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TRAVAUX DE ………………………………………………..
Septembre 2020
1. Introduction
1.1. Contexte et justification
Le Gouvernement de la République du Congo a reçu un appui financier de la
Banque mondiale pour le financement du Projet de Développement Urbain et
Restructuration des Quartiers (DURQuaP) à Brazzaville et à Pointe-Noire. L'objectif
principal de ce projet est d’améliorer le cadre de vie dans les quartiers ciblés et de
permettre à la population d’avoir accès aux infrastructures et aux services de base
décents, ainsi que de renforcer les capacités du gouvernement et des municipalités
en matière de restructuration urbaine. Il est prévu dans le cadre de sa mise œuvre,
la reconstruction du marché domanial de Tchiniambi 1 dans le quatrième
arrondissement de la commune de Pointe-Noire, Loandjili.
Quoique très importants pour l’atteinte de l’objectif projeté par le DURQuaP, les
travaux prévus sont susceptibles d’engendrer des incidences environnementales
(pollution des ressources en eau, pollution du sol, pollution de l’air, la dégradation
des ressources floristiques et fauniques, …) et sociales (atteinte à la santé et
sécurité du personnel et de la population riveraine, perturbation des US et
coutumes de la population riveraine, risque de propagation des infections
sexuellement transmissibles, risque d’augmentation des cas des violences basées
sur le genre et des abus contre les enfants, ....).
Les travaux prévus vont dans le sens d’un de trois axes stratégiques que la
diversification de l’économie en vue d’améliorer les conditions de vie des
populations particulièrement les plus pauvres par la satisfaction des besoins
fondamentaux ; la stabilisation du revenu, etc.
La politique Nationale de santé repose sur quatre fondements majeurs que sont : le
droit à la santé ; l’équité ; la solidarité et la démocratie. Ses principales
orientations stratégiques sont la promotion et la protection de la santé, la garantie
de l'accessibilité aux soins et services, l’intégration des activités, la promotion du
secteur privé, le renforcement des capacités de gestion du système de santé, la
décentralisation du système de santé, la rationalisation des activités et l’utilisation
des ressources ainsi que la participation des collectivités et des individus.
Cette politique vise à améliorer l’état de santé des populations afin de promouvoir
leur participation au développement socio-économique du pays. La concrétisation
de ce but passe par la promotion et la protection de la santé des individus et des
collectivités sur l’ensemble du territoire.
La réalisation des travaux projetés contribuera à la salubrité du milieu, qui
impactera sur l’amélioration de la santé de la population riveraine et leur
permettra de prendre part au développement de la République.
Le DSRP est un document qui vise à élaborer, mettre en œuvre et évaluer des
politiques qui permettront de réduire efficacement la pauvreté d’ici à 2015,
conformément aux Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD). Il
constitue un cadre de référence et de coordination de chaque intervention en
matière de développement.
3.2. Cadre juridique
L’arsenal juridique de la République du Congo en lien avec la gestion
environnementale est constitué par les textes repris ci-dessus. Ces textes
comprennent essentiellement les lois, les décrets, les arrêtés et les circulaires
régissant la gestion environnementale et sociale des projets.
Quant au titre VI : de la Protection des sols, nous retenons que les activités
anthropiques, notamment les travaux agricoles et sylvicoles, les prospections, les
exploitations minières et des carrières, les emplacements industriels agro-
zootechniques doivent s’effectuer conformément aux dispositions des textes légaux
et que toute forme de pollution du sol interdite.
Enfin, aux titres VIII et IX : la gestion des déchets notifient que les déchets de
toute sorte d’origine doivent être collectés et ramassés, traités de facon à éliminer
ou a réduire leurs effets nocifs sur la santé, les ressources naturelles et la qualité
de l’environnement.
Il sied de noter qu’il ya un réel manque des textes d’application de cette loi.
Néanmoins il existe quelques uns à l’instar de :
Cette loi manque des textes d’application. Néanmoins, les articles 126 et 136 de la
loi n°4-2005 du 11 2005 portant Code minier stipulent ce qui suit :
- Article.126 : Le contrôle technique des équipements, des installations et
de l’environnement industriels concourant à la garantie de la sécurité
industrielle, de l’hygiène du personnel et de la préservation de
l’environnement, est assuré par les agents de l’administration des mines
et/ou par les organismes de contrôle habilités.
- Article 136 : Les travaux de recherches ou d’exploitation d’une mine ou
d’une carrière doivent se faire dans le respect des obligations afférentes
à:
• la sécurité et la santé du personnel et des populations ;
• la protection de l’environnement ;
• la conservation de la mine ;
• la conservation des édifices, la sûreté du sol et la solidité des
habitations ;
• la conservation des voies de communication ;
• la protection des sources d’eau ;
• la réhabilitation des sites ; telles que définies par les lois et
règlements en vigueur.
Ce décret stipule en son article premier que l’exploitation des carrières de géo
matériaux ouvertes ou à ouvrir sur l’étendue du territoire national est soumise aux
règles techniques fixées par le présent décret.
En outre, en son article 2, il est clairement établi que les demandes d’autorisation
d’exploitation de dépôts fluviales ou d’emprunt de géo matériaux sont soumises à
une autorisation provisoire de validité inférieure ou égale à six mois.
Dans le cadre de la réalisation de ces travaux, Continental Construction Company
n’utilisera que des matériaux issus des carrières homologuées et conformes aux
dispositions du présent décret.
En exploitant cette analyse comparative, on note une parfaite concordance entre la PO 4.01 et la politique nationale en
matière d‘évaluation environnementale.
3.3. Cadre institutionnel
Climat
Le quartier Tchiniambi 1 concerné par les travaux étant localisé dans Pointe Noire,
est par conséquent sous l’influence du climat tropical humide, étant donné que
Pointe Noire fait partie des départements situés au sud de la République du Congo. Ce
climat est caractérisé par une pluviométrie abondante (1,37 m de précipitations/an)
avec une moyenne des températures de 25°C (amplitude 15-32°C). Il y a 2 grandes
saisons distinctes, la saison sèche de juin à septembre et la saison des pluies
d’octobre à mai.
Sol
Comme pour la plupart des quartiers de la commune de Pointe-Noire, le sol du
quartier Tchiniambi 1 est à dominance sableuse.
Relief
Pointe-Noire est entrecoupée de collines et de vallons marécageux. Les dunes
littorales et les marnes sableuses rappellent les caractéristiques de côte à lido qui ont
donné naissance à la dépression où s'est implantée la ville. Le relief dans le quartier
de Tchiniambi 1 est peu accidenté.
Hydrographie
Le quartier est traversé par les rivières Songolo, le Tchikondo et le Tchikata. Ces deux
rivières intarissables toute l’année sont utilisées comme exutoires et les abords de
celles-ci sont devenus des dépotoirs des déchets de tout genre.
Végétation
La végétation sur le site est inexistante du fait de l’urbanisation accélérée.
Cependant la végétation dans la ville de Pointe-Noire est dominée en général par les
arbres fruitiers (manguiers (mangifera indica) ; papayers (Carica papaya) ; avocatier
(Persea américana) ; palmier à huile (Elaeis guineensis)), et certains arbres tels que :
eucalyptus (Eucalyptus deglupta).
Faune
Il n’existe pas de faune sauvage dans la zone d’influence du sous-projet. Elle est
constituée des animaux domestiques, des oiseaux, des reptiles, lézards, batraciens et
de la microfaune.
4.2. Milieux humain et socioéconomique
Les informations sur les milieux humain et socioéconomique de la zone du projet
contenues dans la NIES seront actualisées lors de la finalisation du présent projet de
PGES-E. Autrement dit, avant à la notification du marché.
4.3. Principaux enjeux environnementaux et sociaux du projet
L’analyse des enjeux a été faite à partir des études bibliographiques, des enquêtes de
terrain et surtout des consultations publiques et discussions avec les autorités locales.
Les enjeux de la mise en œuvre du projet de construction du marché de Tchiniambi1,
à Pointe Noire sont multiples et peuvent être classés en enjeux d’ordre socio-
économique, culturel, environnemental et politique.
Enjeux socio-économiques et culturels
- préoccupations liées au cadre et condition de vie
- préoccupations liées à la relance de l’économie locale, et à la création
de richesse,
- préoccupations liées à la préservation des us et coutume,
- condition sécuritaire en phase de construction et d’exploitation,
- condition sanitaire en phase de construction et d’exploitation.
- etc.
Enjeux environnementaux
- préservation de la qualité de l’air,
- préservation de qualité des eaux,
- préservation de qualité des sols,
- ambiance sonore aux environs des chantiers,
- préservation de la flore,
- préservation de faune,
- préservation du paysage
- etc.
5. DESCRIPTION DES IMPACTS DU SOUS-PROJET
Pour réduire l’envol des aérosols afin de préserver la qualité de l’air, le personnel de
Continental Construction Company veillera au respect des mesures suivantes :
Pour protéger les sols et l’eau contre les risques de pollution, on mettra en place les
actions suivantes :
l’interdiction de déposer les déchets à même le sol et de les déverser dans les
rivières ;
l’aménagement du lieu de stockage des hydrocarbures et entretiens
d’entretien des véhicules avec un disposition de récupération des
hydrocarbures usagés ;
la gestion des produits à risques (huiles, lubrifiant, carburant, etc.) sur des
aires étanches prévues à cet usage, et permettant la récupération et
l’élimination des déchets produits ;
la construction et maintien permanent des toilettes selon les règles de l’art
pour éviter que les effluents sanitaires ne polluent les sols et eaux tant de
surface que souterraines ;
le stockage des déchets liquides dans des récipients hermétiquement fermés.
Pour les sols compactés par le passage répété d’engins, l’entreprise fera le
nivellement et l’aménagement du profil final du site de manière à épouser le plus que
possible le profil initial ou projeté par les plans techniques.
Pour réduire les risques d’accidents sur la santé, on mettra en place les mesures
suivantes :
donner des consignes strictes au personnel quant aux accidents ;
respecter la législation congolaise en matière d’horaires de travail pour ne pas
émettre trop de bruit ;
limiter la vitesse des véhicules à 30 km / heure ;
protéger les ouvriers contre les risques d’émanations gazeuses toxiques et
d’inhalation de particules fines et contre le bruit ;
instaurer la culture de prévention des risques au sein des personnes
intervenant sur le chantier ;
obliger le personnel de porter les EPI pour réduire les risques d’accidents à
l’échelle individuelle ;
mettre en place des équipements de protection collective pour réduire les
risques d’accidents à l’échelle collective ;
former le personnel sur les postures de travail ;
afficher des pictogrammes portant les meilleures postures de travail.
S’agissant des VBG, EAS et HS, les mesures suivantes seront prises :
élaborer un plan d’action sur les VBG, EAS et HS
réaliser des séances de sensibilisation et d’éducations envers les groupes
vulnérables et le personnel du chantier sur le harcèlement et les violences
sexuels contre les femmes, ainsi que l’exploitation des enfants ;
sanctionner sévèrement les cas relevés sur le chantier ;
élaborer un code de bonne conduite qui comprendra des sanctions claires pour
tout cas de harcèlement, abus et violences sexuelles basées sur le genre ;
expliquer le code de bonne conduite, le faire connaitre à tous les travailleurs,
et l’afficher dans les lieux de travail ;
sensibiliser le personnel de l’entreprise sur le respect des mœurs des
populations d’accueil ;
s’appuyer sur le mécanisme de gestion des plaintes de DURQuaP pour les
questions liées aux VBG.
La remise en état des zones ayant subis un compactage trop important, soit par
circulation d’engins lourds, soit par stockage de déblais, seront traitées et
décompactée. Les zones à remettre en état seront soigneusement aplanies à la
niveleuse, en tenant compte des écoulements d’eaux pluviales. Selon localisation, et
si besoin, des fossés et des divergents d’assainissement seront créés, pour éviter
toute stagnation, ou ruissellement excessif. Les éventuels gravats, déchets résiduels,
souches, seront évacués aux décharges autorisées.
En vue de développer le petit commerce local et augmenter les revenus des ménages,
Continental Construction Company n’achètera les matériaux comme bois et terre
jaune qu’auprès des vendeurs locaux et encouragera son personnel d’acheter leurs
repas auprès des tenancières des gargotes et des boutiques situées à proximité du
chantier.
Pour assainir le des travaux, Continental Construction Company évacuera tous les
déchets se trouvant dans le périmètre des travaux, y compris les équipements qui s’y
trouvent. Elle écoulera également toutes les eaux stagnantes et désinfectera les
sanitaires et les fosses septiques ainsi que les puits perdus.
Après l’apport de terre de diverses natures dans des carrières et emprunts utilisés en
vue de leur remise en état, nous allons végétaliser ces lieux avec des espèces
végétales à la fois inhérentes à l’écosystème local et dépolluantes pour atténuer
divers polluants atmosphériques et du sol.
6.1.1. Santé
Le travailleur ne peut donner le meilleur de lui que lorsque sa santé est rendez-vous.
Autrement dit, le rendement du travail dépend en grande partie de l’état physique,
psychologique et mental de la personne qui exerce ce travail. Conscient de cela, la
Société Continental Construction Company place la santé de ses travailleurs au centre
de ses préoccupations les plus ultimes.
IST/VIH/SIDA
Les travailleurs seront préalablement sensibilisés sur le VIH/SIDA et IST avant le début
effectif des travaux. Ces actions seront sous la responsabilité du Point focal
environnement, du HSE et du médecin du travail. Les campagnes de sensibilisation du
personnel sur les IST/VIH/SIDA seront faites essentiellement de communications
orales et elles se tiendront sur les lieux de travail, à la prise de service et
constitueront une partie des sujets des réunions périodiques de sécurité. Ces actions
seront complétées par une distribution mensuelle de préservatifs qui sera faite au
personnel de façon régulière. Cette distribution tiendra en compte les deux genres
existants sur le site, à savoir les préservatifs de genre masculin et les préservatifs de
genre féminin. Toutefois en cas de besoin et selon la disponibilité, des personnels
pourront avoir accès aux préservatifs sur demande à titre exceptionnel et exclusif.
le paludisme
Dans tous les cas, on appliquera la méthode " P.A.S" qui consiste à Protéger la
victime, Alerter les secours et Secourir la victime.
Ces cas seront traités sur place par l’infirmier affecté au chantier par la clinique
partenaire. Les étapes suivantes seront respectées :
protéger la victime;
alerter l’infirmier des champs et conduire la victime au poste des soins ;
administrer les soins ;
informer le chef de chantier ;
revenir voir le chef de chantier et le responsable HSE pour le rapport et
évaluation.
2ème Cas : Accidents graves :
analyser la zone et protéger la victime ;
administrer les premiers gestes de secours à la victime ;.
Faire appel au secours d’urgence en utilisant cette formule :
- Je suis Mr…………..infirmier de la société Continental Construction
Company,
- Nous avons un ….. (accident ou incendie), au chantier de réhabilitation
de la piste …………., tronçon…………. ,
- Nombre de blessés …… (Décrire si saignements, conscient ou
inconscient, respire ou non),
- Nature de l’accident (accent ou incendie)
Des trousses de secours pour donner les premiers secours sont disposées dans les
véhicules légers et poids lourds du chantier, dans les carrières ; à la base technique,
etc. Aucun médicament n’est accepté dans les boîtes de secours, sauf prescription du
médecin du chantier. L’usage des boîtes de secours sera signalé systématiquement au
responsable HSE du chantier pour les réapprovisionner. Le contenu et la pérennité de
ces boîtes de secours seront vérifiés régulièrement. La constatation de l’absence d’un
élément engendrera son remplacement dans les plus brefs délais.
6.1.2. Hygiène
Les installations de la base intégreront des lieux d’aisance pour l’ensemble du
personnel de Continental Construction Company. Des vestiaires seront aménagés afin
de permettre aux ouvriers d’échanger les vêtements à l’abri.
La propreté des installations sera assurée par une technicienne de surface qui y
veillera au quotidien. De ce fait, des poubelles identifiées seront disposées aux
endroits indiqués pour accueillir les déchets ordinaires constitués essentiellement de
matières organiques pour les zones bureaux. Ce type de déchet sera collecté, stocké,
enlevé et traité suivant les recommandations du plan de gestion des déchets. Sur site,
les aires de travaux seront dégagées de tous les résidus (chutes de planche, de fer, de
câble…) à l’avancement et en fin de journée. Ces résidus seront mis en tas, collectés
et stockés suivant les recommandations du Plan de Gestion de l’Environnement. Les
postes de travail seront laissés propres et bien rangés. Des campagnes de
sensibilisation sur l’hygiène corporelle et la propreté seront menées auprès du
personnel et des femmes vendant quotidiennement des repas au personnel de
Continental Construction Company. L’eau potable sera accessible à tout le personnel
à raison de 3 à 5 litres par personne par jour.
Les installations qui seront mises à disposition du personnel et qui nécessiteront un
contrôle hygiénique rigoureux sont les vestiaires, les sanitaires, les dortoirs et le
réfectoire. Il sied de préciser que les vestiaires et sanitaires pour femmes seront
séparés de ceux pour hommes.
Pour les risques collectifs inévitables, les mesures de sécurité collective seront
privilégiées. Toute personne qui constate un défaut de protection collective doit
avertir immédiatement le chef de chantier ou le conducteur de travaux ou encore
l’équipe hygiène, sécurité et environnement (HSE et Point focal environnement).
B. Protection Individuelle
Elle sera caractérisée par le port des E.P.I. de bases obligatoires suivantes :
Les E.P.I. spécifiques, dont la liste n’est pas exhaustive, aux différents postes sont
fournis au personnel concerné sur demande :
A- Déchets Solides
Tous les matériaux susceptibles d’être réutilisés seront orientés vers l’option de
recyclage. Si la tentative de réutilisation n’est pas envisageable, l’option alternative
retenue est de remettre les déchets à un prestataire agréé.
Parmi les déchets (résidus) solides, on trouve :
les toxiques : peintures, huiles, batteries, … Ils seront stockés dans un lieu
couvert et avec retenue jusqu'à la remise à une entité autorisée pour son
transport et traitement appropriés.
B- Déchets liquides
Toutes les eaux résiduelles seront l'objet de traitement, surveillance et réutilisation
(si possible).
Eaux usées domestiques
Les eaux usées domestiques seront traitées dans une fosse septique, pour être
ensuite envoyées dans un puits d’infiltration. Une fosse septique sera construite.
Durant les travaux, les accès aux passages provisoires pour véhicules et piétons seront
clairement indiqués par une signalisation adéquate, particulièrement visible la nuit,
même en cas de panne de l’éclairage public.
Les sites d’emprunt seront respectés au regard des aspects recommandés dans les
dispositions environnementales et sociales contractuelles. Toutes les autorisations
prévues par les textes et règlements en vigueur, l’obtention des autorisations) seront
régularisés, conformément aux règlements en vigueur. Un programme d'exploitation
de la carrière en fonction du volume à extraire pour les travaux et les réserves sera
soumis l'approbation de Mission de Contrôle. Il tiendra compte de la profondeur
exploitable et devra déterminer la surface nécessaire à découvrir en tenant compte
des aires nécessaires pour le dépôt des matières végétales, des matériaux de
découverte non utilisables pour les travaux à exécuter, ainsi que des voies d'accès et
des voies de circulation.
La mise en œuvre de ce PGES-E sera organisée autour de deux principales activités que
sont la surveillance environnementale et le suivi environnemental.