Résumé :
L’objet de cet exposé est de proposer une stratégie pour économiser l’énergie dans le
secteur tertiaire en Algérie
Nous allons décrire l’importance des économies d’énergie en Algérie. Ensuite nous
allons voir la consommation d’énergie ou nous définirons la notion kilowattheure (kWh), la
consommation d’électricité global et individuel en Algérie enfin nous donnerons un aperçu
des consommations dans chaque domaine du secteur tertiaire
De ce fait, nous ferons quelques suggestions pour réduire la consommation que
l’économie nationale peut gagner d’une nouvelle politique énergétique nécessaire à un
développement durable.
Summary:
The object of this talk is to propose a strategy to save energy in the tertiary sector in Algeria
We will describe the importance of energy saving in Algeria. Then we will see the
consumption of energy or we will define the concept kilowatt-hour (kWh), the consumption
of electricity total and individual in Algeria finally we will give an outline of consumption in
each field of the tertiary sector
So we will make some suggestions to reduce the consumption which the nation's
economy can gain of a new energy policy necessary to a sustainable development.
Plan de travail
I- Introduction
II- Pourquoi les économies d’énergie ?
1. L’économie Algérienne en bref
1.1. Le secteur primaire
1.2. Le secteur secondaire
1.3. Le secteur tertiaire
2. Le secteur de l'énergie en Algérie
III- Analyse de la consommation de l’énergie
1. L'homme, combien de kWh ?
1.1. Consommation d’électricité en (kWh) en Algérie
1.2. Consommation d’électricité en (kWh par personne) en
Algérie
2. La consommation du secteur tertiaire en Algérie
2-1 La santé
2-2 Le résidentiel
2-3 Le transport
2-4 Le tourisme
2-5 L’éclairage public
2-6 L’enseignement
2-7 Autres
V- Conclusion
VI- Bibliographie
I- Introduction :
L’énergie occupe une place prépondérante dans les activités humaines. Les
besoins énergétiques de l’homme (pour le transport, le chauffage, l’air conditionné, l’industrie
et l’agriculture…) sont en pleine croissance à cause du gaspillage, voilà pourquoi la
consommation d’énergie est si préoccupante.
Pour faire face à cela, l’Algérie doit développer dans tous les cas de figure une
stratégie visant l’économie d’énergie dans le secteur tertiaire sous le slogan consommer
mieux en consommant moins.
« Il n’est pas normal qu’un baril de coca cola coûte beaucoup plus cher qu’un baril de
pétrole » Propos attribués à Hugo Chavez président du Venezuela.
Pour tous les individus plongés dans l'énergie au quotidien, le kWh est familier.
Pourtant, sur le fond, personne ne sait vraiment ce que représente un kWh, pas même moi !
L'énergie, cela ne se touche pas, c'est juste un chiffre abstrait sur un bout de papier, quelques
fois le préalable à une facture, et pour en appréhender la signification, il faudra toujours
mettre en face d'une consommation une action du monde physique qui l'illustre de manière
parlante pour tous.
Il est donc très difficile, avec des kWh, ou des tonnes équivalent pétrole et autres
giga joules, de faire comprendre combien notre consommation d'énergie - celle de chacun
d'entre nous, et pas seulement du conducteur de 4x4 (et, de plus en plus souvent, de la
conductrice !) - est devenue totalement "hors normes" par rapport à ce qu'a toujours été la
condition de l'humanité. « Pour la bonne cause écrit Jean Marc Jankovici, il va falloir faire
quelque chose que la morale réprouve hautement : je vais me permettre de réintroduire
l'esclavage. En effet, l'homme, comme toute "machine", consomme de l'énergie, qu'il va
transformer ensuite - avec un très mauvais rendement, comme nous allons le voir- en énergie
mécanique, et bien sûr aussi en énergie thermique. L'homme transforme aussi, ce que l'on ne
peut oublier, l'énergie qu'il consomme en organisation de l'information, mais ceci est une
autre histoire ».
1. L'homme, combien de kWh ?
L'unité d'énergie que chacun d'entre nous connaît le mieux n'est pas le kWh, mais
probablement... la Calorie. En effet, presque chacun d'entre nous sait qu'une personne
sédentaire consomme environ 2000 Calories ou Kcal si nous gardons l’ancienne nomenclature
par jour, à travers son alimentation. Ces Calories ne représentent rien d'autre que le contenu
énergétique extractible de ce que nous mangeons, et notre corps en fera bien sûr le meilleur
usage.
Puisque c'est de l'énergie dont il est question, il est donc possible de convertir nos
2000 Calories en kWh, qui est une autre unité de mesure de l'énergie, et qui est applicable à
toute forme d'énergie, et pas seulement à l'électricité. 1 Calorie = 1000 calories = 4,18
kilojoules, et 1 kWh = 3,6 mégajoules permet de déboucher sur la conclusion qu'un homme
(ou une femme, pardon !) au repos absorbe environ 2,3 kWh par jour. Dit autrement, le
métabolisme de base d'un homme (ou d'une femme, re-pardon !) est de 0,1 kWh par heure, ce
qui signifie que sa puissance absorbée est celle d'une bonne ampoule de 100 Watts, dont
l'essentiel (et même la totalité, quand nous sommes immobiles) retourne dans l'environnement
sous forme de chaleur (c'est bien la peine de se donner tant de mal à faire des petits plats
raffinés pour que nous transformions tout cela comme une vulgaire ampoule !). C'est la raison
pour laquelle les salles de réunion chauffent quand elles sont très remplies : à 100 Watts par
actionnaire, une assemblée générale d'Eurotunnel chauffe au sens propre avant de chauffer au
sens figuré.
Revenons maintenant à nos esclaves (fictifs, bien sûr), pour voir combien il en
faudrait à notre service, à chacun d'entre nous, pour que nous bénéficions du même niveau de
confort qu'avec les machines et l'énergie "moderne". Tout le monde écrit Jankovici,
malheureusement, n'aura peut-être pas la chance d'avoir Zidane ou Diagana à son service,
dont les corps absorbent de l'ordre du kW en plein effort, et il nous faudra peut-être nous
contenter d'un esclave "ordinaire" comme moi, dont le corps consomme environ 500 watts à
pleine puissance. Si mon esclave turbine violemment 10 heures par jour, il aura consommé 5
kWh (soit 500 watts x 10 heures), et les 14 heures restantes, comme il sera au repos parce que
je suis un bon maître, il consommera les 100 watts mentionnés plus haut, pour un total de 1,4
kWh (soit 100 watts x 14 heures). Total de la journée : 6,4 kWh. En première approximation,
un être humain « normal » au travail consomme donc de l'ordre de 5 kWh par jour.
C'est là que nous commençons à mesurer le "saut de puissance" fantastique qui est arrivé à
notre espèce en domestiquant les énergies fossiles : avec 1 euro, je m'achète 1 litre d'essence,
qui contient 10 kWh d'énergie (à peu près), soit l'équivalent de la consommation de 2
"esclaves" pendant une journée complète. Et le pétrole vaudrait cher ?
Pour Jankovici, Le prix ridiculissime du pétrole apparaît encore plus si
nous prenons en compte le rendement de la machine humaine, tout aussi ridiculissime.
Imaginons un manœuvre qui creuse un grand trou, et va donc charrier des pelletées de
terre toute la journée. Si notre homme (c'est rarement une femme, pour le coup)
remonte une pelletée de 3 kg toutes les 5 secondes, il aura remonté environ 17 tonnes
en 8 heures de travail, et si cette remontée se fait sur 1 mètre de hauteur, la belle
formule de physique (E = mgh) permet de dire que l'énergie mécanique consommée
pour ce faire vaut.... un peu moins de 180.000 joules, c'est-à- dire un ridicule 0,05 kWh
! Si notre homme a absorbé 5 kWh dans la journée pour soutenir ce régime de travail de
force, nous voyons que le rendement purement mécanique de la machine humaine est de
l'ordre de 1%. Abracadabrantesque !
Le rendement des jambes, toutefois, est meilleur que celui des bras : si le
même manœuvre, pesant 70 kg "tout nu", a grimpé 2000 mètres de dénivelée dans la
montagne, avec 30 kg sur le dos (les connaisseurs apprécieront), il aura fourni un
travail de (70+30)x2000x9,81 = 2 mégajoules, soit 0,5 kWh en chiffres ronds. Dans ce
cas, le rendement fait un bond astronomique, puisqu'il passe à quasiment 10%.
Dans le même temps, un moteur à explosion a un rendement de l'ordre de 40%, c'est- à-
dire que je récupère sous forme d'énergie mécanique 40% de l'énergie thermique
contenu dans le carburant de départ. 1 litre d'essence, consommé dans un tel moteur,
produira donc 4 kWh d'énergie mécanique. Si c'est uniquement le côté mécanique de
l'esclave au travail qui nous intéresse, alors nous voyons qu'avec le litre d'essence
précédemment mentionné, et ses 4 kWh de travail mécanique une fois passé dans un
moteur, nous avons l'équivalent de 100 (grosses) paires de bras pendant 24 heures à
0,05 kWh pièce, ou de 10 (grosses) paires de jambes sur la même durée. Et le pétrole
serait cher (bis) ?
Il est bien évident, quand on voit cette astronomique différence de prix entre
l'énergie humaine et l'énergie fossile, qu'à prix de l'énergie constant tout ce que les machines
peuvent faire sera fait si c'est le raisonnement purement économique qui est le critère
déterminant. Heureusement, ce n'est pas toujours le cas, et heureusement aussi, rare est le
travailleur qui ne fournit que de la force mécanique, sans le moindre soupçon d'intelligence
(qui elle vaut plus cher) et d'aptitude à gérer l'imprévu (qui elle vaut considérablement plus
cher chez la machine que chez l'homme).
Notes méthodologiques
Les dernières années, marquées par un astérisque (*), sont des estimations effectuées par
Perspective monde à partir des cinq données précédentes, selon un modèle de régression
linéaire simple
S’agissant de ce secteur, les établissements suivants ont été considérés : les hôpitaux,
les cliniques et les maternités. Par contre, les centres de soins, polycliniques et centres de
santé considérés comme des centres de consultation n’ont pas été pris en compte car les
besoins spécifiques en eau chaude sanitaire sont négligeables. Cependant, ils peuvent toujours
être l’objet de l’étude en qualité de futurs prescripteurs de l’énergie solaire.
Une présentation du secteur de la santé pour l’année 1999 est faite dans le tableau ci après, sur
lequel on retrouve les données suivantes, regroupées par wilaya et zones climatiques :
- nombre d’établissements
- nombre de lits pour chaque établissement considéré
- une estimation des besoins en ECS :
· pour un hôpital type, par jour-lit à 60°C : 75l/j-lit
· pour les polycliniques, centres de santé et centre de soins, en l/j à 60°C :
180 l/j-unité (ou 6 personnes)
2-2 Le résidentiel :
Une compagne de mesures sur les usages spécifiques des équipements domestiques au
niveau du secteur résidentiel a été lancée par Sonelgaz en partenariat avec des agences
spécialisées, et ce dans le but de cibler les actions prioritaires à envisager pour aider les
ménages à faible revenu à mieux gérer leurs factures énergétiques.
L'évolution du mode de vie, le développement économique et l'urbanisation laissent
présager une augmentation importante des consommations d'énergie si aucun effort n'est fait
pour la maîtrise.
La consommation énergétique du secteur des ménages représente plus d'un tiers de la
consommation totale du pays, et ce poids à une tendance croissante explicable par la
croissance démographique, le développement de l'urbanisation, la construction de nouveaux
logements, l'amélioration de niveau de vie des ménages, etc.
2-3 Le transport :
Bien entendu, aujourd'hui plus que jamais, les besoins en énergie de l'humanité et bien
sur en Algérie sont colossaux et en progression. Ainsi la consommation d'énergie primaire
augmente régulièrement. On parle d'énergie primaire lorsqu'il faut la transformer avant de la
consommer principalement en électricité ou en travail mécanique dans les moteurs
Figure7 : Consommation des différents modes de transport.
Il est connu que le parc automobile algérien est en augmentation notamment ces
dernières années avec :
· 3,5 millions de véhicules, dont 2 millions de véhicules de tourisme.
· Un parc en hausse de 6%.
Nous avons en gros 2 millions de voitures pour 32 millions d’habitants soit une ration
de Un. Aux Etats-Unis, il existe 280 millions de voiture pour 300 millions d’habitants le ratio
est d’un véhicule pour un habitant
2-4 Le tourisme :
Pour le secteur du tourisme, nous n’avons considéré que les établissements hôteliers
pour les catégories 2, 3, 4 et 5 étoiles. Par contre, les autres établissements consommateurs
d’ECS tels que les grands restaurants ou les cuisines collectives, nous n’avons pas pu obtenir
des informations. De plus, nous pouvons considérer que leur consommation individuelle reste
faible.
Dans le tableau ([9]), une présentation du secteur du tourisme est faite, pour l’année 1999, sur
lequel on retrouve les données suivantes, regroupées par zones climatiques :
- Nombre d’établissements ;
- Nombre de lits ;
- Une estimation des besoins en Eau Chaude Sanitaire :
· Pour les hôtels 4 et 5 étoiles, en jour-lit à 60°C : 75 l/j-l
· Pour les hôtels 3 et 2 étoiles, en jour-lit à 60°C : 50 l/j-l
Le besoin total pour ce sous-secteur est évalué à 1790 m3/jour à 60°C.
Il faut noter, cependant, que nous n’avons considéré que les besoins spécifiquement sanitaires
(douches, cuisine etc.). Les autres besoins destinés à la piscine, au bain maure etc. n’ont pas
été considérés dans cette étude, étant donné le manque de données.
En plus des hôtels recensés dans les catégories balnéaires, urbaines, sahariennes, il faut noter
l’existence de la catégorie des hôtels thermaux (centres de thalassothérapie) qui ont une
consommation énergétique élevée étant donné l’existence de besoins d’eau chaude sanitaire
spécifique à ce type d’établissements et surtout à températures différentes (piscines à large
surface, bains thermaux, bains de vapeurs, utilisation des douche plus importante, …).
L’Algérie dispose de 10 établissements de ce type.
Pour le centre de thalassothérapie de Sidi Fredj (30 km d’Alger), qui est le seul établissement
pour lequel nous avons pu obtenir de l’information, il dispose de piscines d’une superficie
totale de 275 m². Pour répondre au besoin de chauffage d’eau de cette piscine, il faudrait une
surface additionnelle moyenne de capteurs solaires de près de 250 m²
SECTEUR DES HOTELS PAR ZONES CLIMATIQUES (ANNEE 1999)
TOTAL
HOTELS 4 ET 5* HOTELS 3 ET 2*
HOTELS
ZONE L/j-Ut L/j-Ut
Lits/ Lits/ L/j-Ut à
CLIMATIQUE à à
Nbre Lits unité Nbre Lits unité Nbre 60 C
60 C 60 C
L'éclairage fait partie intégrante de notre vie, nous permettant de réaliser toutes
nos activités et contribuant aussi à créer des ambiances correspondant à notre personnalité ou
notre humeur du moment .En effet, cette activité compte pour 15 % de la consommation des
logements (hors chauffage, eau chaude et cuisson).Mais un éclairage de mauvaise qualité peut
générer une augmentation sensible de la consommation d'électricité.
Nous allons calculer approximativement la consommation d’électricité du
l’éclairage publique à l’échelle national, pour cela nous admettant que les grandes villes
30000 points lumineux. Pour les villes moyennes 10000 points lumineux et pour les petites
villes nous prendrons 3000 points lumineux. On prendra 4 grandes villes, 16 villes moyennes
et 28 petites villes
Les lampes utilisées varient entre 200W et 500W selon les distances entre les
points lumineux, nous prendrons en moyenne 400Wh
Donc si on calcul la consommation d’électricité par l’éclairage publique au
niveau nationale pour 12 heures de fonctionnement par jour :
(30000*4+10000*16+3000*28)*400*12= 1478400000=1478400 kWh par jour
Ce qui fait que la consommation annuelle (365jour de fonctionnement) sera :
1478400* 365=539616000kWh =539616MWh et donc 539616*0,222=119 795 tep par an.
Un baril contient 159litres avec une densité de pétrole de 0,7 d’où un baril de
pétrole pèse 159*0,7=111,3kg donc une tonne équivalent de pétrole (tep) contient
1000/111, 3=9barils, d’où la consommation en barils de pétrole : 1 078 155 barils par an
Et si le baril coute 147 dollars comme en juillet passer alors la consommation de
l’éclairage publique par an coutera 158488785 dollars heureusement que les points lumineux
ne marchent pas tous.
2-6 L’enseignement :
Les établissements éducatifs (écoles, lycées et universités) ne disposent pas
d’eau chaude sanitaire sauf pour des services très spécifiques (cantines). De plus, les
pensionnats sont quasi inexistants en Algérie.
Pour des raisons de manque de données nous avons songé à faire un calcul
théorique sur la consommation en électricité dans l’éducation.
· L’efficacité énergétique
· La sobriété énergétique.
· Taxer l’énergie :
· Bâtiments :
· L’éclairage :
Un éclairage efficace ne se mesure pas au nombre de watts installés mais au choix des
équipements et à l'usage qui en est fait.
- La nuit, les rues commerçantes des villes sont souvent vivement éclairées par des enseignes
lumineuses restées allumées. Des néons de boutiques qui ont pourtant fermé leurs portes...A
quoi servent ces néons ? La consommation peut aussi être réduite en utilisant des lampes
moins énergivores comme les lampes fluo compacts.
-Correspondance de puissance entre les lampes fluo compactes et les lampes classiques à
incandescence.
· Economie :
V- Conclusion :
Les données actuelles indiquent clairement que si un changement fondamental
dans le rapport de l’homme avec les sources d’énergie fossiles n’intervient pas rapidement,
l’humanité toute entière va au devant d’une grave pénurie énergétique tout en subissant en
cours de route les conséquences écologiques désastreuses de l’utilisation massive de ces
dernières.
Donc il faut pouvoir maitriser la consommation d’énergie et réussir la
transition énergétique
L’enjeu de la transition énergétique est d’anticiper aujourd’hui les changements qui
interviendront d’ici une génération pour diminuer fortement le gaspillage de l’énergie fossile
et se préparer au choc pétrolier du futur.
Il n’est plus possible de continuer à dépenser de l’énergie sans compter. De
par le monde des stratégies sont développées pour pouvoir répondre à une demande future en
énergie. Nous devrons aller vers un modèle flexible, constamment adaptable. Selon toutes
vraisemblances les énergies fossiles seront de moins en moins présentes dans notre pays.
Nous devrions sans tarder, opter pour un bouquet énergétique et définir des règles de
consommation. L’énergie ce n’est pas seulement la responsabilité du ministère de l’énergie.
C’est la responsabilité de tous ceux qui utilisent l’énergie, qui gaspillent
l’énergie. A ce titre, le ministère des transports se doit de définir une stratégie. Il en est de
même des autres secteurs énergivores tels que l’industrie, l’habitat. Nous devrons penser aussi
aux énergies renouvelables à présent. C’est cela le développement durable. Enfin il ne faut
pas oublier le rôle de la formation à l’énergie qui sera de plus ne plus importante dans le pays.
VI- Bibliographie :
-www.aprue.dz
-www.sonelgaz.dz
-Rapport annuel ministère de l'énergie et des mines 1980-2006
-11 et 12eme journée d'énergie ENP
-Thèse de Magistère ""les économies d’énergie"" année 2007-2008
-http://fr.wikipedia.org/wiki/
-http://www.aprue.org.dz