Apprendre à programmer avec le logiciel LabVIEW.
Partie I : Structure d’un VI :
On lance le programme LabVIEW, on choisit un nouveau VI.
On remarque l’aperçu de ces deux fenêtres ci-dessous
Ce sont deux fenêtres séparées mais associées.
Dans la première interface : On ouvert le menu Commande par un clic droit sur la souris .
Ce menu de commande contient par exemple : Des interrupteurs, variateurs, boites de message, graphes,
Comme la figure suivante le montre.
Dans la deuxième interface : On ouvert le menu Fonctions. par un clic droit sur la souris
Ce menu Fonctions contient par exemple : constantes, Terminaux d’affichage, des connecteurs, fonctions, structures, Comme la figure suivante le montre :
II. Ecriture d’un VI : Calcul d’une expression numérique :
On se propose de déterminer la fréquence F0 de résonance d’un circuit LC et d’afficher sur la face avant le résultat du calcul suivant :
A l’aide de l’icône commande numérique et de de l’icône fonctions numériques, on obtient la figure ci- dessous
Fig1 : commande numérique et de de l’icône fonctions numériques
Méthode de travail :
Dans la fenêtre diagramme cliquer bouton droit de la souris :
La fenêtre fonction apparaît. Positionnez la souris sur l’icône numérique. Le panel des fonctions disponibles apparaît
Le test de VI nous donne :
Fig2 : Le test de VI
Un peu de philosophie Les diagrammes du langage G ont donc une signification différente de celle des schémas électroniques. Dans un diagramme LabVIEW, la donnée ne transite dans le fil qu'au moment où elle est générée par son icône source. L'icône cible ne commencera son exécution que lorsque toutes ses données d'entrée seront disponibles. Ce modèle d'ordonnancement par flots de données détermine l'ordre d'exécution des traitements du programme. Une conséquence importante de cette règle est que les traitements qui n'échangent pas de données sont libres de s'exécuter en parallèle. Cette propriété du langage G facilite le développement d'applications multiprocessus. La conception des programmes en langage G conserve une approche essentiellement procédurale. Mariée à l'exécution par flots de données, cette approche procure de bons résultats dans le domaine de l'instrumentation. Elle est aussi la plus intuitive pour des ingénieurs ou des chercheurs souvent plus familiers des protocoles expérimentaux que des concepts informatiques
Partie II : Réalisation d’une interface graphique :
1. Sur la face avant, à l’aide des sous-menus du menu Commande on réalise le montage suivant :
Fig3 : la face avant
2. sur la fenêtre diagramme à l’aide des sous-menus du menu Fonctions on obtient le diagramme suivant :
Le bloc diagramme fait les relations et les opérationsari thmétiques et comparaison entre les entrées /sorties (les commandes /les indicateurs)
Fig4 : relations et les opérationsari thmétiques
3. Teste de VI :
3.1 : Température :
3.1.1 : Cas supérieur à zéro :
Fig5 : la variation de température
Dans cette figure on remarque que la variation de température entre des valeurs supérieures à zéro permet d’allumer la LED correspondante à cette variation.
3.1.2: Cas inferieur à zéro :
Dans cette figure on remarque que la variation de température entre des valeurs inferieures à zéro permet d’allumer la LED correspondante à cette variation.
3.2 : Le nom de gaz :
Dans cette figure on remarque que :
Lorsqu’on remplit la case de nom de gaz par un gaz déjà connu par le programme permet d’allumer la LED correspondante à ce gaz.
Conclusion :
La programmation en Labview nous dons la chance pour crier une interface graphique professionnelle par les iconesde la face avent .est un logiciel de développement d’applications de la société américaine nationale
Instruments basé sur un langage de programmation graphique appelé langage G
