prix relatif du bien 1 dans nation, la production de bien 1
diminue et la production du bien 2 diminue. Cela va diminuer les demandes de facteur (travail) le
capital va être plus valorisé dans nation car le bien (2) demande plus de capital. Les travailleurs
vont en pâtir et les détenteurs de capitaux vont en profiter.
Dans Nation on a un prix relatif du a l’ouverture : P1/P2↓ Q1↓ Q2↑ donc w/r↓
Donc c’est lié à la productivité
w/r
Autarcie
P1/P2 k
ouverture
En l’absence d’obstacle a l’échange, le rapport du prix des facteurs tente a s’égaliser entre les 2
pays. Cela est valable qui si il y a pas de spécialisation total.
Nation P1/P2 ↓ w/r↓ 1 seul valeur P1/P2
Etranger P1/P2 ↑ w/r↑ donc 1 seul valeur de w/r
22
Les différences de salaires et de profits vont avoir tendance à s’estomper au fil du temps.
Donc pour les pays considérer à bas salaire vont tendre à avoir des rémunérations salariales qui vont
augmenter au fil du temps. Certain peuvent y perdre a l’intérieur du pays a l’ouverture du pays.
Il y a un avantage global, mais qui n’est pas repartie de manière égalitaire, donc certain gagne plus
que d’autre accroit les inégalités. Donc il est légitime que les agents s’oppose a l’ouverture au
commerce parce que ca leur est défavorable. Si il y a des mécanismes de compensation pour les
perdants dans ce cas tout le monde eut y gagner.
Ca peut expliquer l’évolution des salaires moyen : comparaison entrer les salaires les plus diplômer
et les salaires les moins diplômés. Donc si on ce bas sur le théorème de Samuelson il devrait y avoir
une augmentation des salaires des plus diplômés dans les pays du nord.
Aux USA :
1970 – 1993 : 2,16 -> 2,57 donc on voit bien une augmentation des salaires pour les plus qualifiés
2,2 -> 2,7 en Europe
Une des conclusions du modèle HOS est qu’il existe une relation entre les dotations factorielle d’un
pays et la structure de ces échanges.
Leontief a essayé de vérifier ca au Etat Unies dans les années 50, les USA disposait d’une dotation
factorielle la plus élève au sein de la guerre.
X : valeur de travail et capital pour un million de $ d’X
M : valeur de travail et capital pour 1 million de $ d’M (substitut aux M)
Les importations américaine contenait plus de capital que les importations.
Critique du modèle :
La mesure du capital étai trop restrictive
Pas de capital non productif (pas de prise en compte des d’infrastructure, education…)
Kenen (1965)
Il na pas prit en compte les qualifications des salariés ; Keesing (1962) 8 catégories de
qualification.
Les échanges naissent de différences factorielles et il peut y avoir des gagnant et de perdant a
l’échange.
23
Chapitre 3 : Les caractéristiques de commerce international
Graphique 1 :
1950 on assiste a une croissance du commerce international supérieur a la commence de la
production.
Donc il y a une part plus importante qui est exporter, ca veux dire qu’il y a une interdépendance de
plus en plus forte des économies et une transition des chocs qui est plus rapide.
Tableau 2 :
Pour les produits échangés : 80% du commerce est constitué de marchandise et 20% de services.
Remarque :
Pour les participant au commerce international :
Tableau 3, les principaux pays participant au commerce international sont les pays développé.
1er exportateur : Europe 41%
24
Pourquoi les pays européen sont bien placer :
C’est parce qu’il y a beaucoup d’échange intra européen.
L’OMC compte uniquement les exportations extra UE donc on peu dire que UE est une unité au
sein du commerce international.
Une des caractéristiques du commerce sont les échanges entre pays qui s’explique par : 80% taille
du pays (PIB) et distance géographique explique le commerce international.
Page 4
73,5% des X de l’UE des exportations sont destiné au pays or UE.
Page 6
Tableau du bas : échange inter et inter régional.
Europe : 74,4%
Amérique du nord : 51,3%
Exemple d’union :
ALENA : 3 états, accords de libres échanges
UE :
MERCOSUR : Argentine Paraguay Uruguay
Modèle de gravité :
Equation de gravité :
Tij = A (Yi Yj) / Dij avec A = constante
Donc TF / TE = Yj / YE
Page 7 : on peut observer que l’équation est relativement bonne beaucoup de pays sont proches de
la droite.
Page 8 : même chose mais ici on prend en compte les distances.
25
Plus les pays sont proche moins c’est couteux de commercer : distance est un facteur très
important.
Des pays qui sont proche géo sont des pays qui sont aussi proche au niveau culturel : et qui
partage soit la même langue ou même mode de consommation, façon proche de commercer.
PIB est utilisé car ca représente la croissance du pays et le revenu (donc la demande d’un
pays). donc un pays qui produit beaucoup est un pays qui a un revenu élevé donc une
demande importante et qui exporte beaucoup
Un modèle de gravité nous dit que les échanges entre 2 pays seront élevés si la taille de ces
pays est importante, mais ces modèle de gravité dise rien sur le taux d’ouverture du pays.
o Taux d’ouverture diminue avec la taille du pays :
Taux d’ouverture : X + M / 2
Exemple en 2008
PIB Taux d’ouverture
France 15,6% 27,7%
Allemagne 20% 44,1%
Belgique 2,8% 85,3%
Les grand pays comme USA peut s’auto suffire or les petit pays ne peuvent pas donc ils ont besion
de s’ouvrir.
Une part importante du commerce international concerne des produits de même nature.
Remarque la France échanges des voitures avec les allemands et l’Italie alors que ces pays en
produisent.
Une branche d’activité peu regroupé des produits très différents, une branche d’activité regroupe
des unités de production qui relève d’une même activité et réalise le même type de produit.
Le secteur d’activité regroupe toutes les entreprise dont les activités principal est dans ce secteur.
Textile vêtement de ville
Vetement de sport
Si dans une branche il ya que du commerce intra branche, alors dans ce cas les X de la branche
doivent être égale à l’M de la branche.
Xi = Mi alors Gi = 1
Xi = 0 ou Mi = 0 alors Gi = 0
Si Xi > 0 et Mi = 0 alors Gi = 1 – Xi / Xi = 0
26
Pi = (Xi + Mi) / ∑ (Xi + Mi) G = ∑ Pi Gi
Page 10:
L’OCDE propose de classer ces échanges en 2 catégories:
Différenciés « horizontalement – verticalement »
Séparation des processus de production entre les pays
OCDE 2000 les pays dans lequel le commerce intra branche est plus importante pour les
productions manufacturé et encore plus importante quand ces produit sont plus développer car ils
sont plus susceptible d’être différencies. L’autre part de commerce intra branche découle de la
division de travail dans les pays.
Page 9 :
Développement important des IDE depuis les années 70
Entre 70 et 07 les IDE on étai multiplier par 2
Remarque :
Ces IDE sont entrepris essentiellement par les pays développés.
Ces IDE on pour destination principal d’autre pays développés.
France est le 1er pays dans lequel on investie, d’âpres la banque de France les IDE sont surévalué a
30 / 40 %. Les entreprises organisent des flux interne (flux entre entreprise national et étrangère)
permettant de pays moins d’impôts.
5° Le commerce intra-groupe.
Commerce entre filiale de société multinationale : société implanté entre différents pays.
In est très difficile d’obtenir les prix de transfère.
Une société qui a une filiale a l’étranger va rapatrier ces nouveaux produits.
Commerce qui est du au multinational donc donne le poids de ces multinational, exemple au USA
dans les années 2000 les multinationales représentait 6% de la production et 60% du commerce
international.
OCDE regroupe en 3 catégories :
27
Chapitre 4 : Les théorèmes récents du commerce international
Jusqu’en dans les années 70 le modèle HOS ou la théorie de Ricardo constitué la théorie dominante.
Si on regarde la composition du commerce international la plus grande partie des échanges
s’effectuent entre pays développer.
Au niveau européen : peut de dotation factoriel donc pas de raison d’échanger entre eux.
Il y a une part importante du commerce de produits identique, ces commerce intra branche pour des
produits substituable qui nécessite pas de dotation factorielle différentes (même technique de
fabrication) donc ici le modèle de Ricardo n’explique pas ce modèle.
On va s’intéresser au :
Rôle de la technologie
Rôle des économies externes d’échelle
Au commerce international en concurrence monopolistique (existence d’un monopole).
Ecart technologique
Cycle de vie du produit
M Posner 1961 : il explique une partie des échanges à partir des processus d’innovation qui découle
des dépenses de recherche en développement. Ce peut être des innovations engagé ou des
innovations produits.
Ces innovations vont données au pays un avantage a l’exportation sur ses concurrents.
Ces écarts technologiques entre pays :
28
Va expliquer les échanges, mais cette écart est temporaire et va disparaitre au cour du temps
car les firmes vont être imité.
Durable ou non si la firme ou le pays qui est initialement en avance poursuit ses recherche et
qui vont permettre de faire de nouvelles découvertes et créé de nouveaux produits.
Ce sont les pays en avance technologiquement qui vont importer des biens en nouvelle technologie.
Ces pays investissent le plus au niveau du développement.
Les exportations par secteur dépendent de la part des RD. Ces dépenses de RD sont plus efficace
dans les secteurs dit segmenter c’est à dire la ou les produits sont peu substituables (pouvoir de
monopole) par rapport au secteur dit disperse la ou les produits sont plus substituable (beaucoup de
concurrence).
Dans les années 1979 Krugman : dit que les biens nouveau sont d’abord produit dans les pays du
nord et puis ils sont produit par les pays dit du sud, les produits sont imitées (ou la production et
délocalisé ou les biens produits sont imités). Dans ces conditions les pays du nord doivent sans
arrête innové pour concerner leurs avantages et continué à produire les biens (unique). Cette
avantage va disparaitre lorsque le produit sera imité et que la délocalisation sera effectué dans les
pays à bas salaire.
Selon Krugman les salaires sont plus élève dans les pays du nord et reflet en partie la rampe de
monopole (donc le salaire élève signifie qu’il y a un monopole).
R Vernom 1966 : L’idée est de montré les avantages que possèdes les pays a un certain moment.
Distinction des étapes de la naissance du produit à ca sortie.
Ventes
croissance
temps
lancement maturité vieillissement
Lorsque leur origine est extérieur a l’entreprise et que toute les entreprise du secteur en bénéficie.
Le CM diminue lorsque la production du secteur augmente.
Lorsque le CM de chaque entreprise diminue avec la production cumulé dans le temps :
Plus un secteur aura de l’expérience plus les entreprises sont performantes.
A Marshall : les districts industriels (exemple la silicon valey) concentration d’industrie a des
endroits donné. Donc cette concentration est bénéfique à tous.
CM
Production de l’industrie
Soit 2 pays : pays A et B et 2 biens le bien 1 et 2. L’un des bien bénéfices d’économie d’échelle et
l’autre non. Les marchés sont en situation de concurrence pure et parfaite CPP, et s’intéressent à
l’équilibre de LT : dans ce cas le prix = CM.
C’est la courbe d’offre de l’industrie qui donne la fonction (CM / production industrie)
Pour la spécialisation :
30
Si les pays sont identique ont peut rien prédire. Il y a un intérêt a ce qu’un pays se spécialise mais
peut importe le quel et cette spécialisation découle d’un hasard.
2 situations :
1. Les pays sont identiques (les firmes des 2 pays on les même courbe de CM)
2. Les pays sont différents (l’un des pays est plus efficace que l’autre donc à un CM inferieur a
l’autre)
P, CM
Da=Db
Demande mondiale (Da + Db)
autarcie
Pa=Pb CM (offre de l’industrie) : CMa =CMb
Pm
ouverture Q
Si c’est le pays B qui est plus efficace : Dans ce cas c’est ce pays qui assure la production mondiale.
P, CM Da=Db
Dmondiale
Prix de production
de base > Pm
PA CMa
Pb CMb
Pm
Q
Le pays B est potentiellement plus efficace mais il ne va pas pouvoir bénéficier des économies
d’échelle directement. Au début le prix est en haut de la courbe CM. Pour bénéficier d’économie
d’échelle et il faut qu’il atteigne un niveau de production tel que le CM soit inferieur au Cm.
3° La concurrence monopolistique
Pourquoi des pays qui sont identique au niveau des dotations factorielles, échanges des biens qui
appartiennent a la même branche d’activité ?
2 hypothèses :
Chaque entreprise différentie son produit des autres : donc elle peut bénéficier d’un certain
31
pouvoir de monopole, il faut dire que les biens de chaque entreprise sont parfaitement
substituables. Donc elle peut augmenter légèrement les prix sans perdre de clientèle (du au
monopole).
Chaque entreprise considère le prix comme une donnée : quand l’entreprise détermine sont
prix elle ne prend pas en compte l’impacte de son action sur l’équilibre de
marché (négligeable).
A court terme :
A long terme :
Equilibre de LT :
1. P = CM
2. Rm = Cm (Rm ≠ P)
Les entreprises sont preneuses de prix or ici chaque entreprises détermine son prix car il y
concurrence monopolistique donc P ≠ Rm
L’idée générale du modèle est que l’ouverture accroît la taille du marche. A partir de ca les
économies d’échelles permettent de diminuer le CM.
Comme le prix = CM ca se traduit par une baisse des prix qui est profitables au consommateur.
La situation des entreprises ne changes pas puisque leur profit est nul.
Il va y avoir une 2ème source de gain pour les consommateurs quoi est un gain de diversité c a d que
32
grâce a l’ouverture les consommateurs accèdes a un plus grand nombre de biens.
Donc ici le modèle qui est proposé est un modèle horizontal : exemple de Krugman est le marché
des biens automobile.
Au final on a des consommateurs tous différents. Et o n a des firmes qui mais qui ne vendent pas la
même variété de bien.
Il faut déterminer ici le prix de chaque firme la production de chaque firme et aussi le nombre de
firmes.
Toutes les entreprises sont identiques en termes de demande ou de fonction de cout les entreprises
vont pratiquer le même prix à l’équilibre.
Equilibre : Pi = P0
Qi* = Q/n pour toutes les firmes
Rm =Cm
Cm = c
RT = Pi qi
Qi = Q / n - b Q Pi + b Q P0
Donc Pi = 1 / bn – qi / bQ + P0
RT = Pi qi = qi / bn – qi2 / bQ + P0 qi
Rm = 1 / bn – 2qi / b Q + P0
Si Rm = Cm
1 / bn – 2qi / b Q + P0 = c or qi = Q / n 1 / bn – 2 / bn + P0 = c
Donc P0 = c + 1 /bn
Si Pi = CM
c + 1 / bn = c + F / qi or qi = Q / n 1 / bn = nF / Q
Donc n* = (Q / bF)1/2
n* = (Q / bF)1/2
33
Pi* = c + 1 /bn*
qi* = Q / n*
Application numérique :
b = 1 /30 Q = 900
c=5 QE = 1600
F = 750
En autarcie :
Nation étranger
n* 6 8
Pi* 10 8,75
qi* 150 200
En ouverture :
Q = 900 + 1600 = 2500
n* = 10
Pi* = 8
qi* = 250
2 pays identiques car toutes les firmes sont identiques et il n’y a pas d’avantages comparatif. Il va y
avoir du commerce de produits identiques.
Politique qui vise à protéger les pays de la concurrence. Exemple de mesure : limité les M ou
augmenter les X. il y a plusieurs outils :
Droit de douanes
Quotas
Normes sanitaire
Il faut voir l’efficacité de ces mesures. Le critère de Pareto permet de définir l’allocation des
ressources.
Si un pays est petit alors le marché national n’affecte pas le marché dit mondiale. Donc les prix sont
34
fixé au niveau de la nation.
D (P) = 500 – 2P
S (P) = 3P
En autarcie :
P
Surplus consommateur
250 S (P)
Surplus producteur
100
D (P)
Q
300 500
Application numérique :
D (P) = 500 – 2P
S (P) = 3P
o P* = 100 Q* = 300 Pm = 60
P
250 S
Pa =100
a b
Pm =60
Consommateur : gain : a + b
Producteur : perte: a
Surplus total : + b
Donc le prix du marché est inferieur au prix des producteurs donc les producteur on une perte de
surplus. Les consommateurs peuvent consommer plus que la production national grâce aux M, et
grâce a Pm < Pa.
2° Le droit de douane
On suppose il y a un droit de douane de 20. Donc le nouveau prix est de 80. Comme on est dans un
petit pays le prix mondial ne varie pas : fixe. Si on met un droit de douane cela va diminuer la
demande national mais n’affecte pas la demande mondiale vu sa taille.
T (droit de douane) = 20
P = Pm + t = 80 D = 340
35
S = 240 M = 100
250 S
Pm + t =80
a b c d
Pm = 60 D
Q
180 240 340 380 500
Exemple de quota :
Quota = 100
Le prix sur le marché national va varier, le prix dois etre a l’équilibre : donc que le prix de la
différence entre la demande et l’offre = 100
D (P) – S (P) = 100
500 – 2P – 3P = 100
P = 80
D =340 S = 240
M =100 (quota)
250 S
36
a b c d
Pm = 60 D
Q
180 240 340 380 500
Quota = 100
Consommateur : perte a + b + c +d
Producteur : gain a
2 cas de licences :
1er cas : si quota déterminer de façon unilateral, ce sont des licences d’M qui sont accordées à des
entreprises nationales qui importent le bien pour le revendre. Dans ce cas les entreprises bénéficient
d’une rampe de situation qui est égale a la surface « c » car elle achète le bien sur le marché
national a 60
2ème cas : si ce sont des firmes étrangère qui bénéficier de licences d’X alors la rente est accaparer
par ces sociétés étrangères, elles produisent le bien a 60 et comme il y a un quota elles le vendent a
80 avec un gain de 20.
Ces restrictions ont fortement diminué depuis les années 80. En 88 : 13% des M européen étaient
soumise à un obstacle.
Les quotas est une protection poreuse : difficilement praticable et a mettre en place. Les quotas
modifie l’origine des M mais n’en change pas le volume. Les quotas peuvent etre contournées de
façon légale, passer par d’autre société pour importer les biens : exemple dans les années 80 les
entreprise chinoises on crée des succursale dans les pays a coté qui eux ne sont pas soumis au quota
pour les M. donc pour que les quotas est un sens il faut que tout le monde signe.
4° Les subventions
2 types de subventions :
Au niveau des producteurs
subventions au niveau des exportation
Avec un quota ou un, droit de douane on a une production de donc avec les subventions on doit
avoir un même niveau de production, donc les prix doit etre de 80. Comme le Pm = 60 il faut une
subvention de 20.
Cette augment ation du prix ne vont pas affecter les consommations car il achète a Pm. Donc cette
subvention permet seulement de faire un gain des producteurs.
P = Pm
D =380 S = 240 M = 140
Pv = P + s = 60 + 20 = 80
37
P
250 S
Pm + s =80
a b
P = Pm = 60 D
Q
180 240 (M =140) 380 500
Producteur : gain a
Etat : perte a + b (du a la subvention)
Total : perte b
La subvention est préférable car elle n’entraine pas de distorsion au niveau des consommations.
La subvention limite les pertes, car le consommateur ne subit rien.
150 S
120
100
D
Q
120 240 600
Subvention de 20 par unités exporter, ici on suppose que le bien de peut pas etre importer. Donc le
prix sur le marché national va s’établir a 140 euro car il y aura aucun producteur national qui
pourrons vendre à ce prix.
150 S
140
38
a b c d
120
Q
40 120 240 280 600
Consommateur : perte a + b
Producteurs : gain a + b + c
Etat : perte b + c + d
Surplus : b + d
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