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Christophe NAJEM
IFSI le 20 novembre 2006
(1) GENERALITES
DEFINITIONS :
CONTRE-INDICATIONS
- Affections malignes
- Affections viscérales
- Déficit immunitaire
- Maladie aiguë évolutive
- Certaines thérapies ( chimiothérapie )
- Allergies à l’œuf
(1) GENERALITES
RELATIVES :
b) Préparation du patient
- Expliquer la pratique de la vaccination aux parents
- Expliquer l’intérêt des recommandations de vaccination
- Expliquer la possibilité d’éventuels effets secondaires
- Installer l’enfant confortablement pour ne pas qu’il bouge et
l’installer en fonction du site d’injection
(1) GENERALITES
c) Préparation du matériel
- Le vaccin : vérifier date de péremption
- Une aiguille choisie en fonction du type d’injection ( IM, SC )
- Un antiseptique
- Du coton
(1) GENERALITES
VACCINATIONS OBLIGATOIRES
AGE VACCIN
1 MOIS BCG (pour les enfants vivant en collectivité)
VACCINATIONS RECOMMANDEES
AGE VACCIN
2 MOIS Coqueluche, hépatite B, Méningite, HIB
(1ère injection)
3 MOIS Coqueluche, hépatite B, Méningite, HIB
(2ème injection)
4 MOIS Coqueluche, hépatite B, Méningite, HIB
(3ème injection)
12 MOIS ROR
CHOLERA
Vaccin peu efficace et concidéré comme inutile par l'OMS depuis
1974 ; à ne faire que lors de voyages dans des pays qui exigent
cette vaccination
(3) VACCIN CHEZ LE VOYAGEUR
DIPHETERIE
ENCEPHALITE JAPONAISE
Vaccin recommandé par l'OMS uniquement pour les éjours de plus
d'un mois en milieu rural et en période de mousson dans des
zones endémiques (Inde, Japon, Asie du sud est)
(3) VACCIN CHEZ LE VOYAGEUR
ENCEPHALITE A TIQUES
Vaccin indiqué chez les résidents ou voyageurs devant séjourné en
plein air en zone endémique (est de la France, Allemagne,
Autriche, Suiise, Europe Centrale et de l'Est, Sibérie, Asie)
(3) VACCIN CHEZ LE VOYAGEUR
FIEVRE JAUNE
Vaccin INDISPENSABLE avant un voyage en Afrique intertropicale
et en amérique latine….Donc Indispensable en GUYANE
(3) VACCIN CHEZ LE VOYAGEUR
HEPATITE A
Vaccin recommandé pour les voyages prolongés au contact de la
population dans les zones à haute endémicité (afrique,
Amérique du sud)
(3) VACCIN CHEZ LE VOYAGEUR
HEPATITE B
POLIOMYELITE
RAGE
TETANOS
TYPHOIDE
Vaccin obligatoire pour les personnels des laboratoires et les
militaires, recommandé aux soignants, conseillé aux voyageurs
au contact de la population en zone d'endémie (Afrique, Asie du
sud est, Amérique Latine)
(4) Vaccin antituberculeux ou BCG
AGENT PATHOGENE :
Le bacille de koch BK est une mycobactérie responsable de
la tuberculose. C’est un bacille acido- alcoolo-resistant qui
pousse lentement et uniquement sur des milieux spéciaux
MODE DE CONTAMINATION :
La contamination se fait par voie aérienne ou digestive.
(4) Vaccin antituberculeux ou BCG
EPIDEMIOLOGIE :
La tuberculose est devenue plus rare dans les pays où les
conditions socio-économiques se sont améliorées. En
revanche, elle reste endémique dans les autres régions du
monde, où plusieurs millions de cas sont dénombrés
chaque année.
En France, l’incidence annuelle est estimée à 16/100 000
avec de grandes variations selon les régions et les
conditions socio-économiques.
PHYSIOPATHOLOGIE :
La pénétration du BK dans l’organisme vierge entraîne une
primo-infection. Dans la plupart des cas la contamination
ne dépasse pas ce stade. Parfois plus ou moins
tardivement une tuberculose-maladie va se développer
atteignant des organes divers.
(4) Vaccin antituberculeux ou BCG
1- BCG
VACCIN BCG SSI : flacon de 10 doses ; administration en intra
dermique stricte avec une aiguille courte et fine à biseau (0,1 ml
et 0,05 ml chez l'enfant avant 2 ans
MONOVAX : Bague pour multipuncture à usage unique (2
impcacts avant 6 mois, 3 avant 3 ans, 4 avant 9 ans, 5 avant 15
ans puis 6 à 7 chez l'adulte)
2- test tuberculinique ou tuberculine purifiée
TUBERTEST : Tuberculine en solution, flacon de 1 ml (10
doses); en IM stricte 1 dose de 0,1 ml; lecture à 48 ou 72 h
POSITIVITE SI INDURATION D'AU MOINS 5 mm
(5) Vaccin antirubéoleux (vivant
atténué)
AGENT PATHOGENE :
L’agent responsable est un virus à ARN faisant partie de la
famille des Togaviridae. Il en existe un seul sérotype,
antigéniquement stable. Le réservoir est exclusivement
humain. Le virus est tératogène.
MODE DE CONTAMINATION :
La contamination est interhumaine. Elle s’effectue
directement par voie aérienne par l’intermédiaire de
gouttelettes salivaires. La période de contagion débute 8
jours avant l’éruption et persiste 8 jours après l’éruption. La
contamination de l’embryon s’effectue par voie
transplacentaire.
(5) Vaccin antirubéoleux (vivant
atténué)
EPIDEMIOLOGIE :
La rubéole est une maladie bénigne de l’enfant survenant
entre 3 et 6 ans. Elle est exceptionnelle avant 6 mois (
anticorps naturels). Elle induit une immunité solide qui dure
toute la vie. C’est une maladie cosmopolite, qui survient sur
le mode endémo-épidémique.
Les formes inapparentes sont fréquentes.
10% des femmes en âge de procréer ne sont pas
immunisées, expliquant les 100 infections rubéoliques par
an responsables de 10 à 40 cas de rubéole congénitale et
d’une cinquantaine d’interruptions thérapeutiques de
grossesse.
(5) Vaccin antirubéoleux (vivant
atténué)
PHYSIOPATHOLOGIE :
Le virus se multiplie dans le rhinopharynx, puis diffuse
dans tout l’organisme. Le danger est particulièrement
important chez la femme enceinte : le virus altère la division
cellulaire embryonnaire entraînant ainsi des malformations
congénitales jusqu’au 4e mois.
CLINIQUE :
La rubéole acquise est un maladie éruptive bénigne.
La rubéole congénitale survient au cours d’une primo-
infection rubéoleuse chez la femme durant la grossesse,
elle associe :
- un syndrome malformatif qui atteint essentiellement l’œil ,
l’oreille, le cœur, le cerveau ( retard mental) , les dents.
- Une rubéole congénitale évolutive : infection virale
chronique entraînant des lésions viscérales qui peuvent
générer des séquelles.
(5) Vaccin antirubéoleux (vivant
atténué)
1- VACCIN ASSOCIE
ROR ou PRORIX
(5) Vaccin antirougeoleux (vivant
atténué)
AGENT PATHOGENE :
L’agent responsable de la rougeole est un virus à ARN de
la famille des Paramyxoviridae à réservoir exclusivement
humain
MODE DE CONTAMINATION :
La contamination est interhumaine, elle s’effectue par voie
aérienne par la salive et les sécrétions rhinopharyngées. La
contagiosité est extrême, dès le 6-8e jour après le contage
et se prolonge jusqu’au 2-3e jour de l’éruption.
(5) Vaccin antirougeoleux (vivant
atténué)
EPIDEMIOLOGIE :
Maladie cosmopolite qui survient en France sur le mode
endémo-épidémique, avec une recrudescence au début du
printemps et en juin. La rougeole induit une immunité
définitive.
Les nouveau-nés sont protégés par les anticorps d’origine
maternelle. 200 000 à 550 000 cas de rougeole surviennent
par an en France. L’âge moyen de survenue est de 6 ans.
PHYSIOPATHOLOGIE :
Le virus se multiplie au niveau de l’épithélium respiratoire.
La virémie apparaît vers le 5e jour après le contage. Les
anticorps apparaissent dès le début de l’éruption.
(5) Vaccin antirougeoleux (vivant
atténué)
CLINIQUE :
La phase d’incubation est silencieuse et dure 10 jours.
Après une phase d’invasion de 3 à 4 jours caractéristiques
( température élevée, catarrhe oculo-nasal, toux sèche,
énanthème buccopharyngé ) , l’éruption débute derrière les
oreilles et progresse en une seule poussée descendante.
Elle réalise un aspect de maculo-papules, érythémateuses,
non prurigineuses.
EPIDEMIOLOGIE :
La PAA est ubiquitaire. Elle reste endémique en Afrique et
en Asie. L’incidence mondiale actuelle est estimée entre
200 000 et 250 000 cas par an de poliomyélite
paralytique. L’incidence diminue régulièrement dans les
pays industrialisés. En France, aucun cas de PAA
autochtone n’a été déclaré depuis 1990.
(5) Vaccin antipoliomyelite (vivant
atténué)
PHYSIOPATHOLOGIE :
Après contamination par voie digestive, le virus se
multiplie au niveau de l’oropharynx puis au niveau de
l’intestin grêle : c’est la phase d’incubation.
Secondairement le virus diffuse dans tout l’organisme par
voie hématogène et lymphatique permettant la fixation du
virus sur les cellules cibles : motoneurones de la corne
antérieure de la moelle épinière, entraînant la lyse des
neurones et une importante réaction inflammatoire. L a
maladie paralytique n’est pas en fait qu’une complication
rare d’une infection fréquente et bénigne mais
immunisante, expliquant qu’en pays d’endémie, les
formes paralytiques surviennent chez l’enfant : « paralysie
infantile ».
(5) Vaccin antipoliomyelite (vivant
atténué)
CLINIQUE :
La durée de l’incubation varie de quelques jours à un
mois. La phase d’état de la PAA est caractérisée par
l’existence de paralysies flasques d’installation rapide ( 48
H ). Le pronostique vital lié à l’atteinte respiratoire et le
pronostique fonctionnel aux séquelles, constantes, mais
d’intensité variable.
(5) Vaccin antipoliomyelite (vivant
atténué)
1-VACCIN BUVABLE
-POLIO ORAL : primovaccination en 3 doses espacées de 4 à 6
semaines puis une dose de rappel 1 à 2 ans après puis tous les
5 ans
2-VACCIN INJECTABLE
- IMOVAX POLIO : vaccin à partir de l'age de 2 mois, obligatoire
avant 18 moois, 3 injection IM espacées de 1 mois, puis un
rappel 1 à 2 ans après puis tous les 5 ans puis à partir de 18
ans tous les 10 ans
(6) Vaccin antitétanique (anatoxine
purifiée
MODE DE CONTAMINATION :
Pénétration accidentelle dans l’organisme lors d’une
effraction cutanée même minime.
EPIDEMIOLOGIE :
Le tétanos survient sous forme de cas isolés. L’OMS estime
à 1.5 millions le nombre de cas annuel de tétanos, et à 775
000 le nombre de décès annuel dans le monde.
En France, 88 cas ont été déclarés en 1987 ce qui situe la
France au 7e rang européen . Les femmes sont 3 fois plus
touchées que les hommes . Dans 84 % des cas le sujet a
plus de 60 ans. Le taux de létalité est de 25%.
(6) Vaccin antitétanique (anatoxine
purifiée
PHYSIOPATHOLOGIE :
C. tetani se multiplie localement, synthétise et excrète une
neurotoxine responsable de la symptomatologie
caractéristique du tétanos . La toxine migre par transport
axonal. Elle bloque la neurotransmission cholinergique
centrale au niveau de la jonction synaptique entre les
interneurones spécifiques de la voie inhibitrice d’une part,
et les neurones moteurs d’autre part.
(6) Vaccin antitétanique (anatoxine
purifiée
CLINIQUE :
La durée d’incubation du tétanos est variable de 6 à 15
jours parfois plus. La maladie est caractérisée
cliniquement par une contracture douloureuse, débutant
ordinairement au niveau des muscles masticateurs,
envahissant ensuite progressivement la nuque , le tronc et
les membres, avec redoublement convulsif très
douloureux sous l’influence des plus légères excitations.
(6) Vaccin antitétanique (anatoxine
purifiée
Vaccin tétanique :
• seringue de 0,5 ml ; à partir de l'age de 3 mois, obligatoire
avant 18 mois
• En IM ou SC , 3 injections espacées de 1 mois puis un
rappel entre 1 et 2 ans puis un rappel tous les 5 ans et à
partir de 18 ans un rappel tous les 10 ans
(7) Vaccin antidiphtérique (anatoxine
purifiée
AGENT PATHOGENE :
MODE DE CONTAMINATION :
La contamination est interhumaine directe par pénétration
du germe par voie aérienne lors d’un contact avec un sujet
malade au stade catarrhal.
(8) Vaccin anticoquelucheux (vaccin
inactivé)
EPIDEMIOLOGIE :
L’OMS estime à 46 millions le nombre de cas de
coqueluche par an dans le monde et 500 000 le nombre de
décès annuels.
En France, en moyenne, 300 cas de coqueluche sont
hospitalisés par an.
PHYSIOPATHOLOGIE :
Après pénétration par voie aérienne Bordetella pertussis se
fixe de façon sélective sur les cellules ciliées de
l’épithélium bronchique. Il n’y a pas de passage de la
bactérie dans le sang . La réaction inflammatoire péri-
bronchiolaire avec présence d’un exsudat visqueux conduit
à l’obstruction des bronchioles. La libération de
constituants toxiques est responsable de l’irritation
bronchique et des troubles métaboliques ; l’anorexie est
(8) Vaccin anticoquelucheux (vaccin
inactivé)
CLINIQUE :
La coqueluche est une maladie de l’enfant de moins de 2
ans. Après la phase d’incubation ( 7 à 15 jours) et
d’invasion ( période catarrhale de 7 à 15 jours), la
coqueluche à la période d’état est caractérisée par des
accès de toux spasmodique, revêtant la forme de quintes.
Les quintes sont suivies par une reprise inspiratoire
bruyante et prolongée ( chant du coq).
La durée de la maladie est longue : 6 à 8 semaines. La
coqueluche est une maladie particulièrement grave chez le
nourrisson ( mortalité 2 à3 %) en raison du risque de
quintes asphyxiantes et d’apnées syncopales.
(8) Vaccin anticoquelucheux (vaccin
inactivé)
Existe uniquement en vaccin associé.
(9) Vaccin antigrippal (vaccin inactivé)
AGENT PATHOGENE :
Les virus responsables de la grippe, sont les Myxovirus
Influenzae de 3 types A, B et C avec de nombreux sous-
types touchant l’homme et certains animaux .
MODE DE CONTAMINATION :
La contamination est aérienne par gouttelette de salive et
favorisée par les éternuements.
(9) Vaccin antigrippal
EPIDEMIOLOGIE :
PHYSIOPATHOLOGIE :
Les symptômes respiratoires sont directement liés à la
destruction des cellules épithéliales des voies aériennes
supérieures et de l’arbre bronchique par la réplication virale.
CLINIQUE :
Après une courte incubation de 1 à 3 jours le début est brutal
avec malaise général, fièvre , frissons, céphalées, myalgies,
catarrhe rhinopharyngé.
La grippe évolue sur une période de 8 à 10 jours et guérit
habituellement sans complication Une asthénie résiduelle
importante est malgré tout possible. Cependant la grippe reste
une maladie grave chez les sujets fragilisés par ses
complications bronchopulmonaires directes ou par l’aggravation
de pathologies préexistantes infectieuses organiques ou
métaboliques.
(9) Vaccin antigrippal
• Vaccination annuelle chez les sujet à risque et chez le
personnel hospitalier
MODE DE CONTAMINATION :
Le virus est présent dans toutes les sécrétions ( sang,
salive, sécrétions sexuelles…).
La transmission peut se faire par l’intermédiaire d’une
piqûre, d’une blessure, d’une projection sur une muqueuse,
par contact sexuel et en période néonatale.
(10) Vaccin antihépatite B (vaccin
inactivé)
EPIDEMIOLOGIE :
L’OMS estime que 2 milliards d’individus dans le monde
sont ou ont été infectés par le VHB et que le nombre de
décès annuels dus au VHB est de 2 millions.
En France, il se produit environ 100 000 cas d’hépatite B
par an . Une personne sur 20 rencontre le virus au cours de
sa vie et parmi celles-ci une sur dix demeurera porteur
chronique. Dans les pays développés l’hépatite B
progresse, notamment à cause de la transmission sexuelle
qui représente plus du tiers des contaminations.
(10) Vaccin antihépatite B (vaccin
inactivé)
PHYSIOPATHOLOGIE :
L e VHB se multiplie dans les hépatocytes qui excrètent la
forme entière infectante, et des protéines d’enveloppe non
infectantes en excès. C’est la réaction immunitaire
d’élimination des cellules infectées qui provoque les
malformations cliniques de l’hépatite B.
(10) Vaccin antihépatite B (vaccin
inactivé)
CLINIQUE :
L’incubation dure de 2 à 6 mois. La caractéristique de
l’hépatite B est son extrême polymorphisme clinique :
l’infection peut rester asymptomatique dans 75 à 90 % des
cas ; elle peut prendre un aspect d’hépatite classique avec
ictère, fièvre et asthénie, elle peut également évoluer de
façon fulminante entraînant le décès dans 85% des cas .
Quelle que soit sa manifestation initiale l’hépatite B devient,
dans 10% des cas, chronique avec une évolution fréquente
vers cirrhose et cancer du foie.
(10) Vaccin antihépatite B (vaccin
inactivé)
• Vaccination recommandée
1. Chez les professionnels de santé,
2. Chez les sujets hémophiles, dialysés, polytransfusés, transplantés
3. Chez les nouveaux nés de mère infecté
4. Chez les personnes séjournant en institutions spécialiées, les sujets
voyageant en pays d'endémie, hétérosexuels à partenaires
multiples, homosexuels, heroïnomanes, détenus et gardiens de
prisons.
• Injection en IM
• GENHEVAC / ENGERIX B
(11) Vaccins Associés
- ROR : rougeole, oreillons, rubéole
Christophe NAJEM
IFSI le 20 novembre 2006
(1) Immunoglobulines polyvalentes
• Immunoglobulines humaines polyvalentes constituées
essentiellement d'IgG obtenues à partir de plamas de milliers
de donneurs et comportant donc un large spectre d'Ac
(1) Immunoglobulines polyvalentes
• Indications :
1. Traitement subtitutif des déficits immunitaires primitifs avec
hypogammaglobulinémies ou atteinte fonctionnelle de l'immunité
humorale (0,2 à 1 gkg toutes les 4 à 6 semaines)
2. Infections bactériennes récidiventes chez l'enfant infecté par le VIH
(0,2 à 0,4 gkg toutes les 3 à 4 semaines)
3. Déficits immunitaires secondaires à une LLC ou myelome avec
hypogammaglobulinémie associée à des infections à répitition
4. Maladie de KAWASAKI
5. PTI
6. Allogreffe de celllules souches hématopoïetiques
7. Rétinochoroïdites
8. Syndrome de Guillain Baré
(2) Immunoglobulines humaines
spécifiques
• GAMMATETANOS : immuniglobulines antitétaniques
• Administration en perfusion IV