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hypothèses de calcul :
I. Présentation du projet :
Le projet est une villa (RDC+ étage), située à Marrakech.
Surface : 155 m2.
Notre étude sera menée en respectant les prescriptions exigées par les
règlements suivants :
Le règlement BAEL 91 révisé 99 : qui est un recueil des règles techniques de
conception et de calcul des ouvrages et constructions en béton armé suivant la
méthode des états limites (ELU/ELS).
Le règlement de construction parasismique (R.P.S.2011) : il définit l’action
sismique sur un bâtiment ordinaire et présente l’ensemble des exigences minimales
de conception et de calcul ainsi que des dispositions constructives à adopter pour
permettre aux bâtiments ordinaires de résister convenablement aux secousses
sismiques
23
Chapitre 3 : Pré dimensionnement des éléments structuraux :
I. Introduction :
Avant d’entamer tout calcul, il est plus pratique d’estimer l’ordre de grandeur des
éléments de la structure, ce qui permet d’avoir des dimensions économiques et
éviter d’avoir un surplus de béton et d’acier. Pour cela les règlements en vigueur
notamment le BAEL 91 et le RPS 2011 donnent des fourchettes pour un pré-
dimensionnement à la fois sécuritaire et économique. Ce projet a commencé par la
conception des plans de coffrage. Cette conception est faite à la base des plans
d’architecture.
II. Plancher :
24
Figure 2: Composants du plancher corps creux
25
La règle générale de détermination du sens de portée est tel que les poutrelles portent dans
la plus petite direction.
𝐿𝐿
ℎ≥
22.5
donc on prend : h = 25 cm comme épaisseur de la dalle corps creux pour toute la structure .
Tableau 3: Pré dimensionnement des dalles pleins pour les contres poids
26
Pour les contres poids ( CP1) et (CP3 ) ( voir l’annexe ) on a α< 0.4 donc la dalle est
portant dans un seul sens .
𝐿𝐿𝐿𝐿 260
D’après la condition h > = = 13 𝑐𝑐𝑐𝑐
20 20
On prend h = 13 cm .
Pour le contre poids ( CP2) , on a α>0.4 donc la dalle est portant dans deux sens .
𝐿𝐿𝐿𝐿 200
D’après la condition h > = = 6.66 𝑐𝑐𝑐𝑐
30 30
RDC :
𝐿𝐿𝐿𝐿 ×Mt
D’après la condition de la flèche h>
20×𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
Mw=Me=0.15Mox Mt =Mox
𝐿𝐿𝐿𝐿
Donc h> = 13 𝑐𝑐𝑐𝑐 on adopte 13 cm comme l’épaisseur de la dalle pleine
20
Les poutres seront pré-dimensionnées selon les formules données par le BAEL 91 et vérifiées
selon RPS2011 . D’après la réglementation en vigueur, les relations de pré dimensionnement
des poutres adoptées dans notre projet sont :
D’après le BAEL 91 :
𝐿𝐿 𝐿𝐿
Pour les poutres hyperstatiques : <ℎ<
20 16
𝐿𝐿 𝐿𝐿
Pour les poutres isostatiques : <ℎ<
15 10
Avec L : La portée de la poutre et h : la hauteur de la poutre
27
D’après le RPS 2000 version 2011 :
Les dimensions trouvées par le BAEL doivent satisfaire les conditions du RPS 2011. Ces
conditions sont :
𝑏𝑏 ≥ 20𝑐𝑐𝑐𝑐
� 𝑏𝑏
≥ 0.25
ℎ
Le tableau ci-dessous résume les sections prises pour les poutres :
étage :
28
RDC :
2 Les poteaux :
Selon le RPS 2000-version 2011 : il faut que les dimensions d’un poteau vérifient cette condition
a et b ≥ 25cm
Dans notre projet les dimensions des poteaux sont déterminés à partir de la note Excel ( voir
l’annexe ) :
Méthode de travail :
29
D’après la note Excel on a les dimensions des poteaux sont comme suit :
étage :
RDC :
30
Chapitre 4 : Dimensionnement de la structure
I. La Descente de charges :
1 Les charges agissant sur l’ouvrage :
a) Charges permanentes(G) :
i. Charges permanentes de l’acrotère :
31
Tableau 9: Charge de ph étage par mètre carré
Tableau 11: Charge des Murs extérieur de l’étage par mètre linéaire
32
RDC :
Tableau 12: Charge des Murs extérieur de RDC par mètre linéaire
33
2 Principe de la Descente de charges :
Tableau 15: Poids propre des poutres (étage) qui agissent sur les poteaux
RDC :
Voir l’annexe
Tableau 16: Poids propre des poutres (RDC) qui agissent sur les poteaux
b) Charges du balcon:
Étage :
34
RDC :
c) Charges de l’acrotère :
35
d) Charges des murs extérieurs :
RDC :
36
e) Les charges du plancher supportées par chaque poteau :
PH chambre terrasse :
PH Étage :
37
PH RDC :
f) Les charges totales supportées par chaque poteau (sans poids propre):
BAEL 91 a signalé que dans les bâtiments comportant des travées solidaires
supportées par des poteaux, il convient de majorer les charges de :
15% pour le poteau central d’une poutre à deux travées ;
10% pour les poteaux intermédiaires voisins des poteaux de rive dans le cas
d’une poutre comportant au moins 3 travées.
38
PH- étage :
Tableau 24 : Les charges totales supportées par chaque poteau (sans PP ) (PH étage)
PH RDC :
Tableau 25 : Les charges totales supportées par chaque poteau ( sans PP) (PH-RDC)
39
PH- étage :
PH RDC :
40
h) Les charges totales supportées par chaque poteau (avec poids propre):
PH- étage :
Tableau 28 : Les charges totales supportées par chaque poteau (avec PP) (PH-étage)
PH RDC :
Tableau 29 : Les charges totales supportées par chaque poteau (avec PP) (PH-RDC)
41
i) Charges au pied de chaque poteau (Au niveau de la fondation) :
Les calculs qui concernent les poteaux se basent sur les hypothèses suivantes :
iii. Élancement :
𝐿𝐿𝑓𝑓 ×2√3 2 √3
On a 𝜆𝜆 = = 3.563 × = 35.26 < 50
a 0.35
0.85
Donc α= λ = 0,706
1+0.2×( )2
35
43
Br = (a – 0.02)×( b-0.02)= ( 0.25-0.02) ×(0.35-0.02) =0.0759m2
iv. La section des armatures longitudinales :
la section des armatures longitudinales est :
5 × 𝐵𝐵
𝐴𝐴𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠𝑠 = = 43.75 𝑐𝑐𝑐𝑐2
100
Donc la section de ferraillage vérifié la condition suivante : 𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔 < 𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔 < 𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔
44
b) L’espacement entre 2 cadres successifs :
15∅𝑙𝑙 = 30 𝑐𝑐𝑐𝑐
𝑆𝑆𝑡𝑡 < � 40 𝑐𝑐𝑐𝑐
𝑎𝑎 + 10 𝑐𝑐𝑐𝑐 = 35 𝑐𝑐𝑐𝑐
Donc St=30 cm
c) Longueur de recouvrement :
Ir = 50×2 = 100 cm
d) Nombre des cadres dans la zone de
recouvrement :
100
= 3.33 > 3 𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵𝐵
30
Comparaison :
Les résultats calculés par Robot et celles calculés manuellement sont presque les mêmes.
45
IV. Calcul manuel de ferraillage pour la poutre (1C - 4C) au niveau de RDC :
1 Données :
b= 20 cm ; h= 40 cm ; d = 37 cm ; 𝒇𝒇𝒄𝒄𝟐𝟐𝟐𝟐 = 𝟐𝟐𝟐𝟐 𝑴𝑴𝑴𝑴𝑴𝑴 ; FPP
La poutre 3-4 étudiée au niveau de RDC est modélisée sur Robot comme suit :
46
3 Calcul des charges appliquées sur la poutre :
Voir la note de calcul sur l’annexe
• Travée 1 :
• Travée 2 :
𝑮𝑮𝟐𝟐 = 𝟑𝟑𝟑𝟑. 𝟖𝟖𝟖𝟖 𝑲𝑲𝑲𝑲/𝒎𝒎 𝑸𝑸𝑸𝑸 = 𝟕𝟕. 𝟒𝟒 𝑲𝑲𝑲𝑲/𝒎𝒎
4 La combinaison des charges :
• Travée 1 :
• Travée 2 :
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟗𝟗. 𝟖𝟖𝟖𝟖 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟒𝟒𝟒𝟒 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟔𝟔𝟔𝟔. 𝟎𝟎𝟎𝟎 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟐𝟐𝟐𝟐. 𝟒𝟒𝟒𝟒 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
a. Schéma des moments de ferraillage à l’ELU :
47
6 Calcul des moments à l'ELS :
Récapitulation :
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟕𝟕. 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟑𝟑𝟑𝟑 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟔𝟔𝟔𝟔. 𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟖𝟖𝟖𝟖 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒. 𝒎𝒎
i. Schéma des moments de ferraillage à l’ELS :
48
8 Les armatures longitudinales à l'ELU :
Figure 14: Organigramme pour la détermination des armatures des poutres à l’ELU
Récapitulatif :
• La travée 1 :
• travée 2 :
Ast = 8.56 cm2 choix 6HA14 = 9.24 cm2 / esp = 5.8
cm
49
• Appui A0 :
• Appui A1 :
• Appui A2 :
50
3 Les armatures transversales :
• La travée 1 :
On prend Φt = 10 mm
• La travée 2 :
On prend Φt = 10 mm
Comparaison :
Les résultats calculés par Robot et celles calculés manuellement sont presque les mêmes.
Voir l’annexe
Voir l’annexe
La section minimale (25*25) cm2 choisie pour les poteaux est vérifiée.
51
Chapitre 1 : Dimensionnement et optimisation du réseau
d’assainissement d’un complexe de plusieurs villas, situé à treize
kilomètres route de Ourika. LES PERLES DE L'ATLAS
I. Présentation du projet :
a) Situation Géographique :
Les Perles de L'Atlas est un complexe de plusieurs villas, situé à treize kilomètres Route de
l'Ourika. Les villas de prestige sont construites sur le Domaine Freha, un domaine de cinq
hectares.
b) Climat :
Sur l’ensemble de la zone du projet règne un climat continental de type semi-aride caractérisé
par une pluviométrie et hydrométrie faibles, une forte évaporation et des températures
moyennes à élevées, aux écarts mensuels et journaliers importants. Les Amplitudes thermiques
sont assez importantes entre l’hiver et l’été : 45°c température maximale et 5°c température
minimale.
Les précipitations sont rares et variables entre 200 et 300 mm/an.
c) Contraintes Existantes :
7
II. Généralités sur les réseaux d’assainissements :
a) SYSTEME D’ASSAINISSEMENT
Un réseau d'assainissement est constitué d'un ensemble de collecteurs, qui peuvent être
des émissaires à ciel ouvert ou des canalisations enterrées. Ceux-ci sont reliés entre eux en une
structure ramifiée en suivant les voies publiques et les rues qu'ils desservent, en plus d'ouvrages
particuliers. Sa structure topologique est définie par :
Des nœuds qui sont des points d'entrée ou de sortie du système. Ils sont matérialisés par
des ouvrages ponctuels : regards de visites, chambres de raccordement, …
Des tronçons limités par un nœud origine et un nœud extrémité. Chaque tronçon
détermine une partie du collecteur, de pente et de sections constantes, ou une partie
d'ouvrages ayant des caractéristiques spécifiques.
L'Assainissement autonome regroupe les filières de traitement qui permettent d'éliminer sur
place les eaux usées d'une habitation, unifamiliale, en principe sur la parcelle portant
l'habitation, sans transport des eaux usées individuelles. Un groupement qui comporte un petit
réseau de collecte avec un dispositif de traitement (épandage, massif filtrant, etc.) sur un terrain
communal est considéré comme un assainissement collectif. Est aussi dénommé :
assainissement non collectif ou assainissement individuel.
Les différentes origines des effluents à évacuer (eaux pluviales et usées) ont impliqué une
diversification des types de systèmes d'assainissement à préconiser.
Système séparatif : Il consiste à réserver un réseau à l’évacuation des eaux usées domestique
(eaux vannes et eaux ménagères) et (mais avec des réserves) de certains effluents industriels,
alors que l’évacuation de toutes les eaux météoriques est assurée par un autre réseau.
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Avantages Inconvénients
Avantages Inconvénients
Système compact Surdimensionnement de la STEP & débit arrivant à la STEP est
variable en quantité et en qualité
Facile à installer Une partie des effluents est rejetée dans le milieu récepteur, en
période de pluie, sans passer par la station
Moins coûteux Problème de dépôts en temps sec
Impact Coût d’entretien plus élevé
environnemental réduit
Système pseudo séparatif : Le système pseudo séparatif est un système dans lequel on divise
les eaux météoriques en deux parties : l’une provenant uniquement des surfaces de voirie, qui
s’écoule par des ouvrages particuliers déjà conçus pour cet objet par les services de la voirie
municipale : caniveaux, aqueducs, fossés avec évacuations directes dans la nature ; l’autre
provenant des toitures, cours, jardins.
Avantages Inconvénients
Simplification des raccordements des Installation assez complexe
immeubles
STEP non surdimensionnée Déversoir à ciel ouvert
Coût d’investissement et d’entretien Réutilisation des eaux rejetées non
raisonnable contrôlée
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Système composite : C'est une variante du système séparatif qui prévoit, grâce à
divers aménagements, une dérivation partielle des eaux les plus polluées du réseau
pluvial vers le réseau d'eaux usées en vue de leur traitement.
Nb :
En général, le choix des systèmes d’assainissement est conditionné par les directives de la
régie qui va s’occuper de l’exploitation et la maintenance après mise en service du réseau
• Le diamètre de la conduite.
Les matériaux les plus utilisés dans les conduites d’assainissement liquide sont les suivants :
Les avantages et les inconvénients de chaque type de conduites sont présentés ci-dessous :
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Type de conduite Avantages Inconvénients
11
Le schéma du réseau d’assainissement doit respecter le schéma général de la voirie et
Autres réseaux. Il doit y avoir également une certaine coordination entre les différents
réseaux.
Le dimensionnement des collecteurs projetés sera fait moyennant les formules les Plus
utilisées au Maroc.
Calage du réseau d’assainissement doit respecter les contraintes et exigences
Techniques suivantes :
La jonction des différents collecteurs secondaires devra être dans le sens d‘écoulement
De l’effluent avec un angle entre 45° et 67° et d’un angle de 45° à un collecteur principal.
Le branchement des différentes constructions au réseau se fera soit par le biais de
Regards borgnes soit par le biais d’une culotte.
Le branchement devra être réalisé obligatoirement à partir d’un regard de façade sise en
domaine public dont la profondeur devra permettre le rejet gravitaire des eaux usées
dans le collecteur assainissement existant et sera au maximum de 1.20 m.
Les regards de visite seront espacés au maximum de 50 m (contraintes d’entretien). Ils
seront placés en particulier :
- A chaque changement de diamètre
- A chaque changement de direction.
- A chaque changement de pente.
2. Étapes de conception d’une étude d’assainissement :
En général, la conception d’un réseau d’assainissement passe par les étapes suivantes :
a) En utilisant le logiciel Autocad et sur un tracé en plan établi par un bureau de
topographie, on conçoit le réseau d’assainissement en prenant en considération la
topographie du terrain via les points d’altitude donnés et en respectant évidemment le
sens d’écoulement (écoulement gravitaire).
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b) Établissement de la vue en plan du réseau, c'est-à-dire le traçage en plan des collecteurs
et des regards ainsi que les boites de branchement, etc.
c) Délimitation des bassins versants élémentaires, cette étape consiste à subdiviser le plan
en sous bassins élémentaires de l’amont vers l’aval.
d) Appliquer une méthode de calcul pour déterminer les débits élémentaires de chaque
bassin puis établir les assemblages des bassins élémentaires
e) Faire le montage des profils en long afin de fixer les pentes des conduites.
f) Dimensionner les collecteurs et vérifier si le réseau et bien fonctionner
g) Dimensionnement des ouvrages : puits d’avalement et dessaleurs
h) Avant métrés et estimation et enfin l’édition des documents et impression des plans.
13
V. Assainissement des eaux des eaux pluviales :
La conception de la vue en plan du réseau des eaux pluviales, est basé sur le plan de masse et le
plan coté, ce dernier renseigne sur la topographie de la zone considérée par le biais des
altitudes et des courbes de niveau et permet de prévoir le cheminement à emprunter par les
collecteurs pluviaux, le long des voies dont l’exutoire est le sol en place à travers des puits
d’engouffrement.
Les éléments du tracé en plan sont : des conduites de diamètres variables, des regards de visite,
des regards à grille, des regards à avaloir, des regards Borgne, des boites de branchement, des
puits absorbants et des dessaleurs.
L’implantation de tous ces ouvrages hydrauliques repose sur les règles suivantes :
o Pour les voies d’emprise inférieure ou égale à 10m, les collecteurs doivent être implantés
dans les axes des voies.
o Pour les voies d’emprise de 12 ou 15m, les collecteurs des eaux usées doivent être
implantés sous chaussée et sous trottoir pour les collecteurs des eaux pluviales.
o Pour les voies d’emprise supérieure ou égale à 20 m les collecteurs des eaux usées et des
eaux pluviales doivent être implantés sous trottoir.
o Les collecteurs de diamètre supérieur ou égale 1000 mm doivent être implantés dans l’axe
des voies.
o Les regards sont implantés à chaque changement de direction, de diamètre, dans le cas
des chutes et dans le cas d’un alignement droit, ils sont implantés tous les 50m environ
pour les conduites de diamètre inférieur 1000 et tous les 80m pour les diamètres
supérieurs à ou égal à 1000.
o Les eaux pluviales des eaux des toitures seront évacuées via des garguille, aussi bien pour les
résidences que les villas, pour rejoindre les eaux de voirie.
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La division des bassins s’effectue en se basant sur les caractéristiques de chaque région (pente,
pluviométrie, densité des immeubles, etc.)
Chaque bassin est caractérisé par sa superficie, son coefficient de ruissellement, sa pente qui
dépendent de la couverture et la morphologie et la nature du terrain.
On Calcule le débit de chaque bassin versant en utilisant les différentes formules dont celle de
Caquot reste la plus cohérente et la plus fiable.
On calcule les débits à chaque assemblage entre les Bassins versants afin d’évaluer le débit à
l’exutoire.
15
La période de retour maintenue pour le dimensionnement d’un réseau d’assainissement est
décennale soit 10 ans.
Les coefficients a et b de Montana spécifiques à la région de Marrakech pour une période de 10
ans sont : a = 6.036 et b = -0.601
Pente : I entre 2% et 5%
Coefficient de ruissellement : C entre 0.2 et 1
2. Coefficient de ruissellement
16
Les sous bassins seront assemblés selon le réseau d’écoulement proposé en vue de suivre
l’évolution du débit dans les collecteurs de l’amont vers l’aval.
A noter que : Le débit doit satisfaire la condition suivante : Max (Q1, Q2) < Q < Q1+Q2
Avec Q1 et Q2 = débits des deux bassins assemblés ;
Q = débit corrigé de l’assemblage
Si Q < Max (Q1 et Q2) → Q calcul = Max (Q1 et Q2)
Si Q > Q1+Q2 → Q calcul = Q1+Q2
Après le calcul des débits d’assemblage, on procède au montage des profils en long des
conduites pour en tirer les pentes de canalisation.
Pour le traçage des profils en long des collecteurs projetés, on se base sur:
- Les côtes du terrain naturel du plan coté
- Le calage des côtes projets sera en fonction de la côte projet de l’exutoire.
- On doit travailler avec des pentes comprises entre 3‰ et 5%.
Il faut toujours respecter une profondeur de recouvrement de 0.8m à 1m au minimum afin
d’éviter d’une part les surcharges roulantes et, d’autre part, les encombrements avec les autres
réseaux (eau potable, électricité, téléphone…)
Ces profils sont tracés à l’aide du logiciel COVADIS*.
Ces profils nous donnent une idée sur les côtes du terrain naturel, côtes projet, distances entre
points, la pente et le diamètre de la conduite. (Annexe 2), présente un Profil en long d’une
canalisation des eaux pluviales.
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En écoulement gravitaire, la section des collecteurs est fonction de deux paramètres :
Le débit à transporter
La pente du collecteur
Connaissant les différents paramètres relatifs à chaque sous bassin, on peut évaluer par
application du modèle de Caquot, le débit du projet.
Les pentes à prendre dans la détermination des sections des ouvrages sont les pentes obtenues
après montage des profils en long.
Commentaire :
L’assemblage des débits des bassins versants nous permet, de Suivre l'évolution du débit dans
les collecteurs de l'amont vers l'aval.
6. Calcul des diamètres des collecteurs pluviaux :
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a) Formule de Manning – Strickler :
Sachant que le débit à évacuer est donné par la formule d'écoulement adopté ci-dessous :
Q : débit évacué en m3 / s
Q =V * S (1) avec : V : vitesse d'écoulement en m / s
S : section de conduite en (m) : S = πD² / 4
Le diamètre calculé n’est pas toujours retrouvé dans le marché, c’est pourquoi dans le calcul
qui suit on utilise le diamètre choisi c'est-à-dire le diamètre retrouvé dans le marché. On calcul
la charge c'est-à-dire le taux de remplissage de conduite par l’eau, par la formule suivante :
C= Q/QPS*100
Avec
C : charge sans unité
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c) Vérification d’auto curage :
Pour assurer les conditions d’auto-curage dans les réseaux d’évacuation des eaux pluviales,
la vitesse d’écoulement pour le dixième du débit à pleine section doit être supérieure ou égale à
0,6 m/s, tandis que pour les réseaux des eaux usées, les conditions d’auto-curage sont vérifiées
lorsque la vitesse écoulement à pleine section est supérieure ou égale à 0,70 m/s.
Toutefois la vitesse doit rester inférieure à 4 m/s pour éviter les dégradations des joints et
l’abrasion des conduites.
Le calcul de vitesse effective (vitesse d’auto-curage) dans les écoulements à surface libre ou
dans les conduites partiellement remplies se fait par la méthode suivante :
Méthode graphique :
20
Figure 2 : caractéristiques hydrauliques en fonction du rapport des hauteurs
d'écoulement y/D
Le tableau suivant représente le calcul des diamètres des conduites et la vérification de l’auto
curage.
21
VII. CALCUL DU RESEAU EAUX USEES :
Vu que les EU sont négligeables devant des EP des toitures et des surfaces des villas le
réseau EU sera dimensionné de la même manière de celui des EP « Méthode de Caquot ».
Les tableaux de dimensionnement des collecteurs sont présentés en (Annexe 3 et 4), ainsi que
les profils en long des conduites.
Conclusion :
La réalisation d’un projet d’assainissement et de voirie d’un lotissement, passe par plusieurs
démarches à suivre pour leur accomplissement. La phase de la collecte des données sur terrain
constitue l’étape la plus importante, puisqu’elle permet d’obtenir un plan coté suite à un levé
topographique qui consiste à indiquer la cote de tous les détails du terrain, naturels ou
artificiels, l’importance de ce plan réside dans le fait qu’il constitue la base sur laquelle est
fondée notre étude d’assainissement et de voirie par la suite.
22
Tableau 15: Poids propre des poutres (étage) qui agissent sur les poteaux
Tableau 16: Poids propre des poutres (RDC) qui agissent sur les poteaux
56
Figure 7: Organigramme pour la détermination des armatures des poteaux
• Travée 2 :
5.58 3.89
𝐺𝐺2 = 6.1 × � + � + 25 × 0,20 × 0,4 → 𝑮𝑮𝑮𝑮 = 𝟑𝟑𝟑𝟑. 𝟖𝟖𝟖𝟖 𝑲𝑲𝑲𝑲/𝒎𝒎
2 2
5,58 3.89
𝑄𝑄2 = 1,5 × � + + 0,2� → 𝑸𝑸𝑸𝑸 = 𝟕𝟕. 𝟒𝟒 𝑲𝑲𝑲𝑲/𝒎𝒎
2 2
58
𝑃𝑃𝑠𝑠2 = 𝐺𝐺2 + 𝑄𝑄2 = 38.68 𝐾𝐾𝐾𝐾/𝑚𝑚
𝑃𝑃𝑢𝑢1 𝑙𝑙1 2
𝑀𝑀𝑜𝑜1 = = 65.84 𝐾𝐾𝐾𝐾. 𝑚𝑚 avec 𝑙𝑙1 = 3.86 𝑚𝑚
8
𝑃𝑃𝑢𝑢2 𝑙𝑙22
𝑀𝑀𝑜𝑜2 = = 149.51 𝐾𝐾𝐾𝐾. 𝑚𝑚 avec 𝑙𝑙2 =4.76 m
8
59
4 Calcul des moments à l'ELS
i. Les moments de référence :
Ps1 l1 2
Mo1 = = 47.80 KN. m avec l1 = 3.86 m
8
Ps2 l22
Mo2 = = 109.54 KN. m avec 𝑙𝑙2 =4.76 m
8
ii. Les moments aux appuis :
𝑀𝑀𝐴𝐴0 = 𝑀𝑀𝐴𝐴2 = 0 (Appuis de rives)
𝑀𝑀𝐴𝐴1 = 0,6 max(𝑀𝑀𝑜𝑜1 , 𝑀𝑀𝑜𝑜2 ) = 65.724 𝐾𝐾𝐾𝐾. 𝑚𝑚
iii. Les moments aux travées :
• Travée 1 :
𝑀𝑀𝐴𝐴0 + 𝑀𝑀𝐴𝐴1
𝑀𝑀𝑡𝑡1 ≥ 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 [1,05 𝑀𝑀𝑜𝑜1 ; (1 + 0,3𝛼𝛼)𝑀𝑀𝑜𝑜1 ] −
2
65.724
𝑀𝑀𝑡𝑡1 ≥ 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀( 50.19; 50.62) −
2
𝑀𝑀𝑡𝑡1 ≥ 17.758 𝐾𝐾𝐾𝐾. 𝑚𝑚
Il s’agit d’une travée de rive donc
1,2 + 0,3𝛼𝛼
𝑀𝑀𝑡𝑡1 ≥ 𝑀𝑀𝑜𝑜1 = 30.09 𝐾𝐾𝐾𝐾. 𝑚𝑚
2
donc : 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟑𝟑𝟑𝟑 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
• Travée 2 :
MA1 + MA2
Mt2 ≥ Max[1,05 Mo2 ; (1 + 0,3α)Mo2 ] −
2
65.724
Mt2 ≥ Max(115.01; 116.01) −
2
Mt2 ≥ 83.148 KN. m
Récapitulation :
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟕𝟕. 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟑𝟑𝟑𝟑 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟔𝟔𝟔𝟔. 𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎 𝑴𝑴𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕𝒕 = 𝟖𝟖𝟖𝟖 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟎𝟎, 𝟏𝟏𝟏𝟏 𝑴𝑴𝒐𝒐𝒐𝒐 = 𝟏𝟏𝟏𝟏. 𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒𝟒. 𝒎𝒎
5 Calcul des efforts tranchants :
𝑃𝑃𝑢𝑢1 𝑙𝑙1 35.35×3.86
𝑉𝑉𝑜𝑜1 = = = 68.22 𝐾𝐾𝐾𝐾
2 2
60
𝑃𝑃𝑢𝑢2 𝑙𝑙2 4.76 × 52.79
𝑉𝑉𝑜𝑜2 = = = 125.64𝐾𝐾𝐾𝐾
2 2
𝑇𝑇1 = 𝑉𝑉𝑜𝑜1 = 68.22 𝐾𝐾𝐾𝐾
Figure 14: Organigramme pour la détermination des armatures des poutres à l’ELU
i. Contrainte de calcul :
𝟎𝟎.𝟖𝟖𝟖𝟖×𝒇𝒇𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄𝒄
Contrainte de compression de béton : 𝝈𝝈𝒃𝒃𝒃𝒃 = = 14 .66 MPa
ɣ𝒃𝒃 ×Ө
𝒇𝒇𝒆𝒆
Contrainte d’acier : 𝝈𝝈𝒔𝒔 = = 434.78 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝜸𝜸𝒔𝒔
61
ii. Moment réduit µ𝑢𝑢 :
MAi
𝜇𝜇 =
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑏𝑏𝑏𝑏
• La travée 1 :
Mt1 = 42 KN. m
Mt1 42 × 106
𝜇𝜇 = = = 0.1046
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑏𝑏𝑏𝑏 200 × 3702 × 14.66
• La travée 2 :
• L’Appui A0 :
MA0 = 9.87 KN. m
Mt0 9.87 × 106
𝜇𝜇 = = = 0.0245
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑏𝑏𝑏𝑏 200 × 3702 × 14.66
• L’Appui A1 :
MA1 = 60.87 KN. m
Mt1 60.87 × 106
𝜇𝜇 = = = 0.1516
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑏𝑏𝑏𝑏 200 × 3702 × 14.66
• L’Appui A2 :
MA2 = 22.42 KN. m
Mt2 22.42 × 106
𝜇𝜇 = = = 0.0558
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑏𝑏𝑏𝑏 200 × 3702 × 14.66
62
Le bras de levier :
Z = d*(1 − 0,4×α) = 0.37*(1 − 0,4×0.138) = 0.349m
𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔 = 𝟕𝟕𝒄𝒄𝒄𝒄𝟐𝟐
• La travée 2 :
µ = 0,284 < µR = 0,372
Le paramètre de déformation α :
• Appui A0 :
Le paramètre de déformation α :
63
𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨 𝟗𝟗. 𝟖𝟖𝟖𝟖 × 𝟏𝟏𝟏𝟏𝟔𝟔
𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔 = = = 𝟎𝟎. 𝟔𝟔𝟔𝟔 𝒄𝒄𝒄𝒄𝟐𝟐
𝒇𝒇𝒆𝒆 𝟓𝟓𝟓𝟓𝟓𝟓
𝒛𝒛 × 𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑𝟑 ×
𝜸𝜸𝒔𝒔 𝟏𝟏, 𝟏𝟏𝟏𝟏
• Appui A1 :
Le paramètre de déformation α :
• Appui A2 :
Le paramètre de déformation α :
64
La détermination du ferraillage de la poutre à l’ELS se fait selon l’organigramme suivant :
Figure 15: Organigramme pour la détermination des armatures des poutres à l’ELS
La travée 1 :
𝑀𝑀𝑡𝑡1𝑠𝑠 31×103
𝜇𝜇 = = =0.002604
𝑏𝑏×𝑑𝑑 2 ×𝜎𝜎𝑠𝑠 0,20×3702 ×434,78
65
𝑨𝑨𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔𝒔 = 𝟐𝟐. 𝟏𝟏 𝒄𝒄𝒄𝒄𝟐𝟐
• La travée 2 :
𝑀𝑀𝑡𝑡2𝑠𝑠 84 × 103
𝜇𝜇 = = = 0.00705
𝑏𝑏 × 𝑑𝑑 2 × 𝜎𝜎𝑠𝑠 0,20 × 3702 × 434,78
D'après le tableau :
k1= 85 β1= 0,95
� 𝒔𝒔
𝝈𝝈 434,78
𝜎𝜎𝑏𝑏 = = = 5.11 < 𝜎𝜎�𝑏𝑏 = 0,6 𝑓𝑓𝑐𝑐28 = 15 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑲𝑲𝟏𝟏 85
Donc on a des armatures simples
• Appui A0 :
D'après le tableau :
k1= 98.6 β1= 0,956
� 𝒔𝒔
𝝈𝝈 434,78
𝜎𝜎𝑏𝑏 = = = 4.409 < 𝜎𝜎�𝑏𝑏 = 0,6 𝑓𝑓𝑐𝑐28 = 15 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑲𝑲𝟏𝟏 98.6
Donc on a des armatures simples
66
On a : 𝑴𝑴𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨𝑨 = 𝟔𝟔𝟔𝟔. 𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕𝟕 𝑲𝑲𝑲𝑲. 𝒎𝒎
D'après le tableau :
k1= 27.73 β1= 0,883
� 𝒔𝒔
𝝈𝝈 434,78
𝜎𝜎𝑏𝑏 = = = 15.67 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 > 𝜎𝜎�𝑏𝑏 = 0,6 𝑓𝑓𝑐𝑐28 = 15 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑲𝑲𝟏𝟏 27.73
15 � 𝑏𝑏
𝑏𝑏𝒚𝒚𝟏𝟏 𝜎𝜎
𝛼𝛼1 = = 0.341 et 𝒚𝒚𝟏𝟏 = 𝛼𝛼1 𝑑𝑑 = 12.617 𝑐𝑐𝑐𝑐 et 𝐹𝐹𝑏𝑏 = = 119.391 𝐾𝐾𝐾𝐾
15+𝐾𝐾1 2
• Appui A2 :
D'après le tableau :
k1= 63.12 β1= 0.936
� 𝒔𝒔
𝝈𝝈 434,78
𝜎𝜎𝑏𝑏 = = = 6.89 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 < 𝜎𝜎�𝑏𝑏 = 0,6 𝑓𝑓𝑐𝑐28 = 15 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝑲𝑲𝟏𝟏 63.12
𝑀𝑀𝐴𝐴2𝑠𝑠 16.431 × 103 × 102
𝐴𝐴𝐴𝐴2𝑆𝑆 = = = 1.09 𝑐𝑐𝑐𝑐2
𝛽𝛽1 × 𝑑𝑑 × 𝜎𝜎�𝑠𝑠 0,936 × 37 × 434,78
67
1 Les armatures transversales :
• La travée 1 :
0,2𝑓𝑓𝑐𝑐28
On a FPP 𝜏𝜏̅𝑢𝑢 = 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 � ,5 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀� = 3,3 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝛾𝛾𝑏𝑏
𝑉𝑉𝑢𝑢 78.45×103
𝜏𝜏𝑢𝑢 = = = 0.848 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 < 𝜏𝜏̅𝑢𝑢 𝑂𝑂𝑂𝑂 ‼
𝑏𝑏×𝑑𝑑 200×370
On prend Φt = 10 mm
0,9𝑓𝑓𝑒𝑒 ×𝐴𝐴𝑇𝑇
On calcule l’espacement ST : 𝑆𝑆𝑇𝑇 ≤
𝑏𝑏𝛾𝛾𝑆𝑆 �𝜏𝜏𝑢𝑢 −0,3𝑘𝑘𝑓𝑓𝑡𝑡𝑡𝑡 �
• La travée 2 :
0,2𝑓𝑓𝑐𝑐28
On a FPP 𝜏𝜏̅𝑢𝑢 = 𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚𝑚 � ,5 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀� = 3,3 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀
𝛾𝛾𝑏𝑏
𝑉𝑉𝑢𝑢 144.486×103
𝜏𝜏𝑢𝑢 = = = 1.56 𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀𝑀 < 𝜏𝜏̅𝑢𝑢 𝑂𝑂𝑂𝑂 ‼
𝑏𝑏×𝑑𝑑 250×370
On prend Φt = 10 mm
On calcule l’espacement ST :
0,9𝑓𝑓𝑒𝑒 ×𝐴𝐴𝑇𝑇
𝑆𝑆𝑇𝑇 ≤ avec 𝐴𝐴 𝑇𝑇 = 6𝐻𝐻𝐻𝐻14 = 9.24 𝑐𝑐𝑐𝑐2 et
𝑏𝑏𝛾𝛾𝑆𝑆 �𝜏𝜏𝑢𝑢 −0,3𝑘𝑘𝑓𝑓𝑡𝑡𝑡𝑡 �
68
𝑨𝑨𝒕𝒕 ×𝒇𝒇𝒆𝒆
𝑺𝑺𝑻𝑻 ≤ = 𝟓𝟓𝟓𝟓. 𝟕𝟕𝟕𝟕 𝒄𝒄𝒄𝒄 𝑶𝑶𝑶𝑶 !!
𝟎𝟎,𝟒𝟒×𝒃𝒃
4.86
On prend ST = 10 cm (série de Caquot ) n= =2
2
• La travée 2 :
69
La modélisation de la structure entière par le logiciel CBS :
70
Figure 18 : Chargement de RDC la structure
La section minimale (25*25) cm2 choisie pour les poteaux est vérifiée.
3 Dimensionnement des semelles :
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Figure 19 : Dimensions des semelles
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73