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La construction se tourne vers le futur , elles frappent à nos portes, pourrions
nous imaginer des structures intelligentes qui pourraient culturellement boul-
everser notre mode de vie introduisant les énergies nouvelles et surtout renou-
velables répondant à un environnement qui a besoin d’être protégé , préservé
Magazine@geniecivil.org pour la sauvegarde de notre équilibre ...
les structures futuristes chantent de véritables prouesses technologiques de vrais
défit aux calculateurs , à ce titre nous avons fait un sacré bond avec les euroco-
des à quand les universelcodes , oui rêvons , rêvons mais le rêve est celui là qui
nous donne l’envie de connaître d’approcher les calculs les plus fous .
Mais l’heure n’est pas à la construction , mais à la préservation de ce qui a été
déjà construit selon moi , les édifices de par leur nombre ont décidé de faire de
nous de réamenageur , des réhabiliteur et des rénovateurs , une nouvelle disci-
pline que le génie civil et même l’architecte devront s’y versé dans les années à
venir ,nous pouvons citer le cas d’un pont routier dont le tablier a été renforcé
d’armatures en matériaux composites et muni de capteurs à fibre optique afin
d’assurer la télésurveillance de son comportement .De nos jours construire
nécessite l’intervention de plus d’un professionnels , des partenaires scienti-
fiques et industriels qui rendent les solutions techniques novatrices possibles .
Pour atteindre cet objectif , il faut prétendre à une conception sécuritaire avant
d’être économique et donc réunir des aptitudes à un calcul à la sécurité tout en
assurant un service optimal .
Nous y voilà donc , nouvelle interface , nouveau départ , de nouveaux modéra-
teurs et pourquoi pas une nouveauté comme un magazine , une idée , un rêve ,
une concrétisation
Le Forum International de génie civil prend de l’allure et veut se refaire , il veut
des discussions techniques ,veut des réponses et nos concepteurs ainsi que tous
les intervenants de la construction qui font partie de cette grande famille « le
génie civil » la plupart font le ramadan,
N’attendent pas el adhane pour étancher leur soif de savoir , chacun ramène sa
petite briques , construisons nous en construisant cet espace.
Et tente de la placer quelque part contre les parois de cet espace qui nous réunit
selon nos possibilités selon nos connexions ,selon aussi notre souhait d’y venir .
A Tous je souhaite Bienvenu et une rentrée réussit puisse-t-elle répondre à vos
aspirations .
01
mag N°01 Octobre 2007
La qualité et la durée
de vie des ouvrages
Modélisation simple
d’une station d’épuration
02
mag N°01 Octobre 2007
en juin 1968, il dut renoncer à son pro-
jet. Il retourna à Valence et s’incrivit à
l’Escuela Tecnica Superior de Arquitec-
tura, une institution relativement récente,
où il obtint un diplôme d’architecture
et suivit un cours d’urbanisme. Pendant
sa scolarité, il entreprit aussi des projets
indépendants avec un groupe de condis-
ciples, publiant deux livres consacrés
à l’architecture indigène de Valence et
d’Ibiza.
Calatrava a suivi des études primaires Après ses études, Calatrava occupa un
et secondaires à Valence. À 8 ans, il est poste d’assistant à l’ETHZ et commença
entré dans l’école des arts et métiers à accepter de modestes commandes de
pour y apprendre le dessin et la peinture. génie civil, telles que la conception du
Quand il eut 13 ans, sa famille profita de toit d’une bibliothèque ou d’un balcon
l’ouverture des frontières pour l’envoyer pour une résidence privée. Il commença
à Paris dans le cadre d’un échange étudi- également à répondre aux concours,
ant. Plus tard, il a également voyagé et persuadé que c’était le meilleur moyen
étudié en Suisse. Après ses études sec- de s’assurer des commandes. Il gagna
ondaires à Valence, il partit pour Paris son premier concours en 1983, pour la
dans l’intention de s’inscrire à l’École conception et la construction de la gare
des Beaux-Arts ; mais lorsqu’il arriva de Stadelhofen à Zurich, la ville où il
installa son bureau.
S.SITAYEB
Chef de Département Béton
Les tunnels passent sous un col situé à l’extrémité de l’Oued Djelada, qui est délimité
par le Djebel Harchaoua (altitude : 770 m), au Sud-ouest, et par le Djebel Guenadir (altitude
:720 m) au Nord-est. Le village de Ain Cheriki se trouve sur ce col à une altitude d’environ
560 m.
La majeure partie de l’alignement suit une ligne droite allant du Nord-ouest vers le
Sud-est avant de tourner en direction de l’Est au niveau de l’entrée Est du tunnel. Le mort
terrain (ou couverture) varie entre 8 et 68 m.
les entrées du tunnel se trouvent au niveau des chaînages suivants:
Le revêtement définitif été réalisé en béton coffré in situ par plot de 12.5m avec utilisation
d’un joint water stop entre les plots. Un complexe d’étanchéité , composé d’une membrane
d’imperméabilisation (en PVC) protégé par feutre protecteur (géotextile), est posé
5. Problématique
• Exigences du client
• Choix de matériaux de qualité
• Contraintes de mise en œuvre
Il fallait trouver un équilibre entre les exigences du client, les contraintes de mise en
oeuvre et le choix de matériaux de qualité ce qui n’était pas facile étant donné que la qualité
des matériaux dépendait d’autres partenaires à savoir les fournisseurs, qui pour certains
d’entre eux, la maîtrise et la régularité de la qualité n’était pas d’actualité.
Le rapport E/C doit être ≤ 0.4 et si le béton se révèle insuffisamment maniable pour
certaines sections de bétonnage difficile, on pourra élevé la teneur en eau en augmentant
dans les mêmes proportions la part du ciment !
Ils devront avoir une granulométrie de 4 nombres de calibrages dont un environ 0/4
mm. Pour les granulats moyen et gros ils devront avoir un coefficient Los Angeles ≤35 % et
une propreté ≤ 1.5%. Pour le sable, il doit être un 0/3 contenant plus de 75% de silice avec
un ES de 75%
6.4. Ciment
Le ciment utilisé doit être un CPA 325 ou CLK 325 et dans le cas ou c’est disponible, il
faudra choisir un ciment ayant une forte résistance au sulfate
œuvre . Etant donné qu’il était possible (selon la norme XP-P 15-319) d’utiliser du CPJ
CEM II/A, à condition que :
• C3A ≤ 5 %
• ( 2 C3A + C4AF) ≤ 20 %
• SO3< 2,3 %
• Mg0 < 4,0 %
En plus pour les conditions de mise en œuvre il fallait choisir un ciment à faible chaleur
d’hydratation car l’hydratation du ciment Portland est un processus exothermique.
Néanmoins nous devrions décoffrer après 48 heures sachant que le C3S agit principalement
sur les résistances aux jeunes âges: plus le taux sera élevé, plus les résistances aux jeunes
âges seront importantes. En diminuant le C3S, on diminuera dans le même temps les
résistances initiales !
Pour les granulats utilisés répondaient aux caractéristiques demandées , à part pour
le sable 0/3 qui n’était pas disponible donc on été amenés à utiliser un sable 0/5 avec un
sable 0/1 correcteur.
Le béton utilisé est un béton pompé, et une bonne pompabilité requiert une fluidité
qui peut être obtenue, soit par ajout d’une grande quantité d’eau, soit en faisant appel un
En plus le ferraillage dense surtout au niveau des voûtes exiger un béton très fluide. Tous
ces paramètres nous ont conduit à faire une étude de formulation de béton appropriée.
La première formulation de béton avait une granularité de 0/32.5 avec un ciment CPJ-
CEM II/A 32.5 (ciment de sour el ghozlane) et adjuvant à base de naphtalène sulfoné.
Le problème qu’on a rencontré c’est qu’avec cette formulation on obtenait difficilement le
C40/50 et la mise en oeuvre du béton par pompage été difficile. Cela est du aux facteurs
suivants :
Pour palier à ces problèmes, les mesures suivantes ont été prises :
Granulats :
Les graviers avaient un coefficient de Los Angeles qui varie entre 22.5 et 23.1 et un Micro
Deval qui varié entre 18.2 et 19.2
Ciment
Ciment CPJ – CEM II/A 42.5 de ACC M’Sila avec un C3A variant entre 6 - 8.5% et un
C3S variant entre 59 -64 %
• Début de prise : 3h 05 mn
• Consistance normale : 6 mm
• Résistance moyenne en compression à 7 j : 46.8 MPa et à 28 J : 55.8 MPa
Adjuvant
Adjuvant à base d’éther polycarboxylate a long maintien d’ouvrabilité
La composition utilisée été la suivante :
Sable lavé (Allaghan ) : 619 kg
Sable fin : 84 kg
Gravier 3/8 ENG : 242 kg
Gravier 8/15 ENG : 400 kg
Gravier 15/32.5 ENG : 401 kg
CPJ CEM II/A 42.5 de ACC M’Sila : 500 kg
Eau : 180 litres
Adjuvant MEDAFLOW 30 (1.5%) : 7 litres
Le problème qu’on a rencontré c’est qu’avec cette formulation on a obtenu des résistances
moyennes en compression à 28 jours qui varient entre 60 et 70 MPa mais la mise en oeuvre
du béton par pompage été difficile dû à la présence de gros granulats 60 mm dans la classe
des granulats 15/25.En plus la régularité de la forme des granulats 15/25 n’était pas
conforme aux spécifications du cahiers des charges.
Donc l’idée été de formuler un béton 0/20 pompable avec une résistance supérieure à 50
Mpa et avec l’utilisation du ciment ACC M’sila et un adjuvant superplastifiant (à base d’éther
polycarboxylate) permettant des affaissement de 26 cm pour un rapport E/C =0.4.
Les exigences de produire un béton de qualité nous ont amenées à trouver une relation
directe entre la formulation, la fabrication et de la mise en oeuvre. Pour la formulation nos
essais été orientés vers l’optimisation du mélange avec l’utilisation d’un ciment CPJ –CEM/
II A 42.5, d’une granulométrie continue, et d’un adjuvant superplastifiant à base d’éther
polycarboxylate.
En plus, sachant qu’une mauvaise fabrication aurait des conséquences sur les
caractéristiques finales et sur la mise en œuvre du béton. Pour ces raisons une attention
particulière a été donnée à la fabrication du béton, en installant une station de lavage des
agrégats et en contrôlant systématiquement la qualité de tous les constituants du béton.
Pour la mise en œuvre du béton , et pour avoir un béton avec une très grande maniabilité,
particulièrement lors de bétonnage des voûtes, et des résistances élevées en compression
surtout aux jeunes âges pour permettre un décoffrage en 48 à 72 heures ont a opté pour
l’utilisation d’un ciment CPJ –CEM/II A 42.5 ayant un faible pourcentage en C3A et un taux
élevé en C3S , et un adjuvant superplastifiant à base d’éther polycarboxylate.
La prise en compte de tous ces paramètres nous ont permis de produire un béton à
haute résistance et répondant aux exigences du CPS et de la mise en œuvre.
- sable de Fontaineblau
- suspension de levures à 10g/l, bien oxygénées quelques heures avant le début de l’utilisation du modèle
- chlorure ferrique: une toute petite pincée dans la cuve 3
- eau de javel
- eaux usées: eau + sable + graviers + argile + morceaux de plastique + débris organiques
(par exemple de la litière) + huile + glucose (7,5 g/l)
Les Romains ont édifié de robustes ponts en plein cintre reposant sur des piles épaisses. Ils en ont
construit beaucoup, notamment en Gaule. Certains subsistent comme le Pont du Gard. Beaucoup ont
cependant été détruits à cause de la faiblesse de leurs fondations.
Aujourd’hui:
Les grands ouvrages sont systématiquement étudiés avec l’aide d’un architecte spécialisé, aussi bien du
point de vue esthétique qu’environnemental.
Un pont est un ouvrage d’art destiné à permettre le franchissement d’un obstacle (cours d’eau, voie
de communication…) en passant par dessus. Un pont peut supporter une chaussée routière, une voie
ferrée, un canal (pont-canal) ou une canalisation (oléoduc, aqueduc, etc.). Un pont provisoire peut aussi
être constitué par des bateaux spécialisés (pont de bateaux). Plus généralement, il désigne un point de
passage ou de transmission (de matière, d’énergie, d’information) entre deux zones.
Le pont doit donc avoir un tablier (plate-forme qui constitue le plancher d’un pont) assez large et long. Il
y a quelquefois des défis qui sont plus difficiles à relever que d’autres. C’est le cas où des ponts doivent
relier les berges d’un lac, d’un ravin ou d’un estuaire...
Ces ponts doivent être assez robustes pour supporter leur propre poids ainsi que la charge que l’on veut
leur faire porter (gens, automobiles, camions, trains...)
De plus, ces ponts doivent supporter le mauvais traitement que la nature leur fait subir tels la pluie, le
vent, les tremblements de terre, le gel et le dégel.
En dernier lieu, un pont doit être esthétique, c’est-à-dire qu’il devra être beau et ne pas cacher la vue de
l’environnement.
Pont élévateur ou pont de graissage : Appareil de levage pour entretenir et réparer un véhicule à hauteur
d’homme.
Pont-canal : Pont permettant le passage d’un canal au dessus d’une voie, d’un cours d’eau. Pont mobile:
Pont dont le tablier, mobile en partie ou en totalité, permet d’interrompre le passage.
Pont levant : Pont dont le tablier subit un déplacement vertical, tout en restant horizontal.
Pont tournant : Pont dont le tablier pivote autour d’un axe vertical.
Pont levis ou pont basculant : Pont dont le tablier est mobile autour d’un axe de rotation horizontal.
Pont à poutres : Le plus simple de ces ponts se compose d’une seule travée appelée poutre, elle est
en bois, acier ou béton. Lorsque la distance de franchissement augmente, les extrémités des poutres
reposent sur des piles.
Le pont à poutres est essentiellement conçu d’une structure horizontale rigide reposant sur deux piliers,
un à chaque extrémité. Tout le poids du tablier, ainsi que celui des voitures et des gens, est directement
supporté par les piliers. La compression s’effectue donc vers le bas sur les piliers.
Puisque le tablier plie, la compression se produit sur le dessus du tablier et cette portion du pont rétrécit.
Pendant ce temps-là, la portion du dessous du tablier s’étire, donc elle subit la tension.
Plusieurs ponts et viaducs utilisent des poutrelles d’acier. Ces poutrelles, placées soit au dessus ou au
dessous du tablier, vont absorber une partie des forces de compression ou de tension. Plus la poutrelle
est loin du tablier, meilleure est son efficacité.
C’est aux Sémuriens que revient, vers l’an 3500 avant Jésus-Christ, l’idée d’assembler des pierres sous
forme d’arche. Les Romains acquirent une très grande habileté dans la construction des arcs en pierre
grâce, en particulier, à la découverte des ciments naturels. Ces arches atteignaient jusqu’à 30 mètres de
portée.
Pont-Neuf de Paris
Du XVIème au XVIIIème siècle, les arcs de ce type ont permis la réalisation d’ouvrages remarquables, tels
que le Pont-Neuf à Paris, construit à la fin du XVIème siècle. Les arcs de ces ponts peuvent être construits
en fonte, ce qui permet d’atteindre une portée maximale de 72 mètres. Ceux construits en béton armé
permettent d’obtenir de longues portées par rapport aux autres matériaux (le record est de 390 mètres de
portée avec le pont de Krk en Yougoslavie )
Pont suspendu : Pont dont le tablier est supporté par des câbles métalliques prenant appui sur deux
pylônes et accrochés sur chaque rive à des massifs d’ancrage; Le tablier est relié aux deux grands câbles
porteurs par des suspentes (câbles verticaux).
L’origine des ponts suspendus, sous la forme de passerelles accrochées à des lianes, est très lointaine. Ce
n’est qu’au XVIIIème siècle, avec les barres et les fils en fer ou en acier, que naissent les premiers ponts
suspendus. Les méthodes de construction ainsi que le choix des matériaux utilisés étaient très limités.
Cependant, grâce à des techniques de plus en plus développées, cela permet aux ingénieurs de fabriquer
des ponts assez fiables.
Pont à haubans : Le tablier est supporté en plusieurs points de la travée par des câbles d’acier dont
l’autre extrémité est accrochée à un pylône.
Les ponts à haubans, sont en quelque sorte une sous catégorie des ponts suspendus. Ils ne tiennent pas,
comme les ponts suspendus, grâce à deux câbles principaux, mais grâce à de nombreux câbles obliques
partant d’un pilier supportant le tablier.
Un pont peut être réalisé en béton, en maçonnerie, en métal ou dans d’autres matériaux pour des ponts
de faible longueur : bois, cordes, bambous (ponts de singes).
• des piles soutiennent le tablier entre les culées, si la longueur du tablier le nécessite. Elles
peuvent le soutenir de manière indirecte, par exemple avec un système de câbles, comme dans
les ponts suspendus
En France
Le pont du Gard
Le Pont du Gard est un pont romain à trois
niveaux situé dans le sud de la France,
près de Remoulins, dans le département
du Gard. Il enjambe le Gardon et assure la
continuité de l’aqueduc du même nom .
Le Viaduc de Millau
Le viaduc de Millau est un pont à
haubans qui enjambe la vallée du Tarn
près de Millau (Aveyron, dans le sud de
la France). Avec une pile haute de 341
mètres (plus haute que la tour Eiffel), il
est le plus haut pont du monde devant le
Royal Gorge Bridge (Colorado). Il est
considéré comme une œuvre d’art de
par son intégration dans le paysage des
Grands Causses et goélette blanche à sept
mâts voguant, immobile, dans le ciel du
sud de l’Aveyron (en particulier lorsque
les nuages envahissent la vallée).
Le pont de la Basse-Chaîne
Le Pont de Basse-Chaîne près d’Angers
a été construit par l’ingénieur Joseph
Chaley vraisemblablement en 1838. Il fut
le théâtre d’une tragédie : le 16-4-1850 un
bataillon de soldats se rendait à Angers
pour participer à une revue. Il y avait une
tempête et les soldats marchaient au pas
tête baissée. Le pas des soldats mit le
pont en résonance. Une partie du bataillon
avait atteint la rive gauche quand le pont
s’est rompu. Les hommes, baïonnette au
canon, tombèrent à l’eau. 222 soldats (226
selon d’autres sources) et 2 employés
d’octroi qui accompagnaient le bataillon
se noyèrent.
États-Unis
Le Golden Gate Bridge à San Francisco
Le Golden Gate Bridge est un pont
suspendu qui traverse le Golden Gate, la
bouche de la Baie de San Francisco sur
l’Océan Pacifique. Il relie la ville de San
Francisco (à la pointe nord de la péninsule
de San Francisco) à Sausalito (à la pointe
sud de la péninsule de Marin). Achevé
en 1937, il a été jusqu’en 1964 le pont
suspendu le plus long du monde.
Australie
Aéroréfrigérants industriels : ces structures sont soumises à un environnement sévère (brouillard d’eau sous
forme de vapeur ou de gouttelettes entraînées à l’intérieur, soleil, pluie ou gel à l’extérieur) engendrant des con-
traintes amorçant des fissures. Par ailleurs le fort gradient hydrique est à l’origine d’un transfert de vapeur d’eau
pouvant être la source d’altération du béton.
Parkings : poutres et dalles, en milieu maritime ou montagneux. Cela est lié dans les deux cas à la présence
des chlorures (provenant respectivement de l’eau de mer et des sels de déverglaçage). Il faut savoir que nombre
de dalles sont précontraintes, accroissant ainsi le danger de la corrosion