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MEMOIRE DE MASTER
Thème
A
Tous mes amis.
A tous mes enseignants qui ont fait leurs possibles pour me
donner le maximum d’information concernant mes études.
A tous mes collègues de l'université surtout promotion de
l’informatique 2016 2017
A toutes les personnes qui nous ont aidés de prés ou de loin
pour la réalisation de ce mémoire.
Hadjadj Azzedine .
Sommaire
Sommaire
Liste des Tableaux………………………………………………………...………………
Liste des Figures………………………………………………………….…………….…
Liste des acronymes ………………………………………………………………………
Introduction générale…..............................................................................................1
5
Sommaire
II.2.3.1 Problèmes de coupure d'appel…………………………..……..15
II.2.3.2. Les problèmes d'échec de handover…………………………16
II.2.3.3. Les problèmes d'échec d'établissement d'appel…......16
II.2.4. Les mesures de performance ……………………………………………………………………………16
II.2.4.1. Structure des mesures de performance ……………………………..16
II.2.4.2 Les paramètres de mesure ………………………………………...............17
II.2.4.2.1 Les mesures d'accessibilité au réseau ……………………..17
II.2.4.2.2 Les mesures de niveau de champ (RxLev) ………….….18
II.2.4.2.3 Mesure de qualité de communication (RxQual) …..…19
II3 Présentation d'outils…………………………………………………………………..………………………..…20
II3.1 Les mesures Drive Test ……………………………………….………………..…20
II.3.1.1 Les éléments de la chaine de mesure…………………..……21
II4. Les analyseurs de protocoles et optimisation ……………………………….……….………………22
II.4.1. Les analyseurs de protocoles……………….…………………………………...………………………..22
II.4.2. Optimisation……………………….……………………….……….………………...23
II4 Conclusion…………………………………………………….…………………..….23
Chapitre III : ………………………………………………..…..………………..….24
III.1 Introduction…………………………………………………………………...……24
III.2 Applications……………………………………………………….…………..……24
III.3 Présentation de PSO………………..……………...………………………..…….. 25
III.3.1 Définition sur optimisation par essaims de particule…..….….. 26
III.3.2 Principe de l’algorithme………………….…………….....……26
III. 3.3 Les paramètres………………….…………….……..…..…….30
III.3.3.1 La dimension de problème………………………...…………30
III.3.3.2 Nombre de particules …………………………...…………...30
III.3.3.3 Coefficients de confiance……………………..…………......30
III.3.3.4 La vitesse maximale…………………………..………...……30
III.3.3.5 L’inertie……………………………………...……….………31
III.3.3.6 Notation du voisinage………………….…..…………….......31
III.3.3.7 Le critère d’arrêt…………………….……..…………............32
III.3.8 Traitement ……………………………………………………...32
III.4Conclusion…………………………………………………………………………....33
Chapitre IV Conception………………………………………………….………..34
IV.1 Introduction………………………………………………………………………….34
IV.2 La modélisation fonctionnelle…………………………………………………….….35
IV.2 .1 Diagramme DE Cas d’utilisation……………………………....36
IV.3 La modélisation statique……………………………………………………………..37
IV.3.1 Diagramme de classe…………………………………………....37
IV.4 La modélisation dynamique………………………………………………………….38
IV.4.1 Diagramme de séquence ………………………………………..38
6
Sommaire
V.3.2 Environnement de développement d’outille……………………………….….…...44
V.4 Présentation de l'application développée………………………….…………….….……46
V.5 résultat et Discussion…………………………………………….……………………….60
V.6 Conclusion ………………………………………………………………….…………....61
Conclusion générale
Annexe …………………………………………………………………………..……….62
Références
7
LISTE DES TABLEAUX
8
LISTE DES FIGURES
LISTE DES FIGURES
1
LISTE DES ACRONYMS
1
Introduction Générale
Introduction Générale
Le d veloppe e t fulgu a t u’a o u le do ai e de la t l o u i atio
sa s fil ’a ess de p e d e de l’a pleu et te i u e place importante dans tous les
domaines de la société moderne actuelle. L'industrie des communications mobiles a
connu un essor prodigieux au cours de cette dernière décennie. Elle est développée,
au-delà de toutes les attentes. Ainsi, actuellement, des millions d'abonnés profitent
des services offerts par les réseaux cellulaires.
L'année 1992 était l'année de la commercialisation des premiers systèmes
GSM (Global System For Mobile communication). Cette norme est en concurrence
avec d'autres normes de radiotéléphonie numérique.Le GSM ne permet que les
communications radios.Malgré des débuts difficiles, Le GSM est la première norme
de téléphonie cellulaire qui soit pleinement numérique. C'est la référence mondiale
pour les systèmes de radiocommunication mobile. Elle offre à ses abonnés des
services qui permettent la communication de stations mobiles de bout en bout à
travers le réseau.
La plupart utilise les réseaux GSM (Global System for Mobile Communications) et
’est le domaine considéré de notre projet. Concevoir et maintenir un réseau
cellulaire est indubitablement le défi le plus ambitieux de toute la téléphonie mobile.
La maîtrise de ces fonctions reste la clé essentielle à tout opérateur pour pouvoir
assurer une qualité de service acceptable à ses abonnés. Pour cela les opérateurs ont
généralement recours à plusieurs opérations de mesure qui leur permettront,
ultérieurement, d'analyser l'état du réseau, découvrir ses défaillances et proposer des
solutions alternatives aux divers problèmes recensés. Dans la phase d’analyse de la
performance du réseau et de la détection des anomalies, il y a une comparaison entre
les indicateurs obtenus et les paramètres seuils (fixés par l’opérateur) qui présentent
les seuils d’une qualité de service acceptable répondre au mieux aux besoins en
termes de (fréquence, puissance, modulation, bande passante, positionnement
géographique, besoins des utilisateurs, etc.).
1
Introduction Générale
C’est dans ce cadre que se déroule notre projet s’intitulant «Optimisation de la
Qualité de Service (QoS) dans un réseau GSM en utilisant l’algorithme d’optimisation
par essaims de particules (PSO)».
Pour optimiser un réseau GSM, il y a plusieurs méthodes, comme les modèles de
prédi tio a hi e a ve teu suppo t, les seau de eu o es et l’opti isatio
des modèles existants (optimisation par essaim de particules PSO, les algorithmes
génétiques AG. De nombreuses études furent menées dans ce domaine, on peut
citer notamment les travaux de Michel Gourgand et Sylverin Kemmoé Tchomté [1].
Notre apport dans ce mémoire vise en premier lieu de faire un état de l’art sur le
réseau GSM et ses différents concepts et principes à présenter un bon service aux
abonnés. Deuxièmes, on a entamé l’implémentation d’un outil de supervision et
d’optimisation du réseau pour augmenter la qualité du service. On a proposé
l’utilisation du méta heuristique l’algorithme de l’optimisation par essaim de
particules (PSO : Particle Swarm Optimization) pour développer cet outil. On
envisage d’adapter cette solution à l’environnement GSM dans le but de répondre au
mieux aux besoins en termes de (fréquence, puissance, modulation, bande passante,
positionnement géographique, besoins des utilisateurs, etc…).
Il a été établi que les différents algorithmes évolutionnaires (notamment
l’algo ith e d’opti isatio pa essai de pa ti ules o t u e plus g a de
adaptabilité/maniabilité aux nouvelles situations nées de ses besoins, ceci compte
tenu de leur rapidité à balayer un large espace de configurations possibles, et à
t ouve u e des solutio s pe fo a tes, ’est-à-dire le la canal le plus adapté et le
meilleur parmi ceux rencontrés ou parcourus.
1
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.1 Introduction
13
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2 Architecture d’un Réseau GSM
14
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
L’architecture d’un système GSM se décompose en trois sous systèmes:
Le sous-système radio (BSS)
Il gère la partie radio des communications et se compose d’émetteurs-récepteurs
radio(BTS)contrôlés par une BSC.
Le sous-système réseau (NSS)
Il gère le traitement des appels, la mobilité et l’acheminement de/vers les réseaux
filaires. Il se compose de commutateurs radio (MCS) et d’un certain nombre de bases
de données HLR et VLR.
Le sous-système exploitation
Il contrôle les droits d’accès au réseau, les droits des usagers et assure l’interface
homme-machine d’exploitation. Il gère aussi le maintien en conditions opérationnelles
du réseau et la remontée des alarmes.
I.2.1.1 Le mobile
La Mobile Station (MS) est composée du Mobile Equipment (le terminal GSM) et du
Subscriber Identity Module (SIM), une petite carte douée de mémoire et de microprocesseur, qui
sert à identifier l'abonné indépendamment du terminal employé; il est donc possible de continuer
à recevoir et à émettre des appels et d'utiliser tous ces services simplement grâce à l'insertion de
la carte SIM dans un terminal quelconque.[2]
Elle permet le dialogue avec le mobile sur l'interface Air (aussi appelée interface Radio ou
interface Um). Ses principales fonctions sont :
Contrôle de la couche physique (couche 1 de l'interface radio) : transmission de la parole
et des données, transmission discontinue, ordres de contrôle de puissance et de
handover...
Mesures des interférences sur les canaux non alloués à des communications
(idlechannels).
Mesures sur la liaison montante (uplink), servant à l'algorithme de décision du handover.
Calcul du Timing Advance (avance de temps) pour la synchronisation temporelle, selon
la distance qui sépare la BTS du mobile.
Détection des demandes d'accès des mobiles reçus sur le canal de contrôle
commun(RACH).
Détection des messages de handoveraccess.[3]
15
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2.1.3 Le contrôleur de station de base (BSC)
Un BSC gère un ou plusieurs BTS et n’est relié qu’à un seul MSC. Pour le trafic abonné
venant des BTS, le BSC joue le rôle de concentrateur.
Pour le trafic venant du commutateur, il joue le rôle d’aiguilleur vers la BTS dont dépend le
destinataire.
Un BSC utilise les mesures radio des BTS pour gérer la signalisation des "Handover" entre
les cellules dont il a la responsabilité. [4]
Le sous-système réseau, appelé Network Switching Center (NSS), joue un rôle essentiel
dans un réseau mobile. Alors que le sous-réseau radio gère l'accès radio, les éléments du NSS
prennent en charge toutes les fonctions de contrôle et d'analyse d'informations contenues dans
des bases de données nécessaires à l'établissement de connexions utilisant une ou plusieurs des
fonctions suivantes : chiffrement, authentification ou roaming.
Le NSS est constitué de :
Le centre de commutation mobile est relié au sous-système radio via l'interface A. Son rôle
principal est d'assurer la commutation entre les abonnés du réseau mobile et ceux du réseau
commuté public (RTC) ou de son équivalent numérique, le réseau RNIS (ISDN en anglais). D'un
point de vue fonctionnel, il est semblable à un commutateur de réseau ISDN, mis à part quelques
modifications nécessaires pour un réseau mobile.
De plus, il participe à la fourniture des différents services aux abonnés tels que la
téléphonie, les services supplémentaires et les services de messagerie. Il permet encore de mettre
à jour les différentes bases de données (HLR et VLR) qui donnent toutes les informations
concernant les abonnés et leur localisation dans le réseau.
Les commutateurs MSC d'un opérateur sont reliés entre eux pour la commutation interne
des informations. Des MSC servant de passerelle (Gateway Mobile Switching Center, GMSC)
sont placées en périphérie du réseau d'un opérateur de manière à assurer une interopérabilité
entre réseaux d'opérateurs. [5]
16
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2.2.2 L'enregistreur de localisation nominale (HLR)
C'est la base de données qui gère les abonnés d'un PLMN donné. Elle contient toutes les
informations relatives à l'abonnement et aux droits d'accès. D'autre part, le HLR est une base de
données de localisation. Il mémorise pour chaque abonné le VLR où il est enregistré.
Les données dynamiques sont mises à jour par le MSC. Cette base de données est souvent
unique pour un réseau GSM et seules quelques personnes y ont accès directement.[6]
Le VLR (Visitor Location Register) est une base de données qui mémorise lesinformations
aux abonnés présents dans la zone géographique du MSC ou la zone de localisation (LA).
Les données mémorisées par le VLR sont similaires aux données du HLR, mais
concernant seulement les abonnés mobiles présents dans la zone considérée, le VLR a une
information de localisation plus précisé que le HLR.[7]
Malgré les mécanismes introduits pour sécuriser l'accès au réseau et le contenu des
communications, le téléphone mobile doit potentiellement pouvoir accueillir n'importe quelle
carte SIM de n'importe quel réseau. Il est donc imaginable qu'un terminal puisse être utilisé par
un voleur sans qu'il ne puisse être repéré.
Pour combattre ce risque, chaque terminal reçoit un identiant unique (International Mobile
station Equipment Identity, IMEI) qui ne peut pas être modi é sans altérer le terminal. En
fonction de données au sujet d'un terminal, un opérateur peutdécider de refuser l'accès au réseau.
Tous les opérateurs n'implémentent pas une telle base de données.
17
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
Le principe des compteurs OMC se résume dans le comptage des messages (événements)
au niveau des interfaces A et A-bis. L'OMC-R gère le BSS, il se charge de la gestion des
performances, les mesures se basent sur la collecte des compteurs calculés par les équipements
du réseau et l'OMC-S gère le NSS, s'occupe de la partie Switching.
Les données sont importées depuis les compteurs OMC et analysés grâce à des outils dits
outils de traitement des compteurs. Ce sont des outils spécifiques aux constructeurs par exemple
RNO d'Alcatel et l'OTS ou le SPOTS de Siemens.
o Statistiques
Les données des OMC sont sous forme de données brutes. Pour qu'elles soient exploitables, elles
sont transformées en KPI (Key Performance Indicators
18
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.3 Le Handover
Le handover est un mécanisme fondamental dans la communication cellulaire (GSM ou
UMTS par exemple). Globalement, c'est l'ensemble des opérations mises en œuvre permettant
qu'une station mobile puisse changer de cellule sans interruption de service. Ce mécanisme
permet l'itinérance entre cellules ou opérateurs.
- Rescue Handover : la station mobile quitte la zone couverte par une cellule pour
unautre. C'est la qualité de transmission qui détermine la nécessité du handover, qualité indiquée
par le taux d'erreur, l'intensité du signal reçu, le niveau d'interférences et le délai de propagation.
- Confinmen thandover : la station mobile subirait moins d'interférences si elle changeait
de cellule (les interférences sont dues en partie aux autres stations mobiles dans la cellule). La
station mobile écoute en permanence d'autres cellules pour mesurer la qualité d'une connexion à
ces dernières. De plus, chaque station mobile est synchronisée avec plusieurs BTS pour être prêt
en cas de handover.
- Traffic Handover : le nombre de stations mobiles est trop important pour la cellule, et
des cellules voisines peuvent accueillir de nouvelles stations mobiles. Cette décision nécessite de
connaître la charge des autres BTS.
Le handover tient compte de la direction du mouvement.
En GSM, dans tous les cas, le handover est du ressort du MSC (Mobile services Switching
Center ou Mobile Switching Center).
La station Mobile MS ayant déjà un canal dans une cellule donnée (gérée par un BSC et
MSC donnés), il reçoit un nouveau canal. Il existe quatre types de handover :
19
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.4 Le Roaming
Le roaming désigne plus généralement la capacité des clients à accéder à leurs services de
téléphonie mobile (voix ou données) depuis différents réseaux au fur et à mesure d'un
déplacement. Cette fonctionnalité est particulièrement utile en déplacement dans un pays
étranger. Cette faculté est possible du fait que le réseau mobile GSM conserve à chaque instant
une information sur la zone de localisation de l'abonné mobile.
Par abus de langage, le terme roaming désigne aujourd'hui le roaming international. Pour
un réseau de type Wi-Fi, ce terme est utilisé pour évoquer le fait d'un changement de cellule ou
de réseau (niveaux 2 ou 3) tout en restant en communication (voix ou données). Dans ce cas il
s'agit en fait d'un handover plutôt que d'un roaming.
I.4.1Roaming régional
L'abonné a le droit de roamer uniquement sur une région donnée. Dans les premiers temps
du réseau GSM, certains opérateurs mobiles avaient prévu de proposer des offres restreintes àune
région. Avec le succès du GSM et la baisse des coûts du mobile, ce type d'offre a disparu, sauf
dans les départements d'outre-mer.
Quoique dans les pays de grande extension géographique et constitués de plusieurs États
(USA, Russie, Inde, Chine, etc.), ce genre de roaming peut exister mais est à la limite de la
notion entre roaming régional et roaming national.
I.4.2Roaming national
Une autre exception profite aux opérateurs 3G ayant une licence UMTS (opérateurs 3G)
n'ayant pas de licence d'opérateur GSM. Dans ce cas, pour des raisons de compétition loyale
imposée par le régulateur national, un accord de roaming national limité géographiquement et
dans le temps est trouvé entre l'opérateur 3G et un des opérateurs GSM du pays.
I.4.3Roaming international
20
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.5Conclusion
21
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.1 Introduction
Le terme QoS a une signification très importante dans le domaine des télécommunications.
L'objectif de ce chapitre est de rattacher le projet à son cadre théorique à rappeler l'évaluation de
la qualité de service et des performances qui sont des notions fondamentales de la technologie
GSM. En effet l'évaluation de l'état du système et la détection des disfonctionnements sont des
tâches primordiales pour que l'opérateur puisse avoir une maîtrise sur le réseau et mener à bien
ses actions et interventions de maintenance. Les réseaux mobiles d'une manière générale ont une
particularité par rapport aux réseaux fixes surtout lorsqu'il s'agit d'évaluer ses performances. Le
terme de qualité de service a une signification spécifique dans le monde de communication
réseaux mobiles. Il se rapporte à la rentabilité et à la fiabilité du réseau et de ses services
II.2.1 Définition
On appelle Quality of service (QoS) ou Qualité de Service l’effet global produit par la
qualité de fonctionnement d’un service qui détermine le degré de satisfaction de l’usager d’un
service.
De point de vue performance de réseaux, l’UIT (Union International des Télécommunications)
définit la qualité de service comme «l’Aptitude d'un réseau ou d'un élément de réseau à assurer
les fonctions liées à des communications entre usagers».
La QoS est en fin la capacité à adapter un service aux besoins d'une application. Elle est évaluée,
d’u e pa t, du poi t de vue du o so ateu ui pe et de d te i e la ussite ou l’ he
du se vi e et d’aut e pa t, du poi t de vue op ateu d’u e faço o je tive à t ave s l’analyse
des indicateurs qualité de service suivant certains critères.
L’opérateur commence alors un nouveau cycle qui consiste à observer la qualité de service
et à optimiser le réseau pour améliorer d’une part, la qualité de service dans les zones où cela est
nécessaire et d’autre part, pour augmenter l’efficacité du réseau de point de vue trafic.
22
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.2.2 Les paramètre de performance
Un indicateur est une valeur basée sur un ou plusieurs compteurs et qui est représentatif des
performances du réseau. Les indicateurs de qualité de service BSS ont pour objectifs de : >
Identifier les défauts dans les éléments du sous-système radio et d'établir les actions correctives
pour gérer la qualité de service ;
Détecter et identifier les problèmes radio d'une cellule et aider les équipes d'optimisation
radio à analyser la situation et à définir les actions correctives (changement de fréquence,
ajustement d'un paramètre. . .) ;
Modèle de trafic
Charge du trafic
Rendement du réseau
Les indicateurs radio sont établit à partir des compteurs de performance fournit par le centre
d'opération et d'entretien du sous-système radio OMC_R. L'OMC_R possède différents types de
compteurs qui sont organisés sur 3 classes :
Compteurs statiques : ce sont des données statiques collectées relativement à l'état d'une
ressource spécifique.
23
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.2.2.2 Les indicateurs clés de performance
La QoS dans les réseaux mobiles est évaluée par des indicateurs de paramètre de
performance (Key Performance Indicator (KPI)).Les indicateurs clés de performance
correspondent aux mesures donnant une information sur les performances du réseau ou d'un
processus. ). Les KPI sont obtenus à l'aide de formules et par la compilation des différentes
données. Les KPI évaluent essentiellement le maintien de l'appel, le volume de trafic, la qualité
du service sur l'ensemble du réseau. Les KPI permettent, ainsi, de détecter les cellules en faute,
les heures de pointe. Un seuil limite est déterminé pour chaque KPI, s'il est dépassé une alarme
est envoyée à la supervision pour indiquer la présence d'un problème sur la fonction que la KPI
mesure
Ce sont les problèmes les plus gênants du côté de l'abonné. Les différentes causes de ce
problème sont les suivantes :
handover se fait pour la plupart du temps sur niveau de champ du lien montant.
Pour l'échec des handover sortant : Au cas où l'échec est lors de la phase de préparation les
causes peuvent être :
24
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
Connexions défectueuses sur les interfaces A au cas d'un handover inter-BSC;
Dans le cas où l'échec se situe à la phase exécution (échec de handover sur les canaux alloués) la
cause est l'échec radio ou BSS sur la cellule cible. Dans ce cas le mobile retourne à son ancien
canal, l'appel n'est pas coupé mais le handover a échoué.
Si la zone est bien couverte, on doit vérifier si la cellule est congestionnée (congestion
TCH ou SDCCH) ;
Si le taux de coupure de canaux SDCCH est élevé on vérifie les causes du handover ; >
S.il n'y a pas de drop SDCCH, on vérifie le taux d'échec d'établissement du lien TCH Les
causes peuvent être un échec BSS (panne matérielle) ou un échec radio.[11]
Les mesures de performances peuvent être classées sur la base des informations qu'elles
apportent en cinq grandes classes bien que nous verrons plus loin d'autres critères de classement.
Ainsi, on relève :
Mesures relatives à la charge de trafic écoulé : Les mesures de la charge de trafic établies
dans une cellule ou dans tout le réseau offrent des données indispensables pour améliorer
l'exploitation des canaux et des ressources radio
25
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
inactives. Les indicateurs relatives aux entités suivantes sont d'une grande utilité dans ce
contexte : TCH, SDCCH, BSC, BTS, TRX, SS7Links, PCM connections.
Mesures à usage statistique : Les mesures de performances peuvent être très utiles pour le
service Marketing de l'opérateur. Ainsi, sur la base des données fournies par les mesures,
l'opérateur peut modéliser le comportement de ses abonnées ; à titre d'exemple, si les
mesures présentent des périodes à bas trafic téléphonique, il sera intéressant de lancer des
promotions incitant les clients à communiquer pendant ces mêmes périodes. La même
procédure peut s'appliquer si on raisonne sur les zones de couvertures au lieu des
périodes.
Elle consiste à réaliser de vrais appels et à tester l'obtention du retour de sonnerie sur le
mobile. La communication n'est cependant pas décrochée et donc n'est pas établie. L'indicateur
appelé Call Setup Success Rate exprime le pourcentage d'appels établis avec succès. Est
considéré comme étant un appel, toute demande d'établissement d'une communication et qui
aboutit soit à un signal d'appel, soit à une annonce parlée ou à une tonalité d'occupation. La
norme GSM défini que tout appel doit pouvoir être établi en 10s maximum. De plus, le taux de
blocage à l'heure chargée doit être inférieur à 2% (< 2%). Au-delà de 10s, même si l'appel est
établi, il est considéré comme échec en termes de performance du système. Les différentes causes
pouvant dégradé le Call Setup sont les suivantes :
26
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
> SDCCH_BLOCK: SDCCH blocked : indique la non attribution de canal SDCCH pour cause de
manque de ressources
Elle consiste à mesurer la voie balise (BCCH), le numéro de champ RxLev reçu par le
mobile qui affiche le nombre de barrettes indiquant la puissance du signal reçu. Un faible niveau
de champ ou l'absence du champ se traduit par la présence d'une ou deux barrettes sur l'écran du
terminal ou par l'indication d'absence du signal. L'indicateur de présence du réseau ou RxLev
renseigne en tout point de couverture, la probabilité d'établir une communication. Ces mesures se
font au même rythme que les mesures d'accessibilité au réseau. Il existe deux unités de mesure
RxLev : le RxLev unit allant de 0 à 63 et le RxLev (dBm). La relation liant les deux unités de
mesure est la suivante :
Le RxLev se mesure toujours lorsque le mobile est en mode veille ou "idle". Les principales
causes susceptibles d'affecter la qualité de la couverture radio sont :
27
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
nombre insuffisant de BTS,
mauvais paramétrage physique et logique des BTS (tilts, azimuts, puissances, etc.), types
d'antennes et qualité d'installation (pertes dans les câbles) ou défaut de maintenance
(humidité des feeders, dégradation des câbles, etc.),
qualité du terminal de l'usager (sensibilité) ou détérioration de la partie émission
/réception RF.
Ces mesures consistent à évaluer la valeur RxQual enregistré par le mobile. La qualité de
communication ou Voice Quality désigne l'audibilité, la netteté et la clarté observées dans une
communication.
C'est un indicateur très important pour l'abonné. Il est souvent indiqué par le taux d'erreurs
binaires BER (Bits Errors Rate) et le taux de trames erronées FER (Frames Erasures Rate) chez
l'opérateur. Le BER est le taux de bits erronés reçus sur le total des bits transmis sur l'interface
air. Si ce taux est inférieur à un seuil déterminé pendant toute la communication, l'usager perçoit
une communication de bonne qualité. Le taux de trames erronées renvoie à la notion de collisions
destructives sur l'interface A-bis. Une collision destructive se produit lorsque plus de trois burst
GSM consécutifs présentent un niveau d'interférence supérieur au seuil acceptable. Dans ce cas,
la trame de parole GSM (transmise sur 8 burst consécutifs) sera mal reçue par l'usager et la
qualité du signal de parole sera dégradée. Les pertes de trames peuvent également se traduire par
des microcoupures pendant l'appel provoquant une mauvaise qualité de communication.
Le RxQual est mesuré uniquement à l'état dédié et sur la cellule serveuse, elle est codée sur
3 bits et prend les mesures de 0 jusqu'à 7. Le tableau ci-dessous illustre l'appréciation de la
qualité.
RxQual Bit Error Rate (BER) Qualité de communication
0 BER < 0.2% Excellente
1 BER= [0.2% à 0.4%] Bonne
2 BER= [0.4% à 0.8%]
3 BER= [0.8% à 1.6%] Assez bonne
4 BER= [1.6% à 3.2%]
5 BER= [3.2% à 6.4%] Mauvaise
6 BER= [6.4% à 12.8%]
7 BER>12.8% Très mauvaise
28
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.3Présentation d'outils
Les mesures Drive Test sont des campagnes de mesure effectuées par les techniciens et
ingénieurs de l'opérateur. Elles constituent le meilleur moyen de vérifier les performances du
réseau et de les ajuster aux attentes des abonnés car elles décrivent l'état de la qualité du réseau
telle qu'elle est perçue par les abonnés. Durant les campagnes de mesure, le technicien teste :
Les Drive Test sont sans doute une partie essentielle pour optimiser de façon continue les
performances de réseau mobile afin de maintenir la satisfaction des abonnés. Pour réaliser ça une
29
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
équipe se déplace dans une voiture munie d'une chaine de mesure numérique de type Drive Test
composé essentiellement de :
La chaine de mesure Drive Test est basée principalement sur des mesures d'accessibilité et
d'établissement de communication (TCH). Ses différents sont les suivants :
Le Mobile Station (MS) dans la chaine de mesure est appelé mobile à trace
directement rattaché au Laptop par câble avec qui il communique les mesures
effectuées. Ce MS contient plusieurs fonctionnalités. Ce mobile renseigne sur la
couverture (RxLev) sur le mode Idle ou actif
L'analyseur de protocole est un moteur qui génère des indicateurs pertinents qui
permettent de comprendre l'état d'un réseau à un instant « t » situé dans le passé, le présent
ou le futur. Il permet l'obtention simple et rapide de nombreuses statistiques qui facilite ainsi la
vision de tout le réseau. Les analyseurs de protocole peuvent être reliés aux BTS, aux BSC, ou
bien aux MSC pendant une certaine période de temps.
Les mesures faites avec les analyseurs de protocoles ont pour avantages :
Que tous les événements capturés sont disponibles pour une analyse postérieure et détaillée.
Que les mesures sont faites dans les deux sens UL et DL,
30
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
Qu'elles favorisent une finesse de l'analyse radio,
Que les constructeurs sont indépendants,
Qu'elles sont exhaustives.
L'inconvénient de ces analyseurs est qu'ils sont difficiles à mettre en œuv e et c'est coûteux
de les avoir en grand nombre afin de pouvoir observer de manière permanente le réseau GSM
en entier.
II.4.2. Optimisation
Avec les données en notre possession on va pouvoir effectuer une analyse, suivie de
décisions qui seront prises dans l'optique d'améliorer le réseau et diminuer les zones de
désertes. Il est également important d'optimiser le réseau pour maximiser la quantité de
requêtes satisfaites. Pour cela, différentes techniques d'optimisation existent
II.5 Conclusion
Pour l’opérateur téléphonique il est primordial d’avoir une couverture réseau optimale qui
touche tout le pays sans pour autant avoir plus d’équipement qu’il n’en faut, Donc c’est un fin
équilibre entre couverture, qualité de service et investissement.
Par ailleurs est marqué par les principes et les caractéristiques de qualité de service et de dans
lesquelles sont énumérées les mesures de performance, les critères pour une meilleure
performance du réseau, les éléments qui permettent de mesurer les performances à savoir les
mesures Drive Test.
31
22
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
III.1 Introduction
L’optimisation par essaim de particules (Particle Swarm Optimization (PSO) dans la langue
de SHAKES-PEARE) est une méthode d’optimisation stochastique, pour les fonctions non-
linéaires, basée sur la reproduction d’un comportement social et développée par le Dr.
EBERHART et le Dr. KENNEDY en 1995.
L’origine de cette méthode vient des observations faites lors des simulations informatiques
de vols groupés d’oiseaux et de bancs de poissons de REYNOLD, HEPPNER et GRENANDER.
Ces simulations ont mis en valeurs la capacité des individus d’un groupe en mouvement à
conserver une distance optimale entre eux et à suivre un mouvement global par rapport aux
mouvements locaux de leur voisinage.
D’autre part, ces simulations ont également révélé l’importance du mimétisme dans la
compétition qui oppose les individus à la recherche de la nourriture. En effet,
les individus sont à la recherche de sources de nourriture qui sont dispersés de façon aléatoire
dans un espace de recherche, et dès lors qu’un individu localise une source de nourriture, les
autres individus vont alors chercher à le reproduire.
III.2Applications
III.3Présentation de PSO :
L’Optimisation par Essaim de Particules (OEP), connu sous le nom anglophone de Particle
Swarm Optimization (PSO), est un algorithme inscrit dans la famille des algorithmes
évolutionnaires. Il a été proposé par Russel Eberhart (ingénieur en électricité) et James Kennedy
(socio psychologue) en 1995.
Cette méthode trouve sa source dans les observations faites lors des simulations
informatiques de vols groupés d’oiseaux et de bancs de poissons de Reynold, Heppner &
Grenander. Autrement-dit, elle s’inspire fortement de l’observation des relations grégaires
d’oiseaux migrateurs, qui pour parcourir de «longues distances» (migration, quête de nourriture,
parades aériennes, etc.), doivent optimiser leurs déplacements en termes d’énergie dépensée, de
temps, (etc.), comme par exemple la formation en forme de V présentée dans la Figure III.8
33
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Le déplacement de ses animaux en essaim est complexe, sa dynamique obéit à des règles et
des facteurs bien spécifiques qu’il s’agit de cerner :
Chaque individu dispose d’une certaine intelligence «limitée» (qui lui permet de
prendre une décision).
Chaque individu doit connaitre sa position locale et disposer d’information locale
de chaque individu se trouvant dans son voisinage.
Obéir à ces trois règles simples, « rester proche des autres individus », « aller dans
une même direction »ou « voler à la même vitesse ».
Tous ses facteurs et règles sont indispensables pour le maintien de la cohésion dans
l’essaim, ceci par l’adoption d’un comportement collectif complexe et adaptatif.
Optimisation Par Essaims de Particule (OEP): Est une technique évolutionnaire qui utilise
“une population” de solutions candidate pour développer une solution optimale au problème
d’optimisation.
Le degré d’optimalité est mesuré par une fonction fitness définie par l’utilisateur. Il s’agit
d’une méthode fondée sur la notion de coopérations des agents, appelés ici ‘‘particules’’.[15]
34
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Avec:
35
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
ωmax : l’inertie initial.
ωmin: l’inertie final
iter max: le maximum de nombre d’itération.
iter : le numéro d’itération actuelle.
7. Reboucler sur la seconde étape (pour t+1) jusqu’à ce qu’un critère de fin soit vérifié.[17]
36
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Le principe de l’algorithme peut être plus facilement visualisé grâce à la figure suivante :
37
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
III. 3.3 Les paramètre
Il y a 7 paramètres qui entrent en ligne de compte
III.3.3.5 L’inertie
Le facteur d'inertie ω permet de définir la capacité d’exploration de chaque particule en vue
d’améliorer la converge de la méthode.
38
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Figure III.11 (a) anneau (avec n =2), (b) rayon, (c) étoile
La topologie du voisinage défini avec qui chacune des particules va pouvoir communiquer.
Il existe de nombreuses combinaisons dont les suivantes sont les plus utilisées :
a) topologie en étoile : chaque particule est reliée à toutes les autres, ie. l’optimum du
voisinage est l’optimum global ;
b) topologie en anneau : chaque particule est reliée à n particules (en général, n =3), c’est la
topologie la plus utilisée ;
c) topologie en rayon : les particules ne communiquent qu’avec une seule particule centrale ;
[14]
III.3.8 Traitement:
Répéter
Pour i de 1 à N faire
Si (F (xi) > pbesti ) Alors
pbesti F (xi)
xpbestixi
39
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Fin Si
Si (F (xi) gbesti) alors
gbesti F(x)i
xgbesti xi
Fin Si
Fin Pour
Pour i de 1 à N faire
viv i + c1r1(xpbesti - xi ) + c2r2(xgbesti - xi )
xixi = vi
Fin Pour
Jusqu’a ce que (le processus converge)
III.4Conclusion
Dans ce chapitre a été présenté l’algorithme d’optimisation par essaim particulaire
(PSO) inspiré du monde des animaux (espèces d’oiseaux). Depuis sa création, cette
méthode a rencontré un franc succès, en raison de sa simplicité et de son efficacité sur une
vaste gamme de problèmes, sans toutefois que l’utilisateur ait à modifier la structure de
base de l’algorithme. Mais le choix de paramètres reste l'un des problèmes de l'optimisation par
particules d'essaim, c'est très difficile de trouver des bons paramètres adaptés à la structure du
problème.
40
Chapitre IV Analyse et Conception
IV.1 Introduction
Le processus de développement de notre application commence par l’identification et la
détermination de réseau à étudier. Cette détermination se fait par l’obtention des différents
indicateurs et leurs mesures. L’analyse de ces indicateurs commence et le processus de
détection des anomalies se déclenche. Cette étape consiste à la synthèse des différentes
sources d’informations et la transmission de cette synthèse pour optimisation et maintenance
du réseau. Dans le schéma ci- dessous, on va présenter les étapes de ce processus.
Pour notre conception, on a utilis l’app o he orienté objet pour sa lisibilité et la richesse de
ses modèles. On utilise les diagrammes UML pour entamer les différentes phases le
d veloppe e t d’u logi iel.
42
Chapitre IV Analyse et Conception
Les cas utilisation sont une technique puissante pour consigner et traduire le
comportement détaillé du système. Un cas d’utilisation est un texte qui décrit l’interaction et il
spécifie ce que le système devrait effectuer.
Les acteurs:
Le responsable de la maintenance:
faire des mesures
se localiser en temps réel
analyser les mesures
optimiser le réseau
43
Chapitre IV Analyse et Conception
44
Chapitre IV Analyse et Conception
Ce modèle nous permet d'avoir une vue statique de l'application. Il nous montre les
relations entre les différentes entités (classes) de la base de données.
45
Chapitre IV Analyse et Conception
Il s'agit d'une explication détaillée d'un cas d'utilisation. Les principales informations
contenues dans un diagramme de séquence sont les messages échangés entre les lignes de vie,
présentés dans un ordre chronologique.
46
Chapitre IV Analyse et Conception
IV.5 Conclusion
Dans ce chapitre nous avons étudié la conception UML dont les différents diagrammes
comme il est indiqué précédemment. En résumé; l’UML est un langage mais contient des
méthodes.
47
Chapitre V Résultats et discussion
Introduction :
L’o te tio d’u eilleu QoS est as e su l'a al se d'u g a d o e de esu es
expérimentales c. -a-d. une analyse statistique de données en fonction de différents paramètres
(la fréquence, la distance, la hauteur des antennes, est affaiblissement).
Les pa a t es du seau peuve t t e ajust s. L’ajuste e t doit se faire afin d'obtenir un
minimum d'erreur entre les valeurs seuils et les mesures réelles. Cela rendra le service du
réseau plus performant et par conséquent le client satisfait.
Nous p oposo s u outil d’opti isatio de seau GSM as su l’algo ith e PSO selo les
diff e ts i di ateu s de pe fo a es du QoS. Nos do es d’e t es so t les esu es elles
de différents paramètres du réseau obtenues par le Drive Test.
La qualité de service est une signification très importante dans un réseau GSM. Cet effet
est d fi i pa l’effet glo al p oduit pa la ualit de fo tio e e t d’u se vi e ui d te i e
le deg de satisfa tio de l’usage d’u se vi e.
Le QoS est basés sur l'analyse d'un grand nombre de mesures c.à.d. Une analyse
stochastique de données en fonction de différents paramètres (L'intensité du signal (RxLEV), La
qualité du signal (RxQual); Interférence (C/I); Appels interrompus; Événements anormaux;
Statisti ues d’appels; I fo atio s QoS MOS ; Voisi es i fo atio s de ellule; Lieu de
coordonnées GPS).
Les mesures de performance estimées peuve t t e ajust s. L’ajuste e t doit e fai e afi
d'obtenir des valeurs optimum entre les valeurs seuils et
les valeurs mesure. Cela rendra le QoS mieux. Il existe plusieurs algorithmes pour optimiser QoS
d’u seau GSM pou e t avail o opti ise a ave l’algo ith e PSO.
48
Chapitre V Résultats et discussion
49
Chapitre V Résultats et discussion
50
Chapitre V Résultats et discussion
51
Chapitre V Résultats et discussion
JAVA :
Java est un langage de programmation orienté objet créé par James Gosling et Patrick
Naughto et une plate-forme informatique qui ont été créés par Sun Microsystems en 1995.
Beaucoup d'applications et de sites Web ne fonctionnent pas si Java n'est pas installé et leur
nombre ne cesse de croître chaque jour. Java est rapide, sécurisé et fiable. Des ordinateurs
portables aux centres de données, des consoles de jeux aux superordinateurs scientifiques, des
téléphones portables à Internet, la technologie Java est présente sur tous les fronts [21]
PHP My Admin
PHP My Admin (PMA) est une application Web de gestion pour les systèmes de gestion de
base de données MySQL réalisée en PHP.
Fonctionnalités
Il s'agit de l'une des plus célèbres interfaces pour gérer une base de données MySQL sur un
serveur PHP. De nombreux hébergeurs, gratuits comme payants, le proposent ce qui évite à
l'utilisateur d'avoir à l'installer.
52
Chapitre V Résultats et discussion
Cette interface pratique permet d'exécuter, très facilement et sans grandes connaissances en bases
de données, des requêtes comme les créations de table de données, insertions, mises à jour,
suppressions et modifications de structure de la base de données, ainsi que l'attribution et la
révocation de droits et l'import/export. Ce système permet de sauvegarder commodément une
base de données sous forme de fichier .sql et d'y transférer ses données, même sans connaître
SQL.
Les requêtes SQL restent possibles, ce qui permet de les tester interactivement lors de la création
d'un site pour les utiliser ensuite en batch une fois au point.
53
Chapitre V Résultats et discussion
d'utilisation, réputée pour son installation simple et rapide. Ainsi, il est à la portée d'un grand
nombre de personnes puisqu'il ne requiert pas de connaissances particulières et fonctionne, de
plus, sur les systèmes d'exploitation les plus répandus.
Il est distribué avec différentes bibliothèques logicielles qui élargissent la palette des services de
façon notable : OpenSSL, Expat(parseur XML), PNG, SQLite, zlib… ainsi que différents
modules Perl et Tomcat. Nombre de ces extensions étant inutiles aux débutants, une version
allégée — version lite — est en conséquence aussi proposée.[19]
MapInfoversion : 15.0
Un système d'information géographique (SIG) est un système d'information permettant de
créer, d'organiser et de présenter des données alphanumériques spatialement référencées,
autrement dit géo référencées, ainsi que de produire des plans et des cartes. Ses usages couvrent
les activités géomatiques de traitement, de partage et de diffusion de l'information géographique.
La représentation est généralement en deux dimensions, mais un rendu 3D ou une animation
présentant des variations temporelles sur un territoire sont possibles. Beaucoup de personnes
assimilent (à tort) un SIG à un logiciel alors que ce n'est que l'une des composantes d'un
ensemble incluant le matériel, l’immatériel, les acteurs, les objets et l’environnement, l’espace et
la spatialité. Le logiciel offre les fonctions utiles à l'exploitation d'un SIG. [20]
V.4Présentation de l'application développée
Notre application. La multitude des tâches que notre application est capable de faire
engendre supervision; analyser et optimiser un réseau GSM nombre de fenêtres. On peut citer
quelque unes.
V.4.2 La première interface :
54
Chapitre V Résultats et discussion
55
Chapitre V Résultats et discussion
V.4.2L’interface de supervision
56
Chapitre V Résultats et discussion
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Chapitre V Résultats et discussion
58
Chapitre V Résultats et discussion
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Chapitre V Résultats et discussion
Optimisation1 Optimisation2
Statistique :
Les résultats d'estimation de statistique, pour chaque optimisation sont présentés dans le
tableau V.4 Dans ce tableau, le statique des BTS de chacune des cas de la qualité de couverture
60
Chapitre V Résultats et discussion
Conclusion :
Dans notre mise en œuv e de l’appli atio , ous avo s essa de ie adapte
l’algo ith e PSO à différentes données du réseau GSM. Le PSO est sans doute un algorithme
évolutionnaire et révolutionnaire, par ses idées, avancées, et améliorations apportées mais il
reste délicat dans le choix des différents paramètres. Les premiers résultats obtenus par notre
outil d velopp so t satisfaisa ts. C’est u s st e ouve t ui peut t e a lio pa le test de
différentes fonctions de fitness adaptées aux relations algébriques entres les paramètres de
performance du réseau GSM.
Les résultats obtenues par PSO sont très satisfaisant et confirment bien la validité
de l’algorithme, sa simplicité d’implémentation lui donne un avantage conséquent
61
Conclusion Générale
Conclusion Générale :
62
Annexe
62
Annexe
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Annexe
64
Annexe
1
1
B
T
S
1
2 0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
1
3 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
1
4 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 0
B
T
S
1
5 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0 0 0 0
B
T
S
1
6 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0
B
T
S
1
7 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 1 0
B
T
S
1
8 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0
B
T
S
1
9 0 0 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0
B
T
S
2
0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0
65
REFERENCES
Références :
[1] :https://www.google.com/search?q=architecteur+reseau+GSM&client=firefox-
b&tbm=isch&tbs=rimg
[2] : K. El-Khazen, « Mobile Communications », SFR, France, 2016, pp.4-10.
[3] : P. Brisson, P. Kropf, « GSM : Global System for Mobile Communications », IFT-6275,
Canada, 2008, pp 4-13.
[4] : N. Yimbere, « Implémentations des nouvelles méthodes dans le système radio GSM :
cas du réseau GLO MOBILE BENIN », mémoire de mestre, université Africaine,
Afrique, 2009.
[5] : D. Cédric, V. Marc, « Principe de base du fonctionnement du réseau GSM »,
Belgique, 2004.
[6] : E. Mayemba, E. Kinshasa, «Etude portant sur la transmission des signaux multimédia dans
un réseau de téléphonie mobile de la 3ème génération « cas de routage de données et de la voix
dans le réseau UMTS», mémoire fin d’étude, école supérieure des métiers d'informatique et de
commerce, Congo, 2011
[7] : H.OmarEl-hak, «UMTS», Mémoire de fin d'étude, université Sidi bel abbés, Alger, 2006.
[8] : https://orbi.uliege.be/bitstream/2268/1381/1/Demoulin2004Principes.pdf
[9] :https://www.memoireonline.com/12/13/8188/Etude-de-la-qualite-de-service-dans-les-
reseaux-mobiles-GSM.html
[10] : M. Germain, « les réseaux de téléphonie mobile », Un livre blanc de Forum ATENA,
France, 2014, pp.14-21.
[16] : Bouguerra Yaaqoub, Delloum Sarra « Optimisation paramétrique pour estimation des
pertes dans un réseau GSM utilisant l’algorithme PSO », 2016-2017
[17] : B.Yassine , « algorithme d'optimisation par essaim de particules(oep) : application à
l'amélioration des moteursel-azazga, Algérie », université de m’sila ,Algérie, 2011/2012.
[18] :http://photocrunch.blogspot.com/2011/09/drive-test-in-telecommunication-using.html
[19] : https://fr.wikipedia.org/wiki/
[20] :http://igm.univ-mlv.fr/~dr/XPOSE2013/MapInfo/sig.html
[21] :https://www.java.com/fr/download/faq/whatis_java.xml
66
REFERENCES
Optimisation Radio dans le réseau GSM (PDF Download Available). Available from:
[22]:Optimisation Radio dans le réseau GSM (PDF Download Available). Available from:
https://www.researchgate.net/publication/283423062_Optimisation_Radio_dans_le_reseau_GSM
[accessed Jun 16 2018].
67