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ISBN 2 13 048640 1
ISSN 0766-1398
Dépôt légal - l"' édition : 1997, juin
C Presses Universitaires de France, 1997
108,- boulevard Saint-Germain, 75006 Paris
Sommaire
5 Introduction
. ..
~
18 L'empirisme radical
Plan et matériau : l'expérience pure,· 18
Le« monisme vague»: une expérienœ.sans ego, 24
L'interprétation et les séries signifiantes, 31
Fonction et convention (contre l'hylémorphisme), 42
47 Vérité et connaissance
Comment créer-des vérités?, 47
Lignes et morceaUx., 61
La connaissance ambulat~~· 74
.....
85 Conjùmce et communauté pragmatique
Faire confiance, 85
·Les conventions ; comment choisir sa philosophie.?, 93
La communauté d'interprétation, 107 ·
120 Conclusion
125 Bibliographie
Nous citons les textes de James sous les abréviations sui-
vantes, accompagnés de la date de leur première parution :
Princip/es The Princip/es of Psycho/ogy - 1890
P BC Psycho/ogy Briefer Course (Précis de psychologie)
-1892
WB The Will to Believe (La volonté de croire) - 1897
Teachers Talks to Teachers (Causeries pédagogiques) -1899
VRE The Varieties of Religious Experience (L'expérience
religieuse) - 1902
Pragm. Pragmatism (Le pragmatisme) - 1907
PU A Pluralistic Universe (La philosophie de l'expé-
rience) - 1909
MT The M eaning of Tru th (L'idée de vérité) - 1909
1. James nait en 1842. Il s'est d'abord orienté vers des études de phy-
siologie et de m6decine; mais, sous l'impulsion de Wundt et de Helmholtz
qu'il admirait, il s'est tourné ensuite vers la psychophysiologie. A partir
de 1877; devenu enseignant, il publie ses premiers articles importants. La
plupart des articles de cette période, remaniés, donnent lieu, au terme de
douze années de travail, à la publication des Principes de psychologie
(1890). Devaient suivre lA volonté de croire (1897), Les variétés de l'expé-
rience religieuse (1902), Le pragmatisme (1907), L'idée de vérité et philoso-
phie de l'expérience (1907). Il meurt en 1910 en laissant un ouvrage ina-
chevé, Introduction à la philosophie et une série d'articles regroupés sous
le titre Essais sur l'empirisme radical (pour la plupart inédits en français).
Introduction 1 9
1. Cf. Peirce, Comment rendre nos idées claires, dans les Textes anti·
cartésiens, Aubier, p. 297, la règle pour atteindre le troisième degré de
clarté dans la compréhension : « ... considérer quels sont les effet~
pratiques que nous pensons pouvoir être produits par l'objet de notte
conception. La conception de tous ces effets est la conception complète de
l'objet. »
2. Pragm., Il, p. 37 ; tr. fr. (mod.), p. 74. Cf. Leroux, Le pragmatisme
américain et anglais, Alcan, p. 163, n. 2. En 1904, le pragmatisme dés;.
gnait uniquement une méthode (sans doute sous l'influence de Peirce) et
10 1 William James. Empirisme et pragmatisme
1. Pragm., Il, p. 44: «Mais vous voyez dès maintenant combien [le
pragmatisme] est démocratique»; tr. fr. (mod.), p. 87.
Introduction 1 17
1. ERE, p. 81.
L'empirisme radical 1 23
1. ERE, p. 4.
2. ERE, p. 113: «Ce sera un monisme, si vous voulez, mais un
monisme tout à fait rudimentaire et absolument opposé au soi-disant
monisme bilatéral du positivisme scientifique ou spinoziste.»
3. C'est le sens de la profonde remarque de Bergson dans une lettre
adressée à James, le 15 février 1905: «Cette existence de quelque réalité
en dehors de toute. conscience actuelle n'est pas sans doute l'existence en
soi dont parlait l'ancien substantialisme; et cependant ce n'est pas l'ac-
tuellement présenté à une conscience, c'est quelque chose d'intermédiaire
entre les deux, toujours sur le point de devenir ou de redevenir conscient,
quelque chose d'intimement mêlé à la vie consciente, interwoven with it, et
non pas underlying it, comme le voulait le substantialisme» [interwoven:
entretissé; underlying: sous-jacent] (Mélanges, PUF, p. 652).
24 1 William James. Empirisme et pragmatisme
1. ERE, p. 4.
L'empirisme radical 1 25
/;'1.
1. Princip/es, IX, p. 219-220.
2. C'est Sartre qui, le premier, remarque que Husserl double le moi
psychophysique dans le transcendantal sous la forme d'un Je, structure
de la conscience absolue. Il critique cette opération qu'il juge inutile.
Cf. La transcendance de l'ego, Vrin, 1, A. p. 19. Sur le double kantien,
cf. Dufrenne, La notion d'a priori, PUF, p. 20-21. Précisons que James ne
commente pas Husserl (qu'il ne connait pas); nous croyons seulement
pouvoir tirer ces remarques- ainsi que celles qui précèdent- de sa cri-
tique de la psychologie.
30 1 William James. Empirisme et pragmatisme
l. ERE, p. 46.
32 1 William James. Empirisme et pragmatisme
1. ERE, p. 72-73.
2. ERE, p. 36-37.
3. Princip/es, IX, p. 322.
L'empirisme radical 1 33
dire que tout est signe. Les objets, les choses sont des
signes; ou. inversement,: les signes sont des choses.· Dire:
nous passons de signes en signes, veut très exactement
dire: nous percevons les choses mêmes. Quand on passe
de la chambre subjective à la chambre objective, on ne
fait que passer d'une série de signes à une autre, d'une
interprétation à une autre, mais d'une seule et même réa-
lité en signes.
On voit désormais comment les interprétations viennent
peupler le désert «neutre» de l'expérience pure et y intro-
duire des repères pour le parcours d'une expérience. On n'y
trouve en effet rien d'autre que des interprétations. Du
point de vue de l'empirisme radical, les distinctions
sujet/objet, pensée/matière, monde psychique/monde phy-
sique ne sont que des interprétations- rien d'autre que des
séries de signes. «Les attributs sujet et objet, représenté et
représentatif, chose et pensée signifient une distinction pra-
tique, qui est de la dernière importance, mais qui est de
l'ordre fonctionnel seulement, et nullement ontologique
comme le dualisme classique se la représente. »1 Mais alors,
qu'est-ce qui fait la réalité de ces expérimentations si elles
ne sont plus que des signes? C'est la croyance ou plutôt: la
réaction émotionnelle provoquée par l'événement - qui
nous fait croire. Est dit «réel>) ce qui déclenche en nous une
émotion: «Dans sa nature intime, la croyance, ou le sens de
la réalité, est une espèce de sentiment plus allié aux émotions
qu'à quoi que ce soit d'autre ... la réalité signifie simplement ce
qui est en relation avec notre vie émotionnelle et agis-
sante... »2• L'émotion se définit à la fois comme croyance et
comme interprétation. Croire, c'est interpréter un événe-
1. ERE, p. 85-86 n.
2. Princip/es, IX, p. 247: «Ce champ de vision de la conscience varie
grandement en extension, principalement en fonction du degré de frai-
cheur ou de fatigue mentale. Quand nous sommes pleins d'entrain, notre
esprit porte en lui un immense horizon ... Et dans les états d'épuisement
cérébral extrême, l'horizon se rétrécit... >>
42 1 William James. Empirisme et pragmatisme
1. ERE, p. 61-64.
44 1 William James. Empirisme et pragmatisme
Lignes et morceaux
1. a. Pragm., IV, p. 76: «Avec son critère, tiré des différences prati-
ques de chaque théorie, nous voyons qu'elle doit également répudier le
monisme absolu et le pluralisme absolu»; tr. fr. (mod.), p. 149.
Vérité et. connaissance 1 63
1. Pragm., IV, p. 67: «Il en résulte, pour les diverses parties de l'uni-
vers, d'innombrables petits groupements à l'intérieur de groupements
plus vastes; des petits mondes (...) à l'intérieur de l'univers plus vaste
(n.s.)»; tr. fr., p. 132.
2. Pragm., IV, p. 76-77; tr. fr., p. 149-151.
3. a. Pragm., IV, ii, p. 66: « ... les parties de notre univers sont accro-
chées ensemble, au lieu d'être des grains de sable détachés ... >>; tr. fr.,
p. 130. Et plus loin, IV, p. 76: «Le monde est un, là où par une
connexion quelconque, mais définie, ses parties s'entre-tiennent»; tr. fr.,
p. 149.
Vérité et connaissance 1 71
l. a. Pragm., IV, p. 67: «[Les réseaux définis] sont superposés les uns
sur les autres; et entre eux tous, ils ne laissent s'échapper aucune partie
individuelle de l'univers»; tr. fr. (mod.), p. 132.
74 1 ·William James. Empirisme et pragmatisme
La connaissance ambulatoire
1. ERE, p. 27.
76 1 William James. Empirisme et pragmatisme
1. a: MT, IV, p. 232: «En fait, et d'une manière générale, les chemins
qui traversent des expériences conceptuelles(...) sont des plus avantageux
à suivre. Non seulement ils fournissent des transitions d'une inconcevable
rapidité, mais grâce au caractère "universel" que les idées possèdent fré-
quemment, et à leur pouvoir de s'associer les unes avec les autres en
vastes systèmes, elles devancent le lent enchaînement des choses elles-
mêmes et nous entrainent vers le terme fmal avec beaucoup moins de
peine qu'il ne nous en coftterait si nous devions suivre le ft1 de l'expérience
sensible. Ce sont de merveilleux raccourcis et courts-circuits que les che-
mins de la pensée»; tr. fr., p. 97-98.
2. a. MT, IV, p. 233: «La clé de cette difficulté se trouve dans la dis-
tinction à faire entre la connaissance vérifiée et achevée, et la même
connaissance transitoire et en train de se faire»; tr. fr., p. 99-100.
3. On trouve également une très belle théorie de la consolidation chez
Dupréel, dans les Essais pluralistes, PUF, p. 264 et s. Il développe en
même temps une théorie de la convention comme consolidation.
80 l William James. Empirisl_ne et pragmatisme
et communaute pragmatzque
Faire confzance
1. Pragm., II, p. 44; tr. fr. (mod.), p. 86-87: «En bref, [le pragmatisme]
élargit le champ de la recherche de Dieu... Si les notions théologiques
peuvent constituer [un guide dans la vie] (...) comment le pragmatisme
pourrait-il s'aviser de nier l'existence de Dieu?»
Confumce et commwwuté pragmatique 1 91
fait idiot ; il restait accroupi tout le jour sur l'étroite banquette qui bor-
dait le mur, les genoux collés au menton ( ...) Cette image entra pour ainsi
dire en combinaison avec ma terreur(... ) Comme si quelque chose en moi
de solide avait brusquement fondu, je devins une masse de peur vis-
queuse. Après cela, l'univers entier 8e transforma de fond en comble à
mes yeux(...) Je m'en souviens, je me demandais comment les autres s'ar-
rangeaient pour vivre, comment j'avais pu vivre moi-même sans réfléchir
à l'abime d'insécurité qui est partout sous la surface de la vie. » Plus loin,
James ajoute : « Si je ne m'étais pas raccroché fermement à certains ver-
sets de l'Écriture (...), je crois que je serais allé réellement jusqu'à la
folie » ; tr. fr. (mod.), V, p. 134-135.
1. C'est, croyons-nous, une définition athée ou laique que James
donne de la religion dans sa correspondance. Cf. lettre à Godkin du
17 aoOt 1897, Corr., p. 177: «J'entends par religion d'un homme tout ce
qui, pour lui, constitue dans cet ordre d'idées une hypothèse vivante, rot-
elle morte pour tout autre. »
2. WB, p. 32 n. ; tr. fr., p. 50 n.
3. a. Princip/es, XXI, p. 945 : « Ce qui est au-delà des expériences
brutes n'est pas une alternative à ces expériences, mais quelque chose qui
leur donne un sens pour moi, ici et maintenant. »
. Confuznce et communauté pragmatique 1 93
1. a. VRE, VI-VII, p. 133; tr. fr., p. 131. Les termes qui marquent la
renaissance de l'âme sont nombreux. Par exemple, VRE, IV-V,
p. 96-97 n.: «L'explication théiste repose sur la grâce divine, qui crée en
nous une nouvelle nature au moment où nous abandonnons l'ancienne.
L'explication panthéiste (... ) se fait par l'immersion de notre moi privé
étroit dans un moi plus large ou plus grand: l'esprit de l'univers (qui est
votre propre moi "subconscient"), l'immersion qui se produit quand les
cloisons étanches de la méfumce et de l'inquiétude sont écartées (n.s.)»;
tr. fr. (mod.), p. 94.
94 1 Wüliom James. Empirisme et pragmatisme
1. VRE, XX, p. 403; tr. fr., p. 427. C'est pourquoi il ne saurait être
question de faire de James un théologien puisque Dieu n'est rien d'autre
que cette puissance inconsciente en nous. La transcendance supposée
n'est que l'interprétation de forces immanentes à la conscience. On cesse
d'interpréter ce qui survient comme mien dans la mesure où on n'aperçoit
plus le lien de continuité entre la conscience claire et «notre propre esprit
caché».
96 1 Wüliam James.. Empirisme et pragmatisme
La communauté d'in!erprétation
1. Royce, op. cit., II, p. 149. Notons que si James critique le hégélia-
nisme de Royce, il voue cependant une vive admiration aux textes qui
échappent à cette influence.
2. Royce, op. cit., II, p. 247.
3. Cf. Aronson, lA philosophie morale de Josiah Royce, Alcan, Il,
p. 144.
Confumce et communauté pragmatique 1 119
l. Galilée, Newton lus par Einstein. Espace et relativité (4e édition), par
Françoise Balibar
2. Piaget et l'enfant (2e édition), par Liliane Maury
3. Durkheim et le suicide (4e édition), par Christian Baudelot et Roger
f.stablet
4. Hegel et la société (2e édition), par Jean-Pierre Lefebvre et Pierre
Macherey
6. Socrate (3e édition), par Francis Wolff
7. Victor Hugo philosophe, par Jean Maure/
8. Spinoza et la politique (3e édition), par Étienne Balibar
10. Carnot et la machine à vapeur, par Jean-Pierre Maury
Il. Saussure. Une science de la langue (3e édition),par Françoise Gadet
12. Lacan. Le sujet (3e édition), par Bertrand Ogilvie
13. Karl Marx. Les Thèses sur Feuerbach, par Georges Lahica
14. Freinet et la pédagogie (2e édition), par Liliane Maury
15. Le « Zarathoustra » de Nietzsche (2e édition), par Pierre
Héber-Suffrin
16. Kant révolutionnaire. Droit et politique œ édition), par André Tose/
17. Frankcnslcin : mythe ct philosophie (2c édition), par Jl•an-.lacqul'.\'
Lecercle
18. Saint Paul, par Stanislas Breton
19. Hegel et l'art (2e édition), par Gérard Bras
20. Critiques des droits de l'homme, par Bertrand Binoche
21. Machiavélisme et raison d'État, par Michel Sene/lart
22. Comte. La philosophie et les sciences, par Pierre Macherey
23. Hobbes. Philosophie, science, religion, par Pierre-François Moreau
24. Adam Smith. Philosophie et économie, par Jean Mathiot
25. Claude Bernard. La révolution physiologique, par Alain Prochiantz
26. Heidegger et la question du temps (2e édition), par Françoise Dastur
27. Max Weber et l'histoire, par Catherine Colliot-Thélène
28. John Stuart Mill. Induction et utilité, par Gilbert Boss
29. Aristote. Le langage, par Anne Cauquelin
30. Robespierre. Une politique de la philosophie, par Georges Labica
31. Marx, Engels et l'éducation, par Lê Thành Khôi
32. La religion naturelle, par Jacqueline Lagrée
33. Aristote et la politique, par Francis Wolff
34. Sur le sport, par Yves Vargas
35. Einstein 1905. De l'éther aux quanta, par Françoise Balibar
36. Wittgenstein : philosophie, logique, thérapeutique, par Grahame
Lock
37. Éducation ct liberté. Kant ct Fichte, par Luc Vinœflli
3H. Le fétichisme. Histoire d'un concept, par Alfonso Jacono
39. Herbert Marcuse. Philosophie de l'émancipation, par Gérard Rau/et
40. Un droit de mentir ? Constant ou Kant, par .François Boituzat
41. Les émotiOI)S de Darwin à Freud, par Liliane Maury
42. Le travail. Economie et physique, 1780-1830, par François Vatin
43. Bachelard et la culture scientifique, par Didier Gil
44. Leibniz et l'infini, par Frank Burbage et Nathalie Chouchan
45. C. S. Peirce et le pragmatisme, par Claudine Tiercelin
46. La déconstruction. Une critique, par Pierre V. Zima
47. Jeremy Bentham. Le pouvoir des fictions, par Christian Laval
48. Pierre Bayle et la religion, par Hubert Bost
49. Marcel Mauss. Le fait social total, par Bruno Karsenti
50. Mallarmé. Poésie ct philosophie, par Pierre Campion
51. Maurice Halbwachs. Consommation et société, par Christian Boude-
lot et Roger Establet
52. Descartes et les « Principia » II. Corps et mouvement, par Frédéric
de Buzon et Vincent Carraud
53. La causalité de Galilée à Kant, par Elhanan Yakira
54. Deleuze. Une philosophie de l'événement (2e édition), par François
Zourabichvili
55. Jean Cavaillès. Philosophie mathématique, par Hourya Sinaceur
56. Pascal. Figures de l'imagination, par Gérard Bras et Jean-Pierre
Cléro
57. Pascal. Contingence et probabilités, par Catherine Chevalley
58. Vico et l'histoire, par Paolo Cristofolini
59. Diderot et le drame. Théâtre et politique, par Alain Ménil
60. Husserl. Des mathématiques à l'histoire, par Françoise Dastur
61. Dieu et les créatures selon Thomas d'Aquin, par Laurence Renault
62. Les« Principia »de Newton, par Michel Blay
63. Berkeley. L'idée de nature, par Roselyne Dégremont
64. Marx et l'idée de critique, par Emmanuel Renault
65. La différence des sexes, par Geneviève Fraisse
66. Fénelon et l'amour de Dieu, par Denise Leduc-Fayette
67. rytontesquieu. Politique et richesses, par Claude Mori/hat
68. Erasme. Humanisme et langage, par Paul Jacopin et Jacqueline
Lagrée
69. Spinoza. Chemins dans l' « Éthique», par Paolo Cristofolini
70. Bertrand Russell. L'atomisme logique, par Ali Benmakh/ouf
71. La finalité dans la nature. De Descartes à Kant, par Colas Dujlo
72. Montaigne philosophe, par lan Mac/ean
73. Kant. Histoire et citoyenneté, par Gérard Rau/et
74. Hannah Arendt. Politique et événement, par Anne Amie/
75. Les stoïciens et l'âme, par Jean-Baptiste Gourinat
76. Descartes. La Géométrie de 1637, par Vincent Jullien
77. La tolérance. Société démocratique, opinion, vices et vertus, par
Patrick Thierry
78. Machiavel. Le pouvoir du prince, par Georf{es Faraklas
79. Aristote. La justice et la Cité, par Richard Bodéüs
80. Guillaume d'Ockham. Logique et philosophie, par Joël Biard
81. La philosophie de la nature, de Hegel, par Alain Lacroix
82. Kierkegaard. Existence et éthique, par André Clair
83. Le scepticisme de Montaigne, par Frédéric Brahami
84. Montesquieu. Les Lettres persanes, par Céline Spector
85. Les philosophies de l'environnement, par Catherine Larrère
86. Kant. Les idées cosmologiques, par Paul Clavier
87. Gottlob Frege. Logicien, philosophe, par Ali Benmakhlouf
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