La scolarisation est considérée ici comme un fait institutionnel, et l'institution scolaire
comme une organisation dont l'impératif premier de fonctionnement est le traitement des flux d'élèves dans des réseaux d'établissements. Selon mon points de vue quelques axes doivent être analysées sur ce : Premièrement, les relations de l'institution scolaire avec la population qu'elle traite, qui peuvent être saisies au moyen de la notion d'offre de places par les établissements scolaires. Pour les établissements privés, le nombre des élèves est presque limité afin de surveiller. Dans les établissements privés le nombre d'étudiants est presque limité afin de pouvoir surveiller et . Lorsqu'il y a peu d'étudiants, il est plus facile de les suivre au mieux de leurs capacités. Souvent, chaque fois que les résultats officiels sont publiés, les résultats sont bons parce que les étudiants sont étroitement surveillés et pour améliorer leurs résultats aux examens. Cependant, dans les écoles publiques, il y a tellement d'élèves qui rendent difficile de les surveiller. Dans le même temps, le manque de matériel didactique nuit aux résultats des examens, cependant, certains enseignants font de leur mieux pour améliorer la qualité de l'enseignement.. Cette notion permet d'étudier la logique de la concurrence entre établissements et ses conséquences à long terme notamment la différenciation des études offertes dans les établissements. Deuxièmement, les relations de l'institution scolaire avec le domaine politique. La notion centrale est ici celle de forme de scolarisation, qui permet de clarifier et de ramener à un petit nombre de cas les débats relatifs aux créations et aux transformations institutionnelles. Mieux former les enseignants et leur encadrement, rénover l’enseignement des sciences et renforcer les capacités de gestion du ministère sont les trois grands objectifs du projet d'amélioration de la qualité de l'éducation à Madagascar. Madagascar a connu, au cours de la première décennie 2000, une amélioration de son système éducatif : l’effectif des enfants scolarisés est passé de 2 à 4,3 millions, le nombre d’établissements a progressé de 25 % et le taux d’achèvement dans le primaire a gagné 7 points pour atteindre 60 %. La situation a malheureusement souffert de la crise institutionnelle de 2009. Aujourd'hui, 80 % des enseignants dans le primaire sont recrutés et payés par les parents d’élèves. Les charges parentales sont lourdes et représentent l’une des causes du taux élevé des abandons scolaires. En milieu rural, ce constat est amplifié du fait du recrutement massif d’enseignants communautaires sans formation pour combler les postes vacants (estimés à 75 000 en 2014). Le manque d'enseignants bien formés et de matériel pédagogique rend difficile la mission de fournir un enseignement de qualité à des élèves réunis au sein de classes Et enfin, la différenciation interne de l'institution scolaire. L'article dégage des dynamismes d'évolution internes à l'institution, qui composent leurs effets avec les décisions politiques ou administratives pour déterminer ce qui est conventionnellement défini comme la politique scolaire. En bref de conclusion les institutions scolaires et la scolarisation dépendent beaucoup mieux à aux nombres des effectifs des enfants dans une école et puis l’expérience des enseignant ainsi que le politique étatique pour le système éducatif. Pour que les institutions scolaires et la scolarisation doivent aussi de branche plus ou moins fort pour améliorer le résultat scolaire.