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Dans le livre Indiana, écrit par George Sand, Raymon, l’antagoniste peut-être de ce
roman, s’est couché avec Noun, mais il aimait Indiana. Donc, il y avait beaucoup de sentiments
qu’il s’est senti après cette nuit. Quand il s’est levé à la matinée, il était plein de regret. George
Sand a écrit que quand Raymon s’est levé dans la matinée, il était accablé de honte pour ses
Selon le livre, Raymon aimait Indiana, mais il s’est couché avec Noun. On peut dire que
cette action s’est passée parce que Noun était disponible et Indiana ne l’était pas. Noun y était
avec Raymon et il voulait profiter de cette situation parce qu’Indiana lui manque. Après il s’est
levé au matin, il était plein de honte. Il a supplié à une chambre silencieuse de faire lui pardonner
pour l’infamie. Il a beaucoup de regrets, mais il a utilisé les sentiments de Noun pour prendre ce
qu’il voulait.
journal a écrit que “a system of male dominance and control was operative in the lives of young
Raymond de se coucher avec Noun sans la considération des sentiments de Noun. Au matin,
Raymon pouvait seulement penser de ses relations avec Indiana et il ne s’est senti pas concerné
avec Noun. Quand Noun a réalisé que Raymond aimait Indiana, elle s’est suicidée. C’est le
mépris des sentiments de Noun après la nuit qui contribue aux conditions de maltraitance des
C’est vrai que la maltraitance de Noun a continué après sa mort. Après que Noun s’est
suicidé dans la rivière, les autres personnages l’a oubliée pour le reste du livre. Indiana quitte son
mari et elle va pour vivre avec Raymon. On peut dire que presque tous les personnages
obtiennent leur fin heureuse sauf Noun. C’est cela qui montre la maltraitance des négresses. Elles
ne peuvent pas obtenir leurs fins heureuses au monde des hommes blancs.
Chanson Douce, écrit par Leïla Slimani, est un roman à suspense qui termine en mort de
deux enfants. Mais cela n’est pas le centre de l’histoire. Slimani créait ce livre pour montrer le
sentiment de culpabilité des mères qui travaillent. Presque toutes ces mères se sentent ce
sentiment quand elles retournent au travail. C’est la même chose pour Mila. La vraie histoire
commence avec Myriam, la mère de Mila et d’Adam. Elle veut retourner au travail (20). La
culpabilité de Myriam réfléchit la culpabilité de toutes les mères autour du monde et ça influence
ses enfants.
Selon le livre, Myriam a décidé de retourner au travail après un rendez-vous avec Pascal,
un ami qui est allé à l’université avec elle. La vie d’une mère au foyer est trop banale pour
Myriam. Selon le livre, “elle se mise à détester les sorties au parc. Les journées d’hiver lui ont
paru interminables. Les caprices de Mila l’insupportaient, les premiers babillements d’Adam lui
étaient indifférents. Elle ressentait chaque jour un peu plus le besoin de marcher seule, et avait
envie de hurler comme une folle dans la rue” (19-20). Elle doit retourner au travail pour quelque
enthousiasme dans la vie. Elle est vraiment jalouse de son mari qui peut quitter la maison et les
enfants pour travaille. Ce n’est pas très bizarre à penser de la culpabilité que Myriam se sent
quand elle retourne au travail, mais c’est nécessaire pour sa santé mentale. Cette décision vient
avec beaucoup de critique de Sylvie, la mère de Paul. Sylvie juge Myriam parce qu’elle donne
trop de temps à son métier et elle n’a pas assez de temps pour ses enfants (131).
Les tensions entre Paul et Myriam et Louise augmente quand Louise commence à élever
les enfants comme s’ils étaient les siens. Ces tensions montrent la culpabilité de Myriam parce
qu’elle n’y est pas tout le temps, donc elle doit compter sur Louise de les élever quand elle ne le
peut pas faire. Slimani utilise Myriam pour montrer cette idée de culpabilité des mères qui
Autour du monde, tous les jours, les mères doivent regarder en face le fait qu’elles ne
peuvent pas faire tous, malgré les attentes de la société. Selon quelques chercheurs, “Research
has shown that women’s feelings of being pressured to be a perfect mother are related to
increased maternal guilt, lower self-efficacy beliefs, and higher stress levels - even when these
women do not hold strong intensive mothering beliefs themselves” (Meeussen et Van Laar 2).
C’est évident que Myriam accorde de l’importance à son métier, mais à cause de la pression de la
Cette culpabilité est aggravée par la morte de ses enfants. C’est normal pour les mères qui
travaillent à se sentir affectées parce qu’elles quittent leurs enfants pendant les journées. D’après
Children,” “Working mothers are likely to experience more conflict between their
responsibilities as parents and workers, which in turn might result in feelings of guilt” (Borelli et
al. 4). La normalité de cette culpabilité montre que la majorité des mères qui travaille la ressent.
Cependant, la culpabilité de travail de Myriam devient plus grande quand ses enfants sont morts.
Si elle ne retourne pas au travail, Louise n’aurait pas été employée par les Massé, et Mila et
Pendant que les lecteurs ne connaissent pas ce qui se passe dans les sentiments de
Myriam après la mort de ses enfants, on sait que la culpabilité de Myriam qui existe pendant les
vies de Mila et Adam est aggravée par leurs morts. La majorité des mères du monde ont la
culpabilité d’aller au travail au lieu de rester chez elles avec ses enfants. Toutes les mères
peuvent comprendre la culpabilité qui peut rester après une tragédie parce qu’elles ne sont pas là.
Myriam représente cette culpabilité et les mères qui voient cette tragédie tiennent les enfants plus
proches.
Aux États-Unis, le mariage est une institution précieux. C’est entre deux individus qui
s’aiment et qui veulent se passer le reste de leurs vies ensemble. Cette idée de mariage peut être
vue dans les pays les plus occidentaux. L’idée que le mariage est entre deux individus est une
idée contemporaine et ce n’est pas la vérité pour tout le monde. On peut voir les idées différentes
de mariage dans le livre Une Si Longue Lettre, écrit par Mariama Bâ. Les vues occidentales et
orientales se contredisent dans le roman pour expliquer les deux vues du mariage.
Dans le livre, il y a deux personnages qui peuvent montrer les valeurs différentes du
mariage. Aïssatou, la destinataire de la lettre, quitte son mari quand il prend une autre femme.
Ramatoulaye, l’envoyeur de la lettre, reste avec son mari après il prend une autre femme qui a le
même âge que leur fille. Ces deux femmes montrent les possibilités de mariage au Sénégal. La
polygamie est ordinaire au Sénégal, donc il n’y a pas de surprise à propos de ce qui se passe dans
le livre.
Pour comprendre les réactions de ces femmes, c’est important à comprendre la culture de
la polygamie. La polygamie veut dire “any simultaneous multiple marriage unions for one
person, such as female polyandry and male polygyny,” mais surtout, elle veut dire, “the state of a
man having more than one woman, including the religious, legal and customary aspects of these
unions” (Baloyi 165). La polygamie est un type de mariage vraiment bizarre pour les cultures
occidentales, mais en Afrique, ce n’est pas le cas. En Afrique, surtout l’Afrique de l’Ouest,
polygamie est normale et elle montre la classe sociale d’une famille. Les africains trouvent la
Dans le livre, Aïssatou choisit la vie occidentale plutôt que la vie africaine. Pendant que
les lecteurs ne gagnent pas la perspective d’Aïssatou, ils comprennent les raisons qu’elle quitte
son mari. Mawdo, son mari, a décidé de marier la petit Nabou parce qu’il ne voulait pas regarder
sa mère “[meure] de honte et de chagrin” (62). Après qu’Aïssatou entend l’information, elle a
décidé qu’elle ne pourrait pas rester avec Mawdo. Donc, elle choisit “la rupture, un aller sans
retour avec [ses] quatre fils, en laissant bien en vue, sur le lit qui fut [eux]” (64). Elle a écrit une
lettre à son mari pour dire au revoir et elle a quitté pour les États-Unis.
Ramatoulaye, Modou, voulait épouser l’amie de sa fille. L’amie, Binetou, a accepté l’offre de
mariage. Après le mariage, quand Ramatoulaye connait qu’elle est maintenant une co-épouse,
elle se demande si elle quitterait ou si elle resterait. Elle sait que si elle quitte, elle doit
“recommencer à zéro” (78). Après quelque réflexion, elle “choisit de rester” (88). Cette décision
n'était pas une décision facile. Les enfants de Ramatoulaye n’étaient pas d’accord avec la
décision, et Ramatoulaye pleurait tous les jours (88). Mais, c’était une décision qui bénéficierait
ses enfants parce qu’elle ne pourrait pas fournir pour les enfants sans Modou.
Les deux femmes dans Une Si Longue Lettre montrent les réponses adverses qui peuvent
se passer quand un mari prend une autre femme pour participer à la polygamie. N’importe quelle
décision une femme fait, c’est une décision toujours lourde. Cette décision transformera la vie
des femmes et de leurs enfants dans les deux situations. Si une femme décide comme Aïssatou
de quitter pour une nouvelle vie, elle doit quitter toute sa famille et toutes les choses qu’elle
connait pendant sa vie. Si une femme décide comme Ramatoulaye de rester avec son mari et
devenir une co-épouse, elle doit combattre le sens de ne pas être assezbien pour son mari. Elle
doit choisir de rester pour ses enfants. C’est une décision impossible et une décision qui montre
neocolonialist (economic) presence in Africa; the “language problem” and African languages in
literature; and the demand for multiculturalism in school curricula” (Thompson 143). Un poète
influent de ce mouvement est Aimé Césaire. Il a écrit le poème “Cahier d’un Retour au Pays
Natal.” Dans ce poème, Césaire montre la fierté d’être noir par l’utilisation des mots précis.
Afrique. Ce pouvoir met en colère les noirs en France et les immigrés. Donc, la négritude émerge
pour combattre ce pouvoir. Pour commenter sur les trois buts du mouvement négritude, Césaire
utilise les mots précis. Ces mots montrent la fierté qu’il se sent à propos de sa peau. Par exemple,
dans le poème “Cahier d’un Retour au Pays Natal,” Césaire dit “la danse il-est-beau-et-bon-et-
légitime-d’être-nègre” (64). Cette phrase tient beaucoup de fierté. Malgré l’esclavage, malgré le
colonialisme, malgré les sentiments racistes, les noirs sont fiers d’être noir. Césaire veut dire
avec cette phrase que les noirs sont beaux, même si les idéaux de beauté sont les blanches. Il veut
dire que les noirs sont bons, même si les blancs pensent qu’ils sont mauvais. Il veut dire que les
ils méritent d’être traités également aux gens avec la peau blanche. Ils peuvent vivre comme
humains et ils ne doivent pas assimilent à la vie occidentale. Césaire utilise ses mots pour
travailler vers un monde où le couleur de peau peut être respecter sans assimilation. Césaire veut
un monde égal et pour les noirs étant fiers de leur histoire et de leur peau.
Entry 5: Chéri
Le changement de la vie est nécessaire pour une vie saine. Une personne ne peut pas
grandir si elle reste dans les mêmes circonstances toute la vie. On ne peut pas apprendre, ni
grandir, ni devenir la meilleure version de soi-même. Chéri, écrit par Colette, commente sur cette
idée. Les deux personnage principaux, Chéri et Léa, apprennent que le changement dans les
circonstances de vie est nécessaire et ils ne peuvent pas rester ensemble toutes leurs vies.
Le livre commence avec deux personnages principaux. Léa, une femme qui a quarante-
neuf ans, tombe amoureuse de Chéri, un jeune homme qui a vingt-cinq ans. Dans le livre, les
deux sepassent cinq ans ensemble avant que la mère de Chéri assemble un mariage pour lui avec
une jeune fille de dix-huit ans, qui s’appelle Edmée (413). Chérie et Edmée se marient et Léa
quitte dela ville pour échapper la peine de regarder son amour avec une autre fille. Elle retourne
à Paris, et elle passe une nuit avec Chéri avant qu’elle sache qu’elle doit terminer sa relation avec
Dans une étude, les chercheurs trouvent que “the age difference between husbands and
wives is associated with increased depressive symptoms in those couples in which the wife is the
older partner” (Kim et al. 7). Les lecteurs peuvent voir la dépression dans la vie de Léa quand
elle peut voir son âge et les différences de vie entre elle et Chéri. Elle n’aime pas les rides sur
son visage, et elle veut rester jeune toujours. Les lecteurs peuvent aussi voir la dépression en Léa
quand elle comprend qu’elle doit quitter Chéri et le laisser vivre la vie comme les hommes
À cause de la dépression qui Léa expérience, elle ne veut pas changer les relations entre
elle et Chéri. Après la nuit qu’ils passent ensemble, elle réalise que le changement est nécessaire.
Son âge montre la différence entre les deux. Léa sait prendre soin de soi-même, mais elle se rend
compte du fait que Chéri ne le connait pas du tout. Sa mère prend soin de lui jusqu’à Léa le fait.
Donc, elle veut les meilleures choses dans la vie pour lui, mais elle sait qu’elle ne peut pas les
fournir pour lui. Elle quitte Chéri parce que le changement est impératif et Chéri ne peut pas
Le livre Chéri est un bon exemple qui explique pourquoi le changement dans la vie est
nécessaire. Léa continuera à vieillir et Chéri aussi. Donc, Léa sait qu’elle ne peut pas prendre
soin de Chéri, même si elle veut le faire. Il doit apprendre d’aimer sa femme et de prendre soin
Entry 6: Ourika
Dès le commencement du monde, les gens blancs ont pris n’importe quoi des autres gens,
des autres sociétés, et des autres pays. Ils pensent qu’ils sont les sauveurs du monde et qu’ils
doivent emmener les autres à la civilisation. Tout le monde doit être comme eux pour être
légitime. S’ils emmènent tout le monde hors des vies “barbares” ils seraient remercié. Le
complexe du sauveur blanc peut expliquer ce phénomène. Le complexe du sauveur blanc veut
dire “confluence of practices, processes, and institutions that reify historical inequities to
ultimately validate white privilege” (Aronson 36). Dans le livre Ourika, écrit par Claire de
Duras, le complexe du sauveur blanc retire Ourika à son identité et la laisse avec rien.
se sent pitié pour la jeune fille et la sauve de l’esclavage (7). Cette seule action changera la vie
d’Ourika. Monsieur le chevalier de B pensait qu’il peut sauver l’enfant d’une vie oppressée. Son
complexe du sauveur blanc l’a convaincu que n’importe quoi est meilleure que l’esclavage.
Donc, il apporte Ourika en France et elle grandit avec Madame de B. Les années tôt de sa vie
était bien. Ourika pensait qu’elle peut vivre comme les autres enfants de Madame de B.
Tout était bien jusqu’à un jour quand Ourika réalise qu’elle n’est pas comme les autres
enfants autour d’elle. Une amie de Madame de B, qui s’appelle Madame de..., demande “que
deviendra-t-elle?” (12). Elle pose cette question parce qu’Ourika ne se marie jamais parce qu’il
n’y a pas de garçons au temps qui veulent marier une “négresse.” Madame de … connait
qu’Ourika “s’est placée dans la société sans permission ; la société se vengera” (13). C’est la
première fois dans sa vie qu’Ourika se sent pas à sa place. Maintenant, elle n’a pas d’idées pour
Après la révolution qu’Ourika n’est pas à sa place, elle devient amère. Elle se cache de
tout le monde et elle s’apitoie sur soi-même. Pendant la Terreur, elle dit qu’elle ne se sent “plus
isolée depuis que tout le monde était malheureux” (22). Elle habite dans un monde d’isolation
parce qu’elle n’a pas de gens qui peuvent la dire son histoire. Elle grandit avec l’idée qu’elle
n’est pas estimée et aimée à cause de sa peau et de son héritage. Elle veut demander à Madame
de B de se renvoyer dans son pays, mais elle sait qu’elle serait aussi isolée là. Monsieur le
chevalier de B prend l’identité d’Ourika quand il l’emmène en France. Personne ne comprend les
choses d’être noir à la communauté française, mais si elle retournerait au Sénégal, Ourika
n’aurait pas de famille là. Donc, n’importe quoi le lieu, Ourika est seule.
Le complexe du sauveur blanc prend l’identité d’une jeune fille noire. Cette action
invoque la honte dans Ourika et à la fin du livre, elle meurt de chagrin. Pendant presque toute sa
vie, Ourika déteste la couleur de sa peau, tellement qu’elle ne peut pas se regarder aux miroirs.
Pendant que le gens blancs pensent qu’ils sauvent une vie, ils prennent presque toutes les bonnes
choses de la vie.
Jean-Paul Sartre est le père d’existentialisme. L’existentialisme insinue qu’il n’y a pas de
sens dans la vie, mais les auteurs d’existentialisme prennent l’action et philosophe à propos de
cela. Dans le livre Huis Clos, une écriture célèbre de Sartre, il y a une citation profonde: “L’enfer
c’est les autres” (93). Il y a trois personnages dans ce livre, Garcin, Estelle, et Inès. Tous les trois
sont là pour torturer les autres, mais ce n’est pas le sens de la citation.
Les lecteurs peuvent penser que la citation veut dire que les autres qui sont autour de soi
fait la vie l’enfer. Sartre ne voulait pas que les lecteurs lisent cette citation comme cela. Plutôt, il
veut dire que les avis des autres sont l’enfer. On ne peut pas toujours plaire à tout le monde. Si
on essaie de plaire à tout le monde, on irait fou parce que c’est impossible. Les gens jugent soi-
même avec les jugements des autres. Tous les sentiments à propos de soi-même ont les
jugements des autres dans eux. Donc, ces jugements fait les autres l’enfers. On ne peut pas
connaitre soi-même exactement à cause des autres. Par exemple, les personnages de Huis Clos
peuvent se définir seulement avec les autres personnages. Ils doivent compter sur les autres pour
possible qu’elle veut dire une autre chose. Cette citation montre la philosophie qui vient avec les
existentialistes. La vie n’a pas de sens, mais on peut philosopher à propos de la vie malgré tout.
Bibliographie
Aronson, Brittany. “The White Savior Industrial Complex: A Cultural Studies Analysis of a
Teacher Educator, Savior Film, and Future Teachers.” Journal of Critical Thought and
Borelli, Jessica, et al. “Gender Differences in Work-Family Guilt in Parents of Young Children.”
2017. PDF.
Césaire, Aimé. Cahier D'un Retour Au Pays Natal. Présence Africaine, 2016.
Colette. Chéri. DOVER PUBNS, 2013.
Duras, Claire de. Ourika. The Modern Language Association of America, 1994.
Kim, Jae-Hyun, et al. “The Impact of Age Differences in Couples on Depressive Symptoms:
Evidence from the Korean Longitudinal Study of Aging.” BMC Psychiatry. 2015. PDF.
Meeussen, Loes, and Colette Van Laar. “Feeling Pressure to Be a Perfect Mother Relates to
Parental Burnout and Career Ambitions.” Frontiers in Psychology vol. 9. 5 Nov. 2018.
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