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La prudence
Les méthodes d’évaluation et de présentation des états financiers doivent être les
mêmes d’un exercice à un autre sauf en cas de changement substantiel intervenu dans
la situation de l’employeur ou d’adoption d’une méthode préférentielle conduisant à une
meilleure image fidèle. (Art 34 et 40 du SYSCOHADA)
La correspondance du bilan de clôture et du bilan d’ouverture
Ce principe stipule que le bilan d’ouverture d’un exercice doit correspondre au bilan de
clôture de l’exercice précédent. (Art 34 du SYSCOHADA)
Le coût historique
Ce principe stipule que les biens acquis à titre onéreux doivent être comptabilisés à
leur coût d’acquisition, les biens produits par l’entreprise à leur coût de production et
les biens acquis à titre gratuit à leur valeur vénale. (Art 35 du SYSCOHADA)
La continuité d’exploitation
Ce principe stipule que l’entreprise est considérée comme étant en activité, c'est-à-
dire comme devant continuer à fonctionner dans un avenir prévisible. (Art 39 du
SYSCOHADA)
La transparence
Ce principe est capital pour l’obtention d’une information loyale. Il est aussi appliqué
internationalement sous diverses appellations (clarté, bonne information, voire
régularité et sincérité objective).
Dans le Système Comptable OHADA, il est affirmé dans les articles 6, 8, 9,10 et 11 du
Règlement. En fait, il imprègne tous les textes relatifs à l’information externe. Il faut
inclure dans ce concept : la conformité aux règles et procédures du SYSCOHADA, la
présentation et la communication claire et loyale de l’information, le respect de la
règle de non-compensation.
L’importance significative
Sont significatifs tous les éléments susceptibles d’influencer le jugement que les
destinataires des états financiers peuvent porter sur le patrimoine, la situation
financière et le résultat de l’entreprise. (Art 33 du SYSCOHADA)
Dans le SYSCOHADA, les cinq (5) applications qui sont faites de ce principe sont les
suivantes :
Inscription à l’actif du bilan (comme si l’entreprise en était propriétaire) des biens
détenus avec <<réserve de propriété>> ainsi que des biens mis à la disposition du
concessionnaire par le concédant ;
inscription à l’actif du bilan de l’utilisateur (ou preneur) des biens utilisés dans le
cadre d’un contrat de crédit-bail ;
inscription à l’actif du bilan des effets remis à l’escompte et non encore échus ou
honorés ;
Trois systèmes (Art 11 -12-13 de l’acte comptable) : système normal, système allégé
et système minimal de trésorerie.
Le système normal :
Toute entreprise est sauf exception liée à sa taille soumise au système normal de
présentation des états financiers et de tenue des comptes. Toutefois, les entreprises
dont le chiffre d’affaires ne dépasse 100 000 000 FCFA peuvent utiliser le système
allégé.
Contenu des états financiers :
- Bilan
- Compte de résultat
- TAFIRE (Tableau Financier des Ressources et Emplois) : tableau de financement et tableau de
flux de trésorerie
- Etats annexés (17 états annexés et 11 tableaux annexés)
Le système allégé :
Applicable aux entreprises dont le chiffre d’affaires n’atteint pas le seuil de FCFA 100 000 000
sans toutefois être inférieure à 30 millions pour les entreprises de négoce et 10 millions pour les
prestataires de services.
Toute entreprise dont les recettes annuelles n’atteignent pas les seuils suivants :
Calcul du résultat par l’établissement d’un état des recettes et des dépenses.
1.3 Techniques d’analyse du grand livre
Comptes de bilan
Comptes d’actifs
D’une façon générale, les comptes d’actifs augmentent par le débit et diminuent par le
crédit. Un compte d’actif doit donc normalement avoir un solde débiteur. Les diligences
exposées ci-après permettent de vérifier la correcte présentation des comptes d’actif :
S’assurer les provisions pour dépréciation ont bien été constituées en cas de perte
de valeur à la fin de l’exercice : pour les titres de participation, valeur d’inventaire
inférieure au prix d’acquisition, biens démodés en raison du progrès technologique,
etc.
o Comptes de stocks (classe 3)
Avant tout, s’assurer que le solde du compte concorde avec la balance générale
mise à disposition par le client (pointer le solde du compte à la balance générale)
Avant tout, s’assurer que le solde du compte concorde avec la balance auxiliaire
mise à disposition par le client (pointer le solde du compte à la balance auxiliaire)
Pour les clients, identifier à l’aide de la balance âgée clients les créances
douteuses (créances antérieures de plusieurs années ou client en cessation de
paiement) et apprécier l’opportunité de constituer une provision pour créances
douteuses. Le délai crédit client doit également être utilisé dans cette analyse
Si une multitude d’opérations sont passées au débit et au crédit du compte,
rechercher dans la colonne SOLDE PROGRESSIF le solde du compte
Si le client procède régulièrement au lettrage des comptes, obtenir le grand-livre non
lettré : les opérations non lettrées justifient le solde du compte
Pour le compte 462 (Associés, comptes courants), vérifier qu’il n’est pas débiteur
(convention interdite si solde débiteur) et que les opérations passés au crédit sont
justifiées et correspondent à des apports en compte courant : pièces de caisse,
chèque émis par l’associé et déposé sur le compte de la société (transaction
apparaissant clairement au crédit du relevé bancaire de la société), virement du
compte de l’associé au compte de la société et apparaissant clairement au crédit du
relevé bancaire de la société). Pour les opérations au débit, vérifier qu’elles sont
justifiées et correspondent effectivement à des remboursements de sommes mise à
Il s’agit par exemple des primes d’assurance qui sont à cheval sur 2 exercices et
payées intégralement d’avance. Le compte de charges (primes d’assurance) est débité
pour le montant intégral de la prime payée. Cette comptabilisation traduisant une
entorse aux principes de prudences et de séparation des exercices car
comptabilisation d’une charge rattachable à l’exercice suivant sur l’exercice en cours),
le compte 476 (CCA) est alors utilisé pour comptabiliser la quote-part rattachable à
l’exercice suivant de telle sorte que le compte de charge ne contient après cette
écriture (Débit 476 CCA et crédit : 625 (Primes d’assurance) que la quote-part
rattachable à l’exercice en cours.
Pour éviter cette deuxième écriture, certains clients comptabilisent en une seule fois
la quote-part rattachable à l’exercice en cours au débit du compte 625 (Primes
d’assurance) et la quote-part rattachable à l’exercice suivant au débit du compte 476
(CCA).
A l’ouverture de l’exercice suivant, le compte 476 (CCA) est crédité par le débit du
compte de charge (Primes d’assurances dans le cas d’espèce) pour constater la charge
de l’exercice. Le compte 476 (CCA) est alors soldé.
Pour contrôler la correcte évaluation du solde du compte 476 (CCA), recalculer soi-
même la quote-part à rattacher à l’exercice suivant sur la base des documents
produits par le client (polices d’assurance, factures, etc...) . Pour ce faire, déterminer
en jours ou en mois la période s’écoulant entre la date de clôture de l’exercice
contrôlé et la date d’échéance de la prime payée. Une mauvaise évaluation de la quote-
part rattachable à l’exercice suivant pourrait entraîner une sous-évaluation ou une
sur-évaluation du compte de charge par nature.
Une analyse symétrique permet de comprendre le fonctionnement du
compte 477 (Produits constatés d’avance :PCA)
Attention : Pour les pertes de change sur les éléments d’actif ou de passif à long
terme (prêts accordés en devise, emprunts contractés en devise), la provision est
passée au débit du compte sont passées au débit du compte 697 (Dotations aux
provisions financières) et 194 (Provision pour perte de change)
Au dénouement de l’opération, il faut vérifier que la provision pour perte de change a
été reprise car devenue sans objet. Les gains de change (776) et pertes de change
(676) sont alors passés.
Quant aux éléments de trésorerie (caisse et banque tenus en devises), les ECA et ECP
sont passés directement en pertes (676) ou gains de change (776).
Compte 50 : Titres de placement : vérifier que le solde est débiteur et que les
opérations passées sont justifiées : BSA (Bons de Souscription d’Actions), BSO
(Bons de Souscription d’Obligation) et vérifier que les intérêts courus ont été
provisionnés au débit du compte 506 (Intérêts courus)..
Il importe aussi de vérifier que les pertes de valeurs sur ces titres de placement
(actions dont les cours ont baissé en fin d’exercice) ont donné lieu à constitution d’une
provision : Débit 659 : charge provisionnées d’exploitation sur risques à CT et crédit
59 : dépréciations et risques provisionnés
Sous-compte 513 : vérifier que les soldes de ces comptes sont justifiés par des
bordereaux de remise de chèque à l’encaissement et pointer ces derniers au relevé
bancaire pour s’assurer que les chèques ont été effectivement déposés sur les
comptes de la société (risque de fraudes car ce compte peut être soldé par le client
par un autre compte que le compte 52 concerné).
L’audit des suspens sera abordé dans la partie relative à l’audit des comptes du
présent guide.
Sous-compte 57 : vérifier que le solde de ce compte n’est pas créditeur (anomalie).
A cet effet, rechercher dans la colonne des soldes progressifs des grands-livres les
soldes créditeurs et investiguer l’écriture comptable passée par le client pour rendre
le solde débiteur ou nul. Un solde nul pourrait masquer des opérations injustifiées
(sous-évaluation des charges de l’exercice, opération passée pour solder un
compte d’attente ou un compte client présentant un solde injustifié). Si le solde
nul de ce compte s’explique par un reversement des espèces détenues en caisse
sur les comptes bancaires de la société, obtenir le bordereau de versement et
vérifier que le montant des espèces figure pour son intégralité sur le relevé
bancaire (au crédit)
D’une façon générale, les comptes du passif augmentent par le crédit et diminuent par
le débit. Un compte du passif doit donc normalement un solde créditeur. Les diligences
exposées ci-après permettent de vérifier la correcte présentation des comptes du
passif
Avant tout, s’assurer que le solde du compte concorde avec la balance générale mise à
disposition par le client (pointer le solde du compte à la balance générale)
Il s’agit des comptes fournisseurs, de dettes fiscales, etc... Pour les comptes
fournisseurs, faire une analyse symétrique à celle des clients. Pour les compte de
dettes fiscales, il faut vérifier qu’ils ne sont débiteurs et que les soldes créditeurs de
ces comptes correspondent aux déclarations de la dernière période : solde du Compte
4441 (TVA due ) à rapprocher à la dernière déclaration de TVA, solde des compte 43
(Organismes sociaux) à rapprocher de la dernière déclaration CNPS, etc........
o Comptes de Trésorerie (classe 5)
Il s’agit des crédits de trésorerie et de découverts. Il faut vérifier que les soldes de
ces comptes sont créditeurs et justifiés par des documents : conventions de
découvert, etc....
Ces dettes à court terme donnant au prélèvement par la banque d’intérêts débiteurs
(agios), il faut vérifier que ces agios ont été comptabilisés au débit du compte 6745
(Intérêts bancaires et sur opérations de trésorerie et d’escompte) et non au compte
6318 (Frais bancaires) : erreur d’imputation comptable très récurrente
Comptes de charges
D’une façon générale, les comptes de charges augmentent par le débit et diminuent
par le crédit. Un compte de charges doit donc normalement un solde débiteur. Les
diligences exposées ci-après permettent de vérifier la correcte présentation des
comptes de charges :
Avant tout, s’assurer que le solde du compte concorde avec la balance générale mise à
disposition par le client (pointer le solde du compte à la balance générale)
Vérifier que les opérations passées au débit de ces comptes sont soutenues par des
pièces justificatives : factures, etc...
Vérifier que les opérations passées au débit de ces comptes concernent l’exercice et
sont correctement évaluées : faire attention à la TVA et vérifier que seul le montant
HT de la facture a été passé au débit du compte pour les opérations ouvrant droit à
déduction de la TVA.
Cas particuliers des achats de petit matériel et mobilier
Pour ces comptes, il faut s’assurer qu’ils n’ont pas comptabilisé d’éléments ayant un
caractère immobilisation. Il s’agirait en effet d’une erreur de droit (comptabilisation
en charges d’éléments immobilisables) Il faudrait donc tenir compte de la limite
d’activation des petits achats (FCFA 300 000) Toutefois, les achats de mobiliers de
bureau sont à passer en immobilisation quelque soient leurs montants.
En effet, ces biens ont un caractère durable car la pratique montre qu’ils sont
utilisés pendant plusieurs années. Ils ne doivent donc pas être passés en charges
même s’ils ont été achetés à de faibles valeurs au sens de l’article prévu à cet
effet par le mémento fiscal.
Il faut pour ces factures s’assurer qu’il existe 6 opérations (pour l’électricité car
facturation bimensuelle) et faire même test pour le compte le compte destiné à
comptabiliser les consommations d’eau. Pour le compte destiné à enregistrer les
loyers, le compte 622 (Locations et charges locatives) doivent faire apparaître 12
opérations si le loyer est payé mensuellement.
Pour ces comptes, il faut vérifier que les honoraires du CAC, de l’avocat, etc... ont été
provisionnés. Il faut également vérifier que ces comptes, notamment les comptes 63
n’enregistrent pas des éléments ayant un caractère de salaires.
Certains clients passent les taxes sur les contrats d’assurance au compte de TVA
déductible, ce qui est une erreur car la taxe sur les contrats d’assurance ne peuvent
être déduite par les assurés et relèvent d’un régime distinct de celui de la TVA. Cette
taxe varie d’ailleurs suivant les branches d’assurance. Elle n’est donc pas fixe comme
la TVA au taux de 18% Seule la prime d’assurance TTC doit être passée en charge.
Cas particuliers des factures délivrées par les agences de voyage et compagnies
aériennes pour achat de billets d’avions
Certaines taxes sont facturées par les agences de voyage ou les compagnies aériennes
à leurs clients lors d’achats de billets (taxe de survols, taxe d’atterrissage, etc...). Ces
taxes ne peuvent en aucun cas être comptabilisées par le client en TVA déductible.
Seul le montant TTC doit être passé en charge.
Cas particuliers des factures délivrées par les agences de voyage et compagnies
aériennes pour achat de billets d’avions
Certaines taxes sont facturées par les agences de voyage ou les compagnies aériennes
à leurs clients lors d’achats de billets (taxe de survols, taxe d’atterrissage, etc...). Ces
taxes ne peuvent en aucun cas être comptabilisées par le client en TVA déductible.
Seul le montant TTC doit être passé en charge.
D’une façon générale, les opérations passées au crédit des comptes de charges
doivent correspondent à des annulations ou extinctions de charges : cas des frais de
personnel intérimaire reclassés en charges de personnel intérimaire en fin d’exercice
conformément au principe de prééminence de la réalité économique sur l’apparence
juridique. Les comptes de frais de personnel intérimaire (637) doivent donc être
soldes en fin d’exercice. Pour le compte 6617 (Avantages en nature), vérifier que le
montant passé au débit du compte a été transféré au crédit du compte (781 :
transferts de charges d’exploitation). En effet, cette écriture permet de reclasser
en charge les avantages en nature passés en cours d’exercice dans des comptes de
charges par nature (622 loyers, 6051, Eau) pour la partie imposable (voir différents
barèmes)
Comptes de produits
D’une façon générale, les comptes de produits augmentent par le crédit et diminuent
par le débit. Un compte de produits doit donc normalement un solde créditeur. Les
diligences exposées ci-après permettent de vérifier la correcte présentation des
comptes de produits :
il faut vérifier que les opérations passées au crédit sont soutenues par des
factures normalisées émises par le client,
il faut vérifier que seul le montant HT a été passé au crédit du compte et la TVA
passée au compte de TVA collectée. Pour les opérations passées en mois au crédit
(cas des avoirs), il faut identifier sur le grand-livre du compte la facture ayant
donné lieu à l’avoir car si la facture initiale n’a pas été comptabilisée, le solde du
compte serait sous-évalué,
il faut également rapprocher le chiffre d’affaires facturé issu du logiciel de
gestion commercial au chiffre d’affaires comptabilisé. Les écarts doivent être
justifiés par le client. Afin de réduire l’assiette de détermination de l’impôt BIC
(pour payer moins d’impôt), certains clients minorent leurs chiffres d’affaires. Pour
identifier des cas de minoration de chiffres d’affaires, il faut investiguer toutes
les opérations passées au débit des comptes de ventes et obtenir les factures du
mois de Janvier de l’exercice subséquent. Il faut ensuite identifier par ces
factures celles qui sont rattachables à l’exercice contrôlé compte tenu de leurs
dates d’émission ou de livraison des produits correspondants.
il faut identifier par sondages les transactions passées par la banque au crédit et
correspondant des règlements de clients (clients étrangers), il faut ensuite s’assurer
que les factures correspondant à ces règlements ont été comptabilisées si elles se
rattachent à l’exercice contrôlé mais si les règlements ont été faits postérieurement
par les clients.
1.4 Savoir lire des balances générale et auxiliaire
Absence du compte réserve légale alors que la société réalise des bénéfices
depuis plusieurs années
Compte de réserve légale débiteur : contrôle à effectuer sur l’exercice
subséquent en raison de la tenue de l’AGO dans les 6 mois de la clôture de
l’exercice
Compte de résultat non soldé alors que la société a affecté son résultat
(AGO) : contrôle à effectuer sur l’exercice subséquent en raison de la tenue
de l’AGO dans les 6 mois de la clôture de l’exercice
Compte 14 (Subventions d’investissement) débiteur en raison d’un excès de
reprises de subventions
Compte 20, 21, 21, 23, 24, 25, 26, 27 créditeurs : pour les comptes d’immo
en cours, s’assurer que les éléments composant ces comptes n’ont pas été
amortis et que le dénouement (livraison des biens ou travaux) n’est pas encore
intervenu
Compte 28 débiteurs
Compte 422 (Perso rém dues) débiteurs (centralisation mensuelle non passée)
Compte 4281 (Dettes prov pour congés payés) non mouvementés car provision
de l’exercice non constituée. Si une provision a été constituée, identifier sur
l’état des mouvements du personnel les salariés ayant quitté l’entreprise en
cours d’année et s’assurer que des provisions n’ont pas été constituées pour
ces derniers. La même analyse est à faire pour la provision pour retraite
Compte 445 (TVA déductible) non soldé : centralisation de TVA non passée ou
solde créditeur
Compte 443 (TVA collectée) non soldé : centralisation de TVA non passée. Par
ailleurs, ce compte peut présenter un solde débiteur si l’entreprise est soumise
au régime de l’encaissement (déclaration de la TVA lors de l’encaissement)
pour les prestataires de services. Pour les entreprises soumises au régime de
la TVA d’après les débits ou celles des livreurs de marchandises, ce compte
doit être soldé car l’exigibilité de la TVA intervient lors du débit du compte
client ou à la livraison (pour les livreurs)
Compte de charges autres que les comptes 637 Frais de personnel intérimaire
présentant un solde
AA CHARGES IMMOBILISÉES
AD IMMOBILISATIONS INCORPORELLES
AL Installations et agencements 234, 235, 238, 239p 283 (sauf 2831, 2832,
AQ IMMOBILISATIONS FINANCIÈRES
AR Titres de participation 26 296
AS Autres immobilisations financières 27 297
BA ACTIF CIRCULANT H.A.O. 485, 486, 488 498
BB STOCKS
BC Marchandises 31, 381, 387 p 391, 3981
BD Matières premières et autres approvisionnements 32, 33, 382, 383, 388 392, 393, 398p
BE En-cours 34, 35 394, 395
BF Produits fabriqués 36, 37, 386, 387 p 396, 397, 398p
BG CRÉANCES ET EMPLOIS ASSIMILÉS
BH Fournisseurs avances versées 409 490
BI Clients 41 (sauf 419) 491
BJ Autres créances 421, 4287, 4387, 492, 493, 495,
496,
4449, 445, 4487, 449, 497
45, 46, 4711, 475, 476
TRÉSORERIE-ACTIF
BQ Titres de placement 50 590
BR Valeurs à encaisser 51 591
BS Banques, chèques postaux, caisse 52, 53, 54, 57, 581, 592, 593, 594
582
BU Écarts de conversion-Actif 478
Réf. POSTES N°S DE COMPTES A INCORPORER
DANS LES POSTES
CAPITAUX PROPRES
ET RESSOURCES ASSIMILÉES
CA CAPITAL 101 à 104
CB Actionnaires, capital souscrit non appelé 109
CC PRIMES ET RÉSERVES
CD Primes d’émission, d’apport, de fusion 105
CE Ecarts de réévaluation 106
CF Réserves indisponibles 111, 112, 113
CG Réserves libres 118
BILAN-PASSIF CH Report à nouveau 12 (121 ou 129)
CI RÉSULTAT NET DE L’EXERCICE 13 (131 ou 139)
CP DETTES FINANCIÈRES
ET RESSOURCES ASSIMILÉES
DA Emprunts 161, 162, 1661, 1662
DB Dettes de crédit-bail et contrats assimilés 17
DC Dettes financières diverses 163, 164, 165, 166 (sauf 1661 et
1662) 167, 168, 181, 182, 183, 184
DD Provisions financières pour risques et charges 19
Réf. POSTES N°S DE COMPTES A INCORPORER
DANS LES POSTES
PASSIF CIRCULANT
TRÉSORERIE - PASSIF
ACTIVITÉ FINANCIÈRE
COMPTE DE RÉSULTAT-PRODUIT
SL Charges HAO 83
SM Dotations HAO 85
ACTIVITÉ FINANCIÈRE