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Morne Rouge, Haïti. L'école Cowman a été créée dans les années 1960 et est née du besoin
de fournir un enseignement en anglais basé sur les normes américaines dans une
perspective chrétienne afin de développer des élèves forts, disciplinés et pieux, tant pour les
D’après les recherches et les notes du professeur, en l’occurrence Dr. Dupré, le leadership
spirituel s'appuie sur le leadership fondé sur les valeurs et par le maintien d'une culture de
confiance mais il s'en éloigne par ses contraintes normatives. Cette perspective suppose que les
gens n'ont qu'un seul esprit, qui se manifeste tant dans leur vie professionnelle que dans leur vie
Le leadership spirituel développe des sensibilités éthiques supérieures. Il considère les questions
d'autres qualités intemporelles. Plus que d'autres théories du leadership, elle met l'accent sur
De toute évidence, le leadership spirituel intègre les composantes de la vie au travail et de la vie
conscience de soi de telle manière que les leaders voient les autres comme des personnes entières
avec une variété d'émotions, de compétences, de connaissances et de talents qui vont au-delà des
limites étroites des besoins d'emplois. Le leadership spirituel est essentiellement le liant entre
notre monde intérieur de la réflexion morale avec notre monde externe du travail et des relations
sociales.
La passion est tout. Dans le monde de l’entreprise, l’un des challenges reconnu majoritairement
au plus haut sommet des organisations, est de rester connecté à ses passions et à la vision idéale
d’un futur pour réussir. La passion est en effet le fondement de l’état d’esprit d’un leader
conscient. Elle est le secret pour surmonter les échecs, se construire face aux résistances, aller au
devant de ceux qui ne croient pas et remettent en question la vision des dirigeants.
Selon Robert Dilts (2020).Le leadership se définit comme la capacité d’un individu à
exprimer une vision, influencer les autres pour parvenir à des résultats, encourager la
coopération et être un exemple. Pour cela, le leader conscient doit diriger depuis un état de
présence centré, en accédant à de multiples intelligences et en vivant selon ses valeurs les plus
hautes au service d’une cause qu’il sert bien au delà de lui-même :Ainsi, tout part de notre
passion et de notre être intérieur. Les grands leaders œuvrent en lien avec cela et s’en inspirent.
Sans passion et sans motivation, nous ne disposons pas d’énergie et ne sommes pas capables de
ce qui bon pour soi. Cela implique la nécessité absolue d’activer en conscience cette connexion
et se poser les questions suivantes car on ne peut pas s'attendre à ce que cela vienne à soi
naturellement :
Ainsi, de notre passion naîtra la capacité à créer un futur clair et attirant. Cette vision
permettra de se projeter dans un monde qui sera plus grand que soi. Viennent de nouvelles
à notre environnement ?
La vision, la mission et les valeurs sont les principales bases qui orientent les actions d’une
organisation. Ce sont elles qui définissent les attitudes fondamentales à avoir pour relever les
challenges et réussir. Faire ensemble et avec passion sont les clés du succès. Et j’en suis
intimement convaincue, ce sont les gens passionnés qui peuvent changer le monde.
caractère peu visible de son exercice dans le secteur public, les pouvoirs officiels plutôt limités
qu’on peut y exercer ainsi que le faible nombre de chercheurs qui se sont intéressés au sujet
comptent parmi les raisons qui expliqueraient cette lacune. Ce peu d’intérêt pour le thème du
leadership dans le secteur public n’étonne guère ceux qui considèrent que sa pratique, auprès
des administrateurs et agents de l’État, n’a tout simplement pas sa place. Après tout, les
gouvernements, seuls légitimés pour agir au titre de leaders? À l’appui de cette proposition, la «
théorie du principal et de l’agent » indique que le rôle des gouvernements, à titre de principal,
est d’assurer la prise de décisions stratégiques concernant les grandes politiques de l’État alors
que celui des agents doit se limiter à en assurer la mise en œuvre conforme3. Dans cette
optique, certains pourraient même avancer qu’un leadership« fort » assumé par des agents
publics constituerait une forme d’usurpation de celui que seuls les responsables politiques
peuvent légitimement exercer. Un jugement moins catégorique reconnaîtrait au mieux que les
légitimité du leadership des élus responsables de la conduite de l’État. À notre avis, ces points
de vue, qui ne sont pas sans mérite, n’en sont pas moins des visions simplificatrices du
régimes démocratiques.
Quelques composantes Principales compétences Principales compétences
l’organisation, influence,
Contrôle de soi
caractère visionnaire,
catalyseur de changement
Motivation qui inspire Désir de réalisation Empathie, développement
établissement de liens
(building bonds)
Stimulation intellectuelle Initiative Empathie, développement
changement
Attention particulière aux Capacité d’adaptation Empathie, développement
respect et confiance. Sur le plan personnel, il fait preuve d’une grande confiance dans ses
capacités ainsi que d’une grande maîtrise de soi. À l’égard des autres, il sait être empathique et
les influencer, notamment en faisant partager une vision et en agissant comme moteur des
changements au sein d’un groupe ou d’une organisation dont il a appris à décoder les
particularités. Une seconde composante fait de sa motivation personnelle une source
qu’il propose et prenant des initiatives en ce sens, il s’intéresse au développement des autres, a
le souci de bien communiquer, de gérer les conflits et de créer de véritables liens avec les
les idées reçues et à proposer de nouvelles solutions pour résoudre des situations
problématiques qui perdurent. Enfin, un leader transformationnel fait preuve d’une attention
véritable à l’endroit des autres en prenant en compte les capacités ainsi que les besoins et les
Le développement personnel apporte donc des réponses à ceux qui se cherchent et qui
Les outils du développement personnel sont très variés. Il faut donc rester centré sur les
principes et les finalités et ne pas confondre les moyens et les méthodes avec le but.
« Quant aux méthodes, il peut y en avoir un million et même plus, mais les
principes sont peu nombreux. L’homme qui comprend les principes peut choisir
ses propres méthodes avec succès. L’homme qui essaie les méthodes en
ignorant les principes est sûr de rencontrer des difficultés. » Ralph Waldo
Emerson.
Le Schéma du développement personnel du leader
On ne transforme pas les échecs, les difficultés, en épreuves positives d’un coup de
baguette magique. Cela prend du temps, parfois beaucoup de temps, toute la vie je
dirais…
Il faut être capable de prendre des décisions, de se fixer des objectifs, car c’est l’atteinte
des objectifs qui va nourrir votre estime et votre motivation et c’est le non atteinte qui
Celui qui sait naviguer peut aller à contrevent, à contre-courant pour atteindre sa
Les tempêtes de la vie sont notamment les grandes émotions que nous allons vivre, les
sans blesser l’autre, de dire les choses d’une manière empathique, avec toujours la
En résumé
et d’outils dont l’usage doit être guidé par notre conscience et la vision que nous avons
de notre futur.
Il ne s’agit pas juste d’avoir une vision et des objectifs, mais des objectifs en accord avec
nos principes et notre conscience. Car si nous ne suivons pas nos principes directeurs, à
comme nous le suggère Stephen Covey dans son best-seller, Les 7 habitudes de ceux
COMPREHENSION DU LEADERSHIP
ce qui devrait vous permettre de découvrir qui vous êtes, le monde autour de vous et
les personnes que vous rencontrez. Un autre aspect de ce parcours consiste à vous
fixer un but par rapport à votre vie et à votre leadership. Pour le découvrir, il vous faut
rester ouvert à toutes les opportunités d’apprendre, considérer les défis comme des
portes sur les apprentissages et voir la vie comme une opportunité d’expérimenter, de
réfléchir, d’apprendre et d’agir. Le leadership est généralement un des sujets dont il est
Etre un leader réfléchi, c’est avoir une conscience par rapport aux personnes que vous
Un leader efficace…
• Talent – capacités et intérêt personnels pour diriger, qui peuvent être développés.
• Conscience de ses propres attitudes et des réactions des autres par rapport à ces
attitudes
• Attention et empathie pour les personnes et les tâches que vous dirigez
Un leadership directif permet de contrôler et gérer efficacement les tâches, mais il envoie des
signaux latents aux collaborateurs qui reçoivent l’injonction de ne plus prendre de décision. Le
répétitives. Il façonne (malgré lui) une équipe conciliante dont il étouffe la capacité d’initiative et
la créativité. Ironie suprême, savez vous à quoi reconnait-on très rapidement ce profil de
manager ? Il suffit de l’entendre se plaindre des membres de son équipe qui « ne font rien par
eux-mêmes », le « sollicitant en permanence pour tout et n’importe quoi », … Bref, tout ce qu’il
La centrifugeuse à talent
Sur le moyen ou long terme, ce style de leadership appauvrit les ressources de l’équipe. Un
management très vertical peut convenir aux collaborateurs les moins qualifiés (ou ceux qui ont
besoin d’être rassurés par un leader tout-puissant), mais les plus talentueux et autonomes vont
s’enfuir à la première opportunité. C’est peut-être le plus gros problème, car les effets
apparaissent « à bas bruits » sur des mois ou années (un « temps long » en entreprise de nos
jours). Le leader directif, centré sur les taches et les projets à court terme, n’a pas la hauteur de
vue pour faire émerger et grandir les talents dans son équipe.
Face à un management directif, on retrouve plusieurs réactions selon les profils. Certains vont
donc quitter (le manager) l’entreprise pour s’épanouir ailleurs, d’autres vont avoir « recours à
l’agir » et impulser des mouvements immatures et agressifs dans l’équipe. Mais un autre
symptôme peut toucher certains membres chez qui ont peut observer une baisse de l’estime de
soi
collaborateurs. Mais la vie réelle est jonchée de situations qui n’offrent pas ce luxe. Si
l’entreprise fait face à un problème majeur et potentiellement létal, on se passe volontiers de faire
« monter en compétence » un jeune salarié talentueux, en lui confiant les rênes. Une telle
situation invite le manager à monter au front, « sabre au clair » , pour se focaliser à court terme
Le profil de l’équipe est une variable majeure pour ajuster son style de leadership. Le rôle du
manager est aussi de protéger son équipe pour éviter d’exposer les collaborateurs « juniors » en
les mettant en responsabilité trop tôt. Selon le timing, une opportunité de développement peut se
transformer en stress pour un jeune professionnel, et faire des dégâts importants sur sa
motivation et sa confiance, en cas d’échec notamment. Le management directif est donc une
étape indispensable pour garantir la maturation des profils inexpérimentés. Le danger, pour le
manager, est d’y trouver des bénéfices – opérationnels ou narcissiques – et de s’enfermer dans ce
Le style Directif est généralement efficace avec une équipe formée récemment, ou une équipe
qui fait face à des situations nouvelles. Il sera tout particulièrement utile dans les situations où le
manager est face à plusieurs décisions qu’il a déjà vécues précédemment. Si le manager est la
personne la plus qualifiée, l’absence d’un leadership directif peut même être perçue comme un
manque d’attention et d’autorité. Cela pourrait se traduire par des tâches non complétées de
manières optimales. Les collaborateurs pourraient avoir l’impression d’être dans une dynamique
Voici 5 étapes d’action que l’étudiant s’engage à prendre dans les mois à venir pour sa propre
croissance en tant que leader et devrait aller au-delà des suggestions de maxwell.
d’entrée. La seule influence que possède un leader de position est celle qui vient
avec le titre de son emploi. Les gens le suivent uniquement parce qu’ils le
doivent. Le leadership positionnel est basé sur les droits que donnent cette
position et son titre. Il n’y a rien de mal dans le fait d’occuper une position de
leadership. Mais il n’est pas correct du tout d’utiliser une position afin d’obliger
les gens à nous suivre. Une position est un piètre substitut de l’influence. Les
bénévoles, avec des jeunes, avec ceux qui ont une éducation supérieure.
Pourquoi ? Parce que les leaders positionnels n’ont pas d’influence et que ces
position est le seul niveau qui ne requiert ni habileté ni effort pour être atteint.
Les leaders informels exercent une influence dans le groupe sans disposer de pouvoirs de
contraintes ou de sanctions, ce qui confirme que ces pouvoirs ne sont pas exclusifs à l'autorité
formelle. Ainsi un chef statutaire, dirigeant, ou manager peut ou non être un leader.
« Vous pouvez aimer des personnes sans forcément être en position de leader, mais
vous ne pouvez pas bien les diriger si vous ne les aimez pas ».
Le niveau 2 est entièrement basé sur les relations. Au niveau permission, les
gens suivent parce qu’ils le veulent. Lorsque vous aimez les gens et que vous
devient beaucoup plus positif, que ce soit à la maison, au travail, dans les loisirs
de préserver leur position. Il consiste plutôt à connaître les gens qu’ils dirigent et
à comprendre comment bien s’entendre avec eux. Les leaders découvrent qui
sont ces gens. Ceux qui les suivent découvrent qui sont leurs leaders. Les gens
diriger si vous ne les aimez pas. C’est en cela que consiste le niveau 2.
L’un des dangers guettant le leader qui atteint le niveau de la permission est la
tentation d’y rester. Mais les bons leaders ne se contentent pas de créer un
environnement de travail agréable. Ils font en sorte que les choses se fassent !
C’est pourquoi ils doivent progresser, celui-ci étant axé sur les résultats. Au
commencent à les suivre pour ce qu’ils ont fait pour l’organisation. Beaucoup de
niveau 3. Le travail est fait, le moral s’améliore, les profits augmentent, le taux de
ancien joueur de football américain, Joe Namath, a dit : « Lorsque vous gagnez,
rien ne fait mal ».Au niveau 3, les leaders peuvent devenir des agents de
situations épineuses. Ils peuvent prendre des décisions difficiles qui feront une
les suivent et favoriser leur développement jusqu’à ce qu’ils deviennent eux-mêmes des
ceux-ci les suivent à cause de ce que leurs leaders ont fait pour eux personnellement,
Certains organismes rédigent des descriptions de tâches très précises pour leurs administrateurs
tandis que d’autres ne font que discuter de façon informelle de ce que l’on attend d’eux.
remplir. Ces responsabilités s’appliquent même si l’organisme emploie des personnes pour
1. Les administrateurs doivent gérer les affaires de l’organisme avec soin et précaution. Cela veut
dire qu’ils doivent demeurer attentifs, assister aux réunions, embaucher des personnes
compétentes, s’efforcer à exercer un bon jugement et prendre des mesures raisonnables pour
expertise dans un domaine particulier. Dans ce dernier cas, ils doivent s’assurer que l’organisme
bénéficie autant que possible de leur expertise. Si les administrateurs sont confrontés à des
situations qui dépassent leurs connaissances, ils doivent chercher de l’aide externe auprès
d’experts.
2. Les administrateurs doivent mettre leurs intérêts personnels de côté lorsqu’ils prennent des
décisions. Par exemple, les administrateurs ne peuvent utiliser leur position afin de procurer un
emploi aux membres de leur famille ou afin d’obtenir une occasion d’affaires avec une
compagnie dont ils sont propriétaires. C’est ce que l’on appelle la règle des « conflits
d’intérêts ».
3. Les administrateurs doivent s’assurer que l’organisme respecte toutes les lois applicables aux
activités qu’il exerce. Les organismes de bienfaisance enregistrés doivent toujours respecter les
lois fiscales, mais certaines autres lois peuvent s’appliquer selon la nature de l’organisme. Ainsi
peuvent s’appliquer les lois reliées à l’emploi, à la santé et à la sécurité, à l’environnement, etc.
« L'administrateur doit agir avec prudence et diligence. Il doit aussi agir avec honnêteté et
L’objectif décrit précisément ce qui doit avoir changé chez qui, et en quoi cela doit avoir
changé.
Au lieu de formuler un objectif comme celui de perdre du poids ou d’être plus en santé,
Mesurable