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Ce paradigme accorde une forte importance à la pensée, à comment elle nait. Le corps devient
l’objet central de la cognition : c’est le corps qui pense ou c’est à travers le corps que nous pensons.
1. Précurseurs
- Spinoza : s’oppose à la conception de Descartes (deux substance distinctes et indép : corps et
âme) tandis que il pense qu’il n’y qu’une substance indissociable corps = esprit = substance
pensante ; image des 2 facettes pièce ; être heureux a/ Spinoza (plan philo)
- William James XIXè-XXè : père fondateur de la psycho actuelle ; continuum entre les états du
corps = physio et les continuum corporels (plan psycho) : Continuum entre les états
physiologiques et les états mentaux
« un état mental n’est pas immédiatement amené par l’autre, des manifestations corporelles
doivent d’abord s’interposer entre eux » W. James
Théorie de James-Lang des émotions
Réprimander par le patron que se passe-t-il : manif physio et par la suite émergence du
sentiment de la tristesse ou le contraire ? (cognition incarnée)
o
Traitements superficiels = traitement des caractéristiques physiques tq
forme , couleur
o Traitements profonds = sémantique (sémantique des objet) : traitements de
caractéristiques sémantiques cas dans le quel la mémorisation est meilleure
→ La mémorisation est favorisée par des traitements profonds
Importance du coût
et de profondeur le
▪ Structurale
▪ Catégorielle
▪ Sémantique = (définition)
Apprentissage implicite lorsque l’on ne sait pas qu’il s’agit d’une tâche de mémoire.
NOTES (LICENCE STAPS) : L’apprentissage n’est pas la mémoire, il faut favoriser des apprentissages
implicites car permet de mieux performer dans le cas d’une situation de stress ou de surcharge
attentionnelle (ex compétition = déstabilisant)
Critique de l’expérience : cela est causée sur quoi on dirige notre attention, effet de l’attention =
effet attentionnel et non pas un effet de profondeur de traitement
Expérience de Strnad et Muller
- 2 VI à 2 modalités
- VD = ce que m’on mesure soit ici le nb de visage correctement reconnus
Bilan de cette partie : il existe 1 seul registre de mémoire (mémoire unique) avec 2 processus
1. Attentionnel (être informé qu’il faille retenir l’info ou non et qui entraine des traitements)
2. Profondeur de traitement
Question de l’oubli, a quoi il est lité ? → traitement superficiel et attention faible ; il faut se mettre
dans des conditions d’apprentissage pour pouvoir apprendre sur le long terme
Mémoire unitaire = ?
Modal =
correspondant à
une modalité
sensorielle
particulière
Connaissance =
Les aires sont des topologies de neurones = populat° de neurones qui va coder l’état d’activation des
détecteurs de traits
1. Perception du téléphone
2. Activation des systèmes sensoriels : détecteurs de traits
3. Les détecteurs de traits vont coder une info=activation
4. Qui va être à un état sup = état modal = cartographie de l’activation neuro particulière
5. Formation d’une connaissance modale = état modal et stocker l’état d’activation
6. Etat multimodal : Zone de convergence : 3eme couche de neurone = étage neuronal qui
enregistre les captures d’activation
Damasio propose une connaissance tq une représentation sensorielle et motrice de ce que l’on
peut faire et ce que fait l’objet de nous. Il n’y a donc pas différents types de mémoires.
Par conséquent il y a un stimulus sui va être représenté à un niveau neuronal pour savoir ce que
me fait et ce que je peux faire de l’objet. On se représente le monde de manière sensorimotrice
3. La simulation sensori-motrice = un des concepts
➔Notre cerveau stocke un répertoire de réponse sensori-motrice il existe alors une
mémoire sensori-motrice
C’est le fait de réactiver des réponses sensori-motrices associées à une notion, à la connaissance
d’une chose. Le stimulus est stocké spis forme de réponse s-m (sensori-motrice)
Similation s-m = processus de récupération de l’info ; simulation au niveau des potentiels s-m ce que
l’on peut potentiellement ce que l’on peut me faire ou ce que je peux faire avec l’objet en question.
Exemple : téléphone
Lire le mot téléphone -> réactiver la connaisance stockée dans les zones de convergences-> simuler
l’ensemble des connaissance s-m dans état modal au niveau des aires associatiaives et des capteurs
de traits. téléphone stocker dans les zones de pcnvergences elsoit l’ensemble de
→ La simulation s-m
Exemple de la Madeleine de Proust , souvenir sui nous replonge dans une situation particulière et
donc réactive l’ensemble des connaissances que l’on a
C’est un processus qui nous replonge dans des expériences passées. Parfois il peut replonger dans
des expériences passées ou bien parfois il s’agit d’une illusion et pas d’une réalité objective.
- Il est facile de séparer, dissocier ce que l’on voit de ce que l’on entend mais ce n’est pas
toujours le cas.
- Le fait de voir influence ce que l’on entend , selon la modalité sur laquelle on se concentre le
son change.
- Le cerveau mélange, combine les 2 modalités provenant des détecteurs de traits de chacun
des sens.
Expérience : Rubber hand illusion = Illusion de la main en caoutchouc
4. Les simulations = expériences illustrant que la pensée est régie par des stimulations
sensorimotrices.
a. Visuelle
Lecture de phrases :
Variation du temps de réponses selon ce à quoi le sujet est habitué , Plus court en cas de
compatibilité. Lorsque l’on lit une phrase il y a une simulation de la situation visuelle et sensorielle en
vue de construire une image visuelle.
→ Ainsi possibilité de simulation visuelle sur le plan de la forme, de la couleur, orientation des
objets.
b. Motrice
Même expérience en présentant des mots et pas des objets et l’on retrouve les même résultats.
Lorsque l’on traite de l’info linguistique on continue à traiter l’info en activant les aspects s-m décrits
par la situation.
c. Emotionnelle
→ Lorsque l’on perçoit il y a des réponses d’approche et d’évitement et ses comportements vont
venir affecter la façon de percevoir son environnement
→ Le fait d’avoir un comportement moteur particulier influence sur la perception des objets
Nos expériences motrices affectent notre façon de nous représenter affectivement notre
environnement
En bref : la cognition incarnée c’est la perception d’un stimulus qui va venir activer un ensemble
de rféponses s-m qui vont être capturées et former la connaissance que l’on a de ce stimulus et le
simple fait de penser va réactiver cette connaissance va permettre de reconnaitre et comprendre
et ainsi agir de façon adaptée à son environnement