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Paro 2 40DA

5eme année
Université d’Alger
Faculté de Médecine
Département de Médecine Dentaire

Mobilité dentaire
Dr. A. ARAB

Année universitaire 2017 - 2018


Introduction – Généralités :
La mobilité dentaire constitue pour nos patients un des principaux
motifs de consultation en parodontie, avec le saignement et la douleur
gingivale.
Le patient ne prend souvent conscience de son affection parodontale
qu’au moment où la mobilité s’installe.
A ce moment-là, elle représente un véritable choc psychologique.
La gestion clinique de la mobilité dentaire peut se révéler un problème
complexe, plus particulièrement si les causes n’ont pas été adéquatement
établies. Il semble alors plus logique de diagnostiquer la cause, puis
d’envisager une thérapeutique étiologique, et en dernier recours une
thérapeutique symptomatique si le traitement étiologique n’est pas
réalisable.
Tout traitement de la mobilité dentaire vise, en dernier ressort à
rétablir le confort, les fonctions occlusales et masticatoires par une occlusion
harmonieuse assurant la rétention des dents et une bonne santé
parodontale.

1. Définition :
La mobilité dentaire est le plus souvent définie comme une augmentation
de l’amplitude du déplacement de la couronne dentaire sous l’effet d’une
force définie.
Cette mobilité peut être quantifiée par l’indice de MÜHLEMANN, qui
permet de différencier la mobilité physiologique de la mobilité pathologique,
car simple et facile à utiliser.
Elle est le résultat de la diminution de la hauteur du tissu de soutien
et/ou de l’augmentation de la largeur de l’espace desmodontal.

2. Mobilité dentaire physiologique :


La mobilité dentaire physiologique est la capacité que possède la dent à
répondre par un mouvement, à des sollicitations endo ou exo buccales.
Elle varie pour chaque type de dent en fonction de la :

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- Surface d’insertion des fibres desmodontales,
- Position de la dent dans son alvéole.

3. Mobilité dentaire pathologique :


La mobilité dentaire est dite pathologique lorsque son augmentation
est dûe à des modifications quantitatives et qualitatives des tissus de
soutien de la dent. Cependant, on différencie une mobilité dentaire
simplement augmentée, qui est stable, adaptative, d’une mobilité progressive
qui est instable et pathologique.

4. Physiopathologie de la mobilité dentaire :


4.1. Mobilité dentaire en rapport avec la diminution de la hauteur du
tissu de soutien :
La diminution de hauteur de l’os a pour conséquence d’augmenter
l’action des forces de mastication.

En effet, le bras de levier entre le point d’application des forces au


niveau coronaire et le centre de rotation de la dent est très augmenté. Ceci a
pour conséquence d’entraîner une action néfaste des forces physiologiques
de mastication.

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4.2. Mobilité dentaire en rapport avec l’élargissement de l’espace
desmodontal :
Sous l’effet des forces multidirectionnelles excessives, soit
physiologiques sur un parodonte réduit, soit pathologiques, une
résorption des parois alvéolaires apparaît au niveau des zones de
pression.
Cette résorption osseuse entraîne une augmentation de l’espace
ligamentaire, avec pour conséquence directe une augmentation du
déplacement de la dent dans son alvéole.
Cette modification est réversible et ne provoque en l’absence
d’inflammation aucune perte d’attache conjonctive.
La résorption des parois alvéolaires peut être considérée comme une
déminéralisation de l’os et l’arrêt des forces traumatiques permet une
reminéralisation de celui-ci. Certaines pathologies générales comme la
sclérodermie ou le diabète peuvent entraîner une augmentation de
l’espace desmodontal et, par conséquent une mobilité accrue des organes
dentaires.

5. Les méthodes d’évaluation de la mobilité dentaire :


L’évaluation de la mobilité dentaire fait appel à un deux types
d’appréciations subjective et objective.
5.1. Appréciation subjective de la mobilité dentaire
Cette appréciation fait appel à un indice.
Les chercheurs et les praticiens s’accordent sur la méthode d’appréciation
de la mobilité dentaire, en utilisant des manches d’instruments et les indices
appropriés.
Indice de MÜHLEMANN (1960)
Il est possible de quantifier la mobilité en utilisant l’indice de
MUHLEMANN. Cet indice a été adopte par l’A.R.P.A (Association pour la
recherche sur les parodontopathies).
Indice 0 : Ankylose.
Indice 1 : Mobilité transversale perceptible au toucher.
Indice 2 : Mobilité perceptible, visible a l’œil nu et inferieure a 1mm.

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Indice 3 : Mobilité visible a l’œil nu et supérieure a 1mm.
Indice 4 : Mobilité axiale.
L’intérêt de cet indice réside dans sa simplicité et dans sa facilite
d’utilisation.

5.2. Mesure objective de la mobilité dentaire


Cette mesure fait appel à un appareillage suffisamment objectif et fiable, en
ce qui concerne les résultats obtenus.
Le périotest
Le periotest est constitué de 2 parties : un coffret et une pièce à main
qui sont reliés entre eux par un cordon souple.
Cet appareil permet le diagnostic précoce de la maladie parodontale et
des modifications structurales du parodonte avant même que ces dernières
ne soient visibles sur l’image radiologique.

6. Le diagnostic différentiel :
L’augmentation de la mobilité dentaire peut avoir diverses origines.
Il est donc important, pour le praticien de rechercher l’existence de la ou
des causes éventuelles de mobilités dentaires.
Les différents examens qui peuvent être pratiqués avant la réalisation du
plan de traitement doivent permettre d’établir le diagnostic différentiel.
L’anamnèse locale et générale, l’examen clinique des dents, du parodonte
superficiel et profond, l’examen occlusal et les examens radiographiques
peuvent apporter les éléments nécessaires.

6.1. Anamnèse générale et locale :


L’anamnèse générale permet de mettre en évidence un certain nombre de
pathologies générales qui peuvent avoir pour conséquence la mobilité
dentaire.
Ainsi, on peut noter une augmentation de l’espace ligamentaire dans les
sclérodermies, ou le diabète ; des alvéolyses dans la maladie de
Recklinghausen ou l’hypophosphatasie

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Il existe aussi une radio transparence alvéolaire dans
l’hyperparathyroïdie, l’ostéoporose ou l’ostéomalacie.
Localement, un choc répété, un tic ou toute autre para fonction (fumeur
de pipe, déglutition atypique, bruxisme, etc.) peuvent être mis en évidence.
Une anamnèse bien menée doit conduire au dépistage de tels problèmes,
étiologies éventuelles d’une mobilité dentaire.

6.2. Examen clinique :


6.2.1. Examen des dents :
Le praticien doit s’attacher à vérifier l’intégrité coronaire, la présence
de facettes d’usure non fonctionnelles, de micro fractures ou de fêlures qui
peuvent être mises en relation avec un traumatisme.
La vitalité pulpaire doit être vérifiée, ainsi que la présence d’atteintes
carieuses.
La qualité des restaurations, les fractures d’amalgames ou de prismes
d’email, la morphologie des prothèses fixées, la stabilité des prothèses
adjointes sont autant de paramètres à relever.
Tous ces éléments doivent amener le praticien à dépister l’existence
d’un traumatisme occlusal ou de lésions iatrogènes à mettre en relation avec
une mobilité anormale.
6.2.2. Examen occlusal :
Il consiste à rechercher tous les signes de traumatisme occlusal, quels
qu’ils soient. Contacts prématurés, interférences travaillantes ou non
travaillantes, surcharges occlusales, para fonctions doivent être mis en
évidence et reliés aux mobilités dentaires.
Dans tous les cas, l’analyse occlusale doit être faite.
6.2.3. Examen du parodonte superficiel :
Tout signe d’inflammation doit être noté ainsi que le rapport
plaque/tarte/inflammation. La perte d’attache doit être prise en compte.
Cet examen du parodonte superficiel doit être répété au cours des
phases thérapeutiques afin de juger de l’évolution de la mobilité en fonction
de la régression de l’inflammation.

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6.2.4. Examen du parodonte profond :
Les poches parodontales sont souvent directement liées à la mobilité
dentaire.
La modification par perte de support osseux, du rapport
couronne/racine, prend une importance considérable.
Ces conditions peuvent être considérées comme les seules
responsables d’une mobilité irréversible.

6.3. Examen radiographique :


Outre l’appréciation de la lyse de l’os alvéolaire et l’état de la lamina
dura qui signent la présence d’une parodontite, plusieurs paramètres
doivent être pris en compte.
L’élargissement de l’espace desmodontal peut souvent être associe à la
mobilité dentaire réversible.
Fêlures et fractures doivent être recherchées ainsi que tous les signes
d’infection periapicale (kyste, granulome).

L’importance de ces examens est déterminante pour une


thérapeutique adéquate.

Outre l’appréciation de la lyse de l’os alvéolaire et l’état de la lamina


dura qui signent la présence d’une parodontite, plusieurs paramètres
doivent être pris en compte.
L’élargissement de l’espace desmodontal peut souvent être associe à la
mobilité dentaire réversible.
Fêlures et fractures doivent être recherchées ainsi que tous les signes
d’infection periapicale (kyste, granulome).

L’importance de ces examens est déterminante pour une


thérapeutique adéquate.

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7. Thérapeutique :
La première phase thérapeutique à réaliser est le traitement de toutes les
mobilités par : élimination de l’inflammation parodontale, la réalisation ou la
reprise des traitements endodontiques des dents le nécessitant, équilibration
des prothèses déjà en place et restauration des relations intermaxillaires et
dento-dentaires fonctionnelles.
Les traitements parodontaux chirurgicaux ou non, par leur effet sur
l’inflammation, représentent un paramètre important dans la diminution de
la mobilité dentaire.
La réalisation d’une contention provisoire est d’une importance capitale
pour éviter les conséquences douteuses d’une avulsion au cours du
traitement. Elle permet également de soulager le patient, si la mobilité
constitue une gêne fonctionnelle (phonation, mastication).
Une fois toutes les mobilités réversibles traitées, le praticien pourra
s’atteler à l’évaluation des mobilités résiduelles non réversibles qui peuvent
représenter une gêne fonctionnelle ou un facteur de risque pour les
restaurations.
La qualité du contrôle de plaque et de la maintenance est primordiale
dans la stabilité de l’état parodontal donc de la mobilité dentaire résiduelle.
Toutefois, les forces masticatoires même physiologiques peuvent devenir,
soit parce que le support osseux est affaibli, soit parce que le nombre de
dents résiduelles est réduit, un facteur de risque. Il devient alors nécessaire
de recourir à un traitement symptomatique et préventif : l’attelle de
contention.

Plusieurs possibilités s’offrent au praticien.


- Soit la mobilité résiduelle est stable, avec un contrôle de plaque et une
maintenance satisfaisante et ne représente pas une gêne fonctionnelle ; la
situation peut alors rester telle qu’elle.
- Soit la mobilité représente une gêne fonctionnelle ou risque d’augmenter et
le praticien est amené à stabiliser la situation à l’aide d’un système de
contention.

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7.1. Définition de la contention :
Une contention selon le glossaire des termes parodontaux (American
Academy of Periodontology, 1986) est ≪ un dispositif destiné à stabiliser des
dents mobiles ≫.
Le principe d’une contention consiste en une solidarisation des dents tout
en permettant au patient la pratique du contrôle de plaque inter dentaire

7.2. Principes de contention


Afin que le système de contention remplisse son rôle au mieux, le
praticien doit respecter un certain nombre de principes.
On distingue des principes mécaniques et biologiques.

7.2.1. Les principes mécaniques


7.2.1.1. Principe de Roy 1935
Il définit 3 plans de mobilité vestibulo-linguale :
- un plan frontal dans lequel se déplacent les molaires ;
- un plan intermédiaire dans lequel se déplacent les canines et les
prémolaires ;
- un plan sagittal dans lequel se déplacent les incisives.
Pour qu’un système de contention soit efficace, il faut inclure
idéalement trois secteurs de façon à ce que les axes de mobilité se
contrecarrent.

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7.2.1.2. Principe du polygone de contention (Manson 1975)
Si un dispositif réunit deux dents mobiles de la même hémi arcade,
l’ensemble restera mobile par rotation autour d’un axe réunissant les deux
hypomochlions.
Mais si ce dispositif est relié de façon rigide à une troisième dent mobile
disposée en triangle par rapport aux deux autres, le mouvement précédent
est annulé et l’ensemble du dispositif devient rigide.

7.2.1.3. Principe de la localisation verticale (Trévoux 1979)


Il convient que le système de contention soit le plus éloigné possible du
centre de rotation, afin d’assurer une meilleure résistance aux forces
exercées sur les dents dans leur partie extra alvéolaire.

7.2.1.4. Principe de la dent terminale (Hirsch et Barelle 1970)


Dans un système de contention, les dents les plus exposées aux forces
exogènes sont les dents terminales. Il convient donc de vérifier que ces dents
terminales possèdent une stabilité suffisante.

7.2.2. Les principes biologiques


Les principes biologiques découlent des notions de préservation des
tissus de soutien de la dent : contrôle de l’inflammation, élimination du
traumatisme occlusal.

7.2.2.1. Entrave minimale au contrôle de la plaque


Le contrôle de la plaque doit être à la base du traitement des parodontites
et du maintien de la santé parodontale.
Les systèmes de contention doivent respecter les mesures d’hygiène :
- pas de sur-contours facilitant l’accumulation de plaques bactériennes ;
- limites cervicales supra gingivales ;
- embrasures dégagées pour conserver le passage des écouvillons inter-
dentaires ;

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- contours soigneusement polis pour limiter la rétention de plaque
bactérienne.

7.2.2.2. Confort du patient


Si des sur-contours sont nécessaires, ils ne devront pas être irritants
pour les tissus environnants, ni provoquer de troubles d’élocution ou de
posture mandibulaire.

7.3. Indications et contre- indications de la contention


Il existe plusieurs situations cliniques générales ou la contention peut se
révéler bénéfique. Toutefois, l’objectif visé est de créer un environnement ou
la mobilité dentaire peut être contenue, dans les limites physiologiques, en
vue d’éliminer la gêne fonctionnelle et de rétablir le confort du patient.

8.3.1. Indications
- En présence de dents multiples devenues mobiles, suite à une résorption
osseuse alvéolaire graduelle ;
- lorsque le patient présente une mobilité dentaire accrue, accompagnée de
douleur et d’inconfort au niveau de la dent affectée ;
- une contention est indiquée après un traitement orthodontique, réalisée
sur des dents en migration consécutive à une parodontite ;
- avant un traitement parodontal, quand la mobilité est très importante et
que le praticien estime un risque d’avulsion ou de luxation accidentelle ;
- après un traitement parodontal en cas de mobilité croissante ou de
mobilité résiduelle qui gène la fonction.

8.3.2. Contre-indications
_ Absolues :
• Absence d’hygiène ;
• Susceptibilité à la carie.
_ Relatives :
• Facteur esthétique ;
• Volume pulpaire très important (pour les contentions intra coronaires),

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• Impossibilité d’assurer une stabilité occlusale et des conditions
parodontales optimales ;
• Une contention est contre indiquée lorsque, toute mobilité dentaire
peut être réduite au moyen d’une équilibration occlusale associée à un
traitement parodontal ;
• Cout de certains types de contentions réalisés au laboratoire en
rapport avec le pronostic présumé de conservation des dents
contenues.

7.4. Les différents moyens de contention


La grande variété des dispositifs de contention ne permet pas d’établir
facilement une classification.
En effet, celle-ci peut se faire selon plusieurs critères : les matériaux
utilisés, le principe d’ancrage, etc.
Nous distinguons trois types de contentions :
 Contention temporaire
 Contention provisoire ou semi-définitive
 Contention permanente.
Alors que la contention temporaire se situe pratiquement au début de
traitement et est maintenue pendant la durée de traitement, la contention
provisoire est l’aboutissement des différentes phases thérapeutiques. Elle se
situe avant la contention définitive ou la remplace si celle-ci est jugée très
onéreuse ou trop risquée.

7.4.1. Les contentions temporaires


Elles assurent pour un certain temps l’immobilisation des dents. C’est
une thérapeutique d’urgence et psychologique qui permet de soulager le
patient et de lui donner confiance.
La contention temporaire est indiquée :
- comme traitement symptomatique visant à supprimer la grande mobilité
qui est à l’origine de la douleur et de la gêne à la mastication et à la
phonation ;
- lorsque la mobilité représente l’inquiétude majeure du patient ;

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- pour faciliter certains actes thérapeutiques :
 . Détartrage et curetage ;
 . Meulage sélectif ;
 . Chirurgie.

Ces immobilisations temporaires doivent être d’exécution rapide et peu


onéreuses. Elles ne présentent pas de contre-indications dans la mesure où
le patient tient à conserver ses dents et fera le nécessaire pour assurer cette
conservation.
On distingue les systèmes fixes et les systèmes amovibles

7.4.2. Les contentions provisoires ou semi-définitives


Encore appelée contention ambivalente, c’est une contention qui dans le
cas d’un plan de traitement complexe, peut être réalisée en attente d’une
réévaluation finale à l’issue de l’ensemble des soins de la cavité buccale.
Avec une durée de vie de quelques mois à plusieurs années, elle devra
faire l’objet d’un contrôle régulier pour s’assurer de l’absence de fracture ou
de descellement.
En dehors des indications de la thérapeutique de fixation, la contention
provisoire sera appliquée dans deux cas :
- en attente d’une contention définitive qui ne sera appliquée que si les
conditions les plus favorables sont reprises ;
- lorsqu’il est nécessaire de réaliser une attelle dans les conditions
financières modestes.
On distingue : les dispositifs amovibles et les dispositifs fixes.

7.4.3. Contentions permanentes ou définitives


La contention définitive est la phase finale du traitement parodontal,
lorsque les tissus de soutien résiduels autour des dents mobiles sont
insuffisants pour résister aux forces exercées par les lèvres, la langue et les
pressions occlusales durant la mastication ou la déglutition.

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L’exécution de la contention se fera quand on sera assuré de la
collaboration du patient, de sa persévérance dans une hygiène dentaire
impeccable qui sera précédée par une fixation temporaire ou provisoire.
On distingue : les dispositifs amovibles et les dispositifs fixes

Arbre décisionnel :

Conclusion :
La mobilité dentaire varie d’un individu à l’autre. Elle est due d’une
part au rôle amortisseur du desmodonte, et, d’autre part à l’élasticité des
procès alvéolaires.

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Les parodontites provoquent une migration apicale de l’attache
épithéliale, une ostéolyse et une augmentation de la mobilité dentaire.
La mobilité dentaire est un des signes cliniques des parodontites, elle
constitue un motif de consultation fréquent.
La contention en parodontie ne doit être mise en œuvre que dans le
cadre d’un plan de traitement bien défini et dans les limites d’utilisation bien
précises.
Pour chaque cas, l’établissement d’un diagnostic correct est essentiel à
la réalisation du traitement optimal et à l’énoncé d’un pronostic précis.

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