Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Philosophie : Question du cours (qu’es que ce l’homme) Pas pions négatifs, pas
questions simples (regarder plus près) questions ouvertes après de le qcm (explique
historiquement)
Chapitre 1
I. L’homme en quête de la sagesse sabiduria
1. Des mythos au logos
Apparition de la philosophie Grèce au VI siècle de notre ère (avant la
philosophie, existe les mythes, plus exactement des cosmogonies
(cosmos : monde, genèses : origine) que racontent la formation du
monde (le monde crée par les dieux (théogonies (Téos : dieux))
Premiers penseurs : Thales, Anaximène, Anaximandre, Hérédité, ils sont
formes dans les mathématiques et les sciences. Leurs formations
scientifiques leurs permet de se libère des cosmogonies mythiques pour
passe à développer des cosmogonies rationnelles.
Les philosophes son engages à ne seulement raconter la formation mais
sinon l’explique L’explication de la formation du monde c’est faire
par des éléments naturels (éléments originaux)
Ils sont qualifiés aussi comment physiologues pour explique la
formation du monde en appuyant par la nature (les éléments originaux)
pas en s’appuyé sur personnages surnaturels (dieux)
Logos officiellement la traduction c’est : Raison mais plus précise c’est :
discours rational grâce à cette discours prise avec réalité l’homme
devient plus autonome (en sens politique, cette autonomie s’incarne
dans le développent de la démocratie (demos : force + cratons : pueblo)
les citoyens décident
Pour logos outre signification c’est aussi parole car, il devient essential
(la parole) parce qu’il faut débâtir publiquement pour convaincre et
impose ses arguments, afin de que les gens se dégage en faveur d’une
loi ou d’une outre
La loi est rationnelle et culturelle pressamment conventionnel entre les
hommes
Les premières philosophes développent un discours à partir de la nature
-> PHYSIOLOGUES Nouvelle genre de philosophes : Dans le contexte de
démocratie apparaissent des philosophies qui sont appelles Les
sophistes les plus célèbres :
Protagoras
Gorgias
Ils sont des maitres, des enseignants qui apprend aux citoyens a bien parle et à
argumenter rationnellement (en particulaire dans la sphère publique pour emporter
l’adhésion du peuple), ils maitrisent l’art de la persuasion (peitho) et l’éristique
(discipline consistant en refuse l’adversaire avec de thèses et des antithèses (peu
importe le contenue), ils sont aussi relativistes.
1
Kimberly Sánchez Álvarez
Protagoras : L’homme est mesure de toute chose tous les arguments sont
également vrais les meilleurs d’entre eux sont ceux qui permettent de triompher de
son contradicteur
Les sophistes n’hésitent pas à déformer la réalité Platon n’admette pas que la
manipulation du langage prenne le pas sur la recherche de la vérité pour lui il n’y a pas
d’ailleurs de vérité qu’absolue
Platon oppose la vérité (aletheia) et l’opinion (doxa), pour manier le combat il utilise le
dialogue a la fois comme forme littéraire et commet mode de raisonnement
philosophique modèle du dialogue que l’héritage de son maitre Socrate. La
méthode de conversation allait le nom de maïeutique ou art de faire accoucher les
esprits ou le but c’est conduire à se ressouvenir des vérités dissimulées La théorie
de la réminiscence (anamnèses) dialogue philosophique que permet de prend
conscience de que l’on sait déjà implicitement (vérités oublies à cause de le grand
attachement au monde matériel que nous éloigne du monde des idées (dans le monde
des idées se situe la vérité absoute)
Le problème avec les sophistes est qu’ils imposent la vérité
Platon dit que les sophistes ne sont pas de vrais philosophes
Dialogue : consiste en pense logiquement (c’est plus que développer un discours
cohérent) c’est d’abord reconnaitre qu’un discours qui prétend dire la vérité
présenter un raisonnement valide
Validité : Condition de vérité (forme de raisonnement connue par syllogisme
Syllogisme : Il y a Trois étapes
Prémisse majeure (Touts les hommes sont mortels)
Prémisse mineure (or Socrate est un homme)
Conclusion (Socrate est mortel)
2
Kimberly Sánchez Álvarez
Platon situe la réalité du côté du monde intelligible (pour lui le monde sensible c’est
une copie dégrade), le résume du système de Platon est résume dans la célèbre
(allégorie de la caverne) ou l’allégorie dans la caverne c’est la sombra. ¿Comme sortir
de la caverne ? Pour sortir il faut traverse la connaissaient (si on réussit on peut aller
dans le monde intelligible)
Tout ce que nous percevons en le monde sensible n’est qu’une illusion déforme de la
réalité pour connaitre la réalité telle qu’est-il fallu s’approche au monde intelligible
L’allégorie de la caverne désire une double dialectique :
1. Dialectique ascendante : de la multiplicité du sensible à l’unité de l’intelligible
Exemple : une Table
Monde Sensible :
1.1 Sensation (on peut toucher)
2.1 Images (visualise dans mon esprit) ferme les yeux
3.1 Reproduit les sensations dans l’esprit
4.1 Condense dans une forme matérielle Niveau d’abstraction
Monde Intelligible :
1.1 Condensé dans une formule mathématique
2.1 Ramener dans l’idée de vérité (Platon) modèle Universal de
réalité
3. La vie bonne
Philosophie étymologiquement : (amour (philos) de la sagesse (Sophia))
Sagesse :
3
Kimberly Sánchez Álvarez
Être heureux, c’est vivre en accord avec des règles de modération des
plaisirs que seule la raison est capable d’édicter ces règles mettent au
centre de toute vie pratique en quête du bonheur la notion de vertu
(aretè).
Pour Platon et Aristote le bonheur et la vertu ne peut être sépares la
nature de l’homme est être vertueux On ne peut être heureux sans
être fidèle à sa nature
Être vertueux c’est fortement lié à la connaissance au savoir Aristote
et Platon
Socrate Nul est méchante volontairement, n’ai pas la volonté de faire
du mal Le savoir mène au bien, l’ignorance au mal, pour Socrates et
Platon le méchant est dans l’ignorance du bien, le gentil connait le bien
et pour ça réagie bien
Platon savoir et vouloir ne sont qu’une seule chose : il est impossible
de connaître le bien et de ne pas le vouloir.
4. La cite
Les Anciens conçoivent la cité comme le lieu de la réalisation de
l’homme, il y a une connexion de l’éthique et de la politique dans le
monde ancienne.
Aristote : Dans les politiques « La cité fait partie des choses naturelles,
et l’homme est par nature un animal politique (zoon logikon) celui qui
est hors de la cité pas pour hasard, est soit un être dégradé
a. L’homme aspire à être heureuse
b. Il est naturellement voué à vivre en communauté
L’homme en étant pleinement citoyen qu’il pourra être pleinement
heureux (l’expérience démocratique d’Athènes au Ve siècle cela c’est
moins vrai vers la fin du IV Cela n’empêche pas, dans les faits, les
guerres et autres troubles de survenir ; ce qui conduit à la montée en
puissance des philosophies dites hellénistiques (épicurisme, stoïcisme,
scepticisme) qui se méfient de la politique et tentent de faire en sorte
que l’éthique n’y soit plus connectée
Platon et Aristote : sont fermement attaches à la cite et ils posent la
question de l’État idéal :
PLATON ARISTOTE
Politique idéaliste voire utopiste Politique pragmatique(flexible)
(inflexible)
Mélange de sagesse (philosophes), de Démocratie pouvoir de touts
4
Kimberly Sánchez Álvarez
Chapitre 2
II. L’Homme entre foi et raison
1. Dieu
Entre l’Antiquité et moyenne âge la philosophie a évolué, elle se fait d’une certaine façon
discrète en ce qu’elle se trouve littéralement fondu dans la religion après l’empire Romain
L’Antiquité tardive du 1er au IX environ prépare la moyenne âge avec l’apparition de le néo-
platonisme, chez les pères de l’église :( (Origène, Irénée, Tertullien, Augustin) :
Plotin et Agustín
5
Kimberly Sánchez Álvarez
2. Le salut
La théologique philosophie du moyenne âge : la pense scolastique (pense
caractéristique de cette époque
La scolastique c’est une brève méthode, modèle de pense logique qu’à la racine
chez Aristote la pense scolastique c’est très vivant sur le plan étique
Sur le plan éthique ou moral :
Anciens Médiévaux
L’homme doit trouver son bonheur L’homme dois trouver son bonheur,
sur cette terre mais il est supra terrestre dans l’au-
delà, même s’il se gagne ici-bas
L’homme ne peut trouver son Le bonheur de l’homme repose sur
bonheur qu’en se conformant à la un principe qui transcende la nature
nature, la sienne et celle des choses : la sienne comme celle des choses,
Dieu ou la loi de Dieu auréolent dit dieu
6
Kimberly Sánchez Álvarez
Augustin : Jusqu’à le jugement dernier les deux cites van a reste liées en chaque homme
et chaque société
Grégoire le Grand et Grégoire VII : l’église est l’incarnation sur terre de la cite donc le
pouvoir temporel dois se soumettre à la pouvoir de l’église
3. Humanisme et antihumanisme
Historiquement on parle de renaissance et philosophiquement on parle de
l’humanisme (apparaitre entre la scolastique (moyen âge) et l’apparition de la
philosophie moderne)
Humanisme :
7
Kimberly Sánchez Álvarez
Les catholiques disent que pour être sauve que les actions sont suffisantes
Luther répondre « Il ne faut pas seulement agir mais « agir de tout cœur » ça
signifié fonder les œuvres dans la foi, motiver les actions dans une intention
Luther accentue la relation directe du croyant et son Dieu – Aucune autorité politique
ou religieuse ne saurait me dicter commet je dois croire et ce que je dois faire
conséquence : plus de liberté mais aussi plus de responsabilité (idée qu’influencera le
protestantisme et capitalisme sur le lien de Max Weber
4. Realpolitik vs. Idealpolitik
À .0la fin de la Renaissance (pour raison historiques : guerres, premières états nations)
le domaine pratique gagne importance contre le domaine théologique :
Au sortir de la Renaissance, nouvelle donne dans le champ de la philosophie politique
avec l’affrontement entre Machiavel et More
Machiavel More
Realpolitik Idealpolitik
Le Prince (1515) L’utopie (1516)
Utopie = lieu que n’existe pas lieu de
nulle part
L’utopie est nuisible car déconnectée de Décrit une île imaginaire où la sagesse
la réalité, sans compter qu’elle fait de la des institutions et elle seule rend les
politique une question de morale, pour hommes meilleurs dans leur façon de
lui rien n’est plus faux vivre ensemble (nous sommes capables
d’être mieux ou pas, si nous sommes
mieux nous institutions sont mieux)
Tout dépende de nous
La politique est un technicien de las More s’est inspiré de la République de
institutions (choses publiques) « marche Platon, mais contrairement à lui
des choses » Le Prince est/doit être
un technicien de la RES publique et faire
valoir le principe de l’intérêt supérieur
8
Kimberly Sánchez Álvarez
Chapitre 3
III. Approche scientifique de l’homme
1. L’invention du sujet
Après la Renaissance, le XVIIe siècle marque l’avènement de la Modernité (on parle de
la première Modernité pour le XVIIe, de la seconde Modernité pour les XVIII-XIXe)
• Un nom incarne la première Modernité à lui tout seul :
René Descartes (philosophie et scientifique pour deux raisons) :
a. Il est formé à la philosophie comme aux sciences
b. A ses yeux la philosophie n’est pas différente d’une science, elle est même la
« plus haute » science
Les mêmes règles qui s’appliquent aux outres sciences, s’appliquent aussi pour la
philosophie
Le savoir est « un » illustre (Les principes de la philosophie (1644) : l’image de l’arbre)
Racines = métaphysique
Tronc = physique
Branches = médecine, mécanique, morale
Métaphysique = « Partie de la philosophie qui porte sur la recherche de causes et des
principes premiers » (déjà pour Platon et Aristote), elle doit expliquer pourquoi ce qui
est comme il est - elle recherche donc un principe premier et inconditionné
Pour Descartes ce principe est le sujet (attention toutefois : le sujet est le principe
premier et inconditionné de la connaissance, et non pas de l’être ou de la création en
général, qui demeure fondée par Dieu). Comment il arrive à ça ? Tout commence par
une « déconstruction » : il faut d’abord se débarrasser de tous les préjugés et toutes
les croyances que nous charrions depuis toujours, pour cette simple raison que nous
ne les avons jamais soumis à un examen critique
9
Kimberly Sánchez Álvarez
Imagination Concevoir
Capacité d’associer les idées entre elles : Imaginer et concevoir sont au fond un
et à ce titre elle est moyenne de la seul et même acte qui peut déboucher :
connaissance • Rêveries
• Connaissances (lois dans la
nature
3. La nature dévoilée
La philosophie du XVIIe siècle développe une conception renouvelée de la nature
• Pour les Médiévaux, nature = création de Dieu
• Pour les Modernes, « la nature n’est pas une déesse » (Descartes)
Nature chez les modernes :
10
Kimberly Sánchez Álvarez
4. Critique du théologico-politique
Avec la modernité, les rapports entre philosophie et religion deviennent (évidemment)
problématique la modernité tente d’isoler la raison de la foi
Descartes et ses contemporains opposent
11
Kimberly Sánchez Álvarez
Dans un république libre tout le monde peux dire qui ils veut (l’état ne dois se
préoccupe de la manière de penser des personnes) l’état dois intervenir à
l’ordre publique
Cette critique inaugurale du pouvoir théologico-politique a conduit à renforcer le
pouvoir temporel face au pouvoir spirituel et à développer une autre explication de
l’institution de l’État : à la place de théorie dite du « droit divin » (Bodin, Bossuet,
Filmer, etc.) celle du contrat social (Hobbes, Locke, Rousseau, etc.)
Aristote : L’état n’est pas une entité naturelle mais artificielle (crée pour l’homme)
Aristote : l’homme c’est un animale politique (ils vivre agroupes en communautés)
Qu’est-ce qui a poussé les hommes à s’unir dans un État, à construire cet artifice ?
Hobbes (philosophie anglais) répondre en décrivant un état de nature, l’état d’avant le
contrat : c’est un « état de guerre de chacun contre chacun » où « l’homme est un loup
pour l’homme (c’est la raison pour la quel les hommes sont pousser à faire le contrat «
le contrat social »
Dans l’état de nature, on est certes libre, dit-il, mais il n’y a jamais aucune
garantie que l’une ou l’autre personne décidera arbitrairement de me priver de
cette liberté. Il faut donc une loi reconnue par tous et un pouvoir exécutif pour
la faire appliquer.
12
Kimberly Sánchez Álvarez
Pour Locke, l’État n’est donc pas une rupture avec l’état de nature
Son unique mission est d’assurer la sauvegarde mutuelle des droits naturels.
Conséquence : son pouvoir doit être limité. Locke revendique ainsi une
conception libérale de l’État : moins il intervient, mieux c’est.
Nota Bene : : l « état de nature » dont parlent tous ces auteurs est une FICTION
METHODOLOGIQUE, autrement dit il n’a jamais existé historiquement (cf. Rousseau).
On recourt à cette fiction car elle est nécessaire pour justifier le fait de passer un
« contrat social »
• On ne se demande donc pas si l’état de nature a existé, mais ce qu’il se
passerait si le contrat social était rompu
Chapitre 4
IV. L’homme De Connaissance Et De Devoir
1. Sapere Aude
Le XVIIIe siècle est le siècle des Lumières, de la Philosophie des Lumières (qui tourne
presque tout entier autour d’un philosophe : Emmanuel Kant)
13
Kimberly Sánchez Álvarez
invite le penseur citoyen à combattre tous les préjugent (religion, politique) et à viser
par-là l’autonomie)
Exemple en France l’Encyclopédie, entreprise qui regroupe plus d’une centaine de
savants européens (Diderot, D’Alembert, D’Holbach, Turgot, Voltaire, etc.) avec un
projet clair : éduquer le peuple tout en l’éclairant. La vérité naît de la confrontation
des idées
Opposés à la tutelle théologico-politique, ils ne sont pas tous matérialistes et athées.
• Réfléchissent à un Religion naturelle (religion dans laquelle Dieu est accessible
à la raison) opposée aux religions historiques, ils donc souvent entrer en conflit
avec la censure, et notamment la censure religieuse CAS PLUS EXTREME Le
matérialisme (Helvétius, D’Holbach) : tout dans l’univers s’explique par des
mouvements de la matière, et rien d’autre n’existe que la matière (il n’y a donc
rien de spirituel, pas de Dieu non plus)
Pour les Lumières, il n’y a de religion concevable que « dans les limites de la simple
raison » (c’est le titre d’un ouvrage de Kant précisément consacré aux rapports entre
foi et raison)
2. Nature et limites de la connaissance
Théorie de la connaissance : D’où viennent nos idées ? Comment notre connaissance
est-elle constituée ?
Rationalistes : Ils soutenaient que les idées venaient de l’esprit et de lui seul.
Mais cette idée va être contestée (courant à se positionner) :
a. Empirisme :
Hobbes, Locke, Hume, etc.
Locke écrit (Essai sur l’entendement humain 1690) l’expérience. C’est
le fondement de nos connaissances, c’est de là qu’elles tirent leur
première origine
Locke : je ne puis rien connaître qui ne soit préalablement passé par
mes sens, les sensations sont le matériau des idées humaines
Hume précise l’expérience n’est pas seulement l’origine de nos
connaissances, elle est aussi leur justification : si je veux savoir si une
idée a contenu réel, il me suffit de remonter jusqu’aux impressions
sensibles qui l’ont engendrée : si je n’en trouve pas, l’idée est un «
fantôme » et elle est donc vide de sens
b. La pense de Kant (synthèse entre rationalisme et empirisme) dans la Critique
de la raison pure (1781) :
Les impressions sensibles – l’expérience – sont matière nécessaire pour
donner un contenu de connaissance en ce sens il est vrai dire que «
toute notre connaissance débute avec l’expérience ». Mais cela ne veut
pas dire que toute la connaissance résulte entière de l’expérience
14
Kimberly Sánchez Álvarez
L’expérience c’est limite. Kant dit précisément en affirmant que nous ne pouvons PAS
connaître ce qui outrepasse l’expérience, l’esprit ne peut pas tout connaitre
La connaissance a des limites, le limite c’est l’expérience
La connaissance se limite aux « phénomènes » (ce qui nous apparaît) et ne s’étend
donc pas aux « noumènes » (les choses-en-soi, les réalités intelligibles qui se tiennent
derrière les phénomènes)
Les phénomènes s’opposent à ce que Kant appelle les noumènes et qui désignent les
choses en soi.
Noumènes :
L’âme
Le monde
Dieu
Ces idées sont des antinomies de la raison pure ; traduction : les lois qui président à
ces idées sont en conflit avec les lois qui président à l’entendement humain.
15
Kimberly Sánchez Álvarez
Abordent les questions morales non pas sous l’angle de la prescription (ce que
doivent être les comportements) mais sous l’angle de l’analyse des conduites
humaines, essayant d’isoler les mécanismes (psychologiques, dirait-on
aujourd’hui) qui conduisent à des comportements sains, pacifiques,
coopératifs… et donc moraux
Kant et le moraliste anglais van en deux directions différentes
En 18e siècle traditionnellement le moral est un moral religieux se appui sur un douma
du pécher original « el homme est naturellement méchante » pour ça l’éducation dans
le moral
Les moralistes anglais :
a. L’idée de qu’el homme n’est moves pas par nature
b. Il n’est pas nécessaire chercher de hors de lui-même les règles de son
comportement
Ils se voyez comme de scientifique ou physiciens que s’occupent de l’esprit des
compartiments humain (des phtisiologues) le but c’est construire en science de la
nature humaine ¿pour quoi réagie comment celui ou comme cela ? qu’es que
suscite telle o telle sentiment quel ou quelle réaction
Quel es que ce que les intéresse à les moraliste anglais dans l’absolu ? Les
sentiments – aussi les mécanismes positives (qui fais possible la coopération le
bonheur)
16
Kimberly Sánchez Álvarez
Le moral traditionnel pense qu’el homme est mauvaise par nature, et les moralistes
anglas pense l’averse, l’homme est bon par nature
Si on dit qu’el homme est bonne par nature ... Commet expliquent qu’il devienne
mauvais ? La cause de devenir mauvaise il réside dans l’éducation, la morale
traditionnelle est le problème
L’homme naturellement bonne : Le principal problème de cette approche de la morale,
c’est qu’elle ne pousse pas vraiment l’homme à se perfectionner, elle ne fait rien pour
lui inculquer le sens de l’effort, et sans ce sens de l’effort, on peut douter que l’homme
soit réellement en mesure de s’améliorer, de se motiver seul à mieux se connaître, etc.
La plupart des moralistes pré-kantiens font dépendre la morale d’un savoir : il suffirait
de savoir où est son bien pour s’employer à le réaliser. En effet, si, comme le disait
Platon, « nul n’est méchant volontairement », il suffirait d’instruire les individus pour
développer leur conscience morale. Mais Kant ne voit pas les choses ainsi. À ses yeux,
la morale ne dépend nullement d’un savoir. La preuve : si chacun sait bien quel est son
devoir, rares sont ceux qui l’accomplissent
• Kant veut donc prendre le contrepied de cette approche et revenir à l’approche
« prescriptive » de la morale, avec un raisonnement neuf.
• Kant les sentiments positives c’est la mervehiante en particulaire les positives
sont plus puissantes que les négatives comme el égoïsme (pour lui c’est
dangereuse)
Cela commence par affirmer que la morale ne dépend pas d’un savoir (preuve
l’expérience nous pouvons savoir très bien que ne devons pas faire et la faire commet)
mais, précisément, d’un DEVOIR
Le moral ne peut pas se fonde sur les sentiments parce qu'a les sentiments les
manquent deux critères – l'universalité et la nécessité
Le devoir s’oppose au sentiment, car le devoir est universel et nécessaire tandis que le
sentiment est particulier et contingent.
Selon Kant, ne peut être authentiquement moral que ce qui nous concerne tous et
tout le temps, et non pas cela que ne concerne que certaines personnes ou qui ne
vaut qu’à une époque et pas à une autre.
¿Pourquoi ne peur pas fonde la morale à partir d’un sentiment ? Parce que manque
aux sentiments les deux critères l’universalité et nécessite
Si on le fait le moral sera incertaine pour Kant il a un problème
• On retrouve ici la distinction kantienne que j’ai évoqué en parlant de Luther,
entre :
1) L’action accomplie PAR DEVOIR, la seule authentiquement morale
17
Kimberly Sánchez Álvarez
Action que on a compils par devoir est la Action a compris conformeront à devoir
seul morale n’est pas morale
L’intention est obsulemente pure : L’intention est impure
J’ai en tête que la moralité L’intention est contage de
Pure = a priori (indépendamment sentiments (contingence et
de l’expérience) particularité) Kant le motive
de l’action c’est la satisfaction
d’un intérêt particulaire
Il est commande par un impérative Impérative hypothétique moyenne
catégorie (l’action s’impose pour attendre une fin
universellement) Si tu fais ceci, alors tu obtiendras cela »
Tu dois
La différence réside dont la pureté de l’intention que présidé une d’outre de ses
actions
L'intensions est attache dans le sentiment Kant le motive de l’action est la satisfaction
d'un inter
Être libre pour Kant est être autonome
Autonomes : se donne à soi-même sa propre loi – l'idée plus haute de la liberté est se
soumettre à ma propre loi
Hétéronomie : laisse se donne une loi pour quelqu’un autre
Chapitre 5
V. L’homme De L’histoire Entre Construction Et Déconstruction
1. Système de l’histoire
Hegel
Marx
18
Kimberly Sánchez Álvarez
Grandes figures dans le 19e siècle (philosophies de l'histoire) ils Interpréter les faits en
tenant compte la totalité de l’histoire humaine, Elles s’efforcent de mettre au jour un
sens caché derrière le cours de l’histoire en apparence chaotique
Il y aurait une certaine rationalité dissimulée derrière l’irrationalité des actions
humaines (une « Raison dans l’histoire » selon Hegel).
Les philosophies de l’histoire supposent ainsi que toutes les époques sont les étapes
d’un processus orienté vers une finalité (téléologie) et le sens cache de l’histoire ne
pourra être pas pleinement découverte qu’à la fin du processus, tous les aspects de
toutes les périodes historiques – vie matérielle, institutions juridiques et politiques,
art, religion, philosophie, etc. – sont ordonnés par et dans un même principe :
Hegel Marx
Le principe est spirituel Le principe est matériel
Idéaliste Matérialiste
L’esprit, grande force qui anime l’histoire L’organisation économique de la société
s’incarne dans tous les éléments détermine son système juridique,
institutions politiques, juridiques, art… l’art.etc.
Pour Marx et Hegel il y a bien liberté dans l’histoire mais seulement quand nous
connaissons les déterminismes qui nous font agir Déterminisme : conception
déterministe de l'histoire
Comment représenté l'idée de matériel de Marx ?
19
Kimberly Sánchez Álvarez
20
Kimberly Sánchez Álvarez
L’esclave a une plus grande conscience de soi, l’esclavage est plus viable
21
Kimberly Sánchez Álvarez
2. Valeur et idéologie
22
Kimberly Sánchez Álvarez
Pour il la valeur religieuse est la force négative (il se retourne entre elle-même une
vie que dévalue la vie)
La vie, la cour, le sensible construit la vérité
La morale de maitre c’est une affirmation de la vie, morale aristocratie (la seul
véritablement
La morale des esclaves est un stand de vide dégénère
Seule la morale des maitres est véritablement créatrice de valeurs, la morale des
esclaves ne crée rien et consiste seulement à (le but de Nietzsche )renverser les
valeurs créées pour les maitres == Surhomme annonce pour le prophète saratustra
(il est le personnage principal de l’œuvre de nietzsche :
Théorie du Surhomme
Liée à la conception proprement nietzschéenne de l’histoire (La vie est tragique, nitz
faire référence a l’Age tragique à grecque) comme éternel retour : le surhomme est
celui qui accepte le devenir jusqu’à vouloir qu’il revienne éternellement, que l’histoire
se répète sans fin. L’homme faible possède lui un rapport négatif au passé, qu’il
n’accepte pas et ne veut pas voir se répéter par peur de s’en souffrir. Il refuse le
devenir
Comment se comporter a cette dimension tragie de la vie : surhomme : homme
assumant toute la dramatique de la vie et affirmant joyeusement la valeur de cette
même vie.
Dans la morale des esclaves L’homme se caractérise pour sa frustration, no
pouvoir être ce que vous voulais être
23
Kimberly Sánchez Álvarez
24
Kimberly Sánchez Álvarez
Déconstruire l’opinion et neutraliser les illusions, n’est-ce pas ce que fait la philosophie
depuis Platon jusqu’aux Lumières ? Le cas échéant, qu’apportent vraiment les «
penseurs du soupçon » (Nietzsche, Marx, Freud) :
Notion de l’illusion :
- Pour les Anciens ou les (premiers et seconds) Modernes, l’illusion est un simple
défaut de vérité :
Les préjugés et les superstitions sont le résultat d’une ignorance que l’usage de la
raison vient corriger. Mais les penseurs du soupçon constatent que l’illusion résiste
bien souvent à l’usage de la raison. C’est la raison pour laquelle il la traite comme un
symptôme : l’illusion traduit un manque, un désir non assouvi et qui ne peut donc se
réaliser que de façon imaginaire. Il est donc vain de chercher à corriger une illusion par
des arguments rationnels dans la mesure où une illusion se caractérise précisément
par une indifférence à son degré de rationalité, à sa cohérence logique. Une illusion ne
cesse que si cesse ou se réalise effectivement le désir qui lui a donné naissance.
Marx : Explique sur l’Example de la religion la religion est considère comme une
illusion La religion est la réalisation imaginaire des hommes qui ne peuvent se
réaliser effectivement dans la société où ils vivent : elle exprime l’aspiration des
hommes à leur humanité dans un monde qui les déshumanise
Freud : L’avenir d’une illusion, 1927 – livre consacre à l’illusion religieuse : voit une «
névrose obsessionnelle de l’humanité » née du sentiment de culpabilité engendrée par
le « meurtre » originel du père (référence au complexe d’Œdipe, notamment au désir
de parricide).
- Peut-on réduire ce dernier à un phénomène psychologique ou socio-politique ?
Est-ce aussi simple que cela ?
Pa étudier le pion 3 et 4
Chapitre 6
1. L’expérience du lagunage
25
Kimberly Sánchez Álvarez
Il faut de règles pour pouvoir utilise le langage pour créer connaissance ce qui if faut
sont de règles logiques La logique formelle (relation de mots entre signes)
Logique formelle : étude de règles de combination des éléments du langage
Wittgenstein, dans un livre intitulé Tractatus logico-philosophicus (1921) :
- Part du principe que le monde est composé de faits ou « états de chose » et
que les propositions linguistiques (les phrases) sont des tableaux des faits.
Tableaux ? Dans une proposition linguistique, les mots sont censés « mimer »
(reproduction) les objets dans l’état de choses == condition par un proposition
reproduire un fois c’est-à-dire avoir un sens
- Le ciel est clair sujet, copule et prédicat = objets impliqués : il y a un ciel, ce
ciel est quelque chose, et il est clair
- Distinction entre sens et vérité :
- Sens = une proposition que montre un fois possible (logiment pensable)
possède un sens mais pour dire qu’il est vrai doit correspondre un fait existant
Conception empiriste de la vérité
Empirisme – Doctrina
Conception empirique de la vérité il n’y a aucun moyen d’évaluer a priori, c’est-à-
dire avant l’expérience ou en dehors d’elle, la vérité d’une proposition : seule une
vérification empirique peut l’établir cette vérité, on a besoin de le vérifier.
Le positivisme c’est == Doctrine que soutien que tout
La philosophie du langage a une critique es que ce n’est pas plus rapide d’expliquer
la langue ordinaire
Lui ce critique lui-même
Après le Tractatus, Wittgenstein (je dits tout que je voulais dire après) délaisse
l’étude du langage scientifique pour s’intéresser à l’étude du langage ordinaire
(par opposition à la philosophie du langage scientifique)
Langage ordinaire => moyen de communication sociale (non directement concerné par
l’alternative entre vérité et fausseté :
26
Kimberly Sánchez Álvarez
2. Le langage de l’expérience :
c’est dans ce sens vécu que s’enracine la démarche scientifique Husser, le père de la
phénoménologie, dans ses Idées I : « Toute conscience est conscience de quelque
chose »), la phénoménologie est par extension une science de l’expérience
• La phénoménologie étudie la dimension pré-scientifique (subjective) de la
démarche scientifique (objective), en d’autres termes elle étudie le langage
de l’expérience elle-même.
Exemple :
Phénoménologie de la perception (1945), Merleau-Ponty pose la question : « Qu’est-ce
que le rouge de cet abat-jour que j’aperçois ? »
Let’s Go
28