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Syntaxe et phrase
1. Syntaxe
La syntaxe est la branche de la linguistique qui étudie la façon dont les
morphèmes libres (les mots) se combinent pour former des syntagmes (nominaux
ou verbaux) pouvant mener à des propositions (indépendantes ou principales /
subordonnées, relatives), lesquelles peuvent se combiner à leur tour pour former
des énoncés.
Le terme de syntaxe est aussi utilisé en informatique, où sa définition est
similaire, modulo une terminologie différente. Ainsi la syntaxe est le respect, ou le
non-respect, de la grammaire formelle d'un langage, c'est-à-dire des règles
d'agencements des lexèmes (qui, en informatique, ne sont que des entités lexicales)
en des termes plus complexes, souvent des programmes. Dans la théorie des
langages formels, ce qui joue le rôle de lexème est en général appelé lettre ou
symbole, et les termes produits sont appelés mots.
D'un point de vue purement grammatical, l'étude de la syntaxe concerne
trois sortes d'unités :
• La phrase, qui est la limite supérieure de la syntaxe ;
• Le mot, qui en est le constituant de base, parfois appelé élément
terminal ;
• Le syntagme (ou groupe), qui en est l'unité intermédiaire.
Les relations syntaxiques entre ces différentes unités peuvent être de deux
ordres : la coordination lorsque les éléments sont de même statut, et la
subordination dans le cas contraire. Lorsqu'il y a subordination, l'élément
subordonné remplit une fonction syntaxique déterminée par rapport à l'unité de
niveau supérieur.
L'étude de la syntaxe tiendra compte, notamment, de la nature (ou catégorie
ou espèce) des mots, de leur forme (morphologie) et de leur fonction. C'est ainsi
qu'on parlera plus généralement de rapports morphosyntaxiques.
2. Phrase
En grammaire, une phrase peut être considérée comme un ensemble
autonome, réunissant des unités syntaxiques organisées selon différents réseaux de
relations plus ou moins complexes appelés subordination, coordination ou
juxtaposition.
D'un point de vue acoustique ou visuel, cependant (c'est-à-dire, aussi bien à
l'oral qu'à l'écrit), la phrase apparaît comme une succession de mots (de même
qu'un train apparaît comme une succession de wagons).
• La phrase possède une unité sémantique (ou unité de communication),
c'est-à- dire, un contenu transmis par le message (sens, signification...). Ce contenu
se dégage du rapport établi entre les signes de la phrase, et dépend du contexte et
de la situation du discours : chaque phrase a sa référence. Cette référence résulte de
la mise en rapport avec une situation, même imaginaire, de discours. Selon Roman
Jakobson, le mot seul n’est rien. Il ne se définit que par rapport aux autres éléments
de la phrase.
• Il faut remarquer que le sens ne dépend pas seulement des mots
(aspect lexical). L’organisation grammaticale y est aussi très importante : c'est
l'aspect syntaxique. Normalement, la syntaxe ne dépasse jamais les limites de la
phrase.
3. Types de phrases
Le type de phrase est la structure morphosyntaxique que revêt la phrase en
fonction de la plus ou moins grande implication que l'énonciateur fait peser sur le
destinataire. Selon ce critère, on regroupe traditionnellement les phrases en quatre
types : exclamatif, déclaratif, injonctif et interrogatif.
•
Dans la pure exclamation, l'énonciateur se contente d'exprimer une
émotion spontanée sans rien attendre du destinataire (le discours n'est pas
forcément adressé à lui). Le rôle de ce dernier est donc relativement effacé dans ce
type de phrase.
• Dans la déclaration, l'énonciateur adresse nettement son discours au
destinataire et lui demande de jouer le rôle de témoin.
• Dans l'injonction et l'interrogation, non seulement l'énonciateur
adresse nettement son discours au destinataire, mais en plus, le premier attend du
second une réaction (une réponse, un geste, une action...). Dans ce cas, donc, le
destinataire est plus fortement sollicité.
Phrase exclamative
Une phrase exclamative (ou interjective) indique que l'énonciateur exprime ses
sentiments et ses émotions. Elle contient une forte affectivité (joie, colère, surprise,
effroi, enthousiasme, amour, haine... ). Ce type de phrase est plus fréquent
à l'oral qu'à l'écrit. Souvent nominale, la phrase exclamative se termine toujours
par un point d'exclamation :
Phrase déclarative
Une phrase déclarative (ou énonciative ou assertive) indique simplement que
l'énonciateur communique une information, déclare un fait au destinataire. Se
termine habituellement par un point, elle peut être plus ou moins complexe. C'est
le type de phrase le plus répandu, et dont les grammairiens ont fait la phrase type,
canonique, exemplaire :
Tu as une moto. Ce jour-là, Julien travaillait. Nous partirons en vacances en
juillet. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui.
Phrase injonctive
Une phrase injonctive (ou de type impératif), indique que l'énonciateur
communique au destinataire, un ordre, une interdiction, un conseil, une simple
prière, etc., dans l'attente d'une action de la part de celui-ci. Elle se termine
habituellement par un point.
La phrase injonctive emploie normalement le mode impératif. Mais elle peut
également employer un temps ayant la même valeur : infinitif, indicatif présent,
futur, subjonctif présent… Elle peut être aussi une phrase nominale :
Prends ta moto. Ne pas stationner. Aidons-le. Qu'ils aillent au diable ! Trois
cafés, l'addition !
Phrase interrogative
Une phrase interrogative indique que l'énonciateur demande une information
au destinataire, et attend une réponse de la part de celui-ci.
Forme de la phrase interrogative
La phrase interrogative ne peut consister qu'en une interrogation directe. En
effet, l'interrogation indirecte étant contenue dans une proposition subordonnée,
celle- ci ne peut en conséquence être considérée comme une phrase interrogative.
Il existe trois formes d'interrogation directe :
•
La forme inversée, c'est-à-dire, la forme avec inversion du pronom
sujet. Elle appartient au registre soutenu :
Viendra-t-il ?
•
La forme longue, c'est-à-dire, la forme renforcée avec la locution «
est-ce que ». Elle appartient au registre courant :
Est-ce qu'il viendra ?
• La forme simple. Elle appartient au registre familier et seule la
présence du point d'interrogation permet de la distinguer d'une phrase énonciative :
Il viendra ?
On notera que l'inversion du pronom sujet et l'emploi de la locution « est-ce
que » s'excluent mutuellement, autrement dit, une phrase telle que « Est-ce qu'il
viendra-t-il ? » est totalement incorrecte.
• Au-delà de la phrase, il existe cependant la grammaire de texte. Celle-
ci étudie les énoncés (écrits, paroles, discours…) composés de plusieurs phrases
enchaînées, avec, notamment, leurs connecteurs (adverbes permettant la transition
logique entre les phrases d'un énoncé) et leurs représentants textuels (mots
renvoyant à d'autres mots de l'énoncé). À la frontière de la morphosyntaxe, la
grammaire de texte permet d'accéder à d'autres disciplines sortant du cadre de la
grammaire stricte : littérature, stylistique, rhétorique, philologie, etc.
• Il est nécessaire de bien différencier la phrase de l'énoncé. La phrase a
un sens (toujours le même, quelle que soit la situation d'énonciation), celui produit
par les choix lexicaux et syntaxiques (elle se situe plutôt du côté de la grammaire).
L'énoncé a une signification, qui, en fonction de la situation d'énonciation, peut
s'avérer différente du sens de la phrase. En conséquence, l'énoncé se situe plutôt du
côté de la pragmatique (branche de la linguistique). C'est pourquoi, une phrase
tirée de son contexte, c'est-à-dire, hors situation d'énonciation, conserve son sens
mais peut perdre sa signification :
Il fait beau.
La phrase ci-dessus, quelle que soit la situation d'énonciation, signifie qu'il
fait beau. Rien de plus, rien de moins. En tant qu'énoncé par contre, elle peut avoir
des significations différentes. S'il fait vraiment beau, la signification de l'énoncé ci-
dessus correspond au sens de la phrase. Si au contraire, le temps n'est pas beau, et que
l'énonciateur s'exprime ironiquement, la signification de l'énoncé sera : « Il ne fait
vraiment pas beau ! », tandis que le sens de la phrase restera inchangé : « Il fait beau
».
• Il convient de déterminer trois choses : d'abord, où commence et où finit
la phrase, ensuite, quelle est sa structure interne, enfin, quels sont les éléments
éventuels qui échappent à sa syntaxe.
Atelier 2
Système de l’enseignement d’une langue étrangère
• compétence langagière à
communiquer, o activités langagières et
o domaines.
On peut diviser chacune des catégories ci-dessus en sous-catégories elles-
mêmes encore très générales et que l'on étudiera dans les chapitres suivants. On
ne s'intéressera ici qu'aux différentes dimensions des compétences générales, de
la compétence communicative et aux activités et domaines langagiers.
Compétences générales individuelles
Les compétences générales individuelles du sujet apprenant ou
communiquant reposent notamment sur les savoirs, savoir-faire et savoir-être
qu'il possède, ainsi que sur ses savoir-apprendre.
Les savoirs, ou connaissance déclarative sont à entendre comme des
connaissances résultant de l'expérience sociale (savoirs empiriques) ou d'un
apprentissage plus formel (savoirs académiques). Toute communication
humaine repose sur une connaissance partagée du monde. En relation à
l'apprentissage et à l'usage des langues, les savoirs qui interviennent ne sont pas,
bien entendu, seulement ceux qui ont à voir directement avec les langues et
cultures. Les connaissances académiques d'un domaine éducationnel,
scientifique ou technique, les connaissances académiques ou empiriques d'un
domaine professionnel sont évidemment d'importance dans la réception et la
compréhension de textes en langue étrangère relevant des domaines en
question. Mais les connaissances empiriques relatives à la vie quotidienne
(organisation de la journée, déroulement des repas, modes de transport, de
communication et d'information), aux domaines public ou personnel, sont tout
aussi fondamentales pour la gestion d'activités langagières en langue étrangère.
La connaissance des valeurs et des croyances partagées de certains groupes
sociaux dans d'autres régions ou d'autres pays telles que les croyances
religieuses, les tabous, une histoire commune, etc., sont essentielles à la
communication interculturelle. Les multiples domaines du savoir varient d'un
individu à l'autre, îls peuvent être propres à une culture donnée ; ils renvoient
néanmoins à des constantes universelles.
Les relations entre savoirs et compétence à communiquer demandent
qu'on les considère attentivement.
Les habiletés et savoir-faire qu'il s'agisse de conduire une voiture, jouer
du violon ou présider une réunion, relèvent de la maîtrise procédurale plus que
de la connaissance déclarative, mais cette maîtrise a pu nécessiter, dans
6
Les moyens doivent être liés aux objectifs d’enseignement ; être instruments de
réalisation des méthodes et des procédés ; assurer la gestion de l’enseignement ;
répondre aux exigeances modernes.
On distingue des moyens principaux et auxiliaires, au maître et à l’élève,
techniques et non techniques.
Les moyens principaux font partie du complèxe (de la collection) de
méthode: livre de professeur, manuel, cahier d’exercices, programmes
d’ordinateur, audio/vidéocassettes, CD, disques, tableaux etc.
Les moyens auxiliaires: séries d’images, matériel didactique, tableaux
faits par le professeur, schémas, photos, affiches, magazines etc.
Les moyens au maître: livre de professeur, corrigés, programmes
d’ordinateur, audio/vidéocassettes, cahier d’exercices, disques. Le livre de
professeur contient des principes et des idées du complexe donné, des conseils
d’organisation du travail d’après le manuel, des conseils méthodiques pour
chaque leçon, des exercices d’audition.
Les moyens à l’élève: manuel, cahier d’exercices, programmes
d’ordinateur, audio/vidéocassettes, livre de lecture, disques, enregistrements. Le
manuel comprend des exercices d’audition, de conversation, de lecture (textes),
d’écriture, de civilisation, BD (bande dessinée), des exercices de grammaire,
des jeux, un vocabulaire, le bilan etc.
Les moyens techniques: magnétoscope, ordinateur, vidéoscope, DVD-
player, TV etc.
Les moyens non techniques: fiches, cartes, séries d’images, matériel
didactique, tableaux faits par le professeur, schémas, photos etc.
On distingue aussi des moyens auditifs et visuels.
1
Atelier 3
Méthodes de l’enseignement des langues étrangères
Méthodes de la traduction
La méthode de traduction dominait à l’époque de Renaissance jusqu’au
XIX siècle. On distingue deux méthodes de traduction: celle de grammaire et
celle de lexique.
La méthode grammaire-traduction ou de traduction grammaticale. En
traitant la mémoire comme un des phénomènes de la psychique on mettait la
mémorisation à la base de l’enseignement. La thèse de l’analogie des langues a
mené à ce qu’on a pris la traduction littérale comme un des principes
fondamentaux de l’enseignement des LE. On prenait pour la base de
l’enseignement les mots et les phrases qui illustraient des notions
grammaticales. Le but de l’enseignement: apprendre à lire et à traduire des
textes, surtout littéraires, en langue maternelle. Son but cognitif est le
développement de la pensée logique à l’aide des exercices de grammaire. Ses
représentants: I. Meidinger (Allemagne), G. Ollendorf (Angleterre).
Selon la méthode de traduction lexicale l’assimilation du matériel
lingual se passe à l’aide de la traduction, de la mémorisation mécanique et de
l’analogie à la base de la langue maternelle. On apprenait la langue en se basant
sur les textes et leur traduction en langue maternelle. Ses représentants: J.
Jacquetot (France), D. Hamilton (Angleterre), A. Chavanne(Suisse). Malgré les
defauts de ces méthodes, actuellement, on utilise certains procédés dans le
travail sur le texte (analyse et traduction des passages compliqués, recherche
dans le textes du materiel lexicale et grammatical, constatation des analogies
avec la langue maternelle).
Méthodes directes.
La méthode qui précédait les méthodes directes était la méthode naturelle.
Le but principal est d’enseigner à parler la LE, puis à lire et à écrire. M.
Berlitz : assimilation doit être organisée à l’aide d’imitation des actions du
professeur. En utilisant le maximum d’analogie, la langue maternelle est exclut
de l’enseignement; le sens de nouveaux phénomènes de langue se dévoile à
l’aide des moyens de démonstration.
Selon les méthodes directes la base de l’enseignement des LE coustituent
les mêmes principes physiologiques et psychologiques que de celui de la langue
maternelle. La mémoire et la sensation et non pas la pensée jouent le rôle
principale dans l’enseignement. Le but de l’enseignement est la possession
pratique de la LE, surtout la parole. Les représentants de cette méthodes
(P.Passy, O.Jespersen, Sch. Schweizer). Pour la première fois dans la
4
• L’essentiel dans cette méthode est enseigner à l’aide des structures: “savoir
la langue c’est savoir utiliser les structures”. Le processus d’assimilation des
structures a telles étapes: 1) aprentissage par coeur des modèles par imitation;
• choix conscient de la nouvelle modèle opposée à la précédente; 3)
entraînement intensif des modèles; 4) emploi libre de la modèle. Les principaux
sont les exercices de substitution et structurale.
Méthode audio-visuelle ou structuro-globale est élaboré au Centre
d’étude du francais à Saint-Clou (France) par P.Gouberina (Yougoslavie) et
P.Rivand, A.Sauvageot, J. Gouheneim et d’autres. On utilise cette méthode
plutôt dans l’enseignement des LE aux adultes. “Audio”, car le nouvel matériel
est perçu par l’élève par l’ouie et on définit son sens à l’aide des films (du
démonstration). On la nomme structuro-globale car on organise l’aprentissage
de la langue à la base des structures choisies qu’on peut comprendre
globalement, en tout. On choisi le vocabulaire et les structures gramaticales du
francais parlée. On attache une grande importance aux sujets qui englobent les
cas les plus fréquants dans la vie courante. Le cycle de travail sur le sujet a
quatre étapes:
←
Présentation du matériel (film: 1) sans le son; 2) avec le son);
←
Explication (on projète le film encore une fois, film par film, avec
l’explication des repliques par le professeur;
←
Répétition/imitation (élèves imitent les repliques);
←
Application/emploi (projection sans le son, élèves jouent des rôles.
Méthode communicative.
Y. Passov: selon Approche communicative on organise le processus
d’enseignement comme processus adéquate de communication réelle grâce à la
création des situations les plus fréquentes de la vie quotidienne.
Principes de la méthode communicative: objectifs communicatifs du
processus; individualisation; fonctionnalité du matériel; situationnalité du
matériel du processus; nouveauté, changement systematique d’objet de
conversation, des sirconstances et de tâches.
Objectifs:
• centrer l’enseignement sur les besoins et les motivations de l’apprenant;
• créer une compétence de communication en donnant la maîtrise d’un
certain nombre d’acte de parole et de fonctions du langage.
Contenu:
6
•
Vocabulaire: en fonction des nécessités de la communication et des
objectifs envisages;
•
Grammaire «notionnelle», basée sur le sens (sémantique et
énonciation); progression «fonctionnelle» correspondant aux nécessités de la
communication;
•
Thémes liées aux données antropologiques des civilisations.
• Exercices pragmalinguistique;
• Activités d’animation (jeux de rôles);
• Exercices de créativité.
• Résolution de «tâches», exécution de réalisations
concrètes. On distingue aussi d’autres méthodes :
• méthode suggestive (навіювання) (G.Losanon, Bulgarie) ;
• méthode de réaction physique total de J.Acher;
• méthode drama-pédagogique ;
• méthode de «silence» (G.Gatterno), rôle de «silence» de professeur ;
• méthode d’enseignement commun (груповий) (Ch. Curren).
7
Література
← Андреевская-Левенстерн Л.С. Методика преподавания
французского языка в средней школе. – M.: Просвещение, 1983.
← Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
← Гапонова С.В. Сучасні методи викладання іноземних мов за
рубежем // Іноземні мови. – 1998. – №1. – С.24-31.
← Гез Н.И., Ляховицкий М.В. Методика обучения иностранным
языкам в средней школе. – М.: Высшая школа, 1982.
← Давыдова М.А. Деятельностная методика обучения иностранным
языкам. – М.: Высшая школа, 1990.
← Зимняя И.А. Психология обучения иностранным языкам в школе.
– М., 1991.
← Китайгородская Г.А. Методика интенсивного обучения
иностранным языкам. – М.: Изд-во МГУ, 1986.
← Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської
мови // Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press,
1998.
← Лозанов Г. Суггестология / Пер. с болгарского И. Поповой //
Методика преподавания иностранных языков за рубежом. – Вып. ІІ. – М.:
Прогресс, 1976. – С.195-225.
← Ляховицький М.В. Методика преподавания иностранных
языков. – М.: Высш.школа, 1981.
← Методика интенсивного обучения иностранным языкам / Под.
ред. В.А. Бухбиндера и Г.А. Китайгородской. – К.: Вища школа, 1988.
← Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних
закладах // Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.:
Ленвіт, 2001.
← Миньяр-Белоручев Р.К. Методика преподавания французскому
языку. – М.: Просвещение, 1990.
14. Настольная книга преподавателя иностранного языка // Маслыко
Е.А., Бабинская П.К. – Минск: Вышэйшая школа, 1992.
← Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови
• Іноземні мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
← Пассов Е.И. Коммуникативный метод обучения иноязычному
говорению. – М., 1991.
8
Objectifs:
• pratiques: formation des aptitudes d’audition, d’articulation, de rythme
et d’intonation;
• instructifs: comparaison des systèmes phonétiques et de
l’enseignement de la LE et de la langue maternelle;
• éducatif: formation d’une articulation correcte.
Contenu:
1) certaines connaissances des systèmes phonètiques;
2) certaines connaissances sur la prononciation des sons français;
←
formation de l’articulation et de la prononciation des sons (voyelles,
consonnes) et leur perception;
←
formation des savoir-faire de syllabisation, d’accentuation,
d’intonation correcte, des liaisons et de l’enchaînement.
Approches:
1) articulatoire (analytique);
2) acoustique;
3) différentielle.
L’approche articulatoire (І.Грузинська, К.Колосов, О.Норк,
А.Рапанович):
1) La formation des aptitudes de prononciation qui précède la
prononciation elle-même;
2) Les connaissances de toutes les particularités de travail de l’appareil
phonatoire;
3) La formation des aptitudes de prononciation de chaque son à part;
4) L’entraînement scrupuleux de chaque son.
La base pratique.
1. La prononciation travaille sans audition.
2. Le travail des schémas, de la position des organes de l’appareil
phonatoire pendant l’articulation du son.
← Le travail est basé sur la transcription sous la présentation des
lettres. Les étapes du travail:
1. L’orientation (d’après les schémas avec la prise de notes) ;
2. La planification ;
• L’articulation ;
• La fixation ;
• Le contrôle.
•
La méthode prend beaucoup de temps ;
•
La perte de motivation ;
•
On perd les apptitudes de prononciation dans la chaîne
parlée. L’approche acoustique :
← La formation des aptitudes de prononciation doit être basée à
l’imitation (à la manière de la formation des aptitudes de prononciation de la
langue maternelle) ;
←La formation des aptitudes de prononciation est basée sur les sensations
auditives (слухові відчуття);
← La formation des aptitudes de prononciation au cours de
l’enseignement du langage parlée ;
←L’appui sur les exercices imitatifs ;
←L’absence de l’entraînement des sons à part.
Enseignement de la grammaire
3М рівня словосполучення:
Qu’est-ce qu’il y a sur la table? 1) Une nappe blanche.
2) Un vase vert.
3М рівня фрази:
Qu’est-ce qu’il y a sur la table? 1) C’est une regle.
2) C’est la regle de Marie.
La présentation d’une nouvelle structure le maître doit commencer
par attirer l’attention à la fonction de cette structure, et la forme doit être
assimiler parallèlement avec la fonction.
Exemple. Сьогодні ми з вами навчимося говорити про
приналежність речей не одній людині, а багатьом, наприклад, учням,
дітям і т.п. Ви вже знаєте, як сказати, що ця лінійка належить Олі:
Cette règle est à Olga. Так? А тепер зверність увагу на малюнок на
дошці та уважно слухайте мою розповідь.
Regardez cette image. C’est un vestiaire de notre salle sportive. Victor
est de service. Il y a des objets sur un banc. Ils ne sont pas à leurs places. Le
professeur entre et demande: «Victor, à qui sont ces objets?» Victor répond:
«Ces blousons sont aux files de notre classe Nina et Lucie. Ces vestons sont
aux garcons de notre classe Nicolas et André. «Oh, tout est clair, – dit le
professeur, - ces élèves sont en retard pour la leçon».
Maintenant écoutez et répétez après moi:
A qui sont ces blousons?
Ces blousons sont aux filles de notre classe.
A qui sont ces vestons?
Ces vestons sont aux garcons de notre classe.
Зверніть увагу на те, що форма «sont aux» однакова як для
чоловічого, так і для жіночого родів.
Maitre (M): Victor, à qui sont ces chapeaux?
Elève (E): Ces chapeaux sont aux garcons de notre classe.
Assimilation se fait à l’aide des exercices reproductifs et productifs.
Les premiers: différentiation, substitution, transformation, continuité du ML,
réponses aux questions (structuraux). Les deuxièmes : emploi déterminé,
dialogues, monologue, conversation, jeux.
La formation des aptitudes grammaticales a trois étapes : 1)
présentation ; 2) entraînement et 3) emploi.
Les étapes logiques de l’activité du professeur :
1. L’analyse du phénomène grammatical (forme compliquée, sens et
fonctions).
2. La détermination de la forme d’organisation de la présentation du
matériel (inductive, déductive).
3. Le choix des phénomènes grammaticaux comme support (matériel
précédent, assimilé). Ce choix doit être causé par 1) la complicité du
matériel ; 2) la possibilite d’employer le matériel assimilé comme support ;
3) l’expérience grammaticale des élèves ; 4) la possibilité de sa présentation
visuelle (tableau) ; 5) le phénomène analogue de la langue maternelle.
4. Le choix des méthodes le plus convenable à l’enseignement du
materiel concret (structure fonctionelle, communicative). Les principales
sont les méthodes communicative et fonctionnelle, mais il faut parfois
utiliser les methodes structuro-fonctionnelle et systematique.
5. Le choix des exemples reflètant le plus complètement le sens et les
traits particuliers de ce phénomène ; la suite logique de présentation de
forme, de sens et de fonction.
6. Le choix des procédés et des exercices à assimiler le phénomène. Ce
choix est déterminé par : 1) le caractère de la structure ; 2) le degré de
coincidence de la structure donnée de la LE et de la structure analogue de la
langue maternelle ; 3) les objectifs d’enseignement ; 4) la présence de
l’expérience langagière chez les élèves ; 5) l’âge des apprenants ; 6) l’étape
d’enseignement.
Selon le caractère on distingue les exercices linguaux, de langage
simulé et langagiers.
Selon la manière d’exécution on dictingue : 1) exercices différentiatifs ;
2) exercices imitatifs ; 3) exercices de substitution ; 4) exercices de
transformation.
7. La détermination des formes, des objets de contrôle (savoirs, savoir-
faire) et le choix des exercices de contrôle.
Automatisation des actions des élèves avec les structures du matériel
grammatical actif :
1) Dites oui si ces objets appartiennent à vos copins:
M: Ces vestes sont aux garcons de notre classe.
E: Oui, ces vestes sont aux garcons de notre classe.
M: Ces blouses sont aux filles de notre classe.
E: Oui, ...
M: Ces jouets sont aux enfants de Madame Bernard.
E: Oui, ...
2) Dites que ces choses appartiennent non à une fille ou un garçon,
mais aux filles ou aux garçons de ta classe:
M: Ce blouson est à Nina.
E: Ces blousons sont aux filles de notre classe.
M: Ce chapeau est à Oleg.
E: Ces chapeaux sont aux garcons de notre classe. Etc.
3) Dites quelles de ces choses appartiennent aux filles et quelles aux
garçons de ta classe. Je commence la phrase et finissez.
M: Ces chemises...
E: Ces chemises sont aux garcons de notre classe.
M: Ces blousons...
E: Ces blousons sont aux filles de notre classe. Etc.
4) Dites à qui appartiennent ces choses:
Ces balles sont aux Madame Bernard
Ces jouets sportifs de notre classe.
Ce bébé enfants de Madame Bernard.
Ces blousons est à Nina
Ce ruban filles de notre classe.
5) Jeu «Trouve le maître».
У чийсь портфель кілька учнів кладуть по одному або по кілька
предметів, що їм належать. Інший учень повинен сказати, кому
належать ці предмети.
Наприклад:
Cette gomme est à Nina. Ces cahiers sont à Victor.
Ces crayons sont aux filles Olga et Nadine.
Cette règle à Michel. Etc.
6) Observez l »image. C’est votre cour. Midi. Tous se sont cachés de la
chaleur. Mais qqn a laissé ses affaires. Trouvez-vous leurs
propriétaires ?
Automatisation des actions des élèves avec les structures du matériel
grammatical passif :
Література
1. Андреевская-Левенстерн Л.С. Методика преподавания французского
языка в средней школе. – M.: Просвещение, 1983.
2. Бухбиндер В.А. Работа над лексикой // Основы методики
преподавания иностранных языков. – К.: Вища школа, 1986. – С.159-
179.
3. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
1. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
2. Ляховицький М.В. Методика преподавания иностранных языков. –
М.: Высш.школа, 1981.
3. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
4. Миньяр-Белоручев Р.К. Методика преподавания французскому
языку. – М.: Просвещение, 1990.
5. Настольная книга преподавателя иностранного языка // Маслыко
Е.А., Бабинская П.К. – Минск: Вышэйшая школа, 1992.
6. Рогова Г.В. Методика обучения иностранным языкам в средней
школе. – М.: Просвещение, 1991.
7. In-Service Curriculum and Development Course for English Language
Teachers. – К.: Ленвіт, 2002.
8. Le Français dans le Monde. Revue.
9. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
Atelier № 7
Oral Ecrit
Картка 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
учня: D
Засіб
контролю: Заповнення учнями таблиці.
Exemple 2. (малюнки)
Ecouter le météo et placez les symboles convenables sur les régions
citées dans le bulletin météo.
Météo
Mercredi, le temps assez ensoleillé persistera du pourtour
méditerranéen au sud des Alpes et à la Corse (1, 2, 3).
Ailleurs, les nuages seront nombreux et des pluies se produiront sur
l’est (4) ainsi que, en soirée, de la Bretagne à la Normandie (5, 6). Les vents
de sud-ouest se renforceront près des côtes de la Manche (7).
Засіб контролю: Нанесення учнем позначень на карту (Наприклад:
1-А).
Література
Atelier № 8
Mon père
Ma mère s’appelle...
Mon frère
Ma soeur
Il est grand(e).
Elle n’est pas très grand(e).
petit(e).
Il ovale.
Elle a le visage rond.
blonds longs.
Ses cheveux sont bruns et coupés.
chatains
Ses yeux sont bleus.
noirs.
bruns.
verts.
Schéma structuro-logique :
Je m’appelle...
Mon nom de famille est...
J’ai ... ans.
Je suis élève de...
3. enseigner à composer le monologue au niveau du texte.
Systeme d’exercices se compose de trois groupes d’exercices qui
correspondent aux étapes de l’enseignement de l’expression monologique.
Groupe I – exercices à savoir lier les unités de langage dans une unité
des phrases (Ніколаєва, 177) :
Завдання: Діти, давайте опишемо з вами наш кабінет іноземної
мови. Я почну, а ви допомагайте мені, будь-ласка.
M: Notre salle de français est grande et claire.
E1: Dans la classe il y a 3 fenêtres.
E2: Les fenêtres sont grandes.
E3: Dans la classe il y a 12 pupitres.
E4: Les pupitres sont bleus.
E5: Sur les pupitres il y a beaucoup de livres, cahiers, stylos et crayons.
E6: Sur le bureau de professeur il y a un stylo et une baguette.
E7: Le bureau du professeur est brun.
Groupe II – exercices à composer le monologue au niveau de l’unité
des phrases par les élèves eux-mêmes ;
Вправа 1. Тема «Зовнішність», 5 клас.
Завдання: Опиши зовнішність одного із членів своєї родини, на
якого, на твою думку, ти найбільш схожий.
C’est un support en forme du tableau de substitution ouvert. En
composant son énoncé l’élève complète les parties soi-disant « ouvertes »
du contenu actuel consernant la personne de laquelle il parle.
Atelier 9
Enseignement de la compréhension des écrits
1. Lecture comme activité réceptive du comportement verbale.
2. Сaractère des textes. Les difficultés de la lecture.
3. Espèces de la lecture et les méthodes de l’enseignement de la lecture.
La lecture est une activité réceptive écrite du comportement verbale.
La lecture est une source d’information.
L’objectif essentiel de la lecture – la comprehension, l’analyse de
l’information dont nous avons besoin pour la communication. Le but
essentiel – apprendre à lire et à comprendre un texte écrit.
Les tâches :
1. former l’aptitude de lier les images visuelles graphiques au traces
auditives et au sensations maîtrises (apprendre à saisir la corrélation entre
les lettres et les sons)
2. apprendre à lier les images visuelles des mots au sens de l’énoncé
3. apprendre à distinguer les liens entre les mots dans les propositions.
La langue écrite est caractérisée par :
1. l’expansion
2. la successivité
3. la logique
4. la normativité
5. la revocabilité.
L’activité de la lecture comprend deux côtés: technique (la possession
des mécanismes de la lecture) et le côté sémantique (la faculté de
comprendre ce qu’on lit).
On distingue deux niveaux de compréhension d’un texte:
1) niveau de sens des mots et
2) niveau de contenu du texte.
A cause de cela on classifie deux types de lecture :
1) lecture technique
2) lecture informative: a) d’analyse; b) de recherche.
Le motif de la lecture comme activié communicative se manifeste en
communication.
Le but de la lecture est de recevoir, plutôt tirer l’information
nécessaire. A l’école on forme des automatismes et des savoir-faire de
lecture. On exige de former les savoir-faire de lecture satisfaisants pour
comprendre:
a) le contenu général;
b) le contenu entier des textes compliqués.
1. Au niveau débutant la tâche essentielle est de former et développer
la technique de la lecture à haute voix et de la lecture silencieuse. La lecture
c’est l’action d’identifier la lettre pour saisir les liens entre ce qui est écrit et
ce qui est dit. C’est la sonorisation. Nous enseignons la technique de la
lecture; le lexique connu. On travaille la sonorisation.
2. Au niveau intermédiare la tâche de l’enseignant est d’apprendre aux
élèves à lire à haute voix et silensieusement en devinant le sens des mots
inconnus d’après le contexte, saisissant le contenu général en faisant
l’analyse lexical, grammatical, structurel, sémantique et en utilisant la
traduction. La lecture c’est l’action de prononcer à haute voix un texte écrit
avec sa compréhension – niveau intermédiaire des mots inconnus. Nous
travaillons la compréhension de ce texte avec un mot inconnu. La liaison
avec le thème.
3. Au niveau intermediaire et avancé. La lecture c’est l’action
d’extraire l’information d’un texte. Niveau intermédiaire et avancé;
l’enseignement de compréhension écrite.
Les textes. La formation adéquate des savoir-faire de la lecture
dépend du caractère des textes: leur contenu, informativité, sujet
intéressant. De la qualité du texte dépend la motivation de l’activité de la
lecture de l’élève.
Exigences:
1) valeur éducative: former des qualités morales et éthiques
2) valeur de connaissance de la realité. Le matériel des textes doit
refléter la vie réelle du pays, du peuple et des hommes
3) correspondance des textes à l’âge et aux intérets des élèves, à leur
niveau intellectuel, à leurs besoins.
Fonctions des textes dans l’enseignement :
1) enrichissement des connaissances des élèves, surtout lexicaux
2) entraînement: assimiler le matériel lexico-grammatical
3) développement des savoir-faire de l’expression orale d’après le texte :
on redit, on joue en rôles; on invente la fin du texte ou son commencement,
discussion etc.
4) développement des automatismes de la réception et de la
compréhension du texte.
Difficultés:
1) d’orthographe :
a) la quantité des lettres et des sons est différente : chère, nouveau, chair ;
b) les mêmes signes graphiques peuvent être sonorisé autrement : cravate –
celle, gomme – geler, stable – vase;
c) correspondances entre les sons et les lettres français et ukrainiens :
[p] français
p
[r] ukrainien
d) les signes diacritiques ;
e) les lettres muettes: h, p, e... ;
f) le groupe de mots prononcé comme un seul son: in, im, aim, ein...
2) linguales :
a) l’ordre des mots ;
b) entre les mots : en/en parlant
c) divergences lexicales (le champ).
d) la mélodie
e) la ponctuation
f) les mots internationaux.
Exercices : trois types :
1) formation des automatismes de la techique de la lecture
2) formation des automatismes communicatifs d’après la lecture
3) développement des savoir-faire de la lecture.
La technique de la lecture: l’élève doit apprendre à lier les sons dont
un mot se compose de la signification de ce mot et de son image graphique.
Au niveau débutant la forme essentielle est la lecture à haute voix qui
passe à la lecture silencieuse.
Rogova différencie deux periodes de la lecture: avant textuelles
(lettre, combinaison des lettres, mot, unités des mots) et textuelle (texte).
I étape
Exercices :
1) au niveau des lettres et des phonèmes :
- lire des lettres
- lier les majuscules et les minuscules et les lire
- nommer les mots avec la lettre « n » au commencement du mot
- trouver la ressemblance et les divergences dans les mots : sous-sur,
lors-lours, mère-mer
2) au niveau des mots
- lier les images aux mots donnés et les lire
- deviner la lettre omie dans le mot et le lire : gr...nd, pet...te, ch...t,
r...se, ro...ge
- lire un nombre de mots pour 20 secondes (1 mot – 1 seconde)
- retenir les mots montrés sur les fiches (3, 5, 7 mots) et les reproduire
le plus vite possible
3) au niveau de la prognostique des mots
- décoder les orthogrammes et lire les mots reçus : firae, losty, lebta,
ntrêefe
- composer les mots des lettres à part
- lire les mots avec des lettres omies
- lire la phrase en remplaçant les images par des mots qui
correspondent
4) au niveau syntagmatique ;
- écoutez le speaker (le maître), suivez le livre et lisez la phrase à haute
voix
- lisez les phrases en changeant l’accent logique
- préparez-vous au concours « le meilleur lecteur »
5) l’élargissement et la vitesse de la lecture
- lire le texte pour le temps donné
II étape
Lecture pour tirer l’information.
On distingue quelques niveaux de compréhension des textes: 1-3
niveaux de sens; 4-7 niveau de contenu.
1) lecture des mots
2) lecture des groupes de mots
3) lecture des petits textes
4) alinéa, les liens des phrases, phrase-clé
5) colorit émotif du contenu
6) la compréhension complète
7) thème, idée, problème, analyse
Lecture informative
a) pour comprendre la contenu générale :
-la vitesse
-les faits-clés
Les buts :
1) définir le thème et le problème
2) l’information sur le problème
3) trouver l’idée principale
4) trouver les faits essentiels
5) exprimer son attitude envers le texte lu.
Il faut apprendre aux élèves à accomplir telles actions:
1) pronostiquer le contenu du titre et du commencement du texte;
2) deviner le sens des mots inconnus d’après le contexte
3) ignorer les mots qui n’empêchent pas à comprendre le contenu
4) trouver les parties significatives du textes et les liens entre elles
5) consulter les dictionnaire, guide.
La langue doit être : normative, logique, successive.
Exercices I
- lire le titre et deviner ce don’t il s’agira dans le texte
- répondre aux questions et corriger les questions fausses
- faire le résumé du texte en ukrainien
- donner son avis sur le texte lu
Lecture d’étude avec une certain réflexion, liée à l’analyse, à la
synthèse et parfois à la traduction.
b) La lecture à comprendre le contenu entier :
Buts :
1) comprendre le contenu entièrement et profondement
2) comparer l’information tirée avec son expérience
3) évaluer l’information et exprimer ses idées à propos d’elle
4) transmettre les données du texte aux autres, avec l’appui au texte ou
pas
5) commenter quelques faits
Exercices II
- choisir les images qui illustrent l’idée maîtresse du texte
- définir la conformité de l’information proposée pas le professeur
- trouver les informations-clé dans le texte et noter l’information la plus
importante
- faire le plan du texte ; l’illuster à l’aide des phrases du texte
- faire la traduction du texte
с) Lecture choisi pour trouver l’information nécessaire
- vitesse – 500 mots/min.
Exercices III
- répondre aux questions du professeur sur le contenu général du texte
et sur les détails.
- répondre aux questions consernant les details
- dire si l’information présentée par le professeur correspond à celle
tirée du texte
- trouver dans le texte les faits accentués par le professeur
Atelier 10
L’analyse générale :
I. Orientation
1. Fixer le thème
2. Etablir les objectifs de la leçon.
3. Constater la corrélation des buts au type de la leçon.
II. Structure et contenu de leçon :
1. Fixer les étapes et leur successivité.
2. Régler la correspondance des procédés de l’enseignement aux buts
de la leçon.
3. Evaluer la rationalité de corrélation des exercices d’entraînement et
de communication.
4. Nommer les moyens auxilaires de l’enseignement, évaluer leur
rationalité et leur effectivité.
5. Etablir la corrélation adéquate du matériel aux intérets et à l’âge
des élèves.
III. L’activité des élèves :
1. Constater les formes essentielles de l’interaction du professeur et
des élèves, leur place et l’effectivité.
2. Nommer les procédes de stimulation de l’activité des élèves.
IV. Le comportement langagier du maître d’école :
1. Correspondance du langage du professeur à la norme, au niveau
des élèves, aux exigences du programme scolaire.
2. Degré de possession des expressions nécessaires pour mener une
leçon.
3. Evaluer la netteté, l’accessibilité de formulation des devoirs et des
explications.
4. La rationalité de l’utilisation de la langue maternelle.
5. La proposition de prise de parole du professeur et des élèves.
V. Les résultats.
1. Faire le bilan de ce qu’on a appris.
2. Constater la correspondance du niveau des aptitudes langagières et
des savoir-faire aux buts posés.
3. Mettre des notes et évaluer leur objectivité et leur motivation.
L’analyse détaillé de la leçon.
Література
1. Андреевская-Левенстерн Л.С. Методика преподавания французского
языка в средней школе. – M.: Просвещение, 1983.
2. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
3. Гез Н.И., Ляховицкий М.В. Методика обучения иностранным языкам
в средней школе. – М.: Высшая школа, 1982.
4. Давыдова М.А. Деятельностная методика обучения иностранным
языкам. – М.: Высшая школа, 1990.
5. Демьяненко М.Я., Лазаренко К.А., Мельник С.В. Основы общей
методики обучения иностранным языкам. – К.: Вища школа, 1984.
6. Елухина Н.В. Обучение аудированию в русле коммуникативно-
ориентированной методики // Иностр.яз. в школе. – 1989. – №2. – С. 28-
36.
7. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
8. Комунікативні методи та матеріали для викладання англійської
мови // Перекл. та адаптація Л.В. Биркун. – Oxford: Oxford Univ. Press,
1998.
9. Методика навчання іноземних мов у середніх навчальних закладах //
Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
10. Миньяр-Белоручев Р.К. Методика преподавания
французскому языку. – М.: Просвещение, 1990.
11. Настольная книга преподавателя иностранного языка //
Маслыко Е.А., Бабинская П.К. – Минск: Вышэйшая школа, 1992.
12. Пассов Е.И., Колова Т.И., Волкова Т.А., и др. Беседы об
уроке иностранного языка. – Л.: Просвещение, 1971.
13. Плахотник В.М. Навчання іноземних мов у середній
школі: концепція та її реалізація // Іноземні мови. – 1995. – №1. – С.9-12.
14. Фоломкина С.К. Текст в обучении иностранным языкам //
Иностр. яз. в школе. – 1985. – № 2. – С. 18-22.
15. Якушина Л.З. Связь урока и внеурочной работы по
иностранному языку. – М.: Просвещение, 1990.
16. In-Service Curriculum and Development Course for English
Language Teachers. – К.: Ленвіт, 2002.
17. Le Français dans le Monde. Revue.
18. Le Français. Газета для викладачів французької мови.
Plan thématique
Thème :
Sous-thème:
1. Un contrôle bien organisé permet au professeur de se rendre compte des succès de chaque élève et de
toute la classe, d'appliquer une méthode individuelle, de faire travailler les retardataires.
L'analyse des résultats du contrôle donne au professeur la possibilité de relever les défauts dans l'emploi
des méthodes et des procédés, ainsi que les lacunes dans les connaissances des élèves.
Le contrôle a une grande importance éducative. Les notes données à l'élève correspondent à son désir de
recevoir une appréciation sur le travail accompli et encouragent son habitude de travailler systématiquement, ce
qui joue un grand rôle pour l'acquisition d'une langue
Le contrôle est une partie intégrante de l’E du FLE.
Comme composante de l’enseignement le contrôle possède ses fonctions, ses espèces, ses formes, ses
moyens et ses objets.
La réalisation des fonctions de contrôle influe sur l’efficacité du contrôle ainsi que sur tout le processus de
l’apprentissage. On définie telles fonctions :
1) fonction de feed-back/de retour;
2) fonction d’évaluation;
3) fonction enseignante /instructive (l’E continue);
4) fonction du développement.
La fonction de feed-back est la fonction principale (Nicolajeva) de contrôle qui assure le management du
processus de l’apprentissage d’une langue étrangère. Le feed-back a deux directions : à l’apprenant et à
l’enseignant.
Le feed-back à la direction de l’enseignant lui apporte l’information sur le niveau de la compétence des
élèves. Le professeur analyse cette information quant aux défauts, organise la diagnostique des déviations dans
l’activité langagière des élèves, relève le degré de correspondance de la stratégie et de la tactique de
l’apprentissage aux besoins réels.
Cela rend possible d’évaluer à temps la situation méthodique et de faire des changements dans le choix
des procédés, des méthodes de l’apprentissage, des exercices, dans la détermination du régime et de la durée de
leur exécution, dans la successivité du travail.
Le feed-back à la direction des élèves leur rend l’information sur les résultats scolaires. Cette information
permet de faire l’auto-évaluation des succès dans l’assimilation d’une langue étrangère et de planifier son activité
qui suit.
La fonction d’évaluation se réalise au cours de l’évaluation des résultats de l’accomplissement des devoirs
par les élèves. La note marque le niveau de possession de la langue. Elle est répère dans le processus de
l’apprentissage. La note est l’indice essentiel des résultats scolaires dans les documents officiels de l’instruction.
La fonction enseignante se réalise à la base de la synthèse des aptitudes et des savoir-faire à faire opérer
le matériel lingual et langagier pendant l’accomplissement des devoirs de contrôle. Le devoir de contrôle est un
exercice qui exige d’accomplir certaines actions langagières pour obtenir le but du devoir. Comme résultat
continue l’assimilation et le perfectionnement des aptitudes et des savoir-faire. Donc le processus de
l’apprentissage continue.
La fonction de développement prévoit le développement des particularités psychologiques individuelles
des élèves au cours d’exécution des devoirs de contrôle : la mémoire opérationnelle, la flexibilité de la pensée,
l’ouїe phonématique, la plasticité de l’appareil phonatoire/articulatoire etc. Au cours du contrôle on développe les
savoir-faire spéciaux qui permettent aux élèves de mieux faire le devoir de contrôle en choisissant des stratégies
optimales de son exécution.
Cette fonction se réalise dans le développement de l’intérêt et des motifs de l’élève à l’apprentissage de la
langue étrangère. La perspective d’obtenir de hauts résultats stimule l’élève à perfectionner sa possession de la
langue étrangère.
Exigences à l’organisation du contrôle:
1) Contrôle doit contribuer au développement des aptitudes et des automatismes;
2) Contrôle doit contribuer à l’assimilation des connaissances;
3) Contrôle doit être logique (le plan);
4) Contrôle doit être lié à la correction des fautes;
5) il faut varier les procédés et les méthodes de l’interrogation;
6) son objectivité;
7) Contrôle systématique;
8) motivatiou et pas punition.
2. Outre sa fonction de diagnostic, le contrôle accomplit encore une fonction enseignante. C'est pourquoi
il peut avoir lieu au cours de la leçon (contrôle courant) ou bien à la fin du semestre (contrôle final) ou de
l'enseignement scolaire. On peut aussi considérer comme contrôle final l'interrogation après l'étude d'un thème ou
d'un chapitre.
Espèces de contrôle:
a) courant;
b) thématique;
c) semestriel, annuel;
d) de fin de cycle, d’études
Le contrôle courant
Le contrôle courant est un des chaînons les plus importants du système de contrôle scolaire. On peut
affirmer que le résultat de l'enseignement d'une langue dépend jusqu' à un certain point de la manière dont le
professeur interroge l'élève. C'est pourquoi il faut en bannir le formalisme. On ne peut pas toujours interroger de
la même manière, d'une façon monotone et ennuyeuse. Il n'est pas souhaitable non plus d'interroger un seul élève
sans attirer l'attention de toute la classe.
Pour bien organiser le contrôle courant, il faut prendre en considération l'analyse psychologique du
processus de l'attention.
Les psychologues entendent par attention une certaine tendance à concentrer l'activité psychique sur un
objectif ou une action. D'après son caractère, l'attention peut être volontaire ou spontanée. Toutes les deux jouent
un grand rôle dans le processus pédagogique. Il est très important de développer l'attention volontaire qui joue un
grand rôle au degré moyen et supérieur.
Tout élément nouveau présenté dans le cadre des connaissances déjà acquises, éveille l'attention. Mais
pour attirer l'attention de l'élève, il faut le préparer à la perception de l'objet, le prévenir quand il faudra être
attentif. La stabilité de l'attention est liée à l'intérêt pour le travail qu'on accomplit, à la compréhension de son
importance, du but proche et lointain à atteindre. Ainsi, en étudiant une langue étrangère, l'élève veut apprendre
à lire les livres en cette langue. Le goût pour la littérature étrangère lui inspire de l'intérêt pour les leçons de
langues. En organisant l'interrogation, il faut tenir compte de tout cela et tâcher d'éveiller l'intérêt de l'élève. Cela
amènera au développement de l'attention volontaire indispensable au succès des études, en corrélation avec
l'attention spontanée.
L'organisation effective de l'interrogation doit répondre aux exigences suivantes :
1. L'interrogation doit contribuer au développement des aptitudes et des automatismes.
2. L'interrogation doit contribuer à l'assimilation des connaissances tout en les contrôlant.
3. L'interrogation doit être faite d'après un plan.
4. L'interrogation doit être liée à la correction de toutes les fautes commises par les élèves.
5. Les méthodes et les procédés de l'interrogation doivent être variés ; on sait qu'un travail monotone
fatigue et affaiblit l'attention, ce qui rend les écoliers distraits.
6. Au cours de l'interrogation il faut éveiller l'attention de toute la classe. L'élève appelé au tableau n'est
qu'un prétexte pour parler à toute la classe.
Tous les élèves de la classe doivent prendre une part active à l'interrogation, et non seulement les plus
forts ou les plus faibles.
En conséquence d'une telle organisation de l'interrogation chaque élève aura à la fin du semestre une
quantité suffisante de notes (6—8), ce qui permettra au professeur de juger d’une façon plus juste des succès de
son enseignement.
Pendant le contrôle courant, il faut tester le développement des acquisitions (pratique orale, lecture,
langue écrite) et les connaissances des élèves dans le domaine du lexique, de la grammaire, des règles de lecture
et d'orthographe. On fera attention au travail spécifique pour chaque année: ainsi en cinquième on visera surtout à
la correction de la prononciation et des mécanismes de la lecture, au degré moyen à la possession du langage
parlé, etc.
Le contrôle courant peut être oral et écrit: du point de de vue des méthodes appropriées, il peut être
collectif, individuel ou combiné.
Interrogation collective
L'interrogation collective au cours de laquelle on interroge toute la classe ou la majorité d'élèves a ses
avantages et ses inconvénients. Elle donne la possibilité de rendre la classe active et de contrôler sa préparation à
la leçon, éveille l'intérêt des écoliers, augmente leur responsabilité. Le professeur peut mettre une grande quantité
de notes. Mais si le maître n'a recours qu'à ce seul genre d'interrogation, son appréciation des succès de la classe
sera superficielle. L'interrogation collective, partie intégrante de la leçon, doit être faite en corrélation avec
l'interrogation individuelle. Il faut ajouter que l'interrogation collective peut être orale et écrite sous forme de
dictées et d'exercices au tableau tandis que les autres élèves écrivent dans les cahiers.
Interrogation individuelle
C'est cette interrogation qui donne la possibilité de sonder à fond les connaissances des élèves. C'est là
son grand avantage. Cette interrogation peut être complexe et différenciée : cela signifie que dans le premier cas
on met la note pour la pratique orale, la lecture, la prononciation, l'assimilation du vocabulaire, de la grammaire ;
dans le second cas on apprécie une acquisition particulière ou bien la connaissance du vocabulaire, de la
grammaire, etc.
L'interrogation complexe permet d'apprécier les résultats des études d'une façon approfondie.
L'interrogation différenciée donne la possibilité de mettre beaucoup de notes, ce qui est très important car la note
stimule le travail des élèves.
L'interrogation individuelle est pour la plupart orale, mais elle peut être liée à un exercice écrit. Il est à
noter que cette interrogation est excessivement difficile pour les professeurs : il faut interroger 2—3—4 élèves, ce
qui prend 10 au 15—20 minutes. Pendant ce laps de temps il est indispensable de conserver le contact avec toute
la classe à un des moments les plus responsables de la leçon.
Interrogation combinée
Une interrogation combinée unit le travail individuel et collectif. Elle permet de maintenir l'intérêt et la
discipline de toute la classe. Le but de cette interrogation est non seulement de contrôler les connaissances d'un
élève, mais aussi de stimuler le travail de la classe, de faire répéter et, par conséquent, d'assimiler le matériel.
Au cours de cette interrogation, l'élève appelé au tableau ne répond pas seul aux questions du maître et
ne lit qu'une partie du texte. Les autres complètent les réponses, lisent la suite du texte, corrigent les fautes,
posent des questions et citent des exemples. Pour réussir, le professeur doit déterminer l'objet du contrôle (le but
doit déterminer le volume du matériel). Si le but est de contrôler la lecture synthétique, il est inutile de faire une
analyse grammaticale ou de faire citer les règles de grammaire. Si au contraire le professeur veut contrôler les
connaissances en matière de grammaire, il ne faudra pas poser des questions de vocabulaire.
La difficulté de l'interrogation complexe est dans le rythme alerte qu'il faut maintenir et dans le fait d'y
habituer les élèves.
Le contrôle de la fin du semestre, de l'année, de la fin du cycle, des études
Le contrôle de la fin du semestre ou après l'assimilation d'un thème quelconque peut être collectif,
individuel ou combiné. Ce qui caractérise ce contrôle c'est qu'il a toujours une tendance à la généralisation. Par
exemple, après avoir étudié le sujet « La ville », le professeur effectue le contrôle de la manière suivante :
1) il répète les mots, les expressions et les structures syntaxiques, 2) entame une conversation,
3) fait raconter une image, pose des questions, etc.,
4) fait jouer à l'interprète,
5) donne le devoir suivant : écrire la composition « Ma ville natale ».
A la fin de leurs études (en neuvième, en onzième) les élèves subissent un examen de langue, au cours des
autres examens de certificat d'études secondaires.
Pour perfectionner les méthodes et l'organisation du contrôle, l'enseignant devra dresser un plan pour un
mois ou un semestre, ce qui lui permettra de contrôler systématiquement le développement des automatismes de
la langue parlée et écrite. Dans ce schéma le professeur indiquera les objets de son contrôle, les exigences en ce
qui concerne l'expression orale, la lecture et l'écrit, la quantité de travaux de contrôle, les formes et le temps de
leur réalisation.
Les formes du contrôle selon la quantité:
1) individuel;
2) collectif;
3) combiné.
Contrôle orale et écrit.
Contrôle monolingual et bilingual.
3. L’objet du contrôle est détermine par les tendances pratiques de l’enseignement des langues vivantes.
Selon des compétences linguales on différencie:
1) contrôle en grammaire;
2) contrôle en lexique;
3) contrôle en orthographe.
Selon les compétences langagières on distingue:
1) contrôle de l’expression orale;
2) contrôle de l’audition;
3) contrôle de la lecture;
4) contrôle de l’écrit.
Il en suit que le contrôle des connaissances dans le domaine du lexique, de la grammaire, de l'orthographe
ne suffit pas. Il faut encore mesurer le degré du développement des automatismes. Ce problème est encore très
peu étudié.
Pourtant l'enseignant a besoin de contrôler le travail de ses élèves. Il ne devra pas oublier que l'objet
essentiel du contrôle sera l'activité des élèves au moyen de la langue: le contrôle concernera en premier lieu les
acquisitions dans le domaine de l'expression orale, de la lecture. Mais pour développer cette activité, l'élève doit
posséder certaines connaissances en lexique et en grammaire. Il faut qu'il sache encore appliquer les règles de la
lecture et d'orthographe. Tout cela constitue aussi l'objet du contrôle au cours de l'enseignement des langues
vivantes à l'école. Il s'agit maintenant de préciser ce qu'il faudra contrôler dans chaque domaine de la possession
de la langue étudiée.
Si l'on contrôle le développement du langage parlé/ de l’expression orale:, on prend en considération les
facteurs qualitatifs et quantitatifs suivants:
1. On compte la quantité de propositions prononcées et
2. le rythme de l'élocution.
3. On apprécie la qualité par le nombre des structures employées dans les phrases. Par exemple: «Dans la
classe il y a des pupitres, des bancs et une table pour le professeur. Contre le mur se trouvent un tableau noir et
une carte géographique. A droite je vois deux fenêtres et une armoire. Notre classe est claire».
4. On prend aussi en considération le déroulement logique du discours sans quoi on ne peut le considérer
comme réussi.
5. En même temps on apprécie la prononciation des sons,
6. la mélodie de la phrase,
7. l'emploi des formes grammaticales,
8. la possession du vocabulaire ayant trait au sujet de l'élocution.
La question se pose s'il faut corriger les fautes au cours de l'expression orale. Le plus souvent, les
professeurs relèvent les fautes qui peuvent, déformer le sens de l'énoncé (par exemple, l'emploi d'un temps passé
au lieu du présent). Les fautes qui ne sont pas grossières ne seront pas prises en considération au cours du
contrôle.
Le contrôle de l'audition peut avoir deux buts : la compréhension du sens général ou la distinction des
détails. On prend en considération
la longueur du texte de l'audition,
son contenu,
son style,
la manière de parler de l'interlocuteur,
le rythme,
la correction de la prononciation.
En procédant au contrôle de la lecture, l'enseignant devra distinguer la lecture à haute voix et la lecture
silencieuse. En ce qui concerne la lecture, à haute voix, les objets du contrôle seront les suivants :
a) le rythme de la lecture,
b) l'articulation correcte des sons,
c) l'intonation qui doit montrer que l'élève comprend ce qu'il lit,
d) l'application correcte des règles de lecture.
Quant à la lecture silencieuse, on vérifie si la compréhension est adéquate à l'information du texte, si le
texte est compris en gros ou dans tous ses détails.
On prend aussi en considération le temps que l'élève a employé pour comprendre l'information contenue
dans le texte.
Le contrôle de l'écrit aura pour objet les points suivants :
a) la valeur communicative de ce qui est écrit,
b) la quantité de phrases composées par l'élève pour interpréter le sujet donné (par exemple, d'une
lettre adressée à un écolier étranger),
c) la connaissance des mots,
d) de la grammaire et
e) de l'orthographe.
L'assimilation des connaissances sera contrôlée le plus souvent indirectement au cours du contrôle de
l'expression orale, de la lecture et des travaux écrits. Mais il est possible de contrôler de temps en temps le degré
d'assimilation des mots au moyen des exercices de vocabulaire, ainsi que la connaissance des formes
grammaticales, au cours des exercices appropriés à ce but.
4. Le problème de contrôle est largement délibéré non seulement dans notre pays, mais aussi à l'étranger.
On voit une des solutions possibles de ce problème dans l'emploi des tests.
Les premiers tests dans l'enseignement des langues vivantes ont été créés en 1926 par les centres
américains et canadiens sur l'étude des langues vivantes 2.
Actuellement la méthode de tests a donné lieu, aux Etats-Unis surtout, à des applications nombreuses. Il y
a même un bureau spécial chargé de la composition des tests (Educational Testing Service) 3 pour les buts
pédagogiques.
Exigences au test :
- validité ;
- solidité
- caractère différentiel/capacité différentielle ;
- valeur pratique
- valeur économique
La validite du test montre ce que contrôle le text, à quel niveau et avec quelle efficacité.
La solidité se détermine par la stabilité de ses fonctions comme instrument d’évaluation/de mesurer.
La capacité différentielle du text le permet de relever les succès des élèves. Le test relève le niveau
suffisant et insuffisant de la possession de la langue.
La valeur pratique du test désigne
a) l’accessibilité des instructions du test et du contenu des devoirs du test
b) la simplicité de l’organisation du test dans les circonstances différentes
c) la simplicité de l’évaluation
La valeur économique prévoit le minimum de temps, le minimum d’efforts, le minimum financier à la
préparation du test.
Les tests linguodidactiques sont standartisés et nonstandartisés.
Le test standartisé a été éprouvé et possède des indices quantatives des résultats.
Le test nonstandartisé est préparé par le maître d’école.
Selon le but on différencie
- des tests des acquis/résultats d’apprentissage ;
- des tests de possession générale d’une langue étrangère (DELF, DALF)
- des tests diagnostics ;
- des tests à relever les capacités pour l’apprentissage d’une langue étrangère.
La composition d'un test exige
des études préliminaires des buts et
des conditions d'application du test,
la définition des objectifs et
la structuration du test.
Composer et mettre en œuvre un bon test est le travail d'un expert en pédagogie et en méthodologie au
cours des études expérimentales. C'est alors seulement que le test aura vraiment une valeur scientifique.
Parfois on appelle «tests» des tentatives différentes en ce qui concerne les buts et les méthodes de
structuration et d'application. Il y a des tests qui diffèrent très peu des questions que les enseignants utilisent dans
leur pratique scolaire. Pourtant les tests composés par un spécialiste pourront être un moyen de diagnostic et de
contrôle sûr et permettront des estimations objectives dans le domaine scolaire.
Tests – une forme de contrôle qui prévoit la réaction verbale ou non verbale au test.
Structure du test:
1) instruction;
2) définition des objectifs, présentation du matériel, modèle de réponse;
3) réponse attendue (verbale et non verbale (lettres, chiffres, signes).
Ses types :
a) choisi (quelques variantes);
b) prognostiqué, logique
Evalution: grille d’évaluation
Література
1. Андреевская-Левенстерн Л.С. Методика преподавания французского
языка в средней школе. – M.: Просвещение, 1983.
2. Вишневський О.І. Діяльність учнів на уроці іноземної мови. – К.:
Радянська школа, 1989.
3. Вишневський О.І. Довідник вчителя іноземної мови. – К.: Радян. школа,
1982.
4. Гез Н.И., Ляховицкий М.В. Методика обучения иностранным языкам в
средней школе. – М.: Высшая школа, 1982.
5. Демьяненко М.Я., Лазаренко К.А., Мельник С.В. Основы общей методики
обучения иностранным языкам. – К.: Вища школа, 1984.
6. Іноземні мови у школі. Науково-методичний журнал. – К.: Ленвіт.
7. Ляховицький М.В. Методика преподавания иностранных языков. – М.:
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Колектив авторів під керівництвом С.Ю. Ніколаєвої. – К.: Ленвіт, 2001.
9. Миньяр-Белоручев Р.К. Методика преподавания французскому языку. –
М.: Просвещение, 1990.
10.Настольная книга преподавателя иностранного языка // Маслыко Е.А.,
Бабинская П.К. – Минск: Вышэйшая школа, 1992.
11.Ніколаєва С.Ю. Концепція підготовки вчителя іноземної мови // Іноземні
мови. – 1995. – №3-4. – С.5-11.
12.Основы методики преподавания иностранных языков: Учебник / Под.
ред. В.А. Бухбиндера, В. Штрауса. – К.: Вища школа, 1986.
13.Пассов Е.И., Колова Т.И., Волкова Т.А., и др. Беседы об уроке
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14.Рогова Г.В. Методика обучения иностранным языкам в средней школе. –
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15.Фіщук В.В., Матвіїшин В.Г., Гандзюк С.П. Веди урок іноземною мовою:
Книжка для вчителя. – К.: Рад. шк., 1990.
16.Фоломкина С.К. Тестирование в обучении иностранному языку //
Иностр.яз. в школе. – 1986. – № 2. – С. 16-20.
17.In-Service Curriculum and Development Course for English Language
Teachers. – К.: Ленвіт, 2002.
18.Le Français dans le Monde. Revue.
19.Le Français. Газета для викладачів французької мови.
3. Travail individuel
Enseigner à écrire une composition-description. Trois espèces des
descriptions : objectifs, subjectif, objectif et subjectif. La description
subjective prévoit beaucoup de l’interaction de l’auteur et du lecteur.
Selon l’objet de description on divise les compositions en
- description des événements
- description des hommes
- description des endroits
- description des objets
Trois étapes de l’enseignement:
1. réceptive
2. réceptive et productive
3. productive
L’étape réceptive prévoit 1) la présentation des composantes
essentielles de la structure de la description (introduction, partie essentielle
et finale) ; 2) la présentation des éléments intégrantes (phrase-
hameçon/crochet (гачок), phrase-tige, clé) et 3) la présentation des moyens
langagiers (comparaison, épithète, métaphore).
L’étape réceptive et productive est dirigée à la formation et au
développement des aptitudes et des savoir-faire d’écrire des composantes
de la description à part à l’aide de certains supports.
L’étape productive prévoit l’écriture des compositions par les élèves
eux-mêmes. Il existe trois complexes des exercices d’enseignement:
1. complexe des exercices à écrire une description de l’endroit
2. complexe des exercices à écrire une description de l’objet
3. complexe des exercices à écrire une description de l’homme
Chaque complexe se compose de trois groupes des exercices :
1) groupe des exercices de présentation des éléments structuraux et
de la suite de l’exposition de l’information ;
2) groupe des exercices à former les aptitudes et le développement
des savoir-faire à écrire des éléments intégrants des
compositions ;
3) groupe des exercices du perfectionnement des savoir-faire de
l’écriture créative des descriptions.
ЗМІСТ ПРОЕКТУ
Підготовчий етап
Крок 1. Стимуляція інтересу учнів шляхом опитування: яким би хотіли
бачити учні ідеальне суспільство.
Крок 2. Фронтальне обговорення ідеї (етапи розробки ідеального
острова-держави). Ідеї учнів записуються на дошці у вигляді
семантичної карти.
Крок З. Визначення тривалості та кінцевого продукту проекту (спосіб
презентації). Формування груп, розподіл проектних завдань між
групами: в цьому проекті усі групи виконують однакові завдання, але
кожна група створює свій власний острів-державу.
Виконавчий етап
Крок 4. Планування у малих групах діяльності учнів: спочатку має місце
деталізація географічних особливостей свого острова (виготовлення
карти острова, опису формі твору на зразок "Робінзона Крузо"), назва
острова. Розподіл обов'язків між членами групи.
Крок 5. Художнє оформлення острова. Написання твору-опису про свій
острів.
Крок 6. Презентація островів (їхніх назв, географічних особливостей).
Крок 7. Планування інфраструктури острова. Групове обговорення
основних компонентів інфраструктури.
Крок 8. Вивчення базової інформації з планування інфраструктури
острова (вивчення джерел, інтерв'ю з фахівцями тощо). Виконується як
домашнє завдання.
Крок 9. Оформлення плану забудови ідеального острова. Художнє
оформлення плану, обговорення способів презентації спланованого
острова.
Крок 10. Конкурс на найкращий острів (демонстрація карти острова,
опис інфраструктури).
Крок 11. Вивчення матеріалів із загальної та економічної географи для
планування промисловості на острові. Виконується як домашнє
завдання.
Крок 12. Обговорення одержаної інформації у групах. Планування
основних промислових сфер діяльності, підготовка до презентації.
Написання та виправлення чернеток буклета про індустрію острова в
малих групах. Розподіл обов'язків під час оформлення буклета.
Крок 13. Виготовлення буклетів, художнє оформлення.
Презентаційний етап
Крок 14. Презентація буклетів (усні повідомлення, демонстрація,
шкільна виставка буклетів).
Підсумковий етап
Крок 15. Обговорення презентації та оцінювання проектів учнями й
учителем.
Travail extrascolaire