Abdou
ELEMENTS DE CONSTRUCTION :
On examine, dans cet ouvrage, les méthodes usuelles de calcul applicables aux ossatures et
éléments couvrants des structures en béton armé qui font l’objet de notre document.
De telles structures sont, en général, constituées par des planchers (dalles et poutres), des
cages d’escaliers, des poteaux et des ouvrages de fondations. Le document explicite le calcule
de tels éléments en étendant les méthodes présentées aux structures les plus couramment
rencontrées en pratique.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
RAPPELS
1. Définitions
1.1 Actions
Les actions sont les forces et couples dus aux charges appliquées (charges permanentes,
charges d’exploitations, charges climatiques, etc…) et aux déformations imposées (variation
de température, tassement d’appuis, etc…).
On distingue : G = actions permanentes
Q = actions variables
FA = actions accidentelles
L’intensité des actions est, en général, définie par leur valeur nominale, fixée par les
normes en vigueur ou par le cahier des charges.
1.2 Sollicitations
Les sollicitations sont les efforts (effort normal, efforts tranchants) et les moments
(moments de flexion, moment de torsion) appliqués à une section et provoqués par les actions.
Les actions doivent être combinées de façon à produire les sollicitations les plus
défavorables dans l’élément considéré. Le règlement impose que ces sollicitations de calcul
soient à partir des actions appliquées à la structure affectées de coefficients particuliers, selon
le type de l’action et selon le type de justificatif que l’on effectue : cela conduit à ce que l’on
nomme les combinaisons d’action.
La combinaison d’action à considérer, pour déterminer les sollicitations lors des situations
durables ou transitoires (par opposition aux situations accidentelles), est appelée combinaison
Fondamentale :
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1.35 Pour la température, les bâtiments agricoles à faible densité d’occupation humaine
les charges routières étroitement bornées ou de caractère particulier.
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Chapitre I
PLANCHERS
I. Généralités.
1.1 Définition.
Le plancher est un élément horizontal ou incliné qui délimite sur la vertical l’espace
d’un bâtiment. Les planchers classique sont constitués par une dalle générale constante liée à
des poutres secondaires et à des poutres principales, elles mêmes liées aux éléments support
(poteaux, refends).
Nous examinons dans ce chapitre que les planchers d’habitation ou d’usine les plus utilisés
en Algérie, soit les planchers nervurés, les dalles pleines et les planchers à corps creux, tout
en définissant les autres cas de planchers.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Pp
Pi Pi
ly
Pp Ps Ps Pp
lx
Pi Pp Pi
La méthode de calcul des dalles sera exposée dans la seconde partie de ce chapitre. Les
méthodes de calcul des poutres et des poutrelles, méthode forfaitaire, méthode de Caquot,
seront exposées dans le chapitre II concernant le calcul des poutres.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Les planchers champignons et les planchers dalles sont des planchers qui ne comportent
aucune poutre, et sont constitués par des dalles en béton armé d’épaisseur constante plus ou
moins épaisses selon les portées et les surcharges. Ces dalles sont supportées directement par
des piliers, sauf éventuellement sur leurs rives, le long desquelles peuvent exister des murs
porteurs ou des poutres en saillie au dessous des dalles.
Les dalles peuvent éventuellement être prolongées en porte à faux au-delà des piliers de rive.
Les piliers peuvent être ou non pourvu, à chaque étage, de têtes épanouies, en forme générales
de troncs de cônes ou de pyramides renversés, appelés, chapiteaux. Lorsque les chapiteaux
existent, les planchers sont dits, planchers champignons ; dans le cas contraire, on a des
planchers dalles. Si les dalles ne sont pas prolongées en porte à faux au – delà des piliers de
rive, les épanouissements de têtes des piliers de rive et des piliers d’angle n’existent que dans
les zones voisines de ces têtes et intérieures au bâtiment.
Les méthodes de calcul de ce type de planchers est exposée dans l’annexe E4 des règles
B.A.E.L. 91.
II. Dalles
A. Dalle pleine.
1. Définition.
La dalle est élément généralement horizontal qui a une épaisseur relativement faible par
rapport à dimensions en longueur et en largeur.
On désigne par lx la plus petite dimension de la dalle, et ly la plus grande dimension. On aura
donc lx ≤ ly ; dans l’étude des dalles, on considère une tranche de 1 m de largeur (bo = 1 m) et
de portée l (portée de la dalle entre les 2 côtés sur les quelles elle est appuyée) donc on a une
poutre de section rectangulaire h.bo (h étant l’épaisseur totale de la dalle). Par conséquent les
étapes de calcul pour les dalles sont les mêmes que pour les poutres, se référer au chapitre II.
lx
ly
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Soit une dalle pleine rectangulaire ABCD appuyée sur ses quatre cotés et de dimensions
lx et ly ; avec lx ≤ ly.
A B
Flèche
lx
C D
ly
La dalle fléchit dans chacune des portées lx et ly et la flèche, en tout point, reste
évidemment égale dans les deux sens ; les moments fléchissant agiront dans chacune des
portées lx et ly et seront, pour chacune des portées, maximaux au milieu. Mais contrairement
à ce que l’on pourrait penser à priori (par analogie avec les poutres sur deux appuis), c’est
dans le sens lx de la petite portée que se manifestera le moment maximal ; en effet, il est
évident que la flexion sur la plus grande portée est d’avantage "soulagée" par l’appui
longitudinal sur les côtés adjacents (relativement rapprochés) que la flexion dans le sens de la
petite portée ; le"soulagement" du moment fléchissant dans la petite portée devient d’ailleurs
presque négligeable si le rapport lx / ly < 0.4 . Pour le calcul des dalles, on distingue 2 cas.
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E.L.U
q = 1.35G + 1.5QB
Mx
lx E.L.S
My
q=G+Q
ly
On détermine les moments Mx suivant lx et My suivant ly, supposant que la dalle repose
librement sur son contour.
En pratique, deux méthodes peuvent être utilisés :
Utilisation des dispositions indiquées à l’annexe E3 des règles B.A.E.L.91
Utilisation des abaques de PIGE AUD, ou abaques équivalents.
Pour une dalle de dimensions lx et ly (lx ≤ ly) reposant librement sur son contour et
soumise à une charge uniformément répartie couvrant tout le panneau, les moments au centre
de la dalle, pour une bande de largeur l’unité, sont :
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Ces abaques permettent de déterminer les moments max. suivant lx et ly pour les plaques
soumises aux charges suivantes :
Charge uniformément répartie sur toute la surface de la dalle.
Charge uniformément répartie sur un rectangle concentrique à la dalle.
Les moments au centre de la dalle, pour une bande de largeur, ont pour valeur :
Sens lx : MX = (M1 + ν M2) P
Sens ly : MY = (ν M1 = M2) P
ly
Les abaques relatifs à une charge uniformément répartie sur un rectangle concentrique à la
dalle permettent d’étudier le cas des charges concentriques. On admet q’une charge appliquée
à la surface de la dalle suivant un rectangle de dimensions a0 et b0 , agit dans un plan du
feuillet moyen de la dalle suivant un rectangle de dimensions a et b , et distant de ce dernier
de la demi épaisseur de la dalle.
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a0
hr
h0/2
45° 45° h0
h0/2
a = a0 + h0 a = a0 + h0 + ζ hr
hr = 0 → { hr ≠ 0 {
b = b0 + h0 b = b0 + h0 + ζ hr
On se sert des mêmes tableaux en suivant les indications données par Résal, pour ramener
ce cas de charge à celui de rectangles chargés concentriques à la plaque, voir figure ci-
dessous, donc on se ramène au cas 3.2.2 par addition et /ou soustraction des moments
correspondant à des rectangles centrés supportant tous la même charge unitaire q.
1 2 2 1 1 1 2 2
3 3
4
3 4 4 3
3 4 4 3 = 1/4 - - 3 3 + 4
4
1 2 2 1 1 1 2 2
111 1
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M1 - M2 - M3 + M4
M1234 =
4
Dans les dalles portant sur les 4 cotés, l’effort tranchant par unité de longueur est donné par :
a≥b ; a≤b
P P
Au milieu de a : Vb = ; Vb =
2a + b 3b
P P
Au milieu de b : Va = ; Va =
3a 2b + a
Dans les formules ci – dessus, si q est la charge uniformément répartie par unité de surface
(N / m2), on aura :
Pour la charge couvrant toute la surface de la dalle : P = q.lx.ly
Pour la charge couvrant un rectangle a.b concentrique à la dalle P = q.a.b
Sur le pourtour de la dalle, l’effort tranchant est égal à la somme de l’effort tranchant dû à la
charge répartie sur toute la dalle ; et de l’effort tranchant dû à la charge répartie sur le
rectangle a.b
ly
Vy Vb a lx
Va
Vx
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Lorsque la dalle est continue, ou lorsqu’elle est liée à des appuis permettant de les
considérer partiellement encastrés, on réduit les valeurs obtenues pour les moments en travée
et on calcule les moments sur appuis.
Panneau considéré continu au-delà de ses appuis :
Mw + Me
Mt + ≥ 1.25 Mx
2
Mt : moment en travée.
Mw (ou Me) : valeur absolue pour le moment de gauche (de droite).
Mx : moment max., calculé dans l’hypothèse où la dalle est simplement appuyée.
Sur les petits côtés, les moments d’encastrement sont pris sensiblement égaux à ceux adoptés
pour les grands côtés.
Si la dalle de faible épaisseur est soumise à une charge importante concentré sur une surface,
la charge risque de traverser la dalle, ce phénomène est appelé Poinçonnement.
Le poinçonnement a pour effet d’engendrer une fissuration suivant des plans à 45° à partir des
côtés du rectangle d’application de la charge.
Des armatures de poinçonnement ne sont pas nécessaires si :
Pu ≤ 0.045 uc h0 fc28 / γb
Pu : charge de calcul à l’E.L.U
uc : périmètre du rectangle d’impacte : uc = 2(a + b)
h0 : épaisseur totale de la dalle.
Sinon, prévoir des armatures d’effort tranchant jusqu’au contour u parallèle à uc (u > uc) tel
que :
Pu ≤ 0.045 u h0 fc28 / γb
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Mais, en général, il est peu commode et coûteux de disposer des armatures d’efforts
tranchants dans une dalle de faible épaisseur, il convient plutôt d’augmenter h0, tel que :
Pu
h0 ≥
0.045 uc fc28 / γb
Les armatures sont déterminées à partir des moments calculés. Les différents panneaux
calculés isolement en supposant qu’il sont soumis à q = 1.35. G + 1.5. QB appliquée sur toute
la surface du panneau. Sur un appui commun à 2 panneaux, le moment à retenir est le plus
grand en valeur absolue. Pour chacune des directions il faut considérer, en travée et aux
appuis, la hauteur utile qui est propre.
Øx + ØY
dy = dx -
2
dx øy dy øx
// à ly // à lx
øx
dx øy
dy
// à ly // à lx
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Le taux des armatures dans chaque direction est égal au rapport de la section à la section
totale du béton (perpendiculaire à cette direction), pour les dalles dont l’épaisseur est
comprise entre 0.12 et 0.3 m ; le taux doit être au moins égal à :
L’espacement max, Stmax entre 2 barres // voisines d’une même nappe (entravée et sur appui)
ne doit pas dépasser les valeurs données par le tableau suivant.
En général les barres sont arrêtées comme pour les armatures longitudinales des poutres par
une épure d’arrêt de barres.
On peut aussi utiliser la méthode forfaitaire suivante :
٭Les aciers inférieurs seront prolongés jusqu’aux appuis à raison d’une barre sur deux.
٭Les armatures qui traversent le pourtour des dalles seront ancrées totalement au-delà du
contour.
٭Les autres barres seront interrompues à une distance lx / 10 du contour, ceci dans les sens de
lx et ly.
٭Les aciers de chapeau auront pour longueur, vers l’intérieur des dalles, à partir des contours
alternativement l1 ou l2.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
ly ls
lx/10
ls ls
lx/10 lx/10 lx
lx/10
ls
Nappes inférieures
ly
ls l2
ls l1 lx
l1
l2
ls ls
Si ces conditions ne sont pas respectés, les armatures d’effort tranchant sont calculées comme
pour une poutre ou bien augmenter l’épaisseur de la dalle.
5. Transmission de charges.
La transmission de charges pour les dalles pleines se répartis sur les différents points d’appuis
qui entour la dalle considère.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
A ly D
45
45° 45°
lx
45° 45°
B C
lx/2 lx/2
On admet généralement cette représentation pour la transmission de charges sur les poutres
encadrant une dalle portant sur les quatre côtés. Pour le calcul pratique, les charges
triangulaires et trapézoïdales sont remplacées par des charges uniformes équivalentes par
unité de longueur.
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∑ l2xi lx
qM = qV = q ——— ; si toutes les travées sont égales → q M = qV = q —
4∑ lxi 4
h0
hc
b0
ln
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Corps creux : 16 cm
2 51 2
lc
1. Méthode de calcul.
Les planchers à corps creux seront toujours supposés être des planchers à surcharges
modérée. Le principe de calcul reste le même que celui des planchers à poutre apparentes, car
les corps creux n’interviennent pas dans la résistance de l’ouvrage.
Les conditions de non vérification de flèche pour les nervures des planchers à corps creux
sont :
A 3.6
—— ≤ —— (1) fe : limite d’élasticité des aciers tendus (MPa), b0 : largeur de la nervure.
b0. d fe
h 1
—— ≥ —— (2) lx : longueur de la nervure (portée libre), h : hauteur totale de la nervure
lx 22.5 (h = h0 + hc)
h 1 Mt
—— ≥ —— . —— (3) Mt: moment maximal en travée, Mx: moment isostatique.
lx 15 Mx
Ces trois conditions doivent être remplies pour ne pas calculer la flèche.
Le hourdis doit avoir une épaisseur minimale de 4 cm et doit être armé d’un quadrillage de
barres dont les dimensions des mailles ne doivent pas dépasser :
20 cm (5 p.m) pour les armatures perpendiculaires aux nervures.
33 cm (3 p.m) pour les armatures parallèles aux nervures.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Les sections des armatures doivent normalement satisfaire aux conditions suivantes :
٭Lorsque l’écartement ln entre axes des nervures est inférieur ou égal à 50 cm, la section A
des armatures doit âtre égale à :
200
ln ≤ 50 cm A ≥ ——
fe
٭Lorsque l’écartement ln entre axes des nervures est compris entre 50 cm, et 80 cm, la
section A des armatures doit être égale à :
4 . ln
50cm < ln ≤ 80 cm A ≥ ——
fe
Avec: fe : limite d’élasticité de l’acier utilise (MPa ou N / mm2)
ln : écartement entre axes des nervures (cm)
A : section des armatures perpendiculaires aux nervures (cm2 / ml)
Les armatures parallèles aux nervures, autres que les armatures supérieures des nervures,
doivent avoir une section, par mètre linéaire, au mois égale à la moitié de celle des armatures
perpendiculaires (A/2).
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
1. Définition.
On désigne par ―pré dalles‖ des dalles préfabriquées, destinées à former la partie
inférieure armée d’une dalle pleine, la dalle ainsi constituée présentant, en phase finale, un
fonctionnement monolithique. Les prescriptions ci-après concernant les planchers dont la
partie supérieure bétonnée en place est d’une épaisseur au moins égale à celle des pré dalles.
2. Epaisseur minimale.
L’épaisseur minimale d’une pré dalle résulte des conditions d’enrobage et des tolérances
de positionnement des armatures. Les conditions d’enrobage des armatures ―treillis soudés‖
conduisent en pratique à une épaisseur variant de 5 à 7 cm, sauf pour les pré dalles de petites
dimensions pour les quelles une épaisseur de 4 cm peut être envisagée.
La hauteur utile intervenant dans les justifications en phase provisoire compte tenu de la
présence éventuelle de stries ou de rainures à la surface des pré dalles, lesquels améliorent
l’adhérence avec le béton coulé sur place.
3. Justifications.
Les règles générales relatives aux dalles sur appuis continus, paragraphe II.3.4,
s’appliquent compte tenu des aménagements indiqués ci-après.
Les pré dalles doivent être justifiées en phase de manutention, de stockage et de mise en
place, compte tenu des dispositifs d’appui et de levage prévu dans ces opérations.
Les pré dalles doivent être justifiées en phase d’exécution du plancher du fait de leur rôle de
coffrages et compte tenu de leur dispositif d’étaiement.
La dalle constituée par la pré dalle et le béton coulé sur place est ensuite justifiée comme
une dalle monolithique. Cette justification peut ^être faite sans tenir compte des phases
provisoires sous réserve que les pré dalles reposent en phase d’exécution du plancher sur des
étais intermédiaires distants au plus de vingt-cinq fois l’épaisseur des pré dalles.
Lorsqu’un panneau de la dalle a son coffrage constitué par plusieurs pré dalle, les
sections au droit des joints intermédiaires de pré dalles peuvent être considérées soit comme
rétablissant la continuité, soit comme des articulations, suivant les dispositions de ferraillage
adoptées dans le béton coulé en place au droit de ces joints.
Le cas des charges concentrées importantes doit plus particulièrement être examiné.
Les règles de pourcentage minimal (rapporté à l’épaisseur totale de la dalle) s’appliquent
entre autre aux armatures disposées au droit des joints intermédiaires de pré dalles, lorsqu’un
panneau comporte plusieurs pré dalles, ainsi qu’aux armatures de ces dernières.
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Cours de béton. « Elément de Construction » K. Abdou
Les règles d’ancrage des aciers inférieurs sur appuis s’appliquent aux aciers des pré dalles,
ce qui conduit dans la plupart des cas à faire dépasser les armatures de ces pré dalles, pour
constituer des armatures en attente.
5. Poinçonnement.
6. Ferraillage complémentaire.
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