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2 −2
2 + 2 ∆ =⇒ = 0 = 8 −10 = −15 m/s2 2 2
E1. (a) 2 = 0 2∆ 2(12)
P
= − = = 009(−15) =⇒ = 0135 N
0135
(b) Selon l’équation 6.1 : c = c = c =⇒ c = = 009 = 0153
E2. (a) Comme seulement deux des roues contribuent à la propulsion, le module de la normale
correspond à la moitié de celui du poids. Si l’axe des positifs est dans le sens du
mouvement :
P ¡ ¢
= = s = s
2 = =⇒
s 08
= 2 = 2 = 392 m/s2 =⇒ = 392 m/s2
E3. Les forces de frottement sont vers la droite, dans le sens contraire du déplacement. L’axe
des positifs est vers la gauche pour le bloc de 2 kg et vers le bas du plan incliné pour
le bloc de 5 kg.
Sur le bloc de 2 kg :
P
= − = 0 =⇒ = = 2
P
= − = − c (2) = 0 (i)
E4. On utilise un système d’axes qui suit le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
P
(a) = − cos = 0 =⇒ = cos
P
= − sin − = ( cos ) − sin = 0 =⇒
sin
= cos = tan = tan 37◦ = 0754
= 691 m/s2
(1), de masse 1 = 20 kg, par la personne (2), de masse 2 = 80 kg. On donne s = 08,
le coefficient de friction statique sur la personne et c = 04, le coefficient de friction
cinétique sur le bloc.
→
− →
− →
− →
−
(a) La caisse est soumise à quatre forces : son poids P 1 = −1 j , la normale N 1 = 1 j ,
→
− → −
− → →
−
la force de friction cinétique f 1 = −c 1 i et F = i . On applique la première loi de
On suppose que la personne reste immobile pendant qu’elle pousse sur la caisse. L’ac-
célération maximale du bloc est obtenue si la force de friction statique sur la personne
→
− →
−
atteint sa valeur maximale, soit f 2 = −s 2 i . Sur la personne, les autres forces sont
→
− →
− →
− →
− →
− →
−
la normale, N 2 = 2 j , le poids, P 2 = −2 j et la réaction à F , soit − F . Encore
une fois, on applique la première loi selon , la seconde selon et on obtient
P
= 2 − 2 = 0 =⇒ 2 = 2 =⇒
P
= − + s 2 = 0 =⇒ − + s 2 = 0 =⇒ = s 2 (ii)
s 2 − c 1 = 1
s 1 −c 2 08(80)−04(20)
= 1 = 20 = 274 m/s2 =⇒ = 274 m/s2
s(max) = s = 343 N
Il ne bouge pas
cos 37◦ −c (+ sin 37◦ ) 25 cos 37◦ −02(3+25 sin 37◦ )
(b) = = 3 = 369 m/s2 =⇒
−
→ →
−
a = 369 i m/s2
P
E8. (a) = − + sin = 0 =⇒ = − sin
P
= cos − = cos − s ( − sin ) = 25 cos 37◦ − 05(3 − 25 sin 37◦ ) 0
Il bouge
cos 37◦ −c (− sin 37◦ ) 25 cos 37◦ −02(3−25 sin 37◦ )
(b) = = 3 = 570 m/s2 =⇒
−
→ →
−
a = 570 i m/s2
E9. Le système d’axes est orienté selon le plan incliné, l’axe des positifs est vers le bas.
P
(a) = − cos = 0 =⇒ = cos
P
= sin − s ( cos ) = 25 sin 53◦ − 05(25 cos 53◦ ) 0 il bouge, et
P
= sin − c ( cos ) = =⇒
sin −c ( cos ) 25 sin 53◦ −025(25 cos 53◦ )
= = 25 = 637 m/s2 =⇒
(a) L’axe des positifs est dans le sens du mouvement, vers le bas du plan incliné :
P
= − cos = 0 =⇒ = cos
P
= sin − c ( cos ) = =⇒
(b) L’axe des positifs est dans le sens du mouvement, vers le haut du plan incliné :
P
= − sin − c ( cos ) = =⇒
(a) L’axe des positifs est dans le sens du mouvement, vers le bas du plan incliné :
P
= sin − c ( cos ) = =⇒
E13. L’axe des positifs est dans le sens du mouvement, vers le haut du plan incliné :
P
= − sin − c ( cos ) = =⇒
(b) Que ce soit une traction avant ou une propulsion arrière, les quatre roues contribuent au
freinage :
P
= −AV = −AR = −c = =⇒ = −c
Comme l’accélération durant le freinage est la même, la distance d’arrêt doit l’être aussi :
∆A R
∆AV = 100
P
E15. (a) Pour l’ensemble : = − c (A + B + C ) = (A + B + C )
−c (A +B +C ) 200−01(150)
= A +B +C = 150 = 0353 m/s2 =⇒ = 0353 m/s2
E16. L’axe des positifs est dans le sens du mouvement, vers le bas du plan incliné :
∆ = 0 + 12 2 =⇒ = 2( ∆−
2
0
) = 2( 24−0
32
) = 0533 m/s2
P sin 20◦ −0533
= sin − c ( cos ) = =⇒ c = sin −
cos = cos 20◦ =⇒
c = 0306
P
E17. (a) = cos − s ( + sin ) = cos − s − s sin
(b) Comme cette expression donne le module de la force nécessaire, le dénominateur à droite
de l’égalité doit toujours être positif, ce qui implique que :
cos
s sin cos =⇒ s sin = cot
→
−
En d’autres mots, si s cot alors 0 ce qui est équivalent à ce que F pointe
vers le haut. Finalement, si c = cot =⇒ −→ ∞ , et le bloc ne peut pas bou-
ger ! =⇒ CQFD
E18. Le système d’axes est orienté selon le plan incliné, l’axe des positifs est vers le haut.
(b) La force maximale appliquée au bloc B est celle qui fait que le frottement statique entre
les deux blocs atteint sa valeur maximale. À partir de la somme des forces sur le bloc A :
P
= − A = 0 =⇒ = 2
P
= s(max) = A =⇒ = s(max) A = s (2)
2 = s = 025 = 245 m/s2
On reprend la somme des forces horizontales sur l’ensemble des deux blocs :
P
= = (A + A ) = 7(245) = 172 N
Soit la somme des forces horizontales sur l’ensemble des deux blocs :
P
= = (A + B ) =⇒ = A +B = 2+3 60
= 12 m/s2 =⇒
98
s = = 12 = 0817
E21. Pour le bloc 2, on utilise un système d’axe orienté selon le plan incliné. L’axe des
positifs pour le bloc 1 et l’axe des positifs pour le bloc 2 sont orientés dans le sens du
mouvement. Le module de l’accélération commune des deux blocs est
(b) Si le mouvement change de sens, seul le signe de la force de frottement est modifié.
On remplace ces valeurs de tension dans (ii) pour obtenir deux équations contenant deux
inconnues :
Sur le bloc de 4 kg :
P
= − − = − − c 4 = 4 (i)
Sur le bloc 5 kg :
P
= − − sin = − c 5 cos 53◦ − 5 sin 53◦ = 5 (ii)
(c) On maintient l’axe des positifs vers la gauche ou le haut du plan incliné.
P
Sur le bloc de 4 kg : = − + = − + c 4 = 4 (i)
P
Sur le bloc de 5 kg : = − + sin = + c 5 cos 53◦ − 5 sin 53◦ = 5 (ii)
À partir de la somme des forces verticales sur l’ensemble formé des 2 blocs :
P
= − ( + ) = 0 =⇒ = ( + ) = (6 + 2) = 8 =⇒ 6s = c (8)
c = 10
−6
= 24−6(3)
10 = 00612
P
E25. = 1 cos 1 + 2 cos 2 − c =
P
= − 1 sin 1 − + 2 sin 2 = 0
E26. 108 km/h = 30 m/s, l’axe des positifs est orienté selon le mouvement.
P
= −s = s = =⇒ = −s et
2 −0
2 2 −0
2
2 = 0
2 + 2 ∆ =⇒ ∆ =
2 = −2s
E27. On doit d’abord établir si la luge est soumise à une force de frottement. La façon la plus
simple de montrer qu’il y a bien une force de frottement est de faire la somme des forces
sur la luge. Pour ce faire, on utilise un système d’axes orienté selon le plan incliné avec
l’axe des positifs vers le haut. Comme la luge monte à vitesse constante, la somme des
composantes de force est nulle selon et .
c = cos 25◦ − sin 15◦ = (16) cos 25◦ − (36) (98) sin 15◦ = 537 N
Si on utilise un axe des positifs dirigé vers le haut de la pente, on obtient, pour la
somme des composantes de force dans cette direction :
P
= − sin 15◦ − c = − sin 15◦ − c cos 15◦ = =⇒
E29. (a) Au sommet, si la voiture est à la limite de contact, il y a absence de force normale :
P 2 √
= = =⇒ 2 = =⇒ = 20 = 140 m/s
(b) Au fond de la vallée, la force normale devient nécessaire pour s’opposer au poids :
P 2 2 142
= − = =⇒ = + = 75( + 20 ) = 147 × 10 N
3
E31. Puisque la rotation se produit dans un plan horizontal, on choisit l’axe des horizontal,
orienté selon la force centripète nécessaire.
P
= cos − = 0 =⇒ = cos
P 2 2 2
= sin = =⇒ ( cos ) sin = =⇒ tan = =⇒ CQFD
→
−
E32. (a) Dans le plan de la figure 6.59, les deux seules forces appliquées sur l’avion sont P,la
force de poussée qui agit perpendiculairement aux ailes et −
→
g , son poids. Soit , l’angle
→
−
d’inclinaison de l’avion ou l’angle que forme P avec la verticale. On utilise un système
d’axes similaire à celui de la figure 6.14. Selon , l’accélération est nulle et selon , elle
correspond à l’accélération centripète. À partir des lois de Newton, on calcule l’angle
d’inclinaison de l’avion :
P
= cos − = 0 =⇒ = cos =⇒
P 2 2 2 1112
= sin = =⇒ ( cos ) sin = =⇒ tan = = 2000 =⇒ = 322◦
E33. (a) On utilise un système d’axe tangent à la paroi du cercle et on trouve la somme des forces
sur le bloc au moment où la force de frottement statique prend sa valeur maximale.
P
= − sin + s = 0 =⇒ sin = s
(i)
P 2 2
= − cos = =⇒ = cos + (ii)
E34. On choisit l’axe des positifs horizontal, orienté selon la force centripète nécessaire. On
suppose que le cascadeur est à la limite où il ne glisse pas.
P 2
= = et
P
= − = − = 0 =⇒ = 4
= ( 2 ) =⇒ = 2 = 72 = 0800
P
E35. = − = 0 =⇒ = = 70(98) = 686 N
P 2 70(15)2 →
− →
− →
−
= = = 40 = 396 N =⇒ N = (394 i + 686 j ) N ou = 791 N
E36. Cet exercice décrit une situation similaire à celle de l’exemple 6.7 du manuel. On donne
= 30 kg, la masse de l’enfant, et = 3 m, le rayon de sa trajectoire circulaire. Si
l’enfant fait 04 tour en 1 seconde, sa vitesse tangentielle est donnée par :
04 tour 2 04 tour 2(3 m)
= s × 1 tour = s × 1 tour = 754 m/s
La figure 6.12 décrit les trois forces que subit l’enfant. À partir du système d’axes de
cette même figure, on peut écrire et calculer que
P 2 30(754)2
= = = 3 = 569 N
P
= − = 0 =⇒ = = 30 = 294 N
Le poids apparent d’un corps est la force résultante qu’exerce sur lui la surface sur
laquelle il s’appuie. Dans le cas présent, la normale et la force de frottement sont les deux
composantes de ce poids apparent.
p √
Dès lors, le module du poids apparent = 2 + 2 = 5692 + 2942 = 640 N
Bien que la valeur du coefficient de frottement statique soit fournie (s = 06), cette
donnée est inutile. On peut en effet vérifier que s , ce qui signifie que pour sou-
tenir l’enfant, le module de la force de frottement statique n’a pas à atteindre sa valeur
maximale.
2 2(53×10−11 )
E37. (a) = = 22×106 = 151 × 10−16 s
E38. Cette situation est similaire à celle qui est décrite à l’exercice 32. Ici, le module de la
vitesse de l’avion est = 800 km/h = 22222 m/s et on cherche le rayon de sa
trajectoire. La solution de la partie (b) de l’exercice 32 établit un lien entre le module du
poids apparent du pilote et l’angle d’inclinaison de l’avion. Comme = 14, on
calcule
1
= cos =⇒ 14 = cos =⇒ cos = 14 =⇒ = 4442◦
E41. Pour les deux calculs, on utilise un axe des qui pointe vers le centre du cercle.
P 2 √
(a) = = =⇒ 2 = =⇒ = 20 = 140 m/s
P 2 2 142
(b) = − = =⇒ = + = 60( + 20 ) = 118 × 10 N
3
E42. = 45(2)
60 = 0707 m/s
P
= − = 0 =⇒ =
P 2 2 2
= s = = =⇒ =
= = 0340
(b) L’axe des positifs est dans le sens de la force centripète nécessaire :
P 2 2
= s = s = =⇒ = , soit le double de la réponse (a) !
s
(c) Freiner sans bloquer les roues tout en tournant sans glisser de côté (!)
P 2 2 ( 2
)
2
2
E44. = = avec = 02 =⇒ 02 = = = 4
2 =⇒
q q
2 4 2 1000
= 4 02 = 02 = 142 s
(a) Si le train est sur le point de tomber, il n’y aura plus de force normale :
P 2 2 √
= = =⇒ = =⇒ 2 = =⇒ = 65 = 798 m/s
Pour que le train ne quitte pas le rail, on doit avoir 798 m/s
P ³ ´
2 2 (95)2
(b) = + = =⇒ = − = 40 65 − = 163 N
E58.
= 114 m/s
E63. Pour les deux blocs, on utilise un axe des positifs dans le sens du mouvement, c’est-à-
dire vers le bas pour le bloc 1. Le module de l’accélération commune des deux blocs est
représenté par
P
Sur le bloc 1 : = 1 − = 1 (i)
E64. Le module de l’accélération commune des deux blocs, que l’on suppose vers la droite, est
représenté par .
P
(a) Pour le bloc 2 : = − c 2 = 2 (i)
P
Pour le bloc 1 : = cos − c (1 − sin ) − = 1 (ii)
= 271 m/s2
(b) et = 929 N
P
E65. = − = 0 =⇒ = (i)
P
= − = 0 =⇒ = (ii)
On utilise (i) et (ii) dans = s =⇒ = = 147 N
Pour que le bloc tienne, on doit appliquer une force de module ≥ 147 N
E66. L’axe des positifs est dans la direction du mouvement. On suppose que l’accélération
est telle que le frottement est maximal.
P
= −s = =⇒ = −539 m/s2
2 = 0
2 + 2 ∆ =⇒ 0 = 242 + 2(−539)∆ =⇒ ∆ = 534 m
E67. (a) Sur l’ensemble formé des deux blocs, dont l’accélération commune possède un module :
P
= − c (1 + 2 ) = (1 + 2 ) =⇒ = 0540 m/s2
P
(b) Sur le bloc 1 : = 12 − 1 = 1 =⇒ 21 = 12 = 750 N
→
−
E68. (a) Chacune des deux béquilles est appuyée sur le sol et crée une force représentée par B .
→
− →
−
Ces forces B 1 et B 2 forment un angle de 20◦ avec la verticale. En réaction, pour chaque
béquille, le sol crée une force transmise sous l’épaule de l’étudiante, de même module et
mentanément pas en contact avec le sol. La somme des composantes de force selon que
subit l’étudiante de masse inconnue correspond ainsi à
P
= 1 sin (20◦ ) + 2 sin (20◦ ) − = 0 =⇒
2 sin (20◦ ) − = 0 =⇒ = 2 sin(20◦ ) =⇒ = 143266 · (i)
Chacune des deux béquilles est en contact avec le sol. La situation est similaire à ce
On établit la somme des composantes de force selon et pour l’une des deux béquilles
et on déduit le module de la force de frottement statique et celui de la normale en faisant
appel au résultat (i). D’abord,
P
= s − sin (20◦ ) = 0 =⇒
Puis,
P
= − cos (20◦ ) = 0 =⇒
(b) On suppose, pour simplifier l’analyse, que les béquilles conservent une orientation verti-
cale à peu près constante pendant toute l’enjambée.
Pour toute position autre que celle décrite en (a), la somme des composantes de force
verticale sur chaque béquille reste la même alors qu’à l’horizontale, une accélération
augmente de le module s de la force de frottement statique. En conséquence, le coefficient
de frottement statique nécessaire devient plus élevé .
E69. On donne la masse de chacun des bras de l’athlète, b = 005 (50) = 25 kg. Le corps de
l’athlète, sans les bras, possède donc une masse = 50 − 5 = 45 kg.
→
−
(a) Soit T b la force qu’exerce l’un des bras de l’athlète au niveau de l’articulation de l’épaule.
Cette force fait un angle de 15◦ par rapport à la verticale et, comme la situation est sy-
métrique, une force de même module et orientation est appliquée sur l’autre articulation.
La somme des composantes verticales de force sur le corps de l’athlète, sans les bras,
s’écrit
P
= 2b cos (15◦ ) − = 0 =⇒ b = 2 cos(15◦ ) =⇒
45(98)
b = 2 cos(15◦ ) = 228 N
→
−
(b) Chacun des bras de l’athlète subit trois forces, (1) la réaction à T b une force de même
On écrit la somme des composantes selon et sur l’un des bras pour déduire les
→
−
composantes de F m D’abord
P
= −b sin (15◦ ) + m = 0 =⇒ m = b sin (15◦ ) = 228 sin (15◦ ) = 5901 N
Puis
P
= −b cos (15◦ ) − b + m = 0 =⇒
On en déduite que
q q
m = m 2 + 2 =
m (5901)2 + (2447)2 = 252 N
→
−
et que l’orientation de F m par rapport à l’horizontale est
³ ´ ³ ´
= arctan mm = arctan 2447
5901 = 764
◦
(c) Entre chaque main et la barre, la force de frottement doit annuler la composante selon
→
−
de F m de sorte que = 5901 N = 590 N
2
E70. La force de frottement entre les pneus et le sol est la force centripète : =
2
Mais = s si on est à la limite du dérapage, donc s =
Problèmes
P1. (a) On établit la somme des forces sur le bloc en supposant qu’il est immobile :
P
= − + sin = 0 =⇒ = − sin
P
= cos − s = cos − s ( − sin ) = 0 =⇒
s
cos = s ( − sin ) =⇒ = cos +s sin
P2. L’axe des positifs est dans la direction du mouvement pour chaque bloc.
P
(a) Sur le bloc : = − c = 0 (i)
(b) On reprend les sommes de forces en considérant une accélération de même module .
P
= − c = (i)
P
= − − c ( + 2) = (ii)
P3. Dans tous les cas, l’axe des positifs est dans la direction du mouvement.
Pendant la montée, la force de frottement s’inverse et une force est nécessaire pour main-
(b) On donne une valeur représentative, par exemple celles de cet exercice, à et à s On
fixe On définit les expressions qui calculent min et max On trace ensuite le graphe
de ces deux expressions pour allant de 0 à 2 :
restart:
r:=40;
g:=9.8;
mu:=0.4;
vmin:=sqrt(r*g*(sin(theta)-mu*cos(theta))/(cos(theta)+mu*sin(theta)));
vmax:=sqrt(r*g*(sin(theta)+mu*cos(theta))/(cos(theta)-mu*sin(theta)));
plot([vmin,vmax],theta=0..Pi/2,color=[red,blue],view=[0..Pi/2,-50..200]);
Le graphe montre que pour min il existe une valeur d’angle sous laquelle on ne peut
avancer et que pour max il existe une valeur d’angle qui exige une vitesse infinie.
P
P5. Sur le bloc : = − = 0 =⇒ =
On calcule la somme des forces sur le bloc, l’axe des positifs est dans la direction de la
force centripète nécessaire :
P 04
= (1 − 2 ) cos − = 0 =⇒ (1 − 2 ) = cos = cos(369◦ ) = 49 N (i)
P 2 2 04(314)2
= (1 + 2 ) sin =
=⇒ (1 + 2 ) =
sin = (06) sin(369◦ ) = 11 N (ii)
1 = 794 N, 2 = 304 N
P8. (a) 108 km/h = 30 m/s. Selon l’exercice 31, pour un virage circulaire relevé sans frottement,
2
tan =
Comme 2 = 302 = 900 m2 /s2 =⇒ tan = 80 tan 15 = 210 m2 /s2
Puisque 2 tan est vers le bas de la pente pour empêcher le dérapage vers
l’extérieur de la courbe.
(sin + cos ) = 2 (cos − sin ) =⇒ ( cos + 2 sin ) = ( 2 cos − sin ) =⇒
2 − tan
( + 2 tan ) cos = ( 2 − tan ) cos =⇒ = +2 tan
P9. L’axe des positifs est vers le bas, dans le sens du mouvement. Le module de l’accélération
commune des deux blocs est . Sur l’ensemble formé des deux blocs :
P
= 8 sin − c1 1 cos + c2 2 cos = (1 + 2 ) =⇒
8 sin −c1 1 cos +c2 2 cos 8 sin 30◦ −(04)(3) cos 30◦ +(03)(5) cos 30◦
= 1 +2 = 8 =⇒
= 204 m/s2
Sur le bloc de 3 kg :
P
= + 1 sin − c1 1 cos = 1 =⇒
P10. = sin l’axe des positifs est dans la direction de la force centripète nécessaire :
P11. (a) L’axe des positifs est vers le bas du plan incliné. À la valeur maximale s , le bloc
(b) Si l’angle est légèrement supérieur mais reste proche de s , alors on utilise le coefficient
de frottement cinétique de sorte que = (sin s − c cos s )
= 12 2 =⇒ 2 = 2 = (sin s −
2 2
= cos s (tan s −c ) =⇒
c cos s )
q q
2 2
= cos s (tan s − ) =⇒ = cos s ( − ) =⇒ CQFD
c s c
P12. Pour les deux blocs, l’axe des positifs est horizontal et dans le sens du mouvement. Le
Quand 0 est maximale, la force de frottement statique est maximale et vers le bas. On
établit la somme des forces sur le bloc :
P
= cos − s sin − = 0 =⇒ = cos −
s sin
P
= sin + s cos = =⇒ = (sin +
s cos )
= (sin +s cos )
cos −s sin
Quand 0 est minimum, la force de frottement statique est maximale et vers le haut. Sur
le bloc :
P
= cos + s sin − = 0 =⇒ = cos +
s sin
P
= sin − s cos = =⇒ = (sin −
s cos )
= (sin −s cos )
cos +s sin
P13. La force de frottement est dirigée vers l’intérieur de la courbe. L’axe des positifs est
P14. (a) On fait la somme des forces selon un axe des positifs vers le bas :
P
= − 2 = =
Afin de résoudre le problème, il faut séparer les variables, comme on l’a fait à la section
6.4 :
=
− 2
1 + +
= 2 ln √
=⇒ 2 = ln √
=⇒
−
−
q √ ³q ´ q q
2 + 2
= √
=⇒ − =
+
−
(d) Dans le cas où la friction est proportionnelle au carré de la vitesse (C), le module de la
q
vitesse limite est donné par Lorsque la friction est directement proportionnelle à
la vitesse, le module de la vitesse limite est donné par