A)L'équation de Schrödinger
1) Hamiltonien
l’hamiltonien parait l’interaction biélectronique qui
comme une somme de Z traduit un couplage des
termes monoélectronique,
l i mouvements des électrons.
(1 2 Z)
(1,2….Z)
Il n’y pas de forme analytique rigoureuse de à cause du couplage
des mouvements des électrons.
électrons
(1,2….Z)= 1 23… Z
b) Spin de l’électron:
1922 Stern et Gerlach
µ . . .
l projection
la j ti Sz S de
d S estt représentée
é té par un opérateur
é t de
d spin
i
1
tel que l’action sur l’état de l’électron donne ou
2
1
.
2
L’électron possède donc deux états et tels que :
ett
Comme 2
les fonctions et sont des fonctions propres de 2
2 ħ2 1 et 2 ħ2 1
1 2 3 2 2 3 2
Avec s= soient
2
ħ et ħ
4 4
1
Représentation de l’électron par ↑ quand (état
2
1
i ) et par ↓ quand
d spin
de d (é de
(état i ).
d spin )
2
http://ww w.dailym
w dailym otion.com
otion com /vid eo/xt144g
eo/xt144g_petit-m
petit m an ege-le-spin-des-
ege le spin des
electrons_te ch.
c) Spinorbitale.
i(r,s)=
( ) i ou i
B) Déterminant de Slater
en mécanique quantique
quantique, deux particules identiques tels que deux
électrons en mouvement sont indiscernables càd il n’y pas de raison
affecter à la particule i une position ou un spin bien déterminés.
dd’affecter
Exp : 2He
E H lles deux
d él
électrons sont représentés
é é respectivement
i par 1
et
∅1 1 ∅2 2 et ∅1 2 ∅2 1
1,2 1 ∅1 1 ∅2 2 2 ∅1 2 ∅2 1
L’indiscernabilité des deux électrons impose 1 2 et la
normalisation impose
1
1
√2
Finalement
1
1,2 ∅1 1 ∅2 2 ∅1 2 ∅2 1
√2
1 ∅1 1 ∅2 1
1,2
√2 ∅1 2 ∅2 2
∅1 1 ∅2 1 ⋯ ∅ 1
1 ∅1 2 ∅2 2 … ∅ 2
1,2,
12 …,
√ ! ⋮ ⋱ ⋮
∅1 ∅2 … ∅
0 1 2 3 ⋯
1,2,3, … , 1 2 3 …
est ll’OA
OA associée à l’électron
l électron i,
i se sont des OA s, s p ou
d…d’un hydrogénoïde multipliée par la partie spin a ou .
0 1,2,3, … , 0 1,2,3, … ,
0 1 2 3… 1 2 3 ⋯ 1 2 3 …
La propriété d’hérmiticité de l’hamiltonien permet :
1 2 3 ⋯ 1 2 3 … = 1 1 2 3 …
1 2 2 3 … ⋯ 1 2 3 … 1
1 1 2 3 … 1 2 2 3 … 1 2 3 … 1
1 2 ⋯ 1 2 3 …
Ainsi 0 1 2 ⋯
L’une influence réciproque entre électrons est négligée alors que les
mouvements en dépendent (répulsion selon les positions mutuelles).
mutuelles)
Les calcules ne reproduisent pas les mesures expérimentales exp:
22
0 2 1 2 13,6 2 54
1
Alors que l’énergie exacte est de 39,44eV
Ai i l’hamiltonien
Ainsi l’h il i d de l’él
l’électron 1 devient
d i :
∗
ћ2 ∗ 2
1 1
2 4 0 1
Z 2 et Z
Z=2 2 1/2 avec 1/2 est la constante avec laquelle ll’électron
Z*=2- électron
2 effectue l’effet d’écran sur l’électron 1 vis-à-vis du noyau.
4 Application
Pour ll'orbitale
orbitale 2s
g de ppremière ionisation vaut donc EI1=11.6eV alors qque la
L'énergie
valeur expérimentale vaut 11.26eV.
5) Avantages et Limites du Modèle
Le modèle reproduit bien ll’énergie
énergie dd’ionisation
ionisation. L
L'ordre
ordre de grandeur est
ici aussi respecté. C'est une qualité majeure du modèle.
Actuellement, en chimie théorique, les développements se font sur des
bases des fonction de Slater
L'énergie des orbitales perd tout sens physique dans le modèle
de Slater.
Un défaut majeur du modèle réside dans le fait que les orbitales ns et np
ont même énergie. Il donne, par conséquent, la même énergie aux états
excités dits "de valence"