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Commerce international

http: // vfoad.unicaen.fr

Depuis la fin de la 2éme guerre mondiale on observe une forte augmentation du volume des
exportations.

50-60 60-70 70-80 80-90 90-00 00-07


X en volume 7,7 8,6 5,3 3,9 6,5 5,6
PIB en 4,5 5,5 4,1 3,2 2,3 3,1
volume

Si on prend X/PIB : reste stable fin des années 60 qui est de 15%.
Maintenant ¼ soit 25% du PIB provient de la production.
En France :
• PIB : 1950,1 milliards
• X : 563,8 soit 28,9% du PIB
• M : 515,6

60% des X sont destiné à d'autre pays or UE


80% sont des biens et 20% des services

Questions :
• Pourquoi c'est échanges entre pays ?
• Quel gain ont ils a l'échanger international ?
• Tout le monde tirent t'ils avantagent de ce commerce international ?
• La réglementation du commence internationale, type quota, restrictions afin de protéger
d'autre pays.

2 catégories qui regroupent les théories:

Théorie traditionnelles : D Ricardo et HOS (Helskshen-Ohlin-Samuelson)


• avantages comparatifs
Théories contemporaines:
• concurrence imparfaite
• diversité des produits

Remarque : on s'intéresse qu’à l'aspect réel des échanges, donc seulement des biens et des services.

1
Chapitre 1° La théorie des avantages comparatifs

Correspond à la théorie de Ricardo :


 principe des avantages comparatifs (1817)
1er explication rationnelle du commerce international donné par Ricardo

Commerce industriel

Avant Ricardo, le mercantilisme (doctrine qui s'intéresse à l'économie dans son ensemble) est la
théorie dominante.
L'objectif est de trouver les moyens pour mettre en œuvre une augmentation de la richesse de l'état
(recherche de l'or...) et le développement de l'industrie.

Mercantilisme avec : J Bodin et A De Montchrestien et JB Colbert

A Smith (1776) : s'oppose à cette conception protectionniste sa théorie repose sur les principes des
avantages absolus. Montre que certain pays ont intérêt à produire et ce spécifier afin de vendre a
l'extérieure.
Objectif est importé des biens moins coûteux afin de produire moins cher.

Exemple 1°

Soit 2 pays A et B et 2 Biens, le bien 1 et le bien 2.


On émet l'hypothèse qu'il il y a qu'un seul facteur de production : travail
Pays A Pays B
Bien 1 5 heures 10 heures
Bien 2 10 heures 5 heures

Tableau récapitulatif du temps du nombre d'heures de travail.

Analyse : le pays A est plus productif pour le bien 1 comparai ou pays B.


Donc le pays A dispose d'un avantage absolue dans la production du bien 1.

L'objectif pour A Smith est que; chaque pays on intérêt a ce spécialiser.


• Pour le pays A : le bien 1
• Pour le pays B : le bien 2

Le but est d'augmenter la production et par la suite d'échanger entre les pays.

Exemple 2°

On suppose que dans les pays A et B les ressources sont fixes : un seul facteur de production le
travail, L = 1000.
Si les pays échanges :

Tableau de production
Pays A Pays B
Bien 1 200 100

2
Pays A Pays B
Bien 2 100 200

Si les pays sont en autarcie :

Pays A Pays B
Bien 1 100 50
Bien 2 50 100

Donc au total lorsque les économies fonctionne en autarcies on observe que dans la production
globale de il y a 150 biens 1 et 150 biens 2.
S’il y a spécialisation de chacun de ces pays alors la production de chaque pays dépasse la
production globale (des 2 pays en autarcies).

.
Exemple 3°

Tableau de la consommation des 2 pays.

Pays A Pays B
Bien 1 125 75
Bien 2 75 125

Dans le pays A on échange 75 biens 1 contre 75 biens 2 provenant du pays B. Et inversement pour
le pays B.
On observe que les échanges sont unitaires.
Cette théorie fonctionne si chacun des pays dispose d'un avantage comparatif de production :
avantage absolu.
L'objectif et de produire le bien le moins coûteux.

Si des pays on aucun avantage absolu ils n'ont aucun intérêt à échanger. Cette exemple, en prenant
des situations extrême soit trop d’avantages absolus ou pas du tout, est a l'encontre de la théorie d'A
Smith.
Il faut prendre en compte les avantages comparatifs. Les avantages comparatifs
correspondes au coup d'opportunité de chacun des biens, ça représente a quoi on renonce.
Quand les ressources sont limitées produire un bien c'est nécessairement renoncer au non
production d'un autre bien.

Plan : Ricardo – Mill :


• Le principe des avantages comparatifs
• L'équilibre de l'économie
• Implications (bien être, salaires...)

1° Le principe des avantages comparatifs

Présentation des avantages comparatifs :


D Ricardo va considère 2 pays le Portugal et l'Angleterre qui vont produire 2 biens, le vin et des
3
draps.

Hypothèses :
 un seul facteur de production, le travail
 pas de déplacement des travailleurs

Angleterre Portugal
Vin 120 80
Drap 100 90

Remarque : Le Portugal est plus productif pour les 2 biens, donc le Portugal à un avantage absolu
pour la production des 2 biens, l'Angleterre n'en a aucun.
• Si l'on applique la théorie des avantages absolue le Portugal n’a aucun intérêt à échanger.
• S’il y a échange le Portugal a intérêt à produire de vin et l'Angleterre à produire des draps

Dans ce cas le coup d'opportunité est à prendre en compte. Il faut regarder la perte de non
productivité d'un bien.

Angleterre :
1 unité de drap = 100 heures de L = 100/120 unité de vin soit 0,83 unité de vin
1 unité de vin = 120 heures de L = 120/100 unité de vin soit 1,2 unité de drap
Portugal :
1 unité de drap = 90 heure de L = 90/80 unité de vin soit 1.125 unité de vin
1 unité de vin = 80 heure de L = 80/90 unité de vin soit 0,89 unité de vin

Lecture : produire 1 unité de drap en Angleterre entraîne à renoncer à 0,83 unité de vin et au
Portugal on renonce à 1,125 unité de vin.
Donc l'Angleterre a un avantage comparatif pour le vin.

 Avantage comparatif : fondamental dans le commerce international


 Prendre en compte les avantages comparatifs pour déterminer si un pays doit échanger avec
d’autre pays.

Exemple général :

Hypothèses :
En Angleterre la quantité de travail est de 12000 heures et au Portugal elle est de 7200 heures.

En autarcie :
Angleterre produit des draps pour 72 unîtes et vin : (12000-72×100) :120=4800/120=40 unités
Portugal produit des draps pour 40 unités et vin : (7200-40×90)/80=45 unités
Production mondial en autarcie :
Drap : 112 unités
Vin : 85 unités

On suppose qu’il y a échange avec une ouverture international et les pays ce spécialises, pour le
Portugal spécialisation pour le vin et l’Angleterre spécialisation pour les draps.

Spécialisation :
• Angleterre : drap =12000/100=120 unités
• Portugal : vin = 7200/80=90 unités

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Suit a la spécialisation la production de drap et de vin dépasse la production mondial en autarcie.
 Production mondial âpres ouverture > production mondial sans ouverture

2° La situation d’équilibre

Hypothèse :

1. Il y a qu’un seul facteur de production qui est le travail


2. La quantité de travail nécessaire pour produire chaque unité de bien est fixe et indépendant
du niveau de production.
3. Il existe une seul technique pour la fabrication de chaque bien est cette technique st
différente d’un pays a l’autre.
4. A l’intérieur de chaque pays tous les marchés sont en situation de CPP (parfaite mobilité des
salariés, a long terme les profits sont nul est l’ensemble des profits sont nul, ils sont
entièrement redistribués).
5. Le plein emploi des facteurs est toujours réalisé grâce à l’imperfection du marché du travail.
6. Il n’y a aucune entrave à la circulation des biens dans les pays : pas de cout de transport…
7. Les facteurs de production ne peuvent circulés entre les pays (immobilité des capitaux).

La productivité du travail est constant (voir hypothèse 2°).


Cette hypothèse implique que les rendements d’échelle sont constants et que CM et le Cm sont
confondus.

ai = quantité de travail nécessaire pour produire une unité de bien i


Donc pour produire qi unité de bien il faut utiliser :
 L= ai×qi heures de travail
 Qi=L/ai
 Var qi/ var ai= 1/ai=constante
 CT= w×ai×qi avec L= ai×qi

Exemple :

Soit 2 pays Nation et Etranger ces pays produisent 2 biens le bien 1 et le bien 2.

Nation Etranger
Bien 1 ai=10 ai*=80
Bien 2 ai=20 ai*=40

Soit p1 prix du bien 1 et p2 prix du bien 2.


 Nation : il y a 2000 heures disponibles (L=2000)
 Etranger : il y a 6400 heures disponibles (L*=6400)

Dans Nation 1 unité de bien 1 représente ½ unité de bien 2 : cout d’opportunité.


Une unité de bien 1 coute 2 unités de bien 2.
• Etranger dispose d’un avantage comparatif dans le bien 2.
• Nation dispose d’un avantage comparatif dans le bien 1.
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Prix relatif suite à l’ouverture : p1/p2

Deux situations possibles soit ils échangent ou non, par la suit on verra qu’ils ont intérêt à
échanger dans les 2 cas. Il va y avoir spécialisation d’au moins un des deux pays.
L’objectif est de voir les couts de production et de la demande de la préférence des agents.
Si il y ouverture au commerce (donc vers l’extérieur) le prix des biens vont êtres identique.

 Offre relatif : (Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) et P1/P2

2.1° L’offre mondial relative.

Dans chaque pays du fais de la parfaite mobilité de la main d’œuvre entre les 2 biens le salaire va
être le même dans les 2 secteurs, donc chaque heure de travail sera affecter a la demande de bien
qui rapporte le plus.

Pour Nation :
 1 heure de travail (cout w en euro)
 Produit 1/a1 (1/10) unité de bien 1 (ou produire 1/a2=1/20 unité de bien 2)
 Rapport P1/a1 en euro (ou un rapport de P2/a2)

En autarcie : une unité de bien 1 représente 2 unités de biens 2

 P1/a1=P2/a2

En situation d’ouverture : dans quel cas va-t-il y avoir spécialisation ?

Nation :
Nation produit du bien 1 si :
 P1/a1 > P2/a2 soit P1/P2 > a1/a2

Donc nation a intérêt à produire du bien 1 si son cout d’opportunité est intéressant.

 Si P1/P2 <a1/a2 donc nation n’a pas intérêt à produire du bien 1.


 Si P1/P2=a1/a2 donc nation produit du bien 1 et du bine 2.
 Si P1/P2>a1/a2 donc nation ne produit que du bien 1.

Etranger :

 P1/P2<a1*/a2* donc production de bien 2.


 P1/P2=a1*/a2* donc production de bien 1 et 2.
 P1/P2 >a1*/a2* donc production du bien1.

On suppose que : a1/a2<a1*/a2*


Si P1/P2<a1/a2 (ou <a1*/a2*)

Nation et Etranger produisent le bien 2.


• Nation : Q2= 2000/20=100 avec Q1=0
• Etranger : Q2*=6400/40=160 avec Q1*=0
 (Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*)=0

Il existe 4 possibilités :

6
1. P1/P2=a1/a2<a1*/a2*
Etranger : Q2*=160 Q1*=0
Nation : bien 1 et 2
Q2 :0 pour 160
Q1=0 pour 200 (200/10)
 (Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) :0 pour 200/160=5/4=1,25

2. P1/P2<a1/a2<a1*/a2*
Nation : bien 1 pour Q1=200 Q2=0
Etranger : bien 2 pour Q1*=0 Q2*=160
 (Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) :0 pour 200/160=5/4=1,25

3. P1/P2=a1/a2>a1*/a2*
Nation : Q1=200 Q2=0
Etranger : bien 1 ou 2 avec Q2*=0 Q2*=160
4. P1/P2>a1/a2>a1*/a2*
Nation et Etranger : bien 1
Q2+Q2*=0
(Q1+Q1*)/ (Q2+Q2*) =280/0

Rappel :
Autarcie :
• Nation P1/P2=a1/a2=0,5
• Etranger : P1/P2=a1*/a2*=2

Voir graphique :
Si 0,5<P1/P2<2
• Q1 = 200 Q2 = 0
• Q1* = 0 Q2*=160
• (Q1+Q1*) / (Q2+Q2*) = 200/160 = 1,25

2.2° La demande relative mondial :

La demande résulte des préférences des agents.


Soit la demande X1 et X2 pour Nation et X1*et X2* pour Etranger.

 U(X1, X2) = X10, 6 × X20,4


 U(X1*, X2*) = X1*0,6 × X2*0,4

(X1 + X1*) / (X2 / X2*) en fonction de P1/P2

TMSX1, X2 = -P1 / P2
X2 = U 1/0,4 X1-3/2

TMS = dX2 / dX1 = -3 / 2 × U 1/0,4 X1-5/2 = -3/2 (X10,6 × X20,4)1/0,4 X1-5/2 = -3/2 × X2/X1

Donc -3/2 × X2 / X1 = -P1/P2 (P1X1 = 3/2 P2X2)


• X2 = 2/3 × P1/P2X1
• X2* = 2/3 × P1/P2X1*
Si on confronte X2 avec X2* : pour obtenir la demande relative

 X2 + X2* = 2/3 P1/P2 (X1+X1*)


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 (X1+X1*) / (X2+X2* )= 3/2 × P2/P1 : demande relative

(Q1+Q1*) / (Q2+Q2*) = 200/160 = 1,25

Donc a l’équilibre : X1+X1* / X2+X2* = Q1+Q1* / Q2+Q2* = 5/4

 X1+X1* / X2+X2* = 3/2(P1/P2) = 5/4


 P1/P2 = 3 / 2(X1+X1* / X2+X2*) = 1,2

Equilibre :
Contrainte budgétaire
TMSX1X2 = -P1/P2

Contrainte : P1X1 + P2X2 = R donc P1X1 + P2X2 = P1Q1 = 200 P1


Rappel : P1X1 = 3/2P2X2
R = w×l = P1/a1 × L = P1 × L/a1 = 200×P1
On sait que P2X2 = 2/3P1X1
5/3X1=200 donc X1 = 120

Etranger :
P1X1*+P2X2*=160P2
On sait que P1X1=3/2P2X2 donc :
5/2X2*=160 donc X2* = 64 et X1* = 3/2 × (P2/P1)X2* = 80

Conclusion :
P1/P2 = 1,2 Q1 = 200 Q2* = 160
X1 = 120 X2 = 96
X1* = 80 X2* = 64

Nation échange 80 unités de biens 1 contre 96 unités de bien 2


Nation échange 1 unités de biens 1 contre 96/80 = 1,2 unités de bien 2

Il y a spécialisation des deux pays. Les deux pays vont perdre leurs avantages comparatifs, il
va s’établir un équilibre entre ces avantages.

Cas particulier :

U(X1, X2) = X1X24


On isole : X2 = U1/4X1-1/4
Donc le TMS = dX2/dX1 = -1/4U1/4X1-5/4 = -1/4(X1X24) X1-5/4 = -1/4 X2/X1
-1/4X2/X1 = 6P1/P2
Donc :
 X2 = 4 × P1/P2X1
 X2* = 4 × P1/P2X1*
Confrontation pour trouver l’équilibre :

X2+X2* = 4 P1/P2 (X1+X1*)


 X1+X1* / X2+X2* = 1/4 P2/P1

TMSX1 , X2 = - P1/P2 donc X2 = 4 P1/P2 X1

La demande relative de bien 1 est faible donc le prix du bien 1 par rapport au bien 2 va s’établir a
8
0,5.
• Pour Etranger :
Donc comme P1/P2<a1*/a2* = 2 Q1* = 0 et Q2* = 6400/40 = 160
Donc Etranger va ce spécialisé dans le bien 2.

• Pour Nation :
Comme P1/P2 = 0,5 le pays produit les deux biens. Contenu de la demande bien 1 Nation va
compléter la production de bien 1 du pays Etranger.

P1X1+P2X2=w l or w = P1/a1=P2/a2 comme P1/P2=0, 5


Donc:
WL = P1 L/a1 = P2 L/a2 soit WL = 200P1 = 100 P2

Nation :
P1X1 + P2X2 = 200 P1 or on sait que P2X2 = 4 P1X1
Donc 5 P1X1 = 200 P1 alors X1 = 40 et X2 = 4 P1/P2 X1= 80

Etranger:
P1X1* + P2X2* = 160 P2
Or P1X1* = ¼ P2X2*
Donc: 5/4 P2X2* = 160 P2
X2* =128 et X1* = 64

X1 = 40 X1* = 64 104
X2 = 80 X2* = 128 208
Q2* = 160 Q1* = 0
Q1 = 104 Q2 = 48

Les ressources sont très utilisées dans nation.


Q1 = 104 unités 1040 heures
Q2 = 48 unités 960 heures alors que de base il y a 2000

Nation produit 104 en consomment 40 et donc en vendant 64 de bien 1 contre 32 (160-128)


unîtes de bien 1.

3° Implications :

 Gains à l’échange
 Evolution des salaires

Conclusion des exemples donnés.


On va expliquer l’intérêt d’échanger.

3.1° Les gains a l’échange.

L’ouverture internationale accroît les possibilités de consommation dans les 2 pays. Augmenter
l’ensemble de paginer de biens que les consommateurs peuvent acquérir.
On va distinguer les variations avant et âpres ouverture.

En autarcie les possibilités de consommation sont confondu avec les possibilités de


production (consommation = production).

Nation ce spécialise dans la production de bien 1 et dans la production de bien 2 le prix relatif
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s’établit pour P1/P2. Et donc si il reste constant 1 unité de bien 1 = 1unité de bien 2, la frontière de
possibilité de production est représenter par une droite.
Les 200 unités de biens 1 Nation peut les échangé a ce taux contre 240 unités de biens 2.
Pour les 2 pays l’ouverture international accrois les possibilités de consommation.
Donc en autarcie les consommateurs peuvent choisir la quantité voulut donc soit le panier (100,200)
ou (240,200).
Donc quand il y a échange il y a un gain de pouvoir d’achat, lie a l’évolution du prix relatif
en autarcie dans Nation 1 unité de bien 1 =1/2 unité de bien 2, cette même unité de bien 1 est
échangeable en situation d’ouverture contre … unités de bien 2.
240 = 200x1,2 = 133,33 = 160/1,2
De façon générale on obtient toujours les mêmes conséquences.
 Nation se spécialise en bien car P1/P2 > a1/a2.
Nation gagne a l’échange car P1/P2>a1/a2.
 Etranger se spécialise en bien car P1/P2 > a1*/a2* (P2/P1 > a2*/a1*).
Etranger gagne a l’échange car P1/P2>a1*/a2*.

A l’équilibre :
a1/a2 < P1/P2<a1*/a2*

Ca conduit les pays à ce spécialisé dans les secteurs les plus productifs. Accroissement de la
production mondial donc accroissement de la croissance mondiale, la répartition des biens
s’effectuent en fonction du prix relatif qui dépend de l’offre (des productivités) et de la demande.
Se qu’on remarque bien que l’on dispose d’aucun avantage absolu, Etranger a aussi intérêt à
s’ouvrir au commerce international.
Nation est un pays très compétitif alors que Etranger non et ces 2 pays ont intérêt a échangés dans
ce cas.
Il peut être nécessaire pour un pays de ce protéger de la concurrence international lorsqu’il pourra
disposer de leur avantage comparatif mais que ca production n’est pas assez développer pour
exploiter cette avantage comparatif.
Tant que le pays ne produit pas assez il ne peut exploiter ses économies d’échelle et donc d’obtenir
un avantage comparatif.

Un pays dont la productivité du travail augmente moins vite que les autres il ne va pas y perdre.

3.2° Evolution des salaires.

Le commerce international est compatible avec des salaires différents.


Hypothèses :
 Le marché des bien et le marché du travail sont en situation de concurrence de LT, en
concurrence de LT les profits sont nul donc toutes la production est reverser aux salariés,
le salaire réel va être égales a la productivité marginal physique de travail (en unité de
bien).
 Les entreprises max leurs profits.

Nation : bien 1
Profit : П=P1q1 – wL1 L1 = quantité de travail
W= salaire nominal
Or q1= L1/a1
 П= P1 L1/a1 – wL1
П’1= 0
 P1/a1 – w = 0
 w/P1 = 1/a1 W*/P2 = 1/a2

Ouverture : a1/a2 ≤ P1/P2 ≤ a1*/a2*


10
P1 = w a1 a1/a2 ≤ w.a1 /w*.a2* ≤ a1*/a1
P2 = w* a2*
Donc a2*/a2 ≤ w/w* ≤ a1*/a1

Le salaire dans Nation sera compris entre x2 min et x8 max d’Etranger.


W/W* est délimité par rapport des productivités marginal dans les deux pays, et dépend donc du
prix relatif (avantage comparatifs sont valorisés), dépend aussi des rapports des productivités (si les
salariés produisissent plus ils rassoient plus).

Le commerce international n’est pas incompatible avec des différences de salaire et les 2 pays, ils y
gagnent et ici la concurrence de Nation n’est pénalisante.
Avant ouverture : w/P2 = 1/a2 = 1/20
Apres ouverture : w = P1/a1
 W/P2 = P1/P2 x 1/a1 = 1,2 x 1/10 =0,12

Si on regarde les donnés sur les salaires relatif et les productivités il y a une véritable croissance.
Etranger qui n’a aucun avantage comparatif gagne aussi a l’échange et va aussi gagner en terme de
pouvoir d’achat.

40 heures = 1 unité de bien 2 ou ½ unité de bien 1


= 1 unité de bien 2 ou 1/1,2 unité de bien 2

L’ouverture internationale accroît les échanges et tout le monde gagne car il y a qu’un seul facteur
de production.
Le commerce international peut affecter la distribution des revenus dans l’économie, en valorisant
d’avantage certain facteurs par rapport a d’autre.

Conclusion

La spécialisation et importante, les pays doivent se spécialiser dans la production de biens et


utiliser les avantage comparatif et non les avantage absolu. L’ouverture au commerce international
en conduisant les pays a ce spécialiser la ou les pays sont les plus efficaces ca permet une meilleur
valorisation de la production de chaque pays et donc du facteur travail (Valorisation de la
production bénéfique a tout le monde).
Regarder si les pays exportent des deux biens pour lequel la production par travailleurs
(1/a1) comparer a celle de l’autre pays est supérieur au rapport des salaires (w/w*) entre les pays.

a2*/a2 < w/w* < a1/a1* pour Nation dans bien 1


 a3*/a3 < a2*/a2 < w/w* < a1*/a1 < a4*/a4 (exemple)

Mac Dougall 1937


B Balassa 1950
 (XiGB / XGB) / (XiUS / XUS)

Ce model est l’objet d’un certain nombre de critique qui ne remettent pas en causes les conclusions
mais qui les relativisent.
Le model de Ricardo conduit a une spécialisation de chaque pays. Les coefficients de production
sont constants donc les productions marginales ne sont pas décroissantes.
Plus un pays produit plus sa productivité de chacun des facteurs diminue ce qui fais que sont
avantage comparatif va s’estomper.
Le modèle de Ricardo ne permet d’analyser la rémunération des facteurs entre les facteurs
suite à l’ouverture au commerce. Il ne tien pas compte des différences d’opportunité et n’explique
pas les de productivités et ne tien pas compte de l’impacte des économies d’échelle.
11
Un pays a intérêt à ce spécialisé dans certains secteurs, il faut noter que les échanges internationaux
créer une dépendance entre pays. Le secteur de spécialisation va accroitre la croissance du pays
mais si il y a une crise internationale il va se produire une diminution des échanges.

L’objectif et de trouver un juste milieu au niveau des productions d’échelle et des exportations
exemple en Allemagne.

Chapitre 2° : Le modèle HOS (Hecksher, Ohlin, Samuelson)


ou des proportions de facteurs
ou des dotations factorielles

Le modèle HOS est un prolongement du modèle de Ricardo ou les avantages comparatifs


sont expliquer a partir des dotations de chaque pays en facteurs de productions (les facteurs de
productions sont des).
Les coefficients de productions, avantages comparatifs vont être déterminé par les modèle a
l’équilibre et vont dépendre des dotations factorielles. Les techniques de productions sont les même
dans les pays et la seule différence entre les pays sont les dotations factorielles.
Technique de production identique car si les techniques peuvent être protégé par des brevets
ces brevets n’empêche pas leur diffusions. Ces brevets peuvent être limités ou meme vendus, ces
brevets ne font que rémunérer le détenteur.

Hypothèse principale : Les techniques peuvent être diffusé d’un pays à un autre. La seul différence
existant entre les pays sont les dotations factorielles.

Hypothèses :

H1 : il existe 2 pays Nation et Etranger qui produisent 2 biens : 1 et 2

H2 : la technologie est la meme dans les deux pays (meme technique de production) et seront
représenter par une fonction de production a facteur substituables combinant 2 facteurs de
production, le travail et le capital.

H3 : les rendements d’échelles sont constants


K capital
L travail
f (αK,αL) = α f(K,L)
le Cm et le CM sont confondu et que CM est constant.

H4 : les deux biens sont produits selon des facteurs et quelque soit les prix des facteurs l’intensité
factorielles et irréversible, le rapport K/L a l’optimum pour produire les biens.
Le bien 2 sera supposer plus intensif en K que le bien 1.
k1 = K1/L1 k2 = K2/L2 k2 > K1

H5 : tous les marchés sont en concurrence pure et parfaite. Les entreprises sont preneuses de prix, et
les facteurs sont parfaitement mobiles.

H6 : les préférences des consommateurs sont identiques dans les 2 pays, la demande relative d’un
bien par rapport a un autre dépend pas du revenu et donc de la taille du pays.

H7 : il y a une mobilité international des facteurs de production.


12
H8 : la quantité de facteurs dans chaque pays est fixe et elle est différente d’un pays à l’autre.
Nation est relativement mieux doter en K qu’Etranger qui lui est relativement mieux doter en L.
k=K/L k* = K* / L*

plan:
 théorème d’Hecksher – Ohlin
 theoreme de Stoper – Samuelson
 Egalisation des prix des facteurs

1° L’économie fermée

1.1° Le choix de la technique de production

Une technique optimale de production telle que le taux marginal de substitution est égale au rapport
des prix des facteurs.
Qi = f (Ki , Li) = AKiαLi1-α
K
K
A
TMST = ▲K/▲L

L L

La convexité de ces isoquant vient de la décroissance des productivités marginales.

L’équilibre dépend du prix de facteurs. Pour un niveau de production donné il faut déterminer la
combinaison K, L qui minimise les dépenses. On peut tracer chaque niveaux de dépenses à partir
d’une droite d’isocoût.
Droite d’isocoût : w = prix du travail
n = prix du capital travail

A l’équilibre : TMST = ∆ K / ∆ L = - Pml / Pmk = -w/n


n∆K=-w∆L

Droite d’isocoût
w = prix du travail Soit Co=w L + r K
r = Prix du capital
K k2 = K2/L2

13
Co/r
K* k1

K/L w/r Qo(1 ou 2)


L* Co/w L

A l’équilibre r∆K = -w∆L

La productivité marginale du travail comparé au capital dans le secteur 1 est relativement plus
importante que dans le secteur 2. Dans les secteurs on a :

Soit à l’équilibre

Compte tenu de la concurrence des secteurs et de la parfaite mobilité des facteurs, le prix du capital
et du travail sera le même entre les secteurs. A l’équilibre on a donc : k2=16k1 (k2 > k1)

K k’>k
w/r élevé
k

w/r faible

L’intensité capitalistique augmente avec le rapport w /r, et par ailleurs à une valeur de w/r ne
correspond qu’une et une seule valeur de l’intensité capitalistique

1° La production dans une économie à deux biens.

Soit :
 Q1 la quantité de bien 1
 Q2 la quantité de bien 2
 K1 le secteur 1

14
 K2 le secteur 2
 K=K1+K2 (fixe)
 L=L1+L2 (fixe)

La quantité de facteurs dans le pays est fixe, ce qui signifie que la production est limitée et donc
qu’il faut déterminer la condition optimale des deux facteurs. A l’équilibre, il va y avoir équilibre
des TMST entre les 2 secteurs et ces TMST seront égaux au rapport du prix des facteurs. Le prix
relatif du travail et du capital est le même dans les deux secteurs :

Dans le secteur, si on utilise 1 unité de travail en plus on peut utiliser 2 unités de capital en moins :


∆K1=+2 et ∆K2=-4 soit ∆K=-2 donc pas optimum
∆L1=-1 et ∆L2=1 soit ∆L=0
Pour qu’il n’y est pas de gaspillage de facteurs, il faudrait ∆K et ∆L égaux à 0.
Q2

B Frontières des possibilités de production

Q1

Ensemble des possibilités de p^n

Taux marginal de transformation (coût d’opportunité) : La pente de cette courbe en n’importe quel
point est la quantité de bien 2 à laquelle l’économie doit renoncer, si elle produit une unité de bien 1
supplémentaire, si tous les facteurs sont utilisés.

S’il est égal à deux alors, pour produire une unité de bien 1 en plus il faut renoncer à la production
de deux unités de bien 2.
 Cela correspond au coût d’opportunité du bien 1 en fonction du bien 2.

La concavité de la courbe veut dire qu’en valeur absolu la pente augmente. Soit TMST augmente
lorsque Q1 augmente. Le cout d’opportunité du bien 1 exprimé en termes de bien 2 augmente
lorsque Q1 augmente. Pour produire d’avantage de bien 1 il va falloir utiliser d’avantage de facteurs
(plus on en produit plus c’est difficile). Au contraire lorsqu’on diminue la quantité de bien 2 la
quantité de facteur utilisé diminue (pour les deux).
Plus on se spécialise plus c’est difficile de créé des unités de bien supplémentaire. C’est le contraire
si on souhaite créer une unité du bien inverse.

On peut montrer que :

2° L’équilibre d’une économie fermée à deux biens.

On peut déterminer cet équilibre en passant soit par la courbe d’offre relative soit par la courbe de
transformation.

15
a° Par la courbe de transformation

C’est le côté offre de l’économie. L’équilibre dépend des demandes relatives qui sont déterminés
par les préférences. On suppose que les préférences des agents sont représentées par des fonctions
d’utilité collectives (comme dans Ricardo) et on suppose que ces préférences sont normales. (c à d
que les agents apprécient les 2 biens.
Ce qui implique que la courbe d’indifférence est décroissant ; ils apprécient la diversité de
consommation (CI convexe).
Le choix se porte sur la CI la plus éloignée de l’origine. La seul contrainte pour un consommateur
est le budget. Et la contrainte pour un pays est la possibilité de production. La combinaison
optimale de bien produits dans ce pays est consommé. Il se situe à l’intérieur de l’ensemble des
possibilités de la production et sur la CI la plus éloigné de l’origine.
Q2

E
U*
uo

Q1

A l’équilibre, le TMS du bien 1 au bien 2 est égale au TMT. Ce qu’on est prêt à céder en terme de
consommation doit être égal au TMST fixé par les contraintes techniques en termes de production.
Q2

Droite d’iso valeur P1Q1+P2Q2=V0

U* Q2=V0/P2=(P1/P2)Q1

-P1/P2 Q1

CT=wL1+wL2+rK1+rK2
∆CT=w∆L1+w∆L2+r∆K11+r∆K2
∆L2=∆L1 et ∆K2=∆K1 et L constant ∆L=0

 Soir ∆CT=0

P1∆Q1=-P2∆Q2 si ∆Q1>0 et ∆Q2<0

Par la courbe d’offre relative :

Relation entre le prix relatif : P1/P2 et l’offre de biens : Q1/Q2

16
Q1/Q2 A

Q1 Q1

Analyse graphique :

A : P1/P2 : faible Q1/Q2 : faible


B : P1/P2 : élevé Q1/Q2 : élevé

P1/P2 Q1/Q2

Utilise que la partie croissante

Q1/Q2

On ne prend que la partie croissante pour simplifier :

P1/P2
Q1/Q2 (offre relative)

Q1/Q2

La demande réelle découle des préférences des consommateurs qu’on peut représenter par des CI.

Graphique représentatif de l’offre et la demande relative.

P1’/P2

Offre relative

P1/P2
Demande relative

Q1/Q2
Q1/Q2

17
Soit :
 w = prix du travail
 n = prix du capital
 k=k/L

w/n k1
k2

P1/P2 P1/P2 k1 k2 k

Remarque :

Il existe une correspondance unique entre le prix relatif des biens, des facteurs et les intensités
factorielles : intensité capitalistique.

Partie droite : A une valeur donnée du prix relatif du bien correspond a une certaine partie de la
représentation de la production et donc à partir d’une certaine demande relative des facteurs (donc
une certaine rémunération des facteurs)

Partie gauche : la courbe est croissante ; P1/P2 augmente donc se qui entraine Q1/Q2 augmente
(offre). Le travail est mieux valorisé dans le secteur 1 (w/n augmente).

2° L’économie ouverte

Quelles sont les avantages comparatifs de chacun des pays.


Dans un premier temps on va étudier les couts d’opportunités
 Les prix relatif des biens reflètent ces couts d’opportunités

On va comparer les prix relatif en autarcie. Comme les demande relative sont les même donc la
différence de prix relatif va apparaitre au niveau de la demande relative. Il y a des différences au
niveau factoriel qui détermine la capacité de production de chaque pays.
 Nations est mieux doté en capital
 Etranger est mieux doté en travail

2.1° L’équilibre en économie ouverte

Si il y a aucune entrave a l’échange dans ce cas le prix relatif sera les même dans les 2 pays, pas
d’arbitrage inexploité. Ce prix relatif va s’établir entre les 2 valeurs qui prennent en autarcie.
La seule chose qui distingue les 2 pays c’est la dotation factorielle. Pour voir l’impacte sur les offre
relative de bien au observe le théorème de Rybczynski.

Théorème de Rybczynski : une augmentation de la quantité d’un des facteurs : donc une
modification de la dotation factorielle, cette modification favorise la production du bien qui utilise
ces facteurs en quantité plus importante.
On raisonne a prix donné on souhaite regarder ce qui ce passe sur al courbe d’offre lorsque la
18
quantité d’un facteur augmente.
L’augmentation de la quantité du facteur de production pour un rapport des prix d’un facteur donné
conduit a l’augmentation du bien qui utilise ce plus facteur et une diminution de la production de
l’autre bien.
On suppose une augmentation de la quantité de travail disponible et on va voir que pour un prix
relatif d’un bien donné cela conduit a une augmentation de l’offre de bien 1 et une diminution de
l’offre de bien 2. On va raisonner a partir de la courbe des possibilité de production ; cela entraine
une modification de la frontière de possibilité de production : on peut produire plus de bien 2.
Q2

Q’2
Pente = P1/P2

Q1
Q’1

Une augmentation du L :
P1/P2 quelconque
Remarque les tangentes sont parallèles donc les pentes sont identiques.

Cas général : une augmentation de la production de bien 1 et une diminution de la production de


bien 2. Du a une pente décroissante de la droite en rouge.

Nation est mieux doté en capital et Etranger en travail : si on applique ce théorème pour un prix
relatif d’un bien donné Nation av produire relativement plus de bien1 que de bien 2 et Etranger va
produire relativement plus de bien 2 que de bien 1, car les dotations relatives ne sont les même.

P1/P2
S S’

P1/P2 A B augmentation du travail

Q1/Q2
Q1/Q2

P1/P2
SN SE

P1/P2 A B cas général

Q1/Q2
Q1/Q2E
Q1/Q2N

Les prix relatifs en autarcie dépendent de la confrontation des offre et demande en autarcie ici les
19
déménages relatives sont identiques.

En autarcie : on peut regrouper les demandes des 2 pays car elles sont identiques :

P1/P2
SN SE

P1/P2 A
B

Demande relative

Q1/Q2
Q1/Q2E
Q1/Q2N
Nation dispose contenu des prix relatif un avantage relatif dans la production de bien 2 et Etranger
dans la production de bien 1. Donc
Théorème d’Heckscher – Ohlin : a l’ouverture international chaque pays exporte le bien pour
lequel il dispose d’un avantage comparatif cette avantage comparatif s’expliquant par le fais que la
production du bien exporter utilise de façon plus intensive le facteur le plus abondant relativement
dans le pays.

Avant ouverture le bien 1 est relativement moins cher chez Etranger et l bien 2 est relativement
moins cher pour Nation donc Nation va exporter du bien 2 et Etranger va apporter du bien 2 et
inversement pour le bien1. On remarque Nation export du bien 2 (intensif en capital) et Etranger
exporte du bien 1 (intensif en travail).

(P1/P2)E < P1/P2 < (P1/P2)N

Q2 Autarcie
TMS2,1 = -P1/P2
Q2 fixe TMS1,2 = -P1/P2
E

U0 Droite d’isovaleur (P1/P2)

Q1
Q1fixe

20
Q2
Ouverture P1/P2 ↓

Q2

C2 U

Q1
Q1 C1

Remarque :
Nation produit les 2 biens mais exporte du bien 2 et importe du bien 1. Et inversement pour
Etranger.
A l’équilibre les avantages comparatifs s’estompent. Donc on est exportateur d’un seul bien et
producteur d’un seul bien or la on produit les 2 biens c’est lié a la décroissance de la productivité
marginal qui devient de plus en plus difficile de produire des unités supplémentaire au fur et a
mesure que la production ce développe : représenter par la concavité de la courbe.

Pour Nation : Q2↑ Q1↓

On pourrait avoir spécialisation total d’un pays si les demande de bien étai tel quelle dépasserai les
capacités de production du pays (équilibre contrains).
Exemple d’équilibre contrains :

Q2
Spécification total
Q2 fixe entraine un eq total
-P1/P2

Q1
Q1 fixe

2.2° Les gains à l’échange

Il y a un bien être global qui s’améliore parce que l’ouverture au commerce permet d’accroitre les
possibilités de consommation donc ca accrois le pouvoir d’achat du consommateur.
Pour Nation accède a un bien 1 relativement moins chère qu’avant l’ouverture.
Il peut consommer d’avantage de bien 1 et il peut aussi consommer d’avantage de bine 2 parce qu’il
a une augmentation du pouvoir d’achat.

L’ouverture conduit les pays a ce spécialisé la ou ils ont un avantage comparatif : la ou ils sont le
plus efficace et donc ca conduit a une augmentation de la production mondial des 2 biens.

21
Q2
-P1/P2 U1 U1 > U0

UO

Q1

Ici le bien être global s’améliore puisse que le panier de consommation qui est choisi âpres
ouverture appartiens a une courbe d’indifférence qui c’est éloigner de l’origine par rapport a la
courbe initial.

Sur ce graphique la consommation du bien 2 diminue c’est un choix du consommateur et que l’on
aurait pu aussi avoir une situation ou la consommation des 2 biens augmente.

Théorème de Stolper - Samuelson :


Le commerce international ne profite pas nécessairement a tout les individus a l’intérieur du pays
car ca affecte la repartions du revenu (ca n’apparais pas chez Ricardo parce qu’il y a qu’un seul
facteur).
L’augmentation du prix relatif d’un bien aura pour effet d’augmenter le prix relatif du facteur le plus
utiliser dans la production de ce bien (c’est une variation de prix relatif) donc cela va diminuer la
rémunération relatif de l’autre bien.

L’ouverture au commerce fait diminuer le prix relatif du bien 1 dans nation, la production de bien 1
diminue et la production du bien 2 diminue. Cela va diminuer les demandes de facteur (travail) le
capital va être plus valorisé dans nation car le bien (2) demande plus de capital. Les travailleurs
vont en pâtir et les détenteurs de capitaux vont en profiter.

Dans Nation on a un prix relatif du a l’ouverture : P1/P2↓ Q1↓ Q2↑ donc w/r↓
Donc c’est lié à la productivité

w/r

Autarcie

P1/P2 k
ouverture

L’égalisation des rémunérations des facteurs :

En l’absence d’obstacle a l’échange, le rapport du prix des facteurs tente a s’égaliser entre les 2
pays. Cela est valable qui si il y a pas de spécialisation total.
Nation P1/P2 ↓ w/r↓ 1 seul valeur P1/P2
Etranger P1/P2 ↑ w/r↑ donc 1 seul valeur de w/r
22
Les différences de salaires et de profits vont avoir tendance à s’estomper au fil du temps.
Donc pour les pays considérer à bas salaire vont tendre à avoir des rémunérations salariales qui vont
augmenter au fil du temps. Certain peuvent y perdre a l’intérieur du pays a l’ouverture du pays.
Il y a un avantage global, mais qui n’est pas repartie de manière égalitaire, donc certain gagne plus
que d’autre accroit les inégalités. Donc il est légitime que les agents s’oppose a l’ouverture au
commerce parce que ca leur est défavorable. Si il y a des mécanismes de compensation pour les
perdants dans ce cas tout le monde eut y gagner.

Ca peut expliquer l’évolution des salaires moyen : comparaison entrer les salaires les plus diplômer
et les salaires les moins diplômés. Donc si on ce bas sur le théorème de Samuelson il devrait y avoir
une augmentation des salaires des plus diplômés dans les pays du nord.
Aux USA :
1970 – 1993 : 2,16 -> 2,57 donc on voit bien une augmentation des salaires pour les plus qualifiés
2,2 -> 2,7 en Europe

2.3° Les vérifications empiriques : le paradoxe de Leontief

Une des conclusions du modèle HOS est qu’il existe une relation entre les dotations factorielle d’un
pays et la structure de ces échanges.
Leontief a essayé de vérifier ca au Etat Unies dans les années 50, les USA disposait d’une dotation
factorielle la plus élève au sein de la guerre.
 X : valeur de travail et capital pour un million de $ d’X
 M : valeur de travail et capital pour 1 million de $ d’M (substitut aux M)
Les importations américaine contenait plus de capital que les importations.

Critique du modèle :
 La mesure du capital étai trop restrictive
 Pas de capital non productif (pas de prise en compte des d’infrastructure, education…)
Kenen (1965)
 Il na pas prit en compte les qualifications des salariés ; Keesing (1962) 8 catégories de
qualification.

Les échanges naissent de différences factorielles et il peut y avoir des gagnant et de perdant a
l’échange.

23
Chapitre 3 : Les caractéristiques de commerce international

Fort développement du commerce international


La plus grande partie des échanges s’effectue entre pays développé et une grande partie des
échanges s’effectue entre zone comme l’UE et les échanges entre les pays membres des zones
échange beaucoup moins.
Les échanges entre pays dépendent principalement de la production et du lieu géographique.
Une parties très importante du commerce international est composer de commerce intra branche.
Une partie du commerce international provient de commerce intra groupe (grande multinational).
Développement important du commerce a l’étranger : IDE (investissement direct a l’étranger).

1° le commerce international en 2007

Graphique 1 :
1950 on assiste a une croissance du commerce international supérieur a la commence de la
production.
Donc il y a une part plus importante qui est exporter, ca veux dire qu’il y a une interdépendance de
plus en plus forte des économies et une transition des chocs qui est plus rapide.

Tableau 2 :
Pour les produits échangés : 80% du commerce est constitué de marchandise et 20% de services.

Remarque :
Pour les participant au commerce international :
Tableau 3, les principaux pays participant au commerce international sont les pays développé.
1er exportateur : Europe 41%

24
Pourquoi les pays européen sont bien placer :
C’est parce qu’il y a beaucoup d’échange intra européen.

Mais c’est échanges sont il des échanges international ?


 Oui parce que ce sont des pays indépendant
 Non se sont des pays qui appartiennent a une zone économique intégré

L’OMC compte uniquement les exportations extra UE donc on peu dire que UE est une unité au
sein du commerce international.

2° Commerce international, taille des pays et distance

Une des caractéristiques du commerce sont les échanges entre pays qui s’explique par : 80% taille
du pays (PIB) et distance géographique explique le commerce international.

Page 4
73,5% des X de l’UE des exportations sont destiné au pays or UE.

Page 6
Tableau du bas : échange inter et inter régional.
 Europe : 74,4%
 Amérique du nord : 51,3%

Exemple d’union :
 ALENA : 3 états, accords de libres échanges
 UE :
 MERCOSUR : Argentine Paraguay Uruguay

Modèle de gravité :

Tij : commerce entre pays i et pays j


Yi : PIB du pays i
Yj : PIB du pays j
Dij : distance géographique

Equation de gravité :
Tij = A (Yi Yj) / Dij avec A = constante

Lecture de l’équation : une augmentation de 1% du PIB se traduit par une augmentation de 1% du


commerce.
Application a la France :

TFj = A YF Yj on ignore la distance


Soit E =UE hors F
TFE = A YF YE si A est constant

 Donc TF / TE = Yj / YE

Page 7 : on peut observer que l’équation est relativement bonne beaucoup de pays sont proches de
la droite.
Page 8 : même chose mais ici on prend en compte les distances.

25
 Plus les pays sont proche moins c’est couteux de commercer : distance est un facteur très
important.
 Des pays qui sont proche géo sont des pays qui sont aussi proche au niveau culturel : et qui
partage soit la même langue ou même mode de consommation, façon proche de commercer.
 PIB est utilisé car ca représente la croissance du pays et le revenu (donc la demande d’un
pays). donc un pays qui produit beaucoup est un pays qui a un revenu élevé donc une
demande importante et qui exporte beaucoup
 Un modèle de gravité nous dit que les échanges entre 2 pays seront élevés si la taille de ces
pays est importante, mais ces modèle de gravité dise rien sur le taux d’ouverture du pays.
o Taux d’ouverture diminue avec la taille du pays :
 Taux d’ouverture : X + M / 2
Exemple en 2008
PIB Taux d’ouverture
France 15,6% 27,7%
Allemagne 20% 44,1%
Belgique 2,8% 85,3%
Les grand pays comme USA peut s’auto suffire or les petit pays ne peuvent pas donc ils ont besion
de s’ouvrir.

Remarque : Effet frontière


Le fais que les frontière administrative entre les pays, même si elle ne constitue plus un obstacle
entre les pays elle limite les échanges entre les pays .
Exemple entre EU et le canada même si ils sont très proche au niveau culturel, il devrai y avoir un
même niveau d’échange entre les différentes régions des EU (entre les nations) mais aussi entre les
région des EU et les régions du canada du au similitude culturels et d’une distance très proche or
l’effet frontière bloque ces échanges.

3° Le commerce intra branche

Une part importante du commerce international concerne des produits de même nature.
Remarque la France échanges des voitures avec les allemands et l’Italie alors que ces pays en
produisent.
Une branche d’activité peu regroupé des produits très différents, une branche d’activité regroupe
des unités de production qui relève d’une même activité et réalise le même type de produit.
Le secteur d’activité regroupe toutes les entreprise dont les activités principal est dans ce secteur.
Textile vêtement de ville
Vetement de sport

Dans une même branche d’activité il y a plusieurs destinations.

Indice de Grubel et Lloyd :


Découpage en un certain nombre de branche et pour chaque branche i :
 Gi = 1 – (Xi – Mi) / (Xi + Mi)

Si dans une branche il ya que du commerce intra branche, alors dans ce cas les X de la branche
doivent être égale à l’M de la branche.

 Xi = Mi alors Gi = 1
 Xi = 0 ou Mi = 0 alors Gi = 0
 Si Xi > 0 et Mi = 0 alors Gi = 1 – Xi / Xi = 0

Il peut avoir un déséquilibre (déficit commercial)


On pondère chaque branche :

26
Pi = (Xi + Mi) / ∑ (Xi + Mi) G = ∑ Pi Gi

Page 10:
L’OCDE propose de classer ces échanges en 2 catégories:
 Différenciés « horizontalement – verticalement »
 Séparation des processus de production entre les pays

OCDE 2000 les pays dans lequel le commerce intra branche est plus importante pour les
productions manufacturé et encore plus importante quand ces produit sont plus développer car ils
sont plus susceptible d’être différencies. L’autre part de commerce intra branche découle de la
division de travail dans les pays.

4° Le développement des IDE

Investissement direct a L’Etranger :


 La création par une entreprise d’une succursale : une unité a l’étranger
 Acquisition de (plus) 10% du capital d’une entreprise étrangère
 Investissement immobilier
 Prêt a plus d’un an fait a une entreprise (prêt a LT) : lorsqu’une entreprise fait un prêt a une
firme à l’étranger

Page 9 :
Développement important des IDE depuis les années 70
Entre 70 et 07 les IDE on étai multiplier par 2
Remarque :
 Ces IDE sont entrepris essentiellement par les pays développés.
 Ces IDE on pour destination principal d’autre pays développés.

France est le 1er pays dans lequel on investie, d’âpres la banque de France les IDE sont surévalué a
30 / 40 %. Les entreprises organisent des flux interne (flux entre entreprise national et étrangère)
permettant de pays moins d’impôts.

5° Le commerce intra-groupe.

Commerce entre filiale de société multinationale : société implanté entre différents pays.
In est très difficile d’obtenir les prix de transfère.
Une société qui a une filiale a l’étranger va rapatrier ces nouveaux produits.

% d’échange intra groupe représente 27,7% (voir page 10).

Commerce qui est du au multinational donc donne le poids de ces multinational, exemple au USA
dans les années 2000 les multinationales représentait 6% de la production et 60% du commerce
international.
OCDE regroupe en 3 catégories :

 Extraction de matière première : société pétrolière (minoritaire)


 Entre les pays riche et les pays moins riche : délocalisation d’activité afin de profité d’une
main d ‘ouvre bon marché. Exemple en 2000 : les 2/3 de importation américaine intra
groupe et en provenance du Mexique (maquiladoras). (minoritaire)
 La plus grande partie du commerce s’effectue entre les filiales de multinational : correspond
au produit fini. (majoritaire)

27
Chapitre 4 : Les théorèmes récents du commerce international

Jusqu’en dans les années 70 le modèle HOS ou la théorie de Ricardo constitué la théorie dominante.
Si on regarde la composition du commerce international la plus grande partie des échanges
s’effectuent entre pays développer.
Au niveau européen : peut de dotation factoriel donc pas de raison d’échanger entre eux.
Il y a une part importante du commerce de produits identique, ces commerce intra branche pour des
produits substituable qui nécessite pas de dotation factorielle différentes (même technique de
fabrication) donc ici le modèle de Ricardo n’explique pas ce modèle.

On va s’intéresser au :
 Rôle de la technologie
 Rôle des économies externes d’échelle
 Au commerce international en concurrence monopolistique (existence d’un monopole).

1° L’approche néo-technologique des échanges

Ecart technologique
Cycle de vie du produit

M Posner 1961 : il explique une partie des échanges à partir des processus d’innovation qui découle
des dépenses de recherche en développement. Ce peut être des innovations engagé ou des
innovations produits.

Ces innovations vont données au pays un avantage a l’exportation sur ses concurrents.
Ces écarts technologiques entre pays :

28
 Va expliquer les échanges, mais cette écart est temporaire et va disparaitre au cour du temps
car les firmes vont être imité.
 Durable ou non si la firme ou le pays qui est initialement en avance poursuit ses recherche et
qui vont permettre de faire de nouvelles découvertes et créé de nouveaux produits.

Ce sont les pays en avance technologiquement qui vont importer des biens en nouvelle technologie.
Ces pays investissent le plus au niveau du développement.
Les exportations par secteur dépendent de la part des RD. Ces dépenses de RD sont plus efficace
dans les secteurs dit segmenter c’est à dire la ou les produits sont peu substituables (pouvoir de
monopole) par rapport au secteur dit disperse la ou les produits sont plus substituable (beaucoup de
concurrence).

Dans les années 1979 Krugman : dit que les biens nouveau sont d’abord produit dans les pays du
nord et puis ils sont produit par les pays dit du sud, les produits sont imitées (ou la production et
délocalisé ou les biens produits sont imités). Dans ces conditions les pays du nord doivent sans
arrête innové pour concerner leurs avantages et continué à produire les biens (unique). Cette
avantage va disparaitre lorsque le produit sera imité et que la délocalisation sera effectué dans les
pays à bas salaire.
Selon Krugman les salaires sont plus élève dans les pays du nord et reflet en partie la rampe de
monopole (donc le salaire élève signifie qu’il y a un monopole).

1.2° Le cycle de vie des produits

R Vernom 1966 : L’idée est de montré les avantages que possèdes les pays a un certain moment.
Distinction des étapes de la naissance du produit à ca sortie.

Il décompose le cycle de vie du produit en 4 étapes :


1. Phase de lancement
2. Phase de croissance
3. Phase de maturité
4. Phase de disparition du produit

Ventes

croissance

temps
lancement maturité vieillissement

Phase de lancement : un produit nouveau est mis sur le marché


Il existe différentes version du produit. Donc on a une fabrication qui début donc pas de grande
usine donc le produit et chère à produire. De plus ces biens sont produit par des entreprises qui on
un monopole. Le bien de départ et donc réserver au marché du pays, pas d’exportation ou très peut.

Phase de croissance : stabilisation et production « de masse ».


La production va se stabilisé et on va avoir une production en série qui va commencer, on va
29
pouvoir commencer a exploité les économies d’échelle. Il peut aussi y avoir une concurrence qui
apparais et qui crée une diminution des prix et des couts de production du a la concurrence : les
biens vont être exporté.

Phase de maturité : délocalisation mais reste dans les pays développés.


C’est une première délocalisation mais il reste dans les pays développés. Les biens sont produits
directement dans le pays donc limite les exportations. Donc chaque pays a sa production (imitation
des pays développés).

Phase de vieillissement : inversement des flux


Dans cette phase on voit que les produits sont produit dans les pays en voie de développement et ici
les flux s’inversent les pays développer vont importer ces biens du au cout faible.
Inversement des flux : des PED vers les pays développés.

2° Les économies d’échelle externes

Lorsque leur origine est extérieur a l’entreprise et que toute les entreprise du secteur en bénéficie.
Le CM diminue lorsque la production du secteur augmente.
Lorsque le CM de chaque entreprise diminue avec la production cumulé dans le temps :
Plus un secteur aura de l’expérience plus les entreprises sont performantes.

A Marshall : les districts industriels (exemple la silicon valey) concentration d’industrie a des
endroits donné. Donc cette concentration est bénéfique à tous.

District industriels : 3 avantages

 Permet les développements de fournisseurs spécialisés


o Entreprises sous traitantes
 Permet de créé un bassin de main d’œuvre qualifiée
 La diffusion des connaissances
o Le fait que les entreprises soient très proche permet une diffusion des connaissances
(rencontre de différentes connaissances)

CM

Production de l’industrie

Soit 2 pays : pays A et B et 2 biens le bien 1 et 2. L’un des bien bénéfices d’économie d’échelle et
l’autre non. Les marchés sont en situation de concurrence pure et parfaite CPP, et s’intéressent à
l’équilibre de LT : dans ce cas le prix = CM.
 C’est la courbe d’offre de l’industrie qui donne la fonction (CM / production industrie)

Pour la spécialisation :

30
Si les pays sont identique ont peut rien prédire. Il y a un intérêt a ce qu’un pays se spécialise mais
peut importe le quel et cette spécialisation découle d’un hasard.

Pour les gains a l’échange en présence d’économie d’échelle :

2 situations :
1. Les pays sont identiques (les firmes des 2 pays on les même courbe de CM)
2. Les pays sont différents (l’un des pays est plus efficace que l’autre donc à un CM inferieur a
l’autre)

1° les pays sont identiques :

Il faut que l’un des pays se spécialise pat import lequel.

P, CM
Da=Db
Demande mondiale (Da + Db)
autarcie
Pa=Pb CM (offre de l’industrie) : CMa =CMb
Pm
ouverture Q

Si c’est le pays B qui est plus efficace : Dans ce cas c’est ce pays qui assure la production mondiale.

P, CM Da=Db
Dmondiale
Prix de production
de base > Pm

PA CMa
Pb CMb
Pm
Q

Le pays B est potentiellement plus efficace mais il ne va pas pouvoir bénéficier des économies
d’échelle directement. Au début le prix est en haut de la courbe CM. Pour bénéficier d’économie
d’échelle et il faut qu’il atteigne un niveau de production tel que le CM soit inferieur au Cm.

3° La concurrence monopolistique

Pourquoi des pays qui sont identique au niveau des dotations factorielles, échanges des biens qui
appartiennent a la même branche d’activité ?

Donc la concurrence monopolistique : situation de marché ou il y a beaucoup d’entreprises mais


dans laquelle les produits ne sont pas homogène.
 Atomicité du marché

2 hypothèses :

 Chaque entreprise différentie son produit des autres : donc elle peut bénéficier d’un certain
31
pouvoir de monopole, il faut dire que les biens de chaque entreprise sont parfaitement
substituables. Donc elle peut augmenter légèrement les prix sans perdre de clientèle (du au
monopole).
 Chaque entreprise considère le prix comme une donnée : quand l’entreprise détermine sont
prix elle ne prend pas en compte l’impacte de son action sur l’équilibre de
marché (négligeable).

3.1° L’économie fermée

On a un grand nombre d’entreprises qui produisent toutes des biens différents.


 1 entreprise = 1 seul variété du bien
Consommateur tous différent en terme de préférence.
Donc ces consommateur vont faire un choix, ils vont choisir une variété du produit en fonction de
leur choix : prix
Si toutes choses sont égales par ailleurs :
 Si le nombre de firmes va être élevé plus la demande à une firme particulière va diminuer :
répartition des consommateurs.
 La demande a une firme va diminuer si une ou plusieurs des concurrente diminue son prix.

A court terme :

 Nombre de firmes et de variété constant


o Chaque firme a sa par de clientèles : donc une sorte de monopole par firme.
 Il y a égalité entre : Rm = Cm

A long terme :

 Les firmes adaptent leur quantité de production


 De nouvelles entreprises vont entrer sur le marché s’il y a des opportunités de profits :
o Donc nouvelles variété de biens.
Entrée d’une nouvelle firme :
↓ Demande à chaque firme
↓ Des prix de chaque firme
↓ Profits
Tant que profits > 0 alors entrée de nouvelles firmes
 A l’équilibre profit = 0 et P = CM

Equilibre de LT :
1. P = CM
2. Rm = Cm (Rm ≠ P)
Les entreprises sont preneuses de prix or ici chaque entreprises détermine son prix car il y
concurrence monopolistique donc P ≠ Rm

3.2° L’économie ouverte

L’idée générale du modèle est que l’ouverture accroît la taille du marche. A partir de ca les
économies d’échelles permettent de diminuer le CM.
Comme le prix = CM ca se traduit par une baisse des prix qui est profitables au consommateur.
La situation des entreprises ne changes pas puisque leur profit est nul.

Il va y avoir une 2ème source de gain pour les consommateurs quoi est un gain de diversité c a d que
32
grâce a l’ouverture les consommateurs accèdes a un plus grand nombre de biens.

Donc ici le modèle qui est proposé est un modèle horizontal : exemple de Krugman est le marché
des biens automobile.
Au final on a des consommateurs tous différents. Et o n a des firmes qui mais qui ne vendent pas la
même variété de bien.

Qi = Q [1/n – b (Pi – P0)]


Q = demande totale (fixe)
Pi = prix de firme i
P0 = prix moyen sur le marché
n = nombre de firmes
b>0
Analyse de la fonction :
 A prix donné si le nombre de firmes ↑ : ↓P
 Si Pi = P0 toutes les firmes on le même part de marché.
 Chaque firme considère P0 comme une donnée : donc si Pi varie P0 est constant
 La taille du marché est fixe

Toute les firmes utilises les mêmes technologies donc :


CT (qi) = c qi + F
Avec c > 0 =Cm et F frais fixes.

Il faut déterminer ici le prix de chaque firme la production de chaque firme et aussi le nombre de
firmes.

Toutes les entreprises sont identiques en termes de demande ou de fonction de cout les entreprises
vont pratiquer le même prix à l’équilibre.

Equilibre : Pi = P0
 Qi* = Q/n pour toutes les firmes
Rm =Cm
Cm = c
RT = Pi qi
Qi = Q / n - b Q Pi + b Q P0
Donc Pi = 1 / bn – qi / bQ + P0
RT = Pi qi = qi / bn – qi2 / bQ + P0 qi

Rm = 1 / bn – 2qi / b Q + P0
Si Rm = Cm

1 / bn – 2qi / b Q + P0 = c or qi = Q / n 1 / bn – 2 / bn + P0 = c

Donc P0 = c + 1 /bn

Si Pi = CM

c + 1 / bn = c + F / qi or qi = Q / n 1 / bn = nF / Q

Donc n* = (Q / bF)1/2

n* = (Q / bF)1/2
33
Pi* = c + 1 /bn*
qi* = Q / n*

Application numérique :
b = 1 /30 Q = 900
c=5 QE = 1600
F = 750

En autarcie :

Nation étranger
n* 6 8
Pi* 10 8,75
qi* 150 200

En ouverture :
Q = 900 + 1600 = 2500
n* = 10
Pi* = 8
qi* = 250

Baisse du nombre des firmes âpres ouverture.


Même si il y a une baisse de nombre de firmes il y a une augmentation du nombre de variété de
produits. Donc on peut trouver des produits qui sont d’avantages adapter a leur préfères.
Baisse du prix de chaque variété suite à l’ouverture : chaque firmes produit d’avantages et exploite
leurs économies d’échelle et donc diminue les prix.
On ne sait pas comment son reparties les 10 entreprises sur le marché.

2 pays identiques car toutes les firmes sont identiques et il n’y a pas d’avantages comparatif. Il va y
avoir du commerce de produits identiques.

Gain a l’ouverture au commerce international, gain du a l’exploitation des économies d’échelles et


au fait que les consommateurs vont avoir plus de choix au niveau des produits.

Chapitre 5 : La politique commerciale

Politique qui vise à protéger les pays de la concurrence. Exemple de mesure : limité les M ou
augmenter les X. il y a plusieurs outils :
 Droit de douanes
 Quotas
 Normes sanitaire

Il faut voir l’efficacité de ces mesures. Le critère de Pareto permet de définir l’allocation des
ressources.

1° La situation de libre échange

Si un pays est petit alors le marché national n’affecte pas le marché dit mondiale. Donc les prix sont
34
fixé au niveau de la nation.

 D (P) = 500 – 2P
 S (P) = 3P

En autarcie :

P
Surplus consommateur

250 S (P)

Surplus producteur
100
D (P)
Q
300 500

Application numérique :
 D (P) = 500 – 2P
 S (P) = 3P
o P* = 100 Q* = 300 Pm = 60

P = 60 D = 380 S = 180 M = 200

P
250 S

Pa =100
a b
Pm =60

180 380 500 Q

 Consommateur : gain : a + b
 Producteur : perte: a
 Surplus total : + b
Donc le prix du marché est inferieur au prix des producteurs donc les producteur on une perte de
surplus. Les consommateurs peuvent consommer plus que la production national grâce aux M, et
grâce a Pm < Pa.

2° Le droit de douane

On suppose il y a un droit de douane de 20. Donc le nouveau prix est de 80. Comme on est dans un
petit pays le prix mondial ne varie pas : fixe. Si on met un droit de douane cela va diminuer la
demande national mais n’affecte pas la demande mondiale vu sa taille.

T (droit de douane) = 20
P = Pm + t = 80 D = 340
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S = 240 M = 100

250 S

Pm + t =80
a b c d
Pm = 60 D
Q
180 240 340 380 500

Il y a trois types d’acteurs :


 Consommateur : perte a + b + c + d
 Producteur : gain a
 Etat : gain c, correspond au M*t = 100 * 20 = 2000
o Surplus total : b + d

Donc il ya une perte de la collectivité car la perte de consommation du a la taxe va diminuer la


consommation.
L’ouverture permet dans certain cas va augmenter la concurrence.

3° Les restrictions quantitatives aux importations

Ce sont des mesures quantitatives (non tarifaire) limitées de manière autoritaire.


 Ces mesures sont décidées par mesure unilatéral par le pays : quota
 Mesure décidé de manière négocier avec les partenaires commerciaux.
o ACO : Accord de commercialisation ordonnée
o RVE : restriction volontaires des exportations

Exemple de quota :

Quota = 100
Le prix sur le marché national va varier, le prix dois etre a l’équilibre : donc que le prix de la
différence entre la demande et l’offre = 100
D (P) – S (P) = 100
500 – 2P – 3P = 100
P = 80
D =340 S = 240
M =100 (quota)

250 S

36
a b c d
Pm = 60 D
Q
180 240 340 380 500
Quota = 100

c : S’(P) = 3P + 100 si P > 60


Libre échange : si le prix de la production inferieur Pm pas de M
 S = 3P si P < 60
Quota : si il ya des quotas alors 2 possibilités
 S = 3P si P < 60
 S = 3P + 100 si P

 Consommateur : perte a + b + c +d
 Producteur : gain a

2 cas de licences :

1er cas : si quota déterminer de façon unilateral, ce sont des licences d’M qui sont accordées à des
entreprises nationales qui importent le bien pour le revendre. Dans ce cas les entreprises bénéficient
d’une rampe de situation qui est égale a la surface « c » car elle achète le bien sur le marché
national a 60

2ème cas : si ce sont des firmes étrangère qui bénéficier de licences d’X alors la rente est accaparer
par ces sociétés étrangères, elles produisent le bien a 60 et comme il y a un quota elles le vendent a
80 avec un gain de 20.
Ces restrictions ont fortement diminué depuis les années 80. En 88 : 13% des M européen étaient
soumise à un obstacle.
Les quotas est une protection poreuse : difficilement praticable et a mettre en place. Les quotas
modifie l’origine des M mais n’en change pas le volume. Les quotas peuvent etre contournées de
façon légale, passer par d’autre société pour importer les biens : exemple dans les années 80 les
entreprise chinoises on crée des succursale dans les pays a coté qui eux ne sont pas soumis au quota
pour les M. donc pour que les quotas est un sens il faut que tout le monde signe.

4° Les subventions

2 types de subventions :
Au niveau des producteurs
subventions au niveau des exportation

1.1° Subventions à la production

Avec un quota ou un, droit de douane on a une production de donc avec les subventions on doit
avoir un même niveau de production, donc les prix doit etre de 80. Comme le Pm = 60 il faut une
subvention de 20.
Cette augment ation du prix ne vont pas affecter les consommations car il achète a Pm. Donc cette
subvention permet seulement de faire un gain des producteurs.

P = Pm
D =380 S = 240 M = 140
Pv = P + s = 60 + 20 = 80

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P

250 S

Pm + s =80
a b
P = Pm = 60 D
Q
180 240 (M =140) 380 500

Les consommateur achètent toujours a un P = 60 mais les producteurs y gagne grâce a la


subvention.

 Producteur : gain a
 Etat : perte a + b (du a la subvention)
 Total : perte b

La subvention est préférable car elle n’entraine pas de distorsion au niveau des consommations.
La subvention limite les pertes, car le consommateur ne subit rien.

2.2° Subventions à l’exportation


 D (P) = 600 – 4P
 S (P) = 2P
o Avec P* = 100 et Q*= 200
Pm =120 P =120 D = 120 S =240 X =120

150 S

120

100

D
Q
120 240 600

Subvention de 20 par unités exporter, ici on suppose que le bien de peut pas etre importer. Donc le
prix sur le marché national va s’établir a 140 euro car il y aura aucun producteur national qui
pourrons vendre à ce prix.

S = 20 P =140 D = 40 S =280 X =240

150 S
140
38
a b c d
120

Q
40 120 240 280 600

 Consommateur : perte a + b
 Producteurs : gain a + b + c
 Etat : perte b + c + d
 Surplus : b + d

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