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erreur orthographique chez les étudiants du FLE du 1ère année LMD du département de français à Sidi Bel
Membres de jury:
Chapitre I : L’écriture.............................................................................................08
I- Introduction….........................................................................................................09
II- L’écriture...............................................................................................................10
Chapitre II : L’orthographe de la langue française..............................................29
I- introduction….........................................................................................................30
II- L’orthographe de la langue française…................................................................30
III- la faute et l’erreur….............................................................................................47
Chapitre III : Présentation et analyse des résultats..............................................53
I- Introduction….........................................................................................................54
II- Le questionnaire....................................................................................................54
III- Le corpus…..........................................................................................................73
IV- La conclusion…...................................................................................................82
Conclusion générale….............................................................................................83
Références bibliographiques...................................................................................87
Annexes…………………………………………………………………………….
N
ous dédions ce travail à nos très chers parents et grands-parents pour leurs
soutien moral et matériel, nos frères et nos sœurs, professeur Hamidat, et
à tous les membres de la famille Senouci, Benmoussa et Bennouza.
À nos amis sans exceptions, ainsi qu’à nos camarades de promotion,
particulièrement ceux de l’option didactique du FLE, à l’ensemble du personnel
universitaire, en particuliers les enseignants du département de la langue française.
E
n premier lieu, nous tenons à remercier Allah le tout puissant et miséricordieux qui
nous a donné la force et la patience pour réaliser ce modeste travail.
Nous remercions sincèrement notre encadreur madame GRINE Souad pour son
aide, ses judicieux conseils et son soutien.
Nos vifs remerciements vont également aux membres du jury pour l’intérêt qu’ils ont
porté à notre mémoire en acceptant d’examiner notre travail.
Nous avons également l’honneur d’adresser nos remerciements les plus sincères à tous
les enseignants du département de la langue française qui nous ont soutenus moralement
et matériellement. Ils sont et resteront nos exemples.
Nous remercions aussi le chef département monsieur BELHADJ Abdelkrim pour son
soutien.
Enfin, nous tenons à témoigner toute notre gratitude à toute personne qui a contribué de
loin ou de près pour la réalisation de ce projet de fin d’études.
Introduction générale
Introduction générale
Introduction générale :
Dans un sens simple, la langue est un moyen efficace qui permet la communication entre
les individus. Il existe de nombreux types de langues dans le monde, qui diffèrent selon le
statut des personnes, par exemple pour les personnes ayant des capacités spéciales, la
langue des malvoyants diffère de la langue des malentendants, et ces deux dernières
diffèrent également de la langue habituelle parlée par les gens ordinaires, comme par
exemple (la langue française, anglaise, arabe…). Dans notre cas, notre préoccupation
portera sur le troisième type, ‘’la langue habituelle’’.
Il existe de nombreuses langues dans le monde qui diffèrent selon la région, ce qui
signifie que chaque région a sa propre langue, mais cela n’empêche pas une région
particulière d’apprendre la langue d’une autre région, dans ce cas cette nouvelle langue
acquise est dite étrangère, comme la langue française en Algérie.
Quant à l’Algérie, l’histoire de la langue française est très longue et très connue avec elle.
Par conséquent, on la trouve largement utilisée, à la fois dans le domaine académique ou
en dehors du domaine académique, ce qui fait de son apprentissage un sujet important
pour les algériens, mais c’est difficile en même temps, et sa difficulté réside dans le fait
que la langue française est une langue complexe en termes de mots et aussi en termes de
règles. C’est là que commence notre rôle comme chercheurs, notre travail consiste à
comprendre le problème pour trouver la solution.
Notre recherche s’articule autour de l’erreur orthographique chez les étudiants du FLE du
1ère année LMD du département de français à Sidi Bel Abbes.
Il est très claire que le problème du faible niveau d’écriture des étudiants ne cesse de
croître d’année en année, c’est pour cela, qu’on a décidé de faire une recherche en posant
la problématique suivante : ‘’quelle est le type d’erreur d’orthographe le plus commis par
les étudiants du 1ère année LMD, spécialisés en langue française, de l’université de
Djillali Liabes, département de français, à Sidi Bel Abbes ?’’
6
Afin de répondre à notre problématique, nous proposons les hypothèses suivantes :
-Le type d’erreurs orthographiques le plus commis est-il grammaticale ?
- Le type d’erreurs orthographiques le plus commis est-il lexicale ?
Le dernier chapitre sera réservé à l’analyse d’un corpus des copies d’examen, et un
questionnaire adressé aux étudiants du 1ère année français LMD qui va nous aider à
répondu à notre problématique.
Chapitre I :
L’écriture
Chapitre I L’écriture
I. Introduction :
L'écriture en général et l'écriture française en particulier, ont connu de
nombreux développements et changements au cours de l'histoire jusqu'à ce
qu'elles atteignent la forme finale que nous connaissons actuellement, parce
que ces dernières sont des composantes essentielles dans la civilisation qui
évolue avec son évolution. En outre, l’écriture est un élément très important
pour les individus parce qu’elle « […] peut être un témoignage, un
révélateur de la santé mentale; surtout quand elle change brusquement. Elle
peut être une aide pour l'équilibre et elle est, en même temps, un signe de
l'équilibre.
Elle doit être respectée parce qu'elle dépend beaucoup de la personnalité
de chacun, et des avatars qu'il a connus au cours de sa petite enfance et de
sa vie scolaire. L'écriture première est une superstructure, on ne peut la
modifier qu'en agissant sur l'infrastructure de la personnalité. Le plus
souvent, elle échappe à l'enseignement. Mais, par contre, en travaillant au
niveau de la calligraphie, on peut obtenir de bons résultats parce que, cette
fois, la pédagogie y peut quelque chose. Et on peut obtenir aussi de bons
résultats sur le plan de l'être. » (« Paul Le Bohek » L’apprentissage de
l’écriture « page 148 »)
9
II. L’écriture :
II.1. La définition de l’écrit et de l’écriture :
La définition de l’écrit :
Nom masculin -1.Toute chose écrite. -2. Acte,
convention écrits. -3. Ensemble des épreuves écrites
d’un examen, d’un concours. -4. Langue écrite
CONTR. Oral. (Dictionnaire LAROUSSE)
-1. Papier ou parchemin sur lequel une chose est
consignée avec des lettres. Passez-moi cet écrit. -2. Un
mot d'écrit, une lettre très courte, un écrit très court. -3.
En écrit, par écrit, sur le papier, par opposition à de vive
voix. -4. En procédure, instruction par écrit, affaire
instruite par écrit. Procès par écrit, instruction, affaire,
procès où tout est fait par écrit. Preuve par écrit, par
opposition à preuve testimoniale. (Dictionnaire LITRÉ)
La définition de l’écriture :
La « grammatologie » ne se propose pas de réhabiliter
l'écriture au sens courant de simple transcription de la
parole, mais de la redéfinir comme trace, écart
imperceptible qui disjoint la présence. Cette écriture,
qui englobe tout le champ du langage, c'est-à-dire aussi
la parole, se définit encore comme archi-écriture ou
archi-trace, toujours dissimulée par le fantasme d'une
parole qui rêve de chasser son double et travaille à
réduire sa différence constitutive. (« DERRDA
Jacques » ‘’Une autre définition de l'écriture’’)
L’écriture capitale :
Par capitale, on entend un genre d'écriture soigné et
majestueux, encore employé aujourd'hui sous des formes plus
ou moins pures dans les frontispices et les titres des livres. Elle
tire sa dénomination de ce qu'elle servait à orner la tête (caput)
des volumes, des chapitres et des alinéas. C'est, de toutes les
formes d'écriture, celle qui remonte à la plus haute antiquité, et
qui nous est connue par les monuments les plus anciens; c'est
aussi celle qui a le moins varié, et dont le déchiffrement
présente le moins de difficultés. Elle se montre avec toute sa
simplicité et sa beauté dans les inscriptions lapidaires des
beaux temps de l'Empire romain. Rarement les manuscrits nous
la présentent sous une forme aussi parfaite. Sous la plume des
écrivains, elle devait naturellement s'altérer, surtout après que
le dépérissement de la littérature; on donne le nom
de rustique à cette capitale dégénérée. Elle se distingue en ce
que les lettres sont, en général, dépourvues de bases, de
traverses, de sommets, en ce qu'elles sont tracées avec
négligence, et inégales en hauteur. Elle a été fréquemment
employée surtout pour les titres des chapitres et dans certains
passages destinés à attirer l'attention d'une manière toute
spéciale. Cette écriture est d'une lecture facile; mais on éprouve
de grandes difficultés quand on veut en fixer l'âge avec quelque
précision.
Voici toutefois deux principes importants à retenir. Les
manuscrits entièrement écrits en lettres capitales sont antérieurs
au IXe siècle. Si, dans ces manuscrits.
Les mots ne sont pas séparés, ou s'ils ne le sont que dans les
endroits où le sens indique un repos, c'est un indice qu'ils
remontent pour le moins au commencement du VIIe siècle. Du
Ve au XIIe siècle, la capitale est employée sur les sceaux; elle
affecte des formes plus régulières sur les sceaux des
Carolingiens. Cependant les mots ne sont pas encore isolés, et
les abréviations ne sont indiquées par aucun signe; les signes
abréviatifs ne paraissent qu'au XIe siècle.
L’écriture onciale :
Le mot onciale, dont l'étymologie ne pourrait qu'induire en
erreur, désigne une écriture majuscule dont les caractères
présentent en général des contours arrondis. La différence entre
l'onciale et la capitale réside dans la forme des lettres A, D, E,
G, H, M, Q, T, V. On peut voir un alphabet de cette écriture
dans les Éléments de Paléographie de Natalis de Wailly.
Les Bénédictins distinguent plusieurs variétés d'écriture
onciale, qu'ils désignent par les épithètes d'anguleuse, massive,
tortueuse, élégante, ou par les qualifications suivantes : à
double trait, à simple trait, à plein trait, à traits obliques.
L'onciale atteignit un assez haut degré de perfection sous
Charlemagne et ses premiers successeurs. Les manuscrits en
écriture onciale sont antérieurs à la fin du Xe siècle, quelle que
soit leur nature; et dans le cas où ce ne seraient pas des
ouvrages liturgiques ou des livres écrits pour l'usage spécial
des princes, on pourrait les faire remonter avec assurance au-
delà du VIIIe siècle. A cette règle ajoutons ces judicieuses
observations de Wailly : parmi les différentes espèces
d'onciales, celles dont les formes libres et courantes n'excluent
pas une certaine simplicité, appartiennent aux temps les plus
reculés.
Du Ve siècle au commencement du VIIe, l'onciale est tantôt
plus négligée, tantôt plus correcte, mais aussi tracée avec
moins de liberté; ce dernier genre d'écriture se rencontre
ordinairement jusqu'au commencement du VIIIe siècle. Quand
le travail de l'écrivain est poussé jusqu'à la recherche, on
approche du temps où l'usage de l'onciale sera bientôt
abandonné.
L’écriture cursive :
Les Bénédictins et les autres diplomatistes sont d'accord pour
reconnaître que l'écriture cursive était en usage chez les
Romains. On devrait naturellement le supposer, même en
l'absence de preuves positives; la cursive, en effet, était
absolument nécessaire dans un pays où l'instruction était
répandue et les écritures extrêmement communes. Les
Bénédictins citent à l'appui de leur sentiment d'anciens
documents, le Joshèphe de la traduction de Ruffin écrit sur du
papier d'Égypte et conservé à Milan, des manuscrits du
chapitre de Vérone, a note du Saint Hilaire du Vatican écrit l'an
500, et le catalogue écrit du temps de Grégoire le grand et
publié par Muratori La cursive se distingue en ce que les lettres
sont liées ensemble; il est difficile de dire où une lettre finit, où
une autre commence; d'ailleurs, dans leur union, les lettres se
transforment. Aussi est-il impossible de se rendre un compte
exact de cette écriture par l'alphabet qu'on en dresserait; il faut
l'étudier dans son ensemble, sur les pièces elles-mêmes, ou sur
des fac-simile exactement faits; comme on en peut voir dans
les traités spéciaux de diplomatique.
L’écriture minuscule :
L'écriture minuscule emprunte, en les modifiant, quelques
lettres aux différentes espèces de majuscules et à la cursive.
C'est d'après elle qu'ont été composés les caractères
typographiques appelés Petit romain. Suivant les Bénédictins,
ce genre d'écriture aurait été connu des Romains ; mais Wailly
a rejeté cette opinion, et a fait remarquer que les deux
caractères qui distinguent essentiellement l'alphabet minuscule
de l'onciale et de la cursive ne se rencontrent jamais dans
l'écriture mixte du commencement du VIe siècle, où l'on trouve
des lettres onciales de hauteur réduite réunies à des caractères
cursifs. Quoi qu'il en soit, il paraît constant que la minuscule
est au moins du VIIIe siècle. A partir de cette époque, elle ne
tarda pas à se développer, et se maintint sans notables
changements jusqu'à la fin du Xe siècle. Alors elle se
transforma d'une manière sensible : les lettres devinrent
généralement plus droites et plus serrées, et prirent, dans les
diplômes principalement, des traits allongés et sinueux. Dans
sa première période, la minuscule reçoit le nom
de caroline ou carolingienne, et dans la seconde le nom
de capétienne. Vers la fin du XIIe siècle, elle s'altéra, devint
anguleuse, plus serrée, moins régulière. Elle ne fut presque
plus en usage dans les actes de toute espèce après le
commencement du XIIIe. Au XVIe siècle elle reparaît dans
toute sa pureté sur ces beaux manuscrits italiens, qui ont servi
de modèles à nos caractères typographiques. L'écriture
minuscule diplomatique en des diplômes, tout en étant pour le
fond semblable à celle des manuscrits, s'en distingue dès
l'origine par les traits allongés des queues et des hastes, qui la
rapprochent de l'écriture cursive, avec laquelle cependant la
distinction des lettres ne permet pas de la confondre.
Après cette période il y a La période gothique : L'écriture
gothique prend naissance au XIIIe siècle; on trouve bien
encore, dans les siècles antérieurs, quelques-uns des caractères
qui lui sont propres, et, réciproquement, les caractères anciens
qu'elle remplaça ne disparaissent pas complètement après cette
époque; car dans les transformations d'un art libre et personnel,
les transitions n'ont pas une date précise; elles n'ont pu s'opérer
que graduellement et d'une manière insensible. L'écriture
gothique, qu'il serait mieux s'appeler scolastique, n'est que
l'écriture romaine, à laquelle la forme anguleuse de ses lettres
donne une physionomie particulière. Elle se divise en quatre
genres : la majuscule, la minuscule, la cursive, et la mixte.
La majuscule gothique :
La majuscule gothique ne se prête pas aux mêmes subdivisions
que la majuscule romane. Quelques lettres affectent la forme
capitale (a, d, g, q), d'autres (e, h, m, u) sont empruntées à
l'onciale; mais comme elles sont employées dans le même texte
avec les lettres majuscules, on ne saurait y voir les éléments
d'écritures distinctes. Les lettres majuscules ne sont guère,
employées dans les manuscrits que comme lettres initiales.
Contrairement à la pratique des siècles précédents, les passages
remarquables, les titres mêmes sont écrits comme le reste en
lettres minuscules qui ne diffèrent des autres que par leur
hauteur et par la couleur de l'encre. L'usage des lettres
majuscules étant ainsi restreint, on a pu sans inconvénient les
surcharger de traits inutiles, qu'il aurait fallu bannir d'une
écriture suivie et commune.
La majuscule gothique est d'un emploi très fréquent dans les
inscriptions et sur les sceaux, où elle prend la place de la
capitale romaine dès la fin du XIIe, ou le commencement du
XIIIe siècle. Le mélange des lettres romaines et des gothiques
n'a jamais cessé complètement cependant la plupart des sceaux
sur lesquels les lettres C, E, H, M, N, présentent la forme
romaine, peuvent être considérés comme antérieurs au
XIVe siècle, et ceux où l'on ne retrouve plus ce mélange sont,
en général, postérieurs à la fin du XIIIe. Jusqu'au
commencement du XIVe siècle, les traits des lettres deviennent
de plus en plus épais, et sont accompagnés d'ornements
accessoires; à partir de cette époque ces ornements tendent à
disparaître; les lettres s'amincissent et s'allongent; au siècle
suivant, la majuscule est remplacée par la minuscule, ou s'en
rapproche par la forme serrée des lettres.
La minuscule gothique :
Dans l'écriture minuscule gothique, des lignes basées
remplacent les lignes droites et les lignes courbes.
Ce caractère s'observe principalement dans les lettres i, m, n, et
u, où l'on voit la tête de chaque jambage s'infléchir vers la
gauche, et le pied vers la droite, tandis que la partie
intermédiaire reste verticale; l'n se confond avec l'u; l'm ne se
distingue que difficilement de l'n précédé ou suivi de l'i, à
moins que cette lettre ne soit surmontée de l'accent; la brisure
parallèle et uniforme des jambages, le nombre infini des saillies
anguleuses, la finesse des liaisons qui contraste avec l'épaisseur
des pleins, donnent à cette écriture un caractère tout nouveau.
Plus on avance dans la période gothique, plus il est rare de
rencontrer l's final et les lettres a, c, t, sous les formes qu'elles
avaient dans l'ancienne minuscule. La minuscule diplomatique
se distingue de celle des manuscrits par le développement des
signes abréviatifs. Cette écriture ne dure guère; ce n'est que par
exception qu'on la rencontre dans les chartes du
commencement du XIVe siècle. Dès lors la cursive était
devenue d'un usage à peu près général.
Abandonnée de bonne heure pour les chartes et les diplômes,
elle persista plus longtemps dans les manuscrits; on l'y
rencontre encore au XVIe siècle, et il est remarquable que ses
formes anguleuses s'exagèrent, loin de s'atténuer, et que ses
traits débordent les lignes en tous sens. C'étaient les derniers
efforts d'une écriture à son déclin. Un goût plus épuré avait
amené en Italie le renouvellement de l'écriture romaine, et
bientôt les autres pays suivirent l'impulsion. Dès le milieu du
XVIe siècle la minuscule gothique ne servait guère en France
que pour écrire les titres de quelques ouvrages, et, à la fin du
même siècle, elle avait complètement disparu. La même
écriture fut très fréquemment employée sur les sceaux vers la
fin du XIVe siècle, et, pendant tout le XVe, elle s'y montra
constamment à l'exclusion de la majuscule. Mais au
XVIe siècle elle fut elle-même abandonnée pour les sceaux
aussi bien que pour les manuscrits.
L’écriture mixte :
On doit reconnaître, dans la période gothique, une écriture
particulière qui fut employée dans les chartes et les manuscrits
à partir des premières années du XIVe siècle. Régulière et nette
comme la minuscule, et comme elle sans liaisons, elle se
rapproche de la cursive par les lettres a, b, d, e, f, h, l et s,
qu'elle emprunta à son alphabet, et qui permirent de la tracer
avec plus de rapidité.
Voici un tableau qui contient quelques types des différents genres d’écriture :
L’écritu Les La
re lettres source
15. - IIe ou IIIe s. - Capitale carrée.
Fragment d'un manuscrit de
Capitale Virgile, dit
fragment Dionysien (Vatican
3256).
- Géorgiques, I, v. 61-89. Lettres
caractéristiques : A, E, T.
19. - IVe siècle. Onciale.
Fragment d'une colonne
Onciale du palimpseste De
Republica de Cicéron. -
Lettres
caractéristiques : A, D, E, M.
Inscription gothique
La du XIIIe siècle.
majuscul Cathédrale de Saint- Bertrand
e de Comminges. Photo : ©
gothique Serge Jodra, 2017.
Fichier:Dijon -
La Musée
capitale archéologique
romain
e
II.3. L’importance de l’écriture et en pédagogie :
Il est très évident que l’écriture est très importante dans plusieurs
domaines, surtout dans le domaine de l’éducation, parce qu’elle
aide l’apprenant dans la mémorisation et le sauvegarde des idées et
des informations durant son apprentissage, pour les réviser plutard,
en outre, elle peut aussi servir dans l'examination du niveau des
apprenants par réduire le bruit en réalisant des examens silencieux
et écrits. D’après l’article ‘’ Chronique « DIDACTIQUE ». La
didactique de l'écriture et la question du sujet’’, l’écriture dans ce
domaine joue plusieurs rôles, peut-être :
française
Chapitre II L’orthographe de la langue française
I. Introduction :
L’orthographe est la chaîne qui combine divers termes pour former une
langue cohérente, aussi elle est la loi qui maintient le bon fonctionnement
d’une langue.
Dans ce chapitre on va parler de l’orthographe de la langue française. On va
d’abord commencer par la définition, ensuite on va revenir à l’histoire pour
découvrir les départs de l’alphabet et d’orthographe, après on va parler de
son apprentissage, ces difficultés, ces erreurs, et sa relation avec l’écriture.
Finalement, on va mentionner aussi la faute et l’erreur. On va traiter la
distinction entre ces deux, et aussi parler de la pédagogie de la faute.
II.1. Définition :
L’orthographe : nom féminin, manière d’écrire
correctement les mots. (Dictionnaire LAROUSSE).
Ensemble des règles qui déterminent la
manière d’écrire les mots. (Dictionnaire
REVERSO).
Manière d’écrire les mots d’une langue correctement,
selon l’usage établi. Enseigner, apprendre, savoir
l’orthographe. Il ne met pas l’orthographe. erreur
d’orthographe. Il signifie, par extension, Manière
d'écrire les mots, et alors le sens est déterminé par une
épithète. Une orthographe correcte. Une orthographe
vicieuse. Son orthographe est détestable.
Il se dit, particulièrement, en parlant des Changements
que différents écrivains ont essayé, avec plus ou moins
de succès, d'introduire dans la manière d'écrire
ordinaire. L'orthographe de Ronsard, de Robert
Estienne, de Duclos, de Voltaire. Fig. et fam., Faire une
erreur d'orthographe, Avoir un tort de conduite. Il
signifie aussi Manquer de tact. (Dictionnaire de
30
l’académie française « 8ème » édition).
Le moyen français :
Le français du XIIIe siècle s'est déjà profondément modifié, sur tous les
plans : phonétique (avec un raccourcissement de tous les mots),
morphologique (simplifications des désinences), syntaxique (ex : l'ordre
des mots), lexical (enrichissement du vocabulaire). Mais l'orthographe
se fige alors que la prononciation continue d'évoluer. Du XIIIe au XVIe
siècle, nombre de tentatives auront lieu pour modifier l'orthographe des
mots, particulièrement à la Renaissance. Les grammairiens ou les poètes
y joueront un rôle important, mais aussi les imprimeurs.
Les archaïsmes :
L’orthographe s'est figée selon une prononciation ancienne, elle est donc
alors historique :
oi = /oy/ (o + semi-consonne) au XIIème, mais [wa] étendu
partout à partir de la Révolution.
ou = "o-ou" au XIIème, mais [u] aujourd'hui.
eau = ancienne triphtongue > [o] ; idem : faon (amuïssement
du o).
la consonne nasale double marque une ancienne nasalisation de la
voyelle précédente
Corrections étymologiques :
prononciation de consonnes muettes : subtil, admonester
(amonéter), absoudre, rédemption, sculpter, dompter.
contradictions : coq / porc, arc / jonc.
consonnes finales prononcées pour des mots empruntés (sinon,
muettes) : cactus, baobab, gaz, grog.
Le tréma :
Sur e,i,u.
Il a été introduit en 1532 par Jacobus Sylvius, notamment
sur i et u voyelles pour les distinguer de i et u consonnes ; celles-ci
seront ensuite remplacées par j et v. On a écrit : On les loüe (La
Fontaine) - Sur l'oüate molle (Boileau)- L'ïod (Turgot, dans
l'Encyclopédie) [yod].
Le poids de la règle :
L’idée de difficultés d’apprentissage en orthographe prend sa source
dans une sorte de syllogisme dont les prémisses sont les suivantes :
1. Les élèves font des erreurs d’orthographes.
2. Or ils ne devraient pas en faire.
La conclusion s’impose alors d’elle-même :
3. Donc ils ont des difficultés apprentissage.
Plusieurs points font problème. Pas la présence des erreurs
qui est peu contestable, mais on peut s’interroger sur les
présupposés de la seconde assertion. Il est généralement
admis que, quand on apprend, on commet des erreurs, ce
que rappelle cette formule souvent répétée aujourd’hui :
‘’L’erreur est inhérente à tout apprentissage’’. Alors
pourquoi l’apprentissage de l’orthographe échapperait-il
aux erreurs ?
L’emploi de devoir met sur la piste des règles : n’est-ce
pas quand l’orthographe relève de règle que l’infraction est
ressentie comme inadmissible ? Beaucoup d’enseignants le
pensent (« Millet, A. & Billiez, J. »
« 1994 » « «L’orthographe de tous les jours » pages «
67- 128 »), et s’en plaignent dans les lieux de formation :
‘’ils connaissent les règles et ne les appliques pas’’.
En somme, la connaissance de la règle est posée comme
suffisante pour empêcher la erreur. […] Mais le fait que
les élèves fassent des erreurs en dépit des règles ne permet
peut-être pas d’en déduire qu’ils ne devraient pas en faire.
L’orthographe grammaticale :
L’orthographe grammaticale correspond aux phénomènes d’accord en
genre, en nombre et en personne qui touchent les noms, des adjectifs, les
verbes et certains pronoms. Ces phénomènes s’inscrivent sur l’axe
syntagmatique.
En français, les marques d’accord sont redondantes à l’écrit et donnent
lieu à de véritables « chaînes morphologiques d’accord » (JAFFRE et
BESSONNAT, 1993). Alors qu’à l’oral, la marque du pluriel ne se
manifeste que sur le déterminant, le verbe et le pronom, à l’écrit, tous les
mots vont être modifiés. C’est par exemple le cas pour la phrase Les
petits enfants jouent. Ainsi, le marquage des accords à l’écrit ne va pas
pouvoir se reposer sur l’oral dans la plupart des cas.
Ce marquage des accords suppose donc des connaissances
métalinguistiques assez variées sur :
la catégorie grammaticale des mots ainsi que leurs fonctions ;
les oppositions entre singulier/pluriel et masculin/féminin ;
le choix parmi les différentes marques d’accord possibles (s, x ou
z à la fin d’un nom par exemple).
II.4. Les erreurs d’orthographe :
Les erreurs d’orthographes sont toutes les erreurs qu’on fait dans nos
écritures, et ces dernières sont divisées en trois types :
1. les erreurs grammaticales :
Toutes les erreurs qui concernent la grammaire (la
conjugaison, masculin/féminin, pluriel/singulier…) Ex : conj «
je manges/je mange ».
Pour les chercheurs qui travaillent sur les processus d’écriture, l’orthographe
n’est pas première : ‘’Claire Doquet-Lacoste’’ (2003), s’est intéressée à l'écriture
non manuscrite (traitement de texte) en CM2 et a développé une méthodologie
d'analyse de l'écriture en temps réel, inspirée de la génétique du texte. Elle a pris
en compte l’orthographe à titre secondaire.
Dans une thèse récente, conduite en Sciences de l’éducation, Bernard Slusarczyk
(2011) étudie les relations entre les performances en production écrite et les
performances orthographiques, du CE2 à la classe de sixième.
Dans une première étude, il trouve qu’il n’y a pas de corrélation entre la qualité
du texte, la quantité de texte et la qualité orthographique en CE2 alors que trois
ans plus tard, performance orthographique et qualité du texte sont reliées. Dans
une seconde étude longitudinale, conduite du CE2 au CM1, il établit un lien entre
la performance rédactionnelle et les performances orthographiques lexicales à
partir de la fin du CE2. Ceux qui écrivent des textes structurés, cohérents et
intéressants sont aussi les meilleurs orthographieurs.
Finalement elle a conclu ce sujet par mentionner que les travaux conduits dans le
domaine des sciences du langage (linguistique textuelle et de la linguistique de
l’énonciation) ont peu à peu contribué à l’affaiblissement de l’orthographe, la
dimension textuelle et la maitrise des discours devenant prioritaire. Il n’est donc
pas étonnant que l’orthographe soit tombée de son piédestal ou plutôt qu’elle ait
été remise à sa place en tant que composante de l’écriture.
un acte de l’esprit qui tient pour vrai ce qui est faux et inversement
; jugement, faits psychiques qui en résultent. (LE PETIT ROBERT,
1985 : page : 684.)
un jugement contraire à la vérité. (LE PETIT LAROUSSE illustré,
1972 : page : 390.)
écart par rapport à la représentation d’un fonctionnement normé.
(Cuq et alii, 2003 : page : 86.)
Finalement, elle a cité le but de l’exercice proposé par l’article, cette dernière
est d’amener le groupe d’adolescents ayant parcouru deux cents heures de
français, habitués à la réflexion et à la correction mutuelle dès le début de
l’apprentissage, non seulement à corriger leurs erreurs, mais à ne plus les
commettre. L’erreur est donc placée au centre de l’activité comme objet d’étude
et de réflexion. Elle a aussi cité le déroulement de cette exercice par dire qu’elle
se fait à partir d’erreurs précises et réellement commises et suppose plusieurs
étapes distinctes ; dans un premier temps, le groupe d’enseignés est invité à
examiner la tournure soit sachant qu’il y a une erreur, soit ayant à décider eux-
mêmes s’il y en une. Dans une seconde phase, on suppose obtenir des
apprenants une première correction ; de manière facultative, Lamy introduit
comme phase suivante la comparaison avec la langue maternelle. Dans une
quatrième étape, on cherche avec le groupe à garder l’élément incorrect en
procédant à des changements de tournure
(ajouts, suppressions, substitutions, déplacements) pour qu’elle reste correcte.
Ce qui suit est une première observation collective du « dégroupement » : le
groupe est amené à comparer la première correction proposée (étape II) avec la
tournure changée (étape IV). Les apprenants peuvent demander des explications
supplémentaires o en proposer ; il est important d’accepter leurs propositions, le
but de cette étape n’étant pas de trouver l’ « explication en soi », mais de «
mieux fixer pour mieux produire ». Dans une septième étape, on fait des
« regroupements » : on produit des constructions similaires à celles qui sont
proposées dans les phases ‘’II’’ et ‘’IV’’ pour arriver, dans une dernière étape, à
faire produire des phrases en situation.
Chapitre III :
Présentation et analyse des
résultats
Chapitre III Présentation et analyse des résultats
I. introduction :
Dans ce chapitre notre travail sera divisé en deux parties, la 1ère partie sera
pour le questionnaire, et la 2ème pour le corpus.
Avant de commencer la première partie, on va d’abord présenter notre public
cible.
II. Le questionnaire :
II.1. Présentation du questionnaire :
Notre questionnaire se compose de 15 questions. La première et la
deuxième question vise à ouvrir notre questionnaire, et de la troisième
jusqu’à la onzième question ont pour but de recueillir des informations de
base à utiliser dans les solutions proposées, le même cas pour la treizième
question.
Quant aux questions restantes, douze, quatorze et quinze, ont pour
parvenir à une conclusion pour arriver à une réponse pour notre
problématique.
57
Chapitre III Présentation et analyse des résultats
Pourquoi :……………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
…………………………….
5. aimez-vous la lecture ?
͏ oui.
͏ Non.
6. Pensez-vous que la lecture est un outil efficace pour l’amélioration du niveau
d’orthographe ?
͏ Oui.
Non.
Pourquoi :……………………………………………………………………………
58
Chapitre III Présentation et analyse des résultats
………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
59
7. Faites-vous la lecture ?
͏ Oui.
͏ Non.
Si oui, citez cinq livres que vous préférez...
͏
͏
͏
͏
͏
8. Aimez-vous la dictée ?
͏ Oui.
͏ Non.
9. Pensez-vous que la dictée est un outil efficace pour l’amélioration du niveau
d’orthographe ?
͏ Oui.
͏ Non.
Pourquoi : ……………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
…………………………….
10. Faites-vous la dictée dans la classe avec vos enseignants ?
͏ Oui.
͏ Non.
11. Comment aimez-vous faire la dictée dans la classe ?
͏D’une manière quotidienne.
De temps en temps.
Pourquoi :……………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………
…………………………….
12. Quel est votre niveau d’orthographe ?
͏ Faible.
͏ Moyen.
͏ Bon.
13. Quelles sont les raisons derrière ce niveau ?
͏La lecture (O-je fais la lecture/O-je ne fais pas la lecture).
͏Les cours spéciale d’orthographe (O-je fais les cours/O-je ne fais pas les
cours).
͏La dictée (O-je fais la dictée/O-je ne fais pas la dictée).
͏ D’autres raison :
͏ ………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………
………………………...
14. Faites-vous plusieurs fautes d’orthographes dans vos écritures ?
͏Oui beaucoup.
͏Non pas vraiment.
15. Quels types des fautes d’orthographe commettez-vous fréquemment dans vos
écritures ?
͏Grammaticales (vous ne connaissez pas les règles de grammaire
EX :’’féminin/masculin’ ’- ‘’singulier/ pluriel’’ -la conjugaison’’).
͏Lexicales (vous ne connaissez pas l’écriture exacte d’un mot EX :’’les
mots techniques’’).
͏Phonétique (vous écrivez les mots selon ce que vous entendez EX :
‘’corbeau/corbo’’).
II.2. Analyse du questionnaire :
Question N°01 : Quel est votre niveau dans la langue française ?
Répons Nombre Pourcenta
es d’apprenant ge
Faible 00 0%
Moyen 13 87%
Bon 02 13%
Moyen
87%
L'orale 60%
Non 4 27%
Oui
Non 02 14%
Oui 86%
APHIQUE N°06: PENSER-VOUS QUE LA LECTURE EST UN OUTIL EFFICACE POUR L'AMÉLIORATION D’ORTOGR
Non 7%
O
Non 07 47%
Oui 86%
Question N°09 : Penser vous que la dictée est un outil efficace pour
l’amélioration du niveau d’orthographe ?
Non 01 07%
RAPHIQUE N°09:PENSER VOUS QUE LA DICTÉE EST UN OUTIL EFFICACE POUR LAMÉLIORATION D’ORTOGRA
Non 7%
Oui 93%
Oui 93%
Commentaire :
Ce résultat prouve que la plupart des apprenants aiment faire la dictée
d’une façon quotidienne, cela montre l’importance de la dictée dans
l’orthographe de la langue française.
Moyen 15 100%
Bon 00 00%
Moyen
100%
La dictée20%
La lecture
40%
Les cours
spéciale d'orthographe 40%
GRAPHIQUE N°14:FAITES-VOUS
PLUSIEURS FAUTES D'ORTHOGRAPHES
DANS VOS ÉCRITURES?
Oui beaucoup
40%
Non pas
vraiment 60%
Phonétique 04 27%
Phonéthique
Grammaticale
27%
40%
Lexicales
33%
La méthode qualitative :
Les erreurs
orthographiques
Le Des erreurs La correction Des erreurs La correction
grammaticales
numér lexicales
o
de la
copie
C 01 -noms (s/p) - (02 fois) -un nom... -circonstentil -circonstanciel
-désignes (s/p) -un nom qui -épithéte -épithète
désigne…
-seraient (conj) -saurait -empéché - empêchée
-aurions fais (conj) -ferions
-ne les auraient pas -avait pas empêchée
empéché
(conj)
C 02 -savent (conj) -saurait -météorlogique -météorologiques
-était (conj) -j’étais -superieures -supérieures
-ne (a e d g) -n’auriez
-faisons (conj) -ferions
-n’empêche pas (conj) -n’avait pas
empêchée
-intransitive (f/m) -un verbe intransitif
-transitive directe (f/m) - -un verbe transitif
(03 fois) direct
-transitive indirecte (f/m) -un verbe transitif
indirect
C 03 -qualifiquatif -qualificatif
-epithète (02 -épithète
fois)
-present -présent
-deuxieme -deuxième
-appusé -apposé
-ngation -négation
- -météorologiques
metéorologiques
-etaient (02 fois) -étaient
-saurrait -saurait
-souvens -souvent
C 04 -regardes (f/m) -chacun de ses -verb (05 fois) -verbe
-certaines (f/m) regards -present -présent
-serait (conj) -certains -tronsitif (02 - transitif
-ne (a e d g) -serais fois) -l’impôt
-n’auriez -l’impot - intransitif
-intronsitif -météorologiques
-métérologiques -étais
-etais
C 05 -ne (a e d g) -n’était… -courageus -courageux
-était empêchée pas (conj) -avait pas empêchée -supèrieures -supérieures
-leur (s/p) -peu de parents… -ètude -étude
leurs enfants -oborder -aborder
C 06 -leur enfant (s/p) - peu de
parents…leurs
enfants
C 07 -intransitive (f/m) -un verbe intransitif -météologiques -météorologiques
-transitive (f/m) (08 fois) -un verbe transitif -ètant -étant
-directe (f/m) - (02 fois) -un verbe transitif -d’èmenstrative -démonstrative
-indirecte (f/m) direct -d’éfinie -définie
-saurais (conj) -un verbe transitif
-était pas empêchée (conj) indirect
-saurait
-avait pas empêchée
C 08 -s’auraient saveè (conj) -saurait -antècedent -antécédent
-aurrez (conj) -auriez -antècédent -antécédent
-fassions (conj) -ferions -singuliè -singulier
-épithèt -épithète
-present -présent
-troisiéme -troisième
-dèterminant -déterminant
-conjugè -conjugué
-conjuguè -conjugué
C 09 -des personne (s/p) -des personnes -ètudes -études
-supérieurs (f/m) -des études -discour -discours
-êmpicherai (conj) supérieures -prèsenté -présenté
-avait empêchées -rèalisable -réalisable
-concernèes -concernées
C 10 -était (conj) -étaient
-exacte (s/p) -toujours exactes
-saura (conj) -saurait
-était (conj) -étais
-serai (conj) -serais
-ne (a e d g) -n’auriez
-faisions (conj) -ferions
-était pas empêchée (conj) -avait pas empêchée
C 11 -fèminin -féminin
-conjugais -conjuguais
-ètudes -études
-supèrieures -supérieures
C 12 -savaient (conj) -saurait -dentise -dentiste
-était (conj) -serais -boucoup -beaucoup
-aviez (conj) -auriez -superieures -supérieures
-fons (conj) -ferions
-ne pas empêchait (conj) -avait pas
empêchées
C 13 -savait (conj) -saurait
-sera (conj) -serais
-ne (a e d g) -n’aurez
-aurez (conj) -auriez
-faisons (conj) -ferions
-n’est pas empêche (conj) -avait pas
-directe (f/m) empêchées
-indirecte (f/m) -un verbe transitif
direct
-un verbe transitif
indirect
C 14 -soiaient (conj) -saurait
-ferons (conj) -ferions
-ne l’ais à pas empêchée -n’avait pas
(conj) empêchées
C 15 -savait (conj) -saurait -superieures -supérieures
-serai (conj) -serais
-aviez (conj) -auriez
-n’ont pas empêché (conj) -n’avait pas
empêchées
C 16 -était pas empêchée (conj) -avait pas
-ne (a e d g) empêchées
-fesons (conj) -n’auriez
-indirecte (f/m) -ferions
-transitif indirect
C 17 -savait (conj) -saurait
-fut (conj) -serais
-aviez (conj) -auriez
-faisons (conj) -ferions
-n’empêche pas (conj) -n’avait pas
empêchées
C 18 -transitive directe (f/m) -un verbe -verb -vebe
-adjective (f/m) transitif direct
-un adjectif
C 19 -serait (conj) -serais -etant -étant
-faissons (conj) -ferions -etudes -études
-supérieurs (f/m) -des études -superieurs -supérieures
supérieures -verb (03 fois) -verbe
-presenté -présenté
Il reste un troisième et dernier type de copie, je l’appelle ‘’mono’’, j’entends par là,
les copies qui contiennent un seul genre de erreur, soit grammaticale ou bien lexicale.
On commence par le premier type, qui est le type des copies qui contiennent que les
erreurs grammaticales. On a la 06ème, la 10ème, la 13ème, la 14ème, la 16ème et la 17ème.
Il n’y a pas une grand-chose à dire concernant les copies numéro 06 et 16. Parce que
la 06ème contient juste une seule erreur qui est l’oubli de ‘’s’’ de pluriel, et la 16ème
contient des erreurs simples, telles que de la conjugaison, le confondre entre le
masculin et le féminin et l’écriture du mot ‘’ne’’ au lieu de « n’ » avant le verbe
auriez.
La majorité des erreurs dans les copies numéro 10 et 13 sont des erreurs de la
conjugaison, à cause d’un manque de révision. Le même cas pour les copies numéro
14 et 17, sauf que dans ces deux dernières, pas la majorité mais toutes les erreurs sont
des erreurs de la conjugaison.
Finalement, il reste qu’une seule copie qui dénote une négligence de la part de son
propriétaire avec ces quatre erreurs lexicales. Trois erreurs où il a inversé l’accent et
une erreur dans laquelle il a oublié une lettre au milieu d’un mot. Cette copie est la
copie numéro 11.
La méthode quantitative :
Les erreurs d’orthographe
Les erreurs grammaticales Les
Le Conj f/m s/p Aed erreur Le nombre
numé «%» «%» «%» g s total des
ro de «%» lexica erreurs de
la les chaque copie
copie «%»
C 33,33 33,33 33,33 09
01 % % %
C 33,33 41,66 8,33 16,66 12
02 % % % %
C 100 % 12
03
C 6,25 12,5 6,25 75 % 16
04 % % %
C 14,28 14,28 14,28 57,14 07
05 % % % %
C 100 % 01
06
C 11,11 66,66 22,22 18
07 % % %
C 25 % 75 % 12
08
C 12,5 12,5 12,5 62,5 08
09 % % % %
C 75 % 25 % 25 % 08
10
C 100 % 04
11
C 62,5 37,5 08
12 % %
C 62,5 25 % 12,5 08
13 % %
C 100 % 03
14
C 80 % 20 % 05
15
C 50 % 25 % 25 % 04
16
C 100 % 05
17
C 66,66 33,33 03
18 %
C 20 % 10 % 70 % 10
19
o Commentaire :
Tout d’abord, étant donné le nombre total des erreurs commises dans toutes les copies qui est
‘’153 erreurs’’, on remarque que les étudiants de ce niveau présentent vraiment des
difficultés en ce qui concerne l’orthographe.
Avec 47 erreurs, les erreurs de la conjugaison ont classé les premières dans ces
quatre genres, son pourcentage par rapport au nombre total des erreurs était autour de
30,71 %, et ça c’est un nombre énorme pour un seul genre d’erreur, ce qui signifie
qu’on a trouvé ces erreurs dans la plupart des copies, et donc on pense que ces erreurs
peuvent considérer comme un point noir pour les étudiants.
Le genre des erreurs qui a classé en deuxième avec un nombre de 26 erreurs et un
pourcentage autour de 16,99 % au total, c’est les erreurs de confondre entre le
masculin et le féminin, on a pas trouvé ces erreurs dans plusieurs copies, le même
cas pour les erreurs de confondre entre le singulier et le pluriel, avec un nombre de
juste 07 erreurs, et de pourcentage autour de 4,57 %, ce dernier est classé en
troisième. Donc, on pense qu’on ne devrait pas inquiéter de telles erreurs, parce
qu’elles se produisent généralement en raison du manque de concentration de la part
de l’étudiant. Le quatrième et le dernier genre d’erreur au classement des erreurs
grammaticales c’est toutes les ‘’autres erreurs de grammaire'' qui non pas encore
mentionnées. En ce qui concerne ces erreurs, tout ce qu’on a trouvé est un total de six
erreurs, qui sont toutes des erreurs de l’écriture de le mot « ne » au lieu de « n’ ». On
pense qu’on peut être imprudent face à cette situation, parce qu’elle est l’une des
bases, et donc elle devrait être intuitive pour chaque étudiant dans un niveau avancé
comme la première année universitaire. Ce qui signifie que, si l’étudiant qui a commis
l’erreur de l’écriture du mot « ne » au lieu de « n’ » a relu ce qu’il avait écrit, il
saurait qu’il y avait une erreur.
Finalement, il reste le dernier type des erreurs qui est le type des erreurs lexicales, il
a classé le deuxième après le type des erreurs grammaticales, avec un nombre de 67
erreurs et un pourcentage autour de 43,79 %.
La plupart des erreurs commises dans ce type avec un total de 33 erreurs au
maximum et un pourcentage autour de 49,25 % par rapport au nombre total des
erreurs lexicales, sont des erreurs des accents (cas de l’oubli, l’inverse, etc.), qui
peuvent être décrites comme simples au point d’être ridicules, car la plupart d’entre
elles sont commises en raison de la paresse de la part de l’étudiant.
La moitié restante des erreurs, représente un total de 34 erreurs, et un pourcentage
autour de 50,74 % par rapport au nombre total des erreurs lexicales.
On constate qu’en raison des analyses qu’on a effectuées, on a obtenu les résultats
finaux, qui ont montré le type des erreurs d’orthographe qui se répète le plus dans les
copies des étudiants du 1ère année LMD FLE de Sidi Bel Abbes.
Compte tenu de copies analysées, on déclare qu’il est très clair que ces étudiants ont
un grand problème avec les erreurs grammaticales que les erreurs lexicales. On
ajoute que le genre des erreurs qui est en tête de la liste des erreurs grammaticales
trouvées dans les copies, est le genre des erreurs de la conjugaison.
IV. La conclusion :
A la fin des analyses des deux parties qu’on a faites dans ce chapitre, on
déclare que :
D’après les résultats de la 1ère partie, la pluparts des étudiants autour de
60% font des erreurs lexicales, et le reste, autour de 40% font des erreurs
grammaticales.
Mais, le contraire pour les résultats de la 2ème partie ; On remarque dans
cette dernière que le pourcentage des erreurs grammaticales dans les copies
des apprenants est autour de 56,19%, d’autre part, il y a le pourcentage des
erreurs lexicales qui est autour de 43,79%. Donc il est très clair que les
erreurs les plus commises dans cette partie sont des erreurs grammaticales.
Conclusion générale
Conclusion générale
Conclusion générale :
Notre recherche est pour un but pédagogique et didactique, elle vise à démontrer
l’erreur orthographique chez les étudiants du FLE du 1ère année LMD du
département de français à Sidi Bel Abbes.
Nous avons choisi ce niveau parce que pour ces apprenants, ce nouveau palier est
complètement différent par rapport aux paliers précédents, aussi, cette étape est
le premier pas pour être des spécialistes dans la langue, et donc, ils ont motivés
de développer leur niveau par remédier toutes les lacunes rencontrées de leur
part.
Au vu des résultats obtenus à travers nos analyses, nous pouvons dire que les
étudiants du 1ère année LMD ont un grand problème en ce qui concerne
l’orthographe de la langue française, et ça montre la nécessité et l’importance de
notre travail de recherche.
84
Notre questionnaire a été fait pour un objectif de connaître la position des
étudiants concernés, par rapport à notre sujet de recherche. Aussi pour nous aider
à répondre à notre problématique par les réponses explicites des étudiants. Mais
malheureusement nous avons constaté que la pluparts des réponses sont typiques,
que signifie qu’elles ne représentent pas leur niveau réel, par exemple, à la 12ème
question nous avons demandé aux étudiants leur niveau dans l’orthographe, et
toutes leurs réponses étaient qu’il est moyen, la même chose pour la 14ème
question, qui dite :’’Faites-vous plusieurs fautes d’orthographes dans vos
écritures ?’’, la pluparts des réponses étaient ‘’non pas vraiment’’, et cela
contraste avec ce que nous avons observé dans les copies des examens.
Quant au corpus, nous pouvons affirmer qu’à l’exception des difficultés que nous
avons rencontrées lors de notre analyse des copies des examens, par exemple la
mauvaise écriture, incompréhensible… elles étaient des bons exemples et utiles
en même temps, pour nous à répondre à notre problématique.
Concernant le nombre total des erreurs, il était grand compte tenu du nombre de
copies examinées. Le niveau d’orthographe de la pluparts des étudiants était
proche, et pour les erreurs, nous avons trouvé de nombreuses erreurs simples, qui
sont souvent causées un manque de concentration, mais malgré cela, elles
comptent comme des erreurs, et elles doivent être évitées.
A l’aide des résultats de nos analyses de notre corpus nous confirment la 1ère
hypothèse qui dite que Le type d’erreurs orthographiques le plus commis est
grammaticale. Nous constatons que La majorité des erreurs dans les copies
d’examen avec un total de 86 erreurs et un pourcentage autour de 56,19% étaient
grammaticales.
A l’aide des résultats de nos analyses de notre questionnaire nous confirment la
2ème hypothèse qui dite que le type d’erreurs orthographiques le plus commis est
lexicales. Nous constatons que la majorité des réponses des étudiants sur la
dernière question, avec un total de 09 réponses et un pourcentage de 60%, étaient
lexical.
Référence bibliographiques
Références bibliographiques
Articles :
CHRONIQUE « DIDACTIQUE ». LA DIDACTIQUE DE
L’ÉCRITURE ET LA QUESTION DU SUJET
Marire-France bishop
Armand Colin | « Le français aujourd'hui »
2006/4 n° 155 | pages 99 à 102
Dixit Nina Catach, Langue Française n° 20
Écriture « histoire de l’écriture en France »
Français « Programme d’études, Niveau élémentaire, École
fransaskoises 2000 ‘’les stratégies d’écritures’’ »
Histoire de l’orthographe
Ministère de l’éducation de la Saskatchewan
Français « Programme d’études, Niveau élémentaire, École
fransaskoises 2000 ‘’les stratégies d’écritures’’ ».
Dictionnaire :
Dictionnaire de l’académie française (8ème édition)
Dictionnaire Littré
La Rousse dictionnaire de français
Le petit Larousse illustré, 1972
Le petit Robert, 1985
Marquilló Larruy, 2003
Reverso dictionnaire
Mémoires :
Mémoire intitulé ‘’Erreurs et apprentissages : le rôle de l’erreur dans
l’apprentissage du français langue étrangère’’ / Réaliser par ‘’Paula
Maria Ristea’’ Master 2 « Didactique des langues étrangères et TICE »/
sous la direction de ‘’Mria-Alice MÉDIONI’’ / Présenté et soutenu
publiquement le 11 septembre 2006 / Université Lumière Lyon 2 –
Centre de Langues / page : 23.
88
MEMOIRE présenté pour l’obtention du CERTIFICAT DE CAPACITE
D’ORTHOPHONISTE / Par ‘’Aude MINNE’’ Né le 13 décembre 1990
à L’Arbresle (69) /intituler par ‘’ L’IMPACT DE L’UTILISATION DU
LANGAGE SMS SUR L’ORTHOGRAPHE’’/ Directeur de Mémoire :
BELLONE Christian, ‘’ orthophoniste’’ / Co-directeur de Mémoire :
MAILLAN Geneviève, ‘’linguiste’’ / Université Nice Sophia Antipolis
– Faculté de Médecine - Ecole d’Orthophonie / 2014 / pages : 22 à 24.
Ouvrages :
BRIN-HENRY Frédérique, COURRIER Catherine, LEDERLÉ
Emmanuelle, MASY Véronique. 2004. Dictionnaire d’Orthophonie.
Ortho Edition.
Cité dans S. Bajriæ, 2009, page : 106.
COGIS, D. (2000) : « La question de l’orthographe », in J.-M. Fournier,
La rédaction au collège. Pratiques, normes, représentations, Paris,
INRP, Coll. Rapports de Recherches, 142-164.
Cuq et alii, 2003 : page : 86.
‘’Didactique de l’orthographe : avancées ou piétinements ?’’
« Catherine Brissaud » 2011. Université Joseph Fourier – Grenoble 1
LIDILEM, université Stendhal – Grenoble 3. Pages : 212 à 213.
Difficultés en orthographe : un indispensable réexamen ‘’Danièle
Cogis’’/pub. Linguistiques « Revue française de linguistique appliquée
»/ 2001-1 VOL. VI- pages 48 à 49.
DOCQUET-LACOSTE, C. (2003) : Étude génétique de l’écriture sur
traitement de texte d’élèves de Cours Moyen 2, année 1995-96, thèse de
doctorat en sciences du langage, université de Paris 3.
ÉLALOUF, M.-L., JOURNOT, M., TAMINE, M., TISSET, C., TOMASSONE,
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Fayol, M. & Largy,P. (1992) : Une approche expérimentale de l’accord
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George, C. (1988) : Interaction entre les connaissances déclaratives et
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– téléphone mobile, Internet, jeux vidéo… SW Télémaque.
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SLUSARCZYK, B. (2011) : Étude longitudinale sur le lien entre
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production écrite d’élèves du CE2 à la sixième, doctorat de l’université
de Grenoble, spécialité Sciences de l’éducation
Rapport de stage :
‘’Rapport de stage sur l'enseignement/apprentissage du FLE’’
à l'école Al-Nahdha d'Abu Dhabi / par « Fatima Zohra Aliouat » /
Paris Sorbonne-Abu Dhabi - Master 2 français langue appliquée (aire
culturelle arabophone) 2011.
Sitographie :
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definition-de-l-ecriture/
http://www.cosmovisions.com/
https://www.cairn.info/revue-le-francais-aujourd-hui-2006-4-page-
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https://www.k12.gov.sk.ca/docs/francais/fransk/fran/elem/dome/dome3.
html?fbclid=IwAR2bOUMyM1kTEoJTG4ZE9u7AxEykciLflxvFV6ud6
e4NU5ASAsUUabxTqWw
http://www.cosmovisions.com/ecriture-capitale.htm
http://www.cosmovisions.com/ecriture- onciale.htm#:~:text=Les
%20quatre%20lettres%20caract%C3%A9ristiq ues%2C%20A,il
%20s'agit%20de%20classification.
http://www.cosmovisions.com/textEcriture02.htm
https://fr.vikidia.org/wiki/Fichier:Dijon_-
_Mus%C3%A9e_arch%C3%A9ologique_-_d%C3%A9dicace.jpg
http://bbouillon.free.fr/univ/hl/Fichiers/Cours/orthog.htm
Table des matières :
Chapitre I : L’écriture.....................................................................................................08
I- Introduction....................................................................................................................09
II- L’écriture.....................................................................................................................10
II.1- La définition de l’écrit et de l’écriture.......................................................................10
II.2- Aperçu historique sur l’écriture française….............................................................10
II.3- L’importance de l’écriture en didactique et en pédagogie…....................................20
II.4- Les stratégies d’écriture.............................................................................................25
Conclusion générale.........................................................................................................83
Références bibliographiques….......................................................................................87