Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Saison
on
La Scène 5
Théâtre de Louviers
Boulevard de Crosne - 27400 Louviers
02 32 40 31 92
lascene5@ville-louviers.fr
www.ville-louviers.fr/lascene5
François-Xavier Priollaud,
Maire de Louviers.
Sylvie Langeard,
Adjointe au maire en charge de la vie culturelle et du patrimoine historique.
3
octobre novembre décembre janvier
mer 14 oct. 19h mer 4 nov. 20h sam 5 déc. 20h jeu 14 jan. 20h
Piletta Remix C’est un joli nom Une vie Illusions perdues
Collectif Wow ! camarade Clémentine Célarié Pauline Bayle
Théâtre jeune public L’Océan Nomade Théâtre Théâtre
Chanson
jeu 15 oct. 20h jeu 17 déc. 20h sam 23 jan. 20h
Vous n’aurez pas le sam 7 nov. 20h Verte Barcelona Gipsy
derniet mot Cannes 39/90 une Marie Desplechin, balKan Orchestra
Stéphane Bern histoire de festival Léna Bréban Made in Barcelona
Seul en scène Etienne Gaudillière Théâtre jeune public Musiques du monde
Théâtre
mer 14 oct
Piletta
Théâtre jeune public 19h
Spectacle
Durée : 50 minutes • Dès 8 ans & réservation
C’est ce que se dit Piletta lorsqu’elle surprend son père et le médecin évoquant la fin prochaine de
sa grand-mère. Dès lors, la petite fille de neuf ans et demi va tout entreprendre afin de trouver la fleur
qui permettra de soigner Hannah. Mais la fleur est rare et se trouve sur la colline qui surplombe Billipolis,
la ville où toutes les mauvaises rencontres sont possibles…
C’est cette histoire qui va nous être contée et réinventée à vue lors d’un enregistrement radiophonique
reconstitué, avec comédiens, musiciens, bruiteurs et ingénieur du son. Avec clavier et allumettes, micros
et boîtes à rythmes, clés et bouteilles d’eau. Tout est en direct, y compris ses célèbres aléas !
Avec Piletta Remix, l’enjeu est double. Entendre les aventures de Piletta avec l’Homme Fil de fer, Madame
Plomb ou le charmant Luis Plata, le conte de cette petite fille confrontée au pouvoir des adultes, aux
puissances de l’argent, au travail des enfants… mais aussi assister en complices à la création d’une
émission de radio dans un théâtre… studio. Un double jeu pour le double « je » d’un spectateur auditeur,
à moins que ce ne soit l’inverse. starlettes, mais surtout réflexion sur le cinéma, la place de l’artiste, les
enjeux du 7e art, les interférences économiques et politiques.
Avec Emilie Praneuf ou Amélie Lemonnier, Florent Barat ou Gaspard Dadelsen, Benoît Randaxhe, Sylvain
Daï ou Louis Devillers Musique Live Sébastien Schmitz ou Thomas Forst Mise en ondes Michel Bystranowski ou
Jonathan Benquet. 5
© Fabienne Rappeneau
jeu 15 oct
Vous n’aurez pas Seul en scène 20h
Durée : 1h10 • Tout public • Tarif A •
Dans un seul-en-scène drôle, littéraire et historique au ton décalé, Stéphane Bern nous emmène
dans les coulisses de l’Histoire, à la découverte des derniers mots des grands hommes et auteurs.
D’une histoire nous ne retenons souvent que le début, les meilleurs instants. Comme dit Clémenceau « le
meilleur moment dans l’amour, c’est quand on monte l’escalier ».
Des années que Stéphane Bern nous entraîne dans l’intimité des illustres personnages qui ont écrit
l’Histoire, s’attachant à nous conter leur irrésistible ascension et leurs hauts faits de gloire ; aujourd’hui
enfin il nous livre leur part la plus secrète, leur manière de quitter la scène et de saluer le monde par le
mot de la fin. Ce monologue joyeux et profond est une réflexion sur nos propres derniers mots, ce que
nous laissons derrière nous. Avec de la poésie, de la passion, et un peu de mauvais esprit, il va à rebours
de notre époque, obsédée de jeunesse, de débuts, d’immédiateté. Un spectacle qui vous fera préférer
dire bonsoir plutôt que bonjour.
« Ce seul-en-scène rassemble tout ce que j’aime, la légèreté du bel esprit et la profondeur philosophique
d’une interrogation existentielle qui nous est commune. Comment conclure ? Vous n’aurez pas le dernier
mot ! »
Stéphane Bern.
Pièce de Diane Ducret, Mise en scène de Jérémie Lippmann, Assistante mise en scène Alexandra Luciani,
Scénographie Jacques Gabel, Création lumières Jean-Pascal Pracht, Costumes Colombe Lauriot-Prevost.
© D avid Desreumaux
mer 4 nov
C’est un joli nom Chanson 20h
Durée : 2h20 • Tout public • Tarif C •
D’un univers à l’autre, le collectif de 14 artistes se fait passeur d’un répertoire aux textes et
compositions intemporelles au travers d’interprétations personnelles et surprenantes tout autant
que fidèles à l’esprit de camaraderie qui caractérisait si bien Jean Ferrat.
L’année 2020 est marquée par le 90e anniversaire de la naissance et le 10e anniversaire de la mort de
cet artiste incontournable de la chanson française engagée.
Pour les amoureux de Ferrat comme pour ceux qui le découvrent, les chansons ici proposées constituent
une véritable mosaïque de sensibilités esthétiques, interprétées par des personnalités très diverses. Ces
dernières se sont appropriées une partie de cet immense répertoire en fonction des résonances que les
chansons avaient en chacune d’elles.
Cohabitent ici des gens qui viennent de la chanson, du rock, du lyrique, du hip-hop et de la musique
afro-caribéenne. Le point commun de toutes ces adaptations demeure la mise en avant du texte et le
respect de l’esprit des versions originales. La beauté des paroles et leur prise directe avec les questions
de société qui nous taraudent encore aujourd’hui ne font aucun doute.
Artistes chanteurs : Valéria Altaver, Nicolas Bacchus, Jérémie Bossone, Balthaze, Imbert Imbert, Jules, Florence
Naprix, Julie Rousseau, Thomas Pitiot, Tedji, Wally, Zora, Mao sidibé et Michel Bühler
Musiciens : Yvan Descamps (batterie), Michel Kanuty (Claviers), Amen Viana (guitares), Viviane Arnoux
(accordéon), Franck La Rocca (basse). 7
© Floran Juvin
Godart et Truffaut, Simenon et Cocteau, Malraux et Lang, Lelouch, Varda et Demy, Rivette et Rohmer…
Steven Soderbergh ou encore Simone Silva par qui le scandale arriva… Des journalistes, des jurés, un
fan, un critique, une attachée de presse, un photographe, le président, le producteur de Miramax et un
représentant de l’Oréal… Et sur les marches, le présentateur ! Dix comédiens qui jouent plusieurs rôles,
cinq décennies, quatre tableaux, trois intermèdes. Des personnages multiples, célèbres ou anonymes,
stars, seconds rôles ou figurants. Et un peu de… cinéma ! C’est l’histoire du Festival qui défile devant
nous.
Créé en 1938, une première édition annulée par la seconde guerre mondiale, le festival a connu la guerre
froide, la guerre d’Algérie, Mai 68, la mondialisation, l’arrivée des partenariats privés. Alors… croisette,
Nouvelle Vague et Dolce Vita. Tapis rouge, palmes, strass et starlettes, mais surtout réflexion sur le
cinéma, la place de l’artiste, les enjeux du 7e art, les interférences économiques et politiques.
Avec Marion Aeschlimann, Clémentine Allain, Anne de Boissy, Etienne Gaudillère, Fabien Grenon, Pier Lamandé,
Nicolas Hardy, Loïc Rescanière, Jean-Philippe Salério, Arthur Vandepoel Collaborateur artistique Arthur
Vandepoel Collaborateur dramaturgique Pier Lamandé Aide à l’écriture Elsa Dourdet Scénographie Bertrand
Nodet Création lumière Romain de Lagarde Création sonore Antoine Richard Costumes Sylvette Dequest
Création vidéo Raphaël Dupont Régie plateau Camille Allain Dulondel Régie lumière Jean Camilleri Régie
son Caroline Mas Régie vidéo Simon Frezel ou Guillaume Cefelman.
© Pascalito 2019
jeu 12 nov
De vous
Seul en scène 20h
Durée : 1h30 • Tout public • Tarif B •
Là, s’est révélé son incroyable talent de conteur, son humour sensible et délicat, son goût pour les
anecdotes pleines de saveur, son amour infini pour ce métier et tous ceux qui y consacrent leur vie.
Il lui reste tant de choses étonnantes, émouvantes et bien sur délicieusement drôles à nous dire qu’un
deuxième spectacle dont il nous présente ci-dessous les grands thèmes s’est imposé à lui :
De « vous à moi », il m’arrive souvent d’avoir envie de les retrouver et de repartir à zéro avec eux…
Spectacle écrit par Michel Drucker En collaboration avec Philippe Caverivière, Cédric Clémenceau et
Greg Lager Mise en scène et scénographie : Stéphanie Jarre Lumières : Jean-Philippe Bourdon. 9
© Photo Lot
sam 5 déc
Une vie Théâtre 20h
Durée : 1h20 • Tout public • Tarif B •
Clémentine CÉLARIÉ
D’après le roman de Guy de Maupassant.
«Une vie, voyez vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit.»
C’est sur cette phrase que Maupassant achève son premier roman.
Il nous raconte l’histoire de Jeanne. Une vie parmi d’autres.
Avec toutes les découvertes, les grandes joies, les plaisirs, les désillusions, et les souffrances que cela
comporte. Une vie parmi d’autres, et toutes les vies en une. Jeanne est à elle seule toutes les femmes.
C’est l’incarnation vibrante d’une femme avec ses pleins et ses déliés à l’instar des falaises imposantes
d’Etretat surplombant la mer qui, dans le sac et ressac, ponctue les mots et les maux de notre héroïne.
Clémentine occupe la scène avec dextérité et élégance.
Succès du festival d’Avignon 2019, le spectacle est une adaptation du texte d’origine, avec une sélection
par la comédienne des moments-clés de la vie du personnage.
«Clémentine Célarié fait siens les mots de Maupassant, et joue cette femme, Jeanne, à la première
personne. Un style littéraire d’une modernité vive et d’une puissance bouleversante…
Un spectacle d’une grande profondeur et d’une vérité inouïe porté haut par une interprétation rare.»
Theatral Magazine.
Mise en scène Arnaud Denis, Assistante Bérénice Boccara, Scénographie Hermann Batz, Création lumières
Denis Koransky, Créations musicales Carl Heibert et Abraham Diallo.
© Julien Piffaut
jeu 17 déc
Verte Théâtre jeune public
Durée : 1h10 • Dès 8 ans
Spectacle
& réservation
20h
Verte veut être comme ses copines, une petite fille de onze ans comme les autres. Elle ne veut
surtout pas être une sorcière. Mais, voilà, déjà elle s’appelle Verte et en plus sa mère, Ursule, est
une sorcière ! Et sa grand-mère, Anastabotte, aussi ! Alors, afin d’assurer l’hérédité familiale, Ursule
envoie sa fille en stage chez Anastabotte. Et dès lors…
Tout ne se passe pas comme prévu car Verte va rencontrer Soufi, un fils d’immigrés. Lui aussi «différent».
Lui aussi « pas comme les autres »… Et la grand-mère va montrer une belle habileté à enfreindre les
règles de la sorcellerie afin de guider sa petite fille -très douée par ailleurs- vers le grand chemin de
l’adolescence…
Léna Bréban a plongé dans la marmite (à succès depuis l’apparition de ce « classique » de la littérature
jeunesse en 1996 !) de Marie Desplechin afin d’assaisonner les ingrédients fantastiques de la sorcellerie
à une sauce inédite et très contemporaine. Une marmite, tout à la fois drôle et profonde, où les sujets
graves de l’identité, de la différence, de la quête d’une paternité absente sont abordés avec une subtilité
efficace et un humour bienvenu.
Mise en scène Léna Bréban Collaboration artistique Alexandre Zambeaux Adaptation Léna Bréban & Alexandre
Zambeaux Avec Rachel Arditi - Verte Céline Carrère - Ursule, la mère, Pierre Lefebvre/Xavier Coppet (en
alternance) - Soufi, Julie Pilod/Valérie Kéruzoré - Anastabotte, la grand-mère Scénographie Emmanuelle Roy
assistée de Marie Hervé Magie, effets spéciaux Abdul Alafrez, Thierry Collet Création sonore Victor Belin,
Raphaël Aucler Lumières Jean-Luc Chanonat Costumes Julie Deljéhier Régie générale (en alternance)
Emmanuelle Phelippeau-Viallard, Guillaume Ledun Régie plateau (en alternance) Daniel Bachelier,
Stéphane Guellec. 11
© Simon Gosselin
jeu 14 jan
Illusions Théâtre
Durée : 2h30 • Dès 15 ans
Spectacle
& réservation
20h
Une gageure que d’adapter Illusions perdues à la scène mais le roman n’est-il pas déjà inscrit
dans la « comédie » humaine ? Un premier pas vers le théâtre ! Pauline Bayle compose, transpose,
dispose et fait de ce roman magistral un véritable objet théâtral d’aujourd’hui.
Lucien Chardon préfère se faire appeler Lucien de Rubempré quand il part d’Angoulême afin de conquérir
Paris… Lucien en quête de succès, de gloire, d’amour, d’argent… Lucien suffisant et insuffisant, naïf,
arrogant mais touchant. Lucien, entre noblesse et roture, en proie à la risée car il ignore les codes de la
capitale et trouve plus fort que lui dans l’égoïsme et la veulerie. Lucien et… la perte de ses illusions !
Les six acteurs se répartissent les rôles (à l’exception de celui de Lucien) et qu’importe les genres. Sur
un plateau nu, ils sont dans l’arène, entourés, encerclés, enfermés, par les spectateurs ainsi impliqués.
Triomphe de l’égoïsme, du quant à soi, du compromis, des compromissions. De l’ascension à la chute,
il est question d’une destinée individuelle guidée par l’ambition et l’arrivisme. Il est aussi question d’un
aveuglement collectif emporté par les illusions du capitalisme.
Adaptation Pauline Bayle, d’après Balzac Mise en scène Pauline Bayle Avec Charlotte Van Bervesselès, Hélène
Chevallier, Guillaume Compiano, Alex Fondja, Jenna Thiam et la participation de Viktoria Kozlova ou Pauline
Bayle Assistanat à la mise en scène Isabelle Antoine Scénographie Pauline Bayle, Fanny Laplane Lumières
Pascal Noël Costumes Pétronille Salomé Musique Julien Lemonnier Régie générale/lumière Jérôme
Delporte, David Olszewski Régie plateau Ingrid Chevalier, Lucas Frankias Administration/Diffusion
Margaux Naudet Agence de presse Plan Bey.
© Jordi Oliver
Barcelona Gipsy Musiques du monde sam 23 jan 20h
balKan Orchestra Durée : 1h30 • Tout public • Tarif C •
Made in BARCELONA
L’énergie incroyable du groupe, son interprétation aussi raffinée que psychédélique enflamme le
public pour des soirées mémorables.
Grâce aux influences des différents musiciens provenant de Turquie, Slovénie, Suisse, Angleterre,
Russie, Serbie, Inde, France, Grèce, Italie, Mexique, Espagne, Iran, Israel, BGKO diffuse la musique
Klezmer, Gipsy et des Balkans auprès d’un trés large public. Ainsi, les synergies créées entre BGKO et la
ville de Barcelone donnent lieu à une effervescence de sons, cultures, et styles musicaux stimulant les
sens.
BGKO interprète les chansons traditionnelles catalanes au son exaltant des rythmes orientaux ;
rapproche le gipsy swing de l’Europe de l’Est, aborde les chansons révolutionnaires cubaines avec un
groove balkanique, plaçant ainsi cette musique des Balkans et la musique Klezmer au cœur de la scène
populaire méditerranéenne, avec l’authenticité et la magie de la tradition transmise par les légendes du
style.
Plébiscité par le public à chacun de leur passage sur scène, BGKO se passionne pour la musique
traditionnelle des gitans et des juifs d’Europe de l’Est avec leur propre interprétation, tout en respectant
les racines de ces musiques, partant des thèmes d’Amérique latine, des chansons traditionnelles
catalanes, italiennes, grecques et russes jusqu’aux grooves et aux sonorités vibrantes du jazz, du
flamenco, du swing manouche et du rockabilly.
Avec Mattia Schirosa (accordéon, ltalie), Julien Chanal (guitare, France), Ivan Kovacevié (double basse,
Serbie), Stelios Togias (percussions, Grèce), Dani Carbonell (clarinette, Espagne), Oleksandr Sora (violon,
Ukraine), Pere Nolasc Turu (violon, Espagne), et Margherita Abita (chant, ltalie). 13
© L’instant d’un regard
sam 6 fév
Le cercle
Comédie policière 20h
Durée : 1h45 • Tout public • Tarif C •
Installés dans le quartier même des meurtres, dans un ancien atelier d’artiste loué pour l’occasion,
ils vont découvrir au cours de leurs rendez-vous discrets les fils invisibles qui expliquent l’une des plus
grandes énigmes criminelles de l’histoire.
« Élémentaire, mes chers spectateurs ! Une réussite. Dans un décor amusant, les comédiens font
merveille…»
Le Figaro Magazine.
Une comédie policière de Julien Lefebvre Mise en scène Jean-Laurent Silvi Avec Stéphanie Bassibey, Pierre-
Arnaud Juin, Ludovic Laroche, Jérôme Paquatte, Nicolas Saint-Georges Décors Margaux Van Den Plas et
Corentin Richard Costumes Axel Boursier Lumières Éric Milleville Musiques Hervé Devolder Copyrights :
L’Instant d’un regard et Xavier Robert.
© Abdoulaye Doumbia
mer 17 fév
Le Théâtre
Durée : 1h45 • Dès 14 ans
Spectacle
20h
iench
& réservation
Eva DOUMBIA
Drissa veut un chien. Un « iench » ! Plus qu’un animal de compagnie, beaucoup plus qu’un rêve
de gosse, Drissa veut un chien comme un signe extérieur de normalité. Drissa est un petit
garçon noir de onze ans qui veut « manger du rôti le dimanche, savoir nager, le permis à dix-
huit ans, le bac aussi, un boulot l’été, aller en boîte et avoir un chien ! ».
Eva Doumbia met en scène ces autres que l’on ne voit pas ou peu à la télévision et moins encore sur les
plateaux de théâtre. Elle traque le racisme sournois ou très explicite, l’exclusion au quotidien, l’autorité
des pères, la révolte des mères, l’incompréhension entre les générations. Avec Driss, Ramata et leurs
copains, Mandela ou Karim, avec les parents, Maryama et Issouf, la dramaturge met en scène une «
famille autre, en tout cas un peu différente » à laquelle elle souhaite un destin loin des clichés. Sans
délinquance, ni dérives stéréotypées, ni réussite exceptionnelle « exemplaire ».
La dramaturge restitue, avec une authenticité forte, avec une justesse crue, avec humour aussi parfois,
les mots de tous les jours. Elle trame sa pièce avec des apartés aux spectateurs pour mieux livrer les
pensées secrètes et les cris intimes. Et en point d’orgue dramatique, en écho froid et menaçant, elle fait
entendre la liste des noms des victimes policières depuis 2005…
Ce spectacle est dédié à la mémoire de Sériba Doumbia Texte et mise en scène Eva Doumbia Musique Lionel Grelat
Scénographie Aurélie Lemaignen Chorégraphie Kettly Noel Assistants Clémence Pichon et Fabien Aissa Busetta
Régisseur général Éric Jouanjan Créateur son Cédric Moglia Créateur lumière Stéphane Babi Aubert. Avec
Fargass Assandé, Nabil Berrehil, Fabien Aissa Busseta, Catherine Dewitt, Sundjata Doumbia/Akram
Manry, Binda N’gazolo, Salimata Kamaté, Fatou Malsert/Olga Mouak, Fréderico Semedo, Souleymane
Sylla. 15
© Nicolas Semenioukoff
ven 12 mar
L’emmerdante Comédie 20h
Durée : 1h30 • Dès 14 ans • Tarif D •
Jean-Christophe BARC
« Ceux qui ne pensent pas comme nous sont des cons » écrivait Brassens…
Telle est la devise de Mathilde, une jeune militante au caractère bien tranché, qui se trouve
interpellée… pour la sixième fois.
Elle se retrouve à la PJ et doit répondre aux nombreuses plaintes portées contre elle, pour dégradations
perpétrées lors de nombreuses manifs.
Et ça tombe à nouveau sur Louis, un policier taciturne, qui va se retrouver, pour la sixième fois, face à
elle, pour un interrogatoire hors normes.
Une bonne tranche d’ironie sociale sur une bonne tranche d’écriture acerbe et saccageuse font de ce
spectacle un délicieux moment de rigolade. Sans compter l’interprétation explosive de deux comédiens
talentueux et attachants. Un spectacle drôle, sensible, tendre et intelligent... une joute verbale de haute
volée !
Une comédie où l’on assiste à la garde à vue de la plus emmerdante des emmerdeuses !
« Séduisante récidive interprétée avec une justesse fougueuse. On applaudit le talent tout en spontanéité
et mauvaise foi assumée de Meaghan Dendraël. Jean-Christophe Barc excelle dans ce rôle ».
La Marseillaise.
Une comédie de Jean-Christophe Barc et Meaghan Dendraël Mise en scène de Jean-Christophe Barc
Interprété par Jean-Christophe BARC et Fanny Lucet.
© Simon Gosselin
Au milieu de l’hiver
j’ai découvert en moi Théâtre mer 17 mar
Spectacle
20h
Durée : 1h25 • Tout public
un invincible été
& réservation
Anaïs ALLAIS
Lilas est née en France mais un bout d’elle-même est en Algérie. Alors, en dépit de l’avis de son
frère qui a décidé de tirer un trait sur cet ailleurs et ce passé, elle décide de renouer avec ce
pays et fouille dans les strates d’une mémoire familiale enfouie, longtemps tue.
Anaïs Allais est allée vers les sables mouvants de cet ailleurs inconnu. Elle a interrogé les lieux, les livres
et les hommes. Elle y a découvert un grand-père, footballeur professionnel dans les années 30. Elle a
rapporté des images mais, elle a aussi, en chemin, rencontré Méziane, un technicien de théâtre musicien
venu d’Algérie, et décidé qu’avec sa musique, il serait sur scène un entre deux avec le public. Le chaînon
manquant d’un récit complexe obscurci par les non-dits.
Anaïs Allais tutoie l’histoire, avec majuscule ou non, celle de sa famille et de ses proches, celle qui est
écrite -ou pas- dans les livres. Celle qui est inscrite dans les pages d’Albert Camus, ce « frère de soleil » à
qui le titre de la pièce est emprunté. Ainsi, la dramaturge et comédienne nous fait partager sa déchirure,
son élan vers une réconciliation intime. Elle brise le silence et s’immisce là où « le passé refuse de mourir
en se nichant dans le présent ».
Au milieu (…) s’inscrit dans une recherche menée par Anaïs Allais depuis 2012 avec Lubna Cadiot et Le
silence des chauves-souris (2015) autour de la notion mouvante d’identité.
Écriture et mise en scène Anaïs Allais Texte édité chez Actes Sud-Papiers en novembre 2018 Collaboration
artistique Damien Gabriac Avec Anaïs Allais, Méziane Ouyessad, François Praud Dramaturgie Charlotte
Farcet Scénographie Lise Abbadie Vidéo Isabelle Mandin Création sonore Benjamin Thomas Création
lumières Sébastien Pirmet Administration-production Cécile Favereau et Marine Charles Diffusion
Emmanuelle Ossena - EPOC productions. 17
© Carlo Sperica
Festival
ven 26 mar
Internationnal Jazz 20h30
Durée : 1h30 • Tout public •
Repérée en 2011 par Quincy Jones, Andréa Motis, signe son sixième album, le second pour le
prestigieux label Impulse ! avec « Do Outro Lado Do Azul ».
Après ses six albums acclamés par la critique, la trompettiste-chanteuse-compositrice de 25 ans est
assurément une étoile montante du Jazz. Toujours accompagnée des musiciens qui lui sont fidèles depuis
ses débuts, à l’instar de son mentor Joan Chamorro, la Barcelonaise vogue vers les rives du Brésil avec
une énergie captivante.
La trompette reste son « premier instrument » mais Andréa Motis nous offre aussi une voix de contralto
séduisante et élastique… On entend son chant comparé avec celui de stylistes telles que Billie Holiday ou
Norah Jones.
Ce dernier album, point de rencontre entre solos, créations et grands standards est donc la merveilleuse
démonstration de l’étendue des talents de cette musicienne hors norme.
Attention, phénomène !
Avec Andréa Motis à la trompette Joan Chamorro à la basse Ignasi Terraza au piano Esteve Pi à la batterie et Josep
Traver à la guitare.
Informations et réservations sur www.arte-art.com
© Simon Fowler-Sony Classical
© Mouard Mokrani
Festival
sam 27 mar
Internationnal Jazz 20h30
Durée : 1h30 • Tout public •
Dès le début de sa carrière exceptionnelle dans les années 1990, le monde entier a acclamé Natalie
Dessay dans le répertoire lyrique, de l’opéra et de l’opérette (elle s’est produite à l’Opéra Bastille, au
Metropolitan Opera de New York, à Vienne, Londres, Tokyo, Moscou… accompagnée des plus prestigieux
orchestres). Depuis quelques années, elle explore aussi le domaine de la comédie musicale et de la
chanson, en particulier l’univers de Michel Legrand.
Gilda Solve est une chanteuse de jazz née à San Francisco. Grande connaisseuse des répertoires de
Duke Ellington, Sonny Rollins, ou encore Miles Davis, douée d’une technique vocale remarquable et d’une
grande aisance dans le scat, Gilda Solve, pétillante et lumineuse, a conquis les publics d’innombrables
clubs et festivals aux États-Unis et en Europe (Marciac, Juan les pins…).
Réunies autour du trio de Fred Manoukian, elles proposent une rencontre originale et réjouissante entre la
chanson américaine et la chanson française... masquée du jazz !
Avec Nathalie Dessay et Gilda Solve au chant Fred Manoukian au piano Patrice Soler à la contrebasse et François
Laizeau à la batterie.
Informations et réservations sur www.arte-art.com 19
© Charlotte Sampermans
des poubelles
& réservation
Alex est une petite fille gâtée, très gâtée. Elle a beaucoup de jouets qu’elle jette lorsqu’elle n’en veut
plus. Un jour, elle se retrouve dans un étrange pays envahi d’objets multicolores… Maria Clara Villa Lobos
fouille nos poubelles. Enfin presque.
La chorégraphe scrute la face jetée (rejetée) de notre société de consommation. Elle observe notre monde
et prend la mesure de sa démesure. Elle dénonce nos excès et nos tonnes de détritus dont il est bien
difficile de se débarrasser. Elle nous confronte à notre gâchis, à nos surplus, à notre trop.
Le titre du spectacle en témoigne, Lewis Carrol et Alice sont, bien sûr, ses compagnons d’imaginaire et
c’est sur la trame de son aîné qu’elle dessine son voyage au pays des abus et des rebus. Elle joue des
multiples créations, détournements et recyclages inspirés par les déchets de la société.
Elle fait conte et fable de tous les objets, poupées et animaux qui, avec malice, s’animent sous nos
yeux. Elle crée un spectacle drôle, poétique, inventé… sur le tas. Elle donne quelques idées et matière à
réflexion aux petits pour faire la leçon aux grands.
Conception et chorégraphie Maria Clara Villa Lobos Avec Clément Thirion, Clara Henry, Gaspard Herblot,
Antoine Pedros Scénographie Isabelle Azaïs Assistante scénographie/accessoires Emeline Dedriche
Costumes Nousch Ruellan Musique originale Max Vandervorst Vidéo Antonin De Bemels Nappes sonores,
bruitages Gaëtan Bulourde Création lumières Kevin Sage Régie générale Gaspar Schelck.
© Jérôme Pouille
Sous les traits de deux musiciens fantasques, Les Virtuoses allient la virtuosité du concertiste à
l’âme du clown, dans un spectacle musical emprunt de folie et de poésie.
Osant le grand écart entre musicalité débridée et mise en scène spectaculaire, ils déchaînent le classique
avec une délicieuse extravagance. À quatre mains expertes et espiègles, Les Virtuoses s’amusent avec
Mozart, Vivaldi, et bien d’autres…
Mais le duo ne joue pas seulement avec la musique, il la sublime d’une magie extraordinaire.
Et, du bout des doigts, emmène les spectateurs dans une rêverie fantastique et musicale. Une lumière qui
joue la diva et virevolte dans les airs, des notes qui s’envolent dans un battement d’ailes de colombe...
La magie des Virtuoses, à la fois lyrique et électrique, rend grâce à leur musique.
Musiciens, comédiens, magiciens… Les irrésistibles Virtuoses relèvent le pari fou de concilier la fantaisie
et le sérieux, pour réconcilier la grande musique avec tous les publics. Une célébration musicale et
onirique, menée tambour battant par deux pianistes aux multiples facettes !
Un spectacle musical de Mathias et Julien Cadez Avec Mathias et Julien Cadez, Clément Goblet, Loïc
Marles Régie lumières François Clion. 21
© Patrick Berger
© Stéphane Chouan
Beloved Shadows
Portraits Soirée duo danse mar 20 avr
Spectacle
20h
in Red
Durée : 1h20 • Tout public & réservation
D’un immense drap rouge étalé sur la scène émerge la danseuse qui va se revêtir de ce tissu, tour
à tour robe, traîne ou turban. Elle tourbillonne dans une spirale, en robe longue ou semi-nue, solide
et fragile, dans un subtil florilège de stéréotypes exhibés et dénoncés. La chorégraphe interprète joue de
son corps et de cet immense voile rouge et livre un autre regard sur les critères de beauté en vogue selon
les continents. Pour ce spectacle, Wanjiru Kamuyu est assistée par la chorégraphe sud-africaine Robyn
Orlin, et offre un solo aux multiples accents.
Une immersion de six mois à Kyoto a permis à la danseuse et chorégraphe, Nach, de rencontrer un autre
mode d’expression, un autre univers. Du krump au bûto, de la danse urbaine de Lyon ou Paris à la « danse
du corps obscur » japonaise, il y a sans doute un grand écart mais une même rupture, une même volonté
d’emprunter des voies nouvelles. Entre les tensions et l’énergie de l’une et l’intériorité quasi-rituelle de
l’autre, Nach a su trouver sa voie pour exprimer le « désir brûlant, transcendant, parfois douloureux » et le
partager sur le plateau.
Portraits in Red Chorégraphie et interprétation Wanjiru Kamuyu Dramaturgie Robyn Orlin Musique (composition)
Nate May Musique (arrangement) Lacrymoboy Conception costume Robyn Orlin Lumières Cyril Mulon Art
Wangechi Mutu
Les Haricots Rouges est un groupe français de jazz Nouvelle-Orléans et dixieland, formé en
1963. Ils ont vendu plus d’un million d’albums dans le monde en plus de 50 ans de carrière.
«Les Haricots Rouges, le sextet du délire, dont le swing est la ligne maîtresse, et s’ils font dans le
déferlement du comique, c’est en permanence un régal pour nos doigts qui claquent, propulsés. Caravan,
La vie en rose, Il n’y pas d’amour heureux... ce que va raconter le trombone aurait fait sourire de plaisir
Trummy Young... Un régal ! » Claudia Battestini - Jazz Dixie Swing.
Musiciens passionnés et facétieux, Les Haricots Rouges revisitent le jazz de la Nouvelle Orléans et la
musique Antillaise dans un spectacle explosif, drôle et émouvant.
« Les Haricots Rouges ne constituent pas une société secrète, ni encore moins discrète. Quand ils s’y
mettent, ils font en effet beaucoup de bruit, mais celui-ci dégage une saveur exquise où il apparaît que
ces musiciens jouent comme ils respirent : librement. Le bon plaisir est la première vocation de cette
communauté... »
Antoine Blondin.
Au banjo Norbert Congrega à la batterie Michel Senamaud à la contrebasse Pierre-Luc Puig au trombone
Christophe Deret au piano et à la trompette Pierre Jean à la clarinette Jacques Montebruno à la
trompette Jean Dufour. 23
© Olivier Goujon
6e festival
Musique classique ven 28 mai 20h
des grands Durée : 1h10 • Tout public • Tarif E •
Pendant trois jours, Louviers va vivre au son du piano. Ou plutôt, des pianos : à la Scène 5, au Moulin, à
la Cave du Moulin, à la médiathèque Boris Vian, à Glacéo...
Le festival « IN », avec ses concerts d’amateurs prestigieux, se double d’un « OFF » toujours plus
époustouflant d’année en année.
Le Festival des grands amateurs de piano de Louviers s’inscrit dans la continuité du Concours
international des grands amateurs, créé en 1989 par Gérard Bekerman qui a souhaité créer un concours
dédié à des amateurs de haut niveau. Des amateurs qui exercent une activité — médecin, avocat,
étudiant, retraité, employé, ingénieur... — mais dont le talent est indiscutable.
Depuis 2015, la Ville de Louviers permet aux lauréats du Concours international des grands amateurs de
présenter leur talent au public durant ces trois jours de festival.
Dans toute la ville, un week-end au rythme des concerts de musique classique, dans des lieux parfois
insolites...
De vous à moi
Production DMD, Ludovic Savalle - Diffusion Arts Live, Pauline Heude - Production Délégué Polyfolies, Dominique Dumond.
Une vie
Production Les Grands Théâtres / Jérôme Foucher.
Verte
Production : Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône Coproduction : Cie Ingaléo / Théâtre Paris-Villette Avec le
soutien de la Maison Jacques Copeau, Pernand-Vergelesses / Verte de Marie Desplechin, publié en 1996 à l’École des Loisirs
Illusions perdues
Production déléguée : Compagnie À Tire-d’aile Coproduction : Scène nationale d’Albi, TANDEM Scène nationale, Espace 1789,
scène conventionnée Saint-Ouen, MC2: Grenoble, Théâtre de la Bastille, La Coursive Scène Nationale La Rochelle, Théâtre La
passerelle – Scène Nationale de Gap et des Alpes du Sud, Châteauvallon scène nationale, Théâtre de Chartres Avec le soutien du
Ministère de la Culture et de la Communication / DRAC Ile de France, de la Région Ile de France, de l’ADAMI et du CENTQUATRE-
PARIS Remerciements : Clément Camar-Mercier, Géraldine Chaillou, Viktoria Kozlova, Loïc Renard, Victor Rodenbach, Victor
Roussel, Julius Tessarech
Le Département de la Seine-Saint-Denis a soutenu la création de cette œuvre. La Compagnie À Tire-d’aile est en résidence à
l’Espace 1789, Scène conventionnée de Saint-Ouen, avec le soutien du département de la Seine-Saint-Denis.
BGKO
PYPO Production
Le Cercle de Whitechapel
Pascal Legros organisatin, Diffusion Ludovic LAROCHE et Loïc DECLUZEAU.
25
V25
S26 mai
Le iench
Production déléguée : CDN Normandie Rouen Coproducteurs : La Part du Pauvre, Artcena, La Comédie de Saint Etienne, Les
Producteurs Associés de Normandie (Centre dramatique national de Normandie – Rouen, Le Préau, Centre dramatique de
Normandie – Vire, La Comédie de Caen CDN de Normandie, Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin, DSN Dieppe
Scène Nationale, Le Tangram Scène Nationale d’Evreux-Louviers), Théâtre Joliette, Scène conventionnée pour les expressions &
écritures contemporaines Avec le soutien des écoles : JTN, FIJAD, DIESE, ESAD et FIPAM Avec le soutien du Fonds SACD Théâtre
2018
D27
L’emmerdante
Alice en scène production
Portraits in Red
Production : WKcollective Diffusion : camin aktion | caminaktion.eu
Beloved Shadows
Production : Nach Van Van Company Coproduction (en cours) : CDCN Atelier de Paris ; L’Echangeur - CDCN Hauts-de-France ;
La Place de la Danse, CDCN Toulouse - Occitane ; Centre Chorégraphique national de La Rochelle / Cie Accrorap - Direction
Kader Attou ; CCN de Roubaix. Soutien : La DRAC Ile-de-France au titre de l’aide au projet ; La SACD Beaumarchais au titre de
l’aide à l’écriture en danse ; Le Gymnase CDCN Hauts-de-France ; La SPEDIDAM. * Nach est artiste compagnonne du Centre
Chorégraphique national de La Rochelle / Cie Accrorap - Direction Kader Attou et est soutenue par le CDCN Atelier de Paris dans
le cadre du fonds FoRTE. * Nach était artiste résidente à la Villa Kujoyama à Kyoto de juillet à décembre 2018.
Tarifs A B C D E Les billets ne sont pas remboursés, sauf en cas d’annulation du spectacle.
Plein 40 € 32 € 25 € 18 € 12 € * Scolaires, étudiants de moins de 26 ans, demandeurs d’emplois, bénéficiaires des
Réduit* 24 € 20 € 15 € 10 € 8 € minima sociaux et groupes constitués de + de 10 personnes.
/lascenecinq