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République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique

UNIVERSITE Dr. TAHAR MOULAY SAIDA


FACULTE : TECHNOLOGIE
DEPARTEMENT : INFORMATIQUE

MEMOIRE DE MASTER

OPTION : RESEAUX INFORMATIQUES ET SYSTEMES REPARTIS

Thème

Optimisation de la Qualité de Service (QoS) dans un


réseau GSM en utilisant l’algorithme d’optimisation par
essaims de particules (PSO)

Présenté par : Encadré par :


- Meddah Mimoun
- Hadjadj Azzedine Mme. DERKAOUI
Orkia

Promotion: Juin 2018


Je remercie premièrement ALLAH, le tout puissant, qui m'a donné la
force, la volonté et surtout le courage pour accomplir ce modeste mémoire.
Je tiens à remercier sincèrement Madame DERKAOUI, en tant
qu’encadreur du mémoire, qui s'est toujours montré à l'écoute et très disponible
tout au long de la réalisation de ce travail, ainsi pour l'inspiration, l'aide et le
temps qu'elle m'a bien voulu me consacrer et sans cela ce mémoire n’aurait
jamais vu le jour.
Je remercie également les membres du jury qui ont pris la peine de juger
ce modeste travail, qu’ils trouvent ici l’expression de mon profond respect et
mes vifs remerciements.
Je remercie vivement tous les enseignants de l'université Moulay Tahar-
Saida et surtout les enseignants du département d'informatique qui ont participé
à notre formation pendant toutes ces formidables années universitaires.
Tout mes remerciement a tous les membres de ma famille d'avoir été
toujours la pour moi, de leurs soutient de tout ordre.
Je remercie également mes amis qui m’ont permis de garder un équilibre
de vie en alliant études et loisir, pour leur soutien durant la période de
rédaction de ce mémoire.
Je remercie tous ceux qui ont contribué de prés ou de loin à
l’aboutissement de mon travail.
A tous ceux que j'aime, et à tous ceux qui m'aiment…
Pour tout, merci infiniment.
Je dédie ce modeste travail à mon père qui m’a tellement
soutenue durant ma vie et ses sacrifices
A ma très chère mère pour le soutien moral et affectif
A
Mes frères…… et…… mes sœurs.
A
Toute ma famille.
A
Tous mes amis.
A tous mes enseignants qui ont fait leurs possibles pour me
donner le maximum d’information concernant mes études.
A tous mes collègues de l'université surtout la promotion de
l’informatique.
A toutes les personnes qui nous ont aidés de prés ou de loin
pour la réalisation de ce mémoire.
Meddah Mimoun.
Je dédie ce modeste travail à mon père qui m’a tellement
soutenue durant ma vie et ses sacrifices il est l'espoir de mon
existence pour réussir dans mes études.
A ma très chère mère pour le soutien moral et affectif
A
Mes frères…… et…… mes sœurs.

A
Tous mes amis.
A tous mes enseignants qui ont fait leurs possibles pour me
donner le maximum d’information concernant mes études.
A tous mes collègues de l'université surtout promotion de
l’informatique 2016 2017
A toutes les personnes qui nous ont aidés de prés ou de loin
pour la réalisation de ce mémoire.
Hadjadj Azzedine .
Sommaire

Sommaire
Liste des Tableaux………………………………………………………...………………
Liste des Figures………………………………………………………….…………….…
Liste des acronymes ………………………………………………………………………

Introduction générale…..............................................................................................1

Chapitre I : Principe et concepts de base du réseau GSM…………..............4


I.1 Introduction…………………………………..…………………………………….....4
I.2 L’architecture du réseau GSM…………………..…………………………………….5
I.2.1 Sous-système radio……………..………………………………...6
I.2.1.1 Mobile……………………..……………………………6
I.2.1.2 Station de base (BTS) ………..………………………...6
I.2.1.3 Contrôleur de station de base (BS..C)………………….7
I.2.2 Sous-système réseau…………………………..………………….7
I.2.2.1 Centre de commutation mobile (MSC)…..…………….7
I.2.2.2 Enregistreur de localisation nominale (HLR..)………...8
I.2.2.3 Centre d'authentification (AuC)………………..……...8
I.2.2.4 Enregistreur de localisation des visiteurs (VLR)…....…8
I.2.2.5 Enregistreur des identités des équipements (EIR) ….....8
I.2.3 Le sous-système exploitation……………………………………….…………….9
I.2.3.1 L’OMC Ope ati g a d Mai te a e Ce te ……………..9
I.2.3.1.1 Les compteurs OMC ……………………...……..........9
I.3.2 Centre d'exploitation et demaintenance……………………….10
I.3 Le Handover……………………………………………………..……………………………………………….……10
I.3.1 Nécessité d'un handover………………………………………...………………..10
I.3.2 T pes d' ha dove ………………………………………...............………….…..11
I.4 Le Roaming ………………………………………………………………………..…………………………….…….11
I.4.1 Roaming regional……………………………………………..…..………………….11
I.4.2 Roaming national……………………………………………..…..………………….12
I.4.3 Roaming international……………………………………...…………………......12
I.5 Conclusion …………………………………………………………………..…….12

Chapitre II : La Qualité de Service : Principe et Caractéristiques…...13

II.1. Introduction ………………………………………………………………………..……………………………….13


II.2. Les principes de la QoS dans les réseaux mobiles ……………………………..………………..13
II.2.1. Définition ……………………………………………………..….......................13
II.2.2. Les paramètres de performance ………………………….…..…………..14
II.2.2.1. Les indicateurs de qualité de service…………….……..…..14
II.2.2.2 Les indicateurs clés de performance………………...….…..15
II.2.3. Les difficultés encourues lors des procédures …...………………….15

5
Sommaire
II.2.3.1 Problèmes de coupure d'appel…………………………..……..15
II.2.3.2. Les problèmes d'échec de handover…………………………16
II.2.3.3. Les problèmes d'échec d'établissement d'appel…......16
II.2.4. Les mesures de performance ……………………………………………………………………………16
II.2.4.1. Structure des mesures de performance ……………………………..16
II.2.4.2 Les paramètres de mesure ………………………………………...............17
II.2.4.2.1 Les mesures d'accessibilité au réseau ……………………..17
II.2.4.2.2 Les mesures de niveau de champ (RxLev) ………….….18
II.2.4.2.3 Mesure de qualité de communication (RxQual) …..…19
II3 Présentation d'outils…………………………………………………………………..………………………..…20
II3.1 Les mesures Drive Test ……………………………………….………………..…20
II.3.1.1 Les éléments de la chaine de mesure…………………..……21
II4. Les analyseurs de protocoles et optimisation ……………………………….……….………………22
II.4.1. Les analyseurs de protocoles……………….…………………………………...………………………..22
II.4.2. Optimisation……………………….……………………….……….………………...23
II4 Conclusion…………………………………………………….…………………..….23
Chapitre III : ………………………………………………..…..………………..….24
III.1 Introduction…………………………………………………………………...……24
III.2 Applications……………………………………………………….…………..……24
III.3 Présentation de PSO………………..……………...………………………..…….. 25
III.3.1 Définition sur optimisation par essaims de particule…..….….. 26
III.3.2 Principe de l’algorithme………………….…………….....……26
III. 3.3 Les paramètres………………….…………….……..…..…….30
III.3.3.1 La dimension de problème………………………...…………30
III.3.3.2 Nombre de particules …………………………...…………...30
III.3.3.3 Coefficients de confiance……………………..…………......30
III.3.3.4 La vitesse maximale…………………………..………...……30
III.3.3.5 L’inertie……………………………………...……….………31
III.3.3.6 Notation du voisinage………………….…..…………….......31
III.3.3.7 Le critère d’arrêt…………………….……..…………............32
III.3.8 Traitement ……………………………………………………...32
III.4Conclusion…………………………………………………………………………....33
Chapitre IV Conception………………………………………………….………..34
IV.1 Introduction………………………………………………………………………….34
IV.2 La modélisation fonctionnelle…………………………………………………….….35
IV.2 .1 Diagramme DE Cas d’utilisation……………………………....36
IV.3 La modélisation statique……………………………………………………………..37
IV.3.1 Diagramme de classe…………………………………………....37
IV.4 La modélisation dynamique………………………………………………………….38
IV.4.1 Diagramme de séquence ………………………………………..38

IV.5 Conclusion ……………………………………………………………………….….39


Chapitre V : Résultats et discussion…………………………………………..…40
V.1 Modélisation du problème ………………….………………………………….....…..40
V.2 Récolte des données ……………………………………………………….……..…..40
V.3 outils software et hardware……………………………………………...………..…...43
V.3.1Fiche technique de matériel utiliser………….………………….…...………..……..43
V.3.2 Environnement de développement logiciel…………….…………..……..……...43

6
Sommaire
V.3.2 Environnement de développement d’outille……………………………….….…...44
V.4 Présentation de l'application développée………………………….…………….….……46
V.5 résultat et Discussion…………………………………………….……………………….60
V.6 Conclusion ………………………………………………………………….…………....61

Conclusion générale

Annexe …………………………………………………………………………..……….62

Références

7
LISTE DES TABLEAUX

Liste des tableaux :

Tableau II.1: couverture réseau en fonction du RxLev.……………………………………..19


Tableau II.2 : correspondance entre la qualité de communication et le BER……..….....…....20
Tableau V.1 les données de 5 BTS avec MAPINFO……………….…...……………...…....40
Tableau V.2 La matrice de 6 BTS adjacentes..………………………………………….…...42
Tableau V.3 les mesures de 10 BTS avec Drive Test………………...…..……………...…...43
Tableau V.4 les des BTS de chacune des cas de la qualité de couverture…………….…......51

8
LISTE DES FIGURES
LISTE DES FIGURES

FigureI.1 : Architecture du réseau GSM…………………...………………………………......... ..5


Figure II.2 : Les composants de l’outil Drive Test….………………………………………….. 21
Figure II.3: Analyseur de protocole…....……....………….......................................................... 23
Figure III.8: Volée d'Anser………… ………………..……………………………………………….. 25
Figure III.9: principe de l’algorithme………… …………………………………………………….. 28
Figure III.10Organigramme « méthode des essaims particulaires »…..……………………….. 29
Figure III.11 (a) anneau (avec n =2), (b) rayon, (c) étoile………… …….……………………….. 31
Figure IV.4 : Processus d’analyse………………………………………………………………….. 34
Figure IV.5 : Diagramme de cas d’utilisation………..……………………………………........... 36
Figure IV.6 : Diagramme de classe ……………………....………………………………............ 37
Figure IV.7: diagramme de séquence.. ………… ………………………………………………….. 38
Figure V.12 image géographie de réseau GSM de Saida. …………..………………….…….. 41
Figure V.13 graphe des BTS adjacentes………… …………...…………………………………….. 42
Figure V.14 La première interface. ………… ……………….…………………………………….. 46
Figure V.15 L’interface de supervision de réseau GSM Saida……..…………………………….. 47
Figure V.16 L’interface des mesures Drive Test………………..………………………………….. 48
Figure V.17 L’interface de résultat analyser des mesures…..…………………………………….. 49

Figure V.18 L’interface de résultat d’optimisation des mesures…..………………………......... 50


Figure V.19 L’interface de comparaison résultat d’optimisation des mesures..…………… 51

1
LISTE DES ACRONYMS

Liste des acronymes:


GSM: Global System for Mobile.
BSC: Basic Station Controller
BSS: Base station sub-system.
NSS: (Network Sub-System) sous-système réseau.
MSC : Mobile Service Center.
MS : Mobile Station.
HLR:(Home Location Register)le registre des abonnés locaux.
VLR :(Visitor Location Register) le registre des abonnés visiteurs.
EIR : (Equipement IdentityRegister) le registre des terminaux.
AUC : (Autentication Center) le centre d’authentification.
QOS: Quality of Service AGs Algorithms Genetics
Rx-Lev : The intensity of signal ( l’intensité du signal )
Rx-qual : The quality of signal ( La qualité du signal )
PSO/OEP: Particle Swarm Optimization (optimisation par essaim de particules)

Handover : est un mécanisme fondamental dans la communication cellulaire (GSM ou UMTS


par exemple). Globalement, c'est l'ensemble des opérations mises en oeuvre permettant qu'une
station mobile puisse changer de cellule sans interruption de service, ce mécanisme permet
l'itinérance entre cellules ou opérateurs.
Roaming : faculté pour un abonné d’un réseau de téléphone mobile de pouvoir appelé ou être
appelé et de pouvoir changer des données via le réseau radio d’un opérateur mobile autre que le
sien.

1
Introduction Générale

Introduction Générale
Le d veloppe e t fulgu a t u’a o u le do ai e de la t l o u i atio
sa s fil ’a ess de p e d e de l’a pleu et te i u e place importante dans tous les
domaines de la société moderne actuelle. L'industrie des communications mobiles a
connu un essor prodigieux au cours de cette dernière décennie. Elle est développée,
au-delà de toutes les attentes. Ainsi, actuellement, des millions d'abonnés profitent
des services offerts par les réseaux cellulaires.
L'année 1992 était l'année de la commercialisation des premiers systèmes
GSM (Global System For Mobile communication). Cette norme est en concurrence
avec d'autres normes de radiotéléphonie numérique.Le GSM ne permet que les
communications radios.Malgré des débuts difficiles, Le GSM est la première norme
de téléphonie cellulaire qui soit pleinement numérique. C'est la référence mondiale
pour les systèmes de radiocommunication mobile. Elle offre à ses abonnés des
services qui permettent la communication de stations mobiles de bout en bout à
travers le réseau.

Le domaine de la communication est un domaine qui n'a jamais cessé


d'évoluer. A l'arrivée du GPRS (General Packet Radio Service) nommé la génération
2.5 du mobile, un énorme développement de la communication est apporté grâce à
l'intégration de l'internet sur les mobiles. A son implantation, l'UMTS (Universal
Mobile TerrestrialSystem) appelé, la 3ème génération du mobile, permet la
communication entre réseaux de technologies différentes, ouvrant ainsi la porte à la
4ème génération du mobile (4G) pour la souveraineté des réseaux de
communication.

La plupart utilise les réseaux GSM (Global System for Mobile Communications) et
’est le domaine considéré de notre projet. Concevoir et maintenir un réseau
cellulaire est indubitablement le défi le plus ambitieux de toute la téléphonie mobile.

La maintenance du réseau regroupe toutes les activités permettant de mémoriser, de


contrôler les performances et d’utiliser les ressources de manière à offrir un QoS
(Quality of Service) aux abonnés. La QoS est la capacité à adapter un service aux
besoins d'une application. Elle est évaluée, d’une part, du point de vue du
consommateur qui permet de déterminer la réussite ou l’échec du service et d’autre
part, du point de vue opérateur d’une façon objective à travers l’analyse des
indicateurs qualité de service suivant certains critères.

La maîtrise de ces fonctions reste la clé essentielle à tout opérateur pour pouvoir
assurer une qualité de service acceptable à ses abonnés. Pour cela les opérateurs ont
généralement recours à plusieurs opérations de mesure qui leur permettront,
ultérieurement, d'analyser l'état du réseau, découvrir ses défaillances et proposer des
solutions alternatives aux divers problèmes recensés. Dans la phase d’analyse de la
performance du réseau et de la détection des anomalies, il y a une comparaison entre
les indicateurs obtenus et les paramètres seuils (fixés par l’opérateur) qui présentent
les seuils d’une qualité de service acceptable répondre au mieux aux besoins en
termes de (fréquence, puissance, modulation, bande passante, positionnement
géographique, besoins des utilisateurs, etc.).

1
Introduction Générale
C’est dans ce cadre que se déroule notre projet s’intitulant «Optimisation de la
Qualité de Service (QoS) dans un réseau GSM en utilisant l’algorithme d’optimisation
par essaims de particules (PSO)».
Pour optimiser un réseau GSM, il y a plusieurs méthodes, comme les modèles de
prédi tio a hi e a ve teu suppo t, les seau de eu o es et l’opti isatio
des modèles existants (optimisation par essaim de particules PSO, les algorithmes
génétiques AG. De nombreuses études furent menées dans ce domaine, on peut
citer notamment les travaux de Michel Gourgand et Sylverin Kemmoé Tchomté [1].

Notre apport dans ce mémoire vise en premier lieu de faire un état de l’art sur le
réseau GSM et ses différents concepts et principes à présenter un bon service aux
abonnés. Deuxièmes, on a entamé l’implémentation d’un outil de supervision et
d’optimisation du réseau pour augmenter la qualité du service. On a proposé
l’utilisation du méta heuristique l’algorithme de l’optimisation par essaim de
particules (PSO : Particle Swarm Optimization) pour développer cet outil. On
envisage d’adapter cette solution à l’environnement GSM dans le but de répondre au
mieux aux besoins en termes de (fréquence, puissance, modulation, bande passante,
positionnement géographique, besoins des utilisateurs, etc…).
Il a été établi que les différents algorithmes évolutionnaires (notamment
l’algo ith e d’opti isatio pa essai de pa ti ules o t u e plus g a de
adaptabilité/maniabilité aux nouvelles situations nées de ses besoins, ceci compte
tenu de leur rapidité à balayer un large espace de configurations possibles, et à
t ouve u e des solutio s pe fo a tes, ’est-à-dire le la canal le plus adapté et le
meilleur parmi ceux rencontrés ou parcourus.

Notre objectif peut être résumé en trois points :

• L’analyse du réseau réel.


• La supervision du réseau pour détecter les anomalies.
• La p opositio d’u e solutio pou ieu u e eilleu QoS du seau.

Le présent mémoire est composé de cinq chapitres et une conclusion générale.

 Le premier chapitre présente le concept général du réseau GSM


 Le deuxième chapitre est consacré à la présentation du facteur QoS dans les
réseaux mobiles avec les différents indicateurs de performance caractérisant ce
service.
 Le troisième chapitre propose une approche évolutionnaire, « l’optimisation
par
essaim de particules » comme un outil d’optimisation.
 Le quatrième chapitre expose les différentes étapes d’analyse et de conception
de notre application avec les diagrammes orientés objet d’UML.
 Dans le dernier chapitre, les résultats de la mise en œuvre de l’algorithme vont
être présentés et discutés.
Une conclusion synthétise les résultats obtenus et donne un aperçu de
perspectives qui peuvent être développées.

1
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.1 Introduction

L'histoire de la téléphonie mobile (numérique) a débuté réellement en 1982. En effet, à


cette date, le Groupe Spécial Mobile, appelé GSM, est créé par la Conférence Européenne des
administrations des Postes et Télécommunications (CEPT)a n d'élaborer les normes de
communications mobiles pour l'Europe dans la bande de fréquences de 890 à 915 [M Hz] pour
l'émission à partir des stations mobileset935 à 960 [M HZ] pour l'émission à partir de stations
Xe. Il y eut bien des systèmes de mobilophonie analogique (MOB1 et MOB2, arrêté en 1999),
mais le succès de ce réseau ne fut pas au rendez-vous.

Les années 80 voient le développement du numérique tant au niveau de la transmission


qu'au niveau du traitement des signaux, avec pour dérivés des techniques de transmission ables,
grâce à un encodage particulier des signaux préalablement
à l'envoi dans un canal, et l'obtention de débits de transmission raisonnables pour les signaux (par
exemple 9;6 kilobits par seconde, noté [kb=s], pour un signal de parole).
Ainsi, en 1987, le groupe GSM Xe les choix technologiques relatifs à l'usage des
télécommunications mobiles : transmission numérique, multiplexage temporel des canaux radio,
chiffrement des informations ainsi qu'un nouveau codage de la parole. Il faut attendre 1991 pour
que la première communication expérimentale par GSM ait lieu. Au passage, le sigle GSM
change de signification et devient Global System for Mobile communications et les spécifications
sont adaptées pour des systèmes fonctionnant dans la bande des 1800 [M Hz].

Le GSM, (Global System for Mobile communications), est un système cellulaire et


numérique de télécommunication mobile. Il a été rapidement accepté et a vite gagné des
parts de marché telles qu'aujourd'hui, plus de 180 pays ont adopté cette norme et plus d'un
milliard d'utilisateurs sont équipés d'une solution GSM. L'utilisation du numérique pour
transmettre les données permettent, des services élaborés, par rapport à tout ce qui a
existé. On peut citer, par exemple, la possibilité de téléphoner depuis n'importe quel réseau
GSM dans le monde. Les services avancés et l'architecture du GSM ont fait de lui un
modèle pour la troisième génération de systèmes cellulaires, le réseau UMTS.

13
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2 Architecture d’un Réseau GSM

L’architecture de base du système GSM prévoit, quatre sous-systèmes principaux dont


chacun dispose d'un certain nombre d’unités fonctionnelles et est connecté à l’autre à travers des
interfaces standard qui seront décrites ultérieurement. Les principaux sous-systèmes du réseau
GSM sont : MS, BSS, NSS, OSS.

Figure1.1 : Architecture du réseau GSM

14
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
L’architecture d’un système GSM se décompose en trois sous systèmes:
 Le sous-système radio (BSS)
Il gère la partie radio des communications et se compose d’émetteurs-récepteurs
radio(BTS)contrôlés par une BSC.
 Le sous-système réseau (NSS)
Il gère le traitement des appels, la mobilité et l’acheminement de/vers les réseaux
filaires. Il se compose de commutateurs radio (MCS) et d’un certain nombre de bases
de données HLR et VLR.
 Le sous-système exploitation
Il contrôle les droits d’accès au réseau, les droits des usagers et assure l’interface
homme-machine d’exploitation. Il gère aussi le maintien en conditions opérationnelles
du réseau et la remontée des alarmes.

I.2.1 Le sous-système radio


Le sous-système radio gère la transmission radio. Il est constitué de plusieurs entités dont
le mobile, la station de base (BTS, Base Transceiver Station) et un contrôleur de station de
base (BSC, Base Station Controller).

I.2.1.1 Le mobile

La Mobile Station (MS) est composée du Mobile Equipment (le terminal GSM) et du
Subscriber Identity Module (SIM), une petite carte douée de mémoire et de microprocesseur, qui
sert à identifier l'abonné indépendamment du terminal employé; il est donc possible de continuer
à recevoir et à émettre des appels et d'utiliser tous ces services simplement grâce à l'insertion de
la carte SIM dans un terminal quelconque.[2]

I.2.1.2 La station de base (BTS)

Elle permet le dialogue avec le mobile sur l'interface Air (aussi appelée interface Radio ou
interface Um). Ses principales fonctions sont :
 Contrôle de la couche physique (couche 1 de l'interface radio) : transmission de la parole
et des données, transmission discontinue, ordres de contrôle de puissance et de
handover...
 Mesures des interférences sur les canaux non alloués à des communications
(idlechannels).
 Mesures sur la liaison montante (uplink), servant à l'algorithme de décision du handover.
 Calcul du Timing Advance (avance de temps) pour la synchronisation temporelle, selon
la distance qui sépare la BTS du mobile.
 Détection des demandes d'accès des mobiles reçus sur le canal de contrôle
commun(RACH).
 Détection des messages de handoveraccess.[3]

15
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2.1.3 Le contrôleur de station de base (BSC)

Un BSC gère un ou plusieurs BTS et n’est relié qu’à un seul MSC. Pour le trafic abonné
venant des BTS, le BSC joue le rôle de concentrateur.
Pour le trafic venant du commutateur, il joue le rôle d’aiguilleur vers la BTS dont dépend le
destinataire.
Un BSC utilise les mesures radio des BTS pour gérer la signalisation des "Handover" entre
les cellules dont il a la responsabilité. [4]

I.2.2Le sous-système réseau

Le sous-système réseau, appelé Network Switching Center (NSS), joue un rôle essentiel
dans un réseau mobile. Alors que le sous-réseau radio gère l'accès radio, les éléments du NSS
prennent en charge toutes les fonctions de contrôle et d'analyse d'informations contenues dans
des bases de données nécessaires à l'établissement de connexions utilisant une ou plusieurs des
fonctions suivantes : chiffrement, authentification ou roaming.
Le NSS est constitué de :

– Mobile Switching Center (MSC)

– Home Location Register (HLR) / Authentication Center (AuC)

– Visitor Location Register (VLR)

– Equipment Identity Register (EIR)

I.2.2.1Le centre de commutation mobile (MSC)

Le centre de commutation mobile est relié au sous-système radio via l'interface A. Son rôle
principal est d'assurer la commutation entre les abonnés du réseau mobile et ceux du réseau
commuté public (RTC) ou de son équivalent numérique, le réseau RNIS (ISDN en anglais). D'un
point de vue fonctionnel, il est semblable à un commutateur de réseau ISDN, mis à part quelques
modifications nécessaires pour un réseau mobile.
De plus, il participe à la fourniture des différents services aux abonnés tels que la
téléphonie, les services supplémentaires et les services de messagerie. Il permet encore de mettre
à jour les différentes bases de données (HLR et VLR) qui donnent toutes les informations
concernant les abonnés et leur localisation dans le réseau.

Les commutateurs MSC d'un opérateur sont reliés entre eux pour la commutation interne
des informations. Des MSC servant de passerelle (Gateway Mobile Switching Center, GMSC)
sont placées en périphérie du réseau d'un opérateur de manière à assurer une interopérabilité
entre réseaux d'opérateurs. [5]

16
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM
I.2.2.2 L'enregistreur de localisation nominale (HLR)

C'est la base de données qui gère les abonnés d'un PLMN donné. Elle contient toutes les
informations relatives à l'abonnement et aux droits d'accès. D'autre part, le HLR est une base de
données de localisation. Il mémorise pour chaque abonné le VLR où il est enregistré.

Les données dynamiques sont mises à jour par le MSC. Cette base de données est souvent
unique pour un réseau GSM et seules quelques personnes y ont accès directement.[6]

I.2.2.3 Le centre d'authentiquassions (AuC) :


Il mémorise pour chaque abonné une clé secrète utilisée pour authentifier les demandes de
services et pour le chiffrement des communications. Un AuC est en général associé à chaque
HLR.

I.2.2.4 L'enregistreur de localisation des visiteurs (VLR)

Le VLR (Visitor Location Register) est une base de données qui mémorise lesinformations
aux abonnés présents dans la zone géographique du MSC ou la zone de localisation (LA).

Les données mémorisées par le VLR sont similaires aux données du HLR, mais
concernant seulement les abonnés mobiles présents dans la zone considérée, le VLR a une
information de localisation plus précisé que le HLR.[7]

I.2.2.5 L'enregistreur des identités des équipements (EIR)

Malgré les mécanismes introduits pour sécuriser l'accès au réseau et le contenu des
communications, le téléphone mobile doit potentiellement pouvoir accueillir n'importe quelle
carte SIM de n'importe quel réseau. Il est donc imaginable qu'un terminal puisse être utilisé par
un voleur sans qu'il ne puisse être repéré.

Pour combattre ce risque, chaque terminal reçoit un identiant unique (International Mobile
station Equipment Identity, IMEI) qui ne peut pas être modi é sans altérer le terminal. En
fonction de données au sujet d'un terminal, un opérateur peutdécider de refuser l'accès au réseau.
Tous les opérateurs n'implémentent pas une telle base de données.

I.2.3 Le sous-système exploitation

I.2.3.1 L’OMC (Operating and Maintenance Center)


Le système d’exploitation et de maintenance OMC se connecte au MSC et BSC à travers le
réseau X25, il assure les fonctions suivantes:

17
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM

 L’accès à distance à tous les éléments qui composent le réseau ,

 La gestion des alertes de l’état du système,

 Le stockage de toutes les données relatives au trafic des abonnés,

 La visualisation de la configuration du réseau,

 La gestion des abonnés et la possibilité de localiser leur position à l’intérieur de l’aire de


couverture.

I.2.3.1.1 Les compteurs OMC

Le principe des compteurs OMC se résume dans le comptage des messages (événements)
au niveau des interfaces A et A-bis. L'OMC-R gère le BSS, il se charge de la gestion des
performances, les mesures se basent sur la collecte des compteurs calculés par les équipements
du réseau et l'OMC-S gère le NSS, s'occupe de la partie Switching.

Les données sont importées depuis les compteurs OMC et analysés grâce à des outils dits
outils de traitement des compteurs. Ce sont des outils spécifiques aux constructeurs par exemple
RNO d'Alcatel et l'OTS ou le SPOTS de Siemens.

Les mesures OMC ne donnent qu'une vue statique et globale (temporellement et


géographiquement) de l'état du réseau. Les mesures sur la partie radio (Um) sont ignorées par les
outils de traitement. Les mesures d'OMC sont utilisées dans plusieurs domaines :

o Optimisation et planification du réseau

o Statistiques

o Investigation en cas de problème sur le réseau

o Analyse en temps réel

Les données des OMC sont sous forme de données brutes. Pour qu'elles soient exploitables, elles
sont transformées en KPI (Key Performance Indicators

I.2.3.2Le centre d'exploitation et de maintenance

Cette partie du réseau regroupe trois activités principales de gestion : la gestion


administrative, la gestion commerciale et la gestion technique.

Le réseau de maintenance technique s'intéresse au fonctionnement des éléments du réseau.


Il gère notamment les alarmes, les pannes, la sécurité, . . . Ce réseau s'appuie sur un réseau de
transfert de données, totalement dissocié du réseau de communication GSM.[8]

18
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM

I.3 Le Handover
Le handover est un mécanisme fondamental dans la communication cellulaire (GSM ou
UMTS par exemple). Globalement, c'est l'ensemble des opérations mises en œuvre permettant
qu'une station mobile puisse changer de cellule sans interruption de service. Ce mécanisme
permet l'itinérance entre cellules ou opérateurs.

I.3.1 Nécessité d'un handover

Il existe trois cas où un handover est nécessaire :

- Rescue Handover : la station mobile quitte la zone couverte par une cellule pour
unautre. C'est la qualité de transmission qui détermine la nécessité du handover, qualité indiquée
par le taux d'erreur, l'intensité du signal reçu, le niveau d'interférences et le délai de propagation.
- Confinmen thandover : la station mobile subirait moins d'interférences si elle changeait
de cellule (les interférences sont dues en partie aux autres stations mobiles dans la cellule). La
station mobile écoute en permanence d'autres cellules pour mesurer la qualité d'une connexion à
ces dernières. De plus, chaque station mobile est synchronisée avec plusieurs BTS pour être prêt
en cas de handover.
- Traffic Handover : le nombre de stations mobiles est trop important pour la cellule, et
des cellules voisines peuvent accueillir de nouvelles stations mobiles. Cette décision nécessite de
connaître la charge des autres BTS.
Le handover tient compte de la direction du mouvement.
En GSM, dans tous les cas, le handover est du ressort du MSC (Mobile services Switching
Center ou Mobile Switching Center).

I.3.2 Types d' handover

La station Mobile MS ayant déjà un canal dans une cellule donnée (gérée par un BSC et
MSC donnés), il reçoit un nouveau canal. Il existe quatre types de handover :

- Handover Intra-BSC : le nouveau canal est attribué à la MS dans la même cellule ou


une autre cellule gérée par le même BSC.
- Handover Intra-MSC : le nouveau canal est attribué à la MS mais dans une cellule
gérée par un autre BSC, lui-même étant géré par le même MSC.
- Handover Inter-MSC : le nouveau canal est attribué dans une cellule qui est gérée par
un autre MSC.
- Handover Inter-Système : un nouveau canal est attribué dans un autre réseau mobile
que celui qui est en charge de la MS (exemple entre un réseau GSM et un réseau
UMTS).[9]

19
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM

I.4 Le Roaming
Le roaming désigne plus généralement la capacité des clients à accéder à leurs services de
téléphonie mobile (voix ou données) depuis différents réseaux au fur et à mesure d'un
déplacement. Cette fonctionnalité est particulièrement utile en déplacement dans un pays
étranger. Cette faculté est possible du fait que le réseau mobile GSM conserve à chaque instant
une information sur la zone de localisation de l'abonné mobile.

Par abus de langage, le terme roaming désigne aujourd'hui le roaming international. Pour
un réseau de type Wi-Fi, ce terme est utilisé pour évoquer le fait d'un changement de cellule ou
de réseau (niveaux 2 ou 3) tout en restant en communication (voix ou données). Dans ce cas il
s'agit en fait d'un handover plutôt que d'un roaming.

I.4.1Roaming régional

L'abonné a le droit de roamer uniquement sur une région donnée. Dans les premiers temps
du réseau GSM, certains opérateurs mobiles avaient prévu de proposer des offres restreintes àune
région. Avec le succès du GSM et la baisse des coûts du mobile, ce type d'offre a disparu, sauf
dans les départements d'outre-mer.

Quoique dans les pays de grande extension géographique et constitués de plusieurs États
(USA, Russie, Inde, Chine, etc.), ce genre de roaming peut exister mais est à la limite de la
notion entre roaming régional et roaming national.

I.4.2Roaming national

En français, le « roaming national » peut se traduire par « itinérance nationale ». L'abonné


peut roamer ou se localiser d'un opérateur mobile à un autre dans un même pays.

Une autre exception profite aux opérateurs 3G ayant une licence UMTS (opérateurs 3G)
n'ayant pas de licence d'opérateur GSM. Dans ce cas, pour des raisons de compétition loyale
imposée par le régulateur national, un accord de roaming national limité géographiquement et
dans le temps est trouvé entre l'opérateur 3G et un des opérateurs GSM du pays.

I.4.3Roaming international

Le roaming signifie itinérance en français. Ce service proposé par les opérateurs de


télécommunications permet aux usagers de téléphones mobiles de pouvoir appeler et être appelés
dans un pays étranger. Tous les opérateurs de téléphonie mobile passent des accords d’un pays à
l’autre pour permettre à leurs clients d’être en continuité de service où qu’ils se trouvent.
L’accord est souvent bilatéral pour permettre aux abonnés de chaque opérateur d’utiliser le
réseau de l’autre opérateur.[10]

20
Chapitre I Principe et concepts de base du réseau GSM

I.5Conclusion

Dans ce chapitre on a expliquée en détail le principe du réseau GSM, principe de handover


et raoming dans un réseau GSM.
Le GSM est donc un système de deuxième génération entièrement numérique et il est
considéré actuellement comme étant standard mondial des systèmes de télécommunication
mobiles dans le monde des réseaux cellulaires. Dans le chapitre suivant, on se focalisera sur les
paramètres essentiels dans la détermination de la performance de l’utilisation du réseau GSM et
sa qualité de service.

21
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques

II.1 Introduction

Le terme QoS a une signification très importante dans le domaine des télécommunications.
L'objectif de ce chapitre est de rattacher le projet à son cadre théorique à rappeler l'évaluation de
la qualité de service et des performances qui sont des notions fondamentales de la technologie
GSM. En effet l'évaluation de l'état du système et la détection des disfonctionnements sont des
tâches primordiales pour que l'opérateur puisse avoir une maîtrise sur le réseau et mener à bien
ses actions et interventions de maintenance. Les réseaux mobiles d'une manière générale ont une
particularité par rapport aux réseaux fixes surtout lorsqu'il s'agit d'évaluer ses performances. Le
terme de qualité de service a une signification spécifique dans le monde de communication
réseaux mobiles. Il se rapporte à la rentabilité et à la fiabilité du réseau et de ses services

II.2 Les principes de la QoS dans les réseaux mobiles

II.2.1 Définition

On appelle Quality of service (QoS) ou Qualité de Service l’effet global produit par la
qualité de fonctionnement d’un service qui détermine le degré de satisfaction de l’usager d’un
service.
De point de vue performance de réseaux, l’UIT (Union International des Télécommunications)
définit la qualité de service comme «l’Aptitude d'un réseau ou d'un élément de réseau à assurer
les fonctions liées à des communications entre usagers».
La QoS est en fin la capacité à adapter un service aux besoins d'une application. Elle est évaluée,
d’u e pa t, du poi t de vue du o so ateu ui pe et de d te i e la ussite ou l’ he
du se vi e et d’aut e pa t, du poi t de vue op ateu d’u e faço o je tive à t ave s l’analyse
des indicateurs qualité de service suivant certains critères.

L’opérateur commence alors un nouveau cycle qui consiste à observer la qualité de service
et à optimiser le réseau pour améliorer d’une part, la qualité de service dans les zones où cela est
nécessaire et d’autre part, pour augmenter l’efficacité du réseau de point de vue trafic.

Les classes d’indicateurs comportent l’accès au réseau, l’accès au service, l’intégrité du


service et le maintien du service. Ces classes d’indicateurs de qualité de service sont évaluées par
les indicateurs clés de performances KPI (Key Performance Indicator).[11]

22
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.2.2 Les paramètre de performance

II.2.2.1. Les indicateurs de qualité de service

Un indicateur est une valeur basée sur un ou plusieurs compteurs et qui est représentatif des
performances du réseau. Les indicateurs de qualité de service BSS ont pour objectifs de : >
Identifier les défauts dans les éléments du sous-système radio et d'établir les actions correctives
pour gérer la qualité de service ;

 Détecter et identifier les problèmes radio d'une cellule et aider les équipes d'optimisation
radio à analyser la situation et à définir les actions correctives (changement de fréquence,
ajustement d'un paramètre. . .) ;

 Suivre des changements du sous-système radio :

 Modèle de trafic

 Charge du trafic

 Rendement du réseau

 Gains obtenus en changeant de version software.

 Prévoir le comportement du réseau selon l'évolution du trafic.

Les indicateurs radio sont établit à partir des compteurs de performance fournit par le centre
d'opération et d'entretien du sous-système radio OMC_R. L'OMC_R possède différents types de
compteurs qui sont organisés sur 3 classes :

 Compteurs cumulatifs : le compteur est incrémenté à chaque fois où l'évènement compté


aura lieu. Il est réinitialisé quand une nouvelle période est commencée. Il indique juste le
nombre d'évènements qui ont eu lieu dans une période de temps.

 Compteurs statiques : ce sont des données statiques collectées relativement à l'état d'une
ressource spécifique.

 Evénements d'observations : ce sont des observations sur un événement système. Par


exemple, l'événement Channel seizure time for an SDCCH est un compteur d'observation
qui indique le temps et la date quand le SDCCH est mesuré.[9]

23
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.2.2.2 Les indicateurs clés de performance

La QoS dans les réseaux mobiles est évaluée par des indicateurs de paramètre de
performance (Key Performance Indicator (KPI)).Les indicateurs clés de performance
correspondent aux mesures donnant une information sur les performances du réseau ou d'un
processus. ). Les KPI sont obtenus à l'aide de formules et par la compilation des différentes
données. Les KPI évaluent essentiellement le maintien de l'appel, le volume de trafic, la qualité
du service sur l'ensemble du réseau. Les KPI permettent, ainsi, de détecter les cellules en faute,
les heures de pointe. Un seuil limite est déterminé pour chaque KPI, s'il est dépassé une alarme
est envoyée à la supervision pour indiquer la présence d'un problème sur la fonction que la KPI
mesure

II.2.3. Les difficultés encourues lors des procédures

II.2.3.1 Problèmes de coupure d'appel

Ce sont les problèmes les plus gênants du côté de l'abonné. Les différentes causes de ce
problème sont les suivantes :

 Coupure pour cause BSS : Ce genre de problème nécessite l'intervention de l'équipe


OMC pour vérifier si les coupures sont causées par une défaillance matérielle interne au
BSC ou si c'est un problème de transcoder.
 Coupure pour cause Handover : si la tentative de handover échoue et si le mobile ne
réussit pas à reprendre son ancien canal, l'appel est coupé.
 Coupure pour défaillance radio : l'appel est coupé suite à un problème de l'interface air.
Les causes peuvent être une mauvaise couverture de la cellule si la plupart des handover
se font sur qualité ou sur niveau ;
 Une ou plusieurs fréquences de la cellule sont interférées ;
 Un problème avec les aériens de la cellule (antenne, câbles feeder. . .), surtout si le

handover se fait pour la plupart du temps sur niveau de champ du lien montant.

II.2.3.2. Les problèmes d'échec de handover

Pour l'échec des handover sortant : Au cas où l'échec est lors de la phase de préparation les
causes peuvent être :

 Les cellules cibles sont congestionnées

24
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
 Connexions défectueuses sur les interfaces A au cas d'un handover inter-BSC;

Dans le cas où l'échec se situe à la phase exécution (échec de handover sur les canaux alloués) la
cause est l'échec radio ou BSS sur la cellule cible. Dans ce cas le mobile retourne à son ancien
canal, l'appel n'est pas coupé mais le handover a échoué.

II.2.3.3. Les problèmes d'échec d'établissement d'appel

Si une cellule présente un échec d'établissement d'appel on doit vérifier un ensemble de


point pour dégager les causes :

 Si la zone est bien couverte, on doit vérifier si la cellule est congestionnée (congestion
TCH ou SDCCH) ;

 Si le taux de coupure de canaux SDCCH est élevé on vérifie les causes du handover ; >
S.il n'y a pas de drop SDCCH, on vérifie le taux d'échec d'établissement du lien TCH Les
causes peuvent être un échec BSS (panne matérielle) ou un échec radio.[11]

II.2.4Les mesures de performance

II.2.4.1 Structure des mesures de performance

Les mesures de performances peuvent être classées sur la base des informations qu'elles
apportent en cinq grandes classes bien que nous verrons plus loin d'autres critères de classement.
Ainsi, on relève :

 Mesures relatives à la correction et la détection des erreurs : Pendant la phase de


planification, les sources d'erreurs, comme par exemple les phénomènes d'interférences,
sont multiples mais aussi pas évident à prévoir. Les mesures de performances permettent
la détection de ces erreurs

 Mesures relatives à la charge de trafic écoulé : Les mesures de la charge de trafic établies
dans une cellule ou dans tout le réseau offrent des données indispensables pour améliorer
l'exploitation des canaux et des ressources radio

 Mesures relatives à la disponibilité des ressources (Resource Availability Measurement) :


Grâce à cette catégorie de mesures, il est possible de gérer et de connaître la disponibilité
des ressources radio et de connaître à tout moment si des ressources sont actives ou

25
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
inactives. Les indicateurs relatives aux entités suivantes sont d'une grande utilité dans ce
contexte : TCH, SDCCH, BSC, BTS, TRX, SS7Links, PCM connections.

 Mesures relatives à la qualité de service: Connaître la qualité de service permet de fournir


aux abonnées de façon instantanée une bonne qualité de communication. Les mesures de
performances permettent donc de trancher sur la qualité des services fournis par
l'opérateur. Les différentes mesures et combinaisons de mesures mises en oeuvre dans
l'appréciation de la QoS seront traitées plus loin.

 Mesures à usage statistique : Les mesures de performances peuvent être très utiles pour le
service Marketing de l'opérateur. Ainsi, sur la base des données fournies par les mesures,
l'opérateur peut modéliser le comportement de ses abonnées ; à titre d'exemple, si les
mesures présentent des périodes à bas trafic téléphonique, il sera intéressant de lancer des
promotions incitant les clients à communiquer pendant ces mêmes périodes. La même
procédure peut s'appliquer si on raisonne sur les zones de couvertures au lieu des
périodes.

II.2.4.2 Les paramètres de mesure

II.2.4.2.1Les mesures d'accessibilité au réseau

Elle consiste à réaliser de vrais appels et à tester l'obtention du retour de sonnerie sur le
mobile. La communication n'est cependant pas décrochée et donc n'est pas établie. L'indicateur
appelé Call Setup Success Rate exprime le pourcentage d'appels établis avec succès. Est
considéré comme étant un appel, toute demande d'établissement d'une communication et qui
aboutit soit à un signal d'appel, soit à une annonce parlée ou à une tonalité d'occupation. La
norme GSM défini que tout appel doit pouvoir être établi en 10s maximum. De plus, le taux de
blocage à l'heure chargée doit être inférieur à 2% (< 2%). Au-delà de 10s, même si l'appel est
établi, il est considéré comme échec en termes de performance du système. Les différentes causes
pouvant dégradé le Call Setup sont les suivantes :

 Mauvaise couverture radio


 Congestion radio
 Disfonctionnement d'équipement

Au niveau du canal SDCCH les opérations existantes sont les suivants :

> SDCCH_SEIZ_ATTSDCCH seizureattempts qui indique le nombre de tentatives de prise de


canal SDCCH

26
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
> SDCCH_BLOCK: SDCCH blocked : indique la non attribution de canal SDCCH pour cause de
manque de ressources

>SUC_IMM_ASS_SDCCH_ cause successful SDCCH immediate assignment: assignation


réussie d'un canal SDCCH (cause = answer to paging, emergency call, originating call, location
update, etc.)

> SDCCH_LOSS: cela indique la coupure sur le canal SDCCH

II.2.4.2.2 Les mesures de niveau de champ (RxLev)

Elle consiste à mesurer la voie balise (BCCH), le numéro de champ RxLev reçu par le
mobile qui affiche le nombre de barrettes indiquant la puissance du signal reçu. Un faible niveau
de champ ou l'absence du champ se traduit par la présence d'une ou deux barrettes sur l'écran du
terminal ou par l'indication d'absence du signal. L'indicateur de présence du réseau ou RxLev
renseigne en tout point de couverture, la probabilité d'établir une communication. Ces mesures se
font au même rythme que les mesures d'accessibilité au réseau. Il existe deux unités de mesure
RxLev : le RxLev unit allant de 0 à 63 et le RxLev (dBm). La relation liant les deux unités de
mesure est la suivante :

RxLev (dBm)=-110 + [RxLev unit]

 Si RxLev unit=0, RxLev (dBm)=-110dBm


 Si RxLev unit=63, RxLev (dBm)=-47dBm

Le Tableau ci-dessous illustre la couverture en fonction du RxLev

RxLev (dBm) Niveau de couverture


-110 à -95 Pas de couverture
-95 à -85 Mauvaise couverture
-85 à -75 Assez bonne couverture
-75 à -65 Bonne couverture
-65 à -46 Très bonne couverture

Tableau II.1: couverture réseau en fonction du RxLev.

Le RxLev se mesure toujours lorsque le mobile est en mode veille ou "idle". Les principales
causes susceptibles d'affecter la qualité de la couverture radio sont :

27
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
 nombre insuffisant de BTS,
 mauvais paramétrage physique et logique des BTS (tilts, azimuts, puissances, etc.), types
d'antennes et qualité d'installation (pertes dans les câbles) ou défaut de maintenance
(humidité des feeders, dégradation des câbles, etc.),
 qualité du terminal de l'usager (sensibilité) ou détérioration de la partie émission
/réception RF.

II.2.4.2.3 Mesure de qualité de communication (RxQual)

Ces mesures consistent à évaluer la valeur RxQual enregistré par le mobile. La qualité de
communication ou Voice Quality désigne l'audibilité, la netteté et la clarté observées dans une
communication.

C'est un indicateur très important pour l'abonné. Il est souvent indiqué par le taux d'erreurs
binaires BER (Bits Errors Rate) et le taux de trames erronées FER (Frames Erasures Rate) chez
l'opérateur. Le BER est le taux de bits erronés reçus sur le total des bits transmis sur l'interface
air. Si ce taux est inférieur à un seuil déterminé pendant toute la communication, l'usager perçoit
une communication de bonne qualité. Le taux de trames erronées renvoie à la notion de collisions
destructives sur l'interface A-bis. Une collision destructive se produit lorsque plus de trois burst
GSM consécutifs présentent un niveau d'interférence supérieur au seuil acceptable. Dans ce cas,
la trame de parole GSM (transmise sur 8 burst consécutifs) sera mal reçue par l'usager et la
qualité du signal de parole sera dégradée. Les pertes de trames peuvent également se traduire par
des microcoupures pendant l'appel provoquant une mauvaise qualité de communication.

Le RxQual est mesuré uniquement à l'état dédié et sur la cellule serveuse, elle est codée sur
3 bits et prend les mesures de 0 jusqu'à 7. Le tableau ci-dessous illustre l'appréciation de la
qualité.
RxQual Bit Error Rate (BER) Qualité de communication
0 BER < 0.2% Excellente
1 BER= [0.2% à 0.4%] Bonne
2 BER= [0.4% à 0.8%]
3 BER= [0.8% à 1.6%] Assez bonne
4 BER= [1.6% à 3.2%]
5 BER= [3.2% à 6.4%] Mauvaise
6 BER= [6.4% à 12.8%]
7 BER>12.8% Très mauvaise

Tableau II.2 : correspondance entre la qualité de communication et le BER

28
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
II.3Présentation d'outils

II.3.1 Les mesures Drive Test

Les mesures Drive Test sont des campagnes de mesure effectuées par les techniciens et
ingénieurs de l'opérateur. Elles constituent le meilleur moyen de vérifier les performances du
réseau et de les ajuster aux attentes des abonnés car elles décrivent l'état de la qualité du réseau
telle qu'elle est perçue par les abonnés. Durant les campagnes de mesure, le technicien teste :

 L'établissement de l'appel (absence d'échec)


 Le maintien de la communication pendant une certaine période (absence de coupure)
 La qualité de la communication

Figure II.2 : Les composants de l’outil Drive Test.[18]

Les Drive Test sont sans doute une partie essentielle pour optimiser de façon continue les
performances de réseau mobile afin de maintenir la satisfaction des abonnés. Pour réaliser ça une

29
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
équipe se déplace dans une voiture munie d'une chaine de mesure numérique de type Drive Test
composé essentiellement de :

 Terminal Mobile et carte SIM


 GPS (Global Positionning System)
 Lap top et Software [12]

II.3.1.1Les éléments de la chaine de mesure

La chaine de mesure Drive Test est basée principalement sur des mesures d'accessibilité et
d'établissement de communication (TCH). Ses différents sont les suivants :

 Le Mobile Station (MS) dans la chaine de mesure est appelé mobile à trace
directement rattaché au Laptop par câble avec qui il communique les mesures
effectuées. Ce MS contient plusieurs fonctionnalités. Ce mobile renseigne sur la
couverture (RxLev) sur le mode Idle ou actif

 Le Global Positionning System (GPS) : le GPS est un outil indispensable dans


la chaine de mesure car il renseigne sur la position géographique de chaque
point de mesure afin de localiser exactement le défaut sur le réseau. Une
précision du GPS est demandée. Elle est de l'ordre de quelques mètres.

 L'ordinateur portable + Software (Tems investigation) : ils permettent


l'acquisition et le traitement des données récupérées des mobiles à trace et des
récepteurs GPS. Une fois les mesures obtenues, cet ensemble permet de
constater l'état du réseau en place.[13]

II.4 Les analyseurs de protocoles et optimisation

II.4.1. Les analyseurs de protocoles

L'analyseur de protocole est un moteur qui génère des indicateurs pertinents qui
permettent de comprendre l'état d'un réseau à un instant « t » situé dans le passé, le présent
ou le futur. Il permet l'obtention simple et rapide de nombreuses statistiques qui facilite ainsi la
vision de tout le réseau. Les analyseurs de protocole peuvent être reliés aux BTS, aux BSC, ou
bien aux MSC pendant une certaine période de temps.
Les mesures faites avec les analyseurs de protocoles ont pour avantages :
Que tous les événements capturés sont disponibles pour une analyse postérieure et détaillée.
 Que les mesures sont faites dans les deux sens UL et DL,

30
Chapitre II La Qualité de Service: Principe et
Caractéristiques
 Qu'elles favorisent une finesse de l'analyse radio,
 Que les constructeurs sont indépendants,
 Qu'elles sont exhaustives.
L'inconvénient de ces analyseurs est qu'ils sont difficiles à mettre en œuv e et c'est coûteux
de les avoir en grand nombre afin de pouvoir observer de manière permanente le réseau GSM
en entier.

Figure II.3: Analyseur de protocole

II.4.2. Optimisation

Avec les données en notre possession on va pouvoir effectuer une analyse, suivie de
décisions qui seront prises dans l'optique d'améliorer le réseau et diminuer les zones de
désertes. Il est également important d'optimiser le réseau pour maximiser la quantité de
requêtes satisfaites. Pour cela, différentes techniques d'optimisation existent

II.5 Conclusion

Pour l’opérateur téléphonique il est primordial d’avoir une couverture réseau optimale qui
touche tout le pays sans pour autant avoir plus d’équipement qu’il n’en faut, Donc c’est un fin
équilibre entre couverture, qualité de service et investissement.

Par ailleurs est marqué par les principes et les caractéristiques de qualité de service et de dans
lesquelles sont énumérées les mesures de performance, les critères pour une meilleure
performance du réseau, les éléments qui permettent de mesurer les performances à savoir les
mesures Drive Test.

31
22
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)

III.1 Introduction
L’optimisation par essaim de particules (Particle Swarm Optimization (PSO) dans la langue
de SHAKES-PEARE) est une méthode d’optimisation stochastique, pour les fonctions non-
linéaires, basée sur la reproduction d’un comportement social et développée par le Dr.
EBERHART et le Dr. KENNEDY en 1995.

L’origine de cette méthode vient des observations faites lors des simulations informatiques
de vols groupés d’oiseaux et de bancs de poissons de REYNOLD, HEPPNER et GRENANDER.
Ces simulations ont mis en valeurs la capacité des individus d’un groupe en mouvement à
conserver une distance optimale entre eux et à suivre un mouvement global par rapport aux
mouvements locaux de leur voisinage.

D’autre part, ces simulations ont également révélé l’importance du mimétisme dans la
compétition qui oppose les individus à la recherche de la nourriture. En effet,
les individus sont à la recherche de sources de nourriture qui sont dispersés de façon aléatoire
dans un espace de recherche, et dès lors qu’un individu localise une source de nourriture, les
autres individus vont alors chercher à le reproduire.

Ce comportement social basé sur l’analyse de l’environnement et du voisinage constitue


alors une méthode de recherche d’optimum par l’observation des tendances des individus voisins.
Chaque individu cherche à optimiser ses chances en suivant une tendance qu’il modère par ses
propres vécus.[14]

III.2Applications

Les essaims de particules sont essentiellement utilisés afin de trouver l’optimum de


fonctions non-linaires. Pour cette raison, cette méthode est utile pour optimiser l’entraînement
des réseaux GSM.

III.3Présentation de PSO :

L’Optimisation par Essaim de Particules (OEP), connu sous le nom anglophone de Particle
Swarm Optimization (PSO), est un algorithme inscrit dans la famille des algorithmes
évolutionnaires. Il a été proposé par Russel Eberhart (ingénieur en électricité) et James Kennedy
(socio psychologue) en 1995.
Cette méthode trouve sa source dans les observations faites lors des simulations
informatiques de vols groupés d’oiseaux et de bancs de poissons de Reynold, Heppner &
Grenander. Autrement-dit, elle s’inspire fortement de l’observation des relations grégaires
d’oiseaux migrateurs, qui pour parcourir de «longues distances» (migration, quête de nourriture,
parades aériennes, etc.), doivent optimiser leurs déplacements en termes d’énergie dépensée, de
temps, (etc.), comme par exemple la formation en forme de V présentée dans la Figure III.8

33
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)

Figure III 8: Volée d'Anser

Le déplacement de ses animaux en essaim est complexe, sa dynamique obéit à des règles et
des facteurs bien spécifiques qu’il s’agit de cerner :
 Chaque individu dispose d’une certaine intelligence «limitée» (qui lui permet de
prendre une décision).
 Chaque individu doit connaitre sa position locale et disposer d’information locale
de chaque individu se trouvant dans son voisinage.
Obéir à ces trois règles simples, « rester proche des autres individus », « aller dans
une même direction »ou « voler à la même vitesse ».

Tous ses facteurs et règles sont indispensables pour le maintien de la cohésion dans
l’essaim, ceci par l’adoption d’un comportement collectif complexe et adaptatif.

III.3.1 Définition sur optimisation par essaims de particule

Optimisation Par Essaims de Particule (OEP): Est une technique évolutionnaire qui utilise
“une population” de solutions candidate pour développer une solution optimale au problème
d’optimisation.
Le degré d’optimalité est mesuré par une fonction fitness définie par l’utilisateur. Il s’agit
d’une méthode fondée sur la notion de coopérations des agents, appelés ici ‘‘particules’’.[15]

Cet algorithme prévoit à l'origine pour simuler graphiquement la chorégraphie scieuse et


imprévisible des gens d'oiseau. Chaque individu dans l'essaim est représenté par un vecteur dans
l'espace de recherche multidimensionnel. Ce vecteur a également un vecteur assigné qui
détermine le prochain mouvement de la particule et s'appelle le vecteur de vitesse. [16]

34
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)

III.3.2 Principe de l’algorithme:


L’algorithme PSO décrit ci-dessous est celui qui considère le voisinage d’une particule
comme étendu à toute la population :

1. Création d’une population P de N particules réparties sur l’espace de recherche ε.


2. Chaque particule pt∈P est évaluée à l’aide d’une fonction de fitness f mesurant l’adéquation de
cette solution potentielle avec le problème, qu’on cherche argmin de f(x).
3. Si la position xi de la particule i est meilleure au sens de la fonction de fitness que sa
meilleure position jamais rencontrée pBesti, mettre à jour pBesti.
4. Déterminer la meilleure particule gbesti parmi la population courante, c'est-à-dire :
gBest = argmin (pBest)

5. Mettre à jour la vitesse vi(t+1) de chaque particule i selon la règle suivante :

6. Déplacer les particules à leur position Xi(t+1) :

Avec:

Vi: est la vitesse de particule i.


Xi:est la position de la particule i.
ω: est la coefficient d’inertie.
c1et c2: sont deux constantes d’accélération c1=c2∈ [0 ; 4].
r1et r2: sont deux variables aléatoires uniformes sur [0 ; 1]
pBest(t): est la meilleure solution de la particule i.
gBest(t): est la meilleure solution dans le voisinage (toutes les particules).
N: est le nombre des particules.

 L’inertieωest définie par l’équation:

35
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
ωmax : l’inertie initial.
ωmin: l’inertie final
iter max: le maximum de nombre d’itération.
iter : le numéro d’itération actuelle.

7. Reboucler sur la seconde étape (pour t+1) jusqu’à ce qu’un critère de fin soit vérifié.[17]

Figure III.9: principe de l’algorithme.[17]

36
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)

Le principe de l’algorithme peut être plus facilement visualisé grâce à la figure suivante :

Figure III.10Organigramme « méthode des essaims particulaires »[17]

37
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
III. 3.3 Les paramètre
Il y a 7 paramètres qui entrent en ligne de compte

III.3.3.1 La dimension de problème


C.-à-d. le nombre de paramètre qui va optimiser par cet algorithme.

III.3.3.2 Nombre de particules


La quantité de particules allouées à la résolution du problème dépend essentiellement de
deux paramètres :
La taille de l’espace de recherche et le rapport entre les capacités de calcul de la machine et le
temps maximum de recherche.
Il n’y a pas de règle pour déterminer ce paramètre, faire de nombreux essais permet de se doter de
l’expérience nécessaire à l’appréhension de ce paramètre. [14]

III.3.3.3 Coefficients de confiance


Les variables de confiance pondèrent les tendances de la particule à vouloir suivre son
instinct conservation ou son panurgisme.
Où r1 et r2 suivent une loi uniforme sur [0..1] et c1 et c2 sont des constantes positives
sdéterminées de façon empirique et suivant la relation c1 + c2<= 4. [16]

III.3.3.4 La vitesse maximale


Afin d’éviter que les particules ne se déplacent trop rapidement ou trop lentement dans
l’espace de recherche, passant éventuellement à côté de l’optimum, il peut être nécessaire de fixer
une vitesse maximale (notée −→Vmax)et une vitesse minimale() pour améliorer la convergence
de l’algorithme.

L’équation de la vitesse devient alors :

III.3.3.5 L’inertie
Le facteur d'inertie ω permet de définir la capacité d’exploration de chaque particule en vue
d’améliorer la converge de la méthode.

38
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)

III.3.3.6 Notation du voisinage

Figure III.11 (a) anneau (avec n =2), (b) rayon, (c) étoile

La topologie du voisinage défini avec qui chacune des particules va pouvoir communiquer.
Il existe de nombreuses combinaisons dont les suivantes sont les plus utilisées :
a) topologie en étoile : chaque particule est reliée à toutes les autres, ie. l’optimum du
voisinage est l’optimum global ;
b) topologie en anneau : chaque particule est reliée à n particules (en général, n =3), c’est la
topologie la plus utilisée ;
c) topologie en rayon : les particules ne communiquent qu’avec une seule particule centrale ;
[14]

III.3.3.7 Le critère d’arrêt

Le critère d’arrêt diffère suivant le problème d’optimisation posé et les contraintes de


l’utilisateur, il est fortement conseillé de doter l’algorithme d’une porte de sortie puisque la
convergence vers la solution optimale globale n’est pas garantie dans tous les cas de figure même
si les expériences dénotent la grande performance de la méthode

III.3.8 Traitement:

Répéter
Pour i de 1 à N faire
Si (F (xi) > pbesti ) Alors
pbesti F (xi)
xpbestixi
39
Chapitre III Algorithme Optimisation par essaim
de particules (PSO)
Fin Si
Si (F (xi) gbesti) alors
gbesti F(x)i
xgbesti xi

Fin Si
Fin Pour

Pour i de 1 à N faire
viv i + c1r1(xpbesti - xi ) + c2r2(xgbesti - xi )
xixi = vi
Fin Pour
Jusqu’a ce que (le processus converge)

III.4Conclusion
Dans ce chapitre a été présenté l’algorithme d’optimisation par essaim particulaire
(PSO) inspiré du monde des animaux (espèces d’oiseaux). Depuis sa création, cette
méthode a rencontré un franc succès, en raison de sa simplicité et de son efficacité sur une
vaste gamme de problèmes, sans toutefois que l’utilisateur ait à modifier la structure de
base de l’algorithme. Mais le choix de paramètres reste l'un des problèmes de l'optimisation par
particules d'essaim, c'est très difficile de trouver des bons paramètres adaptés à la structure du
problème.

40
Chapitre IV Analyse et Conception

IV.1 Introduction
Le processus de développement de notre application commence par l’identification et la
détermination de réseau à étudier. Cette détermination se fait par l’obtention des différents
indicateurs et leurs mesures. L’analyse de ces indicateurs commence et le processus de
détection des anomalies se déclenche. Cette étape consiste à la synthèse des différentes
sources d’informations et la transmission de cette synthèse pour optimisation et maintenance
du réseau. Dans le schéma ci- dessous, on va présenter les étapes de ce processus.

Figure IV.4 : Processus d’analyse

Pour notre conception, on a utilis l’app o he orienté objet pour sa lisibilité et la richesse de
ses modèles. On utilise les diagrammes UML pour entamer les différentes phases le
d veloppe e t d’u logi iel.

42
Chapitre IV Analyse et Conception

IV.2 La modélisation fonctionnelle


Pour la modélisation des besoins, nous utilisons diagramme de cas d'utilisation.

IV.2 .1 DIAGRAMME DE Cas d’utilisation :

Les cas utilisation sont une technique puissante pour consigner et traduire le
comportement détaillé du système. Un cas d’utilisation est un texte qui décrit l’interaction et il
spécifie ce que le système devrait effectuer.
 Les acteurs:
 Le responsable de la maintenance:
 faire des mesures
 se localiser en temps réel
 analyser les mesures
 optimiser le réseau

43
Chapitre IV Analyse et Conception

Diagramme de cas utilisation pour

Figure IV.5 : Diagramme de cas d’utilisation

44
Chapitre IV Analyse et Conception

IV.3 la modélisation Statique :


Précédemment on a parlé des deux grandes catégories de diagrammes UML (statique et
dynamique) l'un des diagrammes statiques nous intéresse beaucoup pour pouvoir implémenter
le code, il s'agit du diagramme de classes.

IV.3.1 Diagramme de classes

Ce modèle nous permet d'avoir une vue statique de l'application. Il nous montre les
relations entre les différentes entités (classes) de la base de données.

Diagramme de classe générale:

Figure IV.6 : Diagramme de classe.

45
Chapitre IV Analyse et Conception

IV.4 La modélisation dynamique


Comme on l'a dit UML2 possède treize diagrammes. Quant à la catégorie dynamique à
elle seule est associée huit diagrammes. Dans notre application on va s'en servir des deux
seulement énoncés ci-dessus. On ne peut pas aller directement à la conception sans faire une
petite description du fonctionnement de l'application.

IV.4.1 Diagramme de séquence

Il s'agit d'une explication détaillée d'un cas d'utilisation. Les principales informations
contenues dans un diagramme de séquence sont les messages échangés entre les lignes de vie,
présentés dans un ordre chronologique.

Figure IV.7: diagramme de séquence.

46
Chapitre IV Analyse et Conception

IV.5 Conclusion
Dans ce chapitre nous avons étudié la conception UML dont les différents diagrammes
comme il est indiqué précédemment. En résumé; l’UML est un langage mais contient des
méthodes.

47
Chapitre V Résultats et discussion

Introduction :
L’o te tio d’u eilleu QoS est as e su l'a al se d'u g a d o e de esu es
expérimentales c. -a-d. une analyse statistique de données en fonction de différents paramètres
(la fréquence, la distance, la hauteur des antennes, est affaiblissement).
Les pa a t es du seau peuve t t e ajust s. L’ajuste e t doit se faire afin d'obtenir un
minimum d'erreur entre les valeurs seuils et les mesures réelles. Cela rendra le service du
réseau plus performant et par conséquent le client satisfait.
Nous p oposo s u outil d’opti isatio de seau GSM as su l’algo ith e PSO selo les
diff e ts i di ateu s de pe fo a es du QoS. Nos do es d’e t es so t les esu es elles
de différents paramètres du réseau obtenues par le Drive Test.

V.1 Modélisation du problème

La qualité de service est une signification très importante dans un réseau GSM. Cet effet
est d fi i pa l’effet glo al p oduit pa la ualit de fo tio e e t d’u se vi e ui d te i e
le deg de satisfa tio de l’usage d’u se vi e.
Le QoS est basés sur l'analyse d'un grand nombre de mesures c.à.d. Une analyse
stochastique de données en fonction de différents paramètres (L'intensité du signal (RxLEV), La
qualité du signal (RxQual); Interférence (C/I); Appels interrompus; Événements anormaux;
Statisti ues d’appels; I fo atio s QoS MOS ; Voisi es i fo atio s de ellule; Lieu de
coordonnées GPS).
Les mesures de performance estimées peuve t t e ajust s. L’ajuste e t doit e fai e afi
d'obtenir des valeurs optimum entre les valeurs seuils et
les valeurs mesure. Cela rendra le QoS mieux. Il existe plusieurs algorithmes pour optimiser QoS
d’u seau GSM pou e t avail o opti ise a ave l’algo ith e PSO.

V.2 Récolte des données

V.2.1Tableau des données de 5 BTS avec MAPINFO

nom_bts id_bts Y-LAT X-LON AZ HBWB MOD3


BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 0 65 1
BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 120 65 2
BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 240 65 3
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 0 65 1
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 120 65 2
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 240 65 3
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 0 65 1
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 120 65 2
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 240 65 3
BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 0 65 1

48
Chapitre V Résultats et discussion

BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 120 65 2


BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 240 65 3
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 0 65 1
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 120 65 2
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 240 65 3

Tableau V.1 les données de 5 BTS avec MAPINFO

49
Chapitre V Résultats et discussion

FigureV.12 image géographie de réseau GSM de Djezzy Saida.

V.2.2 La matrice de 6 BTS adjacentes :

BTS1 BTS2 BTS3 BTS4 BTS5 BTS6


BTS1 0 0 1 0 0 0
BTS2 0 0 0 0 0 0
BTS3 0 0 0 0 0 0
BTS4 0 0 0 0 1 0
BTS5 0 0 0 0 0 0
BTS6 0 0 1 0 0 0

Tableau V.2La matrice de 6 BTS adjacentes

50
Chapitre V Résultats et discussion

Figure V.13graphe des BTS adjacentes

V.2.3 Tableau les mesures de 10 BTS avec Drive Test

nom_bts id_bts RX_LEV RX_QUAL Y-LAT X-LON TAUX_C


BTS1 BTS_1 -68dbm BER= [0.1%] 34.8420105 0.1133387 1.5
BTS2 BTS_2 -52 dbm BER= [0.25%] 34.8492983 0.1482886 1.4
BTS3 BTS_3 -77 dbm BER= [0.5%] 34.8439755 0.1536154 1.1
BTS4 BTS_4 -70 dbm BER= [1%] 34.8511866 0.1317500 0.9
BTS5 BTS_5 -89 dbm BER= [2.7%] 34.8572791 0.1548385 1.5
BTS6 BTS_6 -81 dbm BER= [5.4%] 34.8780443 0.1456975 1.3
BTS7 BTS_7 -96 dbm BER= [9.8%] 34.8346937 0.1618337 0.9
BTS8 BTS_8 -103dbm BER= [13%] 34.8612922 0.1465122 1.2
BTS9 BTS_9 -47 bdm BER= [0.2%] 34.8516133 0.1539958 0.8
BTS10 BTS_10 -90 dbm BER= [11%] 34.8465215 0.1437574 1.1

51
Chapitre V Résultats et discussion

Tableau V.3 les mesures de 10 BTS avec Drive Test

V.3Outils software et hardware

V.3.1Fiche technique de matériel utilisé


Nous avons utilisé comme environnement matériel un ordinateur qui possède comme
caractéristiques :
 Un processeur Intel Inside® Corê i5, 2.60 GHz.
 Une mémoire vive de 4Go.
 Un disque dur 1 To.
 Un écran 17 pouces
Le système d’exploitation Windows 10 professionnel

V.3.2Environnement de développement logiciel

JAVA :
Java est un langage de programmation orienté objet créé par James Gosling et Patrick
Naughto et une plate-forme informatique qui ont été créés par Sun Microsystems en 1995.
Beaucoup d'applications et de sites Web ne fonctionnent pas si Java n'est pas installé et leur
nombre ne cesse de croître chaque jour. Java est rapide, sécurisé et fiable. Des ordinateurs
portables aux centres de données, des consoles de jeux aux superordinateurs scientifiques, des
téléphones portables à Internet, la technologie Java est présente sur tous les fronts [21]

PHP My Admin

PHP My Admin (PMA) est une application Web de gestion pour les systèmes de gestion de
base de données MySQL réalisée en PHP.

Fonctionnalités

Il s'agit de l'une des plus célèbres interfaces pour gérer une base de données MySQL sur un
serveur PHP. De nombreux hébergeurs, gratuits comme payants, le proposent ce qui évite à
l'utilisateur d'avoir à l'installer.

52
Chapitre V Résultats et discussion

Cette interface pratique permet d'exécuter, très facilement et sans grandes connaissances en bases
de données, des requêtes comme les créations de table de données, insertions, mises à jour,
suppressions et modifications de structure de la base de données, ainsi que l'attribution et la
révocation de droits et l'import/export. Ce système permet de sauvegarder commodément une
base de données sous forme de fichier .sql et d'y transférer ses données, même sans connaître
SQL.
Les requêtes SQL restent possibles, ce qui permet de les tester interactivement lors de la création
d'un site pour les utiliser ensuite en batch une fois au point.

V.3.2Environnement de développement d’outil

Vu la multidisciplinarité et sa domination croissante, plusieurs outils de développement de


voir le jour. On peut rencontrer pas mal d'Environnement de Développement Intégré (EDI).
Certains sont en open source et d'autres commerciaux.

Pour la réalisation de ce projet nous avons choisi de travailler avec :


NetBeans version 8.1
NetBeans est un environnement de développement intégré (EDI), placé en open
source par Sun en juin 2000 sous licence CDDL (Common Development and Distribution
License) et GPLv2. En plus de Java, NetBeans permet également de supporter différents autres
langages, comme C, C++, JavaScript, XML, Groovy, PHP et HTML de façon native ainsi que
bien d'autres (comme Python ou Ruby) par l'ajout de greffons. Il comprend toutes les
caractéristiques d'un IDE moderne (éditeur en couleur, projets multi-langage, refactoring, éditeur
graphique d'interfaces et de pages Web).
Conçu en Java, NetBeans est disponible sous Windows, Linux, Solaris (sur x86 et SPARC), Mac
OS X ou sous une version indépendante des systèmes d'exploitation (requérant une machine
virtuelle Java). Un environnement Java Development Kit JDKest requis pour les développements
en Java.
NetBeans constitue par ailleurs une plate forme qui permet le développement d'applications
spécifiques (bibliothèque Swing (Java)). L'IDE NetBeans s'appuie sur cette plate forme.[19]

XAMPP version 5.6.14-4


XAMPP est un ensemble de logiciels permettant de mettre en place facilement un serveur
Web confidentiel, un serveur FTP et un serveur de messagerie électronique. Il s'agit d'une
distribution de logiciels libres (X (cross) Apache MySQL Perl PHP) offrant une bonne souplesse

53
Chapitre V Résultats et discussion

d'utilisation, réputée pour son installation simple et rapide. Ainsi, il est à la portée d'un grand
nombre de personnes puisqu'il ne requiert pas de connaissances particulières et fonctionne, de
plus, sur les systèmes d'exploitation les plus répandus.
Il est distribué avec différentes bibliothèques logicielles qui élargissent la palette des services de
façon notable : OpenSSL, Expat(parseur XML), PNG, SQLite, zlib… ainsi que différents
modules Perl et Tomcat. Nombre de ces extensions étant inutiles aux débutants, une version
allégée — version lite — est en conséquence aussi proposée.[19]

Argo UML version 0.34


Argo UML est un logiciel libre de création de diagrammes UML. Programmé en Java. il est
édité sous licence EPL 1.0. Il est multilingue, supporte la génération de code et l'ingénierie
inverse.
Argo UML supporte sept cas de situations :
cas d'utilisation, classes, séquence, état, collaboration, activité et déploiement.
La génération de code à partir de diagrammes de classes est supportée dans les langages
suivants : Java, C++, PHP, C# et SQL.[19]

MapInfoversion : 15.0
Un système d'information géographique (SIG) est un système d'information permettant de
créer, d'organiser et de présenter des données alphanumériques spatialement référencées,
autrement dit géo référencées, ainsi que de produire des plans et des cartes. Ses usages couvrent
les activités géomatiques de traitement, de partage et de diffusion de l'information géographique.
La représentation est généralement en deux dimensions, mais un rendu 3D ou une animation
présentant des variations temporelles sur un territoire sont possibles. Beaucoup de personnes
assimilent (à tort) un SIG à un logiciel alors que ce n'est que l'une des composantes d'un
ensemble incluant le matériel, l’immatériel, les acteurs, les objets et l’environnement, l’espace et
la spatialité. Le logiciel offre les fonctions utiles à l'exploitation d'un SIG. [20]
V.4Présentation de l'application développée
Notre application. La multitude des tâches que notre application est capable de faire
engendre supervision; analyser et optimiser un réseau GSM nombre de fenêtres. On peut citer
quelque unes.
V.4.2 La première interface :

54
Chapitre V Résultats et discussion

Figure V.14 La première interface.

55
Chapitre V Résultats et discussion

V.4.2L’interface de supervision

Figure V.15 L’interface de supervision de réseau GSM Djezzy Saida.

56
Chapitre V Résultats et discussion

V.4.2 L’interface des mesures Drive Test

Figure V.16 L’interface des mesures Drive Test

57
Chapitre V Résultats et discussion

V.4.3 L’interface de résultat analyser des mesures

Figure V.17 L’interface de résultat analyser des mesures

58
Chapitre V Résultats et discussion

V.4.3 L’interface de résultat d’optimisation des mesures

Figure V.18 L’interface de résultat d’optimisation des mesures

V.5 résultat et Discussion


Nous présentons maintenant les résultats expérimentaux obtenus avec PSO. Les résultats de
l'optimisation sont présentés à la figure V.19 Sur cette figure, les valeurs de RXLEV mesurées
par drive test et les valeurs optimisées, nous pouvons constater que l'amélioration des mesures à
l'optimal, permet d’obtenir une bonne optimisation de la qualité de couverture.

59
Chapitre V Résultats et discussion

Optimisation1 Optimisation2

Figure V.19 L’interface de comparaison résultat d’optimisation des mesures

Statistique :
Les résultats d'estimation de statistique, pour chaque optimisation sont présentés dans le
tableau V.4 Dans ce tableau, le statique des BTS de chacune des cas de la qualité de couverture

Optimisation1 Pas de Mauvaise Assez bonne Bonne Très bonne


couverture couverture couverture couverture couverture
2 3 5 3 7
Optimisation2 Pas de Mauvaise Assez bonne Bonne Très bonne
couverture couverture couverture couverture couverture
1 4 3 4 8
Tableau V.4 les des BTS de chacune des cas de la qualité de couverture.

60
Chapitre V Résultats et discussion

Conclusion :

L'optimisation par essaims de particules présente un fort potentiel d'application pratique,


mais le choix de paramètres reste l'un des problèmes de l'optimisation par particules
d'essaim, c'est difficile de trouver des bons paramètres adaptés à la structure du problème.

Dans notre mise en œuv e de l’appli atio , ous avo s essa de ie adapte
l’algo ith e PSO à différentes données du réseau GSM. Le PSO est sans doute un algorithme
évolutionnaire et révolutionnaire, par ses idées, avancées, et améliorations apportées mais il
reste délicat dans le choix des différents paramètres. Les premiers résultats obtenus par notre
outil d velopp so t satisfaisa ts. C’est u s st e ouve t ui peut t e a lio pa le test de
différentes fonctions de fitness adaptées aux relations algébriques entres les paramètres de
performance du réseau GSM.

Les résultats obtenues par PSO sont très satisfaisant et confirment bien la validité
de l’algorithme, sa simplicité d’implémentation lui donne un avantage conséquent

61
Conclusion Générale

Conclusion Générale :

Le réseau GSM est la première norme de téléphonie mobile dans le


o de pou pe ett e la solutio des diff e ts p o l e eçus ap s u’u
réseau est mis en service, une fois le réseau installé, tous les organes du réseau sont
supervisés dans un centre de contrôle national ou régional où sont mises en
évidence les pannes et les surcharges. Les pannes sont réparées et les surcharges
répertoriées. Une surcharge trop fréquente en un point du réseau peut être
sig ifi ative d’u e auvaise ad uatio pa appo t au t afi , souve t due à des
volutio s de la f ue tatio d’u lieu depuis la o eptio du seau.
Les plaintes des usagers sont également répertoriées et si nécessaire, des
essais terrain sont lancés sur la zone incriminée pour vérifier la qualité de la
couverture radio et intervenir le cas échéant.
L’opti isatio adio pe et la gestio , la v ifi atio et l’a lio atio de la
performance du réseau.
Un réseau cellulaire couvre une large zone et fournit la capacité nécessaire
pour servir ses abonnés avec une bonne qualité de communication pour assurer le
bon fonctionnement du réseau.
L’o je tif de e t avail est la alisatio d’u outil d’opti isatio « GSM-PSO »
pe etta t l’ valuatio des pa a t es adio utilis s da s la gestio de la liaiso
radio.
Not e appli atio d’opti isatio adio « GSM-PSO » réalisé sous Windows
présente une grande souplesse, u e fia ilit et u e apidit d’e utio .

62
Annexe

Tableau des données de MAPINFO

nom_bts id_bts Y-LAT X-LON AZ HBWB MOD3


BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 0 65 1
BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 120 65 2
BTS1 BTS_1 34.8420105 0.1133387 240 65 3
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 0 65 1
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 120 65 2
BTS2 BTS_2 34.8492983 0.1482886 240 65 3
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 0 65 1
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 120 65 2
BTS3 BTS_3 34.8439755 0.1536154 240 65 3
BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 0 65 1
BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 120 65 2
BTS4 BTS_4 34.8511866 0.1317500 240 65 3
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 0 65 1
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 120 65 2
BTS5 BTS_5 34.8572791 0.1548385 240 65 3
BTS6 BTS_6 34.8780443 0.1456975 0 65 1
BTS6 BTS_6 34.8780443 0.1456975 120 65 2
BTS6 BTS_6 34.8780443 0.1456975 240 65 3
BTS7 BTS_7 34.8346937 0.1618337 0 65 1
BTS7 BTS_7 34.8346937 0.1618337 120 65 2
BTS7 BTS_7 34.8346937 0.1618337 240 65 3
BTS8 BTS_8 34.8612922 0.1465122 0 65 1
BTS8 BTS_8 34.8612922 0.1465122 120 65 2
BTS8 BTS_8 34.8612922 0.1465122 240 65 3
BTS9 BTS_9 34.8516133 0.1539958 0 65 1
BTS9 BTS_9 34.8516133 0.1539958 120 65 2
BTS9 BTS_9 34.8516133 0.1539958 240 65 3
BTS10 BTS_10 34.8465215 0.1437574 0 65 1
BTS10 BTS_10 34.8465215 0.1437574 120 65 2
BTS10 BTS_10 34.8465215 0.1437574 240 65 3
BTS11 BTS_11 34.8733733 0.1505198 0 65 1
BTS11 BTS_11 34.8733733 0.1505198 120 65 2
BTS11 BTS_11 34.8733733 0.1505198 240 65 3
BTS12 BTS_12 34.8748714 0.1569813 0 65 1
BTS12 BTS_12 34.8748714 0.1569813 120 65 2
BTS12 BTS_12 34.8748714 0.1569813 240 65 3
BTS13 BTS_13 34.8814377 0.1528838 0 65 1
BTS13 BTS_13 34.8814377 0.1528838 120 65 2
BTS13 BTS_13 34.8814377 0.1528838 240 65 3
BTS14 BTS_14 34.830083 0.153273 0 65 1
BTS14 BTS_14 34.830083 0.153273 120 65 2

62
Annexe

BTS14 BTS_14 34.830083 0.153273 240 65 3


BTS15 BTS_15 34.8350366 0.1537666 0 65 1
BTS15 BTS_15 34.8350366 0.1537666 120 65 2
BTS15 BTS_15 34.8350366 0.1537666 240 65 3
BTS16 BTS_16 34.8364766 0.1735887 0 65 1
BTS16 BTS_16 34.8364766 0.1735887 120 65 2
BTS16 BTS_16 34.8364766 0.1735887 240 65 3
BTS17 BTS_17 34.8336471 0.1441954 0 65 1
BTS17 BTS_17 34.8336471 0.1441954 120 65 2
BTS17 BTS_17 34.8336471 0.1441954 240 65 3
BTS18 BTS_18 34.8283609 0.1209343 0 65 1
BTS18 BTS_18 34.8283609 0.1209343 120 65 2
BTS18 BTS_18 34.8283609 0.1209343 240 65 3
BTS19 BTS_19 34.8523844 0.1642681 0 65 1
BTS19 BTS_19 34.8523844 0.1642681 120 65 2
BTS19 BTS_19 34.8523844 0.1642681 240 65 3
BTS20 BTS_20 34.836383 0.136705 0 65 1
BTS20 BTS_20 34.836383 0.136705 120 65 2
BTS20 BTS_20 34.836383 0.136705 240 65 3

Tableau des mesures avec Drive Test :

nom_bts id_bts RX_LEV RX_QUAL Y-LAT X-LON TAUX_C


BTS1 BTS_1 -68 dBm BER= [0.1%] 34.8420105 0.1133387 1.5
BTS2 BTS_2 -52 dBm BER= [0.25%] 34.8492983 0.1482886 1.4
BTS3 BTS_3 -77 dBm BER= [0.5%] 34.8439755 0.1536154 1.1
BTS4 BTS_4 -70 dBm BER= [1%] 34.8511866 0.1317500 0.9
BTS5 BTS_5 -89 dBm BER= [2.7%] 34.8572791 0.1548385 1.5
BTS6 BTS_6 -81 dBm BER= [5.4%] 34.8780443 0.1456975 1.3
BTS7 BTS_7 -96 dBm BER= [9.8%] 34.8346937 0.1618337 0.9
BTS8 BTS_8 -103 dBm BER= [13%] 34.8612922 0.1465122 1.2
BTS9 BTS_9 -47 dBm BER= [0.2%] 34.8516133 0.1539958 0.8
BTS10 BTS_10 -90 dBm BER= [11%] 34.8465215 0.1437574 1.1
BTS11 BTS_11 -94 dBm BER= [7.3%] 34.8733733 0.1505198 1.5
BTS12 BTS_12 -109 dBm BER= [12.9%] 34.8748714 0.1569813 1.5
BTS13 BTS_13 -56 dBm BER= [0.9%] 34.8814377 0.1528838 1.4
BTS14 BTS_14 -87 dBm BER= [6.4%] 34.830083 0.153273 1.2
BTS15 BTS_15 -72 dBm BER= [2.7%] 34.8350366 0.1537666 1.5
BTS16 BTS_16 -80 dBm BER= [0.6%] 34.8364766 0.1735887 1.5
BTS17 BTS_17 -98 dBm BER= [13.7%] 34.8336471 0.1441954 1.6
BTS18 BTS_18 -68 dBm BER= [0.3%] 34.8283609 0.1209343 1.4

63
Annexe

BTS19 BTS_19 -92 dBm BER= [10.9%] 34.8523844 0.1642681 1.3


BTS20 BTS_20 -49 dBm BER= [0.15%] 34.836383 0.136705 1.5

La matrice d’adjacentes du réseau


B B B B B B B B B B B B B B B B B B B B
TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS TS
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20
B
T
S
1 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0
B
T
S
2 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
3 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0
B
T
S
4 0 0 0 0 1 0 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
5 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0
B
T
S
6 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
7 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1 1 0 0 0 0 0
B
T
S
8 0 0 1 1 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
9 1 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1
B
T
S
1
0 1 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1
B
T
S 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0

64
Annexe

1
1
B
T
S
1
2 0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
1
3 0 0 0 0 1 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0
B
T
S
1
4 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 1 0 1 0 0 0 0
B
T
S
1
5 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0 0 0 0
B
T
S
1
6 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0
B
T
S
1
7 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 1 0
B
T
S
1
8 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0
B
T
S
1
9 0 0 0 1 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0
B
T
S
2
0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0

65
REFERENCES

Références :
[1] :https://www.google.com/search?q=architecteur+reseau+GSM&client=firefox-
b&tbm=isch&tbs=rimg
[2] : K. El-Khazen, « Mobile Communications », SFR, France, 2016, pp.4-10.
[3] : P. Brisson, P. Kropf, « GSM : Global System for Mobile Communications », IFT-6275,
Canada, 2008, pp 4-13.
[4] : N. Yimbere, « Implémentations des nouvelles méthodes dans le système radio GSM :
cas du réseau GLO MOBILE BENIN », mémoire de mestre, université Africaine,
Afrique, 2009.
[5] : D. Cédric, V. Marc, « Principe de base du fonctionnement du réseau GSM »,
Belgique, 2004.
[6] : E. Mayemba, E. Kinshasa, «Etude portant sur la transmission des signaux multimédia dans
un réseau de téléphonie mobile de la 3ème génération « cas de routage de données et de la voix
dans le réseau UMTS», mémoire fin d’étude, école supérieure des métiers d'informatique et de
commerce, Congo, 2011
[7] : H.OmarEl-hak, «UMTS», Mémoire de fin d'étude, université Sidi bel abbés, Alger, 2006.
[8] : https://orbi.uliege.be/bitstream/2268/1381/1/Demoulin2004Principes.pdf
[9] :https://www.memoireonline.com/12/13/8188/Etude-de-la-qualite-de-service-dans-les-
reseaux-mobiles-GSM.html
[10] : M. Germain, « les réseaux de téléphonie mobile », Un livre blanc de Forum ATENA,
France, 2014, pp.14-21.

[11] : «Etude de la qualité de service dans les réseaux mobiles GSM»,


par Harold BAMBY https://www.memoireonline.com/12/13/8188/Etude-de-la-qualite-de-
service-dans-les-reseaux-mobiles-GSM.html
[12] : http://dspace.univ-tlemcen.dz/bitstream/112/7830/1/Application-du-systeme-dinformation-
geographique-pour-les-reseaux-GSM.pdf
[13] :https://www.memoireonline.com/12/13/8188/m_Etude-de-la-qualite-de-service-dans-les-
reseaux-mobiles-GSM28.html
[14] : « Optimisation par essaim de particules », Guillaume CALAS
http://guillaume.calas.free.fr/data/Publications/PSO-Overview_v1.pdf
[15] : « » https://fr.slideshare.net/chbassem/loptimisation-par-essaims-de-particules

[16] : Bouguerra Yaaqoub, Delloum Sarra « Optimisation paramétrique pour estimation des
pertes dans un réseau GSM utilisant l’algorithme PSO », 2016-2017
[17] : B.Yassine , « algorithme d'optimisation par essaim de particules(oep) : application à
l'amélioration des moteursel-azazga, Algérie », université de m’sila ,Algérie, 2011/2012.
[18] :http://photocrunch.blogspot.com/2011/09/drive-test-in-telecommunication-using.html
[19] : https://fr.wikipedia.org/wiki/
[20] :http://igm.univ-mlv.fr/~dr/XPOSE2013/MapInfo/sig.html
[21] :https://www.java.com/fr/download/faq/whatis_java.xml

66
REFERENCES

Optimisation Radio dans le réseau GSM (PDF Download Available). Available from:
[22]:Optimisation Radio dans le réseau GSM (PDF Download Available). Available from:
https://www.researchgate.net/publication/283423062_Optimisation_Radio_dans_le_reseau_GSM
[accessed Jun 16 2018].

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