Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Exercices
(b) = 245 N
= 2 70 4
sin = 2(003) = 114 × 10 N = 114 kN
−
→ →
− ³ −→ →
− →´ −
− → ³ −
→ →´
−
E5. F 1 + F 2 = − →a =⇒ − i + 2 j + 3 k + F 2 = 2 4 i − 3 j =⇒
→
− ³ −→ →´ ³ −
− → →
− →´
−
F2 = 2 4 i − 3 j − − i + 2 j + 3 k =⇒
−
→ ³ →
− →
− ´ ³ →
− →
− →
− ´ ³ →
− →
− →´
−
F2 = 8 i − 6 j − − i + 2 j + 3 k = 900 i − 800 j − 300 k N
−
→ →
− → ³
− →
− →´
−
E6. F 2 = (4 cos 37◦ ) i + (4 sin 37◦ ) j = 319 i + 241 j N
→
− →
−
F 1 + F 2 = − →a³ =⇒ ´ ³
→´ ³ →´
→ −
− → →
− − →
− →
−
→ −
− → i +2 j + 319 i +241 j →
− −
→
− F 1+ F 2
a = = = 419 i +441 j
= 210 i + 221 j m/s2
02 02
En se servant de la figure 5.23, où l’on choisit d’utiliser un axe des positifs parallèle à
la pente et vers le bas :
P
= sin − = =⇒ = sin − = 20 ( sin 35◦ − 0167) = 109 N
2 −2
E11. (a) Selon l’équation 3.12 : 2 = 0
2 + 2 ∆ =⇒ = 0 = 225 m/s2
2∆
P
(b) = = = 50 (225) =⇒ = 113 × 103 N
E15. Pour sauter de 04 m, la vitesse initiale 0 nécessaire est donnée par
2 = 0
2 − 2∆ =⇒ 2 = 0 + 196 (04) = 784 m2 /s2 . Cette vitesse
0 0 est également
la vitesse juste au moment où les pieds quittent le sol, à la fin de l’accélération subie par
2 = 2 (015) =⇒ = 261 m/s2 soit l’accélération subie par le torse.
le torse, donc 0
Le module de la force ha qui vient des hanches est donné par
E16. On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
À partir de la figure ci-dessous dans laquelle la force normale est complètement selon ,
on écrit
P
= cos − sin = =⇒
cos − sin 5 cos 37◦ −98 sin 37◦
= = 1 = −190 m/s2 =⇒
E17. À partir du résultat de l’exemple 5.9 avec 0 = 417 m/s et = − sin
2 + 2 ∆ =⇒ 0 = (417)2 − 2 ( sin 10◦ ) ∆ =⇒ ∆ = 510 m
2 = 0
P
E18. (a) = cos − = = (0) = 0 =⇒ = cos = 80 cos 30◦ = 693 N
E22. L’axe des positifs est dans la direction finale du mouvement de la balle.
E25. Pendant une minute, le missile est soumis à deux forces verticales : son poids,
→
− →
− →
− −
→
F = − j , et la poussée des moteurs F P = P j . On applique la seconde loi de New-
ton afin d’obtenir l’accélération subie par le missile durant cette phase A du mouvement :
P 2×105 −(14×104 )(98)
= P − = A =⇒ A = P − = 14×104
= 449 m/s2
À partir de l’équation 3.11, en supposant que le missile part du sol avec une vitesse nulle,
on calcule le déplacement vertical durant cette phase :
∆A = 12 A 2 = 1
2 (449) (60)2 = 808 km
laquelle le missile n’est soumis qu’à son poids et où l’accélération verticale correspond
à B = −. Cette phase se poursuit jusqu’à ce que la vitesse du missile devienne nulle
(B = 0) et, grâce à l’équation 3.16, on peut calculer le déplacement vertical qui lui est
associé :
2
0B
2 = 2
B 0B − 2∆B =⇒ ∆B = 2 = 370 km
√
fillette est = − 2 = −443 m/s.
(b) = 0 + =⇒ = −
0
= 35−(−25)
5×10−3
= 1200 m/s2
P
= = = 015 (1200) = 180 × 103 N
2
2 − 2
(c) = 2∆0 = 0−(20)
2(015) = −1333 m/s
2
P
= − = = 015 (−1333) = −200 N =⇒ = 200 N
E28. On calcule d’abord le module de la vitesse avec laquelle le bloc a été lancé. On utilise
l’équation (iv) de l’exemple 4.2 avec tp = 16 m, la distance horizontale franchie par le
bloc en terrain plat et 0 = 45◦ l’angle de visée :
02 sin(2) 16
tp = =⇒ 02 = sin(2) = sin(90 ) =⇒ 0 = 1252 m/s
gravitationnelle possède une composante = − sin (45◦ ) de sorte que la deuxième
loi de Newton appliquée dans cette direction permet d’écrire :
P
= M − sin (45◦ ) = =⇒ M = + sin (45◦ ) =⇒
E29. Pour tout le mouvement, on utilise un axe des positifs vers le haut. Initialement, parce
E31. (a) À partir de la somme des forces horizontales sur l’ensemble formé des deux blocs :
P
= = =⇒ = A +B = 2+3 20
= 400 m/s2 =⇒ = 400 m/s2
(d) On obtient la même accélération, donc la force résultante sur le bloc B ne change pas :
B = 120 N
E32. (a) La force du sol sur le bulldozer permet à l’ensemble d’accélérer, alors
(b) Le module de la force du sol sur la voiture VS = 0 puisqu’elle peut rouler librement.
E33. (a) On a = 0 puisque la vitesse est constante. À partir des forces qui agissent sur le
parachutiste (H), où HP est le module de la force sur le parachutiste qui vient du
parachute :
P
= HP − H = H = 0 =⇒ HP = H = 60 (98) = 588 N
(b) À partir des forces sur le parachute (P), où PA est le module de la force sur le parachute
qui vient de l’air et PH le module de la force sur le parachute qui vient du parachutiste :
P
= PA − PH − P = P = 0 =⇒
(a) À partir des forces sur le premier wagon (1), où 1L = L est le module de la force exercée
sur le premier wagon par la locomotive et 12 le module de la force sur le premier wagon
(b) À partir des forces sur le dernier wagon (10), où 10 9 est le module de la force exercée
par le 9e wagon sur le 10e :
P ¡ ¢
= 10 9 = = 4 × 104 (2) = 800 × 104 N
(c) On a L1 = 1L le module de la force exercée par le premier wagon sur la locomotive et
LS le module de la force qui vient du sol sur la locomotive. À partir des forces sur la
E35. À partir de la somme des forces horizontales sur l’ensemble formé des deux patineurs. Le
module de l’accélération commune des deux patineurs est :
P
= = (g + f ) =⇒ = g +f = 60+45
200
=⇒ = 190 m/s2
que l’on remplace dans (ii) pour obtenir : = 6 sin 60◦ − 6 =⇒ = 365 N
E37. (a) À partir de la somme des forces verticales sur l’ensemble formé des deux blocs :
P
= 1 − (A + B ) = 0 =⇒
(b) Même réponse qu’en (a) car = 0 lorsque la vitesse est constante :
1 = 490 N et 2 = 294 N
1 = (A + B ) + (A + B ) =⇒
1 = 390 N et 2 = 234 N
(e) On remarque que 1 est toujours plus grand que 2 . Ainsi, la corde du haut atteindra le
maximum permis avant celle du bas. Sur l’ensemble formé des deux blocs :
P
= 1 − (A + B ) = (A + B ) =⇒ 10 − 05 = 05 =⇒
10−05
= 05 = 102 m/s2 =⇒ = 102 m/s2
E38. Les blocs portent les numéros de la figure 5.29 et les systèmes d’axes utilisés sont les
mêmes. Le module de l’accélération commune des blocs est et on suppose que le bloc 1
(8 ) descend.
P
Sur le bloc 1 : = 1 −1 = 1 =⇒ 8 −1 = 8 =⇒ 1 = 8 −8 (i)
P
Sur le bloc 2 : = 1 − 2 − 2 sin = 2 =⇒ 1 − 2 − 2 sin = 2 =⇒
1 − 2 = 2 + 2 sin (ii)
P
Sur le bloc 3 : = 2 − 3 sin = 3 =⇒ 2 − 4 sin = 4 =⇒
2 = 4 sin + 4 (iii)
E40. Pour réussir à monter, le singe tire sur la corde et fait apparaître une tension qui agit
Pour soulever les bananes, on a besoin d’une tension dont le module minimal est = 12
donc (i) devient :
2
− 10 = 10 =⇒ 12 − 10 = 10 =⇒ = 10 = 196 m/s2
°− ° °→ °
°→° °− °
Le module de l’accélération commune des deux blocs est et ° T ° = ° T 0 ° = :
P
(a) Sur le bloc 1 : = 1 − = 1 (i)
P
Sur le bloc 2 : = = 2 (ii)
1 (−) 2(98−4)
On additionne (i) et (ii) : 1 = 1 + 2 =⇒ 2 = = 4 = 290 kg
(b) Puisque, de (ii), = 2 =⇒ = 2 que l’on remplace dans (i) :
°− ° °→ °
°→° °− °
L’accélération selon commune des deux blocs est et ° T ° = ° T 0 ° = :
P
Sur le bloc 1 : = − 1 sin 30◦ = 1 (i)
P
Sur le bloc 2 : = cos 20◦ − = 2 (ii)
E44. (a) La valeur indiquée sur la balance correspond au module de la normale subie par la
personne. Sur la personne, on a
P
= − = =⇒ = ( + ) = 70 (98 + 2) = 826 N
(b) = = 686 N
E45. La valeur indiquée sur la balance correspond au module de la force normale subie par la
personne. Sur la personne, on a
P −
→
(a) = − = =⇒ = − = 0 =⇒ v = constante
P
(b) = − = =⇒ = − = 600−735
75 =⇒ = −180 m/s2
P − 900−735
(c) = − = =⇒ = = 75 =⇒ = 220 m/s2
E46. (a) La vitesse n’a pas d’importance, seule compte la direction de l’accélération :
P
= − = =⇒ = ( + ) = 3 (98 − 4) = 174 N
E48. (a) Selon l’équation 3.9, l’accélération engendrée par la catapulte correspond à :
−0 80+0
= 0 + =⇒ = = 21 = 381 m/s2
Durant cette accélération, la somme des forces horizontales sur l’avion correspond à
P
= cat + poussée = cat + 160 kN = =⇒
cat = − 160 × 103 = 12500 (381) − 160 × 103 = 316 × 105 = 316 kN
E49. On doit d’abord calculer l’accélération verticale de la fusée. Pour ce faire, on considère
les données qui sont fournies et on suppose que la masse de 4800 kg inclue celle de
l’astronaute. On rappelle que sur la Lune, le poids d’un objet correspond au sixième de
(a) à l’horizontale :
P
= 1 cos 1 + 2 cos 2 = =⇒
P
= 5 cos (40◦ ) + 7 cos (25◦ ) = (214) =⇒ = 475 m/s2
= = 475 m/s2
(b) à la verticale :
P
= −1 sin 1 + − + 2 sin 2 = = 0 =⇒
P
= −5 sin (40◦ ) + − 21 + 7 sin (25◦ ) = 0 =⇒ = 213 N
P P
E53. = 9 = 2 et = −8 = 2 =⇒
De ces deux équations, on obtient facilement = 154 m/s2 . Puisque le calcul donne
une valeur positive au module de l’accélération, il confirme que le bloc 1 descend
(b) et = 198 N
E55. (a) L’axe des positifs est vers le haut du plan incliné. De l’exemple 5.9, on a :
E57. (a) L’axe des positifs est vers le haut du plan incliné. Le module de l’accélération commune
°− ° °→ °
°→° °− °
des deux blocs est et ° T ° = ° T 0 ° = On suppose que le bloc 1 descend :
P
Sur le bloc 1 : = − 1 = 1 (−)
P
Sur le bloc 2 : = − − 2 sin = 2 (−)
De ces deux équations on obtient facilement = 550 m/s2 . Puisque le calcul donne
une valeur positive au module de l’accélération, il confirme que le bloc 1 descend
(b) et = 430 N
E58. On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le bas.
On donne = 15 kg et = 41 m/s2
P
= sin (30◦ ) − = =⇒ = 120 N
E59. (a) On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
°− ° °− °
°→° °→ °
Le module de l’accélération commune des deux blocs est et ° T ° = ° T 0 ° = On
suppose que le bloc 2 monte sur le plan incliné :
P
Sur le bloc 2 : = cos − 2 sin − = 2
P
Sur le bloc 1 : = = 1
De ces deux équations, on obtient facilement = 142 m/s2 . Puisque le calcul donne
(b) et = 284 N
E60. On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
°− ° °→ °
°→° °− °
Le module de l’accélération commune des deux blocs est et ° T ° = ° T 0 ° =
E62. (a) On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
P
= cos − sin = =⇒ = = 115 m/s2
P
(b) = − sin − sin = = 0 =⇒ = 247 N
E63. Pour faciliter l’énoncé de la solution, on numérote les blocs. Le bloc 1, de masse 2 kg, est
Pour décrire le mouvement initial des deux blocs on utilise un axe des dont le sens
positif est orienté vers la droite pour le bloc 1 et vers le bas pour le bloc 2. Les blocs sont
reliés par une corde, de sorte que l’accélération qu’ils subissent possède à tout instant le
même module .
(a) À l’instant initial, l’allongement du ressort est nul et ce dernier ne crée aucune force. Sur
le bloc 1, la somme des forces selon correspond à
P
= = 1 (i)
(b) La position d’équilibre des blocs est celle pour laquelle l’accélération est nulle.
Si le ressort s’allonge d’une quantité ∆, la somme des forces selon sur le bloc 1 devient
P
= −∆ + = 0 (iii)
Sur le bloc 2, la somme des forces reste la même mais on suppose que l’accélération est
nulle :
P
= 2 − = 0 (iv)
Lorsque l’étirement du ressort atteint cette valeur, les deux blocs sont, momentanément,
soumis à une force résultante nulle.
(c) La réponse est non . Lorsque le système atteint le point décrit en (b), les blocs sont en
E64. À partir de la figure 5.62a du manuel, on fait la somme des forces verticales sur le bloc,
La force de traction que subit le pied (pied ) est identique au module de la tension dans
la corde, de sorte que
= 0
Si on compare ce résultat à l’équation (i), on déduit la valeur que doit prendre 0 pour
que la traction que subit le pied reste la même :
= 20 =⇒ 0 = 2
(b) Soit 00 la masse suspendue à la corde à la figure 5.62b du manuel. À nouveau, on peut
écrire que
= 00
Si on fait la somme des forces horizontales sur le pied, en tenant compte de l’orientation
de la corde, on obtient
P
= −pied + cos + cos = 0 =⇒ pied = 2 cos =⇒ pied = 200 cos
Si on compare ce résultat à l’équation (i), on déduit la valeur que doit prendre 00 pour
que la traction que subit le pied reste la même :
= 200 cos =⇒ 00 = 2 cos(15◦ ) = 193
E65. S’il y a cinq compétiteurs de chaque côté, la somme résultante de part et d’autre de la
partie centrale de la corde correspond à
= 5 = 5 (100) = 500 N
→
−
E66. (a) Le pied de l’athlète pousse sur le bloc de départ avec une force F dirigé vers le bas et
formant un angle de 40◦ avec la verticale. En réaction, le bloc de départ pousse sur le
L’athlète, considéré comme une particule, est donc uniquement soumis à deux forces,
son poids et cette réaction qui vient du bloc. Si on fait la somme des forces verticales
sur l’athlète, en supposant que cette somme est nulle parce que l’accélération doit être
horizontale, on obtient
P 70(98)
= cos (40◦ ) − = 0 =⇒ = cos(40◦ ) = cos(40◦ ) = 8955 N = 896 N
P1. (a) On considère les forces qui agissent sur la plate-forme et le peintre. Puisque ce dernier
tient la corde, la tension agit deux fois sur le système :
P
= 2 − ( + ) = 0 =⇒ = (+) 2 = 90(98)
2 = 441 N
P (+)(+ )
(b) = 2 − ( + ) = ( + ) =⇒ = 2 = 90(98+04)
2 = 459 N
(c) Dans cette situation, il ne reste qu’une corde pour supporter le poids du peintre et de la
plate-forme :
P
= − ( + ) = 0 =⇒ = ( + ) = 90 (98) = 882 N 700 N
P2. Tout déplacement du bloc 1 entraîne un déplacement du bloc 2 deux fois plus grand.
Ainsi, la relation entre le module de l’accélération des deux blocs est 1 = 22 On note
(a) (5 kg) = − = 02 m/s2 =⇒ (5 kg) = 02 m/s2 vers le haut
(2 kg) = + = 152 m/s2 =⇒ (2 kg) = 152 m/s2 vers le haut
(b) = 500 N
C’est la vitesse initiale du mouvement de chute libre de ce bloc. On suppose que la corde
n’a plus d’effet sur le mouvement. La distance verticale supplémentaire franchie ∆2 sera,
selon l’équation 3.16 :
2 −0
2 2
0 (443)2
2 = 0
2 − 2∆ =⇒ ∆ =
2 2 2(−) = 2 = 2(98) = 100 m
¡¢
La longueur de la corde est = 2 sin où est l’angle sous-tendu par cette corde
2
¡ ¢
dans le cercle. Le module de l’accélération le long de la corde est = sin 2
(a) Soit le module de l’accélération du coin par rapport au sol et 0 le module de l’accé-
lération vers le bas du bloc par rapport au coin. À partir de la figure et de la troisième
loi de Newton :
P
Sur le coin : = − sin = (−) (i)
⎧
⎨ P = sin = (− + 0 cos )
⎪
(ii)
Sur le bloc : P
⎪
⎩ = cos − = (−0 sin ) (iii)
On divise l’équation (i) par l’équation (iii), dans laquelle on a isolé à gauche cos :
−
− 0 ( tan )
− tan = (− 0 sin ) =⇒ = sin
sont reliés par = 21 et 1 = 22 La somme des forces sur chaque masse donne :
P
Sur la masse 1 : = 1 − 1 = 1 (−) (i)
P
Sur la masse 2 : = 2 − 2 = 2 ( − ) (ii)
P
Sur la masse 3 : = 2 − 3 = 3 ( + ) (iii)
De l’équation (i) on a :
1 −1 1 − 2
= 1 = que l’on insère dans (iv) pour obtenir :
1 µ ¶
1 − 2
(2 + 3 ) − 82 3 = 82 3 1 =⇒
¡ ¢
1 (2 + 3 ) − 81 2 3 = 82 3 1 − 2 =⇒
(c) Pour que ce module d’accélération soit toujours positif, il faut que :
Mais puisque 1 2 + 3
En combinant cette dernière relation avec l’équation (v), il faut donc que :
∆2 0 =⇒ CQFD
P11. Pour faciliter l’énoncé de la solution, on numérote les cordes. Celle de gauche dans la
figure 5.73 porte le numéro 2.
Parce qu’elle supporte le bloc 2, le module de la tension dans cette corde correspond au
poids de ce bloc :
La corde de droite porte le numéro 1 et la tension qu’elle crée sur la jambe correspond
au poids du bloc 1. La masse du bloc 1 est l’une des inconnues du problème.
1 = 1
On donne = 150 N, le poids de la jambe du patient. Cette jambe fait un angle de 20◦
avec l’horizontale.
Pour décrire les composantes des forces qu’elle subit, on utilise un système dont l’axe des
est parallèle à la jambe, avec le sens positif vers le pied du patient.
Par rapport à ce système d’axes, la somme des composantes de force selon s’écrit
P
= 1 − sin (20◦ ) + 2 cos = 0 (i)
Il suffit de remplacer dans l’équation (i) afin de trouver les valeurs possibles pour 1 .