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MEMOIRE DE MAITRISE
Présenté et soutenu par :
SELEMANY
Présenté le : 14 Décembre 2006
REMERCIEMENTS
IV.3. DECHARGEMENTS………………………………………………..……7
IV.5. ABATTAGE……………………………………………………….………8
IV .6. LES LIENS ENTRE LA REACTIVITE AU STRESS , LE STRESS A
L’ABATTAGE ET LES QUALITES DE VIANDE……………………………...9
IV.9 LA MATURATION………………………………………………...…...10
II.3. LA CONGELATION……………………………………………………….16
ET NOTION DE QUALITE………………………………….…………21
ANNEXES
LISTE DES ABREVIATIONS
MERCI A TOUS !
REMERCIEMENTS
A notre DIEU, qui nous a donné la vie, et la force de réaliser nos études.
Mes sincères remerciements vont à l’endroit de l’Université :
Professeur RALISON Andrianaivo qui nous a instauré l’ option physiologie
appliquée à la nutrition animale.
Depuis des siècles, l’homme a recherché tous les moyens pour conserver les
denrées alimentaires pour pouvoir gérer et pour pouvoir assurer sa survie en période
de disettes ou de pénuries.
Les premières techniques de conservation des viandes ont été des méthodes
simples comme le séchage, puis sont apparues les techniques de salaisons, la
conservation par la chaleur et plus récemment par le froid avec le développement
des installations frigorifiques.
La conservation des viandes par ces différents types de froid , ses avantages et
inconvénients d’utilisation comprennent donc plusieurs aspects qui seront toutefois
l’objectif principal de ce mémoire.
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PARTIE I : RESUME BIBLIOGRAPHIQUE
I.HISTORIQUE DE LA VIANDE
Dès l’apparition de l’homme sur le globe, la chair des animaux a constitué une
partie essentielle de son alimentation. En plus, les peuples les plus vigoureux et
intellectuellement élevés dans le monde civilisé, sont des consommateurs des
viandes. Chez les hébreux, la viande était un régal exceptionnel. Chez les égyptiens,
les peuples ne vivaient que de poissons et de légumes, alors que les guerriers
consommaient beaucoup de viandes.
En Grèce, les héros d’ Homére sont de gros mangeurs de viandes grillées ou rôties.
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II.1. Les sept principes de la méthode
La méthode HACCP repose sur les sept principes suivants :
- Principe 1 : procéder à une analyse des dangers.
- Principe 2 : déterminer les points critiques à maîtriser (CCP)
- Principe 3 : fixer le ou les seuil(s) critique(s).
- Principe 4 : mettre en place un système de surveillance permettant de
maîtriser les CCP
- Principe 5 : déterminer les mesures correctives à prendre lorsque la
surveillance révèle qu’un CCP donné n’est pas maîtrisé.
- Principe 6 : appliquer des procédures de vérification afin de confirmer que le
système HACCP fonctionne efficacement.
- Principe 7 : constituer un dossier dans lequel figureront toutes les procédures
et tous les relevés concernant ces principes.
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• Même en petite quantité, elle nous apporte tous les acides aminés
indispensable utiles à l’entretien et à la croissance
• Sa richesse en lipide n’est jamais négligeable
• La viande est riche en certaines matières minérales surtout en phosphore et en
potassium provenant du nucléoprotéide et en soufre dérivant des acides aminés
sulfurés.
• Présence en quantité assez importante du fer provenant de l’hémoglobine fixée
Toutefois, les viandes rouges sont plus riches en fer que les viandes blanches. Les
viandes aussi sont une source vitaminique importante. Enfin, lorsqu’elle est
consommée en quantité modérée la viande favorise la sécrétion du suc gastrique.
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Pour les enfants de 2 à10 ans : on conseille de donner 10grammes de viande
par année d’âge et par jour .
Pour les adolescents de 12 à 21ans : 100 à 150 g/ jour
Pour les adultes : En moyenne 100g/ jour avec maximum 150g.
Et une légère augmentation pour les travailleurs de force.
Pour les vieillards : 60 à 80 g/ jour de viande.
Ces règles sont : Milieux ,Matériels ,Méthodes ,Matières premières ,Main d’ œuvres.
L’embarquement est une opération difficile et pénible pour les animaux car ces
derniers se trouvent à une situation nouvelle pour eux : comme le bruit, le
changement de décor, mélange avec des congénères inconnus.
Il faut donc éviter les manupilations brutales, non seulement pour des raisons
éthiques mais des raisons économiques aussi et en plus pour éviter des effets
néfastes sur les qualités des viandes et des défauts de présentations de carcasse
(hématomes, griffures). La mise à jeun est conseillée pour éviter la souillure de la
carcasse.
Le douchage est souhaitable pour calmer et rafraîchir les animaux. Ces derniers
doivent avoir de l’ eau à leur disposition pour éviter la perte du poids du carcasse
causée par la déshydratation au moment de fortes chaleurs.
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Tableau 2 : Effet du jeûne ou du jeûne + transport sur la perte de poids vif et la
réduction du rendement de carcasse (résultats de divers auteurs rapportés par
TARRANT 1989 )
Rendement de
carcasse avec signe 0,6 2,1 0,7 2,7 2,2 5,0 2,5 2,8 2,2 3,4
négatif (%)
Pendant le transport , les camions sont couverts, ventilés et avec des planches
antidérapants pour éviter les chutes causants des fractures ou hématomes.
IL ne faut pas trop charger le camion afin d’éviter l’agressivité, la fréquence des
combats ou la perte liée à la mortalité(LENDFERS 1971) et aux dépréciations
éventuelles des carcasses(lacérations).
Densité de chargement
pendant le transport
0 à 1,2 1,2 à 2,1 2,1 à 3,0 > 3 ,0
(porcs /m²)
Mortalité ( pour mille) 1,1 4,8 4,8 4,9
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Au Canada , les recommandations sont les suivantes :294kg/m2 à une température
extérieur inférieur 16°C, il est souhaitable que la durée du transport soit courte pour
éviter l’ augmentation du pH ,car ce dernier à une impact sur la qualité de la viande.
Densité de chargement
(porcs /m²) 1,52 2,27 3,03
pH1
(semimembranosus) 6,34 6,42 6,53
Température initiale
(°C) 42,6 42,9 43,0
pHu
(semimembranosus) 5,98 6,05 6,15
pHu : pH ultime.
I V.3. DECHARGEMENT
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Le douchage est souhaitable pendant l’attente à l ‘abattoir pour accélérer le
retour de la température corporelle à des valeurs normales et calme le animaux et en
plus les porcs préfèrent 2 douches d’un quart d’heure à un douchage interrompu
pendant une période de repos de 2 heures.
DFD : pHu supérieur 6,5 dans un muscle au moins ou supérieur 6,1 dans deux ou
trois muscles ( semispinalis capitis,longissimus dorssi et semimembranosus).
Viande PSE : Viande pâle flasque et exsudative dont le pHu ne soit pas supérieur à
5,6- 5,7.
Viande DFD : Viande anormale ,sèche et colorée ,pHu reste élevée au dessus d’
une certaine valeur du pH ( 6,3 en France ).
IV.5. ABATTAGE
C’est l’action d’abattre les animaux au sein des entreprises d’abattage (abattage
autorisé). L’amélioration de la compétitivité des entreprises d’abattage de porcs ne
repose plus essentiellement sur l’abaissement de leurs coûts, mais plutôt sur leur
capacité à élever la qualité de leurs produits.
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Accroître la maîtrise des qualités de la viande implique nécessairement à mieux
comprendre la réaction des animaux aux facteurs d’agression rencontrés lors de
l’abattage, et ses effets sur ces qualités.
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du personnel. Dans étourdissement, il faut veiller à minimiser les facteurs d’agression
et veiller à l’application optimale de l’anesthésie qu ‘ elle soit électrique, gazeuse ou
physique.
Pour avoir une bonne présentation de carcasse, il faut veiller à faire la méthode
d’habillage. C’est une opération qui consiste à débarrasser le pelage. Cette dernière
consiste dans la succession des opérations d’échaudage, épilage, flambage et
grattage.
L’épilage par flambage sans échaudage préalable est possible mais ceci
entraînent des défauts de présentation des carcasses ( Surface de la peau moins
unie) qui pénalisent le procédé.
Dans certains pays de l’ Est de l’ Europe où existe une industrie active de cuir
de porc, les porcs sont dépouillés . Cette technique est préférable sur le plan de la
microbiologie et de l’ efficacité de la réfrigération ,mais elle est subordonnée ou
possibilité de la valorisation de la peau et n’est pas compatible avec la production du
jambon sec.
IV.10. LA MATURATION
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maturation est indispensable car elle influe sur la qualité organoleptique et la
tendreté de la viande .Pour cela il faut :
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PARTIE II : MATERIELS ET METHODES
I. LES MATERIELS
La conservation des viandes par le froid proprement dites : puisque les viandes
sont des produit facilement altérables , périssables et dégradables par les
microorganismes , et en plus elles sont fraîchement destinées aux échanges intra-
communautaire , elles doivent donc être refroidies immédiatement après l’inspection
post mortem et doivent maintenir en permanences à une température inférieur ou
égal à plus 7° C (pour les carcasses et leurs morce aux ) et à plus 3°C ( pour les
abats ). Le froid comme moyen de conservation , comporte pas mal davantage. Il
inhibe ou ralentit l’ activité cellulaire, les réactions enzymatiques et le développement
des microorganismes et celui des moisissures. Il prolonge la durée de vie des
viandes fraîches en limitant son altération. Un des principes dans l’utilisation de ce
mode de conservation est d’éviter toute rupture dans la chaîne du froid.
II.1. LA REFRIGERATION
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La réfrigération ralentit la perte du poids par évaporation et elle affecte la
cinétique des changements biochimiques dans le muscle. Elle a donc des effets
marqués sur le rendement et sur la qualité de la viande.
La réfrigération doit être faîte le plus tôt possible . Elle doit s’appliquer à des
viandes saines initialement et doit continuer tout au long de leur conservation.
Plusieurs systèmes de réfrigération sont utilisés actuellement . Quelques exemples
de technique d’obtention du froid selon ( FRENCIA J.P, 1999) sont étudiés : le froid
statique , le froid dynamique ,le froid ventilé ,réfrigération en cellules et tunnel de
réfrigération.
Ce sont :
le froid statique
Ce principe le plus ancien, repose sur une circulation libre naturelle de l ‘air froid .
L’ air froid ,chargé d’humidité ,est plus lourd .Il descend dans l’enceinte du
réfrigérateur en se réchauffant peu à peu .Plus chaud ,il remonte naturellement .Il
est de nouveau refroidi par l’ évaporateur et ainsi de suite.
Dans la majorité des cas ,la zone la plus froide( inférieure à 4°C) se trouve donc en
bas de réfrigérateur ,la plus tempérée ( entre 6 et 10°C) en haut .
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Schéma d’obtention du froid statique
Le froid dynamique
Une tribune crée une circulation forcée de l’ air le long de la paroi de l’ évaporateur.
le froid ventilé
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gaine communique entre le congélateur et le réfrigérateur . Un ventilateur récupère le
froid dans le congélateur l’envoie vers le réfrigérateur .
L’air froid le travers de haut en bas et retourne vers le congélateur pour être
refroidi et débarrassé de son humidité par l’évaporateur du congélateur.
L’air froid le travers de haut en bas et retourne vers le congélateur pour être
refroidi et débarrassé de son humidité par l’évaporateur du congélateur.
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la réfrigération en cellules
tunnel de réfrigération
En fin de ligne d’ abattage, les carcasses sont convoyées pendant 2 h environ dans
un tunnel où la température est inférieure à 0°C( a vec une vitesse de l’ air égale à 1
à 3 m/s) ; à la sortie du tunnel, les carcasses arrivent dans une salle d’équilibrage
(température égale 3 à 5°C , vitesse de l ‘air égal e à 1m/S).
II.3. LA CONGELATION
C’ est une méthode de conservation des viandes à plus long terme que la
réfrigération. Elle consiste à abaisser la température jusqu’ à – 18°C . Ce procède
provoque la cristallisation en glace de l’ eau dans les viandes ; on assiste à une
diminution importante de l’eau disponible, d’une aw, ce qui ralentit ou stoppe l’
activité microbienne et enzymatique.
Elle applique à des produits qui, par leur mode d’ abattage, ne peuvent satisfaire à
certaines exigences . Le refroidissement de la viande s’ effectue lentement, ce qui
entraîne la formation de cristaux de glace de taille est relativement importante par
rapport à celle des cellules de viande .
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II.3.2. La congélation rapide ou la surgélation
Seul un faible exsudat se produit lors de la de congélation car la viande ici est
dans un très bon état de fraîcheur.
La suspension des carcasses est conseillée pour qu’ elles n’ entrent pas en
contacte avec les murs , les portes et les planchers .
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faut surveiller l’ accumulation de graisse ,la formation des rouilles et l’ écaillage de
peinture : la surveillance de l’ apparition de moisissures dans les endroits humides
où la circulation de l’ air est insuffisante est souhaitable.
Les portes doivent être bien fermées et les aiguilles à l’ origine des rails doivent
bien fonctionner
Pour éviter le risque des accidents ,on ne doit pas laisser la glace s’accumuler
et l’ empilement des boites de carton doit être fait soigneusement .
- Pour toute les études bibliographique qu’ on avait fait sur la conservation des
viandes par le froid ,on a constaté que : les viandes conservent bien leurs qualités
initiales telles que : l’ apparence ,la saveur , l’ odeur ,les vitamines et la valeur
nutritive, donc la viande est stabilisée dans son état initial.
-Le prix des viandes congelées ou surgelées est plus élevé que celui des produits
frais : donc c’est une matière première de choix.
- La durée de vie des carcasses est allongée : quelques jours pour la réfrigération
et quelques mois pour la congélation donc la congélation comme la surgélation sont
excellentes techniques de conservation .
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IV. INCONVENIENTS DE LA CONSERVATION PAR LE FROID
-Le froid n’empêche pas le rancissement des graisses qui est lié à des phénomènes
d’ oxydation ,il nécessite une surveillance accrue de l’ hygrométrie, facteur de
déshydratation .
-Le froid ne tue pas les microbes mais seulement il freine leur développement
-Si la viande n’ a pas subi au préalable un traitement ,les microbes qu ‘ elle contient
vont reprendre leur activité dès que l’ aliment va se retrouver à température plus
élevée.
-D’ autre part , certaines bactéries , dites Cryophiles ou psychrophiles, sont même
capables de se développer à de basses température proche de zéro°C, c’est le cas
de Clostridium botulinum ou Listeria monocytogène, les viandes décongelées ne
peuvent plus être recongelées .
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VI- CONSERVATION AU FROID DES VIANDES PAR RAPPORT AUX ALIMENTS
COURANTS
Action de la température sur les
Microorganismes 15°C
Fromages à pâte cuite
0°C
Arrêt de toute multiplication bactérienne
-10°C
-18°C Surgelés
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VII- NOTION DE QUALITE EN AGROALIMENTAIRE
Jusqu’ au stade de la vente au détail ,une denrée périssable doit évidemment être
apte à la consommation ,ce qui signifie qu’ elle doit satisfaire à un certain nombre d’
exigences qui peuvent être classées en trois grandes catégories :
Elles se basent surtout sur l’ absence des produits chimiques toxiques ( résidu
du traitement…) et bactéries pathogènes ( Salmonelles …) pour ne pas être nocif à
la santé du consommateur .
Voici donc les règles d’ hygiènes ,dans la C.E.E , pour arriver à un niveau de
protection du consommateur pour toutes les étapes de la chaîne alimentaire : les
locaux ( Préparation ,stockage, vente , restauration …) ,les activités non sédentaires
( Marchés ,foires , distribution automatiques …), le moyen de transport , équipements
et hygiène du personnel .
A part la viande , il faut aussi un apport important des fibres alimentaires du glucide
avec la consommation d’ un peu de sucre et du sel qui est souhaitable.
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VII.1.3. Les exigences organoleptiques
Les viandes sont des produits altérables même pendant sa conservation . Les
sources de ces altérations sont : microbiologiques , chimiques , physiques ,
autolytiques .
Les viandes sont sujettes à putréfaction qui est la dégradation progressive des
protéines musculaires par des bactéries aérobies . L ‘altération des viandes est un
phénomène d’ apparition progressive et premièrement discontinue :
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Lorsque le phénomène s’ intensifie , des modifications plus importantes se
développent jusqu’ à l’ obtention : - d’un Odeur putride, d’un noircissement et
ramollissement des produits en superficie .
Or cette réaction en chaîne est initiée ou réinitiée lorsque les viandes sont
soumises à des variations de températures . Les dégradations qualitatives étant
irréversibles et cumulatives, leur répétition finit par conduire à une altération sensible
de la viande .
C’est la destruction des tissus vivants par leurs propres enzymes sans agents ou
agressions extérieures à partir de l’ abattage ,la maturation suivie de la conservation.
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- Les colibacilles (Escherichia coli ) certaines souches peuvent devenir
pathogène intestinales : la contamination provenant de la viande .
- La listériose (Listéria monocytogenes ) développe dans la viande crue ou dans
la charcuterie
- Le staphylocoque (Staphylococcus aureus) contamination par des personnes
présentant des plaies infectées.
- L’ enterocoque
Les parasitoses : c’est la plus rependue des parasitoses transmises à l’ homme par
la viande .
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PARTIE III : RESULTATS ET DISCUSSIONS
Comme la conservation des viandes par le froid (la réfrigération, la congélation
,la surgélation ) est une excellente conservation ,elle nous permet de donner les
résultats qualitatifs suivants :- la stabilisation des produits(viandes) en son propre
état initial, et qu’ en même temps, ces produits peuvent devenir les matières
premières de choix.
- La protection hygiénique pour les consommateurs contre tous les dangers par
microorganismes pathogènes sources de l’intoxication et de l’infection alimentaire
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CONCLUSION
Les produits carnés (viandes) sont des aliments préférables et tiennent une grande
place pour la consommation des peuples Malgaches . En effet ,ces produits sont très
fragiles et très périssables. A partir du moment où l’ abattage est fait ,le problème se
pose c’ est la dégradation. Cette dégradation est d’origine physico-chimique ou
microbiologique.
Toutefois ,une usine qui exploite les produits carnés est supposée avoir une
exigence du système HACCP bien établi ,un plan d’ hygiène bien maîtrisé et un
système de froid .
Cependant ,même si la qualité des produits est conforme aux normes établies ,il faut
toujours prendre des précautions en améliorant des règles d’ hygiène et le système
du froid .
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BIBLIOGRAPHIES
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protocole d’aliment,lors de transport de 36heurs incluant 9 heurs
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4. DE JONG L.C., PRELLE I.T.,VAN DE BURGAWAL J.A.,LAMBOOIJI
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quality .Proc, pig carcass and meat quality, R>EGGIO Emilia ,2-3 juin
1988,Università di Bologna.
7. Edition : MARIE ODILLE MORIN ,CHRISTINE LE THENOFF ,
coordination artistique : Danielle Capellazzi ,Mise en page :
studioPremart , Ulrich Mayor ,Fabrication : Jacques Lannoy.
8. FRENCIA J.P. ,1999. Réfrigération: Réduire les pertes de poids
viandes et produits carnés,20,187-190.
9. JEAN L ROUX, 1994 conservation des aliments, comparaison des
méthodes et technologiques : PP : 52
10. LAHSEN HADOY ABBOUCH,1997 Assurance qualité en IAAR et
institut Agronomique et Vétérinaire PP : 11-18-31-44-203-206
ANNEXES
ANNEXE I
COMPOSITION MOYENNE DE 100G DE VIANDE DESOSSEE
viandes valeurs principes énergies (g) éléments min. (mg) Vitamines (mg)
protides lipides Glucides Phosphors Calcium Fer C B1 B2 PP A
calorifiques
Bœuf 164 18 10 0,5 220 10 3,5 1,5 0,19 0,24 4,5 0,02
porc
gras
lapin 126 22 15 0,5 ++ - 2,7 2 - - 7,5 -
Tableau : 1
ANNEXE II
Tableau 6 : fréquence des points de sang sur carrés désossés en fonction du mode
d’ anesthésie des porcs (d’ après GRIOT ET AL 2000)
bandes
Voltage moyen
,grande cadence
,convoyeur bande 2 70,5-90,7 9,3-27,4 0-2,1
porteuse
Réactivité au stress
Evaluation de la situation
Prise de décision
Réponses comportementales et
physiologiques
Métabolisme musculaire