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industriel.
I. Tout d'abord, c'est quoi un transformateur ?
ü Un transformateur électrique est un composant, qui permet de fournir une tension ou
une intensité. La fourniture provient de ce que l'on appelle : secondaire.
ü Le niveau des grandeurs électriques générées, est adapté à une situation précise. Un
transformateur est prévu pour fournir une puissance nominale donnée.
Conséquences de non-respect :
Conséquences de non-respect :
1
Les isolants présents dans le transformateur doivent supporter une tension de claquage, au
moins égale à la somme des tensions maximum les plus fortes rencontrées, entre primaires et
secondaires.
Conséquence de non-respect :
Conséquence de non-respect :
Le circuit magnétique constituant le transformateur, ne doit pas saturer, si une sur tension,
égale ou supérieure à la plage des tensions accordées par EDF, se présente. (± 10 %)
Conséquence de non-respect :
Les vibrations mécaniques doivent être contenus dans le cadre d'une utilisation normale.
Conséquence de non-respect :
2
En cas de court-circuit accidentel, le serrage des pièces amovibles doit être respectueux des
normes en vigueur.
Conséquence de non-respect :
En amont et / ou en aval.
3
Recherche des caractéristiques d’un transformateur
industriel.
Principe des mesures de la tension secondaire et du
rendement en fonction de la charge accouplée.
I. Remarques primordiales :
U2 = f ( I2, j2 )
h = f ( I2, j2 )
Court-circuit !!!!
Pour éviter les craintes légitimes de destructions, il convient de travailler à très
faible tension.
Connaître le principe
L’avantage majeur de la méthode est qu’elle permet d’éviter d’avoir une charge
monstrueuse pour simuler la consommation réelle de gros transformateurs. Qui parfois
peut dépasser les milliers d’Ampères.
4
II. Comment tester ?
En tout premier lieu, les mesures classiques hors ou sous tension, sont préconisées :
A. Mesures d’isolement :
v Entre phase du primaire.
v Entre phase du primaire et le châssis.
v Entre phase du secondaire.
v Entre phase du secondaire et le châssis.
v Entre phase du primaire et du secondaire.
Les tests d’isolement et de rigidité diélectrique peuvent être réalisé en même temps, si
l’on pratique avec un testeur d’isolement générant des surtensions calibrées.
La mesure précise de résistance peut être effectuée, mais il faut signaler que celle-ci
sera généralement plus faible, que celle, présente, lors de l’usage normal du
transformateur.
Lorsque le transformateur travaille, il chauffe, donc les résistances des fils, aussi faibles
soit-elle, vont chauffer et légèrement augmenter !
5
Pour terminer, les mesures sous tension en utilisant l’hypothèse de
Kapp..
A. Mesure des pertes dans le fer et du rapport de transformation.
v Elles s’effectuent à tension primaire nominale, à vide de charge secondaire. Elles
interviendront dans le calcul du rendement.
Remarques :
Les calculs d’estimations peuvent éventuellement être réalisée par un aide informatique.
Des mesures de niveau sonore, peuvent être relevées en même temps.
6
Il conviendra dans ce cas de se rapporter aux consignes de serrage, prévues en cas de court-circuit
accidentel.
Chacun des constructeurs fournissent des documentations précisant la force de serrage exigée, des
fixations, en fonction des puissances mises en cause.
7
Comment mesurer les continuités.
Remarques :
Ø La prise des mesures se fait hors tension.
Ø Le relevé des mesures permet de voir, pour une même catégorie d’enroulements,
s’il n’y a pas de disparités de valeurs. (Et donc de qualités)
Ø Les valeurs mesurées doivent être faibles.
Ø L’importance des valeurs permet de déterminer, si l’on se trouve sur
l’enroulement de faible ou de haute tension.
Ø Le relevé peut servir à la détermination de la résistance « ramenée au
secondaire », Rs. Dans ce cas, la mesure doit être des plus précises.
Grâce à un ohmmètre.
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8
Comment mesurer les continuités.
Mesures de continuité des enroulements pour un transformateur
triphasé :
v Entre les arrivées et sorties, des phases du primaire.
v Entre les arrivées et sorties, des phases du secondaires.
Remarque :
Ø La prise des mesures se fait hors tension.
Ø Le relevé des mesures permet de voir, pour une même catégorie d’enroulements,
s’il n’y a pas de disparités de valeurs. (Et donc de qualités)
Ø Les valeurs mesurées doivent être faibles.
Ø L’importance des valeurs permet de déterminer, si l’on se trouve sur
l’enroulement de faible ou de haute tension.
Ø Le relevé peut servir à la détermination de la résistance « ramenée au
secondaire », Rs. Dans ce cas, la mesure doit être des plus précises.
Grâce à un ohmmètre.
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9
Comment mesurer les isolements.
10
Comment mesurer les isolements. Transformateur monophasé,
suite.
Primaire
Résistance
Phase du minimum Résistance
Possibilité Bornes Constat
Primaire attendue : obtenue
K . V =……W
P1 - P2 Non
P1 - P3 Non
P2 - P3 Non
Secondaire
Résistance
Phase du
minimum Résistance
secondaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
P1 - P2 Non
P1 - P3 Non
P2 - P3 Non
Primaire - Châssis
Résistance
Phase du
minimum Résistance
primaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
AM
P1 - M Oui BM
Secondaire - Châssis
Résistance
Phase du
minimum Résistance
Secondaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
CM
P1 - M Oui DM
Primaire - Secondaire
Phase du
Résistance
Primaire et
minimum Résistance
du Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
Secondaire
K . V =……W
AC
P1 - M Oui BC
AD
BD
Retour
11
Comment mesurer les isolements.
12
Comment mesurer les isolements, pour un transformateur triphasé,
suite.
Primaire
Résistance
Phase du
minimum Résistance
primaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
AC
P1 - P2 Oui AD
BC
BD
AE
P1 - P3 Oui AF
BE
BF
CE
P2 - P3 Oui CF
DE
DF
Secondaire
Résistance
Phase du minimum Résistance
Possibilité Bornes Constat
secondaire attendue : obtenue
K . V =……W
GI
P1 - P2 Oui GJ
HI
HJ
GK
P1 - P3 Oui GL
HK
HL
IK
P2 - P3 Oui IL
JK
JL
13
Comment mesurer les isolements, pour un transformateur triphasé,
suite et fin.
Primaire - Châssis
Résistance
Phase du
minimum Résistance
primaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
P1 - M Oui AM
BM
P2 - M Oui CM
DM
P3 - M Oui EM
FM
Secondaire - Châssis
Résistance
Phase du
minimum Résistance
Secondaire Possibilité Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
P1 - M Oui GM
HM
P2 - M Oui IM
JM
P3 - M Oui KM
LM
Primaire - Secondaire
Résistance
Phase du Phase du
minimum Résistance
primaire Secondaire Bornes Constat
attendue : obtenue
K . V =……W
P1 AG
P1 P2 AI
P3 AK
P1 CG
P2 P2 CI
P3 CK
P1 EG
P2 P2 EI
P3 EK
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14
Comment mesurer le rapport de transformation et les pertes à vides.
Remarque :
Ø La mesure du rapport de transformation peut s’effectuer avec n’importe quelle tension,
imposée au primaire. De préférence, effectuer la mesure à valeur nominale. Si la tension
nominale du secondaire est trop forte, pour se mesurer avec les mesureurs présents dans
le laboratoire de mesure, faire la mesure à tension primaire réduite.
Retour
15
Comment mesurer le rapport de transformation et les pertes à vides.
Ø Le couplage étoile ou secondaire doit pouvoir être effectué, avant l’arrivée sur la plaque à
bornes.
Retour
16
Comment mesurer les pertes par effet joules.
Remarques :
17
Comment mesurer les pertes par effet joules, pour un transformateur
monophasé.
I. Séquence de travail.
P1 cc
Mesures
P1cc
Rs = » constante
(I2cc )²
Ou Calcul
P
Rs = = m x 1cc
(I1cc )²
U U
Zs = m x 1 = m² x 1cc
I2cc I1cc
Calcul
Ø Réaliser le court-circuit.
Ø Vérifier que l’alternostat est en position de fourniture nulle (Zéro !!!!)
Ø Mettre sous tension et piloter la source primaire de manière à obtenir l’intensité secondaire (ou
primaire) désirée.
Ø Relever P1cc, qui correspond aux pertes Joules en fonction de I2cc (ou I1cc)
Ø Mettre hors tension.
Retour
18
Comment mesurer les pertes par effet joules, pour un transformateur
triphasé.
19
Comment mesurer les pertes par effet joules, pour un transformateur
triphasé, suite et fin.
S
Ø Avant de câbler, calculer les intensités à partir de I nominale =
U2 nominale
Ø Récupérer les valeurs dans un tableau, qui devra être rempli au fur et à mesure.
S 110
Triphasé 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90%
U2 nominale %
I2CC ou I1
Mesures
(Phase 1)
I2CC ou I1
Mesures
(Phase 2)
I2CC ou I1
Mesures
(Phase 3)
P1 cc Mesures
P1cc 1
Rs = x » constante
(I2cc )² 3
Ou Calcul
P 1
Rs = m x 1cc x
(I1cc )² 3
U1 U
Zs = m x = m² x 1cc Calcul
I2cc I1cc
Ø Réaliser le court-circuit.
Ø Vérifier que l’alternostat est en position de fourniture nulle (Zéro !!!!)
Ø Mettre sous tension et piloter la source primaire de manière à obtenir l’intensité secondaire (ou
primaire) désirée. Par exemple pour la phase 1.
Ø Relever P1cc, qui correspond aux pertes Joules en fonction de I2cc (ou I1cc)
Ø Mettre hors tension.
Ø Déplacer le mesureur d’intensité sur une autre phase et recommencer, en faisant coïncider les
mesures de puissances. Cela permettra de vérifier les intensités.
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20
Comment calculer, U2 = f ( I2, j2 )
1. U2 en charge = U2vide - D U
Le calcul de Rs.
Attention, pour le triphasé.
Veinard !
Si vous voulez des conseils et retourner.
Si vous voulez voir le fichier excel (A la condition que Excel soit ouvert)
21
Comment calculer, h = f (I2, j2)
2. h = f ( I2, j2 )
Grâce aux relevés de mesure et aux calculs précédents !
En monophasé :
En triphasé :
U2.I2 . 3 .cos(j2)
h= x 100 %
[ U2.I2 . 3 . cos(j2) + Puissance mesurée à vide + Pertes joules en court-circuit]
Veinard !
Si vous voulez voir le fichier excel (A la condition que Excel soit ouvert)
22
Hypothèse de KAPP.
Le transformateur réel est un ensemble complexe qui comporte deux impédances associées à
un transformateur parfait. Chaque impédance Z1 et Z2 sont respectivement constitués d’un
résistor en série avec une inductance.
· Les résistors (R1 et R2), constituent la résistance des fils du primaire et du secondaire. Ce
composant n’est pas dissocié matériellement de celui qui suit.
· Les inductances L1 et L2, sont réalisées par les bobines des enroulements. Ce composant
n’est pas dissocié matériellement de celui qui précède.
23
B. Transformateur monophasé, équivalent de Kapp.
Le transformateur est assimilé par KAPP, comme un transformateur parfait, fournissant d’une force
électromotrice alternative, dont le secondaire est associée avec une impédance placée en série.
La résistance RF qui symbolise les pertes dans le fer est présente, mais pour les calculs
de la tension secondaire n’intervient pas.
Par contre sa présence sous-entendue, est prise en compte dans les calculs de
rendement.
24
II. Comment se servir des Hypothèses de Kapp.
U2 vide I1cc
Si l’élément transformateur est parfait, on rappelle que : m = = = constante.
U1 I2cc
De ce fait peut importe, ce que l’on mettra, en série avec le secondaire du transformateur.
Dans ce cas la puissance consommée, sera intégralement celle qui sera perdue dans le
résistor équivalent RF.
Par la même, dans la mesure ou, le transformateur est considéré parfait, il sera possible
U2 vide
de calculer le rapport de transformation m =
U1
Avec n’importe quelles tensions au primaire.
25
Il est aussi possible de mettre, le secondaire en court-
circuit.
La stratégie sera :
Remarque :
Comme, il faut travailler en court-circuit, il faut imposer très peu de tension au primaire.
(Quelques volts.)
Et comme, il y a très peu de tension, les pertes dans le fer sont négligeables.
26
Dans ce cas :
ü U2cc = m U1cc
U2cc U
ü L’impédance Zs = (Rs + Ls w j) = = m . 1cc
I2cc I2cc
C’est l’étape a)
27
ü Pour le calcul de Rs, il y a deux façons :
La puissance perdue dans le fer sera négligeable, puisque U1cc est faible.
Nous aurons :
La deuxième, à mon avis, moins bonne, car les résistances ne sont pas mesurées
à chaud :
28
ü Pour s’imposer des intensités et un déphasage, rien de plus simple.
Pour l’intensité :
Pour le déphasage :
j = + 90°
j = + 45°
j= 0°
j = - 45°
j = - 90°
C’est l’étape c
29
ü Pour calculer la chute de tension, en fonction de l’intensité de charge et du
déphasage.
30
Méthode vectorielle simple (graphique).
v On trace les deux vecteurs. (La perpendiculaire, correspond à Ls.w, qui est inconnue)
v On trace deux droites parallèles sensées représenter mU1 et U2. Les droites présentent le
déphasage j2.
¾¾® ¾¾® ¾¾®
v U2 = mU1 - Zs.I2
v Compte tenu de la petitesse de Rs. I2 et Zs. I2 , par rapport à mU1, On constate que le
déphasage de U2 @ celui de mU1.
v DU devrait être mesurée grâce à un compas, mais compte tenu de l’échelle, il est
possible de connaître le résultat en effectuant une projection orthogonale sur le vecteur
de mU1.
v U2 = mU1 - DU
31
Méthode par calcul sur les projections.
Il convient donc de connaître cet angle afin de calculer D U, par méthode trigonométrique.
Rs
L’angle intermédiaireq, se calcule par la fonction inverse du cosinus. q = arc cos ( )
Zs
On ne peut passer par la tangente, car dans ce cas, il faudrait connaître (et calculer) le
coté opposé, qui correspond à Ls.w.
On rappelle que celui-ci, varie à chaque valeur de I2 et de ce fait, devrait être calculé à
chaque fois !
Rs
D U = Zs .I2 .cos [arc cos ( ) - j2 ]
Zs
Une précision de taille : si j2 est négatif, l’on se trouve avec des charges capacitives, il se
pourra que D U devienne négative !
C'est-à-dire que la tension au secondaire sera supérieure en charge qu’elle ne l’était à vide.
C’est un phénomène normal de résonance, qui se produit pour quelques valeurs d’intensités
avec un déphasage au voisinage de – 90 °
32
ü Pour calculer le rendement, en fonction de l’intensité de charge et du déphasage.
o La puissance perdue par effet joules, pour les différentes intensités secondaires
choisies.
En monophasé :
U2.I2 .cos(j2)
h= x 100%
[ U2.I2 .cos(j2) + Pertes fer + Pertes Joules mesurées en court-circuit.]
U2.I2.cos(j2)
h= x100
[U2.I2.cos(j2) + Puissance mesurée à vide + Pertes Joules mesurées en court-circuit]
%
U2.I2.cos(j2)
h= x 100 %
[U2.I2.cos(j2) + Puissance mesurée à vide + Rs.(I2)²]
U2.I2.cos(j2)
h= x 100 %
[U2.I2.cos(j2) + Puissance mesurée à vide +(R1.m² + R2).(I2)²]
En triphasé :
Il faudra prendre les valeurs recalculées des tensions entre phase, selon le couplage.
33
Il faudra connaître la valeur des intensités en ligne.
Attention…
Dans les cas les plus fréquents.
En étoile,
U2 = V2 3 = ( m.V1 – Δ V ). 3 V sur un enroulement secondaire
Avec m =
V sur un enroulement primaire
En triangle :
U2 = V2 = ( m.V1 – Δ V )
En zigzag :
En étoile,
U2 = V2 3 = ( m.V1 – Δ V ). 3 V sur un enroulement secondaire
Avec m =
V sur un enroulement primaire
En triangle :
U2 = V2 = ( m.V1 – Δ V )
Par la suite, si l’on connaît la tension disponible entre phase pour chaque intensité, avec un
déphasage donnée.
U2.I2 . 3 .cos(j2)
h= x 100 %
[ U2.I2 . 3 . cos(j2) + Puissance mesurée à vide + Pertes joules en court-circuit]
34
Quelques règles à rappeler.
Tout transformateur a été conçu en fonction de principes électriques et électromagnétiques,
dont les formules caractéristiques sont données ci-dessous :
1. Flux magnétique.
Le flux magnétique f (en Webers), est égal au produit scalaire de l’induction B,
par la normale à la surface (en m²), traversée par cette induction. Dans le cas
d’une surface perpendiculaire :
f=B.S
2. Loi de LENZ :
dF
E = N.
dt
Cela signifie :
Toute variation de flux magnétique par rapport au temps, imposé à une bobine,
avec des spires, induit la création d'une force électromotrice.
Cette force électromotrice est aussi variable dans le temps.
Inversement si l'on impose une variation de tension dans le temps, à une bobine
comportant des spires, cela va produire une variation de flux magnétique dans la
bobine.
Un deuxième aspect de la loi de LENZ nous dit, que tous les courants induits vont
créer des effets électromagnétiques, qui vont s'opposer à la cause qui leur a
donné naissance.
35
3. Puissance perdue dans le fer.
P = k . f . B²
Où :
f=B.S
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4. Puissances en alternatif.
v La puissance apparente.
Il existe une relation entre les trois puissances, c'est le principe de
BOUCHEROT. (Applicable aussi en triphasé)
S= S P² +SQ²
v La puissance apparente.
S= U .I . 3 = P² +Q²
Par contre, si par malheur le circuit n'est pas équilibré, il faudra travailler
phase par phase et appliqué le principe général de Boucherot.
37
ü Intensité en monophasé.
S P
I= Ou, I =
U (U .cos(j )
ü Intensité en triphasé.
v En ligne :
P
I = S/U. Ou, I =
(U . 3 cos(j )
v Dans une branche, D.
J = I/ 3 Ce qui donne :
P
J = S/3.U. ou J =
(U .3.cos(j )
v Dans une branche, U.
P
J = S/U. ou J =
(U .cos(j )
Si l’on veut quand même calculer, une possibilité existe pour le triphasé !
Par la suite, que l’on soit en étoile ou en triangle la puissance perdue se calculera
en effectuant l’opération :
3
P= x R mesurée entre 2 phases x I ²
2
38
Conclusion
Il se produisait la même chute de tension aux bornes de son impédance interne en court-
circuit, comme en utilisation normale.
Par contre, les pertes par effet Joules étaient les mêmes en court-circuit qu’en
utilisation nominale.
Il était possible de d’estimer la variation des tensions de sortie d’un transformateur et son
rendement en fonction des intensités débitées.
39