2013
TRONC COMMUN TECHNIQUE Par caristan DOUNKENG
LYCEE TECHNIQUE
Bride
COURS DE DESSIN
TECHNIQUE
1ère ANNEE TRONC COMMUN
CARISTAN DOUNKENG
Professeur de CONSTRUCTION Mécanique
1ère ANNEE COURS DE DESSIN LT
OBJECTIFS SPECIFIQUES:
Définir et décrire les principales familles de dessin technique.
Se familiariser avec les instruments de dessin.
Reconnaitre les éléments de présentation d’un dessin technique : les principaux dessins
techniques, les formats, les éléments graphiques permanents, une échelle.
Lire un cartouche d’inscription.
Reconnaitre les principaux traits.
I.1. DEFINITION :
Le dessin technique est un langage normalisé utilisé par les techniciens du monde pour communiquer.
Norme Française
Numéro Mois de publication
Indice de classe Titres
I.4.2. ECHELLES :
L’échelle d’un dessin est le rapport entre les dimensions dessinées de l’objet technique et les dimensions en
vraie grandeur (dimensions réelles) de cet objet.
(Fig I.1)
(Fig I.3)
(Fig I.4)
Remarque : les dimensions des lettres et des chiffres sont données en fonction de la hauteur nominale h,
choisie. Les valeurs normalisées sont indiquées dans le tableau ci-après.
(Fig I.5)
Exercice d’application :
Préparer une feuille format A4 en traçant le cadre et le cartouche d’inscription (renseigner les
informations du cartouche en utilisant l’écriture type B droite de 5)
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I.8. EXERCICES 9
1) Exécuter la présentation du format sur papier format A4, horizontal Par serges sipowou
3) Compléter le tableau ci-contre sachant que pour avoir les dimensions (ou format) suivantes, il
faut diviser la longueur du format précédent par 2 et conserver sa largeur.
7) Exécuter 10 fois le modèle de chaque type de trait vu dans le cours sur le papier format A4,
horizontal préparé à l’exercice 1 ; l’élève divisera l’espace de travail en deux parties égales dans
le sens de la longueur.
Application :
1) Division d’un segment de droite
en 2n parties égales (Fig II.27)
Si n=1, combien a-t-on de partie égale ?
Si n=2, combien a-t-on de partie égale ?
Si n=3, combien a-t-on de partie égale ?
Faire la construction pour n =2,
(Fig II.6)
(Fig II.7)
2) Droite (∆’) parallèle à une droite (∆) et passant par un point A
Matériels : Règle et équerre
Procédure
Placer un côté de l’équerre sur la règle et l’un des côtés
restant sur la droite (∆)
Faire glisser l’équerre sur la règle jusqu’au point A
Tracer (∆’) parallèle à (∆)
(Fig II.8)
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(Fig II.9)
(Fig II.10)
II.3. Exercices :
1) Construire les médiatrices des segments de droites [AB] ; [IJ] et [HG] ci-dessous.
(Fig II.11)
2) Considérons la demi-droite (∆) d’origine M. tracer les perpendiculaires (∆1) ; (∆2) ; (∆3) à la droite (∆) et
passant par les points M, P et K.
Matériels : Compas et règle
(Fig II.12)
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3) Considérons le segment de [AB], de longueur a, ci-dessous. Construire à partir du côté AB, un carré.
Matériels : Compas et règle Par serges sipowou
(Fig II.13)
4) Le gabarit de perçage ci-dessous possède 8 trous régulièrement espacés. Les points A et B étant les
centres des trous extrêmes, déterminer sur la droite (AB), par construction graphiques les centres des
autres trous.
Matériels : Compas et règles
NB. Ne faire aucune mesure.
(Fig II.14)
5) Tracer les parallèles aux droites (D), (D’), (D’’) et passant par
Le point F
Le point G
Le point H
(Fig II.15)
6) En vous inspirant du modèle de ferme anglaise de la figure ci-dessous, compléter le dessin amorcé , qui
représente la même ferme à une échelle agrandie.
Matériels : Règle, compas et équerre
(Fig II.16)
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(Fig II.17)
(Fig II.18)
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(Fig II.27)
EXERCICES
Note : Laisser subsister les traits fins nécessaires
aux constructions demandées dans les exercices suivants
1) Tracer, ci-dessous, le cercle passant par les points A, B et C
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Calculer son périmètre P=……………………………... et son aire S=…………………………..……… Par serges sipowou
(Fig II.28)
(Fig II.29)
R=______________
3) Déterminer, par construction, la position des centres des arcs de cercles composant le dessin ci-dessous
(Fig II.31)
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5) A l’aide du compas et de la règle seulement, reproduire les triangles représentés ci-dessous.
Par serges sipowou
(Fig II.34)
(Fig II.35)
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8) Polygone irrégulier
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A l’échelle 1 :1, tracer le polygone de la figure ci-contre (Fig II.36) en partant du point A
Note : Utiliser seulement les deux équerres. Pas de rapporteur Par serges sipowou
AB=60 ; BC=44 ; CD=56 ; DE=92 ; EF=38 ; FG=52 ; GH=28 ; HJ=70 ; JK=85 ; KL= 102
LM=……………………………
(Fig II.36)
9) Gabarit de traçage
Le dessin ci-dessous (Fig II.37) représente un gabarit de traçage.
A l’aide de la règle (équerre) et du compas seulement, représenter ce gabarit à l’échelle 1 sur format A4 (sens
vertical)
Note : le droites AP et BP sont les bissectrices des angles A et B
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(Fig II.37)
21
II.3.2. TECHNIQUES DE CONSTRUCTION DE S POLYGONES REGULIERS
Par serges sipowou
II.3.3. TRIANGLE EQUILATERAL : 2 POSSIBILITES
a) Le diamètre du cercle circonscrit est donné
Tracer un cercle (1) de centre O et de rayon r=AB/2
D’un point B quelconque de (1), tracer le cercle (2) de rayon r
(1)et (2) se coupent aux points M et N
Tracer le triangle équilatéral (AMN)
II.3.7. APPLICATIONS : 22
Par serges
a) CONSTRUCTION D’UN OCTOGONE (POLYGONE A 8 COTES EGAUX) sipowou
EXERCICES :
1) les dessins représentés ci-dessous sont ceux des polygones. Indiquer dans chaque cas s’il s’agit d’un
polygone régulier ou irrégulier.
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3) Le dessin de la figure représente un motif décoratif appelé Rosace. Reproduire cette rosace à l’échelle
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agrandie à partir du cercle de la figure
Par serges sipowou
B) POSITION TENGENTE
Le cercle (1) et la droite (2) se touche en un seul
point A appelé point de contact.
La droite (2) est dite tangente au cercle (1)
Le rayon R=OA, du cercle (1) est perpendiculaire
à la droite (2) au point A
d=R
C) POSITION SECANTE
Le cercle (1) et la droite (2) se coupent en deux points A et B
d<R
26
EXERCICES 31
A partir des dessins de pièces situés à gauche de la feuille, compléter le modèle agrandi
situé à droite (ou en dessous), en exécutant les raccordements prévus Par serges sipowou
Faire ressortir les points de raccordement
Laisser les traits de construction
33
6) Crochet / Reproduire ce dessin à l’échelle 1 :1
Par serges sipowou
III.1. BUT
Le but d’une représentation en perspective est de donner en un seule vue, une idée globale des formes et
dimensions de l’objet à représenter. Les perspectives sont utilisées dans trois cas :
Croquis perspectifs : à l’appui d’une explication ;
Illustration des notices de montages et d’entretien, illustration des catalogues ;
Contrôle d’une lecture des formes dans certains examens (et réciproquement tracé des vues d’une
pièce d’après sa représentation en perspective).
Selon la position de la pièce et la direction d’observation, on distingue :
Une perspective cavalière
Une perspective axométrique
Fuyantes
d) Longueur de fuyantes
Sur une perspective cavalière, les longueurs affectées aux fuyantes sont généralement inférieures à
la longueur réelles des arêtes qu’elles représentent. Toutes fuyantes subissent la même réduction.
On obtient la longueur de chaque fuyante en multipliant la longueur de l’arête qu’elle représente par un
nombre. k appelé Coefficient de réduction des fuyantes. Les différentes valeurs du rapport de réduction sont :
0.5, 0.6 et 0.7. Utiliser la formule suivante pour calculer la longueur des fuyantes
E échelle
L E k e avec k rapport de réduction
e épaisseur de la pièce
Remarque :
1) Pour une perspective cavalière normalisée, on a k=0.5 et α=45°
2) Si on ne réduit pas les longueurs de fuyantes, le dessin que l’on obtient risque de ne pas
ressembler à la pièce que l’on veut représenter. Cela tient des raisons mathématiques qui ne
relèvent pas du cadre de cours
c) Tracé des fuyantes
Le tracé des fuyantes se fait à l’aide d’un Té et d’une équerre ou d’une règle et d’une équerre
Si α=30°, on utilise une équerre à 30°, si α=135°, on utilise une équerre à 45°
Après avoir exécuté la face avant de la pièce, placer l’équerre tel que cela est indiqué à la première
leçon. La faire ensuite coulisser (glisser) en veillant à ce que le côté MO reste toujours bien appliqué à l’arête
du Té ou la règle.
Tracer une fuyante à chaque sommet d’un angle de la face avant d’où part une arête perpendiculaire
au plan de projection.
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d) Exécution de la perspective 36
Marche à suivre :
Esquisse : Par serges sipowou
Tracer la face avant ou de départ
Tracer les fuyantes
Calculer la longueur des fuyantes
Délimiter les fuyantes
Tracer la face arrière
Gommer les traits inutiles
Mise au net :
Repasser le contour de la pièce en trait fort
Penser à la position de l’observateur pour repasser les arêtes apparentes en traits fort et les
arêtes cachées en traits interrompus courts.
Désigner la perspective (indiquer ange des fuyantes et rapport k)
a) Perspective cavalière du cube
a) b) c)
b) Perspective cavalière du parallélépipède rectangle
a) b) c)
c) Perspective cavalière de l’entaille
a) b) c)
d) Perspective cavalière d’une rainure en U
a) b) c)
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a) b) c)
Tracer les axes : Porter les points A, Tracer les Tracer l’ELLYPSE
Axe horizontal B tels que AB=∅ sur parallèles aux deux passant par les points
Axe suivant l’axe horizontal et axes. Passant par A, B, C et D
l’inclinaison des les points C et D A, B, C, D
fuyantes (CD=∅ x k) sur l’axe
incliné
EXERCICES
NB : Pour les exercices de 1 à 6, la face de départ étant donnée, reproduisez là et exécuter la
perspective cavalière de la pièce étudiée en respectant les caractéristiques indiquées.
1) 2)
α=45° α=45°
k=0.5 k=0.5
E=1 :1 E=1 :1
e=45 e=60
3) 4)
α=45° α=45°
k=0.5 k=0.5
E=1 :1 E=1 :1
e=45 e=45
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5) 6) 38
α=30°
k=0.5
E=1 :1
Dans cette leçon, nous nous limiterons à l’exécution des perspectives isométriques.
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III.4.2. CARACTERISTIQUES
En conséquence de la projection, toutes les dimensions parallèles aux axes isométriques [Ox, Oy, Oz]
sont multipliées par 0.82 ( 80% de la dimension initiale L). En pratique trois échelles [0.82 ; 0.58 ; 1] sont
nécessaires pour exécuter toutes les tracés (angles et dimensions).
Les axes isométriques étant à 120° les uns des autres, l’orientation de départ devra être
choisie au mieux pour décrire l’objet dans sa position naturelle. Pour certains objets de grande longueur,
l’un des axes peut-être choisi horizontal.
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Perspective isométrique d’un cube
Par serges sipowou
a) b) d)
Quelques exemples de
perspectives isométriques
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IV.1 INTRODUCTION
Les représentations en perspectives cavalières, étudiées à la leçon précédente, ne donnent de l’objet
technique, qu’une vue globale sans détails de formes, de position et de dimensions. Or les dessins techniques sont
essentiellement utilisés pour transmettre aux services de production, une pensée technique relative à un objet
technique et les impératifs de fabrication qui lui sont liés. Cela nécessite une définition géométrique exacte des
formes de l’objet technique.
La représentation orthogonale des vues de l’objet technique permet de résoudre ce problème, mais elle
engendre cependant d’autres, notamment celui de la lecture.
Il est donc nécessaire d’apprendre à lire une projection orthogonale, pour être capable de reconstituer les
formes apparentes d’un objet technique, à partir de ses vues en projection orthogonale. Cela exige des élèves
beaucoup d’exercices d’application.
1) Pièce à projeter
2) Plan de projection
3) Ligne de projection
4) Objet projeté
5) sens et direction de projection
6) Position de l’observateur
IV.2.2. OBSERVATIONS
Pièce à projeter
o Son nom : Cube
o Noms des surfaces repérées : (a), (b), (c), (d), (e), (f) :
(a) face avant ; (b) face de droite; (c) face arrière ; (d) face de gauche ; (e) face de dessus ; (f)
face de dessous.
o Position relative de ses surfaces :
(a) est perpendiculaire à (e) et (f) ; (a) est perpendiculaire à (b) et (d) ; (a) est parallèle à (c)
o Position de la pièce par rapport au plan de projection (2)
Les faces (a) et (c) sont parallèles au plan de projection (2)
Les faces (b), (e), (d) et (f) sont perpendiculaires au plan de projection (2)
De plus les surfaces (e) et (f) sont horizontales et les surfaces (a), (b), (c) et (d) sont verticales
On dit que la pièce à projeter est placée normalement devant le plan de projection (2)
o Lignes de projection
Les lignes de projection (3) sont parallèles entre elles ;
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Lignes de rappel
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La vue de : Se trouve par rapport à la vue de face à :
Droite Gauche Par serges sipowou
Gauche Droite
Dessus Dessous
Dessous Dessus
Arrière A la droite de la vue de gauche
Les vues de face, gauche, droite et arrière étant adjacentes les unes des autres, elles se correspondent
horizontalement (lignes de rappel horizontales).
Les vues de faces, dessus, dessous se correspondent verticalement (lignes de rappel verticales).
Une correspondance à 45° ou ¼ de cercle existe entre les vues de dessus, de dessous et les vues de droite,
gauche (lignes de rappel à 45°). Car ces vues ne sont pas adjacentes.
Toutes les vues ne sont pas nécessaires pour définir une pièce. En pratique, on réduit au strict minimum
le nombre de vues indispensable.
On choisit généralement les vues principales les plus expressives et qui comportent le moins de parties
cachées ; la vue de face étant celle qui donne le maximum d’information sur la pièce, elle est d’office
choisie.
Pour la représentation générale, on se limite le plus souvent à trois vues ; parfois deux vues suffisent pour
représenter une pièce (cas d’un cylindre).
Pour l’exemple de l’entaille
Les vues de gauche et de droite sont presque identiques, on préfère la vue de droite qui n’a pas de
partie cachée
La vue de dessus est préférée à celle de
dessous pour les mêmes raisons
En définitive, seules 3 vues suffisent pour définir
complètement la pièce en question, ce sont :
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Les parties vues de l’objet (arêtes, surfaces) sont dessinées en trait fort. Les parties cachées (arêtes,
surfaces, formes intérieures….) sont tracées en traits interrompus.
En cas de chevauchement, ou de superposition, l’ordre de priorité pour le tracé définitif des lignes ou traits est :
ligne continue ou trait fort
ligne discontinue ou trait interrompus
ligne mixte ou trait mixte fin (axe).
Exemple : si le tracé d’un trait fort superpose celui d’un trait interrompu court, c’est le tracé du trait fort
qui l’emporte en définitif.
Remarque : lorsqu’elles sont nécessaires à la définition, il est fréquent que les parties cachées (traits interrompus)
ne soient pas dessinées. Ceci permet d’alléger les tracés et facilite la lecture.
N’importe laquelle des six projections peut-être choisie comme vue de face, le choix appartenant au dessinateur.
Ce choix doit être aussi judicieux que possible.
Exemple :
Soit à représenter en projection la rainure ci-dessous
La vue de face est indiqué par la flèche. Les vues de gauche et de droite suffisent pour déterminer complètement
la pièce.
Soient :
Eh : Espacement horizontale
Ev : Espacement verticale
277 DV
Dh : Dimensions horizontales EV
DV : Dimensions verticales NV
Nh : Nombre de vues horizontales
Nv : Nombre de vues verticales
49
IV.3.6. EXERCICE
Dessiner à partir de la vue face ci-dessous et de la perspective cavalière vue plus haut les
vues de gauche et dessus en se servant des correspondances de vues. La vue de dessus
sera en coupe B-B.
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ACTIVITE N°1 : PRINCIPE D’UNE COUPE SIMPLE
Par serges sipowou
Quel est l’intérêt d’une vue en coupe ? : Visualiser plus facilement les formes intérieures d’un
ou plusieurs composants
Quelle partie de pièce coupée est « supprimée » ? : Celle située entre l’observateur et le plan
de coupe
Pourquoi ? : Les pointillés représentent des contours cachés et donc non coupés par le
plan de coupe.
5 7
4
3 2
1
8- TROU DEBOUCHANT : Trou qui traverse entièrement une pièce
9- TROU BORGNE : Trou qui ne débouche pas. Il se termine par un cône de 120°
10- LAMAGE : Logement cylindrique généralement destiné à « noyer » une tête de vis
11- FRAISURE : C’est un évasement conique réalisé à l’orifice d’un trou
12- TROU OBLONG : Trou plus long que large, terminé par deux demi-cylindres.
13- LUMIERE : Nom de divers petits orifices
12
8 9 10 11 13
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14
15
17
16
18- RAINURE: Entaille longue dans une pièce pour recevoir une clavette, une languette ou plus
généralement un tenon NERVURE: Partie saillante d’une pièce servant à augmenter la résistance ou la
rigidité
19- BOSSAGE: Saillie prévue sur une pièce afin de limiter la portée (surface d’appui)
20- LANGUETTE: Saillie de forme prismatique se logeant dans une rainure
21- QUEUE D’ARRONDE : Tenon en forme de trapèze pénétrant dans une rainure de même forme et
assurant une liaison glissière.
21
20
18
19
26
23 24
22
25
27- CONGE: Surface à section circulaire partielle destinée à raccorder deux surfaces formant un angle
rentrant.
28- ARRONDI: Surface à section circulaire partielle et destinée à supprimer une arête vive
29- LOCATING: Mot anglais utilisé pour nommer une pièce positionnant une autre pièce
30- MACARON: Cylindre de diamètre relativement grand par rapport à sa hauteur, assurant en général
un centrage.
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28 55
29 Par serges
30 sipowou
27
31- TENON: Partie d’une pièce faisant saillie et se logeant dans une rainure ou une mortaise
32- MORTAISE: Evidement effectué dans une pièce et recevoir le tenon d’une autre pièce de manière à
réaliser un assemblage.
33- DENT: Saillie dont la forme s’apparent à celle d’une dent
34- PIGNON: Dans un engrenage, c’est la plus petite roue dentée.
35- CHAMBRAGE: Evidement réalisé dans une pièce et généralement destiné à réduire la portée d’un
alésage, à noyer la tête d’une vis ou d’un écrou (on dit aussi lamage)
Tenon 31
34
33
Mortaise 32
35