Le Mari de Chabelia

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*🕵LE MARI DE CHABELIA🕵*
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*Chapitre 1⃣*
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_*Par Marx N'souglo*_
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Je crache après avoir brossé les dents. Des coups sont frappés sur la porte et je vais ouvrir. Il s'agit de
Chabelia. Je la regarde, le temps qu'elle fouille dans son sac à main qui est toujours trop plein comme d
´habitude.
- Je suis un peu pressée, dit-elle sans me regarder. Je vais devoir partir.
Je hoche la tête.
- M'as-tu laissé les sous que je devais remettre à ma mère ?
Je secoue négativement la tête. Bélia sémporte aussitôt et bavarde, exaspérée. Je la regarde s´éloigner
vers le salon. Je referme tranquillement la porte et je vais prendre ma douche. Lorsque je termine, je me
rends dans la chambre. Je prends lárgent dans le tiroir et jáppelle Bélia qui a la mine serrée. Je m
éxcuse et je lui dis la vérité. Je ne peux lui remettre que la moitié de la somme demandée. Elle n'est pas
contente, mais elle sait que si j'avais pu, je lui aurais donné plus que cela. Elle me fait la bise et me
souhaite une bonne journée. Je la regarde sén aller. J'aurais bien aimé qu'elle reste, mais vu qu'elle est
décidée à partir, ce n'est pas grave.
••••••••••••
La journée a été éprouvante. J'ai juste envie de me reposer. À cette heure, les enfants sont chez la
voisine pour suivre leurs cours de répétition. Je trouve la jeune femme qui s'occupe du ménage en train
de travailler. À voir la disposition de son matériel de travail, elle est en train de terminer ce dernier. Elle
fait la vaisselle dans la cuisine. La table du dîner est déjà dressée pour mon repas.
Apres m´être changé, je lui fais signe d'approcher. Elle lave ses mains dans l'eau mousseuse et les essuie
sur le tablier. Elle marche alors vers moi. Devant le frigo, j'attrape sa tête et je commence à l'embrasser.
Je suce ses lèvres et je la presse subtilement à moi.
- Monsieur, faites doucement.
- Il n'y a rien, dis-je en caressant son dos. J'ai envie de le faire. Viens me donner du plaisir.
*À suivre...*
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*🔖Marx' Experience🔖*
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*🕵LE MARI DE CHABELIA🕵*
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*Chapitre 2⃣*
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_*Par Marx N'souglo*_
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Alors que je dévore ses lèvres, je déboutonne sa chemise. Je soupèse ses seins à travers le soutien-
gorge. Je commence à embrasser sa poitrine et elle se tortille contre moi. Elle a l'air d'être réfractaire à
mon désir, pourtant ses hanches se frottent contre mon bassin. Elle a vraiment envie que je lui donne du
plaisir, cette salope et je compte bien le faire. Je sors le sein gauche de sa cachette et je commence à
sucer le téton comme un bébé. Elle gémit, se mord les lèvres et se tord.
- Encore… Encore.
Ses murmures me stimulent. Il ne faut pas qu'elle s'inquiète. Je compte bien prendre mon pied. Je baisse
le collant quélle a porté et je la retourne. D'une main, je teste léntrée de son sexe et je me rends
compte qu'elle est légèrement mouillée. C'est largement suffisant pour laisser passer mon membre. Je la
pousse à se mettre à cheval devant moi. Je la plie, les jambes légèrement écartées, le collant au niveau
de ses genoux. Je baisse le pantalon que je porte, juste assez pour faire sortir mon sexe et le frotter en
riant contre léntrée de sa fente. Sans prévenir, je ménfonce bien profond en elle.
Alors que la femme de ménage couine comme une truie dévorée par le plaisir, je m'active à bien la
défoncer. Je la fais avec force. Elle s'appuie contre le frigo. Dans tous ces mouvements, je remarque le
pot de fleurs posé sur le frigo qui dandine dangereusement. Le vase perd son équilibre après un énième
coup de boutoir, bascule, se casse près de nous. Le choc est si inattendu que nous sursautons tous les
deux. La femme de ménage veut se tourner pour ramasser rapidement les débris, mais je lén empêche.
Mon geste semble la surprendre.
- Ça attendra. Ce que nous faisons est plus important. Je compte bien jouir. Écarte-moi bien ta chatte
avec tes mains.
*À suivre...*
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*🌸LE MARI DE CHABELIA🌸*
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*Chapitre 3⃣*
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On ne coupe pas le goût à un homme sérieux comme moi. Je l'avais vraiment imaginé comme ça. Je
réussis à pousser un peu son collant pour pouvoir bien écarter ses cuisses. Dún petit geste, je relève sa
jambe gauche. Je crée ainsi un angle assez intéressant qui me permet de pouvoir bien rentrer et sortir
en elle. La jeune femme gémit. Elle se plaint, me supplie de continuer ce que je fais. Alors je pousse ma
queue bien profond. J'ai fini par la coucher sur le sol et écarter ses cuisses. Me voilà en train de
m'activer au-dessus d'elle. Je sens son corps qui tremble sous mes yeux. Mes mains entourent son corps
et mes hanches frappent ses fesses suspendues. Nos corps sont en harmonie.
Lorsquélle veut glisser, játtrape son bassin et je le relève. Mes mains glissent sur les côtés de son corps.
Avec envie, je me penche vers ses seins. Jái envie de toucher les tétons, mais je ne peux pas le faire, car
j'ai besoin d'équilibre. La seule chose qui forme un angle parfait à cet instant, c'est mon sexe qui se
frotte à la chair de sa chatte et la fait gémir. Nos parties intimes se parlent. Cette femme est très
communicative. Alors que je la défonce avec force, je la coince dans un coin jusqu'à ce que je jouisse. Je
la laisse dans la cuisine, le sourire béat et les fesses en láir. Je range rapidement mon pantalon. Je vais
m'asseoir calmement au salon et je commence mon repas.
Je sens que je vais pouvoir très bien dormir tout à l'heure. Dommage que je vais le faire sans ma femme.
Elle va me manquer.
*À Suivre...*
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*Chapitre 5⃣*
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Je mápproche de la voisine en me frottant les mains.
- Tu as dit que ma femme t'a dit qu'il y a du plantain bien dur ici ? Le seul plantain qu'il y a dans cette
maison, c'est moi. Si tu veux quoi que ce soit, je vais te donner ça ici en vrai et en vrac.
Je caresse sa joue. Elle sourit en gloussant.
- Tu es une belle femme. Je vais bien te garder. Mais il faudra être rapide, parce que nous ne sommes
pas seuls.
- Tu peux venir chez moi, murmure-t-elle en faisant des manières.
- Je ne peux pas sortir. Je garde les enfants ce soir. Tu sais que Madame n'est pas là. Prends seulement
ton plantain. Je veux jouir dans ton mortier.
La jeune femme a porté un ensemble en pagne. Le haut est cousu et le bas est constitué dún pagne
attaché sur le côté. Elle défait ce dernier. Elle dévoile un postérieur bien rebondi, recouvert d'un grand
slip noir. La vue de son derrière me fait aussitôt bander. Elle est très excitante. Je m'approche et je tape
un peu sur ses fesses. Elle rit tout bas.
- Tu dois aimer ça.

- Beaucoup, répond-elle en secouant son derrière.
- J'aime les femmes bien en chair comme toi.
- Et pourtant ta femme est mince, remarque-t-elle.
- On fait parfois des choix dans la vie qui sont très loin de ce dont on a envie. Retiens cela comme une
leçon pour l'avenir.
Je baisse mon short. Je l'invite à toucher mon sexe qui est déjà au garde-à-vous. Elle se plie et se place
sur le côté. Elle attrape le sexe et commence à le chauffer de la main avant de le prendre dans sa bouche
en gémissant.
*À suivre...*
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*Chapitre 4⃣*
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Un coup est frappé sur la porte du salon. Lésprit concentré dans mon match de foot, je lígnore. La
personne insiste et frappe à nouveau. Je tchipe et je me redresse.
- Qui est-ce ?
- Cést moi !
Moi ? Qui, moi ? Vraiment, les gens nónt aucun savoir vivre. La personne pousse le vice et entre sans
que je ne lái invitée. Cést une femme dont le visage mést vaguement connu.
- Bonjour, voisin. Madame est là ?
- Bonjour. Non. Pourquoi la cherchez-vous ?

La femme semble embarrassée et regarde bizarrement autour délle.
- Je voudrais un peu d´huile. Jái oublié dén acheter.
- Elle nést pas là.
- Il y a de l´huile à la cuisine. Elle a une réserve.
Surpris, je lève un sourcil surpris.
- Ok.
- Síl vous plait. Jén ai vraiment besoin pour frire du poisson.
Agacé, je la regarde sans bouger. Elle se met à parler, me raconte les bonnes relations quélle a avec
mon épouse. Je me lève et je vais dans la cuisine. Je ný viens que rarement. Il me faut un moment pour
trouver lármoire dans laquelle la bouteille d´huile est cachée. Je vais la donner à la dame qui me
remercie et sén va. Je retourne mínstaller dans le canapé. En dix minutes, elle revient deux fois pour
prendre du sel et un peu de riz. Je me demande bien si elle a vraiment tout apprêté chez elle. Jái l
ímpression quélle fait les courses dans ma maison.
La femme revient les jours qui suivent. Jái límpression que venir demander allumette, sel et cube est
devenu un rituel. On dirait quélle sárrange a toujours venir en lábsence de ma femme. Jápprends à
mieux la connaitre. Mais surtout ses gouts culinaires. Un soir à 19h, les enfants sont dans la chambre en
train de faire leurs devoirs dans leurs chambres, elle revient.
- Voisin, síl te plait, je voudrais un peu de plantain. Madame a dit quélle a du plantain bien vert et dur
ici.
*À suive...*
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*Chapitre 6⃣*
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D'un geste gourmand, elle lénfonce dans sa bouche et le fait sortir. Elle le recouvre de salive. Elle me
goutte avec appétit, émettant des bruits très excitants.
Je bande très rapidement. Alors que je caresse son fessier en la regardant faire, ma main se glisse sous
le slip et va caresser des lèvres charnues entre ses cuisses. Je mý vois déjà me perdre. Cela manque de
me faire jouer.
Voulant gagner en temps, je la repousse en la gardant toujours pliée en deux. Je baisse le slip jusqu'à ses
genoux et j'écarte ses jambes. Je prends ma queue et je l'enfonce en elle. Je commence à la pilonner.
Elle essaie d'attraper la table devant elle. Toujours collés l'un à l'autre, nous marchons vers la table. Elle
retire son slip et écarte bien les cuisses. Elle se positionne bien et veille à me prendre profondément en
elle. Je commence à ménfoncer en elle.
Elle gémit assez fort. Je lui fais savoir.
- Fais doucement. Il ne faut pas qu'on vienne nous attraper ici !
- Je m'excuse, murmure-t-elle dúne voix hachée. C'est trop bon.
- Je sais, vas-y doucement. Je ne veux pas de problème.
Elle couvre sa bouche de sa main. Elle n'est pas très corpulente, mais elle a un gros postérieur. Je me
penche sur elle et je passe la main vers l'avant, entre nous deux. Je parviens à atteindre son sexe et je le
caresse. Ma main arrive parfois à toucher mon sexe qui entre et qui sort délle. Elle mouille à peine.
Mais je sens qu'elle a beaucoup de plaisir.
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: ```Précédemment dans```
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Une heure plus tard, Chabelia quitte la maison. J'entends des bruits quelques minutes plus tard qui
proviennent de léntrée de maison. Ils semblent venir dúne voiture qui est garée. Je vais donc voir de
quoi il s'agit. Cést un taxi duquel sont déchargées de nombreuses denrées alimentaires. Une femme aux
gestes exubérants se dirige vers moi et vient me faire la bise en riant. Je la regarde longuement et son
visage ne me dit rien. Elle sourit :
- C'est Bella. Je suis l'amie de Chabelia. Je dois l'aider à faire la cuisine.
- Ok. D'accord. Excuse-moi, j'étais un peu perdu. Vas-y, entre.
La jeune dame lance des ordres au chauffeur du taxi et me suit à líntérieur. Elle prend immédiatement
ces aises. Elle dépose son grand sac dans un coin du salon. Je suis étonné de la voir ouvrir sa robe
difforme et dévoiler un sous-vêtement et un collant. C'est dans cette tenue qu'elle s'en va vers la
cuisine. Je la suis sans mot dire. Durant les deux heures qui suivent, je l'observe en coin. J'observe son
corps à peine caché. Je dois avouer que cela m'excite de la voir ici.
Je vois ses seins qui se balancent sous ce démembré et ce gros fessier qui bouge dans tous les sens dans
ce collant. Elle est la tentation en personne. Je mápproche d'ailleurs d'elle.
- Bella, tout se passe bien ?
- Oui, ça va, répond-elle en souriant.
Elle est en train d´écailler du poisson. Elle rince ses mains dans l'eau et se lève. Il est question pour elle
d'aller vider la bassine dans un coin de la cour arrière de la maison. Lorsqu'elle se baisse pour verser le
contenu de la bassine en filtrant les écailles avec ses mains, j'ai l'impression de voir sa fente devant moi.
Celle-ci se dessine parfaitement sous le collant. Je vois les grandes lèvres qui sont sexy un genre…
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: ```♏on ©️lub de Lecture📚```
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*LE MARI DE CHABELIA🦚*
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*Chapitre 7⃣*
La voisine est plutôt étroite. Je sens malgré tout que j'ai une place de choix en elle. Alors, je m'amuse. Je
m'enfonce toujours plus loin. La table émet des petits bruits. Savoir que je suis en train de voler une
pistache qui n'est pas le mien m'excite énormément. Là, je sens ma jouissance se monter rapidement et
je vide en riant.
Je m'éloigne en souriant. Je range mon sexe dans mon short. Je la regarde alors quélle reste plantée au
milieu de la cuisine.
- Prends ce que tu veux et tu sors ! je lui enjoins. Je ne veux pas les problèmes avec ma femme.
Elle fouille dans la cuisine, les fesses toujours en láir. Elle vient vers moi avec deux doigts de plantain
mûr.
- C'est tout ce que j'ai trouvé. Je vais devoir revenir chercher le plantain dur et vert que je voulais.
- Tu n'as pas eu ce que tu voulais ?
Elle me fait un clin d'œil.
- Qui peut se rassasier des bonnes choses ?
- Pardon ! Je suis marié. N'abuse pas ! Dans la vie, c'est un peu un peu. Un autre jour peut-être. Il faut
partir.
Je la vois qui ramasse son pagne. Elle le resserre autour de ses hanches et range le haut par-dessus. Elle
prend le slip qui était roulé sous la table. Elle le roule en boule et vient l'enfoncer dans mon short.
- Je te laisse un souvenir, dit-elle en minaudant. Lorsque tu penseras à moi, touche-le et je viendrai te

donner ce que tu veux.
*À suivre...*
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*Chapitre 8⃣*
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La belle voisine m'embrasse et s´écarte de moi. Je lui donne une claque aux fesses. Elle mime de
ressentir un long frisson. Elle revient se coller à moi. Elle frotte son derrière contre mon sexe. Je le sens
qui se retrouve coincé entre le fessier malgré le short et le pagne. Il est prêt à se réveiller. Elle est
toujours collée à moi. Je pose une main sur ses seins et je les caresse.
- Ne me tente pas ! Cést bon pour ce soir.
« Papa ! »
Le cri de mon fils me fait sursauter et je pousse la voisine vers la porte.
- Il faut partir. Bonne nuit.
- Bonne nuit, voisin, murmure-t-elle en souriant.
*****
- Mon chéri, viens. Je voudrais te parler.
Je vais à la suite de Chabelia dans la chambre. Elle a láir préoccupée, mais caresse mon épaule avec
tendresse.
- Je vais recevoir la réunion demain. Comme j'ai beaucoup à faire au travail cette semaine, je ne peux
pas me charger de la cuisine. Alors j'ai demandé à une dame de la réunion de venir dormir ici pour
m'aider à cuisiner. Elle va d'ailleurs venir tout à l'heure. Elle est actuellement au marché. Elle pourra
commencer les préparatifs en mon absence. Je ne veux pas prendre dámende pour cela.
Je la regarde.
- Je nái pas de choix. Elle viendra de telle sorte que demain jeudi, tout soit prêt dans les temps. J'espère
que ça ne te dérange pas.
- Où va-t-elle dormir ? Vas-tu déplacer les enfants de leur chambre ?
- Elle va dormir au salon. Ça ne dérange pas. Je me suis déjà arrangée avec elle. Je vais lui donner un peu
d'argent et le tour sera joué.
-Ok. Si ça t'arrange, ça me va. Je vais veiller à ce que tout se passe bien en ton absence.
- Tu es formidable, dit-elle en mémbrassant. Merci, mon mari.
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: *🪀LE MARI DE CHABELIA🪀*
_*🔖Chapitre 13*_
Avec hargne, je la défonce. Elle a déjà joui deux fois. Tout son corps tremble. Elle vient vers moi et se
couche sur moi. Je continue à bouger en elle. La position est si inconfortable que je recule en la gardant
contre moi. Je la pousse à repartir vers lávant et à poser les mains sur le sol. Je sens des écailles de
poisson sur ma peau. À force de me frotter à elle, elle partage avec moi les déchets de son travail.
Bella est désormais les fesses en láir, la fente un peu écartée. Láccès à sa fente máppelle. Je
commence à cogner avec force. Elle gémit comme une truie qui jouit.
- Chut ! Néxagère pas.
- Hmmm. Cést bon, dit-elle en haletant.
- Je sais. Jáime aussi ce que je te fais. Jouis pour moi. Prends-moi.
Elle gémit et commence à bouger rapidement au même rythme que moi. Je máctive tellement que la
jouissance monte en moi. Bella grogne et supplie pour que je continue. Je sors délle et je jouis sur le sol.
Je respire fort alors que la pression retombe lentement en moi. Je marche vers le robinet et je lave mes
mains et je range mon sexe dans mon short.
Je me tourne ensuite vers Bella. Elle a remis de lórdre dans sa tenue et enfilé son collant. Nous nous
regardons en coin alors que je quitte la cour. Je vais me mettre à láise dans la douche, puis je jette un
coup d´œil aux enfants qui sont dans leur chambre. Chabelia me trouve dans le couloir. Elle me lance un
regard bizarre.
*À suivre...*
_*🔖Chapitre 11📚*_
••••••••••••••••••••••
Je la bloque vers le mur et je baisse mon short. Jáime tellement voir son derrière. Depuis que je lái
aperçu pointé vers moi, dans mon cerveau, je ne vois que ces deux boules serrés dans ce collant.
Merde ! Elle a une fesse qui te fait jouir rien qu´à le regarder. Comment une femme pareille peut-elle ne
pas être mariée ? Si ma femme avait une fesse pareille, jamais elle ne marcherait en route. Je me
réveillerais, je marcherais, je dormirais dans cette fente que jáperçois.
Bella pose les mains sur le mur et tend les fesses vers moi. Je la vois qui me guette en coin. Je me
demande même si elle náttendait pas que cela arrive. Parce quémballer ses fesses dúne telle manière,
cést venir tenter un pauvre homme comme moi dans sa maison.
Jéntends les enfants babiller au loin. Bella sursaute.
- Chut ! dis-je en posant un doigt devant ma bouche. Ils ne viendront jamais ici. Ils sont trop paresseux.
Jáppuie bien son sein. Je tire sur le tissu pour libérer un téton du soutien-gorge en dentelle quélle a
porté. En tournant la pointe entre mes doigts, je frotte mon sexe contre le collant, entre les deux boules
bien rondes. Le membre entre dans le tissu et menace de sénfoncer et de se perdre là-dedans. Non, je
ne peux plus tenir !
Je baisse le collant. Le string minuscule en dessous est juste en tourisme à cet endroit. Les hanches de
Bella sont plus fines que son fessier. Elle est formée comme une calebasse. Je vais mápprocher pour la
goûter et, pourquoi pas, boire délle jusqu´à la lie.
*À suivre...*
*Chapitre 🔟*
••••••••••••••
Comme guidé par un esprit malsain, je me lève et je me dirige vers elle. Cet élan qui me pousse vers elle
est si fort que je me colle à elle. Ma main se pose aussitôt sur son entrejambe et commence à masser le
trou que je devine entre les grosses lèvres. Bella sursaute et plonge l'avant de son corps dans la bassine.
Je la retiens de justesse pour qu'elle ne tombe pas entièrement sur le sol. Je la relève et je la colle à moi.
Je sens son corps trembler légèrement. Elle pousse des petits cris de surprise.
- Mon beau, cést comment ?
- Hum, je maugrée en appuyant ses hanches pour quélles se frottent aux miennes.
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Qu'est-ce que tu fais ?
- C'est trop bon ! Ça a le goût terrible. Tu as une fesse, tu entends ?
- Ah bon ? Mais…
Je l´écarte légèrement pour jauger à nouveau son fessier. Je le ramène vers moi et percute contre mon
entrejambe. Je sens mon membre durcir encore plus.
- Regarde ce que tu transportes partout.
Je l´éloigne de la bassine tout en restant près du mur. Ma main caresse son sein droit. Ma main gauche
posée sur sa hanche ressent de faibles mouvements de balance vers moi.
- Tu es mariée ?
- Non, mais…
- Tu sais comment ça a le gout de sénvoyer en láir lorsquón en a envie ? Une femme qui a le corps
aussi beau que le tien doit en profiter. Je vais te faire goûter le bon plantain. Tu vas aimer.
- Mais…
- Garde les mots pour le moment où le plaisir va taper derrière ta tête.
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: *🥏LE MARI DE CHABELIA🥏*
••••••••••••••••••••••
Je baisse le string jusqu´à la moitié des cuisses. Je dois écarter les fesses alors quélle se baisse
davantage pour bien voir ce que je cherche. Les grandes lèvres sont bien charnues. La fente que je vois
luit déjà comme une route quón a déjà arrosé par grande chaleur afin quón puisse circuler sur elle sans
problème. Jénfonce la main entre les fesses et je caresse la pointe qui pointe au sommet de son sexe.
Bella sursaute. Une femme sensible. Jáime…
Avec deux doigts, je caresse allégrement son intimité. Les doigts appuient les deux lèvres et descendent
vers la fente. J´écarte ensuite les lèvres et je vais à la quête des petites lèvres. Je les titille avant de
revenir vers lárrière et enfoncer les doigts dans la fente. Bella s´écrie et se penche vers lávant. Elle
serre un peu les cuisses et pointe davantage les fesses vers moi. Mon sexe durcit davantage. Mes doigts
bougent en elle. Le bruit qui nait de ce mouvement est tellement sexy à mes oreilles quíl me motive à
aller plus loin. Je me redresse. Mes doigts sortent et mon membre les remplace. Je la pénètre
doucement. Léntrée déjà légèrement ouverte, je míntroduis en prince en elle. Les mains bloquées sur
ses hanches, sur la pointe des pieds, je ménfonce en elle. Elle se serre autour de moi. Je sens quélle
veut prendre du plaisir. Elle veut jouir et je vais la gâter.
Jáppuie les fessiers et je bouge en elle. Elle gémit tout bas, bougeant parfois la tête. Ses hanches
commencent à accompagner mes mouvements et nos sexes se rencontrent avec joie. Je veux aller au
plus profond délle. Je veux la marquer de cette belle queue quélle serre en elle.
*À suivre...*
*🔖Chapitre 15📚*
Bella, la douce et travailleuse amie de ma femme se retourne vers moi en souriant.
- Tu es vraiment une coquine, toi. Si ma femme découvre que tu te balades dans sa maison sans un slip
sous son kaba, que lui diras-tu ?
Elle pouffe de rire en secouant son derrière.
- Elle m'a bien dit de me charger de nourrir les gens de la maison en son absence. Il n'est donc pas
question que je laisse son mari affamé. Si tu n'as envie de rien, tu couvres le plat.
- Je ne suis pas fou pour faire une telle chose. Je compte bien me servir et manger à ma faim.
C'est ainsi que j'attrape ses deux cuisses et je la tire vers moi. Le tissu du kaba est lancé vers sa tête. Elle
le rattrape de justesse avant qu'il ne recouvre son visage. J'écarte bien ses jambes de telle sorte que sa
foufoune se retrouve devant ma bouche. Je me mets à la dévorer. Je la suce prenant soin de bien jouer
avec le petit bout de plaisir qui est tendu vers moi. Je le suce avec appétit en le roulant contre ma
langue.
Mes mains glissent le long de son ventre. Elles vont attraper ses seins qu'elles caressent longuement. Ma
langue va fouiner au fond de cette fente. Je reconnais encore mon goût. Je suis passé là plus tôt et
c'était divinement bon ; si bon que l'envie monte encore en moi. Je me redresse et je baisse mon
pantalon. Je prends ma queue et je lénfonce dans cette fente qui est déjà humide de plaisir. Je rentre
jusqu'à la garde. La jeune femme se tend vers lávant et essaie de me repousser. Mais nous sommes
scellés. Je peux ainsi désormais m'amuser en elle.
*À suivre...*
_*🔖Chapitre 1⃣6⃣*_
Je vais et je viens dans cette chatte avec beaucoup de plaisir. Elle est vraiment très bonne et très
chaude. Les mains posées sur le sol, Bella plie légèrement les genoux, ce qui me pousse à en faire de
même pour être à son niveau. Je n'hésite pourtant pas à la défoncer avec énergie. Elle tremble de plaisir
et me supplie tout bas. Je me donne à cœur joie. Nos hanches se croisent le plus possible. Je sens le
plaisir qui m'envahit, mais je me retiens d'exploser. C'est un bruit hors de la maison qui me fait sursauter
et tendre l'oreille. On dirait une voiture qui gare. Je me retire prestement de Bella et je la repousse en
baissant son kaba.
- Fais attention ! Ma femme est déjà là, dis-je en rangeant mon pantalon.
Elle recule rapidement et baisse son vêtement. Elle a à peine le temps de toucher la bouteille d'eau que
la porte d'entrée s'ouvre. Chabelia est de retour.
- Bonsoir à vous, nous dit-elle.
- Bonsoir, ma chérie.
Je me lève et je marche vers elle.
- Tu as l'air très fatiguée.
Elle soupire et secoue la tête.
- Mon chéri, tu ne saurais imaginer combien de kilomètres j'ai marché aujourd'hui juste pour être sûre
que je fasse le maximum et je puisse me libérer tôt du travail demain. Bonsoir, Bella, dit-elle en
regardant enfin son amie. Tout s'est bien passé ? Les enfants ne t'ont pas dérangé, j'espère ?
Elle sourit dún air gauche, que jéspère ma femme ne voit pas, et elle pose la bouteille d'eau qu'elle
tenait sur la table.
- Non, tout s'est bien passé. Les gens de ta maison sont gentils et ils mónt aidé autant que possible.
- Je ne te le dirai jamais assez. Ma copine, il faudrait que tu te maries.
*À suivre...*
Je marche vers elle et je lémbrasse, les mains serrées contre ses épaules.
- Ma chérie, tu reviens assez tôt. Tout va bien ?
- Oui. Mais jái un souci financier. Jái mal calculé mes dépenses pour demain.
- Ce nést pas grave. Ça va aller. Je sais que tu sauras gérer.
Elle va déposer son sac dans le salon et va à la cuisine. Je marche après elle, un peu en retrait. Elle
rejoint son amie dans la cour et elles discutent. Alors que Chabelia interpelle Bella et cette dernière va
porter un régime de plantains, lui tournant le dos, je constate, surement en même temps que ma
femme, que son collant est mouillé au niveau de ses fesses.
- Bella, as-tu pissé sur toi ? demande Chabelia.

Cette dernière pose les mains sur ses fesses et rit tout bas.
- Le banc était un peu mouillé lorsque je me suis assise, répond-elle. Jái bagarré avec le poisson. Jái
tout de même terminé.
- Cést bien. Je peux te donner dáutres vêtements si tu veux.
- Un kaba mírait.
- Bien. Viens chercher. Je dois sortir.
Je repars rapidement vers le salon. Les femmes discutent gaiement en allant vers notre chambre à
coucher. Chabelia revient au salon quelques minutes plus tard. Elle sén va. Je vais regarder la télé. Cést
Bella qui sert à manger aux enfants. Elle me sert aussi dans le salon. Je láppelle lorsque je finis. Elle
vient en souriant. Alors quélle se place devant moi pour récupérer le plateau posé sur la table, játtrape
son kaba et je le soulève. Mince, tout est dehors là-dessous.
*À suivre...*
Je savoure ce moment de plaisir inédit. Je n'ai pourtant pas le temps de parvenir à la jouissance que
Chabelia sort à nouveau de la chambre.
Bella s'éloigne et elle va la retrouver. Je mínstalle au salon et je passe tout le temps à visionner. Cést
d'ailleurs là que je m'endors. Cést Chabelia qui vient me réveiller. L'horloge murale indique 2h du matin.
- Il est déjà si tard, je lui demande.
Elle me sourit.
- Bien sûr, mon amour. Il faudrait aller se coucher.
- D'accord, dis-je en m´étirant. Laisse-moi quelques minutes et je te rejoins. Ton amie est déjà allée se
coucher ?
- Elle dormira au salon comme je t'ai dit. C'est la raison pour laquelle tu dois libérer le canapé, mon
chéri.
- D'accord, j'ai compris. Je vais le faire.

- Il faudrait d'ailleurs que je lui trouve des draps propres.
- Je vais le faire. Tu as assez travaillé pour aujourd´hui. Va te reposer.
Elle me remercie et s'en va dans la chambre. Je regarde distraitement la télé, un peu sonné par la fatigue
et mon réveil brusque. Bella vient dans le salon quelques minutes plus tard. Elle a un nouveau kaba de
mon épouse. Il semblerait qu'elle sorte de la douche. Elle sent le savon parfumé. Elle me fait un clin
d'œil et soulève son kaba pour me montrer son sexe dénudé. Je lui fais signe d'approcher et je l'installe
sur un fauteuil. J'écarte bien ses cuisses. Je me penche pour lécher son sexe un moment. Je balade ma
langue entre les grosses lèvres de ce fruit múr. Elle gémit et écarte les cuisses pour me laisser la dévorer.
Je la lèche, je suce la petite pointe. Elle gémit, la main posée sur sa bouche. Elle mouille de plus en plus.
À cause de cela, mon membre devient dur. Je peux ainsi le prendre dans ma main, le caresser quelques
secondes, avant de le mettre à l'entrée de ce trou que j'aperçois entre ses cuisses ouverte en V.
*À suivre...*
Chabelia vient de passer une main derrière mon dos. Elle me sert contre elle.
- Bella, c'est une grâce de Dieu lorsque tu as un bon époux, un homme qui t'accompagne dans toutes les
choses que tu fais, un homme qui te comprend, qui te respecte. C'est une grâce de Dieu, ma chérie.
Lorsque tu rencontreras celui-là qui est fait pour toi, tu auras aussi la chance de vivre une telle
expérience. Je te le souhaite vivement. Je souhaite que tu profites au max de cet homme lorsque tu le
rencontreras.
- Je le souhaite aussi, répond Bella. Mais en attendant, je me contente de ce que la vie m'a donné et je
vis à fond chaque instant que je peux vivre.
- Je te comprends. En tout cas, fais avec ce que tu as.
- C'est ce que je fais, dit-elle avec un petit sourire.
- Ok. Où en es-tu avec les préparatifs ?

Sur ces mots, elles me laissent au salon et s'en vont dans la cuisine. Lorsque Chabelia sort de la cuisine
en parlant et en marchant vers la chambre pour aller se changer, Bella me rejoint à nouveau au salon.
Elle me fait un clin d'œil et me présente à nouveau son fessier rond et nu. Il ne me faut pas dix secondes
pour me branler, avoir de nouveau láir bien tendu et me fourrer dans sa fente. Cette fois, elle serre les
pieds. Elle colle son dos à mon ventre. Je me sens bien serrer, au chaud en elle.
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: _*🪀LE MARI DE CHABELIA🪀*_
J'imagine bien ses formes en dessous. Sans prévenir, elle retire le vêtement. Je me rends compte quélle
se tient nue comme un ver devant moi. Ses mains attrapent ses seins quélle soupèse avec sensualité.
Elle se penche la tête, faisant mine de lécher ces derniers. Je la regarde faire. Je suis ébahi devant ce film
érotique qui prend place devant moi. Elle prend une jambe qu'elle pose sur le manche du fauteuil à côté
délle.
Je vois bien aux gouttes d'eau qui perlent sur son sexe quélle vient à peine de le laver. Cést elle qui
veut déjà y mettre à nouveau le feu.
Elle prend un doigt quélle enfonce dans sa fente et le fait ressortir à plusieurs reprises. Je la vois qui
prend ses doigts et les suce. Impuissant, je suis juste condamné à bander. Je suis là à regarder cette
femme se donner du plaisir. Le même doigt est utilisé pour me demander d'approcher ; ce que je fais
comme un automate. Elle se courbe devant moi, baisse mon pantalon et attrape mon sexe qu'elle se
met à sucer avec appétit. Je vois ce membre déjà tendu disparaître dans cette bouche chaude. Elle le
suce avec un appétit qu'elle ne cache pas.
Elle se délecte littéralement de ma personne. Je suis juste là à bander lorsque je la vois faire. Elle me
suce longuement au point où mon sexe devient à nouveau très dur. Je me penche et je caresse ses seins.
Je la pousse en arrière, puis je la redresse afin de móccuper de sa poitrine. Je me penche sur le côté
pour pouvoir bien lécher. Je suce le téton droit, puis je me rends vers le gauche. Je lèche avant de les
sucer comme des bonbons.
_*À demain chers membres de ♏©️L...*_
*Passez une excellente nuit 🥰Surtout ne faîtes pas des cauchemars après avoir lu ces nouveaux
chapitres😁🙈*
Ciao Ciao 😘😘
[29/04 à 05:53] +237 56954125: _*LE MARI DE CHABELIA🪀*_
Je l'enfonce à moitié avant de le faire sortir. Je joue à ce jeu quelques secondes pour la stimuler, la
titiller. Elle ne tarde pas à réagir en haussant son bassin vers moi afin de me prendre le plus possible en
elle. Je ne peux plus m´éloigner, en appui sur une main posée sur le dossier de la chaise et l'autre à côté
de sa tête. Je me penche sur elle pour bien coller mes hanches. Je vais et je viens avec hargne. Le
fauteuil couine tout doucement sous le poids de nos gestes.
Je suis bien heureux de pouvoir me baisser et m'amuser dans cette fente qui mést servie et offerte sur
un plateau d'argent. Je m'amuse quelques minutes. Le plaisir est divin. Il me fait trembler de partout et
nén devient que plus intense. Le désir atteint son paroxysme. Lorsque je jouis, je m'écarte d'elle.
En souriant, elle se redresse. Elle va vers les toilettes pour se nettoyer alors que je rejoins la chambre.
Ma femme est déjà couchée. Je sens qu'elle a terminé sa prière du soir et cherche désormais à dormir.
- C'est toi, Arnold ?
- Oui, c'est moi. J'ai failli oublier de prendre le drap que tu as demandé que j'apporte à ton amie.
Elle m'indique où sont les draps propres et j'en prends deux pour Bella. Je retrouve cette dernière au
salon. Je lui donne les draps. Elle les prend et va les poser sur le canapé. Je la vois qui vient vers moi. Je
suis restée plantée là à la regarder malgré moi, alors quélle me lance un regard perçant.
*À suivre...*
_*Chapitre 21📚*_
Je lèche l'espace entre les seins avant de recommencer à lécher les seins à nouveau.
Lorsque ma main se perd entre ses cuisses, je constate que son sexe est déjà bien mouillé ; encore plus
que tout à l'heure. Comme elle plus tôt, j'enfonce un doigt dans sa fente. Il ressort tout mouillé et
couvert dúne crème blanche.
- Mais dis donc ! je commente tout bas.
Elle secoue la tête.
- Tu me fais beaucoup d'effet. J'ai tellement envie de te sentir là-dedans que je ne peux pas me
maîtriser.
Je la retourne de dos et je la pousse à se plier vers le canapé. Elle écarte légèrement les jambes, juste
assez pour me laisser un espace entre elles. Je prends mon membre tendu et je le pose à l'entrée de
cette fente. Je le frotte de telle sorte quíl émet un crissement comme celui des pneus. Je frotte jusqu'à
ce que je sente mon sexe se mouiller, puisqu'il se glisse de lui-même sans aucun effort dans sa chatte. Je
le fais rentrer comme plus tôt, d'abord à moitié avec des coups légers, puis je vais de plus en plus
profond. Mes mains sont bien bloquées sur ses hanches afin de m'assurer qu'elle ne bougera pas. Je la
veux soumise à mon désir. Je la veux complètement offerte à mes attentes.
Je me démène en elle en allant avec mes hanches, d'abord vers la gauche, puis vers la droite, puis vers
le milieu. Je me balade littéralement dans cette fente qui semble être un paysage paradisiaque offert à
ma portée.
*À suivre...*
[29/04 à 05:53] +237 56954125: *_🪀LE MARI DE CHABELIA🪀_*
_*Chapitre 23📚*_
- Je suis fatiguée, murmure-t-elle.

- Je peux imaginer que tu dois l'être. Mais il faudrait que tu te lèves et que tu ailles au travail. Tu as aussi
ta réunion qui t'attend aujourd'hui.
- Je sais, mais Dieu merci Bella est là. Elle va beaucoup m'aider. Dáilleurs, pourrais-tu me donner un peu
d'argent pour que je la dépanne ?
- Il n'y a pas de souci. Je verrai ce que j'ai et je te donnerai tout à l'heure.
- Merci, mon amour, murmure-t-elle en caressant ma poitrine.
Je frémis en sentant ses mains qui se baladent sur moi. Je commence à caresser ses seins et
instantanément elle se met sur le dos et elle écarte les jambes. Je me redresse et je fais rouler son slip
que je balance sur le sol. Sans protocole, je fais mon chemin entre ses jambes. Mon sexe se poser sur le
sien. Je fais d'abord mine d'embrasser son cou, de caresser sa poitrine, son ventre sans pour autant
rentrer. Elle commence à bouger, à gesticuler.
Je sais ce qu'elle veut, mais je veux bien la torturer. Je prends le membre dans ma main et je le frotte à
la fente de sa femme. Je peux sentir les petits poils à cet endroit. Elle aime bien garder une petite touffe.
Je trouve cela sexy. Cela m'excite lorsque je passe les doigts à cette partie de son corps sur cette partie
de son corps. Ma femme est particulière.
Je laisse le soin aux autres dehors de s'épiler, mais elle, je la veux naturelle. Ça m'excite, ça me fait
penser à des actes bestiaux avec elle et pourtant très douce de nature.
*À suivre...*
_*Chapitre 22📚*_
Je caresse ses seins. Je pose des baisers sur son dos. Ils sont aussi légers que des papillons. Je la sens
frémir. Tellement elle jouit que sa mouille dégouline le long de sa cuisse et vient d'ailleurs à me mouiller.
J'aime lorsqu'une femme prend aussi son pied. Celle-ci est juste tellement bonne à baiser. Alors
pourquoi me retenir de la défoncer encore de longues minutes avant de me retirer et de la pousser vers
le sol. Elle s'allonge, le dos bien à plat, les cuisses bien ouvertes. Très gourmand, je fonce avec ma
bouche pour goûter un peu de ce miel qui dégouline de ces cuisses. Je la lèche un peu et je pince la
pointe que je suce longuement.
Elle jouit dans ma bouche avant que je ne me relève et que je l'enfonce à nouveau. Je tape bien au fond
d'elle jusqu'à ce qu'elle jouisse encore, et moi aussi. Je me retire et je m'en vais dans les toilettes où je
prends une douche bien glacée pour calmer mes ardeurs.
Je vais me coucher très heureux de cet après-midi de plaisir qui s'est prolongé.
Aux premières heures de la journée, je sens une main qui se pose sur moi. J'ai du mal à me réveiller
parce que j'ai beaucoup travaillé la veille, mais je ne suis jamais fermé lorsque ma femme a besoin de
moi.
- Bonjour, ma chérie.
Elle vient dans mes bras et se colle contre moi. En sous-vêtement, soutien-gorge et slip, elle est toute
chaude dans mes bras. Comme d'habitude au lit, je suis nu, libre de vivre toute aventure.
*À suivre...*
_*Chapitre 24📚*_
C’est elle qui prend les choses en main et attrape mon membre.
Elle lénfonce tout doucement dans son sexe. Je ne la laisse pas tout faire, bien décidé à regagner de la
main dans la partie. Je lénfonce jusqu'à la garde. Je máccroche fermement sur le matelas. Je me mets à
cogner en soupirant et en faisant des bruits.
- Pardon, mon amour, doucement. Doucement. Oui, c'est bon. Oui, c'est bon, n'arrête pas, continue.
- Je n'ai pas l'intention de m'arrêter. Je suis chez moi.

Je me démène dans cette chatte qui n'est malheureusement pas très mouillée, mais qui est assez
chaude pour me donner du plaisir. Je la sens qui jouit et sáffaiblit. Je sais déjà que son esprit n'est plus
dans la partie. C'est à mon tour de jouer. Je pose les mains sur ses hanches que je soulève, un peu à
genoux sur le lit. Je me visse à elle. Je commence un mouvement circulaire des hanches avant d'exercer
un mouvement vers lávant. Je répète les gestes plusieurs fois jusqu'à ce que la jouissance me traverse
et me laisse pantois.
Seulement alors, je m'écarte et je m'affale sur le lit. J'ai sommeil.
Heureusement que je ne dois sortir aujourd'hui qu'aux alentours de 11h. Je n'entends pas de ce fait ma
femme quitter la chambre.
J'ouvre les yeux assez tard. Je fouille mon téléphone qui me fait savoir qu'il est déjà bientôt 10h. D'un
geste rapide, je me lève et, en courant, je fonce vers les toilettes. Je suis surpris de rentrer dans un corps
alors que je suis à deux pas de ces dernières. Je n'ai pas vu Bella venir, tellement j´étais perdu dans mes
pensées.
•••••••••••••••••••••••••
*À demain les ami(e)s*
``Ùn conseil, avant de lire l'histoire du mari de Chabelia, ayez toujours une bouteille de boisson fraîche
à côté, on ne sait jamais.🙈 Cela pourra bien vous aider à calmer, je ne sais pas trop, la chaleur d'Avril,
lorsqu'il voudra vous terroriser. Je dis ça je ne dis rien.
Merci🌚```
- Bonjour, Mon beau. Comment vas-tu ce matin ? me demande-t-elle en souriant en coin.
- Ça va, dis-je en la détaillant du regard.
Elle a porté une robe très courte, si courte que jái presque l'impression que sa foufoune se verrait si je
me baisse un peu. Ce que je fais d'ailleurs. Je l'entends qui rit. Elle écarte les cuisses, formant un triangle
parfait avec le sol. La robe remonte davantage. Je vois ainsi les lèvres de son sexe qui me narguent. Je
lève juste les yeux pour la regarder et je la vois se lécher les lèvres. Cela est comme un signal dans mon
esprit. Je lance ma serviette sur mon épaule gauche et je me mets à genoux. J'embrasse ce sexe. Je joue
à l´homme affamé et je m'abreuve à cette source bien chaude. Je la suce longuement. La main sur ma
tête, elle se délecte de ce léchage que jéxerce.
Je me rappelle qu´à ce rythme, je serai en retard pour mon travail. Je me relève finalement. Elle est la
première à me bloquer. Elle me refuse ainsi l'accès à la douche.
- Je dois aller au travail !
- Pas sans que tu ne me l'aies mise dedans, dit-elle en pointant sa chatte. Je ne peux pas passer une
bonne journée si tu ne m'as pas défoncée comme il se doit.
Elle se frotte à moi en minaudant. Je peux ainsi sentir son corps chaud qui máppelle.
- Tu m'as déjà donné le goût, murmure-t-elle, alors vas-y.
- D'accord.
Je colle son dos contre le mur du couloir et je la fais légèrement décaler vers moi. J'attrape sa jambe
droite que je soulève. Je me fais un passage en elle. Je lénfonce bien profond ; si profond que cela lui
coupe un peu le souffle.
*À suivre...*
Là c'est bon. Je soulève aussi la seconde jambe. Elle se retrouve en déséquilibre et est obligée de poser
les mains sur mes épaules.
Je commence à approfondir ma pénétration en roulant des hanches. Bella gémit et elle finit par se
reposer sur moi. Elle serre ses mains autour de mon cou. Je la colle contre le mur. Je m'en fous que ce
dernier soit si rude qu'il pourrait la blesser. Elle a une robe pour la protéger et je n'ai que mon sexe tout
dur qui se doit de travailler en elle. Je pense au plaisir que j'ai eu ce matin et à celui que je vis en ce
moment. Je pense au fait que nous pourrions être surpris, ce qui rend notre échange encore plus
excitant et je ne tarde pas à jouir.
Je repose les jambes molles de Bella sur le sol. Je m'en vais vers la douche. Il est temps de me préparer
pour le bureau.
- Mon beau chéri, appelle-t-elle.
- Arrête, s'il te plaît ! Je n'ai pas que ça à faire ! je la coupe.
Je fonce sous la douche. La vie m'appelle. Hors de question de mettre ma vie et mon couple en danger.
Mon épouse dábord.
_*FIN*_

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