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Celui aux lèvres duquel, chaque jour, sont suspendus vingt mille Belges
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M. Bracony ou le speaker inconnu
Us gr11ndcs im·enlions qui boule1•erst•nt et trans-
figurent le 1iieux monde, telles /'aérostation et la
Wtphomc sans fil. on/ des à côtés incidentels. lm-
rrc1•us el amu5anls · n• 1•oilà-t-il pas qu'un homme
peul, par la parolL, a1•oir commerce al'ec, tous les
jours, dix tl quinze mrlle Bruxerlois et quelques mil-
lier, de pru1·inciaux. les enlntemr de ses af/UJres.
de~ leurs et de celles de /' Unil'ers, sans que iamais il
ait été donné à ces milliers d'auditeurs q11ot1die11s
de conttmpla ses traits, de sai•oir s'il 1st grand et
mlllgre, brun ou blond, s"il est />arbu comme M. Van
Cauwelarrt 011 glabre comme M. Roels, long comme
M. Baull't'ns ou rondouillard comme M. Tern·aRne.
D'une voix 'ympalh1qu.-. d'une 1•oix de t>11rylon so-
nore et modulée, 11 l<'ur carcsst' la trompe d' Fusta-
che, les complimente. les ad1ure, les conseille t'I les
in struit. Il semble />ien que tous ceux qu"ù a <linsi
fharmés do11·1•nt formuler sou1•ent, a1•ec curiosité.
~e souhait dr Faust parlant d M<1rguerrte: " Laisse-
moi (bis) contempler ton l'isage
1?.
Sans doute. la 1e1111r fille romanesque 1•oit-ellt• cl!
Jiéraut commt un ht'ros de thétilre. 1·t'ltt adoles-
tnt au n•gard tendre, avec une chei·elure d'arch,m-
•e, fin et fier, souple comme une épée San~ doute
es 1·eu1•t•s qui sonl(t'nl il se n•m,1rier se t ïmagrn1·nt-
•lles ai•t•c Je l'Osle> t•Jhlules j 111 Fr11n~·ois /" . à la
ÏOh le plus souhaital>/e des 1'poux et les plus presli-
•1eux des a11111nts Sans do111e. tel orateur du pré-
01re ou Ju parlement, en lui em•iant cet organe
haud t'I nuancé. a1m,•-t-il il sr revré><·nta les suc-
~s de tnb11n1• que lui 1•audr11ient -à lui-même un si
el instrument, des corJes 1·ocalrs si l'irrlement i·i-
ranles.
V'autrt"; encor,• d1>ent mais wnna1ssrz-1•11us
'histoire ,ft' la c<11s>1i•re, co11tfr judis p<1r Fwiè11 e
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Cht1vette .> Or donc, dans une ville de province, un
célibataire, L"lient d'un restaurant où, dPnr fois par
1our il pren.iit ses repas. Je1·int éperdumenJ amou-
reux de la caissière, dont le buste opulenl s ·épa-
nouissait derrière le comptoir et dont les 10/is yeux
lui souriaient d'intelligence pour le saluer quanJ il
pren;Jit place à table et quand 11 me/tait son chap"au
pour quitter /'étab/issemenJ_ Il était alors petit em-
ployé dans une maison de commerce de la localité.
Il y resta 1•1ngt ans. cunquérant petit ci petit ses era-
.lt s dans les bureaux. Timide à l'excès et amoureux
de la belle caissière. dont il n'al'ait 1amais 11u que le
torse, il n'osa pas. pendant ces 1•ingt ans, lui dtfcla-
rer sa flamme. Un 1our. son Jhllron de1•enu 1·ieux.
le prit comme associé: dès lors, certarn de po111·oir
assurer à l'élue de son cœur un sort enviable. Il se
décida à la demander en mariage. li acheta une
paire de gants neufs. se fit friser les chei·eux fi la
moustache et, le cœur battanl, passa, pour la pre-
mière fois de sa vie. de l'autre côté du comptorr afin
d'ofTrir sa main à la belle.
Mais. au moment où il pé11élrait entre les rangées
de 1·erres. de flacons .~e liqueurs, de gobelets urgen-
tés et de soucoupes, dont elle se faisait, depuis tant
d'années, 1tn rempart, il recula d'effroi et d'horreur:
la caissière était cul-de-jatte!
Peut-élr< certains auditeur, de la T S. F.. parti-
culièrement imaginafi/s, se sont-ils figurés, en fonc-
tio11 de cette histoire. que le mystérfrux speaker de
l<I rue de Stassart a1 11it eu les deux iambes empor-
tées par un boulet t>oche e1 que, gr.ind im•alide de
guerre. ay<1nt conservé une vuix métallique el puis-
s.intr, i/ ul'Jil /rOUl'f. Jans Ct' poste d'annoncier dt'
l.i T . S. f ., un moyen inespért• d'utfi~er ses restes.
Il imrori,• de d1ss1rer cette énigm,•, de fixer la
religion du ruNic' <'"t si pourquoi la rhysio11omie
811i Pourquoi Pas ;

sympathique de ,\J. Bracon) s'offre au lecteur il la s111n11er à cent kilomètrt?s il la ronde, le tympan des
çremièrt• rage Ju rrés.:nt numéro du P P ..: rnnsisiéles 11ud1t,urs, uutun bruit nt p:ut , 'y faire
ët bi.n qu,• l. dessin dt• Ochs n en 1as;c pas Jùi, entmdrc.
nous 1urons qu'il n'est m cul-dc-1atle, m manchot! ? ''!
. ;? Ce Jul Octa1·e .llaus 4111, le prt m1er, Jccorda il
.\1. Bracuny SM altention: li lui conflJ lt' '0111 déliciJt
Donc, te speclka siri:ne de la T. S. F. se nomme dt• fuire co11naitre nos /<'Unes musmens bt'/ges à la
Bracon)'. est né à BruxeU.s, et JUt un Je, élèl'es l<'s Libre fathéliqu, . Puis jull!f> Dt•strée /'Jssocia cl
plus m.;mants de l'éco/, moyenne quc dirig,·.i s1 ,un ucu1·e propagande d ,·Jucalion musicalt. ~
longtemps, rue Uoyale-Stc-Mam. notre ami Hubert Les préferenccs de M. Br.icony .iltêrent tout de
St1ernt:i. Est-ce là qu Il acquit et 'k bellt prononc1c1- >Ullt' à la musiqut' tla~s1qu, d aux mJitres moder-
twn trJnç.iise qui •'St, plus qu ·on ne st /'1m.igine nes: tout en Jais.;nt du théâtre. il se consacra parti-
pt•ut-êlre, précieuse pour les innombrables clients culièrement à /'oratorio et au lied
de Rad10-Bdgique '.=' c, ser.ill 1•r.ument un titre
A Bru.xelt.:s et a Paris, 11 s'est fa11 entendre dans
d'honn.-ur pour /'école dt' Schaerbeek Combien
d(• fois a11ons-nous entendu dlre, et avons-nous ré- les princrraux granas concerts symphomques: il y
r.Jté, que /'un des frÎllci(aUX l'ÏCCS - SI ce n'est le do11na bon nombre de récitals et fit du professorat.
pnnC1ral J, notre enseignement primairt• et De là, 11 rayonna Jans IJ pro1· l e belge et fran-
moy<'n - esl Ici ma1wa1$<' élocution. fo prononcia- çu1>e et il l'dranger.
tion Jifrctut'us,· de /'instituteur d du professeur. \1. Bracony a Juil du tht!tilre a1,ec beaucoup de
ltsquel> zncu/qu1:.1t, m.ilgré eux, aux él< l't'> qui 1,·ur ,ul'Ces. Il .i chant, à /'étr.inger t'I en rroi·ince :e
sont con/rés, toutes les tares du françuis belgeois, répt·rtom: d opéra et opéra-comique comme b.i;se
tant ll'al/onnes que PamanJes ' Sos ;eunes gens chant.inte: 11 a touché aussi â l'opère/le cl - per·
<'t leurs rarents aussi - sont tror rJrement dans le sonne n" s'en étonnera - même .zu drame et .i la
cas d'entrndn• parler purement la belle l.ingae 1r.in- comédie, principalement uu théâtre des Galeries.
faise: /'occa;ion qui lt·ur est donnée. chaque soir, !'/ 1
d'écouter \I. Br.zcony tl aus'i le b1t'n dis.int M.
Le i•o1C1 rarvenu â l'un des ports d'esc.:Jle de "'
/'leischmun, le chroniqueur Ol'ls"' fécond et disert carrière artistique. Espérons qu'il y relâchera long-
de la Stati"n ra.tiophonique d'lxelles n'est ras ti:mps, pour le plus grand plaisir de nos oreilles tl
un des />it'nfùlts les moins certJrns dt' cette œui•re /J plus grande satisfaction de nos goüts musicai:x:
de science amusante.
The right speaker in tht: nght place.
En >arw,.han: c.s deux hommes. Radio-Belgique 5ouhaitons qut' pendant de nombreux socrs t·n·
.1 a1outt! a s..n ensdgnemt nt musical une propagan,fe
cort'. nous puissions t'ntenJre, av.in! de raccr()(htr
français(' infiniment ulilt• et dont bien des /1eulema- /'IJcouteur, une 1•oix bien connue, sympathique tl
nisant arrrécient quotiJiennem.-nt le mérite. grJ1·emt'nt timbrée, nous dcre, en détachJnt les sy/..
??? /tlbes et en marquant le rqos des l'irgules et Jts
.~I. B:Jcony. est un musicologue ai·erti et sa répu-
point-el-1•irgules, la phrasè désormais légrndaire à
IJtwn, a ce pornt de J'U<". t'SI !Jilt' depuis longt.mps Bruxell<'S: La soirée est tanunée. Au n-1•oir. ,,1es-
parmi nos dilettanti. d.imes: au revuir, ,\lesdemoiselles: .iu revoir. ,\les-
.Il. Bracon·y a,sume, rue de Sttt>sart, les fonctwns
su:urs. u
LES TROIS MocSTIQAIRES .
d,• secrétaire artistique, rt'g1sseur l!énéral Ju studio,
cht'f de chant, speaker et aussi chanteur, car sou-
i•fnt 1•ous /'art': <'ntendu tenir sa pJrtie dans les sé-
lections d'oréras et d'op,ras-comiques qui sont au Au J<a.l'fsaal d ' Ostende
programme de la soirée. El rien n'est curieux com-
m<' de le 1·oir s'actil'er cl /J mue/te dans /t> wnctuacre J' .J;:o. lt·:o- joun.. 1 t\.tn ...1.d, i'OUt;t·rL' 11LJgmr111u('!<t. \
ou les txicutants s'acqu11trnt dt· leur tciche musicule prt1111èn- '"'' " . d·· l .1n•, lhl n. flru" !!~, Suu.< 1 d
car, t'n dehors des sons q11i dui1•ent aller impres- r Clion li Un •l l't't lro1 .. du~f:-- tl'ordl<·:ilrc: f. R:t" • J. rou
""1111l l>t'~'4tltt , \IJ\Ulh \'.llUh .. ff~.

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1hl •
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81ï
d'nr• ~ et <1~1b, pr<par,r une #cl.lion sph1ale ~our Yars
cl 'I'',"" 1cndrJ c pour drma111 "· tout au long de la voi•
IMI>'<'. • 1 h..111 r 0 11 le> 11· ht;s do1l<-s qui vnt rrbould1nguc
renln-111 1,;ht.t • lk:- a\l·c.: leur-, cur M"b roulœ Jan . . u11 jour·
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S. F. 1oos nuus B\1 z l'l'f'UOdu: u Job "" Zoh ou l.1p ! »
C ·~t " d, mmtnl « 21p • •ru'il hui relem \.<: 21p <>l uu
mv& lt~> l la mode ( h•'l 1100'5- dt11u s urt.·m~ ~'· 1ln1t:nb
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I~ J ul iiui r~pondc d ~'"'mfnl à rtlte mag111ftcp1c inter·
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lin""'"' 1fo la Jan~uc. J,1 S<·ulc. l'1nl••rplan/olaÎr••. b di1 in.'
la paro1li•iaq11• ''"'.;., hl· m<> .Jerbal !
/•ourquoi /'•• 1
Oo1111e-lui toal de même à boire, dit mon père... •
P ....nez Garde, mon Général, c'••I peut-ilte
un aœislen l
 F:::urquoi Fas ?
818
Sur le plan Dawea
Th r 011 rn l}., •t • 1 alfmne:
- A l.ondres. n.,o, ... ~u> Il he 13 llt;hr ! ..
En !ail, c·t'St !au" l'ourt1nl. le publrc - lt ,.-os pu·
bl c re-:..ra wu1ou1> comamc 1 q~ c't'Sl entre le Ili r '·
let •·l le 16 aoOt H•~.l que s"·sl dttu;lœ l'é~~ ual.on de
laM\t droite.
En rê:ilill!. la Conference d Londn.'-' n·a pu eu à t\J·
m1r.<:r le pnnc1pe de rtucuauon. d'ail!eUN prë\"ue par
~ plan lla\\et. Elle ~ -·est rflln1c que pour dos utu d 5
modahl..,. de ce plan, a« ptt par tous lts \lh«. lmne
p li. l'omcarè ••

lie ce !anll1lt plan DJM;, ttux qui l'ont ~Jabr,rê n

pari ni qu &HC émouon. )14i· ils 11e di< 111 pa8 toul
u·;i. pcnsenl. llE •3\<'nl [. ri b n GJ 11 e•t < nun un
mkaru-me mphque fi d'un ! n 11onnrm nt drhcal
! 11~ d de1raq11H !
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mo~ Et maintenant, l'épreuve con traire: la liste des ani-
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q o JO no pt"ni-11 pat, c'•t qoe }ti reDCOntnr&11 uo J~r on
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Un undid.it 016...,. de nlaervo qui "'I ac:wnt Ob rra! •
plus d~ns l#s. foyrn. da ;j.lmr.d1 au d.tn:mcbe If
A:i:t::i::.:"s et enseignes lumineuau ... ln l!rf'J<-nl. dt' c-arriere qw n'e!!t fi~• und.if i. officier do n4
,f'f1'C, IOl'.lCe. dilll 1"" lundi m2tm q .ùl ttnt U• l •~cdJ 101r
r.u à l'enlr<-<> ,Ju •illai;e dt llagnoltt-s11r-01c (liard) : Et tJ rtlot rt-, tn falt.
Lr1 1
r1rnpr11 tairrs tif. chrnrr 111Jn muu/t'a 1ont at·n 1i1 Eh bien, rn droit, ça n ·,.~ pas tltgont
qu'ilt lfront 1111111Min1ri111111 abnt1111. c·~aL f"Dlt'ndu : nous fumom dlnt ~5 inam!'!l Jllpt•, OU.X et
Il< ~ni f, rorr•. rlaus 1,, Gar.!. now ~ltü c'"'t le t..tb.l~ qui eat Autre; Vanrl<'nelde f1us:a.ic.
mi,.ux les rh~tt : toat. le toond· at~r•~1t tmr1 cig.'lrctt~' 1t
drs coliqura !
???
Lu a E:n~i, : « Pt1rrniuion p.;ttf'rneL.-, en un JOur tu 'kus' •
Cf!' "~n. pour être al~XlltJdrin, ~t tmp Lon.; d'uri ritd Jo:U.
l.'nrr,. J111 1rhlrnlei da1u ln pnrtir rlr ati- "" rfan• YOY"''-·lo J'Olidrmtnt 1' '}ui \'ou5 \:Oudttl l' e t c:" qu'on \OUI de.
0

lt 1rn1 dt rtllr b ln 1tnt1011 11'rat J'ff'lllU q11< pnur Ici m r,dt )fon ch,.r • Puurq1JOJ Pu~, il ( n• rH)Ui ad '""" 11nn11
/1~b11nnl1 '/"1 •1 1r11rn1. l:t1s.11•t ltt hot10N1ra de l3 • \.'Je rn1 1t..iae • l'u \:frra.s pmlp1titr
d" joi"" la ftot.hr•tté •.rmboiiqm~ d 110trn polit tt.muta ~· 1 allongtr
lJu(;
??? tfr. t f'C011niiss.a.rire I<"' tu) aux de !~Co du faut JQJU

S • b m1" rl Tourna•: \~u' 6N1011>< 1•·loulirr< d lrurh 111 ni 6 c t'.c h1J-

mor1 111 ",_
[ludt dl nQflltc Lhn f,ambut
·' 'nrnnE Ordre de cantonnement
~!\lSO' ".\'EÇ l:'i IJL'AR~IER ur. r·::'R!llRE
fr1g~ ' 011 \lande r ~r~h ? t" n 1 ne, ~11 g3rnison
d~ns la 1: Jbr, nou> com11 ..1 -t c un c11ra i t \luel d~
" ordr<"S de cJntonn 1r:ent •• ~
?~ 1 L 'au.tôrat'-" a.uvt"-r ne .e p
. _.,..Y::::...,... 'n \\' l'. du J,y ,.um, oç 1
Eo c nséq:Je-n ~. WJ f:t.et:oo
~:~
· ·L:-1;·:·..'·Î"\ E •ux \\' ( dn Lyccam à p>rt

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r.,;ll<T à ce qao n \\. C St.
qu on a: dEpose aac::m rr f de
''"on n'y Jtllc pat d• 1>3p1 ra d w:
1s x 20 cm. e~ p 1:iaton, " îé kmr
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/•. ·' - O:r 110 ,, 1 1 ~r plue t .,- J,• c~mruandant Ju
unlomrr111c111 \le111 ,fo J, c1d 1· 'I'"' Jc, « pap•<rs » du
Souscription Gaillon l. 1;.; :?O cm. tic surf,..,".<' ~i,;rOnl dei: ,upt~. tli\vrmalS, dan1
kis Lm P.iHJ:t rfo 1"" Jl;.>ri!1• ~ur r1eure 1t \ lus ùu &i.;.r Ill du
R p.. 1t J., 1 tq pl'Ô<éderott-s. Ir n11.- rtJ:uucnr et d" IJ c;.rtmalur(• clu m:tjor ! \ucun aJtC"' m:
J:'lt'mi>1rn do Robcn Cou"Oublt' 1 #~, o a f"l·A·lo 1Jo
,. n, 101~ ... . • 60- I' uno 1·• PmpJ11, !
Cbar~~ ftt"tutrd, 1•barm11ef ll 1 i&f:t, '1\Clluoa u..,g:1fr,
rbf.c.k, Jlt'i;ittn4nl do tf N'\'f', l!o IU!JOJI Jo A la théo rrie
:0111on 10.-
\'o!·v1 ~. que r»nc le c ·I ? 11 115 11• &J•ez pas f
6. ln~ lrnrrcllc , 1 !roi> «101le:-. LI I~ 1cu'<-nanl 1
l 11 J.I ·1 J, • r l.1 fllJin.
- 1ous '3\t~ r J, rnu< '! Eh '''"' J11
1

~- Le r.!•11. J un a;• candide, m 1, q 1 fa11 , <> om-

pa~rue-:
Fr, 711-
- l i pot 1;;> lk'< C<>Jne:;, re.-g.nl !
 F o urq . o i .r-a-:; ?
824

- ~- l _-:,l d •Dt.. u: lo r ,,.t.t 11 °',

qua9tna&rt,
- . . ""' c. cl sc:nauur 10<. E 1 , , ,... nt roq rrputé parmi lt pru~I< drs poulet, a qui 1<1 rolnrr
en tcnts qu en pm-oln. qv.i. non """'"''"' cfr rrpandrr J>ar· o tolu lt surnom de; LC (itOTIDIE \ ?
tout 10 prou. 1'i11gmtr rnrorr il /•ire dtl tl'TI romonri- ???
qurt tl apocalypllqut1, 11 bien qu'on 1 o 1umommt': - Qu,.I ht donc re dqmlt au 0111iralit>11J n rtttmOll
f.tLTfR 1/L'CO ? bul<hhiqurs qut l'on a .<u111orn111t', dan• 1011 f' irll
? 11 SOL\ ES::, LF. DJ.:STRL'CTEl Il ~
- Qu 1 ri 1lonc cr grun.f i111/u rritl qui, ayant tu ? ??
rnail/r â 1inrt1r 01 <C la 1u•ll r, q111 fnuu1a11 rft'lrr un - Qudk est donc crttr Ju111t aur /nrmrs sculpturaltt,
m'lurais Hrlar- a 71ru pour rlt1ur. o/in 1lt mirur n{fi-
ehrr son putriot11mt. u; /'()1;\0\ 1 llf 1. 1 f'OR(i, 1 fort répand11r Jon• I• monde 11' Io /lou11r, 11 q111 l'I
m~ncrs qu"rlle fai t rolonlin' m1.r vrrnr.< 91n1 ouc \' 1/1
1 '! '!
le surnom ,f, : L.I 1 Éli 5 QI 1 u:s /• /t;f' ?
- Qu• l '"l 1!onc Ht 1 tlirt•, tris lon!J 11 tri.r maiarr, ?1?
qui. lorsqu'il rst ut 11 sur /,. uiho1Jrrt 1t'm1 pwrio. nt! prr'-
- Quel c,t donc rc poli li 11 n nu '""' rrrldrrt, Il. /JJ
trn.1 plus I< qu11/1 r, (Il tort ljll°Ull au1/1/rtrr, rr< .'tli ,ft fi9urr QS$r«.~t" ri û l\uaatmHic Pnth9rnlt, qui, membre 1a·
la musiqur cltuSlq•c qu 11 tr rote 1111rr111111ablrnirnl, l'o jluint ,/t /,i" /.igur contrr la lutnrr ./r 111œurs ~. a lf
dinommt, fou/rr SOIT. J f' !'f /l/'f.\ f 1 ,\lj\ 1Tf~ ( 1urnommt · u: 1 JI/[\ {f \Lf llJI WE :
??? ? ? '!
- Que'k t<l d n ut•< p •J"'ttll 1 nnr, bi1 n connut - Q~el t•t J ne cc J, pui/ h dro1U, mOJ qlllt auth
dans nos dannngt, Il. qui k 1 un« dr " ' lttrts pnntts t1qur. qur fon <llnomm<. d m.e le monde p2r/cmrnl3lr
Jëco1u-ran1 .!tu d.,1.11 n ire • a 1alu lt surnom Je.
I.E :>OU:\OIS GE\ TJL/101/llf. '
ff.'>~L/1-l'Ll lllS ~ "!7?
? ??
- Qud r-1 donc r~ J<nhflr qui donnt chr: h1i du soi- - Quel e-: donc a'"""' pllilt 11'"' t1ran9~rt. d
ao
rit1 li1tnotrn q•< f1rrhtrm t d s an 11•1 a bapl sü1 ·
1' 1 nsm" 1°< t ap1.nqul a ci brrr Ir p11torc•q•t <lt
t1Trnrr, qu< ron a sumommt, daru Ir mondr b• utll
LES ~OIRE'.F.S /If. Jltl>I\ ' ou tl ~si tri• rtpandu TR/11 f'-E/' \TF. '
~'1 ?? ?
- Qu.ri Œl donc u rlm 1 Il. lotti mns, dcputl oit la - Q 1 • 't donc cri at. d"a1llturs tmm ni
01
flandrr uct
f'ar/rmml
cmrr 1 <>< drnl lr. qur 1(1 rnlllguc• du
1un1omm<': 1 f Cff l/:ll [Jf,{./l \/\C ?
barreau dt nrurrllt•. q•• pari ni nt 1 ne a
orr
0111
porlt I< sobriquet 1!t ~Ill J,f[. {'R tf./HT
111
- Qud r>-' donc cc 1ourn 1 'r qui, drpuu q 1'11 a r11 - Qu 1 e'l donc c. r1rv.r nrn al rclr cl. 11 ii1 1"'
Ir 1ury du l.rob<rnl mlronnnllr~ • 1 " J atC1tff ,. 1'c81 tant bta• ri 10111ours tcrl o font que Con a dfno
cntmdu qual1(1rr dr 11[\IS /JI JI :>T/Cf: '• le 1;r. \f'.fl Il. P/t;EGRl C ~
? !1 ?'1
- •i~rlle r>l donc attr 01 tl•tc ile muitc·hall, /,j, 11 t<•n· - Q~cl <bl donc a d1putr 11'1 ztr1 mr"f)a irlir Il. qui J
nuf' a \urcrs ( t Cl Jh--u.rrllt.r. fi l/fll lllll lb1cr stn1b1smt cl at•tnt11ns .. . r·clrnlÎ santts tl d'S 11 QJ"11'Utl Jroppa
tnlu rc 1a/>11qu.t: / '/lll(ll/(1\1 Il f, u/:/./QI C ou la n11t ra/11. il y a 1!<111 lo119tr111p , fr run1om dr 1 1 f.lfl/
/'Ol lf.-1( .\-1 /.'l \ TOJ:S ? T//t:Ql l TIC /,.\ l./H 11/illL". d. p 1l'r1 ,,,,,.rnl, relai •
??? F.IU:-.1 -11 l/.\S ?
- Qm•lle CS.l ilonr cdit' ,fan t.1tlfwt•nrnn/1tUnt flllt' tlOUS ? ??
toutrmplctmrr à ln 1fo11umr , l m'r r:ul1 rÎfl / t qur fon a
1 - Qu 1 rst ~one rtl iufimr ''''"""' f111m<11r que r
pit 1om1;111rr i; ttnr ,,.,IJ,, hrlll 1fot rllll~'' cfont 11n /11 11·- opp•ll•. ,, la fuum • L l JI 1 /'fll l•f.' /JUl\11 /IS C:.I
r<~ll 1/r parap/11ir .SI / rr11 1/U un /' 1 11/•P /,, ' /. 1 11/'\I H 101 Olf>?
/IF ffl \f1(11 /'\ T ., ? ??
1?l - Quelle e>L donc cW< 1c-une 11 mir /or/ moi9rt q>
- Quelle e-1 1lonc - tnil• , au /•Ill, n'•st·<t p~• la ''~an! ipoust un i"""' Mcrur df)n/ sa 1lo1 o 1tlTI 4 ri
mtmc ? - fartill< qut (on a apprll< la Nll 1.1: Cl'OS ? Ifs crtancirrs, a clé dtnomm<r: I 1 /'LI Il m. DE S lU
?? ?
 Pourquoi Pas ?

l.<>ndru: la rfd1Jrtion rt lrs aurmoumo1t.r artotdis à

Devoirs de Vacances /' 11/nnagnr pour 1'acqu1tt• r ' " " " la lk/9111ue J,. ré-
r11fion.i qu• nous sont 1lu,1. 1tr flf urtr tntrai e au rt-
f 'I' /• ( 11 'l :t 11{ ~ h- ·mn :'!'J loir 1 lttrmt111 dt' nolrt jranc, cr qui auri P"Ur '//<I irnmid1nt
J'a~11ratrr la rie rh• rc.
• Qu'nt-« qui vous a Il' plus frar~ pendant 10• \8·
/'lus lÎlr 1,r Mlmiand< pa1eront, plus utr noire
ranca< 1 • l1f1• il a publié plu,1rur< rérou•es, à d1Ht6 frnnc montera. 71lur t.te aun1 la balanr~ commtrciale
l!Ltts mt~rœs:intcis.
1'u111lla'orrra.
En 101t 1 J'a11l1<'5 :

Vou ;, fff Ir J>i1 rrlt ur, Les vacances de la classe ouvri~re

Cr qrn 111·,, Ir 111llt /rnpp,. /"min nt Ir.-; '! Co111111t tara110.~
c htr C( /'oro quri1 f'u,, ~ Il.
lr1 >·{,/nt11u1s lllliln1 tir t< /'our111t0i f'oi:: ? ,, 1nut /1 .\ ••
1·, 1t1/r1 fmnri lnut 1fr. 1111fmr. \. /J. Io R.) 1lt ftrot1Ît• tl (', t.i rsl rut t'11rt11lnil r '' rti/r;· 'ul11 Îq1t1 : 11 /Jt"t'i1irs tf~
,,,. lïw'1w111·, ,, {11111 ,,.,,,,,. /llÙît/li°r/1 rnrdm111rnl. lîll'atln t '•~ /111'it1's ti fm1, cmrnnitrr 1~,,,., 1mJirruinn,

Joiri qudqur1 '"'rllat11twnr que fui fuil''f rtr coura if,. de rm·a11crs, 11fui:itur1 qranJK l1om111r1 pol1tiqu1·1. 1oria-
rouir. lis111 nu simplnuiut "'r 11~111111M.11.t. onl r11p.111tfo ru trf·
mo/, • 14 f r t Ir paui;· 01 rrrur. (•lui qui traioillc If pf1H,
1•.\'1/ n'11n1"" 1far11"'1 • "lfi<itl • r-our ltt11l 1frru1rr1
dt uu11cr 11 de btrn/ai a11u, 1/ Il rn a ru /Hlur /'lglur '' qui fou ''fuir de$ tatolll ,S. 11
prlllt:rpàlt dt Jla/mrdlf Ili 1 nn1 « frhr6 utrou1 f1 • Orrl /luu d~ pfo1 /'.:Ju. l.tr ta il nt'' de fo11rnrr cQmmnt-
co't rlu1qta i(Jur aprt:$ la l1ull1imt 1 ;urt. Rien dei bai-
ltt b1rn i01gnl1; ri /"ut rn1r (n '"'"'"' m2uon, mlmr g11r11r1 tn compfrt tfl! /!anrll~ n'11i pturrnt dart autant
du bon /l1n1, na il~ 11 birn lo1ur. l•1 on um/,/rnt t•,ut
nruf•: t'r1t rtlui1ant, üfotnnt cl f/arnb11nt ! prndnnt 011:e moi~ .ru.r dr,u;r. '' ftlt1 tirnt nl1solumn1t à
nJ111rrr dr1 f( ruranr.1 $ ., a la modr f1ourqu1ut d 111 cla( ,.
:! rai of/al u 11111' rmirr 1i-011tunnr 1lr f•nnt~é .. uarrl11 011rn1rl'. Tl(ll ,fr 711H1 s·,n11f,... qu'11ft- trmnillr rm qtrnrt
un r tJq11r(1tr f 111~ tJUt " " c ltr ronud1on qu'tl!t n 01
1f/iq11r 1fr f-/U.'l 7nr jour. /,fi quarlt
t11ru111r 1(r lr'OU' fltl/.:I
lt•Udra11 7101111 . ora11l lu '/Il'""· ,//,• flil rrt1dr rf/1orttttr
,{'Jtr1111• niut; rnït11rn·c a111rn1 ll1 "''"' joiulf mrr 1limn11-
rt /ait Ult ll!Jllt 1lr e1·1111 , r/t /1j, Il, rffr fu yrf/frr 1(1 l '1111
IW JJI,
t'f11·A t11t1t·r11ft1i·1i. inM1t 1fir br1111.r '"'"'' •Ir r11r<1trfl'·'·
1/m~ ,., srnrit 1111 11hlu~ omhr fo 1·uro ..s,1intr /ni •frs t,.0;1,
:r ' Sim. nu f"il fo 0111· rommr· rn .lll111wy11r. c'al• /mil l
d--di,, &o ;, li Kt w,.,11, w/1/,(),/1q1tntrnll. rrlÎf/lttlSt 1111111:
q11rl proqrl'1 '
1° I nfr r « la l nul /riut 11, O'I lit partoul t< f'üur'luCJi
~ •• llll mr ti lfolmr"tly
1
/ 1 c JIOUt•!UOI Pas? • tSI tn unit. ors l.E VENDREDI
/:( pccl•nt tmrnt. ,\1h ri Il!'\ \l:D, "\Tl\. ••• klosqaes dt ta gart da liorJ tl dt la ~·• do
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Les préoccupations d'un sénateur

li. 1 t hll

f r q111 tnr fra1•Pr ri 111°11 /ru1111t1 Ir 11/u~. 11011 iru.lrmcnr

nrtfwtt lrs tm1rn11 mt1U 1f111ui" fan11111icr, t ' ' ' 11
1luat1r111 t(t1nf111w1111· du fifl'I ut>n s1uhm1nt /,. r11111nt1r11,
nnu lu &"'ttlltr 1111y1m11lu111rfr /,, nr d1h<', rmr,·u111urt1
Ir lu ff,1 ,/~4 huit lit11nR, 'I"' a 111 pour tf{tt tir· fufrr fll'I•
rr1· 1<nh11J r11'1/1mr11t /,, G11la11,s. l11ut ,., 111u 1.11 ,,,.
l'i Wf" Il 1'1ml111tr1t tl, Jl<lf" tn1r.t •/U.t''lll. 11~ JUU rfr
ninrt.
11 l•J '" 10.!fl, 111ràu J po~, un am wfruant nu ~/o.
l I ')Ur , . rmr .~ (applllCllf .IU Jr "' c nrtnt:o11 1lr LE PLt:S PL'lSSA~T
AST ISEPTIQl'E - "ICJ\OBICIDB
1 inqt '· " ' (Jrllll/t /'" Ut f. piu m "~ r 1rnl-
q11 • n"u ru1 r r • 1ur 1mr " l 11 1111 ,-,,, 11< n. I r• o· TONl?Q"u• SANS ODEUR c•u~~'~""
• 1( 1 rm tpr qui 1/ t:r ai nt /1 r•rts'~ ' Prf,·c:11.Ur 0011lrt ln m.al1d1u f'l •ptdtaiea.
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p l1qurr, -:rndu qu.'t ~t 1foi1 1 :trr d' tts r.rpoHol•onJ Le-• p101 baultt TttC1mptu.t1 aaz
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1 11. JlUr 1011111 111.1irorl"rt d Ils 1•nz,
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l olrr lt prc1rt ,fr 1·11 r'• ra1t compnimrltrr. fo 1m1 fil'
r d fnin rr tl• 1r I 111d:1,.lrfrs; Ir jour ml rllrs 1ltr.:!Glll DunMdt~ roi.ui'1'tmmtl 11
ltlu111 fo 11rodurho11 ou /1rmrr /,:; u1;11<t. tr 1onl fr3 brodalU'I 1pkloh 4,
D• urf q111 ut 3,ronr /,, 1111u11rus ri1tintn.
\ 'a•put /'Dt Ir rtrt d',tfl(J t1i ri 1irn1tr. ui 1i lt1 ~1111ult•
O.f•a 1 llt, 1 eu ltr1 t1bl1·1• ,J, rrl•rrr tH0'1 11111011/c 111r11t.
0
LI' lr.intu, 11h m m11 nprnrfont 1lann1• ru1so11,
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r11 ht• ri
!tqo•rd'hur, la 111w1u1on 1'aggrat < rncorr par lt fart
ilt.t COll«lllOtll la1tt1 /or~ de. la dtrmtrt corr[trnue de
 F ourquc i Fa:l 9

t:n prinçe a, ou aurait, bien d'autres mnirn< d'a,oir

Éducation de Prince raison des rholut;on!. Il peut maintenant (on,lalor q1JC
s rë•olutior.s ont toujour> h1tn moins rh:1ng~ lt< cho•u
CHAPITRE VIII 1'elk?s ne le proclamaienL La l)l'llnnie de la Con•enl:oa.
d"!'a>•a roll.• d,,,_ aulocrat"' qi:e la Rt»olul1011 a11111 r. n-
LES RÉVOLUTIONS ltl'l'~>. ri '41 politi1111~ 1·x1•ri1•un• lut eellP d" !.oui< XII'.
Sa c.erilrnl ·~lion int~ri•ure pours1mit 1'1Pune de Rid1e
heu el de Colbert qw l'amena 6 ~• çonclu•ion la plu1
logto)'lt, c'cst-à..Jirt, la plus d • ::r<able. La Ru«1e a
r('nte"é 1111 t'Jr blano. elle 3 eu Je smtc 1111 l!ar rou~
RappèkMous J.1 11;1nilo• Ju roi tl1• \ nples, à propos t~• «·
•;ldat• : F.. Io tn J,Lrnc, 1 lt• en rougi', 1.. les cn
Hrt ! F.n rlleL la coukur importe peu el un t1ar pourra t
bten changer JUt·m~me !Oil badir\'On rolJr t'elltr l•ar,
'~ns ~11'11 l ait de chan~em~nl de rer•onne.
Ce qu on pourr~it \oir, un jour, ,e ,erp1t 1,. prinfe J
mellant Jui·m~mr+ A la tHe de la rfrolution, rntrepm
de1.car.. tt qui, è\ld mm<"nt. 6uppose Ull<' gnn~ -ouplesi
dans le <·hn11~~m•nl 1Je, rnouumcnl• . dan~ Je M11lacemcn
1lu fusil 11'11n• ~paul1• 4 l"aul11·. 11,,. 1·oie1 la (lu,:;ic : on
'C dtn1andr f'Ourqu~i C" pamre \icola' n'aurait pa• pu
jourr '" 11.'nmr. Il 11°u\ail qu'" 1l~P'ler J., lua·m~mc un
communi•me, pas 1>lus réali•abl• que relui q·1e no 1
~'""' 1011011. èl ,.,.la morrha1l. Il ru aur.111 l'i~ quill<" i
porter un honn~t rouge nu lieu d'un~ 11are, f& lna~~l'r pou
•er '·' barbe •·l à a\01r •l<> hollN b'ul~t-. l.r c «lume n
fair ntn 1l l'alfoir•. l.oui. \J ëtJ1l un -:re de m'ne pil u
111&1> un rn1 tout oie m mr. F.sl-<"<" que 1ou15 \ 11 Il" 6' •J
f'3' tromr. a peu pn· ... 111al,gn: h11 N ln\Jl 1111 fl'mp ,
k- chi·[ dt l.1 Jl,·,olult< n '! Il 110 f~n re11d11 ra~ 1 omr•t
parce qu 1l 11'ct3ÎI pa< trh m;ilm. lia ' on '11 en,ui~ 11
( ";tJ' \COU de Co~ et qui fui tout 'ilmplrment le fol lal
tic la Rholurion. rC\Olulion •1u'1l <-camota et mit uJ•
rÎ1'un·rn1'11t ,1 ,m~ sa p•1d1r. \011, pnnct"'. k"" rê,·ol11l 0111
uc •ont pas SI rc,ol111tn11< 11u'rllos 1lt-enl. !:lies ,r.mpo.lr 1
l1"en 1•lus ·le <ha11gcme11•• dl' prrronn ' et tl• r r•onr. 1
que de ch~n~rmenU d • pri11c1pr.s 1 d orz t10 • \1 s
r'c•t J.1 manie du ruLlu: rl.• <out mpler surt' 11 IJ figu
1Jr~ 3c\Ntr< ftll hru oJo scrt1lr1 J ·ttrS rùlrs, 1Jlli lui fo 1
croire 1p'il ! a eu de si grands chan~cmrnl.<.
fovez celle r<\Olult<>11 ru•"' qui prtl nd rtlairc uo
monde nn111cau. Eh l1Jt11 ! punr f1ire 1111 inonde no
1 Il, tl follal! ill'!ruirc 1111 "'""'I" Jflcirn. Llle '"' r,
i:ui'rc foit. JI lafüit r~•cr le< 'ill"' : il r.1llJ1t r<'l•1r<> la
tor~t pr1m1t11c: il bilait cha."'• r d•'l• cd~ fon!t tout
•m peuple nu qui aurait rcromm•nce la i;r ude a.en! 1
dp.; "'~"'· 11 fJJlait i~nnrc·r tout r. q•J'on n fait j11•qu'1 1;
r<'!lrrnd1 e 1u·11t·<lr~ la >JCalc. l.1 hnchr 1lr ..1c, ruul.(t
Il'< arimau1 ,1 mou qi:r J'homu r, r t1g11t d • «on ng
mil nairè, n'ait plus t!ioi•1. tt"lle foi<. d'~tre le roi i!
1 wallon. foiJ;l cc qm ·• ••ntil •1•pdé unr rcrnlution.
f.r~ ri!\oluhnrH romme cl'll"S qn(lo 11011~ 3\nns nr.~ tl ')lJt
nrm .. l''.ormaiunu~ par J'hi.;:lf,ire .• n~ le~ prrn&n~ p:l"' lr(f
au •èr1eux. Som··nei•\OUI< IOllJOU:", rrniu qu'é1an1
chef, 11 \OU! lalldro bien 'nne. t,'!'El la posll1on, mam
1 nanl, d's !'rand! S•'nêrau\, à l'orri~re A la ~UJle. F.l!t
'>I a•·ant~,11e11..-. nr J'oul>hCJ jan..,i<.

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dM ailes dam Io d08 tt UM . .rillglle ftàmboyante dua i;.
d"xtre, 5 efforcttatt'".1t d obner au eDDU1S qae roruiAiueœ MMis
Chr<onique cioémctogr<cpbique le;, comt ~
C ~ JO r ,,. nouv au1• LC'I JOurnau:i d h.er li 1 a donc encore do beux 10!rs pœr la 1Cèno noao coo-
allnonciront q·i·un d.trf'f'Uur J., lhlitre do SèW• \ ork YIG' dt naltro111 le Thé!tn>-Luattt, leo Foh.. H6p1tal, t. Pa..tllon dt
r&èr\·tr d~n• u a&Uo unt ranKéo Jo hute11• .:s ·~ .ourds; Ghloreo. le Gym.na.se- Clinique, c~ m.
pJuut-urt J,~ IN coll"-gues '-'Dt d JA 11u\ i son ~Xtrupt~. (ha.eut.
Jet !.111rea1f1 do ~t 1 e r.o.n"éo crL nmni l'un nppairc l bonuni< ? ?'J
• aeou~l con •, dont l'a~oc.:~ l"6'
tJu 11tu celm J'un ttC'e&>t<'Ut J.!t t·on trott..·era à la rotuème cl l la quafrifrnt pag• dei
téléphoniqun. L"aprarril f'1it rrli6 A la. at n~ d arnplifie 1...s .1nns J<nF.naux dttS altest.at1on~ de ce gt·ntto., Ornltn d 1 rla.<ttoiqut por·
dt man·i·ro A ~ qu• ltl Orl 11101 lt"".t r•hll rhmu, l~• plus rrhrUn, tralt do M.;lama Dubo11, da Jca11 Durand, on de JuJes Da.·
lu plu1 nttinJ, laa phi. ltrmét-1, puçon'C"J1t rn 'JUO ch111t-e potir. avrc Ja. 1t~'ll4tutt Jéga.Hsée par )fi bourgmestre de Ja
1•art.L:to en rt"11r~.a"hlat.fou otJ (" 'lu" Jf.tUe l ord1<'tltre qUl a<:.. loc.11>!0
camp~gno lé dérr.<a!cmtllt liu fl.Jni.
L'inn°'otton a obtt"nu J'einblN un 1aé16' con.uJ rnt,1.-._ du
moi• a'iJ la!it. t:in traira let JDUrna •:t d'outre ,\tl311L1qu", lia
assount qu•. Jan1 Io th trc ou I' 1n t.All&t1ou dei ("\'• corh t.s
aMns!.1qui'S • /.!. IA1tr, Ir nng dn fautt u ' r T6 au1
s.ou.rds ,. t h .~lièrtmrnt t«llpc 1.haqtle &0Jr on pt n,J ml-m~
:1 plaC'6 rn Joa.uon hmt JOurs ci &\&Dee, d \, 11ar 1 al, an
' p 1 re d1•pn o i c t u nfl 1 d
111. ln
d~c.I r v a:ix f>C"rlOnn Ji d nt. 1 tj
oo b trompa d'Ellttacho •n in•un • Clat

???

d Lêt , ••• ,Ju mal Je liOlJ rrodi~

llam h.. baiJ:UOuu, en 11laœrhlt J-. di1.b4t.aqut"t, l l'mt411.

üon dn.qut>I• dC't arh•h•J yu•u1fralcot chanter, pen1lant. lu
tQ'r'a<tes, dt"S Nupleft 1.1161
.Aq L.l('On 1rra1c11t dtl·llJi Ji.•t 1~rndo"1 pour lei oh•' ea J&.1·
rtux de tt> f.t1t1,1 m crrr cm nm 1qua.
Lea •i:c~trurt •U.<-1nt1 Jo Ja. gale lt1Jl1Hr.11en\ 1 AU.X gtil
r 3 lnalm("llem,..nt. •o• 1p1'Cb 1 tn fût 1I0&1ti: ju qu c1, dlr
anumt ~ 1nv.. ntff.5 pour Ç• 1), du t.a ns aotrur~::c aù t1a
poarr&1CDL &O gn r ft 1rt1h1r ,Mlr tnnl t.ont. Ech n~AI tl'11..
.lbb'~ apprrat ans 1r lr ep ,. lu m 1 ,u c i11 et dt11in.s 11on instrt!& ne 1on1 piu """'
t:no dln quo Où 1.. clunri;1:'1s o~r•n. n' lu h rnl•ux du • ln nus n de la mu du pop "tr, ils sont t'tJtdur ~
~lt lmt..11&. ou. p~u11èr.. w.:... poi<ft.
828 Four;:ruoi F as ?
POUR L'ESTHËTIQUE DES VILLES
L'architecture et la décoration appliquées
aux hôtels ministériels
Oullc!-\Ou> dêjà parler d~ Durondu1 , 1a ule modde
imaginte par QuJIT• Il~. la cité 1Ju'1! pr •O)ail pour dt<'
temps r··latu~meul 1appr•lChe.s (•I <JUi C>I l'~'l''"'<1on,
•~1 anllart1 1 ·1ue que possible, ik notre cnih>al10D
~Lement ~::al aln e 1
Dur.mdnlle, r't<t I·· ~l mLo\.- ironi11u~ rêah-•' en l•r l·
q\1116 el modlone, l'allégorie. quinle,~nc1fe tians 1~ t.i,1on
et le fer, d"6 tcndan«s ut1hl31Tr$ d-> noi.e ép<><J~.
Dal\6 celte Thcl"'iJ•• ole la t -0nform11~. 1"1<> 1,., haLi·
lbDll Ill' oomir• ni lluranJ. ~ p.:r•'> 6'ar•pdl••nl 1., père
Durand : le> mères. l'epo- Durand: I~ enfan~. k ~
bt ou la poile Dur.nul. Tv.o ~•• Durand·la oe lcvrnt ot
Ni oouch•'nl aux nl~lll<.S htUr<'S, do·jeurn·nt N 1ll11en1 nu
'<ID a•crb« ur dP la même ~«he; sortrnt pour fa•ro
four promenade a.ec la m!n" canne ou B\tc 1.- même
paraplui• • .sui1anl qut• le soleil .,.. monlr<! ou IJUè la 1ha-
clw- ~frll. Toul('1 I•· mai<o"" 1 '°ni ~mh!aL~"S. trJUtffi
le.> ~ soul 1Mnt1qu • !es pl fond· sont do:or~' des
mêm~ moulut·~, If~ porte~ sont fa1të-- J11 mrme hoi<:>., lu
\'oli:wt' peints de lu mfom~ cou) ur '~ru, Jt,..,. sonnclt,_--t 11.. •
chacu<M! des m 1 •Ili ttnd•ol 1 m~m• son. L h~u!'l' • t
indiqu.-e par de,, hurlo~· 5 acho1111.\; au ruoy•n d'un>)'•
lème m~aniquo qui l relie à une horli>i:c c•nlr ;ile, l.i.
qu~lle ks n'd tou!œ.
Le dimanche, iou.- J, Durand. pr~ du même ~soin
d'aller r1lipirtr ~· ~Jnol .11r il•< char111». 5<>rt<nl .i la
queu<'-1• u-leu d leuN ma1•ons <I s'en •onl hon "" mur-
rie Dur:i·,~,ilJ~ e•cc leur• tpou~ 1 f<>ur, enlanl>. Cha·
que la1111ll~ c<t muni~ oie la rut me qua11ht~ d~ pains au
jaml»n lu mWic nornl1rc de li rt• ile rnlral1 hi<~m· nl5,
fi &!.sie•I sur le gtton rn chantant k· m~mc' rrlra1n, tt
0
/ochani:e 1.-'6 nttm"' pl r;ant n«. l-ONqU<! 1'11"tm.- du
rtlour a :--iJllnt:, h.•U~ le~ Jlurarttt S ~r. rc\ Îl nuent d:rn~ le
m?m~ onlre qu'au Mpart, renlT• nt cb~z ""• .., dé-ha-
billent a1ec l~ men1t' g •lt." t ~ t,')U(hcnl apr~· a•oir
lait la m~me loilclte M nuit.
.'>e pou:;>o~~ pa• plu• loin no• '"" ligot1m1<, lou> 1. s
Durand de Dur nd\ll!" ' 1 • droit de <abnltr dcmèr;>
le mur de la •1e prnë., Il••• 1lcr11ar11I 1-\0U> uu f>('U cc
que ct'lle \Ille future rêscnerait li no• plai•ir" •li général
<I. en part1cuh r. à no• golit< en malltre J'arrlutccture?
"!'!'!
.~ 111arrhv11• (• pcnJ n1. ~i l\>n n'y prend ga11h-.
' " " ult~ cité fatal~ - et l'exemple• 1c111 •omtot <k h3ut
roy~ no.1 ru~::., tfoot 1 " rn:u . . °' .ont t-Oll~trult.='5 <'n $f'o.
rie. et 11nrtkul1t·1• lfü Hl hO' hfttt 1, m1111~l··rii') .. , qui eut
t •US 1• mlm• fatadc d plor bl ment r t li~<J<', la 111lme
.-...i•. mornm~nt et tn•tem nt oflic1 lie.
Si l'ennui naq111t 11n Jl>Uf Jt• run1formil1', t; C$l ("Uflout
0
·n m:.lt~re d\~théllque d<> \lllt'l!.
:\o'l• rhorr. 1iour notre p ri, de •Oir confier à qud
•1ue,,.uns de ni}< ~rtc1Jh•1e- 1!e l tu-1 aj1ph 01u~. 11 lr3n&-
lormallou d« MJà cil~• Jo, 1, f, mini-i~nrl-.
rovz ce que pourr'l'I raire 1.. IJll, nt f'lmhin~ ·le l'ar-
d111ec1~ Pt du dé< oralt'ur ,,.':ir•rohquant, par t'emple, 6
l'Mt•I. rndus dan' 1111 tn5"mhle f81lf' gr~re ..t •oi<> pil·
~aue, qu'habite nc>lre ln<'n 11m~ nuna•tre des ~ci•ncl't>
()! d·!'S ,\rt:;. ~. ~t'lf. On ~en111t, •'DC115tn'e au-dr<;•JS dt,
la porte coch~tt, une !(''llnde ,..,..que J.~rath~ empile
d'eau ~mie de rour. V. !<....-ait là une tr.~igne parlant~.
d'une b•;nmcahon à 18 fors '31•Î>Sank el ju•lr.. rn i;ou-
p1llon y 1Ternper~1t ju•qu'au manche. Je •oudrai> au• -i
4u1 l'on \Il, ~ur la hça1t~. une can,-,ttc g1g;lnlrsque 11ui,
plvllf•'aot ~- r3CIOM dan' le< ftnflr'ts ùu "'ll!,..~ol. ~r•J.
nou1ra1t 0-00 panache de •enture d nlele< aur k-; tnba-
ltêr"t> du l•lll, C•>UHant ain.s1 l"Mt~I min1•tuiel ,j,, !On
omhra~e S) mboliqu<.
Pour rappel<r pl~ p3rllcuhèrem.'.llt aux pa<banb q~
l'on y padd looi,trmJ» 1111 lran~ai• apprnumat1f. une
petit~ 'arh1• •"pag11ole, po11<-1• sur une elègante pol• nce
de ltr lor::i', >tngerait en gui..:· d'er.-eii;ne. l ne bande-
l~ll•, déroul~•• • I• rnnJ• =01h11111<'. lui ~rtirnil de la bou-
ch", et l'on pourrail y lil'll quelquu phra:<t.s choisie•, e'·
tra11"' <k>. d1scou1"11 pad~menlair~ qui valurent li \1. Ile
Bru!"· leq~tl hat.ila autrtfo1• c...t immeuble, une s1 ~pl­
ci3le célébrité.
???
Pour De p • 60rllr Jp IJ rue de la Loi. nous •01.drion<
•Oir, dan' l'tl~;ant 1ard111.1 denomm~: I" :Sq11are de I•
Frou,,.e. uru• ~ua~•-'(livc coll•·dion dr~ anini:lu\ ctui s·.. -;..
;. mblro•. quatN· lois par -emarne. au Palai6 Je la \aü1>n :
dm.lc>n<. ::ca·- paré> il.- plume• de p~QO. pemoqii. ts, c~·
rattw", ânr"' 111• loul poil, rh1·\'3UX it~· retour. rhum~ hur-
leun, rai. oie "'1cri•hc. mouell<s d•- ··lanih<t<, 1aulouro-
pro?ritlam'l!>, ~r•nou1ll ;. r,doutanl un lJ "~Imam, etc.
1 ??
[I !•·nez : pr•non• le mini·t~re d· s Finn net<. Q•1Î 05<'-
rait prtl mire qu'un Hau d'or. pla e au balcon dr 1h<~
1d, n'~ t><·nut P•' .ru plu> ju•lc dfot? Et q1ie 1ltr1tz-•o~·
de 1INn figur.:· all•'.1oruiues t•'J1rl.,11lonl, l'u11P un hahi -
lanl J...- rfgion• d \ te '· maigre. nu tt !;! loltanl ; rou·
lr<' un bamn Zeep, au hlfld Jllmrnt Nnperl~. dont le
•c11tre ro1111ouilla11! ri lrs bajoues rrpletc< li r;iient •a1l11e
50~ la cornithe ~
???
Qui ne ronnall la plat.- l.1i1!enr .t. < mur~ 1!11 nuni ltra
de la Guerre? Et .,, Il<' \(Ill cornr ...11 11- do1tnihoiwl
• parlant' •, •i 'I" !que pt'llltre d 1 -qu'-< ) r pr~n­
tJit une \1111(•' bd;;{' 6'1U lilhqth'. ~ .,.~.. h la i;org r ~
le pomi? nouPJn de la Ccmpre;sion, l.rnrli• qu•'. 11.111• le
food de 13 cun'i'OlS'lion. •ou- un cr 1 lirnlc, plom~ dt
triul~ infornale;, d ' nuag<'ll <'amonœJ!,rai nt. pr•'!-l'n·
tant la fortne bien cnnm1P 1iu t:l."iqu1~ pru ... -..1('n, ou r.rll~.
&i:>ul au ....~i populai1e. •le la gu •·le t.c' h<ii-1... Lar..+e d'u n
cout a11 I• nu enlrr. 1 • d<'n!s ?
?? ?
f'1 le """"'' •e d r \grir 'ture ? Il quel p11tor.-s•1u~ ne
-·adorntra1t-1I p ' •1 les 111~· r.1eun; du drpart m~nt llan •
li.rmoirnt Io 1oie 1111l•h•1ue •1•11 y Jon1.e ace~• 1 t ! •~•I l-
iaient un srcteur 1!0 Io 10111e 11'.ll rloo-t:rnarl'•', par
etemp"' ? t .e serait un" fort ne J'(>Ur le quartier ; '"' \0:-
'1n~ loueraient, ('Il tfi 1. ~ pr" <l'or, J<'tl~ f nëlr\'< IU I
baiinu1fir;: d~cir.·u"t 11~ \·oîr ,·ommf'nl un p:UJ\ 1.~ p1~ Ion,
a•-~ abando1111~ 1ks dicui pour ltre <•bligé •I<' cirrulq
;;ur ile par.'1ls rheir.tn•. bourlm:'.llt, titub-, ...-i !t, t~
buche, rou(1• C'( 1Ï~ldt:U~ j1t~1p1';1U murnCfll flll Il \,1 f, 'l t!'
Ja pl~nt ~ dan- 1 < f ndnè•,.. - ri CC•lllllltlll de 111• 1 f
a11lômobil~. p:k-nnl •:in< méfonc~ <ur rt •ol mouran l.
ra•in~. bnln!r~ el rhahu1,1 conun... r~r un trtml>lem~ol
de 1erre, y stlllélll èpê!dument leurs O<'tt<.oir,'15 H '"""'~•
 Pourquoi Fas? 8~9

' m•··nl 1 urs pntus. y d<traqucnl leur dÏJ'e(tion el
délrut"<' t lror C2 ro>SCrte.
???
Q1.nl u n11ni•I• r J,s f,/oc. s. on ~ 11 qu'il ,3 s'étJ·
Mu à l an "11 f/611 /tir f,tf/• 1 ur 't 11u 11 •C muera dëfim-
li\·. 1111·al. 1un.1n1 ù· p:an dwr A f19uld homck. en mag3·
liÏn 1J'expo!ithut1. ='ur lJ ra~a•k, on }' lirait ks mot§:
konornique de notre colo111e M>nt xposes cb3que fois
que le minllilrt chan,••
1??
•:nlm, 1our rompre 1 m 0010111~ de la !a~ad~ du nû-
n·stê1.• oltS cl1ernin< dC fer, VII la f:• •e1rnÎI, U tOUt• > 1.S fe-
ni'llc!, ~~ phonvi;raph > •1u1 r1'1:11 ·ro. n1 de. monologu<'!I
d~ rn·runsl.111œ. cotume f,'f,u·a,., ~. Nus sou!lrt: df
rd1rrtls ••. , 1Nrscupugt : IA r;,., t'' J, r t'lu r11inNs Lt Rlnitr 1

l /'n11/ oulrJ//1 mrlll: (;I l'on \t'lfnlt un pantH.•au déoor.a-

1 f'I lt t't;rbtûU, J'ai lt:S JtUZ iambO CfJUjJÙ'S, OU biPn, dd,
hl rcprt enlnnl uu 1r.1ir1 et cm•1uanl• 11di;11n5 tnlran l d""' chc111<onntll<:s ngolot"' ou t!rw1at1qu« comme celle
un fiJCOll de SC ndrnr appn>pr1ér, d«nl ~ rtlra n e!<I:
l~ .Mou-ncur Xcu1ca.n b ccnJwtc ••t ~01Lt';
Jll!tll roa'l:ne Io \*In cDtrt' cbn. IH boa~ille.
l'our d TUC Il a C""'- cieux nrt 1ong:eun :
Aux 11lrin !, lout un choix d Jrtirki; de 1 lias.:.e cl pC-che • C'en pu I<> ch'mim d'! : qu il tant qu"on uploiu;
• C'qu'1 faut qu'on f'..J:plo \.' 1 o m km Toya:-t un 1 •
ntnJaJ~ !<'ronl C!lpo.:.tS: Oil~· lro \ lilll nulllUlllleTlt tout S
ks va ri 1"8 1lr l'nr lrclr « g~lfo », 6 do·• I" J\ dd1a11l f ,u1. 0
L'U l11rn crt,~ roma 1ce t.lu t mnHS-\0\:P~cur. ~i tou<:ha:nte,
1lont \Uil e le~ dernier.;. \ 1s: • -
con 1111;•11f.{>. uu '1t•s l·tal~t..i:. 1111rit1• ra11 aussi, 1ianb uu
0 m~ "'mi•, ~cout( r. tnott tt:lri1n •
d1·cor r><Ïnl 1'"1 llulia>cq, un ioli p• t1l rn .. ulin à 1enl, in· l>'éoth un veinard. moi, J" m'honore :
1i<ihlc11ll'nl arlÎ<lf.ni• par l'i-I•'< Ir 1cil1°', 'l"i 5)11\hohS<>rJ•I Dopui1 dix ans j.n ptitDd~ 1& trrun
1P! \'U 1alwrti 1ta1111ell"'.(. le r1"gimc polifi<tll•' d ~.. régin1., Jo:t, ma1~.re ça, j~ n. f!htore'

BILLETS DE CARAMELS
D•n ' )'IU'l•UIS uc ces bo1111c• 1i1·illc> nwi.011, bruxel- El:t.o a i.a....
1-, Jv crois,
lo1Si('a 1,ù. lr.ul1lltmnellt rnt·nr, 011 1 l-111111, unt• demi.dou ... S(ln petit cœu1 " Ch •rltroil.
1ain1• ile foi~ pa1 ou. dPS amttï d co11n;11~,anc.~:s autour 011 balbutie dt.> 1er:; J.11la :
cl'urw lahl1.• '"of"""·'•·m(lnl 'SJ"n1e - H)US "'~1\'l 7 : c(.'.s rllners, Eh bien t f:h b1tn' &b bien 1
&Jf\j\ llP' d1 j;iihS. 'Jlll conimtnc ut a ~ix lieur.~ et où Oil donc ...t i. clu>n r
1 on f.('irl. \~ n 11unull, J,• hrimJrd -- 11 b'tsl ..1abli un jeu C'e.t là, c·ftt là. c'c:!!t. li..
1,u1 à J•• l 111ollrn<if, 1ranqu1ll1I~ J.:-s parcnls tl amu•.,_ C'eot là qu dt Io du.' 1
ru nt del rnlant.s. f,,la ne fora plll' m<m!H l'i:t1a~~ d<! l'in- On p. ut rc11rcll<r w1 defaut pb!"ique :
t· llcc 111aht.! c1•11ra11t~. mai, ça N no111 elle un peu l'immua- )lansieor ...\rmaad ator:i.t tl•.irnunt
Llc L~r !0<•11141 J,s so11ft, '"' l'on 1f!n<. $';1 était un p«U plUJ gra..nd
La fur 111ul•· '•t .implo: ,.,, .., I'' 01·1111• 1lt< caramels; Ou ou fi·l1citc l'inter~~e:
<11 1 n '11li1\·1· li'" lull<·L~; on k:-. r"mpl:u·t· par d'autrt~
inll'rC•«H• l 111•; 1wr>-0nnrs ile l,1 ~ori1·t~ N l'on rcmd le
Toot.. ce qu· ••t.
l't tit. ci.t. gtntil1
\oit.:. pourquoi j'aune L11J.
l"'nl•on 1lo11s l"·mdoppo'.
C.t~ hd k-l" 11(' ranunel n1l hom111rm 1-m1l rnalil·ieux s.'i!.i
On ('CUt M>llicit.!r UM la\Cllr rr.cieuH:
~' 1 11k-11t, taquine s 1b l'estnl. sp1ntutls ,'jl, le peuvent. C.-0mmo Io bonbon qu• Io toatn-.
Je voudrais Mpê'.rer U. bouche ..
On I~ dq1I~ au d rrt t on ~ 1 ' cc•mmumq~ a\'<c plus
•·U moin• rl~ plaisir. On 11tut manruer a1ec dthc:ott,se le J>!ai!ir que l'on a
~rrou1é:
1?1
On e1-t bien nçu cha SuJy;
\ou~ Cl :l\0115 '\'Il QUI f dt• rclllt 1' l'(ll0 ruJJlmC!ô> jo--
tJIC'OI TO'tll les h~t. oun, l'O\·t110111.y.
111111 nl l•rn1111:its, 11ou.: en a\11ns \Il d1,u11ns aU:i!'I .•• nou~ Ou risquer quelque rnnrpl1111<nl 1li1cret :
:t\O\H)us 111~rr11.• 1p1t• et.•< :iutl't·~ t.'l.1H ni 1·n forlt' ninjorite. Lonqu~ j1\ ma11g<! utm hannne,
I."~ um" f1mt .allu\1on ,·1 uo proj t ci4' lll3lin:;:-t> encore Je- prnse i. \-Ol, ch(or"' 8uunne.
ri~huJcu\ : 1J'aulrcs ;\ la cah 1li(" 1l'u11 , on\ iH~; on dcformr 011 nprimer di<crd<'m~nt un 80UJ'Ç011 que l'on a conçut:
llfl r1rO\\'. rlM.::; ou r.1pp I~ J1<crcte111c11t f}Ucl1p1c aHnlurt' Je crot qutl Cla.ra a pctdll
iruhsn<I•'; on fart le r~ppd de qurl1p1 • ennui dom~,tique S.~n tout f'd•t turlut1Jtu
courant : •' qua ne manq11e p~s d'arne11er, 5ur les jouu rie Clara, le
Jlort.tni.-o K ~L b1rn ltate
"' rncamat Je la pudc~~-
~l tUe an.:t cne SttT&ntC'
Ou adr<ES{'r à la bonne \lm.:- \nna une invite ddicaleJ
On plain! un amourrux dhour~se: r.n ce moment, JO mevr• J'f.m-oi;
ÎA tu..'l1hc.ur de- ma ,-i~ J 1a.i dts de;;sin de \·pir b lune :
l"ut b r"ut.o • t-<~·h m. Sortons dïci, Anni,, croit m,,i,
On fournit rlt'I! r'"'lks qui n«111;·11I J, bonhrur de ~\Uona nous ptomrn•r, n1:a, hrune.
l"t\l§h~m;e: Ou tl~\l'h 1 r, s3n_, a.\'oÎr l'air d'y ll)uth•\r, un fait piquant:
ft ar i:t~
heurtUM t:l Nbah1ll', \farguerit.o &\CO f[_;JOLJC":
li but J9QU dt! la t.rom~Ue Ih111e !o fo:i t.ftttt en tbnnitwt.
(/n pr I~ 1 > fDl'-O!IE qu'a, d',ll~ m 1' ncoliqu<'. l'une Ou intmsstr le; con"'"' à l'a1<nture de faéronauf·•
dts yun~ l>ttSônn;:, qua honoi. ni, de ltur chamir. 1'J1- raul ..t de la coll6ine lilaria, qui ont laal une e.icur510fl
111a~le &!6cmbll:e : là·htut:
830 Pourquoi Fas 1

n<>m do • Mlle lliri• Duplam, ...,.uèro •, un 1•...,..1'9rt I'°"'

Rad l-Jlo g1ud l':.\ d~rmoua co nom 'Ul<JU'à u mort., •Un._
ane le 3 Covrcr bii - aauf pour aller tonUilder, en ,\ngle·
terre, lo 21 fhn~r 1&16, IOtb IOll r.om "énttibl"• un m.t.n.'lge,
don\ l"histo ':'e 8' au.,oo.rd'hœ bien ccnnliK, •"« lo comlo
Ed nard Pcrrcgaux, c.c uf.ll mlme qw ti.t. mi=nre aur n tombto,
MY. k-& innte; aa cun<tiiro MonUnUt,.. : • Io ropooe ~!phonalae P •
D'ail,•un, elle o an.o.a. p<lUJ.' porté e nom do œ man ae. a'eta.I~
banieo ~ "" Jire p:irfou, f<Dd>U~ la dtm en onnk de .. <lt,
;:,am,_ da Pi..m.
• F:lle ne s ·.,.,1,,,.iit :.....i. appoler b Dame us ComE
C'..l Oum;., u qai, en lùll«m: de u 11.ur pr<!fztt lm cl<>nna
(l!UI tard CO a~ c Ù pare lD.Ttl)Ü A 1 1 cl&N .. f'O:~D oi-
l•bre, dam b p>èoe l"::a cr.èbte <I!CO" •
)lttd - et noa.a ratons, n'ed n paa' .au. comme (\" r
csdff<1ll),
A. Boglucrt .\"l•bl,
Cc.mm coçhons. Parfa11J'.ment. \'Ï•us porc rp1q.w !
A propos du monument du Havre
~üm cher c P°"-'1- p,.. ! •,
Trb .. ustt.s, \'OI reilex: m •n dAi l &reh1i.c.'duro du .IIlO.
1u;et.
nument du H:n-n, dont un au aen prtsutut '°''
l• bOClew 0tn
lrLO d IU'di i«°tUTO da3JL di:rnan.-J.OeDl ; • c•at. U.n gracd
malheur que: 1 on :Ul mil de b. IC'Ulptur• au d. .u.' •
~lai• 11 ) a là upendruit ~utre <hooe qu'uu t..•u .oocle. Il 1
i.1. iurtc..ut. uue n.QÜ8aÜ<tD d'enbemblo <tll l'on ~nL de f 1çon Hl
auLit.abio la m.un d6 1 archlt.ec:to è'L qui f&J\. q,ua eo mouurncDt
t." t. • monumrntal •, m u"'ri- J.es d:métl.Slon1 gir1cnlea CC'6tr1'mtu
et m: ,t,!'l• 11 acnlpt~re.
Il n°l"'lt pas d\!placé, à. c~ propoe, de t0uhgncr tc111Jb1rn l'ov
po1t th'I l"a.r1nl«te ta1. t;l·uêraltmrnt. IODJ·Qlllmt.l <hl l llQ\U a.Il
cet.tu mat ''rti
t a bout. de- 1cnlptu.re, grand œmJlle la maii:zt 10 trouu t 'il
u co-pore diln un mémonal gr.n.id c rume un..- mawn t.o 1~ Ill
111ondo P"T:<;f:' da 1culpt.r.Jr (101l1t commo • .iaQt~ut d• 1'œa
vre •• l"uditte te (compQl'l.il~u.r et chtf d'otche3lft'I à )a rou
en à Jl me dé
J" u.is1 al ec Ht un peu comme ce~ au LbiJt :\Lu.a ~
n r u 0 r3Îion.
C.tl.o •D pn:h Il.>Ulll, qui f i I• ri.;k, 1 c l"'l ccrt.. •ocua
~ à n lrn arcll:t ctare <n gentral
LA ll11 p<)lh: d~ d~ c r arqu 1 l'u'. ,. ..D <cl""'
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\ mo-D cher • Poarquoi Pas' • , mtt 1a.t:rl.a

X , an a h • •e de ' lectf'u.n

Choses de littérature

:1. 1uo le roni:inc1(" gl.ata \Àm

'}UI v c:nt. .lo mourir ' t'lli d.a.nJ lt!I J'1iut. ila 1'c:nll f'
i potJ m•, \ ut l'éu~~1on J 1 \r;lL • c pal mo d'un r•
t Blo"k écn' • ra.tiao > ') 1u: to ftoov1 Oongo Ct'l\~ 6\ t.
ne \•Qrait pM avo1r 4ite llUUC lw UllO IQU!\:e tf'b r6'-ondo d
t' rut.aon..
JI•~ t ' t~ >nt (nais 11 y ~à ..i.. 1- de rh>.nta
r uver d11n1 los archf, Cl da l E l 0 •• d
Wne do 1~c.3mt r Conr:id , •
..\~rée<, ~ A. 1. M.
 P o urq•..:ci Po.o? 831

~on
Pourquoi ?
chtr • Po"OrquoI J'.u! •,
Petite correspondance
ruiaqut, flt.r un beuttor vr1"'1lt·;;~. lt Qui d~ Droit •• muo Le ludu wwn11nu. - 1 \1 1 1·•1r 1 h 11r1.: t! 811
pour vou1 f'O un corre1pondu1t 1:.uurto11, cc•mpleiil:int d a.pir1 gmll••' el li <urnj1li'mcnt der• 11.. 1lu 111;1jur; t' 1ous H'<lcs
t.ud - h·mG n J.1 cc:·rr~poniJ•nc» t< h.uisf~ dil.J'\JI vos colQU.Dfll p:is fo ~:J.uot••; '"'l#!- êt~.s le p·cm.~1: m l.re pion St Ha
.,.o.- !\I 1'khtvln ~~... - toa1ea ,·ou.s me pritu velte C-f)n· timt <111c l'm.J11 at1I est du ic parlo11< 01 lhodou • •ln
....,
('(11.o.n 1-'~' obtt,'llr la aol\lticia d'une pttitt1 'nigme •dmmutra

t·.à .. ! rf' IOU', J'&Î troové clal1J lllA bo1tt ltJI. fe"fU 1111 &US
lauque.
G. Il. - Oui, llon·i~ur, le n ol « cun • .., P e~t lr~nç;us
tout ou mo ~s 6 ::ipa. On appel!~ <Urll!h.-.,,. A Spa 1 • g ns
rs Ubt-1JIÏ:
qui font la rn~; 'l''awl lctJi cure l'>I INmmci, 01 ,es
c Un ûll~r•mme, pn!aenio a ••1111 dom1dlo, i. 16 8 à ô!'f'1!IJO CUI ,3,
7 h f5, \.<tt tu d~pOt- au, bur.-..:m ind1quli par l& tim,1rt ci di-1·
U• tt J>Oll\. y ét ro reitîri.~ C(lnt r• le pr.;arnl 3\'Ïs. .lur1ur 1(1 « prtHllCf ''"'111ir •· - ll··i~ l'ulil1,I. 11 '"
t1111f 1lof"' ri ~:ue.
» t:~t "'" 1-.t à C'(.1l11d~r&:t ot.imrJ1e nu! f t. non annu H unc-
p1e du 1t ll;:ramme V?Us par-,, knt. t>Dtrttl"m~ ri0r l.i 1~tc- ~ li. S•• t.nu•llc<. - I' Ab llo; •, le n <li hl !
l'ouniw.n k pol1.el>r ne m • t i i - bwé l• !Ail#gramme pl• Grammo11.i 11dl1uc cettQnt.. cl ne no , r ru:' t li:I
quo e<-t 11vu' ~.am douW, rno 11n1 ~ d.t, pattf' que la prf de le.s MroartJJ:<'J'; ~· nous n \O\v p s 11'1 \ 111 ni
ai .. nnt1>10 .\dmmaira1.on dbire ••bi.,rur déd>•rp. t:i ~ li cet le • 1 • c mor..,JI,., ~ : ce n t p ' du IJocc.1 t, r 1
"iJ,..P'UlJ<' n'ay•llt plo. d"111t.4rH po11r moi', k.ID t'lp4ti.ttur 11 ne faut pas q1 dom rdrr :\ I~ l•lum c u nll' et
1
'a.)a.tit. rt.Joiut, jo. r.e m~ 1u111 pu dc)r:n6 la peioo d llllf'r ln rcpor1tr&-<1111nil111<.
ufur ftU Lurc.-au C:f'ntral Znt'm " · - I' lli>wi1c hop kilc )'our ~Ire conltc
L., 1..u,f"'m41n, le fadeur- l'a.. sll•14- d"'nt rno. Le.Uc a.uc l(_U1e•, !!• \olrt• hhr... irc \Ou.., :<:llS"IA°rt 1.1 ur h:: U~ui. tr'1 pout ·
ra tue rltimAn•f,.r le moindre "((~"'" de rkeptîon
11 no!l3 liuJrait ... -~ colonne vour \OU• n'pondre
Alon, f• no <<U»prrn~• plu1 Srrgtnt S., f1rlcmant. - ln l u l li? i:orps dt .~nk,
Puarqu 1 i. porl<'Qr de 1.i4...-.mmra ne pourr> t Il '"'" d'tm· cette histoire-là .
• <• que le f><Uur d,. po1t• fall quelq... i......., 1 hu Tata. - l 'am<>IU' 111e~rt p'us g()U\ ni d'mdigr !J n Il"''
...i•
<Ir [Jim : 'I'~ cda \OU• 01 1 • ,
J$ \'011.1 Hra.ÏJ oblh!~ 1 men chttr 1 roa quoi Pli ' • <ff" \ 11• 1:. /•., \rhu1. - .'\ou~ 11 1or,1ns l'as c.1 k•1..' la drôlt'f'I('
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,\t1l:u1: &li mtJmf'11t. ou ooUJ 11ouii llp(1rocb1otu: du cba:ur, un
pluie. srl·lt, ê1 l.1ir1' Cl !nul Ir tnnnr1 r d lllr11.
11-0.ftr.n. i 'tst u11e dan~ 11ui n'ft<t r6mpn• que dt
b6 M 1•1tC1p1tA 'l'rt noiu et, ute fort:e gt$ttt, bous mvu.a à
01JJ r du u. t.uaire, 1om prt:oco.1te que Je c.oru.;~ d!ll' IDOZl pa• d~ clerc
oo 41.111\ trop échancre "' quo ,.. =cd.ra éulont tn.p \11Mr. - 11 y a lon<:trm)'• 1p1e 1, problcme de la qui•
rtQ :\ tn qu"on no ttlrbn1t, ~ « muroc-ot là, a·1eun lé'f draturc du cercle est r~•o'u; nn le dén•onlr, 11 nt la
rel1g1oa1:. Tt.nrf11 qu~ notr" ctc..·rone "' r~parub.1t. t-n mat~. prahrp1e. t·11 t'llU\T:tnl d'u11 r "«iU pok"'e l.l lf!lc rd1ttt·
oru Colllrfl 1 im51ortun r1ui l'6'Jnpkhn1t do t.t•Kllf'f 1 \ nr. d'un llrn hr.
!I O!Jlll rt11hArnf'a en Lon M1J11• ,. Ua. Ou a Jl<U ~01ll1• &un n 1.il"'"' au\ leu~ Ol)lll
A lit, 1.orta. 110t reg.uJs :1':nuitf.rtrll 1ur un (-crittau .,, lan fÜJUt·~. Assui1:rrll'11I. 11 a t1:oli1é uo ti,111 Je forro, 1111118 il
1lllht>11nt, tl\~lrnd.uit la robe dcimlh:tk •ox rrraton (IU!I a fait, 11011 moin• :i:..urcmenl un lour d loi">! .
ap . ~...t du ~rrm,nl! :iplrulalt•r •in la d nomm , d n l (' ' : ( a1 rt
P 1J • trr qur, 4tal'1\1Cf JOUfJI ao~,·ant, m~ funmr J• Hic rdlt du atrionnairct
if' m me COJtame •'·;11t tli à uno mt:S...~ J\t.e rar an lzplo11I. - ùui, il , r lamt des p11'lrJJ>c d S'l
~l NJ.1.1 qut' c{'h1i f"J, ru son eotouuge, ac fl1SH'11t for•
&T pow· t<nl.
T1pn.T1/1, - \ raison de 1rn1nl11ssc111 nt 1\,; lauleutl'
de I~ &1111111.iit• par 1lo•> <ora101H'S 11' \n~lai> «! 1l'.\11~lo11s s,
Un •ml.
la dircr!lon du lhl·àlrt' a di-eid~ 11.• r·d·J«r rcnlr~e Il lüllld
r. • roril111al ÏIJla•n 11'ig1101 a.t ossur~mcnt pa~ Cl on mi~s inJ.'.ctHlt•,
p ul 11ue l'en ltlicit~r - Io (11'0\'erli;> rra11ça15: Comme /J1b/1op/11lt. Celle lellre manu.ente a oLl nu le phi•
onn r Il .. 1
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haul pr11 (:!60 lrtnc>) à la derni<re -enle d • .;.l011fJ('h s
rlle lman• de M. le ,-he\lh r de \'n~re, c rnporte ~ l i
Coqu.illea po1U.lea page' tl 1Jtm1._. , r ''' cont1t111 aoru11~ [au•.e d'orthogrQp/.a,
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ma poche
U: 1411lmc do Ir 0 iS, qwttll!!J l de\ OU' cirt.lte Ir !I ';5

Mtt med~~IJ rs • n\,j nKnl.I.

tirand Hôtel des Ardennes
832 Pourquoi Fas ?

• En rer1lranl, le soir, j'ai

dr - 1molc.nu., ni. c•U
tl Je m•• cvtahe . <n tou!6C>I nt un I"'" ! l.1r, â c r
gum~ .. ~\èt(I', fat ottr~pt! un lhurt1<.". un \rtH rhumr de
r1 I~ d'~au ..
1

Q'lantl J p<"D'~ q~'•I ~ a cl.'.· ~ ns qui 1 nt d < ceo,

t.ilne.; 1h· l\ilomt~trcs l•1.1ur :in. r boue un \NU! U\·au d
faire une lrrmpe:te 11uot1dt t ,,.. ! I.A.!! fou~. 1~~ J1101Ji-.:u :s
• .\foi. 1 1. à h•lks. fa1 tout ccl à cl. 11 ulr. Et 1'
t n<'1Jr,· J.,1 ,:: ile dt 1:. ru , a\~ ;;;, ~ ru1 ~:t11\ ri~tro~ r
\lf'fC""' ou lorr~n f~. ou ! ..; ~11fant' [()Ill \ O!l'U('I' 114& JWhli
!Jal dU\ !
1 oJÏlj la \fair. la <e 1
• hm11111• 111. -•~hm
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~l cu.11 h· Vl'Ut 111• l'IH'hœ {IOUIS foti.ltt llû \Jfai:è; i:tt,, ftUIÎ I
,. "' a.t~JJt pour lui lk" rtt b Ali\lD
t 1111t U"' int"' 1111011. l'ai'°"' 'l'a al"' n'~ ~r<Jflf pa$
.1111\t"

? ??
PIANOS ALB. HUYGHE
EXl'llSE:i \ J.3, 1 • n•t des .lrt ,
8rurill1s
? ??
[),, ·'"'",. /'111/tJmr111, 111·.., r11·t•"' 1!1· Gt11'40111t:
Elle tarri\:"lo à i.. \ ( k·Ule v• Utc, Jlft311t à ~Înt'I 1~ li-Old.,
·l'un .-:1h.nl qui nsit
EIJ,, de...unu von u11 C?id1•Ht• l.;tle t:"n ut un 'lU1 "n.ut
ile mnunr
???
lh· c hudt·~ " ''lliU\t>I dau~ Jfr/Jfou1;, .l11w11r d Cw:
Ç~ n'Mait pa..• rDent11koli. O~I., l.:t \r:UE' mC'n·f'ilJe, t t"!.:!id,
dle m'-"m'-', ,;n:,..ç ~ .. cht\ rux à Jilt1Dcl\ ma n-! 1l'un non rl1.uui
r t. rouJ(• ·•tre, ft'Jll ('OU ft•r rno t"t ~olldl•, &a ~upN ht' pri1tttnt'. f'.t'fli
11 ...nl'.hl!'s fortf"S et !B pr("at:in('<-- avrc l.111uC'l,e )11:0, l'ana Ut dont
L-i ttnommri- a tr.a'"~ lf'li li'ttln, J1:11l dtrJhl' un ptud.int ~
Du Jla11n (d'\11\er-), ~I aotil l!t~I, ,\ l'fl>J>('<i .~ la ruorl
P-un 1r111n11rh ~'" ,1 .. t 1f
' 1111'- t 111Cll ;
P,uJ.111• uu ril \11u . . .1\ -L lu· u lu
< 'ot le gén~rul ~.aulx.orzee qu~ e~i rnpo1111.ah! .... lit.. nH•unl"""
e l*inf1.nm~re anghu.i.: hH"n quto utt~ dnmtro t Jt ~' JU~tt
l c nd.lmn\'e illo mort 111 mèmn ltrnpt1 qu utt ~r.zt.im 111 1 111~1r1~
"1uHlt! h111Hmt.. , 1.., J:ém~t·•I décid;• t1u't•ll1 f1·ra1t acult"" t'\t utet·
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~ <! CD hocttut ro.11 d1lre f ".' sou.~pk'urs & Utre réduct,l.de, u~ !eotinl
r '• .i.' !.::man<J<, et AG prorata des tl~ ane.xna .iq,o.
Ut,• aa l""i103 i .-c1.-...Nâ u• .,,, du J.ogu C.eiui.a doAD&.&1 CODl.llk
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Le monlant de 308 francs par artioo sou~ntt
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l Jldlu CCtlt ~flÛICU d M llNIR~rc IMMI ~14tt de f&U«a.UcM
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L t.\.Ulude dca lrau('4 tru&\<11~ 11~ \'Il• • t autl•1W1urn,.111. co 1 BHL \E.lJ L.s \ la tle. P ro11nt111111"tl$, et ch~ "'"
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e hl•,\'(ihl1or1c d.tna la gut\irt! m\111J1.~lt 0~1'61" (• la 8 anque de Commt>rce; au Cni<hl Gfotlrru de llrl
U111ur; au ComJljolr du Cèn~; rhei ~m. G1hlOn 1'1>111)>~ & t'ir :
Cet n.rt.u;.l1, qud J<" u·Aa flil.d trhdu1t • an •:);INiao •,a f141t uru- \ .IN\ tms 1 la llnnqu• de Co mmerce;
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