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Alors que la communication informelle est une communication spontanée qui ne respecte
aucune règle. Elle peut être utile mais elle n’est pas obligatoire. Son caractère informel
oblige à contrôler son exactitude.
Toute action de communication dans une organisation est le résultat d’une analyse
rigoureuse qui prend en compte quatre éléments : l’objectif, le canal, la cible et le support.
Le canal est le moyen utilisé dans les organisations pour communiquer. On peut distinguer
la communication par les médias (presse, télévision, radio, affichage, cinéma…) et hors
médias (moyens spécifiquement adaptés pour toucher directement la cible : salons,
parrainage, promotion des ventes, publipostage…).
Le support est un moyen de transmission d’un message faisant partie d’un média. Il est
différent en fonction de la cible et du message.
L’essentiel
Toute organisation reçoit et émet chaque jour des informations. C’est l’ensemble de ces
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informations qui va permettre la prise de décisions et un bon fonctionnement de
l’organisation. Savoir reconnaître une communication (interne, externe, formelle,
informelle, institutionnelle, commerciale) et reconnaître la fonction qu’elle doit remplir
permet à l’organisation de se donner des objectifs précis et les moyens d’y parvenir.
La communication joue un rôle stratégique pour l’organisation.
B- Communication managériale
Communication managériale - Définition
" D'une manière générale, la communication managériale correspond aux interactions entre le
management de l'entreprise et l'organisation. Plus spécifiquement entre le manager et son
équipe.
Ce cadre est en charge de transmettre les informations et directives provenant des niveaux
hiérarchiques supérieurs, appuyer la communication interne , distiller les messages liés à son
propre management pour obtenir l’engagement de son équipe, etc. Elle repose sur des
compétences spécifiques permettant pour un manager de transmettre un message avec
efficacité ."
Cet exercice peut se révéler délicat. C'est en partie pour cette raison que bon nombre de
professionnels ne sont pas à l'aise avec cette tâche. Ce manque de confiance vient aussi du
fait que la communication managériale requiert un minimum de formation. Un minimum
pas toujours assuré.
La communication est la base de toute relation, quelle qu'elle soit. L'Humain ne peut pas ne
pas communiquer. Interagir avec autrui fait partie de son fonctionnement primaire.
En entreprise, il est crucial pour le manager de maîtriser cet exercice. Non seulement pour
être compris de son entourage professionnel, mais également pour mener à bien sa mission.
Quoi communiquer ? Quand ? A qui ? Ces questions trouveront une réponse dans la
cohérence des actions engagées. Par exemple si les collaborateurs ont des plans d'action
reliés à la stratégie générale, le manager intermédiaire en charge de gérer ces personnes se
doit de les tenir informés des résultats globaux de la stratégie et de toute information
périphérique si tant est qu'elle ne soit pas confidentielle.
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Une bonne communication managériale aura ainsi pour but, entre autres, de :
Compétences requises
Le manager doit être capable de mobiliser un certain nombre d'aptitudes et qualité pour
communiquer efficacement avec son équipe.
• Écoute active - Pour être écouté et entendu, il faut avant tout savoir écouter l'autre
attentivement et de façon non directive afin que dernier s'exprime en toute liberté, sans
crainte de jugement hâtif et sans pression. Écouter activement, c'est savoir décoder le
langage non verbal et adapter sa communication, entendre au-delà des mots exprimés. Une
compétence essentielle lorsque l'on est amené à guider l'Humain.
• Capacité à communiquer avec autrui - Être à l'aise avec autrui ou en public, oser prendre la
parole, savoir dire non, connaitre les différents types de personnalités et savoir les identifier
pour adapter sa communication, trouver les mots adéquats et le bon moment pour exprimer
ce que l'on a à transmettre... Autant d'éléments que le manager doit parfaitement maîtriser
dans le cadre de sa mission.
• Intelligence émotionnelle et empathie - Reconnaître, contrôler et utiliser ses émotions à
bon escient pour une communication et des relations plus fluides. Avoir pleinement
conscience de ce que l'autre peut ressentir permet au manager de s'adapter en toute
situation. L'empathie, quant à elle, permet d'instaurer un réel climat de confiance et
d'authenticité indispensable à un management humain.
• Charisme et assertivité - Oser prendre sa place et affirmer ses choix est indispensable dès
lors que l'on occupe une posture de cadre. Pour inspirer, motiver, être entendu et respecté,
le manager doit dégager charisme et leadership.
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Quels supports ?
Le manager veillera ainsi à adapter son support en fonction des objectifs du message, des
circonstances dans lesquelles celui-ci est transmis, des personnalités/fonctions de son/ses
interlocuteur.s.
Quel rythme ?
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Objectif : lancer la journée et faire un rapide point sur les tâches, missions et projets
en cours.
Par exemple, chaque membre de l'équipe est invité à dire ce qu'il a fait la veille, les
objectifs qu'il a atteints, les projets sur lesquels il va travailler au cours de la journée, les
difficultés éventuelles qu'il rencontre.
Objectif : faire un point plus précis sur les avancées (définir au préalable les
indicateurs qui seront utilisés), fixer les échéances et objectifs de la semaine à venir.
L'idée est d'impliquer les collaborateurs dans certaines décisions stratégiques afin de
donner du sens aux missions. Dans l'idéal, ces rendez-vous hebdomadaires
relativement formels se feront assis autour d'une table et dureront 1h-2h maximum.
Ils réunissent tous les membres de l'équipe.
Objectif : faire un point plus formel sur les avancées du mois et définir les objectifs
du mois à venir, mettre à jour les indicateurs, modifier les plannings et échéances
projet, le cas échéant. Il peut également être question de faire le point sur les
éventuelles formations/coaching en cours.
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C- Culture d'entreprise, vision insufflée
par les dirigeants et alimentée par tous
S’il est si difficile de trouver une seule et même définition de la culture d’entreprise c’est
parce qu’avant tout elle se vit. Chaque dirigeant et chaque salarié à sa propre façon de la
ressentir et son envie d’y adhérer. « Par exemple, la bienveillance, l’humilité sont des critères
essentiels dans nos recrutements. C’est important de veiller à ce que la formulation de notre
culture ne soit pas l’expression de ce qu’on veut ou doit être, mais parte de ce qu’on est déjà,
spontanément, collectivement. J’avais lu que la culture c’est ce qu’on est quand personne ne
regarde, ça me paraît assez juste. » exprime Eléonore Imbert, People Development Manager
chez Comet, vivier de freelances tech et data.
Ce mode de pensée est une source de motivation et de cohésion qui limite les conflits en
interne et renvoie à l’externe une image sympathique qui fait préférer la marque à ses
concurrents. Elle optimise donc les performances des salariés, attire de nouveaux candidats,
et fait la différence pour le consommateur final.
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Danone a fait court et efficace avec sa formule “HOPE, Humanisme Ouverture Proximité et
Enthousiasme”. Chez Comet, Eléonore Imbert explique comment les collaborateurs ont été
impliqués dans la définition de ces valeurs : « Surtout ne pas l’imposer en top-down, c’est le
meilleur moyen de se retrouver avec des mots creux, pas incarnés. Nous avons essayé
d’impliquer au maximum les membres des équipes. D’une part, dans le choix des valeurs - pas
seulement un mot, mais une phrase, une définition. Pour chaque valeur, on a d’autre part
discuté par équipe d’une petite dizaine de personnes de mesures à mettre en place pour
améliorer l’incarnation de nos valeurs, notre cohérence. Par exemple, pour la valeur d’ambition,
ça veut dire aller plus loin que ce qui est attendu de nous. »
Chacun d’entre vous à donc la responsabilité de trouver les valeurs qui vous rassemblent car
vous les ressentez déjà dans votre quotidien au sein de la tribu. Prônez-les ensuite en
interne, haut et fort, pour qu’elles deviennent votre mot d’ordre.
L’espace de travail
Les bureaux sont tout sauf anodins. Ils y sont pour beaucoup dans le bien-être au travail et
la cohésion. Quand on se balade au siège de Google, tout est aux couleurs de l’entreprise et
beaucoup d’espaces sont aménagés pour se retrouver, co-worker, partager. Style,
déclinaison de la charte graphique, matières, agencement des bureaux… créent une identité
et facilitent la communication entre les collaborateurs.
Si les individus sont des étrangers les uns pour les autres alors il y a un problème. La tribu
doit faciliter la rencontre, l’échange entre les équipes pour qu’elles travaillent mieux
ensemble. Séminaires, portraits d’employés, newsletter interne, rassemblements,
participations à des événements pour défendre les couleurs de la tribu (ex : Marathon de
Paris)… Toutes les occasions sont bonnes pour créer du lien entre vous.
On oublie les annonces plan-plan pour recruter de futurs talents. Il faut qu’à travers la
rédaction du poste proposé, on sente déjà l’esprit de l’entreprise. Ainsi les candidats
pourront se projeter et vraiment avoir envie de travailler pour cette tribu et aucune autre, et
imaginez le gain de temps pour votre RH qui rencontrera à coup sûr des personnes qui
matchent déjà en termes de personnalité. Par exemple, To Good To Gorajoute la mention «
Beer is better than water », Blablacar recrute parmi ses utilisateurs, et Faguo demande un
mail de motivation en cinq lignes dont l’objet est « À l’aise dans mes baskets au poste de …
».
La place de l’innovation
Pour créer une vraie dynamique et un sentiment de fierté, rien de tel que de placer
l’innovation au coeur de votre philosophie d’entreprise. Chacun d’entre vous peut véhiculer
de nouvelles tendances, technologies, pour que la tribu soit à la pointe sur son secteur. La
valorisation de chacun passe par l’apprentissage constant. Participez par exemple à des
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conférences, des salons de votre secteur et retranscrivez ce que vous avez appris aux autres
lors d’un workshop.
D- La communication opérationnelle
Objectif
L’organisation du travail vise à rationaliser et à répartir les tâches dans une logique de
performance. La communication opérationnelle doit légitimer les choix auprès de chaque
partie prenante interne à l’organisation et doit créer, par la coopération, les conditions
véritables de mise en œuvre.
1. Définition
La communication opérationnelle porte sur les échanges destinés à assurer et organiser le
fonctionnement de l’entreprise et le respect des procédures de travail. La
communication interne comprend, quant à elle, l’ensemble des échanges d’informations à
l’intérieur de l’entreprise, qu’ils soient formels ou informels. La communication
opérationnelle est donc plus restrictive que la communication interne.
Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, les entreprises doivent innover sous
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peine de disparaître. Ces changements génèrent parfois des résistances au niveau des
ressources humaines. La peur de l’inconnu, la crainte de perdre ce que l’on possède et la
remise en cause des compétences sont les principales explications de la résistance au
changement des salariés. Le rôle de la communication opérationnelle est de faire accepter
ces changements en expliquant leur intérêt – par exemple ce qui se passerait à moyen et
long termes si ces changements n’intervenaient pas.
- de la situation de communication ;
- des objectifs de communication et du degré d’urgence ;
- des destinataires ;
- des moyens de communication disponibles.
a. La note de service
La note de service est un outil de la communication opérationnelle. La note émane d’un
responsable et contient toute instruction sur la discipline, la sécurité, les procédures à
respecter, les conditions de travail, etc.
Elle se distingue de la note d’information qui ne fait que transmettre une simple
information.
b. Le tableau de répartition des tâches
Le tableau de répartition des tâches permet de structurer le travail en recensant les tâches
effectuées et en identifiant les personnes concernées. Ce tableau permet de visualiser les
attributions de chaque poste au sein de l’organisation, pour une période donnée. Il est bien
un support de communication opérationnelle car il permet d’assurer le fonctionnement de
l’organisation en structurant le travail.
c. La lettre de mission
La lettre de mission a une finalité opérationnelle. Elle traduit les objectifs opérationnels à
atteindre. Le salarié et le supérieur hiérarchique doivent se référer à ce document pour
comparer ce qui a été prévu et ce qui a été effectivement réalisé.
d. La fiche de poste
La fiche de poste est un descriptif de la fonction exercée par un salarié au sein d’une
organisation. Cette fiche est un support de communication opérationnelle car, chaque
année, elle occasionne un échange entre le salarié et le supérieur hiérarchique. La fiche de
poste permet de recenser les compétences nécessaires à l’exercice de l’emploi.
Le salarié, durant cette rencontre, fait remonter les évolutions nécessaires du poste pour
l’améliorer et éventuellement ses besoins de formation. De même, le supérieur hiérarchique
évalue les compétences mobilisées par le salarié lors de son travail quotidien.
L'essentiel
La communication opérationnelle porte sur les échanges destinés à assurer et organiser le
fonctionnement de l’entreprise, et sur le respect des procédures de travail.
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ascendante.
- la note de service ;
- le tableau de répartition des tâches ;
- la lettre de mission ;
- la fiche de poste.
E- Communication institutionnelle
Définition
Il s'agit des actions tendant à imposer l'entreprise comme une institution dans son
univers. Contrairement à la promotion d'une offre de produits ou de services, seule l'image
de l'entreprise est mise en avant. Le but est de développer ou de renforcer cette image,
ou simplement faire connaître l’organisation et ses valeurs.
Les cibles sont aussi bien internes (collaborateurs, actionnaires...) qu'externes (clients,
prospects, fournisseurs, prescripteurs, banquiers, investisseurs, leaders d'opinion...).
Enjeux de la fonction
Comme vu précédemment, l'objectif n'est pas la vente directe, mais l'installation d'une
image voulue dans la tête des parties prenantes à partir de messages savamment distillés.
Ils affirment l'identité de l’organisation à travers un certain nombre de valeurs.
Le marketing RH partage certains objectifs avec cette fonction. Par exemple attirer des
talents pour un recrutement de futurs salariés à haut potentiel par une culture et un cadre
de travail attrayant.
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La communication financière
Pour les sociétés cotées, elle est intégrée dans des plans visant à promouvoir la
performance de l'entreprise à travers ses résultats financiers.
Pour ce type d'actions, l'entreprise a comme objectif d'améliorer sa notoriété et son image
de marque en investissant financièrement ou par toute autre voie, en faveur d'une
personne, d'une organisation, d'un événement, etc.
Elle transmet par ce canal un message sur son existence et les valeurs qu'elle transmet.
F- Communication globale
• 1. La communication globale
• 2. Les différentes phases d’élaboration de la stratégie
• 3. Les types de communication (les différents domaines)
• 4. Les différentes techniques de communication (moyens)
• 3. La promotion des ventes
• 4. Autre type de communication : la communication évènementielle
• 5. Les relations publiques
• 6. Les relations presse
• 7. La communication visuelle
1. La communication globale
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• locaux
• situation
• flexibilité
• le personnel
• les uniformes
• identité visuelle
• les outils et les techniques de communication (ex : mise en page des documents →
ils vont avoir une influence sur l’image véhiculée de l’entreprise).
Pour bien fonctionner, la communication globale doit identifier et ensuite intégrer les
valeurs fondamentales qui permettront à l’entreprise de se développer. Question d’image
→ tous les éléments qui montrent l’image de l’entreprise, de l’organisme. Elle s’intéresse à
tous les moyens de communication. On va transmettre le même discours sur des moyens
différents. Elle s’inscrit dans une stratégie de communication globale qui est en cohérence
avec la stratégie commerciale. La communication globale ne se limite pas à la
communication corporate, elle ne fait partie. La stratégie de communication globale a pour
objet de déterminer les plans d’actions que l’entreprise va mettre en place pour s’affirmer
dans son environnement. La notion de cohérence est ici importante.
1. phase d’investigation → recherche, cette phase consiste à réaliser un état des lieux
permettant de voir les forces/faiblesses, les avantages/inconvénients de l’entreprise face à
son environnement. Les dirigeants pourront définir les orientations pour leur politique et le
discours de fond qui pourront être définis au travers tous les outils et les techniques qui
seront mises en œuvre. 2. phase de réflexion → on va trier, hiérarchiser les informations
récoltées et on va en déduire un diagnostic. Le diagnostic orientera vers une articulation
judicieuse entre l’importance accordée au discours institutionnel et celle accordée aux
autres types de discours. De ce diagnostic va découler des cibles vers lesquelles vont être
destinés des messages. 3. la phase d’action → l’aboutissement des deux phases
précédentes qui vont être choisies en fonction du discours de fond que l’on aura décidé de
mettre en avant. Une fois effectué la première sélection des outils, on choisit ceux qui vont
être efficace auprès des publics, qui vont fidèlement transmettre l’image, le message. Une
fois le plan d’action ou de communication établie, il conviendra d’optimiser le budget
engagé et de prévoir une évaluation constante des différentes actions menées. Les points à
ne pas négliger lors de la rédaction de la préconisation :
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1. stratégie externe
2. stratégie interne
3. stratégie globale (association des deux)
4. stratégie générale
Budget
Contrôle d’efficacité
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3. Les types de communication (les différents domaines)
1. La publicité La publicité n’est pas obligatoirement marchande, elle utilise les médias de
masse pour transmettre un message pour influencer les cibles : elle peut être
institutionnelle, collective, en faveur d’une marque, publique et destinée à sensibiliser le
public sur certaines causes et certains problèmes. Exemple : publicité pour Bénéthon. La
publicité qu’elle soit B to B to C reste de la propagande. Ce qui caractérise c’est qu’elle a
recours à l’achat d’espace. 2. Le marketing direct C’est l’ensemble des techniques qui
permettent une communication ciblée directe c'est-à-dire sans intermédiaire, une
communication personnalisée, interactive et mesurable entre un prospect et une entreprise.
On va pouvoir prospecter c'est-à-dire entretenir la relation en utilisant le marketing
téléphonique. On utilise de plus en plus Internet, avec deux possibilités :
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• l’opt in : le permission marketing, c’est ce que l’on va demander à la personne si elle
accepte de recevoir des informations. Envoi d’informations autorisées, de courriers,
newsletters, appels téléphoniques
• l‘opt out : spamming : envoie de newsletters, mails, publicité à l’aveugle. Le taux de
remonté est bien moins important que celui du permission marketing. On utilise
aussi les ISA (Imprimés sans adresses) : catalogues que l’on reçoit. On a aussi des
mailings ou publipostage (l’e-mailing est l’équivalent du publipostage mais par
Internet). Le publipostage est par principe envoyé à une personne spécifique, il est
souvent sophistiqué avec une enveloppe porteuse avec un dépliant, un bon de
commande… éventuellement une lettre réponse.
Le marketing direct est également utilisé pour les publicités TV (on cherche à être en lien
direct avec le client, numéro vert dans les pubs par exemple)
La promotion des ventes c’est l’ensemble technique utilisé dans un temps limité auprès
d’une cible déterminée afin de provoquer une action immédiate. Ex : pub Carrefour pour les
promotions libres, aussi le mois Carrefour → son intérêt de faire ça : faire un buzz, image
d’enseigne chère ils essayent de s’en détacher, il essaye de faire entrer cette image dans
l’esprit du consommateur. Auchan : offres de remboursement, réductions immédiates ou
différées, offres 100% remboursées (1% des personnes y répondent). Les objectifs des
promotions : Auprès des distributeurs : il s’agit de favoriser le référencement des produits,
d’obtenir une part de linéaire plus importante → « tête de gondole » ou plus d’espace dans
le linéaire. (80% de nos achats ne sont pas dans notre shopping liste de départ). Cette
technique est utilisée pour obtenir plus d’espace dans le linéaire, pour provoquer plus de
commandes, pour une image plus importante, pour fidéliser. Pour les consommateurs on va
essayer d’augmenter la fréquentation d’un point de vente : créer du trafic, on va faire
essayer le produit par des échantillons, on incite les individus à augmenter les quantités
consommées ou la fréquentation. Attention pour être réussie, une opération
promotionnelle doit être limitée dans le temps, originale, elle doit coupler promotions
réseaux et promotions consommateurs, elle doit être rentable (elle ne doit pas être plus
chère que ce qu’elle coûte). Elle doit présenter un avantage réel et elle doit avoir été testée.
Ce sont toutes les actions de communication qui sont réalisées par une organisation telle
quelle soit. Une convention c’est l’évènement principal en interne. En externe on peut
proposer un lancement pour un nouveau produit par exemple. L’objectif principal de
l’évènement est l’amélioration ou la création d’une image en relation avec la politique
commerciale de l’entreprise si s’en est une. La communication évènementielle est
généralement complétée par des actions de relations publiques destinées aux prescripteurs,
aux clients, aux fournisseurs, aux distributeurs, au grand public, aux élus → à tous les
publics. Les différentes formes :
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dont le but est d’obtenir des retombées immédiates ou à court termes (notamment
retombée en termes de presse, d’image et de notoriété…).
• Le mécénat : aide matérielle et financière apportée par une structure pour une
œuvre culturelle, environnementale ou de solidarité, mais officiellement on ne
cherche pas une contrepartie directe.
• Les salons (plus spécialisés dans un domaine d’activité) ou foires : une multitude
d’entreprises sur un même lieu.
L’ensemble des moyens utilisés et des actions menées pour établir, entretenir et développer
des relations favorables avec ses différents publics.
Elles comprennent l’ensemble des moyens et des techniques utilisés par une organisation
(publique ou privée) pour créer et entretenir avec les journalistes des relations d’information
et de communication.
7. La communication visuelle
Il faut avoir une vision globale de toutes ces techniques, qui sont complémentaires.
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